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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
jeudi 4 octobre 2012
MINE D'INFOS: Projets de loi de finances (PLF) et de financement...
MINE D'INFOS: Projets de loi de finances (PLF) et de financement...: Budget handicap 2013 : L'étau se desserre légèrement mais les difficultés persistent en particulier pour les ESAT [1] ...
MINE D'INFOS: « Psoriasis : entrez en contact » Tournée national...
MINE D'INFOS: « Psoriasis : entrez en contact » Tournée national...: Plus de 2 millions de français [1] sont touchés par le psoriasis, maladie chronique de la peau. Bien que le psoriasis ne soit pas cont...
« Psoriasis : entrez en contact » Tournée nationale d’information du 6 au 13 octobre 2012
Plus de 2 millions
de français[1] sont touchés par
le psoriasis, maladie chronique de la peau. Bien que le psoriasis ne soit pas
contagieux, près de 83% des malades cachent leur maladie[2] et 26% déclarent avoir connu au moins un épisode
durant lequel les personnes de leur
entourage avaient fait un effort conscient pour ne pas les toucher[3].
Plaques rouges, démangeaisons, lésions…
le psoriasis génère un véritable handicap social chez les personnes qui en sont
atteintes car il ne peut être dissimulé ; cette pathologie peut alors engendrer
des difficultés relationnelles et professionnelles. « L’autre, celui qui est
différent, nous menace très souvent et nous fait peur, induisant fréquemment un
mouvement de rejet, de mise à l’écart, de stigmatisation » relate le
Docteur Sylvie Consoli, dermatologue et psychanalyste à Paris.
Entre idées reçues et barrières psychologiques, de nombreux progrès
restent à faire pour améliorer la perception de cette maladie auprès du grand
public et éviter toute stigmatisation des malades atteints de psoriasis.
C’est dans ce but que l’Association Pour La Lutte Contre
Le Psoriasis (APLCP), avec le soutien de LEO Pharma, lance du 6 au 13 octobre
dans 4 villes de France - Paris, Bordeaux, Toulouse et Marseille - une tournée
nationale d’information baptisée « Psoriasis : entrez en contact ». Conseils
gratuits de professionnels de santé, happenings artistiques autour du toucher,
rencontres entre patients…, autant d’occasions de comprendre et d’accepter le
psoriasis, pour mieux vivre ensemble.
Une première inédite destinée à
sensibiliser la population et à changer le regard qu’elle porte encore sur le
psoriasis !
Projets de loi de finances (PLF) et de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2013
Budget handicap 2013 :
L'étau se desserre légèrement
mais les difficultés persistent en particulier pour les ESAT [1]
Bien que le budget handicap 2013
connaisse une progression, l'Unapei s'inquiète du devenir des ESAT qui voient
leur mission menacée pour des questions budgétaires.
Le budget
handicap 2013 prévoit une légère progression qui ne résoudra pas les
difficultés
Dans le
PLFSS 2013 présenté par le gouvernement, l'ONDAM médico-social personnes
handicapées progresse de 3,3%, ce qui est supérieur à 2012 (2,1%). Cela
permettra certes de poursuivre la création de 3000 places mais ne permettra pas de couvrir intégralement
l'inflation prévue (1,8%). En effet,
l'augmentation des moyens affectés au financement des établissements est
portée à 1,45%. Les établissements du
secteur devront toujours ainsi faire face à des difficultés financières qui
mettent en péril la qualité de l'accompagnement des personnes handicapées.
Difficultés financières qui ne leur permettent pas de remplacer les personnels
ou de recruter des professionnels qualifiés et expérimentés ou les contraignent
à réduire les transports des enfants faisant ainsi reposer la charge sur les
familles. L'Unapei estime à 4% l'augmentation nécessaire de l'ONDAM « personnes handicapées » pour maintenir la qualité de la prise en
charge tout en permettant le financement des places nouvelles.
Dans le
PLF 2013, aucun crédit n'est alloué à la création de places en ESAT. C'est un
coup d'arrêt brutal au plan de création de places en ESAT. Une revalorisation
de 1% sur la masse salariale a été reconduite mais aucune revalorisation n'est
prévue sur les autres charges des ESAT et le plan d'aide à l'investissement déjà
notoirement insuffisant est ramené à 2,5 millions d'euros pour 1400 ESAT (4
millions en 2012). Autant de
mesures qui viennent assener un coup violent aux ESAT qui subissent déjà une
tension budgétaire atroce, notamment due à l'instauration de tarifs plafonds et
à la convergence tarifaire.
