Nora ANSELL-SALLES

mercredi 6 novembre 2013

92% des Français se soignent sans les conseils d'un médecin


Sondage 1001Pharmacies : quel est le premier reflex quand vous êtes malade ?

 


N°1 : les médicaments à disposition

N°2 : les médicaments sans ordonnance

N°3 : l'attente du rétablissement

N°4 : le rendez-vous médical

N°5 : les produits naturels

 

"Les Français n'ont-ils plus confiance en leur Docteur ? Alors que nous savons pertinemment qu'il peut-être très dangereux pour la santé de se soigner sans l'avis préalable d'un médecin, il semble que les Français prennent tous les risques en se fiant à leur propre jugement et consomment des médicaments non utilisés, sans ordonnance ou attendent leur rétablissement avec des recettes de grand-mère."

Cédric O'Neill, Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies. 

  

1001Pharmacies.com, premier portail de vente en ligne de produits de santé, dévoile les résultats d'un sondage réalisé sur Internet auprès d'un panel de 20 000 consommateurs français (membres inscrits sur la plateforme 1001Pharmacies) et sur plus de 2 900 internautes sur Facebook.


 

Médicaments non consommés, sans ordonnance, produits naturels ou simple attente de rétablissement, les Français pratiquent à 92% l'automédication.

Avec plus de 60% de réponses, il est clair que les Français sont adeptes du recyclage de médicaments. Pour gagner du temps ou de l'argent, les malades préfèrent ouvrir leurs boites à pharmacie personnelles et piocher dans les médicaments à leur disposition, faisant fi de tout avis ou contre-indication médicale.

 

N°1 Je me soigne avec les médicaments à ma disposition 60%

N°2 Je me soigne avec des médicaments accessibles sans ordonnance 20%

N°3 J'attends que ça passe 8%

N°4 J'appelle mon Docteur  8%

N°5 Je me soigne avec des produits naturels  4%

 

Docteur Google

En amont de cette prise de décision, la recherche sur Internet semble être en pleine augmentation. Les Français recherchent ainsi activement des réponses ou des avis sur leurs symptômes afin d'établir eux-mêmes un diagnostique.

 

 

1001Pharmacies en 3 chiffres :

150.000 visiteurs uniques chaque mois.

12 000 produits référencés

Un réseau national de 185 pharmacies

 

 

A propos de 1001Pharmacies

1001pharmacies.com est développée par la société eNova Santé SAS dont le siège social est basé à Lunel(34). Co-fondée en septembre 2012 après 2 ans d'étude et de développement par Cédric O'Neill, Pharmacien et Spécialiste Web , et Sabine Safi , Spécialiste en Marketing sur internet, 1001pharmacies.com est la première plateforme web permettant aux pharmacies de vendre leurs produits de parapharmacie sur internet. 1001pharmacies a obtenu dès son lancement le soutien de la Région Languedoc-Roussillon ainsi que de l'Union Européenne et est accompagnée dans son développement par Via Innova (34).

Pour en savoir plus : www.1001pharmacies.com
 

NDLR : MGEFI et MEDICAMENTS

Médicaments : une base de données en ligne pour mieux vous informer                     
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    MINE D'INFOS: TWITTER : Connaissez-vous les usages et pratiques...

    MINE D'INFOS: TWITTER : Connaissez-vous les usages et pratiques...: Usages et pratiques de Twitter en France: Focus sur les Twittos actifs     Culture RP | 6 novembre 2013 09:03 | URL : http://cu...

    TWITTER : Connaissez-vous les usages et pratiques ?



     

     


     

    Le Pôle AURA MUNDI – veille et analyse des médias en ligne – de l’Argus de la presse présente les résultats du deuxième volet de son enquête sur les usages et les pratiques de Twitter en France, consacré aux personnes ayant un compte Twitter et l’utilisant actuellement.

