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mercredi 10 septembre 2014
MINE D'INFOS: Diabétiques... attention les pieds
MINE D'INFOS: Diabétiques... attention les pieds: Pédicurie-Podologie : FOCUS SUR LE PIED DIABETIQUE Paris, le 10 septembre 2014 - En amont de la Journée Mondiale du Diabète l...
Diabétiques... attention les pieds
Pédicurie-Podologie :
FOCUS SUR LE PIED DIABETIQUE
Paris, le 10 septembre 2014 - En amont de la Journée Mondiale du Diabète le 14 novembre prochain, l’Ordre National des Pédicures-Podologues (ONPP) souhaite mettre en lumière les compétences et l’expertise du pédicure-podologue auprès du patient diabétique.
Les chiffres clés …
Le diabète (de type I ou II) est une maladie chronique et grave due à un trouble de l’assimilation, de l’utilisation et du stockage des sucres apportés par l’alimentation, entraînant une élévation anormale du taux de glucose dans le sang : il s’agit de l’hyperglycémie.
Le diabète est une priorité de santé publique, sous-estimé et parfois ignoré puisqu’il concerne environ 347 millions de personnes1 dans le monde. Selon la Fédération Internationale du Diabète (FID), en 2035, le diabète touchera 592 millions de personnes, devenant ainsi l’une des principales causes d’invalidité et de décès dans le monde. Entre aujourd’hui et 2035, la prévalence du diabète passera de 8,3% à 10,1% de la population mondiale2.
En France, 3,5 millions3 de personnes seraient atteintes par le diabète. (Estimation de 2009)
Parmi les nombreuses complications du diabète (insuffisance rénale, infarctus, accident vasculaire cérébral, rétinopathie, etc.), le pied n’est pas épargné. Les complications podologiques sont fréquentes chez le diabétique ; des lésions graves pouvant même, dans les cas les plus sévères, conduire à des amputations.
En cause : l’hyperglycémie répétée, prolongée et le déséquilibre du diabète qui endommagent les vaisseaux sanguins et les nerfs, tout particulièrement ceux des membres inférieurs. Notons que le diabète est la première cause d’amputation d’origine non accidentelle. Dans le monde, une amputation des membres inférieurs est réalisée toutes les 30 secondes chez un patient diabétique4.
L’intérêt de la prise en charge des pieds des personnes diabétiques…
La prise en charge du pied du patient diabétique par le pédicure-podologue s’inscrit dans une prise en charge médicale globale et pluridisciplinaire (médecin généraliste, diabétologue, infirmier, pédicure-podologue, dermatologue, infectiologue).
Elle comporte l’examen du pied et la gradation du risque podologique, les soins de pédicurie-podologie, l’éducation du patient, l’évaluation du chaussage et la mise en place d’un traitement orthétique (semelles) et d’un chaussage adapté, si nécessaire.
Deux types de troubles peuvent survenir et avoir des conséquences graves pour le pied de la personne diabétique. Ils sont d’ordre :
neuropathiques : les nerfs sont atteints, particulièrement ceux au niveau des membres inférieurs (pieds et )
artériopathiques : les vaisseaux sanguins qui apportent de l’oxygène à l’ensemble du corps humain voient leur diamètre diminuer.
MINE D'INFOS: Future loi de santé : pour LECISS le compte n’y es...
MINE D'INFOS: Future loi de santé : pour LECISS le compte n’y es...: Future loi de santé : le compte n’y est pas ! La préparation d’une loi de santé suscite toujours de très fortes attentes et pa...
Future loi de santé : pour LECISS le compte n’y est pas...
Future
loi de santé : le compte n’y est pas !
La
préparation d’une loi de santé suscite toujours de très fortes attentes et par
conséquent des risques de frustration. La nouvelle édition confirme,
malheureusement, que malgré de bonnes intentions, la déception soit le sentiment
le plus éprouvé par les représentants des usagers. Nous attendions que le projet
de loi soit une occasion de faire en sorte que chacun puisse se réapproprier sa
santé, d’une part, et que les décisions publiques en santé résultent de
processus mieux concertés, d’autre part.
D’incontestables
avancées
C’est
ainsi qu’il faut apprécier la généralisation du tiers payant pour tous et pour
toutes les consultations médicales et la création d’un observatoire des refus de
soins
L’information
du patient se renforce : tant sur le prix payé que sur la santé et les services
disponibles, avec notamment la création d’un service public de l’information en
santé.
