vendredi 21 novembre 2014

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Insuffisance rénale chronique terminale: comment améliorer l'efficience de la prise en charge ?


Dans un contexte d’augmentation du coût de la prise en charge de l’insuffisance rénale chronique terminale, la HAS et l’Agence de la biomédecine ont modélisé les possibilités de changement dans la trajectoire de soins des patients et évalué leurs conséquences d’un point de vue clinique et économique. Elles publient leur rapport qui confirme que le développement de la transplantation rénale dans tous les groupes d’âge est une stratégie efficiente par rapport à l’ensemble des stratégies évaluées. Au-delà de la transplantation, limitée par le nombre de greffons, les travaux montrent  qu’il est possible de faire évoluer la place des différentes modalités de traitement en développant la dialyse hors centre. Et qu’il existe plusieurs stratégies de dialyse alternatives, moins chères que la situation observée pour une efficacité équivalente.  

L’insuffisance rénale chronique (IRC) est une maladie des reins d’évolution silencieuse : progressivement, la fonction de filtration des reins se détériore et peut évoluer vers un stade terminal (IRCT) nécessitant la mise en place d’un traitement de suppléance par dialyse ou transplantation rénale. Les dix modalités de traitement de l’IRCT prises en compte dans l’évaluation sont :
 

  • l’hémodialyse : en centre, en unité de dialyse médicalisée (UDM), en unité d’autodialyse, à domicile ;
  • la dialyse péritonéale : dialyse péritonéale automatisée (DPA) et dialyse péritonéale continue ambulatoire (DPCA), assistée ou non assistée par une infirmière sur le lieu de vie ;
  • la transplantation rénale (greffe) à partir de donneur décédé ou vivant.


En France, du fait d’une augmentation régulière du nombre de patients, le coût de l’IRCT ne cesse de croître. Par ailleurs, les importantes disparités qui existent d’une région à l’autre dans le recours aux différentes modalités de traitement montrent qu’il existe des marges de manœuvre. La Caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés (Cnamts) et la Direction générale de l’offre de soins (DGOS) ont saisi la Haute Autorité de Santé (HAS) et l’Agence de la biomédecine pour conduire une évaluation médico-économique des stratégies de prise en charge des patients en IRCT.
L’objectif était d’évaluer les conséquences d’un point de vue clinique et économique de modifications dans les trajectoires de soins des patients entre les différentes modalités de traitement, en tenant compte des possibilités d’évolution par rapport à la situation observée et sans remettre en cause la liberté de choix des patients de leur modalité de traitement.



Un travail en 3 étapes : revue de la littérature, réalisation d’une étude de coût et mise en place d’un modèle novateur
Dans le cadre de leur partenariat, la HAS et l’Agence de la biomédecine, avec l’appui d’un groupe de travail pluridisciplinaire et multiprofessionel associant des représentants des patients, ont d’abord procédé à une analyse de la littérature, réalisé une étude de coût pour ensuite mener une évaluation médico-économique.
Dans une première étape, la revue de la littérature internationale a fourni un état des connaissances sur l’évaluation médico-économique de la prise en charge de l’IRCT. Elle a également mis en évidence l’importance de conduire un travail à part entière sur l’analyse des possibilités de développement de la transplantation rénale en France qui a fait l’objet d’un volet spécifique publié en 2012.
Dans une deuxième étape, une étude de coût a permis d’analyser les différences selon les modalités de traitement (prise en considération du lieu de prise en charge et de l’environnement médical et paramédical et non uniquement de la technique de traitement), les facteurs de variation liés aux caractéristiques cliniques des patients (âge et statut diabétique) et la position des patients dans la trajectoire de soins (démarrage du traitement, changement de traitement, décès). Elle a été réalisée à partir de l’analyse des données du système d’information de l’Assurance maladie. A titre d’exemple, elle montre que le coût moyen mensuel de traitement d’un patient avec une « prise en charge stable[1] » est de 7253€/mois pour l’hémodialyse en centre et de 4377€/mois pour l’autodialyse. Pour la dialyse péritonéale, le coût de la DPA assistée est de 5744€/mois et celui de la DPCA non assistée de 3774€/mois.
Enfin, la dernière étape a consisté en une évaluation médico-économique des différentes stratégies de prise en charge fondée sur une approche par trajectoire. Ce travail a nécessité de développer un modèle permettant de prendre en compte les différentes modalités de traitement reçues au cours du temps par les patients depuis le démarrage du traitement de suppléance ainsi que les données de coûts associées à ces différentes modalités . Il a permis de simuler des changements de trajectoire des patients dans dix modalités de traitement et ainsi d’évaluer les conséquences en termes de coût et d’efficacité (espérance de vie) de différentes stratégies de prise en charge pour 6 groupes de patients : 18-44 ans, 45-69 ans et 70 ans et plus, et selon le statut diabétique.