    Retrouver l’infographie de l’étude ici

     

    L’USAGE DE TWITTER EN FRANCE

    Le 1er volet de l’enquête (publié en avril dernier) montrait qu’aujourd’hui, 5% des Français détiennent un compte Twitter et l’utilisent actuellement. Si Twitter est devenu un outil incontournable, peu de Français utilisent donc réellement cet outil au quotidien.

    Ce 2e volet de l’enquête s’intéresse plus particulièrement à ces 5% de Twittos actifs : Ipsos a ainsi réalisé pour le pôle Aura Mundi de l’Argus de la presse une enquête auprès de 500 personnes ayant un compte Twitter et l’utilisant actuellement, afin de comprendre de manière détaillée qui ils sont et comment ils utilisent Twitter.

    « Twitter fait partie du Paysage de la communication en France, et la mesure précise des usages de ce nouvel outil, des attentes et motivations de ses utilisateurs reste encore rare.
    Cette étude nous apprend comment le réseau social établit de nouvelles relations entre l’information et les publics. Nous sommes ravis de faire progresser la connaissance du secteur avec ces résultats chiffrés. Ils donnent à réfléchir et confirment que la surveillance et l’analyse de ces avis doit trouver sa place aux côtés de l’ensemble des médias. Une démarche devenue nécessaire pour garder le contrôle de sa réputation et inspirer de nouvelles communications », précise Arnaud Steinkuhler, Directeur du pôle AURA MUNDI.


     

    MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?

    MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?: Open data en santé : l’organisation d'un débat public aura-t-il lieu ? La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (...

    MINE D'INFOS: Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement d...

    MINE D'INFOS: Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement d...: Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimen...

    MINE D'INFOS: Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement d...

    MINE D'INFOS: Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement d...: Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimen...

    Les vétérinaires s'engagent avec le gouvernement dans la lutte contre l'antibiorésistance


    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Stephane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, ont reçu ce jour les représentants du Conseil supérieur de l’ordre des vétérinaires et les organisations syndicales vétérinaires.

    Cette réunion a permis de poser les bases d'un engagement de la profession vétérinaire pour réduire le recours aux antibiotiques critiques, dont la maîtrise est impérative pour la santé humaine, en médecine vétérinaire.

    Le plan Écoantibio a d'ores et déjà permis de réduire le recours aux antibiotiques de 40% en 5 ans en médecine vétérinaire. Cependant, les efforts doivent être poursuivis pour les antibiotiques critiques, dont la consommation a fortement augmenté dans certaines filières.

    Il est convenu que la mesure sur le découplage initialement envisagée sera utilement remplacée par plusieurs dispositions qui seront introduites dans le projet de loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt : inscription dans la loi d'un objectif chiffré de réduction de la consommation d'antibiotiques critiques, mise en place de vétérinaires référents, encadrement renforcé des prescriptions par des recommandations de bonne pratique, élaborées sous l'égide de l'ANSES.

    Un groupe de travail associant les vétérinaires, le ministère des Affaires sociales et de la Santé, et le ministère de l'Agriculture, se réunira pour étudier les modalités de mise en œuvre des engagements de la profession et notamment des dispositions qui seront insérées dans le projet de loi.

    MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?

    MINE D'INFOS: Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?: Open data en santé : l’organisation d'un débat public aura-t-il lieu ? La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (...

    Connaisssez-vous la Newsletter Annuaire Sécu ?

