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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
mardi 28 avril 2020
Masques non sanitaires... enfin en pharmacie
lundi 27 avril 2020
Mutuelle :Quoi de neuf à la MGEFI ?
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Vos relevés de décomptes désormais à portée de clic A compter du mois de mai, si vous avez déjà ouvert votre espace personnel sécurisé sur mgefi.fr, vous ne recevrez plus vos relevés de décomptes.
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Cinq règles pour préserver ses fonctions cognitives Avec l'âge, les fonctions cognitives peuvent diminuer. Il devient alors difficile de rester concentré, de mémoriser des informations ou de suivre.
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28 avril : Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail
Le monde du travail a en effet été profondément touché par la pandémie. Outre la menace que la maladie représente pour la santé publique, les bouleversements économiques et sociaux ont des conséquences énormes sur les moyens de subsistance et le bien-être à long terme de millions de Français.
Des mesures appropriées de sécurité et de santé au travail peuvent jouer un rôle crucial pour ralentir la propagation des maladies, tout en protégeant les travailleurs et la société dans son ensemble.
Les employeurs ont par ailleurs une obligation en France de protection de la santé de ses salariés (y compris lorsque la cause du risque est externe comme une épidémie). Il doit prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé de son personnel : actions de prévention, actions d'informations et de formation (C.trav, art L.4121-1)
Conscient de l'importante nécessité d'adopter très rapidement les bons comportements face à la menace du COVID-19, Salvum, application référente en France de formation aux premiers secours, a développé un module dédié « Coronavirus » accessible gratuitement pour toutes les entreprises et les salariés qui en font la demande.
Salvum contribue également à diminuer les victimes comme ils peuvent le faire en formant en ligne au secourisme. Car les fameux gestes barrières sont aussi des Gestes Qui Sauvent.
Contact presse:
rbornais@goodmind.fr
M : 09 72 14 47 01
Confinement & sédentarité...
Or avant la pandémie de Covid-19, la sécurité sociale alertait déjà sur l'excès de sédentarité de nos compatriotes. Ils sont en effet très loin de suivre la recommandation du Programme National Nutrition Santé (PNNS) qui est de pratiquer l'équivalent d'au moins 30 minutes de marche rapide par jour.
Or le confinement n'a pas arrangé les choses ! Peu importe la multiplication des applications de sport et les programmes télévisés destinés à faire bouger les Français, l'isolement a plutôt eu un effet démotivant.
Le constat est sans appel : aujourd'hui, près de 4 Français sur 10 (41%) font moins de sport qu'avant ! Pire : ils sont aussi près de 20%, soit 1 sur 5, à ne pratiquer aucun sport pendant le confinement.
Coachme.fr, un nouveau média en ligne consacré au sport et aux loisirs, publie une étude qui dévoile l'impact du confinement sur les habitudes sportives des Français.
Contact presse :
Pierre Tabuteau - pierretabuteau@hotmail.com - 06 61 80 50 78.
En savoir plus:
Infographie https://coachme.fr/confinement-impact-activite-sportive/
Site web : https://coachme.fr
Lire le communiqué de presse sur Internet
Désinscription : Si ce message ne vous intéresse pas, cliquez ici.
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vendredi 24 avril 2020
Codiv-19 : zoom sur la situation mondiale
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Codiv-19 : exemple de solidarité santé a St Quentin en Yvelines
Covid 19 : santé et solidarité à Saint-Quentin-en-Yvelines
Face au confinement, certaines familles et personnes sont plus vulnérables et exposées que d’autres. À Saint-Quentin-en-Yvelines comme ailleurs, les équipes de la Direction Solidarité restent mobilisées pour soutenir tous ceux qui ont besoin d’aide, l’Institut de promotion de la santé en tête.
En lien avec l’Agence Régionale de la Santé d’Ile de France (ARS), la Préfecture, le Conseil Régional, le Département et tous les autres partenaires, l’Institut de Promotion de la Santé (IPS) de Saint-Quentin-en-Yvelines est mobilisé, à l’écoute des besoins des habitants et des professionnels de santé du territoire.
L’IPS relaie toutes les informations et initiatives des partenaires sociaux et de santé et reste joignable pendant le confinement (mail et téléphone). Ainsi, la majorité des services habituels est maintenue : écoute jeunes et familles, suivi des personnes en situation de handicap ou de souffrance psychique ou encore les soins infirmiers à domicile.
Par ailleurs, l’ensemble des services de SQY est mobilisé pour proposer un accompagnement adapté et des services spécifiques : aidants, personnes en situation de précarité, en perte d’autonomie, en difficultés financières, familles endeuillées etc.
Quand la solidarité fait la force
Les initiatives solidaires se sont multipliées, des particuliers comme des professionnels. Parmi elles, la Croix Rouge et le Secours Populaire proposent des plateformes en ligne et des numéros d’appel d’urgence pour venir en aide aux plus démunis et en détresse psychologique et psychique.