Partant de la place importante de l’hémodialyse en centre dans les trajectoires des patients relevées dans les données du registre REIN
[2], et considérant qu’une partie des patients pouvaient être pris en charge différemment sans perte de chance, l’évaluation a voulu déterminer l’impact médico-économique de stratégies alternatives définies selon 4 axes : développement de la transplantation rénale ; développement de la dialyse hors centre ; préférence des patients pour des traitements qui favorisent leur autonomie et prise en charge à proximité du domicile des patients.

La transplantation rénale efficiente par rapport à l’ensemble des stratégies évaluées
Dans tous les groupes d’âge, le développement de la transplantation rénale est une stratégie efficiente par rapport à l’ensemble des stratégies évaluées. Dans le premier volet de leur travail, la HAS et l’Agence de la biomédecine préconisaient dès 2012 plusieurs pistes : développer la transplantation rénale à partir de donneurs décédés grâce à l’amélioration du recensement des donneurs, diminuer  le taux de refus et élargir le cercle de donneurs potentiels ; développer la transplantation à partir de donneurs vivants ; renforcer le suivi au long cours des donneurs et receveurs ; attribuer les greffons disponibles en tenant compte des exigences d’efficacité et d’équité.

La rareté des greffons a justifié d’évaluer l’impact médico-économique de stratégies de dialyse avec des choix différents des pratiques observées à partir des données du registre REIN et en explorant plusieurs pistes : développer l’autonomie, la proximité de l’offre par rapport au domicile et la diversité des modes de prise en charge.


Des stratégies alternatives différentes selon les groupes d’âge.
Par rapport à l’ensemble des stratégies évaluées, certaines sont efficientes : c’est le cas des stratégies fondées sur le développement conjoint de l’hémodialyse hors centre et de la dialyse péritonéale dans les trajectoires des patients de plus de 45 ans.
Par ailleurs, par rapport à la stratégie de prise en charge observée, la plupart des stratégies alternatives évaluées apparaissent comme aussi efficaces et moins coûteuses :
•           chez les patients d’âge intermédiaire (45-69 ans), les stratégies fondées sur le développement de la dialyse péritonéale non assistée au démarrage du traitement de suppléance suivi par l’hémodialyse en autodialyse ou en UDM dans les trajectoires des patients.
•           chez les patients de plus de 70 ans, les stratégies fondées sur le développement de la dialyse péritonéale assistée au démarrage suivi par l’hémodialyse en UDM dans les trajectoires des patients.
•           chez les patients jeunes (de moins de 45 ans), l’impact du développement des stratégies de dialyse est limité dans la mesure où ils vivent la plupart du temps avec un greffon fonctionnel.

L’étude de coût qui a permis d’alimenter le modèle devra faire l’objet d’une actualisation régulière par l’Agence de la biomédecine et la Cnamts. Par ailleurs, l’outil de modélisation élaboré pour cette étude a vocation à être développé et pourra servir de socle à des études plus fines conduites au niveau régional. Les résultats pourront être utilisés par la DGOS et les ARS dans un objectif d’amélioration de l’adéquation entre les besoins de santé et l’offre de soins.


