MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mardi 27 janvier 2015
Le coup patte de la semaine de Jacques Draussin
MINE D'INFOS: Le Maroc officiellement détrôné par le Portugal en...
MINE D'INFOS: Le Maroc officiellement détrôné par le Portugal en...: Le site retraite-etranger.fr – référence dans le domaine de la retraite, vient de publier son sondage annuel qui dévoile le TOP 10 d...
Le Maroc officiellement détrôné par le Portugal en tant que destination préférée des retraités français
Le site retraite-etranger.fr –
référence dans le domaine de la retraite, vient de publier son sondage annuel
qui dévoile le TOP 10 des meilleures destinations pour passer sa retraite. Les
résultats de l’enquête sont sans appel : le Maroc a été officiellement détrôné
par le Portugal ! Cette destination phare séduit chaque année de plus en plus de
retraités français par sa douceur de vivre et les avantages
fiscaux !
Pourquoi cet engouement et cet
intérêt pour le Portugal ? Pourquoi ce marché attire tant ? D’où vient ce
phénomène sociétal ?
Pascal Gonçalves, expert du
marché immobilier portugais et président de Maison au Portugal, décrypte et
analyse cette nouvelle tendance et explique pourquoi les retraités français sont
si nombreux à s’expatrier au Portugal.
En savoir plus
Katarina FISIAK
Cabinet ESCAL Consulting
Tel : 01 44 94 95 76
@ESCALCONSULTING
www.escalconsulting.com
lundi 26 janvier 2015
MINE D'INFOS: Hépatite C : Les associations saluent la décision ...
MINE D'INFOS: Hépatite C : Les associations saluent la décision ...: (Paris, le 21 janvier 2015) En plein débat sur le coût des nouveaux traitements contre l’Hépatite, l’office ind...
Hépatite C : Les associations saluent la décision de l’office Indien des brevets
(Paris,
le 21 janvier 2015)
En
plein débat sur le coût des nouveaux traitements contre l’Hépatite, l’office
indien des brevets a rejeté mardi 13 janvier une des demandes de brevet
formulées par . Les associations se félicitent de cette
décision, qui contribue à une amélioration de l’accès aux traitements pour de
nombreux patients.
Un
recours en opposition avait été déposé conjointement par l’association de
patients Delhi Network of Positive People (DNP+) et le collectif de juristes
Initiative for Medicines, Access & Knowledge (I-MAK). Une opposition au brevet est une
procédure ouverte à toute personne intéressée – industriels concurrents ou
société civile - pour contester la validité d’un brevet.
« Cette
décision est encourageante car elle constitue un pas vers la disponibilité du
traitement en version générique et donc vers l’accès universel »
explique
le Docteur Jean-François Corty, Directeur des Opérations France de Médecins du
Monde, « mais il nous faut encore attendre car un deuxième
brevet demandé par Gilead est toujours en cours
d’examen ».
L’actuel
médicament de Gilead vendu à prix exorbitant - 1 000
dollars la pilule aux US, 84 000$ les 3 mois de traitement – est inaccessible
pour l’immense majorité des patients atteints d’hépatite C. De
fait, les organisations médicales internationales
sont dans l’incapacité de soigner correctement leurs patients malades de
l’hépatite C alors qu’un traitement efficace existe.
Le
problème d’accès se pose non seulement dans les pays « à ressources limitées »
mais aussi dans les pays occidentaux qui ne disposent pas des ressources
suffisantes pour absorber de tels prix. En France, le prix est de 41 000 euros
et le médicament est rationné. En Angleterre, le traitement est vendu 44 000£ et
l’assurance maladie a repoussé d’avril à juillet la dispensation du traitement.
En Espagne, le traitement est également rationné : seule 5 000 personnes -1
personne sur 5 en besoin urgent de traitement- pourra y
avoir accès en 2015.
Pourtant,
le sofosbuvir ne coûterait que quelques centaines de
dollars si des versions génériques existaient[1].
Nos
associations rappellent la nécessité de favoriser l’accès universel aux
traitements contre l’hépatite C en Europe et dans le reste du monde. La décision
de l’office Indien des brevets doit également encourager l’ouverture d’un débat
public en France sur les prix des médicaments et leur impact sur les systèmes de
santé.
