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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
jeudi 16 janvier 2014
MINE D'INFOS: BOUTEILLE A LA MER
MINE D'INFOS: BOUTEILLE A LA MER: AVIS DE RECHERCHE Une mutuelle sociétaire de la Banque Française Mutualiste – BFM Recherche un décompteur de prestatio...
MINE D'INFOS: BOUTEILLE A LA MER
MINE D'INFOS: BOUTEILLE A LA MER: AVIS DE RECHERCHE Une mutuelle sociétaire de la Banque Française Mutualiste – BFM Recherche un décompteur de prestatio...
BOUTEILLE A LA MER
AVIS DE RECHERCHE
Une mutuelle sociétaire
de la Banque Française Mutualiste – BFM
Recherche un décompteur
de prestations. Poste à plein
temps basé en région parisienne.
CV est à faire parvenir à :
mrosenberger@bfm
Merci
de faire suivre l’information
dans votre réseau.
MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse
MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre : Rumeurs d'OPA de Scor sur MutRé www.argusdelassurance.com du 9 janvier 2014 Titre : Scor pourrait acheter tout ou ...
mardi 14 janvier 2014
MINE D'INFOS: C'est à lire : Migraine, céphalées de l'enfant et ...
MINE D'INFOS: C'est à lire : Migraine, céphalées de l'enfant et ...: Sous la direction de D. Annequin, B. Tourniaire, R. Amouroux Alors que 5 à 10 % des enfants sont migraineux, le diagnostic n’e...
C'est à lire : Migraine, céphalées de l'enfant et de l'adolescent
Sous la direction de D. Annequin, B. Tourniaire, R. Amouroux
Alors que 5 à 10 % des enfants sont migraineux, le diagnostic n’est posé que pour une petite partie d’entre eux. La migraine est pourtant la première cause de céphalées intenses récurrentes chez l’enfant, la plupart des professionnels cherchant vainement une cause, et évoquant « les yeux, une gastro, les sinus ou bien une origine psy… ».
Cet ouvrage a pour double objectif de présenter l’état de la science (épidémiologie, physiopathologie, génétique…) qui s’est largement enrichi ces dix dernières années et d’apporter aux professionnels des outils concrets pour identifier les céphalées et améliorer la prise en charge des enfants et des adolescents migraineux. Les céphalées de tension, les céphalées chroniques, les syndromes épisodiques associés à la migraine sont aussi détaillés.
Vient de paraître !
Illustré de nombreuses vignettes cliniques, cet ouvrage précise les critères diagnostiques, les pièges et les idées fausses ; il décrit comment rechercher les facteurs déclenchants et particulièrement ceux d’origine psychosociale, comment utiliser et combiner les traitements médicamenteux et non médicamenteux (notamment les approches psychothérapeutiques et psychocorporelles).
► Ce traité est le fruit de l'expérience d'une équipe multidisciplinaire issue
du seul centre français de référence de la migraine
de l'enfant où plus de 8 000 enfants et adolescents ont été vus en 10 ans
► De nombreux cas cliniques permettront d'illustrer la prise en charge quotidienne des ces patients
Telle est l’ambition de ce livre, destiné à tous les professionnels confrontés à des enfants et des adolescents migraineux, mais également accessible en grande partie aux familles.
2014. X, 242 p. Broché.
ISBN 978-2-8178-0234-3 50 €
À propos des auteurs
Le Dr Daniel Annequin est responsable du Centre de référence de la migraine de l’enfant et de l’adolescent de l’hôpital Trousseau à Paris (plus de 8 000 patients y ont été vus) ; il est reconnu comme étant en France l’expert de la douleur de l’enfant, tant au travers de ses multiples publications que de ses responsabilités dans le second « Plan Douleur ».
Le Dr Barbara Tourniaire est pédiatre dans le Centre de la migraine et de la douleur de l’enfant de l’hôpital Trousseau, et est responsable de la commission douleur de la Société française de pédiatrie et de la Société française d’étude et de traitement de la douleur.
Rémy Amouroux est professeur assistant de psychologie clinique à Lausanne, il a travaillé comme psychologue clinicien et comme chercheur auprès d’enfants et d’adolescents douloureux chroniques à Paris et à Brest.
Libellés :
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MINE D'INFOS: Libres propos signés José Bovet
MINE D'INFOS: Libres propos signés José Bovet: Le Parlement européen somme la Commission européenne de lutter efficacement contre la fraude alimentaire Les députés européens ...
