Nora ANSELL-SALLES

jeudi 2 mai 2019

Gouvernance des données dans les mutuelles

Matinée ADOM
du 29 mai 2019


La prochaine Matinée ADOM, se tiendra, avec son partenaire VALMEN  le mercredi 29 mai, à l'Hôtel de l'Industrie,4 place Saint Germain des Prés -75006 Paris, à partir de 9h30 sur le thème de :

« La gouvernance des données dans les mutuelles ».
 
Au programme :

Bilan des pratiques et difficultés rencontrées par les assureurs santé dans la maîtrise et l'exploitation de leurs données


Analyse des préjudices directs et indirects de la mauvaise maîtrise des données


Pistes et clés de la mise en œuvre des projets de gouvernance des données


 
Inscription obligatoire :
communication@asso-adom.fr

Contact :
Bruno HUSS
Président
Association des Directeurs des Organismes de Mutualitéfrancophone, inter-Livres et inter-Codes
Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris
Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - CS 30555 - 13236 Marseille cedex 2
Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63
www.asso-adom.fr -president@asso-adom.fr
   @AdomMutualite - https://www.linkedin.com/groups/8567164www.viadeo.com/p/002o79d7dzvqcjw -https://www.instagram.com/adom_mutualite/

mercredi 24 avril 2019

Le coup de griffe de Jacques Draussin


Infolettre n° 335
mardi 23 avril 2019Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Homéopathie : beau, beau le placebo
Entre deux conseils distillés - parait-il - au président de la République pour l’aider à régler le problème des gilets jaunes, Xavier Bertrand n’oublie pas qu’il faut aussi savoir faire dans le populaire s’il veut espérer satisfaire son ambition de passer des Hauts-de-France à tout-en-haut-de la-France en 2022.
Comme les sujets honorables pour mettre l’opinion publique de son côté se font rares ces derniers temps, celui qui fut ministre de la Santé sous une présidence pourtant plutôt adepte des remèdes de cheval, a choisi d’entrer dans le glorieux combat pour la défense de l’homéopathie.
Dans une belle envolée, presque lyrique s’il ne s’était agi d’un tweet, Xavier Bertrand a renouvelé son indéfectible soutien aux 5 000 médecins homéopathes, face à 60.000 généralistes allopathes, mais surtout réaffirmé l’attention évidemment sincère qu’il porte à une écrasante majorité de Français, adeptes permanents ou occasionnels de la star des médecines douces.
Qu’importe si les Académies de Médecine et de Pharmacie viennent ensemble de réclamer l’arrêt de leur remboursement [à 30%] par la Sécu, au prétexte futile que ces granules seraient parfaitement inefficaces. Comme souvent en matière de santé, la rigueur scientifique ne pèse pas bien lourd en regard de la rumeur publique.
Pourtant, les mêmes qui affirment en jurant sur Saint-Hippocrate que l’homéopathie n’est guère plus qu’un attrape gogo, reconnaissent quand même que, prescrite avec empathie, elle a au moins la valeur d’un excellent placebo… et les patients sont quasiment unanimes à estimer légitime qu’on leur en prescrive en sus d’un médicament traditionnel.
Si l’argument de l’efficacité thérapeutique ne fonctionne pas, quand est-il alors de l’argument économique qui lui est lié ? Au cœur des dépenses d’assurance maladie, il est autant dilué qu’un granule de Syzyglium ou de Sulfure 15CH car les remboursements homéopathiques ne représentent guère plus de 0,3% des dépenses totales de médicaments. C’est dire si, remboursée ou pas, l’homéopathie n’a guère de poids, ni dans l’amélioration de la Santé publique, ni dans celle de ses comptes…
Jacques DRAUSSIN