Associations
signataires :
Médecins du Monde, Médecins sans Frontières, Aides, Comede
|
Contacts
presse
Médecins
du Monde
Aurélie
Defretin 01 44 92 13 81/
infomdm@medecinsdumonde.net
//www.medecinsdumonde.org
Médecins
Sans Frontières :
Pierre
Borelle :
01 40 21 27 25 /
Charlotte Nouette-Delorme 01 40 21 28 23 samuel.hanryon@paris.msf.org
Aides :
Antoine
Henry : +33 (0)1.41.83.46.53 /
Comede
|
[1]
Andrew Hill and all, Minimum Costs for
Producing Hepatitis C Direct-Acting Antivirals for Use in Large-Scale
Treatment
Access Programs in Developing Countries, Clinical Infectious Diseases,
February 13, 2014.
cancer l thérapies ciblées l rechercher anomalies moleculaires dans ADN circulant pour remplacer biopsies
20 janvier 2015
THERAPIES CIBLEES EN CANCEROLOGIE
ADN tumoral circulant versus biopsies : avantage à l’ADN circulant
pour la recherche d’anomalies moléculaires
A ce jour, la recherche des anomalies moléculaires
éligibles pour une thérapie ciblée s’effectue à partir de l’analyse d’un prélèvement
de la tumeur. Les médecins de l’Institut Curie viennent de démontrer la
fiabilité d’une technique peu invasive et moins douloureuse pour les patients :
l’analyse de l’ADN tumoral circulant à partir d’une simple prise de sang.
Fer de lance de la médecine de précision, les thérapies ciblées ne
peuvent être proposées qu’aux patients porteurs de l’anomalie moléculaire qu’elles
visent.
« Leur prescription nécessite donc de rechercher
dans les cellules tumorales si l’anomalie est bien présente » explique le Dr
Christophe Le Tourneau, responsable du pôle Médecine de précision à l’Institut
Curie. « Aujourd’hui cette recherche s’effectue principalement à partir des prélèvements
de la tumeur. » Or la biopsie est un acte invasif pour le patient, parfois
douloureux et pouvant nécessiter une hospitalisation.
« Une alternative serait de rechercher les anomalies moléculaires éligibles
pour une thérapie ciblée dans l’ADN tumoral circulant obtenu à partir d’un
simple prélèvement sanguin » se réjouit le Pr Jean-Yves Pierga, chef du département
d’Oncologie médicale à l’Institut Curie et spécialiste des biomarqueurs
circulants. Il existe en effet un phénomène naturel de dégradation des cellules
normales ou tumorales dans l’organisme et ce, afin d’assurer le renouvellement
des tissus. Les cellules tumorales sont dégradées et des brins d’ADN tumoral
circulent dans l’organisme.
SHIVA : porte ouverte à de nombreuses avancées
« Dans le cadre de l’essai SHIVA, nous avons donc
recherché chez 34 patients atteints de cancers différents (soit au total 18
types de cancer) les anomalies moléculaires dans les biopsies, mais aussi dans
l’ADN tumoral circulant », commente le Dr Christophe Le Tourneau.
SHIVA[1] est un essai clinique
innovant, coordonné par le Dr Christophe Le Tourneau dans lequel, pour la première
fois en cancérologie, le choix thérapeutique est entièrement basé sur le profil
moléculaire de la tumeur, sans tenir compte de la localisation tumorale.
Pour 27 patients, 28 des 29 anomalies moléculaires
détectées dans les biopsies l’ont été dans l’ADN tumoral circulant. Par
ailleurs, une anomalie non détectée dans les biopsies a été identifiée dans l’ADN
tumoral circulant. Chez les 7 autres patients, la recherche des anomalies n’avait
pas pu être effectuée dans les biopsies. En revanche, elle a été possible dans
l’ADN tumoral circulant.
« Cette étude est la première
à montrer la faisabilité de la recherche de plusieurs anomalies moléculaires éligibles
pour une thérapie ciblée dans l’ADN tumoral circulant par des techniques utilisées
en routine chez des patients métastatiques et atteints de différents types de
cancer », commente le Pr Jean-Yves Pierga. « Au-delà d’être moins invasive,
moins douloureuse et plus économique, la recherche des anomalies dans l’ADN
tumoral circulant est une alternative fiable aux biopsies. »
En raison du développement de nouvelles thérapies
ciblées, mais aussi de l’extension de leur prescription, le recours aux tests
moléculaires est en pleine expansion. « Ces résultats présentent donc une
alternative prometteuse, d’autant plus que les biopsies (surtout au niveau des
métastases) ne sont pas toujours réalisables chez les patients », conclut le Dr
Christophe Le Tourneau.
Lire le communiqué : http://curie.fr/sites/default/files/cp-adn_tumoral_circulant_-_20_janvier_2015_clt_2.pdf
Catherine GOUPILLON – SENGHOR
Responsable des relations presse
Institut Curie Paris l Orsay l Saint-Cloud
téléphone : +33 (0)1 56 24 55 23
Retrouvez les communiqués et dossiers de presse dans espace presse
Pensez à l’environnement, n'imprimez que si nécessaire !