Libres propos signés José Bovet
Le
Parlement européen somme la Commission européenne de lutter efficacement contre
la fraude alimentaire
Les députés européens ont voté aujourd'hui en faveur d'un
rapport sur la crise alimentaire, la fraude dans la chaîne alimentaire et son
contrôle. Alors que les scandales alimentaires se multiplient, le Parlement européen demande une nouvelle loi européenne
consacrée à la lutte contre la fraude alimentaire.
Pour José Bové, vice-président de la Commission de l’Agriculture au Parlement Européen :
«En incluant la lutte contre la fraude dans les missions de l’Office Alimentaire Vétérinaire, l’Union européenne a enfin compris que la libre circulation des produits agricoles doit s’accompagner de contrôles renforcés. La mise en place de sanctions financières égales au moins au double des profits réalisés par les fraudeurs est un pas dans la bonne direction.
Dans une Europe où la viande est devenue une matière brute qui circule de pays en pays pour être transformée, cuisinée ou mise en paquet, aucune faille ne peut être tolérée sur l’origine et la traçabilité des denrées. L’origine des viandes doit être clairement indiquée y compris dans les plats préparés, qui sont les plus susceptibles de contenir du minerai de viande.
Les mesures d’austérité ont entraîné le non remplacement d’un nombre important de vétérinaires chargés des contrôles sanitaires. La charge de travail qui pèse sur ceux qui sont encore en place ne leur permet pas d’assurer correctement leur mission.
Le gouvernement français doit lutter contre la fraude alimentaire et améliorer rapidement les contrôles en particulier dans les abattoirs pour que de telles fraudes ne se reproduisent pas à l’avenir. La sécurité alimentaire est une priorité pour nos concitoyens. "
Pour José Bové, vice-président de la Commission de l’Agriculture au Parlement Européen :
«En incluant la lutte contre la fraude dans les missions de l’Office Alimentaire Vétérinaire, l’Union européenne a enfin compris que la libre circulation des produits agricoles doit s’accompagner de contrôles renforcés. La mise en place de sanctions financières égales au moins au double des profits réalisés par les fraudeurs est un pas dans la bonne direction.
Dans une Europe où la viande est devenue une matière brute qui circule de pays en pays pour être transformée, cuisinée ou mise en paquet, aucune faille ne peut être tolérée sur l’origine et la traçabilité des denrées. L’origine des viandes doit être clairement indiquée y compris dans les plats préparés, qui sont les plus susceptibles de contenir du minerai de viande.
Les mesures d’austérité ont entraîné le non remplacement d’un nombre important de vétérinaires chargés des contrôles sanitaires. La charge de travail qui pèse sur ceux qui sont encore en place ne leur permet pas d’assurer correctement leur mission.
Le gouvernement français doit lutter contre la fraude alimentaire et améliorer rapidement les contrôles en particulier dans les abattoirs pour que de telles fraudes ne se reproduisent pas à l’avenir. La sécurité alimentaire est une priorité pour nos concitoyens. "
MINE D'INFOS: Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovig...
MINE D'INFOS: Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovig...: L’Académie nationale de médecine ne peut rester insensible aux espoirs suscités chez les patients souffrant de sclérose en plaques par l...
Cannabis thérapeutique : en matière de pharmacovigilance et d'addictovigilance s'impose
L’Académie nationale de médecine
ne peut rester insensible aux espoirs suscités chez les patients souffrant de
sclérose en plaques par la publicité faite autour d'effets remarquables attribués
au Sativex. Cette association de deux principes actifs du chanvre
indien/cannabis - le tétrahydrocannabinol
(THC) et le cannabidiol (CBD) - agit sur
des symptômes qui, insuffisamment soulagés par les médicaments disponibles, altèrent
gravement la qualité de vie. Toutefois l’Académie met en garde ces patients et
les médecins prescripteurs contre les effets adverses avérés du THC, notamment
au plan psychique.
En effet, l'Académie rappelle
qu'en ce qui concerne l’état des connaissances relatives au cannabis et à
ses constituants, aucun progrès significatif dans le domaine de leurs
intérêts thérapeutiques allégués n’est apparu récemment, alors que les
connaissances de leurs effets adverses se sont précisées et multipliées. L’évolution de la législation en faveur de
leur inscription comme agents thérapeutiques ne
semble pas justifiée pour des raisons pharmaco-thérapeutiques.
Non seulement les bénéfices potentiels du THC sont tous
modestes, sans exception, mais on dispose de vrais médicaments plus
efficaces pour chacun des bénéfices attendus. En revanche, les risques que fait
courir le tétrahydrocannabinol / THC
sont très nombreux, souvent graves et incompatibles avec un usage thérapeutique.