 
 
[1] Une prise en charge stable correspond à un patient qui est resté au moins 9 mois dans la même modalité de traitement durant la période de l ‘étude.
[2] REIN est le registre français des traitements de suppléance de l’IRCT basé à l’Agence de la biomédecine.

 


 



Retrouvez les documents de la HAS et de l’Agence de la biomédecine en cliquant ici
Retrouvez le volet 1 sur le développement de la transplantation rénale en cliquant ici

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Les personnes vivant avec le VIH face aux discriminations en France métropolitaine

Les personnes vivant avec le VIH, c’est-à-dire séropositives, ont accès en France à des traitements antirétroviraux qui contrôlent l’infection et devraient leur assurer une vie normale. Ce n’est pourtant pas le cas. Utilisant les données de l’enquête nationale représentative ANRS-VESPA2 menée en 2011, Élise Marsicano, Rosemary Dray-Spira, France Lert et Christine Hamelin décrivent les discriminations auxquelles ces personnes font face, que ce soit au travail, chez le médecin ou à l’hôpital, en famille, et distinguent celles liées à leur séropositivité de celles liées à d’autres motifs.

Un quart des personnes séropositives vivant en France déclarent avoir subi des discriminations au cours des deux années précédentes. Le principal motif de discrimination est la séropositivité elle-même (13 % des personnes vivant avec le VIH). Viennent ensuite la couleur de peau, les origines ou la nationalité, ainsi que l’orientation sexuelle (5 % des personnes pour chacun de ces motifs). Les femmes séropositives immigrées d’Afrique subsaharienne et les usagères de drogue sont les plus nombreuses à témoigner de discriminations (près de 4 sur 10) tandis que les hommes séropositifs hétérosexuels non immigrés d’Afrique subsaharienne forment le groupe le moins concerné  (un peu plus d’un sur dix déclare des discriminations). Onze pourcent des personnes séropositives rapportent avoir subi des traitements discriminatoires au sein de la famille et 8 % dans les services de santé. Parmi les personnes qui travaillaient lors de l’enquête, soit la moitié de l’échantillon, 6 % rapportent des discriminations au travail. 


Auteur-e-s : Élise Marsicano*, Rosemary Dray-Spira*, France Lert*, Christine Hamelin** et le groupe ANRS-Vespa2
*Inserm U1018, Villejuif
**Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yveline







 
 
 
 
 


 
 

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MINE D'INFOS: Contrat responsable: les complémentaires santé dén...: La publication du décret sur le contrat responsable : les complémentaires santé dénoncent un choc de complexité Les familles de co...

Contrat responsable: les complémentaires santé dénoncent un choc de complexité


La publication du décret sur le contrat responsable :
les complémentaires santé dénoncent un choc de complexité


Les familles de complémentaires santé – FNMF, FFSA, CTIP – prennent acte de la publication du décret relatif au contenu des contrats responsables.

Elles constatent que le gouvernement n’a pas entendu leur demande concernant l’élaboration d’un nouveau cahier des charges simple, lisible et efficace au regard des remboursements pris en charge par les complémentaires santé.

En particulier, elles regrettent l’instauration de multiples niveaux de plafonds et de planchers de remboursements prestations santé prévus par ce texte pour les dépenses de santé des assurés. Ces derniers vont devoir supporter une évolution de leurs contrats, dans des conditions d’opacité et d’extrême difficulté de compréhension des garanties offertes. Ce choix va à l’encontre d’une amélioration de l’accès aux soins des Français souhaitée par les complémentaires.

Pour les trois présidents des familles d’assurance complémentaire, Etienne Caniard, Bernard Spitz, et Pierre Mie, ce décret constitue un choc de complexité.