Adresse postale : 26 rue d’Ulm - 75248 Paris cedex 05 – France
NEW Livraison et visite : 2 rue Lhomond – rez-de-chaussée – 75005 Paris
[1] L’essai clinique Shiva a été développé en
majeure partie grâce à la générosité publique, au financement d’entreprises
dont la Fondation EDF, Malakoff Médéric et Swiss Life, et d’associations fidèles
de l’Institut Curie, ainsi que dans le
cadre de la labellisation SIRIC (site de recherche intégré sur le cancer)
obtenue par l’Institut Curie en 2011.
MINE D'INFOS: Cancer : repérer les anomalies moléculaires dans l...
MINE D'INFOS: Cancer : repérer les anomalies moléculaires dans l...: Si le message ne s'affiche pas correctement, cliquez ici A ce jour, la recherche des anomalies moléculaires éligibles pour une th...
Cancer : repérer les anomalies moléculaires dans l'ADN tumoral circulant
Si le
message ne s'affiche pas correctement, cliquez
ici
A
ce jour, la recherche des anomalies moléculaires éligibles pour une thérapie
ciblée s’effectue à partir de l’analyse d’un prélèvement de la tumeur. Les
médecins de l’Institut Curie viennent de démontrer la fiabilité d’une technique
peu invasive et moins douloureuse pour les patients : l’analyse de l’ADN tumoral
circulant à partir d’une simple prise de sang.
Fer de lance de la médecine de précision, les thérapies
ciblées ne peuvent être proposées qu’aux patients porteurs de l’anomalie
moléculaire qu’elles visent. « Leur prescription nécessite donc de rechercher dans
les cellules tumorales si l’anomalie est bien présente » explique le Dr
Christophe Le Tourneau, responsable du pôle Médecine de précision à l’Institut
Curie. « Aujourd’hui cette recherche s’effectue principalement à partir
des prélèvements de la tumeur. » Or la biopsie est un acte invasif pour le
patient, parfois douloureux et pouvant nécessiter une hospitalisation.
« Une alternative serait de rechercher les anomalies
moléculaires éligibles pour une thérapie ciblée dans l’ADN tumoral circulant
obtenu à partir d’un simple prélèvement sanguin » se réjouit le Pr
Jean-Yves Pierga, chef du département d’Oncologie médicale à l’Institut
Curie et spécialiste des biomarqueurs circulants. Il existe en effet un
phénomène naturel de dégradation des cellules normales ou tumorales dans
l’organisme et ce, afin d’assurer le renouvellement des tissus. Les cellules
tumorales sont dégradées et des brins d’ADN tumoral circulent dans
l’organisme.
MINE D'INFOS: C'est à lire : Refonder le système de protection s...
MINE D'INFOS: C'est à lire : Refonder le système de protection s...: A l'occasion de la sortie en librairie de Refonder le système de protection sociale : Pour une nouvelle génération de droits sociaux ...
C'est à lire : Refonder le système de protection sociale : pour une nouvelle génération de droits sociaux...
A l'occasion de la sortie en librairie de Refonder le système de protection sociale :
Pour une nouvelle génération de droits sociaux, de Bernard Gazier, Bruno Palier et Hélène Périvier,
Le Centre d'études européennes de Sciences Po invite les journalistes à une rencontre avec les auteurs autour d'un petit déjeuner, jeudi 05 février 2015, à 08h30. La présentation aura lieu dans les locaux de Sciences Po, au 27 rue Saint Guillaume 75007 Paris
Le Centre d'études européennes de Sciences Po invite les journalistes à une rencontre avec les auteurs autour d'un petit déjeuner, jeudi 05 février 2015, à 08h30. La présentation aura lieu dans les locaux de Sciences Po, au 27 rue Saint Guillaume 75007 Paris
Vous pouvez dors et déjà trouver un certains nombre d'articles autour de
l'ouvrage en suivant les liens suivants :
Pour de nouveaux droits sociaux (Le Monde),
Un nouvel âge des droits sociaux (Les Echos),
Alternatives économiques,
Liens socio,
Acteurs publics
Pour de nouveaux droits sociaux (Le Monde),
Un nouvel âge des droits sociaux (Les Echos),
Alternatives économiques,
Liens socio,
Acteurs publics
MINE D'INFOS: C' est à lire : L’Atelier Créatif des soutifs
MINE D'INFOS: C' est à lire : L’Atelier Créatif des soutifs: L’Atelier Créatif des soutifs Kathryn Kemp-Griffin . Mise en vente : 4 février 2015 - Prix : 4,99 € Cet ouvrage est publié...
C' est à lire : L’Atelier Créatif des soutifs
L’Atelier
Créatif
des soutifs
Kathryn Kemp-Griffin.