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samedi 13 avril 2019

Préparez vos vacances

http://www.datapressepremium.com/rmintranet/consultpj.jsp?f=c&idc=3545932&idr=225371099&ido=231581099&idb=348001099&idpj=1&idl=0&b=DATAM&fic=http://www.datapressepremium.com/rmdiff/2008770/DOSSIER-PLAGE-avril19.pdf

mardi 9 avril 2019

Le coup de griffe de la semaine


Infolettre n° 333
mardi 9 avril 2019Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Sida, prévention au point... mort
Rappelez-vous : la prévention en matière de santé, c’était le sida qui en était devenu le centre. A tel point d’ailleurs que tous les autres thèmes de santé semblaient être des laissés pour compte, privés de parole et de moyens.
C’était il y a 30 ans et l’on cherchait à rendre populaire un objet pourtant considéré par beaucoup comme la triste résurgence d’une vie sexuelle désuète, perdue dans les limbes de l’époque pré soixante-huitarde, le préservatif. La capote qu’on voulait soudain joyeuse, branchée et vivante pour se protéger d’une maladie qui puait la mort, le condom qu’on entendait rendre populaire, d’accès facile et d’usage réflexe.
Les associations houspillaient les Pouvoirs publics, Act-Up-Paris organisait des opérations coup de poing presque chaque semaine, Christophe Dechavanne prononçait son fameux « Sortez couvert », Clémentine Célarié roulait une énorme galoche à un garçon séropositif pour prouver que le VIH ne se transmettait pas par la salive.
Ce week-end, le Sidaction fêtait ses 25 ans dans la morosité. Parce que la récolte financière n’est plus celle qu’il avait suscitée à l’époque mais aussi parce qu’un sondage est venu confirmer ce que tout le monde redoutait. En 2019, 23 % des jeunes de 15-24 ans s’estiment mal informés. Et on comprend pourquoi: 14 % d’entre eux pensent que la pilule du lendemain peut empêcher la transmission du VIH, 19% affirment que le Sida peut être transmis par les baisers... et, ne lésinons pas, par les moustiques.
Grand classique des croyances concernant les infections sexuellement transmissibles, 3,5 % des sondés de la génération Z croient même dur comme fer qu’on peut être contaminé en s’asseyant sur des sièges de toilettes [il est vrai que tout dépend de ce que l’on y fait et avec qui].
6 000 personnes ont encore découvert leur séropositivité en France l’an dernier. Un chiffre qui ne baisse plus depuis plusieurs années. Aujourd’hui, c’est heureux, on ne meurt plus du VIH. Le sida est devenu une maladie chronique et le phénomène est connu des experts en prévention : une maladie qui se chronicise est une maladie qui se banalise. Et toujours pas de vaccin.
Jacques DRAUSSIN

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dimanche 7 avril 2019

Sidaction 2019 : un pur moment de bonheur

https://www.facebook.com/1693205273/posts/10205463435900649/.  Un collègue français adhérent de l'aidf

TeamMut

https://www.facebook.com/1693205273/posts/10205463435900649/.  Un collègue français adhérent de l'aidf

mardi 26 mars 2019

Précarité sociale


En France, les taux de non-recours aux aides sociales dépassent les 40 % sur certaines aides et le manque à gagner représente plusieurs centaines d’euros par foyer. Il existe en effet plus de 200 dispositifs. De la méconnaissance de la loi aux nombreux papiers à envoyer, en passant par certaines procédures complexes, il est très difficile de s’y retrouver. « Depuis 2012, Aide-sociale.fr vise à simplifier les démarches administratives pour permettre au plus grand nombre de faire valoir leurs droits. Notre nouveau simulateur est un outil puissant capable de déterminer, en quelques minutes, toutes les prestations qu’un citoyen peut demander », signale le fondateur Johan Hallef dont le site dépasse régulièrement le million de visiteurs uniques chaque mois.

La plateforme Aide-sociale.fr permet chaque année à des milliers de personnes de découvrir des prestations auxquelles elles avaient droit, mais dont elles ignoraient l’existence.
 