Contacts presse : CTIP
Miriana Clerc
01 42 66 92 58
01 40 43 63 26
clerc@ctip.asso.fr
FFSA
Benoît Danton
01 42 47 93 80
 
b.danton@ffsa.fr
FNMF
Constance Baudry
01 40 43 30 21
 
constance.baudry@mutualite.fr

 
 
 
 
 
 
 
 
 

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MINE D'INFOS: PASS un programme qui avance bien: Awa Marie COLL-SECK, Ministre de la Santé et de l’Action Sociale du Sénégal Le Professeur Awa Marie COLL-SECK est médecin spéciali...

PASS un programme qui avance bien

Awa Marie COLL-SECK,

Ministre de la Santé
et de l’Action Sociale du Sénégal

Le Professeur Awa Marie COLL-SECK est médecin spécialiste en maladies infectieuses. Chercheure dans plusieurs domaines, notamment le VIH/SIDA auquel elle a consacré de nombreuses publications, elle a été responsable de département à l’ONUSIDA à Genève de 1996 à 2001. Entre 2001 et 2003, elle a été Ministre de la Santé et de la Prévention du Sénégal. Entre 2004 et 2012, elle fût Directrice Exécutif de Roll Back Maria à Genève et depuis la deuxième alternance politique du Sénégal, en mars 2012, elle est devenue Ministre de la Santé et de l’Action sociale et son département est chargé de la mise en œuvre du programme de la Couverture Maladie Universelle (CMU), une des priorités du Gouvernement du Sénégal. Elle est une ancienne joueuse internationale de basket-ball.

Dans cet entretien, Mme le Ministre nous explique la stratégie adoptée par son pays pour faire de la CMU une réalité au niveau national et le rôle et la place des mutuelles de santé dans cette politique.



Mission du PASS au Sénégal : à la rencontre des acteurs de la protection sociale en santé

Du 20 au 25 octobre 2014, le PASS s’est rendu à Dakar au Sénégal afin de réaliser un premier état des lieux de la couverture du risque maladie. Au cours de sa mission, le PASS a pu rencontrer des acteurs ministériels, internationaux, et mutualistes du Sénégal.

Depuis l’élection de Macky Sall à la présidence en 2012, la couverture maladie universelle a été érigée comme priorité de l’agenda politique. Le gouvernement entend s’appuyer sur les mutuelles de santé communautaires pour étendre la couverture maladie de base dans les régions rurales, auprès des travailleurs de l’informel et des populations vulnérables. Tous les détails de cette politique se trouvent dans l’interview réalisée par le PASS avec la Ministre de la Santé, Madame COLL-SECK.




Mission de formulation des indicateurs de suivi et évaluation du programme

Du 3 au 14 novembre 2014 a eu lieu en Côte d’Ivoire la mission visant à finaliser le cadre logique et à formuler les indicateurs de suivi et d’évaluation du PASS. Un médecin expert en santé publique, proposé par l’ADECRI, s’est rendu sur place afin de rencontrer toutes les parties prenantes du programme.

Les entretiens réalisés ont permis de fixer au programme des objectifs et des activités réalistes pour les trois années à venir, ainsi que des indicateurs précis permettant de mesurer la réalisation progressive de ces activités.



Le Réseau Education et Solidarité : un partenaire pour la diffusion d’une culture de la protection en santé dans la zone UEMOA

La mission du PASS au Sénégal fin octobre 2014 a permis de confirmer les axes de collaboration avec le Réseau Education et Solidarité.

A travers l’Internationale de l’Education, un des membres fondateurs du Réseau, les syndicats d’enseignants en Afrique de l’Ouest pourront être mobilisés sur les sujets suivants :

• Education des élèves et parents d’élèves à la prévention du risque maladie et sensibilisation au modèle mutualiste et à la protection sociale santé ;

• Sensibilisation des enseignants aux maladies professionnelles et développement de mutuelles de professionnels de l’éducation en articulation avec les régimes de couverture maladie existants.