Les conséquences
sont désastreuses. Les personnes handicapées risquent bientôt d'être sélectionnées
à l'entrée des ESAT en fonction de leur rentabilité et d'être soumises, dans
leur processus de travail, à une pression croissante, au détriment de la qualité
de leur accompagnement.
L'Unapei
rappelle la nécessité absolue et le caractère urgent de mettre fin aux tarifs
plafonds et à la convergence tarifaire. L'Unapei demande également et comme
chaque année depuis 6 ans que l'inflation soit prise en compte. En 6 ans les moyens
alloués aux ESAT, en euros constants, ont diminué de près de 80 millions
d'euros, soit une perte de 5,5% de moyens.
À propos de l'Unapei
Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées
mentales et de leurs amis :
Créé en 1960, l'Unapei est le premier mouvement associatif
français œuvrant pour la représentation et la défense des intérêts des
personnes handicapées mentales. Les associations affiliées à l'Unapei agissent
pour répondre aux besoins et aux attentes des personnes handicapées mentales,
favoriser leur insertion et leur permettre de vivre dignement avec et parmi les
autres.
L'Unapei est un mouvement national qui fédère 600
associations présentes au niveau local (Apei, Papillons Blancs, Chrysalide,
Envol...), départemental (Adapei, Udapei, Association tutélaire) et régional
(Urapei).
L'Unapei en chiffres :
· 180 000 personnes handicapées accueillies
· 60 000 familles adhérentes des associations affiliées
· 3 000 établissements et services spécialisés
· 75 000 professionnels employés dans les associations et les
établissements
La précarité chez les travailleurs non salariés : l’éclairage de l’Observatoire Alptis de la protection sociale
Longtemps, le fait
d’exercer une activité indépendante a été un choix de vie et l’ouverture vers
une carrière prestigieuse. Depuis les années 2000, c’est souvent la nécessité
de créer son emploi qui fait loi. Dans ce mouvement, la précarité inhérente à l’indépendance
du travail non salarié se transforme parfois en pauvreté, notamment pour les
auto-entrepreneurs. D’une manière générale, les non-salariés sont touchés par
un taux important de pauvreté monétaire (niveau de vie inférieur à 954 €
mensuels). Dans ce contexte, l’Observatoire Alptis de la protection sociale a
initié une étude sur le thème « La précarité chez les travailleurs non salariés
: quelles réalités ? ». Les résultats qui viennent de paraître permettent d’en
préciser leurs caractéristiques.
Liberté et précarité sont inscrites dans la définition du travailleur non salarié
Les données sur la population des non salariés sont minces. Au niveau strict de la définition, un travailleur non salarié est un travailleur précaire quel que soit son niveau de revenu justement parce qu’il ne sait pas quel sera son salaire le mois prochain, si ses clients ne vont pas partir ou si un accident ne va pas l’empêcher d’exercer. “D’une manière générale, les non salariés sont touchés par un taux important de pauvreté monétaire (niveau de vie inférieur à 954 € mensuels). Il atteint, pour les personnes âgées de plus de 18 ans, 16,9 % contre 6,3 % pour les salariés. Une situation qui témoigne des difficultés rencontrées par cette catégorie de travailleurs qui, en France, représentait en 2009 près de deux millions de personnes, hors les auto-entrepreneurs” souligne Stéphane Rapelli, économiste, auteur de l’étude.
Du côté des avantages : liberté du choix d’exercice, du statut, de la gestion du temps. Mais il faut compter avec une activité et des revenus fluctuants, et des couvertures faibles pour la maladie, la vieillesse, ou le chômage. Tout est question d’équilibre entre volume d’activité, recettes et choix de vie.
Des disparités de revenus
Les travailleurs indépendants sont très inégaux face à la pauvreté monétaire. Ceux exerçant dans les activités de services inhérentes à l’art, aux spectacles et aux activités récréatives sont les plus mal lotis en termes de revenus. Ils gagnent en moyenne 11 fois moins qu’un professionnel juridique. Les professions libérales réglementées du secteur de la santé, du droit, du cadre de vie vivent une situation globalement plus confortable que les autres non-salariés. Des revenus confortables mais qui s’accompagnent d’un volume de travail conséquent, avoisinant régulièrement les 50 heures par semaine.
“La déréglementation de l’exercice libéral depuis des années a fortement encouragé les actifs à créer leur propre emploi, souvent moins par vocation que par nécessité de travailler. Mais la mécanique, voulue vertueuse, bute sur le fait que tous les non-salariés n’ont pas les capacités et les réseaux nécessaires pour réussir” ajoute Stéphane Rapelli.