Aussi, de nombreuses associations, partenaires de l’IPS poursuivent et renforcent leur accompagnement, notamment à destination de nos aînés et de leur famille. Elles organisent les visites à domicile, les courses et soutiennent avec bienveillance les aidants, qui ont particulièrement besoin de répit en cette période.
Une cartographie pour aider les personnes en situation de précarité
L'association SOLINUM, partenaire de l'IPS, développe le soliguide, première plateforme de cartographie des lieux, initiatives et services utiles aux personnes en situation de précarité, vulnérables, isolées. L'outil recense l’aide alimentaire, l’accompagnement social, les accueils de jour, les structures de santé, etc. dont les dispositifs et structures saint-quentinois.
Toutes les infos sur :
Contact presse
Maiwenn Pibouleau
01 39 44 81 22 / 07 79 82 73 36
maiwenn.pibouleau@sqy.fr
@sqy.fr @sqy78 @sqy
saint-quentin-en-yvelines.fr
SAINT QUENTIN EN YVELINES, 1 rue Eugène Hénaff BP 118, TRAPPES CEDEX, . . France
Télédéclaration des impôts... soyez vigilant
Si vous ne voyez pas ce message cliquez ici
La Télédéclaration Des Revenus : Un Boulevard Pour Les Attaques De Phishing
D’ores et déjà accessible sur le site Internet des Impôts, la télédéclaration des revenus 2019 a vu sa date limite repoussée d’un mois en raison de la crise du Covid-19. Mais de même qu’ils ont capitalisé sur les peurs liées au coronavirus pour diffuser des applications mobiles malveillantes, de nombreux cyber escrocs profitent du confinement et de la généralisation des démarches administratives sur le Net en multipliant les attaques de phishing usurpant le site impots.gouv.fr. Ces attaques prennent de nombreuses formes. La plus récente d’entre elles, émanant prétendument du service des impôts, demande à ses victimes une copie de leur pièce d’identité. D’autres invitent les contribuables à divulguer leurs coordonnées bancaires ou évoquent un remboursement d’impôts. La plupart empruntent le canal des emails, mais d’autres sont diffusées par SMS ou même via les réseaux sociaux. Exploitant de faux sites impots.gouv.fr parfaitement imités, l’objectif de toutes ces attaques et de pirater les comptes fiscaux et de subtiliser des données personnelles et bancaires. Les mobiles, une cible de choix La Direction générale des finances publiques est consciente de la multiplication de ces campagnes de phishing et s’efforce d’informer les contribuables en leur donnant les informations nécessaires pour s’en prémunir. Mais beaucoup de ces attaques risquent encore de passer entre les mailles du filet, spécialement lorsqu’elles sont reçues sur un terminal mobile. En effet, les mobiles sont une cible de choix pour les escrocs et autres cyber criminels. La faible taille de leur écran empêche d’identifier facilement l’URL du site malveillant ou d’éventuelles incohérences ou fautes d’orthographe. D’autre part, leurs utilisateurs ont tendance à répondre plus rapidement aux emails et aux divers message reçus, via SMS ou sur les réseaux sociaux. Un risque supplémentaire : pénétrer sur les réseaux d’entreprise En outre, de plus en plus d’utilisateurs travaillant à partir de leur terminal mobile, la perméabilité entre les environnements professionnel et personnel représente une autre menace importante. Un employé travaillant de chez lui, chose courante en raison de la crise sanitaire, peut recevoir ses emails personnels sur un mobile fourni par son entreprise, ou accéder aux ressources de son entreprise à partir de son mobile personnel. Dans les deux cas, le risque est grand qu’une attaque de phishing permette à l’attaquant de subtiliser ses identifiants d’entreprise et ainsi de pénétrer dans le réseau de son employeur. Ce risque est encore plus important dans le cas d’attaques de phishing par SMS, qui ne peuvent être détectées par des solutions d’antiphishing par email traditionnelles. Les responsables de la sécurité en entreprise doivent avoir conscience de ce risque. Même s’ils ont mis en place une solution de protection conte le phishing par email, ils doivent s’interroger sur la protection des comptes email personnels ou des messages SMS sur les mobiles de leurs employés.
Bastien Bobe Security Sales Engineer Europe du Sud chez Lookout
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jeudi 23 avril 2020
Utilisation de smartphones pour le suivi du deconfinement
L'utilisation de Smartphones pour le suivi du déconfinement du Covid-19 en France
Communiqué de l'Académie nationale de médecine
22 avril 2020
Le confinement strict a permis de freiner l'épidémie de Covid-19 en France. Le déconfinement progressif doit être suivie avec beaucoup d'attention pour détecter une éventuelle résurgence, tout en poursuivant les gestes barrières indispensables. Dès lors que les tests (PCR) de détection du virus sont largement disponibles, il est envisagé de détecter systématiquement toutes les personnes présentant des symptômes de Covid-19.