Forum National de la Sécurité Sociale, Gabon

PASS est invité à participer au Forum National de la Sécurité Sociale du Gabon, qui se tiendra à Libreville du 21 au 22 novembre 2014. Au cours de ces assises seront abordées la question de la soutenabilité financière du régime de base de la sécurité sociale gabonaise, ainsi que celle de l’extension de la couverture sociale vers de nouvelles populations et pour de nouveaux risques.



Atelier technique régional de l’UEMOA sur l’extension de la couverture du risque maladie, Bénin

PASS sera représenté lors de l’atelier technique régional organisé par le Groupe de Travail Régional de l’UEMOA, qui se tiendra à Cotonou au Bénin du 24 au 28 novembre 2014. L’atelier a pour finalité de contribuer à une meilleure efficience, efficacité et durabilité des politiques et stratégies nationales des Etats membres de l’UEMOA en matière d’extension de la couverture du risque maladie. Le Comité Consultatif de la Mutualité Sociale sera représenté lors de cet atelier pour les pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali et Sénégal.


Un article de Martine Jacot paru dans Le Monde le 23 octobre 2014 :
« La France face au décollage économique de l’Afrique ».


PASS est le programme d’appui aux stratégies mutualistes de santé. Il accompagne les acteurs mutualistes des pays de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine. L’objectif ? Renforcer le mouvement mutualiste dans la région afin qu’il prenne une place prépondérante dans les développements actuels des socles de protection sociale. Véritable assistance à maîtrise d’ouvrage, PASS permet l’établissement de partenariats techniques, économiques et financiers entre acteurs mutualistes africains et français. Il participe également à la mise en place du premier bureau de liaison de l’Union Africaine de la Mutualité.

Ce programme est initié et conduit par : Fnmf, Mgen, Mgefi, Mnt, Matmut, Casden.
Il est soutenu au plan international par l’AISS, l’AIM et l’ICMIF, et au plan français par la MSA.


Pour plus de renseignements :

www.pass-mut.org

Jean Philippe HUCHET
Immeuble « Les Arcades »
Avenue Franchet d’Esperey, le Plateau
01 BP 4080 Abidjan 01
Abidjan – Côte d’Ivoire
Mob : 00 225 57 23 16 36
Fixe : 00 225 20 25 74 95
Mail : jph.pass@gmail.com

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Best-of de la semaine

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Retrouvez au fil de l'eau les actualités Mgefi sur : http://pressentinelle2.blogspot.fr/

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Les responsables de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Economie, des Finances et de l'Industrie, certifiée ISO 9001 par l'AFNOR, sont à disposition des journalistes pour livrer leur: regard, témoignage, ou expertise... sur tous sujets liés à la santé et la protection sociale.

 

La MGEFI en faits et chiffres

■ Créée le 13 septembre 2007.

■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

■ La MGEFI regroupe 278 300 adhérents et 340 800 personnes protégées.

■ 260 collaborateurs au service des adhérents.

 ■ Un réseau de 800 militants.

 ■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya

 ■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR

certification reconduite pour un an en juillet 2014

■ www.mgefi.fr

 

 TRES BON WEEK-END
 

jeudi 20 novembre 2014

Comment améliorer l'accès aux soins des personnes en grande précarité ?


Accès aux soins des plus précaires : Table Ronde au CESE

 

Vous trouverez en pièces jointes le communiqué et le dossier de presse relatifs à la Table Ronde organisée ce jour au CESE par la Fondation SAnofi Espoir avec ses  partenaires : Croix-Rouge française, Médecins du Monde, Samusocial de Paris et Solipam autour de la question : "Comment améliorer l'accès aux soins des personnes en grande précarité ?"

 

Pièces jointes (Le téléchargement peut prendre quelques secondes) :




 

Pour toute information complémentaire et/ou mise en contact avec les représentants de ces organisations.

Gabrielle Issaverdens & Camille Journet

01 45 03 89 96

MINE D'INFOS: Fais Confiance au Docteur !

MINE D'INFOS: Fais Confiance au Docteur !:                            « Fais Confiance au Docteur ! »  Invitation à la Conférence de Presse du collectif «  Africa Stop Ebola ...