72 % des auto-entrepreneurs gagnent moins de 5000 € dans l’année
Ce statut créé en 2008 avait essentiellement pour objectif de stimuler et de faciliter la création d’entreprise. En 2012, il se distingue dans le non salariat par l’important niveau de pauvreté qui lui est associé avec un revenu médian de 930 € annuels, soit 12,3 fois moins que le seuil de pauvreté (11 448 € par an). Sur 751 000 auto-entrepreneurs enregistrés, seuls 324 000 ont un chiffre d’affaires positif. Et 72 % d’entre eux ont gagné moins de 5000 € dans l’année. Un tiers des auto-entrepreneurs est composé par des artisans, les deux tiers par des professions libérales.
Liberté et précarité sont inscrites dans la définition du travailleur non salarié
Les données sur la population des non salariés sont minces. Au niveau strict de la définition, un travailleur non salarié est un travailleur précaire quel que soit son niveau de revenu justement parce qu’il ne sait pas quel sera son salaire le mois prochain, si ses clients ne vont pas partir ou si un accident ne va pas l’empêcher d’exercer. “D’une manière générale, les non salariés sont touchés par un taux important de pauvreté monétaire (niveau de vie inférieur à 954 € mensuels). Il atteint, pour les personnes âgées de plus de 18 ans, 16,9 % contre 6,3 % pour les salariés. Une situation qui témoigne des difficultés rencontrées par cette catégorie de travailleurs qui, en France, représentait en 2009 près de deux millions de personnes, hors les auto-entrepreneurs” souligne Stéphane Rapelli, économiste, auteur de l’étude.
Du côté des avantages : liberté du choix d’exercice, du statut, de la gestion du temps. Mais il faut compter avec une activité et des revenus fluctuants, et des couvertures faibles pour la maladie, la vieillesse, ou le chômage. Tout est question d’équilibre entre volume d’activité, recettes et choix de vie.
Des disparités de revenus
Les travailleurs indépendants sont très inégaux face à la pauvreté monétaire. Ceux exerçant dans les activités de services inhérentes à l’art, aux spectacles et aux activités récréatives sont les plus mal lotis en termes de revenus. Ils gagnent en moyenne 11 fois moins qu’un professionnel juridique. Les professions libérales réglementées du secteur de la santé, du droit, du cadre de vie vivent une situation globalement plus confortable que les autres non-salariés. Des revenus confortables mais qui s’accompagnent d’un volume de travail conséquent, avoisinant régulièrement les 50 heures par semaine.
“La déréglementation de l’exercice libéral depuis des années a fortement encouragé les actifs à créer leur propre emploi, souvent moins par vocation que par nécessité de travailler. Mais la mécanique, voulue vertueuse, bute sur le fait que tous les non-salariés n’ont pas les capacités et les réseaux nécessaires pour réussir” ajoute Stéphane Rapelli.
72 % des auto-entrepreneurs gagnent moins de 5000 € dans l’année
Ce statut créé en 2008 avait essentiellement pour objectif de stimuler et de faciliter la création d’entreprise. En 2012, il se distingue dans le non salariat par l’important niveau de pauvreté qui lui est associé avec un revenu médian de 930 € annuels, soit 12,3 fois moins que le seuil de pauvreté (11 448 € par an). Sur 751 000 auto-entrepreneurs enregistrés, seuls 324 000 ont un chiffre d’affaires positif. Et 72 % d’entre eux ont gagné moins de 5000 € dans l’année. Un tiers des auto-entrepreneurs est composé par des artisans, les deux tiers par des professions libérales.
Pour consulter et
télécharger l’étude : http://www.ljscope.com/assets/2012/10/Precarite_et_travailleurs_non_salaries.pdf
L'Afipa défend l'automédication comme un des facteurs de régulation possibles du système de soins
Le secteur des produits d’automédication
ne représente en France, en 2011, que 6,4% du marché des médicaments contre une
moyenne de 10,4% dans les pays membres de l’Union Européenne, classant notre
pays en avant-dernière position des pays européens[1]. Dans le contexte actuel de réduction
des dépenses de santé, de désertification médicale croissante, d’engorgement
des services d’urgence et de surcharge de travail des professionnels de santé,
l’Afipa (Association française de l’industrie pharmaceutique pour une automédication
responsable) a souhaité approfondir la réflexion sur l’intérêt potentiel d’un développement
de l’automédication dans notre pays.