Pour stopper la circulation du virus, il est proposé d'identifier les sujets contacts des patients contagieux, pour les isoler le plus tôt possible. Leur identification peut être aidée par des applications d'intelligence artificielle (IA), telles que StopCovid. En effet, ces applications sont capables de détecter par Bluetooth les personnes ayant rencontré un patient contagieux à faible distance. Il est prévu que l'anonymat soit respecté dans le cadre strict de la réglementation européenne et nationale du Règlement général sur la Protection des données (RGPD). Alertées, les contacts asymptomatiques pourraient alors être prévenus par sms, se faire dépister par un test PCR, être prises en charge au plus tôt et se confiner.
Cela suppose que le patient testé positif accepte, sur une base de volontariat, de se déclarer positif et de diffuser cette information aux utilisateurs de l'application qu'ils auraient pu rencontrer. Dans le cas de l'application StopCovid, il est prévu qu'il n'y aurait pas de demande de données personnelles (état civil, numéro de téléphone, géolocalisation…). Cependant, les données anonymes de géolocalisation recueillies au cours de ce protocole pourraient être utilisées pour suivre l'évolution de l'épidémie sur l'ensemble du territoire national. Ce traitement statistique et anonyme des données a été accepté par la CNIL (10 avril 2020).
L'approche du traçage des contacts peut être utile et efficace en faisant participer activement la population à la lutte contre le Covid-19, sur une base de volontariat. Cependant, cette efficacité suppose le respect d'un certain nombre de conditions d'ordre éthique et juridique :
– L'application choisie doit impérativement respecter la réglementation européenne, le RGPD et les recommandations de la CNIL.
– L'efficacité du traçage dépendra pour une large part de l'acceptation et de l'adhésion confiante de la population à cette approche intrusive. Du niveau de participation, dépendra en grande partie l'utilité du système. Une large communication devra être diffusée, avec une information précise, factuelle, compréhensible par tous et loyale (en se référant notamment aux expériences d'autres pays). Cette application ne doit en rien être imposée, notamment par les employeurs.
– Des biais apparaîtront pour la représentativité des données recueillies : (1) une partie importante de la population n'a pas de smartphone ; (2) une autre partie refusera d'adhérer à son utilisation ; (3) il existe beaucoup de zones blanches, donc une inégalité territoriale. Enfin, il faut que les quatre opérateurs principaux soient obligatoirement impliqués dans le processus de traçage.
– Il faut s'assurer du consentement éclairé des personnes, de la confidentialité et de la préservation de l'intimité de chacun, en se tenant aux seules données indispensables à l'objectif, écartant toute autre information non pertinente. Il faut aussi garantir d'une part la destruction à court terme des données tout au long de l'épidémie qui peut se prolonger, et d'autre part la liberté des choix des personnes d'initier ou d'arrêter à tout moment la connexion traçage.
– L'ergonomie très simple du traçage doit être adaptée aux personnes vulnérables, seniors, personnes isolées et précaires, afin d'éviter la fracture numérique, source de ségrégation et d'inéquité. Une assistance par des bénévoles ou des professionnels doit être envisagée pour permettre à certains d'adhérer en toute compréhension au traçage.
– Il faut régler au mieux les responsabilités qui pourraient concerner un préjudice subi par une contamination ou une exposition liées à un faux négatif du test ou de l'affichage de son résultat, ou encore à une transmission technique défectueuse ou inopérante car en zone non couverte par les opérateurs. Si de tels incidents surviennent, et afin de permettre la plus large adhésion de la population au système, un mécanisme d'indemnisation automatique devrait être prévu, par le biais de la solidarité nationale et de l'Oniam (Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux)
L'Académie donne un avis favorable à l'utilisation de Smartphones pour le suivi du déconfinement, en suggérant qu'il y ait une évaluation de son utilisation après un et deux mois, avec des points sur les résultats, et que l'autorisation de cette application soit provisoire avec une date butoir pour éviter toute pérennisation d'un système.
Douleurs articulaires...
En France, d'après les résultats d'un sondage IFOP "Les Français et les rhumatismes", 93% des Français déclarent avoir déjà souffert de douleurs articulaires.
Ces dernières ont un fort impact au quotidien. La qualité du sommeil et l'incapacité à pratiquer des activités de loisirs sont les deux principales conséquences.
Il est donc primordial de préserver coûte que coûte le capital articulaire et d'agir dès le plus jeune âge en prévention avec des compléments alimentaires.
Pour ce faire, Diétaroma présente l'unique harpagophytum bio et équitable en ampoule qui contribue à la souplesse des articulations.
Cette plante exprime le meilleur de ses actifs quand elle est cultivée dans son environnement originel, ce qui est justement le cas ici.
Nota : possibilité d'itw, et de reportage
Contact presse :
Christelle Goutarot - christelle.goutarot@therasana.com - 0478864776.
Pour en savoir plus
Site Internet : https://www.dietaroma.fr/
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Christelle Goutarot
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