Fais Confiance au Docteur !

                          

« Fais Confiance au Docteur ! »
 Invitation à la Conférence de Presse du collectif « Africa Stop Ebola »

Médecins Sans Frontières et le Collectif Africa Stop Ebola ont le plaisir de vous inviter à une

Conférence de Presse

Lundi 24 novembre 2014 à 12H00
au Siège de Médecins Sans Frontières,
8 rue Saint Sabin 75 011 Paris.
En présence de :
Tiken JAH FAKOLY, Barbara KANAM, Kandia KORA,
et (sous réserve) Mory KANTE et MOKOBE (113)
et de volontaires de Médecins Sans Frontières


Le titre AFRICA STOP EBOLA mobilise les plus grandes voix africaines francophones contemporaines (Tiken Jah Fakoly, Amadou et Mariam, Salif Kéita, Oumou Sangaré, Mory Kanté, Awadi…) pour adresser aux populations ouest-africaines des messages positifs, pratiques et percutants, déclinés en plusieurs langues, française et africaines.
http://www.youtube.com/watch?v=ruYQY6z3mV8

Tous les bénéfices de la chanson "Africa Stop Ebola" seront reversés à Médecins Sans  Frontières.

 

Contact Presse, ITW et invitations Plateau :
Samuel HANRYON / Pierre BORELLEsamuel.hanryon@paris.msf.org

 

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MINE D'INFOS: Contrats solidaires et responsables : la Mutualité...: Contrats solidaires et responsables : la Mutualité prend acte de la publication du décret et reste vigilante sur ses effets inflationniste...

Contrats solidaires et responsables : la Mutualité prend acte de la publication du décret

Contrats solidaires et responsables : la Mutualité prend acte de la publication du décret et reste vigilante sur ses effets inflationnistes



Etienne Caniard, président de la Mutualité Française, prend acte de la parution du décret définissant le cahier des charges des contrats responsables et introduisant notamment des plafonds de remboursement, signe de la volonté des pouvoirs publics de freiner la hausse des tarifs en optique et des dépassements d’honoraires. En revanche, il estime que, le niveau de ces plafonds étant trop élevé, cette réforme ne permettra pas de limiter l’augmentation de ces coûts de santé et des restes à charge pour les Français. De surcroît, ces nouveaux contrats responsables risquent d’avoir un effet inflationniste sur les cotisations, et rendre plus difficile encore l’accès à une complémentaire santé.



« Ce décret ne permet pas de tenir le double objectif d’accès à des soins de qualité et de régulation du système de santé », estime Etienne Caniard. 

 


UN RISQUE INFLATIONNISTE QUI PEUT PESER SUR L’ACCES A UNE COMPLEMENTAIRE SANTE
Le plafond de prise en charge des dépassements d’honoraires
des médecins (non signataires du contrat d’accès aux soins) est aujourd’hui trop élevé (125 % du tarif de la Sécurité sociale pendant 2 ans, puis 100 %). Le seuil fixé par le décret est largement supérieur à la moyenne des dépassements pratiqués par les médecins (80% pour les actes en dépassement dispensés par les médecins de secteur 2) risquant de les tirer à la hausse.



Les plafonds applicables à l’optique sont également supérieurs à la moyenne observée aujourd’hui et ne parviendront donc pas à faire baisser le prix des lunettes. Rappelons que le budget moyen des Français pour les lunettes est de 50 % supérieur à la moyenne européenne et que l’optique est la 2e cause de renoncement aux soins. C’est par le renforcement de la contractualisation entre financeurs et opticiens que le double objectif de qualité et de maîtrise des restes à charge pourra être atteint.

 

Le niveau et le périmètre global des obligations de prise en charge minimum, outre le coût supplémentaire pour les contrats, pénalisera les adhérents qui sont contraints de choisir une garantie limitée, qualifiée de non responsable et donc surtaxée -ce sera le cas des contrats « hospitaliers »- sans pour autant offrir aux adhérents une garantie minimale de prise en charge.