Logement, santé, chômage, transport, famille, éducation, loisir, vacances… tous les domaines sont concernés, quel que soit le profil de l’internaute (demandeurs d’emploi, salariés, retraités, étudiants…)
 
100 % gratuit, il se base sur les critères officiels d'attribution. Depuis quelques jours, ses fonctionnalités et son efficacité ont été étendues. Vous pouvez tester le simulateur en cliquant sur le lien ci-dessous et/ou regarder la vidéo d’explication du simulateur.

Sondage : Quid de la liberté sexuelle des jeunes femmes en 2019


Si le message ne s'affiche pas correctement, cliquez ici

 
 

 

 

Sondage

« Liberté sexuelle des jeunes femmes en 2019 » 

par le laboratoire TERPAN

 

 
Faire de la sexualité des femmes un sujet jouissif, et pas le théâtre d'affrontements. Affirmer leur droit au plaisir, à la jouissance, de toutes les manières possibles et imaginables ??? mais sans injonctions. Affirmer leur légitimité à avoir du désir ou à ne pas en avoir, assumer celui-ci, le revendiquer !
 
Le laboratoire Terpan a voulu connaitre la liberté sexuelle des jeunes filles en 2019 et est parti à la rencontre de plus de 200 jeunes filles entre 12 et 20 ans à travers toute la France. A quel âge ont-elles eu leur 1errapport sexuel ? Ce dernier était-il consenti ? Ont-elles ressenti du plaisir ? Se sont -elles protégées ?
 
Liberté sexuelle des jeunes filles en 2019, un sujet tabou ?
 
Plus de 70% des jeunes filles de 12-20 ans interrogées ont déjà eu un rapport sexuel. Plus de 14% entre 10 et 14 ans ont déjà eu un rapport sexuel, plus de 40% entre 14 et 16 ans. Et 54% de ces jeunes filles à avoir eu un rapport sexuel avant 16 ans n'étaient pas en couple.


« L'adolescence constitue une période clé d'expérimentation et d'apprentissage des interactions sociales entre les individus notamment des sentiments amoureux et des relations sexuelles qu'ils expérimentent de plus en plus jeunes » explique leLaboratoire Terpan. « C'est donc le moment pour les informer, à ce qu'ils comprennent et identifient les risques et s'approprient durablement les notions de prévention, de respect de l'autre et de son propre corps. C'est à cette période que se construisent les représentations liées à la sexualité. Il est important de les aider à acquérir les clés pour effectuer des choix éclairés et adaptés dans les situations qu'ils sont ou seront amenés à vivre. Cette période est d'autant plus essentiel en matière de prévention qu'elle est le plus souvent, pour l'adolescent, nourrie de curiosité et d'une volonté de découvertes ».
Le Laboratoire Terpan a également voulu connaitre les raisons ou motivations de leur première expérience sexuelle. Pour 62% des jeunes filles interrogées, l'envie les a poussé à avoir un 1errapport sexuel, suivi par l'amour pour 42% , la curiosité pour 28%, mais lacontrainte ou la menace pour 7% d'entre elles.
Et elles sont plus de 16% à répondre que leur 1er rapport n'était pas consenti.
Sur la question du plaisir, elles sont plus de 54% à n'avoir ressenti aucun plaisir lors de leur premier rapport, par stress et appréhension pour plus de 40% d'entre elles, par douleur pour plus de 27%, et 22% des jeunes filles affirment que leur partenaire ne pensait qu'à son propre plaisir ou était trop brusque pour 12% des répondantes.