C’est dans cette perspective que
l’Afipa a demandé à Celtipharm[2] de déterminer
l’impact de l’automédication sur le système de soins français[3]. Deux projections réalisées
suite à l’étude Celtipharm effectuée auprès de médecins généralistes et d’autres
professionnels de santé indiquent qu’une réduction de l’automédication, en
France, augmenterait le nombre de consultations des médecins généralistes et
des services de médecine d’urgences ; tandis qu’un essor de l’automédication
allègerait le nombre de consultations ainsi que le nombre d’admissions aux
urgences.
Une réduction de l’automédication
: vers une saturation du système de soins
Si par hypothèse, 10% des actes d’automédication
repassaient en consultation, le médecin généraliste verrait un accroissement de
son activité de 15,6 consultations par semaine, soit 5h45 par semaine
uniquement pour les consultations de patients[3].La
projection effectuée dans ce cas de figure par l’étude indique une augmentation
des consultations des médecins généralistes de l’ordre de 45 millions par an.
Cette hausse de consultations des médecins généralistes
semble impossible à absorber. En effet, les résultats de l’étude
Celtipharm/Afipa³ basées sur les déclarations de 250 médecins généralistes révèlent
que 49% d’entre eux n’arrivent pas à prendre de patients en consultation par
manque de disponibilité. Résultats : 11% d’entre eux orientent leurs patients
vers un service de médecine d’urgence[3].
71 personnels des services de médecine d’urgence interrogés déclarent qu’aujourd’hui 28% des
consultations[3] (soit 4,2
millions de consultations par an) seraient effectuées parce que les patients n’auraient
pas réussi à avoir un rendez-vous suffisamment rapidement chez le médecin généraliste.
Ils déclarent par ailleurs que les urgences tournent actuellement à 108% de
leurs capacités. Une réduction de l’automédication augmenterait le nombre de
consultations et conduirait à une saturation du système de soins en France.
[1]AESGP and AESGP National
Associations 2011.
[2] CELTIPHARM est une société d’ingénierie études-marketing- ventes. Elle conçoit des programmes pour l’ensemble des acteurs de la chaîne de santé (laboratoires, régulateurs, payeurs, professionnels de santé).
[3] Etude Celtipharm/Afipa, “l’impact del’automédication sur l’offres de soins”, 17 au 21 septembre 2012 – échantillon de 250 médecins généralistes, 71 personnels des services de médecine d’urgences et de 969 individus qui sont allés chez le médecin généraliste entre septembre 2011 et septembre 2012.
[2] CELTIPHARM est une société d’ingénierie études-marketing- ventes. Elle conçoit des programmes pour l’ensemble des acteurs de la chaîne de santé (laboratoires, régulateurs, payeurs, professionnels de santé).
[3] Etude Celtipharm/Afipa, “l’impact del’automédication sur l’offres de soins”, 17 au 21 septembre 2012 – échantillon de 250 médecins généralistes, 71 personnels des services de médecine d’urgences et de 969 individus qui sont allés chez le médecin généraliste entre septembre 2011 et septembre 2012.
Un essor de l’automédication :
vers une meilleure régulation du système de soins
Celtipharm a réalisé pour l’Afipa
une deuxième projection où 29 principes actifs correspondant à 15 indications bénignes
(RGO, migraine, fièvre, rhinite allergique, otite externe, candidose
vulvo-vaginale…) seraient accessibles en automédication, par le biais du délistage.
Les résultats indiquent que les médecins généralistes gagneraient, en moyenne
17 consultations par semaine, soit 49 millions de consultations sur l’année.
Selon l’Afipa, ce gain de temps
permettrait, entre autres, aux médecins généralistes d’accorder plus de temps à
ses patients et de récupérer des consultations sur les 4,2 millions effectués
aux urgences concernant les patients n’ayant pas pu avoir de rendez-vous
suffisamment rapidement chez un médecin généraliste.
Le développement de l’automédication
: un potentiel d’économies pour la collectivité
Au-delà du fait que l’automédication
est un des facteurs de régulation possibles du système de soins français, elle
est également source d’économies potentielles pour la collectivité. Pour
rappel, la précédente étude réalisée par Celtipharm pour l’Afipa révélait que l’essor
de l’automédication, en France, par délistage partiel[4] conduirait
à 181,9 millions d’euros d’économies substantielles sur les consultations pour
la sécurité sociale[5]. En cas
de délistage complet[6], les économiesréalisées
sur les consultations pour la collectivité s’élèveraient à 742,7 millions d’euros.
« Le dernier PLFSS a prévu 530 millions d’euros d’économies
sur les médicaments, c’est sensiblement du même ordre de grandeur que les économies
générées pour la collectivité par l’essor de l’automédication. L’automédication
est donc un des moyens d’améliorer le système de soins français et de faire des
économies » déclare Pascal Brossard, Président de l’Afipa.