Toutefois, on peut s'étonner, sur le plan pharmacologique, de voir associés le
THC, dans une proportion mal justifiée, et le CBD, au mécanisme d’action
incertain, afin d’amoindrir les méfaits du THC.
L'Académie précise que, sollicitée
pour avis par la Direction Générale de la Santé, le 7 janvier 2013, elle s'était
prononcée contre le projet du décret, néanmoins
adopté le 5 juin dernier, ouvrant la possibilité d'une commercialisation en
France de médicaments dérivés du cannabis ; son opposition était justifiée par les raisons suivantes :
- Ce décret ne fait aucune
distinction entre les très nombreux cannabinoïdes que recèlent, en proportions très différentes, les diverses
variétés de cannabis. Les médicaments
modernes évitent justement les extraits de plantes leur préférant un de leurs
principes actifs, à condition qu’il présente une supériorité par rapport aux médicaments
existants. Le plus documenté, le plus abondant, et le plus puissant des cannabinoïdes est, de très loin, le tétrahydrocannabinol,(THC).
Or, il s’agit d’un agent toxicomanogène, générateur d’une dépendance psychique
et physique.
- La pharmacocinétique très singulière du THC est liée à son stockage intense et très
durable dans les lipides de l’organisme, en particulier cérébraux, ce qui rend
son utilisation complexe parce que ses effets sont prolongés, difficiles à prévoir
d’un sujet à un autre, et qu’ils
favorisent le développement d’une dépendance.
-Une dépendance physique
est avérée, quand bien même le syndrome de sevrage n’est pas bruyant, eu
égard à la persistance très longue du THC dans l’organisme. Après l’arrêt
total d’une consommation régulière de cannabis/THC, il faut attendre près de 8
semaines pour ne plus retrouver de dérivés cannabinoïdes dans les urines du
consommateur, ce qui est une situation exceptionnelle pour un médicament.
- La simultanéité des activités
multiples et imbriquées du THC est incompatible avec une logique thérapeutique qui s’efforce de viser un effet
unique. L’effet analgésique recherché est de puissance moyenne, nettement inférieure
à celle des analgésiques opiacés et opioïdes actuellement disponibles. Il est
en outre de longue durée, ce qui facilite le développement d’une tolérance
ainsi que d’une addiction, incitant à accroître la dose, inconvénient que n’ont
pas les analgésiques les plus récents, sélectionnés pour leurs effets de courte durée, afin éviter le développement
d’une tolérance et d’une toxicomanie.
-Des interactions médicamenteuses
nombreuses et gênantes. Le THC potentialise les effets de
l’alcool, des benzodiazépines et d’autres sédatifs et/ou hypnotiques, y compris
le reliquat matinal de certains de ces derniers. Il est incompatible avec la
conduite automobile, qu’il soit administré isolément ou plus encore en
association aux agents précédents.
- Des effets indésirables graves et créant des
situations à risque. Ses relations avec le développement de troubles
anxieux et dépressifs, lors d’un usage semi-chronique et plus encore chronique,
sont désormais établies et mieux comprises. Son usage chronique aboutit à une
diminution marquée des capacités intellectuelles. En effet, la durée prolongée
de l'action du THC favorise à court et à long terme le développement de
troubles cognitifs. Enfin, il ne faut pas oublier sa responsabilité dans le développement
d’un type agressif de cancers du testicule,
la diminution de la testostéronémie qui perturbe la libido, ses effets
immunodépresseurs et cardio-vasculaires,
et son implication dans la gestation, avec des risques d'anomalies pour l’enfant
à naître.
L'Académie de médecine rappelle
que l'autorisation de mise sur le marché (AMM) qui vient d'être accordée au
Sativex ne constitue nullement une légalisation du cannabis thérapeutique en
France. Utiliser la plante
dans des préparations magistrales, tout comme fumer la plante (marijuana) pour
soulager des douleurs restent interdits.
Enfin, l'Académie met en garde
contre les risques de détournement d'usage du Sativex, malgré les nombreux
garde-fous imposés par l’autorisation de mise sur le marché en matière
d'indications et de conditions de prescription. En effet, si le cannabis en
spray ne devrait pas intéresser les fumeurs de joints, on peut craindre la
multiplication de prescriptions hors AMM à divers usages comme sevrer les
toxicomanes, atténuer les nausées des malades
traités par chimiothérapie, rendre l’appétit
aux malades atteints de SIDA, toutes indications largement plébiscitées dans
l'opinion, mais dont il convient de rappeler qu'elles ne sont pas étayées par des études cliniques indiscutables.
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