Elles sont plus de 40% à ne pas s'être protégées lors de leur 1errapport.
Les raisons : 54% d'entre elles n'avaient pas de moyens de protection ce jour-là, 29% souhaitaient avoir plus de plaisir, et 10% des interrogées n'avaient simplement pas envie de se proteger. 
Au-delà, elles sont plus de 42% à ne pas avoir utilisé un moyen de contraception.
Les raisons : pas de contraception ce jour-là, ou pas pensé pour 32%. Et plus de 34% répondent qu'elles ou leurs partenaires n'en voulaient tout simplement pas.
24% des interrogées ont eu recours à la contraception d'urgence.
31% des jeunes filles confirment ne pas être informées ou sensibilisées sur les questions des IST/MST et 33% ne pas être informées et sensibilisées sur les moyens de protection et de contraception.
Elles sont d'ailleurs plus de 40% à ne pas avoir été vaccinée contre le papillomavirus humain.
« Les jeunes connaissent la théorie mais ne savent pas la mettre en pratique pour se protéger...Contrairement aux plus de 35 ans, qui ont démarré leur vie sexuelle quand le sida était encore une maladie mortelle, les adolescents d'aujourd'hui appartiennent à la «génération médicament». Et leur regard sur le VIH a changé » explique le Laboratoire Terpan. « Il est plus que primordial de remobiliser les actions de prévention. Mais entre tous les sujets polémiques de ces dernières années : mariage pour tous, polémiques sur le genre ou crispation religieuse, parler de sexualité à l'école semble être plus compliqué aujourd'hui qu'il y a vingt ans ».
 


Depuis leur premier rapport, elles sont plus de 23% à avoir eu au moins 5 partenaires (et elles sont 34% entre 1 à 3 partenaires).
Les idées reçues, les peurs et les fantasmes autour de la sexualité des jeunes sont nombreux. Au carrefour de toutes ces anxiétés se trouve la pornographie, dénoncée comme le danger par excellence pour la jeunesse. Lesondage du laboratoire Terpan révèle que pour 28% des jeunes filles interrogées le rapport sexuel est basé sur l'acte en lui-même en mode porno, 15% sur le plaisir de l'autre.
Plus de 36% d'entre elles confirment que les sites porno influencent leurs rapports sexuels et plus de 37% déclarent avoir rarement voir jamais de plaisir lors de leurs rapports sexuels.


Plus de 53% des jeunes filles sondées affirment que leurs partenaires ne connaissent pas l'anatomie féminine et les points d'orgasme. Elles sont d'ailleurs plus de 30% à ne pas les connaitre non plus.
Un résultat qui fait écho au choix des éditions Magnard de représenter le clitoris pour la 1ère fois dans un manuel scolaire il y a deux à peine. « Si l'on parle si peu du clitoris, c'est parce que les manuels scolaires et les séances d'éducation à la sexualité laissent une trop grande place à l'appareil génital masculin, au détriment du féminin », rappelle lelaboratoire Terpan. « L'éducation à la sexualité joue un rôle essentiel dans la connaissance de son corps et est une occasion d'être informé.e, de connaitre son corps, de faire ses choix... C'est le seul moyen de protection à l'initiative des femmes! »
 
Pour plus de 45% des jeunes filles interrogées, l'évolution de la liberté sexuelle des filles avancent doucement, ou est encore un sujet tabou pour 37% d'entre elles.


En ce qui concerne leur propre sexualité, elles sont plus de 34% à dire qu'il y a encore du travail, 16% à être mal à l'aise et plus de 14% à trouver que leur sexualité n'est pas importante.
A propos du Laboratoire Terpan
Expert de la prévention, Terpan est un laboratoire français présent sur le terrain qui travaille à la fois avec les collectivités et le grand public. Terpan conçoit, fabrique et distribue des préservatifs masculins et est le distributeur exclusif de préservatifs féminins en France. www.terpan.fr

CONTACT PRESSE

 
 

Actualité Afrique

COMMUNIQUE PRESSE -du 22 mars 2019-
DE ASSOA ADOU
Secrétaire général du FPI
https://drive.google.com/file/d/0B-5ybaP8DdwbNFZ4V2dFb1ZYNUFzdkRYMS04eVZOcEZXZlNR/view?usp=drivesdk