Mise en vente : 4 février 2015 - Prix : 4,99
€
Cet ouvrage est publié en collaboration
avec l’association Pink Bra Bazaar
qui a pour but la sensibilisation à la lutte contre le cancer du sein.
qui a pour but la sensibilisation à la lutte contre le cancer du sein.
Larousse a décidé de soutenir l’association
Pink Bra
Bazaar créée en 2010 qui repose
sur une idée originale : associer les femmes et les marques de lingerie dans un
même combat, la lutte contre le cancer du sein.
Tout au long de l’année, cette association organise des
rendez-vous inattendus pour informer et sensibiliser les femmes sur cette
maladie.
Elle est la première association à réunir les femmes
et les acteurs du secteur de la lingerie (boutiques, fabricants, créateurs,
stylistes, médias) autour d’un même objectif : lutter contre le cancer du
sein.
La fondatrice de l’association, elle-même guérie d’un cancer grâce à un dépistage précoce, a eu l’idée de parler de prévention grâce à un vêtement très féminin, le soutien-gorge.
La fondatrice de l’association, elle-même guérie d’un cancer grâce à un dépistage précoce, a eu l’idée de parler de prévention grâce à un vêtement très féminin, le soutien-gorge.
Larousse apporte un soutien Mécène à cette association et
cette cause. Une partie des recettes sera reversée à
l’association.
L’ouvrage
propose
- 23 projets
créatifs pour donner une nouvelle vie à
un soutien-gorge : head band, bracelets, doudou, sacs… beaucoup d’idées
pour une démarche positive !
- Des coloriages et des pages de notes pour créer et consigner son
propre projet.
- Un concours : pour soutenir la lutte contre le
cancer du sein et gagner l’un de nos lots, le lecteur doit remplir et découper
le bulletin de participation inclu dans l’ouvrage
et l’envoyer avec une photo de sa création chez Larousse. Voici le lien de l’adresse à laquelle le concours et son règlement seront disponibles : http://www.editions-larousse.fr/concours-pinkbrabazaar.
Pour
sensibiliser au cancer du sein !
21
x 21 cm ; 48 pages ;
broché
Relations presse : Sylvie Triau ▫ 01 44
39 43 88 ▫ striau@larousse.fr
Éditions
Larousse – 21, rue du Montparnasse, 75283 PARIS Cedex 06 www.editions-larousse.fr
C'est à lire : ELLE S’APPELAIT EMMA un témoignage poignant
Cet ouvrage est préfacé par le Professeur de pédiatrie Pierre Monin.
"Cette part de vie narrée
avec pudeur et vérité nous fait entrevoir la profondeur de la détresse d’un père
confronté à la fois au mystère de la vie, à la découverte de sa paternité, aux
angoisses de la prématurité et à la crainte d’une inéluctable fin. Dans ce cri,
long de plusieurs mois, de plusieurs années, l’auteur nous livre une analyse nécessairement
subjective du vécu de ces heures intenses marquées par sa souffrance et sa
douloureuse confrontation à celle de son épouse."
Extrait
de la préface du Professeur Pierre Monin
Elle s’appelait Emma est l’histoire
émouvante d’un bébé né trop tôt, grand prématuré, que l’on n’arrivera pas à
sauver et qui s’éteindra dans sa sixième année. Son père, Alain Thiesse, est
journaliste à l’Est Républicain. Dans ce vibrant hommage à sa fille Emma, il
raconte son calvaire entre espoir et désespoir, réanimation, acharnement thérapeutique
et handicap. « C’était ma fille. Mon seul et unique enfant. Mon Trésor, mon
amour. 720 g, 30 cm… Elle n’a attendu que 5 mois de grossesse pour venir voir à
quoi ressemblait le monde. Un bébé né trop tôt. En état de mort apparente. Elle
sera réanimée par les médecins de l’unité de néonatologie à la naissance. Sans
qu’on nous demande notre avis. Je les avais prévenus. »
À l’heure où les débats sur la fin
de vie des grands prématurés* commencent à trouver un large écho, ce livre
poignant paru en février dernier et aujourd’hui réactualisé, a le mérite de
poser les vraies questions : celles qui dérangent mais qui sont nécessaires à
la prise en compte d’une meilleure communication et de plus d’humanité entre
patients, familles des patients et monde médical.
*
Cf. Le cri de détresse des parents de Titouan, un grand prématuré né
trois mois et demi avant le terme, qui finiront par être entendu par le CHU de
Poitiers en obtenant « l’accompagnement de fin de vie ».
MINE D'INFOS: Ligue de l'enseignement Service civique accompagne...
MINE D'INFOS: Ligue de l'enseignement Service civique accompagne...: La Ligue* accompagnera la montée en puissance du service civique Lors de ses vœux aux acteurs de l’économie et de l’emploi, le président d...
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