L’AFIPA est l’association
professionnelle qui représente les industriels du médicament d’automédication
dont les membres sont : Abbott, Almirall, Bayer Santé Familiale, Boehringer
Ingelheim, Boiron, Bouchara-Recordati, Bristol Myers Squibb - UPSA Conseil,
Cephalon, Cooper, Dermophil Indien, Diepharmex, Expanscience, Galderma,
Genevrier, Gifrer Barbezat, GSK SGP, Hepatoum, Johnson & Johnson Santé
Beauté France, Labcatal, Lehning, Mayoly-Spindler, Merck Médication Familiale,
Negima Lerads, Novartis Santé Familiale, Nutrition et Santé, Omega Pharma,
Pfizer Santé Familiale, Procter & Gamble Pharmaceuticals FR, Reckitt
Benckiser, Rottapharm Madaus, Sanofi Aventis, Semes S.A, Stiefel, Tonipharm,
Urgo, Weleda, Zambon France.
www.afipa.org
www.afipa.org
Automédication : L’automédication consiste
pour les individus à soigner leurs maladies grâce à des médicaments autorisés,
accessibles sans ordonnance, sûrs et efficaces dans les conditions d’utilisation
indiquées (définition OMS 2000).
[4] Passage de statut de médicament de Prescription MédicaleObligatoire
(PMO) à celui de Prescription Médicale Facultative (PMF)
[5]Etude Celtipharm/Afipa “ Mesure d’un possibledéveloppement de l’automédication en France et économies pour la collectivité » - 11 mai 2012 - délistage de 114 molécules non délistées en France.
[6]Le délistage est accompagné d’undéremboursement (si la prescription ouvrait le droit au remboursement)
[5]Etude Celtipharm/Afipa “ Mesure d’un possibledéveloppement de l’automédication en France et économies pour la collectivité » - 11 mai 2012 - délistage de 114 molécules non délistées en France.
[6]Le délistage est accompagné d’undéremboursement (si la prescription ouvrait le droit au remboursement)
En savoir plus : www.afipa.org
MINE D'INFOS: Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 20...
MINE D'INFOS: Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 20...: « Hôpital : questions de confiance ? » Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 2012 de 8h30 à 10h au Sir Winston "H...
Café nile avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 2012 de 8h30 à 10h au Sir Winston "Hôpital : questions de confiance ?"
« Hôpital : questions de confiance ? »
Café nile
avec Frédéric Valletoux le 10 octobre 2012 de 8h30 à 10h au Sir Winston
"Hôpital : questions de confiance ?"
Les Palmarès
des hôpitaux publiés par la presse nationale (Le Point, Challenges,
L'express...) se classent chaque année en tête des ventes et témoignent non
seulement d'une concurrence croissante entre les établissements, mais aussi
d'un besoin des usagers d'être sans cesse assurés et rassurés sur la qualité et
la sécurité des soins délivrés par les Hôpitaux. Les indicateurs de qualité
doivent d’ailleurs être mise en place au sein des établissements, directement
renseignés par les malades.
Parallèlement,
au lendemain de la réforme du financement et au jour où le parcours de soins
cherche à s'éloigner de la culture de l’hospitalo-centrisme, l'Hôpital doit
trouver sa place dans le système de santé de demain en répondant aux défis de
qualité, de sécurité et de coordination des soins.
Enfin, au
sein même de la structure hospitalière, Marisol Touraine a lancé le chantier du
pacte de confiance, basé sur l’interrogation des équipes et la relance du
dialogue social.
Frédéric
Valletoux, Maire de Fontainebleau, Conseiller régional d'Ile de France et Président
de la Fédération Hospitalière de France nous viendront débattre le 10 octobre
prochain, de 8h30 à 10h au Sir Winston (5 rue de Presbourg 75116 Paris) sur le
thème : « Hôpital : questions de confiance ? »
Nota :
Compte-rendu du café nile avec Jean-Luc Harousseau, Président de la Haute Autorité de Santé http://www.nile-consulting.eu/?rub=news&new=360
mardi 2 octobre 2012
MINE D'INFOS: Pour les amoureux du Jazz !
MINE D'INFOS: Pour les amoureux du Jazz !: Très grosse rentrée Jazz à Nîmes avec Jazz 70 ! Une fin d’année chargée pour Jazz 70 qui entame le mois de Septembre avec la prog...
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MINE D'INFOS: C'est à lire !: « Santé : que faire pour sauver notre système ?» de Christian Prieur - Editions l'Harmattan Pour renoncer au financement à cré...
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