 



POUR UNE BAISSE SIGNIFICATIVE DE LA FISCALITE DES CONTRATS RESPONSABLES
La Mutualité déplore également l’absence de contrepartie fiscale qui permettrait de diminuer le coût des contrats. Compte tenu du renchérissement des contrats induit par ce décret, elle plaide pour un baisse significative de la fiscalité appliquée aux contrats responsables, avec un taux de taxe spéciale sur les conventions d’assurances (TSCA) revu au moins à 5 % au lieu de 7 % actuellement, dans une premier temps.



 


UN CALENDRIER DE MISE EN ŒUVRE TROP SERRE
Concernant l’entrée en vigueur de ces mesures, la Mutualité souligne les difficultés pour les mutuelles de mettre en œuvre dans des délais aussi serrés ces nouvelles règles d’une grande complexité, compte tenu de la parution très tardive de ce décret et de la date d’entrée en vigueur fixée au 1er avril 2015.



 


FAIRE CONFIANCE AUX ACTEURS
Enfin, la Mutualité appelle les pouvoirs publics à faire confiance aux acteurs. « Il faut que l'Etat prenne conscience qu’il doit jouer son rôle de régulateur, définir les grands objectifs, et permettre aux acteurs de les mettre en œuvre », estime Etienne Caniard. « Nous ne voulons plus être soumis à des textes qui fixent dans les moindres détails le contenu des contrats responsables, ou celui de l’aide à la complémentaire santé, bridant toute imagination des acteurs. »



La Mutualité Française réitère sa volonté d’ouvrir le débat sur le rôle des complémentaires dans le système de santé et sur l’ensemble « des aides directes et indirectes accordées au financement de la complémentaire santé, ainsi que sur une refonte de la fiscalité appliquée aux contrats » pour les mettre en cohérence avec les objectifs recherchés. Elle demande au gouvernement la production rapide du rapport prévu sur ces thèmes qui aurait dû être remis au Parlement le 15 septembre dernier, selon l’article 2 de la loi du 14 juin 2013.

 

 


À propos de la Mutualité Française

Présidée   par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des   mutuelles santé en France, soit 450 mutuelles. Six Français sur dix sont   protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions   de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

Les   mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après   la Sécurité sociale. Ce sont des sociétés de personnes à but non lucratif :   elles ne versent pas de dividendes. Régies par le code la Mutualité, elles ne   pratiquent pas la sélection des risques.

Les   mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une   action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers   près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes :   établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique,   établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux   personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents   tout au long de leur vie, elles mettent à leur disposition Priorité Santé   Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien   sur des questions de santé.

La   Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la   santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et   d’accompagnement.

 
 
 
 

 

 

MINE D'INFOS: SES s'associe à la lutte contre le virus #EBOLA

MINE D'INFOS: SES s'associe à la lutte contre le virus #EBOLA: SES S’ASSOCIE À LA LUTTE CONTRE LE VIRUS EBOLA LUXEMBOURG & ACCRA, Ghana - 10 novembre 2014 - SES (bourse NYSE Euronext Paris e...

SES s'associe à la lutte contre le virus #EBOLA

SES S’ASSOCIE À LA LUTTE CONTRE LE VIRUS EBOLA

LUXEMBOURG & ACCRA, Ghana - 10 novembre 2014 - SES (bourse NYSE Euronext Paris et Bourse du Luxembourg : SESG) a lancé sur sa flotte une chaîne de sensibilisation dédiée au virus Ebola destinée à être diffusée par satellite en Afrique de l’Ouest. La chaîne, baptisée « Fight Ebola », sera accessible tant pour les téléspectateurs de programmes en clair que pour les abonnés des chaînes de TV payante, et transmise depuis le satellite ASTRA 2F à 28,2 degrés Est, et depuis le satellite SES-5 à 5 degrés Est. Elle vise à informer les populations des régions touchées à propos de la nature et des dangers de la maladie et des moyens pour la combattre.