L’échange
de lettres de liaison entre professionnels et la reconnaissance des pratiques
avancées devraient améliorer la coordination des prises en charge qui demandent
la coopération d’un nombre de plus en plus important de
disciplines.
Enfin,
la reconnaissance de l’action de groupe élargit les outils à la disposition des
victimes pour faire valoir leurs droits.
Des
choix surprenants et des mesures inabouties
Si le
projet de loi exige que désormais la santé publique agisse selon les principes
de la promotion de la santé, on voit mal l’outil qui accompagne cette révolution
pour en faire autre chose qu’un vœu.
La
mesure tant attendue sur l’accompagnement des personnes malades dans leur
parcours de santé donne lieu à une rédaction totalement « médicalisée », sans
garantie pour les acteurs associatifs qui voudraient s’impliquer davantage sur
ce type d’actions.
La
médiation en santé est absente du texte. Quant au nouveau dossier médical
partagé, il n’est plus partagé avec le patient qui pourra seulement y accéder
sur demande écrite.
Des
carences cruelles
Alors
que la démocratie sanitaire est selon l’expression même de la ministre des
Affaires sociales et de la Santé, le « troisième pilier » de la stratégie
nationale de santé, il n’y a aucun progrès pour plus d’autonomie des instances
de concertation, rien sur le statut du représentant des
usagers.
La
présence de représentants des usagers dans les principaux lieux de décision,
notamment économique, en matière de sécurité du médicament et de qualité de la
prise en charge n’est toujours pas à l’ordre du jour, comme si la succession des
scandales sanitaires ne nous avait rien appris. L’élaboration de la stratégie
nationale de santé n’est entourée d’aucune garantie de participation des acteurs
de la société civile : comme si aucune leçon de l’expérience récente n’était
tirée.
Incontestablement
ce projet de loi de santé comporte des avancées pour l’information et l’accès
aux soins de tous ainsi que pour la coordination des soins. Mais franchement,
c’est une vraie panne démocratique. Comme si la politique de santé continuait à
se décider et à se pratiquer d’en haut, sans les principaux concernés.
ADMD -
AFD - AFH - AFM - AFPric - AFVS - AIDES - Alliance du Cœur - Alliance Maladies
Rares - ANDAR - APF -
Autisme France
AVIAM
- Epilepsie France - Familles Rurales - FFAAIR - FNAIR - FNAPSY - FNAR - FNATH -
France Alzheimer
France
Parkinson - FSF - Générations Mouvement - La CSF - Le LIEN - Ligue Contre le
Cancer - Médecins du Monde - Renaloo
SOS
Hépatites - Transhépate - UAFLMV - UNAF - UNAFAM - UNAFTC - UNAPEI - UNISEP -
UNRPA - Vaincre la Mucoviscidose - VMEH
#UNAPEI lance l'#opération #brioches2014
Opération
Brioches
2014 :
Du
6 au 12 octobre 2014 :
L'abus
de brioche est
fortement recommandé pour la solidarité !
Du
6 au 12 octobre, les
associations de l'Unapei
vendent
leurs
célèbres
brioches
au
profit des personnes handicapées mentales.
Présente
dans plus de 300 communes de France, L'Opération Brioches est un événement
fédérateur impliquant plus de 70 000
bénévoles et le public qui par son don signe son engagement citoyen. Ce sont
800 000
brioches vendues,
près
de 4
millions d'euros récoltés chaque année
grâce
à des donateurs occasionnels.
Anne-Lise Charamel, bénévole pour
l'Adapei de la Drôme organise depuis 13 ans l'Opération Brioches dans
tout le département.
Elle témoigne de son
attachement à cette action de proximité.
Lors de son arrivée à la retraite, Madame Charamel a
souhaité s'engager,
« faire du
bénévolat » comme
elle dit. Un ami lui a présenté l'Adapei de la Drôme à laquelle il
adhérait.
Madame
Charamel ne
connaissait pas
le handicap et en
avait même peur. Aujourd'hui, elle ne peut envisager sa vie sans les personnes
handicapées.
« J'avais peur.