    Open data en santé : l’organisation d'un débat public aura-t-il lieu ?
    La Mutualité française rappelle son engagement de longue date (2003) en faveur de l'ouverture des données de santé, notamment celles du SNIIRAM. "Dans l'intérêt des patients et de la collectivité dans son ensemble, la Mutualité considère que le partage et l'exploitation de ces données sont essentiels pour disposer d'outils capables de mieux prévenir les crises sanitaires, d'améliorer la qualité des soins et de réguler les dépenses" affirme-t-elle.
    En revanche, l'organisme prend ses distances avec la proposition du rapport de Pierre-Louis Bras d'une gouvernance par le ministère de la Santé, s'appuyant sur un haut conseil des données de santé et la remise en cause parallèle du rôle de l'Institut des données de santé (IDS). "Plutôt que la création d'une nouvelle instance de gouvernance dont les contours restent à définir, la Mutualité française préconise une évolution de l'IDS préservant son indépendance et son ouverture à toutes les parties prenantes aux côtés des pouvoirs publics". La Mutualité française réaffirme enfin son souhait de participer au futur débat national sur les données de santé.
    De son côté, le CISS souligne un "surprenant paradoxe". D'un côté, l'accès aux données des patients par des sociétés privées intervenant pour le compte des hôpitaux publics afin d'optimiser le codage des activités des établissements (récente polémique autour du secret médical) se fait sans grande émotion du côté des responsables publics et de l'autorité de régulation. Ce que le représentant des patients qualifie de "pétaudière". Et de l'autre côté, "quand il s'agit de données anonymes, nous assistons à un « déploiement d'inertie » sans mesure pour interdire leur accès à tous ceux qui pourraient y trouver de l'intérêt pour la collectivité". L'organisation d'un débat public sur l'ouverture des données de santé, annoncée à plusieurs reprises par le Premier ministre, est régulièrement repoussée. "Ce débat semblait en vue pour octobre 2013 avant que le mois ne s'écoule … sans débat", s'impatiente le CISS.
    La Mutualité Française est favorable à l'ouverture des données de santé et demande à êtreassociée aux travaux sur ce sujetOpen data en santé : pas de débat, pas de chocolat ! - communiqué presse CISS 31 octobre 2013Importante fuite de données pour une cinquantaine d'hôpitaux équipés d'un logiciel de gestion des urgences - dépêche APM
    Le projet de loi visant à "simplifier les relations entre l'administration et les citoyens" adopté par le Parlement
    Le projet de loi a été définitivement adopté après un dernier vote de l'Assemblée le 31 octobre. La principale disposition du texte prévoit que "le silence gardé pendant deux mois par l'autorité administrative sur une demande vaut décision d'acceptation", et non plus rejet. Une ordonnance fixera les procédures concernées et celles qui ne le seront pas.
    Le texte habilite en outre le gouvernement à prendre par ordonnance certaines mesures de simplification administrative, notamment la mise en place d'un droit de saisine de l'administration par courrier électronique, qui pourra avoir valeur de lettre recommandée (même lorsqu'un texte exige le recours à une lettre recommandée). Il est également prévu que l'administration puisse contacter les usagers par lettre recommandée électronique dès lors que ces usagers en auront accepté le principe. A l'initiative du gouvernement, un nouvel article a été introduit pour que puissent être prises par voie d'ordonnance les dispositions permettant l'application du principe "Dites-le nous une fois". Il s'agit de systématiser les échanges d'informations entre administrations afin d'éviter que les mêmes informations ne soient demandées plusieurs fois aux citoyens et aux entreprises. La CNIL devra donner son avis sur les données qui pourront être échangées entre administrations.
    Le dossier législatif du site de l'Assemblée nationale