 
Une partie de l’Afrique de l’Ouest est actuellement confrontée à la pire épidémie d’Ebola de l’histoire.

Le message de la chaîne insiste sur le fait qu'Ebola se propage, et qu’il est extrêmement important de se protéger ainsi que de protéger les familles et la communauté dans son ensemble. L’objectif de « Fight Ebola » est de faire mieux comprendre la maladie par la diffusion de contenus éducatifs et factuels.

« Grâce à cette chaîne, nous espérons mieux éduquer la population. Nombreux sont ceux qui ne comprennent pas cette maladie et par conséquent, et c'est tragique, ne cherchent pas à obtenir les soins médicaux dont ils ont besoin. Fight Ebola diffuse du contenu pour les millions de personnes qui doivent être informées des risques liés au virus Ebola. Le contenu de la chaîne provient de sources multiples avec l’aval du Ministère luxembourgeois de la Santé », a déclaré Ibrahima Guimba-Saidou, premier vice-président chargé des activités commerciales en Afrique chez SES.

Les contributions en contenu sont prêtées à titre gracieux par de nombreux médias internationaux ainsi que par des organisations d’aide et autres institutions telles que l’UNICEF, Médecins sans frontières (MSF) et End Ebola Now.

Le programme bénéficie également de soutiens et d’appels de la part de joueurs de la première ligue de football britannique ayant des origines ouest-africaines, comme Didier Drogba et John Obi Mikel du Chelsea FC, Samuel Eto'o et Christian Atsu du Everton FC, Peter Odemwingie du Stock City FC et Emmanuel Adebayor du Tottenham Hotspur.

« Fight Ebola » est diffusée sur le satellite ASTRA 2F, répéteur n° 2, fréquence de réception : 11 595 MHz, polarisation : linéaire-verticale, modulation : DVB-S2 QPSK, FEC : 5/6, symbolrate : 30 Msps, et sur le satellite SES-5 à 5 degrés Est, répéteur n° 4 971, polarisation : linéaire-horizontale, fréquence de réception : 12 302 MHz, modulation : DVB-S2 QPSK, FEC : 3/4, symbol rate : 30 Msps. « Fight Ebola » est également disponible sur www.ses.com, www.youtube.com et  https://www.facebook.com/FightEbolaTV.

Pour plus d’informations contacter :

Markus Payer
Corporate Communications
Tél. : +352 710 725 500
Markus.Payer@ses.com

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À propos de SES

Grâce à sa flotte de plus de 50 satellites géostationnaires, SES est un opérateur de satellites de premier plan à l’échelle mondiale. L’entreprise fournit des services de communication par satellite aux télédiffuseurs, aux fournisseurs de services de contenu et Internet, aux exploitants de réseaux fixes et mobiles, ainsi qu’aux entreprises et organismes gouvernementaux du monde entier.

Au sein de l’industrie de la radiodiffusion, SES est synonyme de relations commerciales durables, de qualité de service et d’excellence. Issues d’horizons culturels divers, les équipes régionales de SES sont présentes partout dans le monde et travaillent en étroite collaboration avec les clients, afin de répondre à leurs besoins particuliers en termes de services et de largeur de bande satellitaires.

SES (NYSE Euronext Paris et Bourse du Luxembourg : SESG) détient des participations dans Ciel au Canada et QuetzSat au Mexique, ainsi qu’une participation stratégique dans O3b Networks, une start-up dans le domaine de l’infrastructure satellitaire. Pour plus d’information, rendez-vous sur : www.ses.com.

 

 

MINE D'INFOS: #Entretiens de Bichat : bilan et perspectives

MINE D'INFOS: #Entretiens de Bichat : bilan et perspectives: Paris, le 19 novembre 2014 Communiqué de Presse – BILAN et perspectives Les Entretiens de Bichat 2014 : le succès d’une rencontre ...