Je ne voulais pas voir de personnes handicapées. Dès le lendemain de mon
adhésion j'étais dans un foyer de vie. Ça a été dur. Mais maintenant je ne peux
plus vivre sans eux. »
Madame Charamel consacre une
centaine d'heure chaque année à l'Opération Brioches.
« Depuis 2001,
je m'occupe de l'achat des
brioches jusqu'à la livraison, de la
coordination
des points de vente, de toute
l'organisation
logistique et administrative. On est plus de
1000 bénévoles sur le département de la Drôme
et on vend
près de 24 000 brioches
chaque année ! Grâce à nous,
le quotidien des personnes handicapées est amélioré. On a pu construire des
places pour les personnes handicapées à la retraite, on a construit
une cellule de
balnéothérapie, on fait des
travaux dans les établissements. Même s'il faut gérer des problèmes, on est
content du résultat. On est utile c'est sûr !»
Plus qu'une
simple vente, l'Opération Brioches est une rencontre, un partage entre le
public, les personnes handicapées mentales et les bénévoles. « Ce que j'aime
le plus c'est la convivialité ! Je suis
toujours, même au bout de 13 ans, étonnée de la bienveillance du public, qui
achète pour la cause. Je ne suis même pas sûre qu'il mange la
brioche ! Et il faut
dire que les jeunes
vendeurs
handicapés ont bien plus
de succès que nous » explique
Anne-Lise Charamel.
Chaque année,
l'Unapei et ses 550 associations
appellent à la générosité des français en vendant des brioches sur la voix
publique au profit des personnes handicapées mentales.
Plus
d'informations sur :
www.operationbrioches.org
L'Opération
Brioches est soutenue par l'Appel Médical,
le Crédit coopératif, JBM, BEL et Société
Générale.
À
propos de l'Unapei
Union nationale
des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs
amis :
Créé en 1960, l'Unapei est le
premier mouvement associatif français œuvrant pour la représentation et la
défense des intérêts des personnes handicapées mentales. Les associations
affiliées à l'Unapei agissent pour répondre aux besoins et aux attentes des
personnes handicapées mentales, favoriser leur insertion et leur permettre de
vivre dignement avec et parmi les autres.
L'Unapei est un mouvement national
qui fédère 550 associations présentes au niveau
local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide, Envol...), départemental (Adapei,
Udapei, Association tutélaire) et régional (Urapei).
L'Unapei en chiffres :
· 180 000 personnes handicapées
accueillies
· 60 000 familles adhérentes des
associations affiliées
· 3 100 établissements et services
spécialisés
· 80 000 professionnels employés dans
les associations et les établissements
Plus d'informations
sur : www.unapei.org
MINE D'INFOS: BOEHRINGER INGELHEIM LANCE LA F.A BOX
MINE D'INFOS: BOEHRINGER INGELHEIM LANCE LA F.A BOX: Il y a 1,5 Millions de patients sous anticoagulants en France (Source ANSM). Les anticoagulants (NACO) permettent notamment de pré...
BOEHRINGER INGELHEIM LANCE LA F.A BOX
Il y a 1,5 Millions de patients sous anticoagulants en France (Source ANSM).
Les anticoagulants (NACO) permettent notamment de prévenir les risques d’AVC chez les personnes atteintes du trouble cardiaque le plus fréquent, la fibrillation atriale (F.A)
750 000 personnes en France sont atteintes de F.A.
Afin d’aider les patients dans le suivi de leurs traitements : BOEHRINGER INGELHEIM LANCE LA F.A BOX : LE JEU DE L’OIE SUR LA FIBRILLATION ATRIALE ET L’ANTICOAGULATION ORALE !
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CONNAISSANCE = MEILLEURE OBSERVANCE = MEILLEURE REACTIVITÉ
MINE D'INFOS: 1ère plateforme personnalisée sur la santé du cœur...
MINE D'INFOS: 1ère plateforme personnalisée sur la santé du cœur...: De plus en plus connectés sur les smartphones et les tablettes, les Français s’informent régulièrement via Internet sur des question...
1ère plateforme personnalisée sur la santé du cœur
Pour apporter une
information fiable et des réponses précises aux internautes, la Fédération
Française de Cardiologie ouvre la 1ère plateforme d’accompagnement
santé « Ma Fédécardio ».