    Le blog personnel du directeur de la CNAF
    Ouvert quand il était encore directeur de l'ARS, ce blog propose ses points de vue, ses coups de cœur, ses engagements. A signaler un billet du nouveau patron de la CNAF sur sa prise de fonction en réaction à un article du Canard enchaîné qu'il n'a visiblement pas apprécié. Découvert par la page Facebook "Ce qu'Internet dit de la Sécu"
    Le blog
    La vidéo de la semaine
    La MECSS de l'Assemblée nationale poursuit ses auditions dans le cadre du financement de la branche Famille
    Le 24 octobre 2013, elle recevait Mireille Elbaum, présidente du Haut Conseil du financement de la protection sociale, François Fondard, président de l'Union nationale des associations familiales et enfin Thomas Fatome, le directeur de la sécurité sociale. La vidéo des auditions (1 h 04)
    Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 575 du 27 octobre 2013 :
    Préparation interne au 54e concours d'entrée à l'EN3S - Liste des candidats admis
    Papy flingueur chez les retraités de Marseille - Le Canard enchainé du 23 octobre 2013 sur le site du Snfocos-caf13
    La dynamisation des carrières des agents de direction. Journée d'information du 15 novembre 2013 (Ucanss)
    Centralisation +++ C'est le sens profond du nouveau décret sur le contrôle interne à la Sécu. Le dernier papier de Frédéric Buffin
    Compte rendu de la RPN ADD du 18 octobre 2013 - SNADEOS CFTC
    RMPP : courrier au Président du COMEX - SNADEOS CFTC
    Sources : Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le
    Un grand bravo : La newsletter Annuaire Sécu de Gérard Bieth désormais payante depuis le numéro du 20 octobre 2013 rencontre un vif succès Les demandes de devis continuent d'affluer Les conditions d'abonnement

     
     

    La HAS ne reconnaît pas d'utilité au dosage de vitamine D* en routine

    Le traitement par vitamine D est nécessaire dans certaines situations cliniques, pour autant dans la plupart des cas, doser cette vitamine dans le sang n'apporte pas de renseignements utiles pour les professionnels de santé. On assiste toutefois à une augmentation du nombre de dosage sanguins de la vitamine D. Dans ce contexte, la Haute Autorité de Santé (HAS) publie aujourd'hui un état des lieux de l'utilité établie du dosage sanguin de la vitamine D dans la prise en charge des patients.

     

    La HAS a évalué l'utilité de réaliser un examen biologique recherchant la quantité de vitamine D (25 OHD) dans le sang dans différentes situations cliniques pour prévenir, suivre ou traiter des pathologies éventuellement associées. La HAS précise que ce travail n'a pas porté sur l'intérêt d'un traitement par vitamine D, ni sur les doses à utiliser.

     

    Doser la vitamine D ne présente aucune utilité démontrée dans un grand nombre de situations cliniques

     

    Les situations cliniques analysées par la HAS et pour lesquelles elle conclut à une absence d'utilité du dosage sanguin en vitamine D sont les suivantes :

    mortalité, chute, performance fonctionnelle, cancer colorectal, cancer du sein, cancer de la prostate, hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires, allergie, maladies auto-immunes, diabète de type II, maladie rénale chronique, grossesse, maladies infectieuses, performances cognitives, profil lipidique, mucoviscidose. Les données recueillies lors de cette évaluation fondée sur l'analyse de la littérature et la position des experts d'un groupe de travail ne permettent pas de déterminer une utilité clinique du dosage de vitamine D.

     

    Concernant les personnes à risque de fracture, la HAS relève une étude suggérant un intérêt du dosage de la vitamine D chez les personnes âgées, mais encore trop peu étayée pour que la HAS puisse recommander le dosage systématique dans cette situation.

     

    Un dosage à réserver à ce jour à des indications limitées

     

    La HAS recommande de réserver le dosage sanguin de vitamine D au diagnostic de rachitisme et d'ostéomalacie, aux mentions des AMM** des médicaments de l'ostéoporose et à certaines situations particulières : personnes âgées faisant des chutes répétées, suivi ambulatoire de l'adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation, traitement chirurgical de l'obésité chez l'adulte.

     

    La nécessité de mener des études, particulièrement dans le cas des personnes à risque de fracture

     

    La HAS recommande donc la réalisation d'études de qualité sur l'utilité du dosage, dans toutes les situations pour lesquelles les données disponibles sont aujourd'hui insuffisantes pour en apporter la preuve. Dans le cas des personnes à risque de fracture, la HAS recommande des études visant notamment à confirmer l'existence d'une valeur seuil utile à la décision thérapeutique.

     

    Consultez les documents en cliqu ant ici