Cette « Maison du cœur digitale » est le
nouveau portail documenté et sourcé, la référence dans le domaine de la
prévention cardiaque.
v
Plus
qu’un site, cette plateforme personnalisée, en accès gracieux est également un
véritable programme de conseil et de coaching cardio sur diverses
thématiques.
©
Des
contenus adaptés sur mesure.
L’internaute qui
souhaite ouvrir son compte personnalisé doit simplement se créer un profil avec
un login (identifiant) et un mot de passe et répondre à quelques questions
(informations qui restent confidentielles (CNIL)).
A chaque connexion,
le visiteur pourra recevoir des conseils sur des thèmes aussi variés
que l’alimentation, le stress, le sommeil, le tabac, l’activité physique… et
recevra des actualités mises à jour par l’équipe de la FFC en charge de la
rédaction des billets.
©
Du
sur-mesure…
L’internaute
peut, dès lors qu’il a créé son profil, décider de suivre toutes les
actualités mais il peut aussi
sélectionner celles de son choix.
Il
est alors invité à définir le degré d’importance qu’il leur accorde, l’objectif
assigné, le type de contenu désiré. Il peut choisir s’il veut recevoir les
informations par email, par sms, sur son application mobile…
©
Des
actualités mises à jour
Sur ce portail,
l’internaute pourra se tenir au
courant de toutes les
actualités postées sur Internet concernant la santé cardiaque (les nouveaux
traitements, les risques de l’apnée du sommeil, les aliments bons pour le cœur,
les activités physiques à privilégier…)
©
Un
test en ligne « J’aime mon cœur »
Via un onglet sur la plateforme, le
test élaboré par des cardiologues bénévoles de la FFC, « Jʼaime mon cœur » est un
questionnaire en ligne qui permet au grand public de faire le point sur son
alimentation ou encore sur l'influence du stress au travail...
Cet outil de prévention permet ainsi
à l'internaute, en 3 minutes et avec une quinzaine de questions, de
s'auto-évaluer et de tester son risque cardiaque.
Une fois le questionnaire terminé,
l'internaute a la possibilité de s'inscrire à un programme de coaching et de
recevoir des conseils personnalisés de cardiologues pour mieux prendre soin de
son cœur au quotidien.
Mis en place depuis 2012, "J'aime
mon cœur" a déjà permis à plus de 250
000 personnes de s'auto- évaluer
et à plus de 60 000 de suivre le
programme de coaching.
CONTACTS
PRESSE :
Fédération
Française de Cardiologie
Agence PrPa
Isabelle
Hoareau
Isabelle Closet
L’accueil en crèche en France : quels enfants y ont accès ?
Les
Français plébiscitent la crèche, mais seuls 16 % des enfants non encore scolarisés
y étaient accueillis en 2011. Indépendamment de l’offre insuffisante, certains
enfants, notamment ceux de famille modeste, ont-ils plus de chance d’y avoir
accès que d’autres ? Analysant l’enquête Famille et Logements de
2011, Nathalie Le Bouteillec, Lamia Kandil et Anne Solaz examinent quels sont
les enfants qui bénéficient de ce mode de garde.
Dans un contexte d’offre limitée, la crèche n’est pas accessible de la même manière à tous les enfants. Les enfants nés en début d’année ont plus de chance d’être accueillis en crèche que ceux nés à l’automne. En revanche il n’y a pas de différences entre filles et garçons ni entre enfants biologiques et enfants adoptés. Les jumeaux et les triplés sont plus fréquemment en crèche que les enfants issus de naissance simple. Les enfants qui sont les troisièmes de leur famille sont aussi plus fréquemment accueillis que les premiers ou les deuxièmes, signe d’une volonté d’aider les mères de familles nombreuses à conserver leur activité professionnelle. Les enfants dont la mère est au chômage y sont aussi surreprésentés. Mais ceux de familles monoparentales ne semblent pas bénéficier d’un accès privilégié malgré une politique visant à favoriser l’accueil en crèche des enfants de parents en difficulté.
Population
& Sociétés n° 514, septembre 2014, intitulé
"L’accueil en crèche en France : quels enfants y ont accès ?".
Auteures
: Nathalie LE BOUTEILLEC, Lamia KANDIL et Anne SOLAZ
Contacts
chercheures :
Contacts presse : service-presse@ined.fr
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