Nora ANSELL-SALLES

mardi 20 juin 2023

Lunettes : dernières tendances


 

 

INVITATION PRESSE

LE SILMO 2023 VOUS INVITE À DÉCOUVRIR LES DERNIERES TENDANCES EN OPTIQUE-LUNETTERIE

 

Le mercredi 12 Juillet à 10h00 au SO/Paris

(10 Rue Agrippa d'Aubigné, 75004 Paris - Métro : Sully-Morland)

 

 

Au programme, vous découvrirez :

●      les Tendances Design à venir

●      les Lunettes Responsables

●      les Innovations Technologiques

 

En présence de :

●     Amélie Morel Martin, Présidente du SILMO

●     Eric Lenoir, Directeur du SILMO

●     Dominique Cuvilliers, spécialiste des tendances en optique lunetterie

 

Ce point presse se terminera par une visite guidée de ce récent Hôtel parisien d’exception : SO Paris

 

 

Quelques tendances design présentées en avant-première :

 

PLAY COLOR

La tendance est aux nuances qui mettent du peps dans le regard ! Un  kaléidoscope de couleurs intenses est toujours à l’honneur avec des palettes  vives à base de fuchsia, orange, pêche, corail, jaune... qui contrastent avec le  vert bouteille et le vert kaki. Les noirs et les marrons ne disparaissent pas, bien au contraire, mais ils se déclinent en des harmonies profondes soulignées par  des pointes lumineuses qui les éclairent subtilement.

 

THINK BIG

Le maximalisme se porte bien ! On ose et on exagère ! Les lunettes adoptent  des silhouettes exubérantes, vibrantes et uniques aux courbes remarquables.  Les galbes et rondeurs — même pour les lunettes carrées aux angles arrondis  — sont en effet synonymes de personnalité n’hésitent pas à se faire voir, elles  donnent un sentiment de mouvement et de dynamisme, tout en dévoilant un  style fort et ergonomique. Ce maximalisme des formes trouve son inspiration  dans les années 70/80/90, un perpétuel esprit vintage réinventé et modernisé  pour les porteurs de lunettes du XXIe siècle… 

 

BE MIX AND MATCH

Loin d’être une tendance excentrique, le style Mix & Match est l’art de  mélanger, de composer, de recomposer les matières et les formes. En première  ligne, les lunettes combinées jouent la carte des hybridations créatives avec  des alliages de matériaux — acétate, métal, titane, bois… —, des effets de  surfaces associés — mat et brillant, lisse et reliéfé… —, et des structures  complexes et/ou audacieuses, mais pas trop, l’idée générale étant de réussir la  combinaison du classique et de la 

 
​Contact presse ;
Maëlle Garrido | RP du SILMO | +33.(0)6.12.70.77.30
Relations presse, relations publiques, et communication digitale
Salons & Evènements : www.naskas-rp.com


lundi 19 juin 2023

🟥 EXCLUSIF : Interview de Michel GBAGBO 🟥

Né le 24 septembre 1969 à Lyon, Universitaire et écrivain, député de Yopougon depuis mars 2021. Michel Koudou Gbagbo est aujourd'hui candidat aux municipales de Yopougon de septembre prochain.  Maître de Conférences en psychopathologie sociale à la faculté de criminologie de l’Université Félix-Houphouët Boigny d'Abidjan, auteur de nombreux ouvrages  parmi lesquels des recueils de poèmes, fervent militant politique, Michel Gbagbo est un homme aux multiples facettes... Mais qui est vraiment Michel Gbagbo... 


🎙NORA ANSELL-SALLES 
Bonjour Michel Gbagbo, bon nombre de lecteurs de "Mine d'infos" 
ont découvert votre existence, lors de votre arrestation. Ils ont été émus par la vidéo Bouteille à la mer lancée par votre mère à l’occasion de votre anniversaire durant votre détention. Les différentes actions spontanées réclamant votre libération ont maintenu les projecteurs sur votre sort... Nos lecteurs francophones (majoritaires aux États-Unis) suivent votre parcours et celui de votre père depuis de nombreuses années. Ils n'ignorent rien de votre métamorphose depuis votre libération. Mais si l'homme public est connu, on connaît très peu l'homme privé...


👉Si vous deviez faire votre auto portrait... que diriez-vous de vous ?

MICHEL GBAGBO :
La constance dans le respect de certaines valeurs. Et l’humilité au service du combat républicain ! Il faut être discret sans s'effacer.  Il faut être présent à la bonne adresse sans se renier et c'est mon combat de tous les jours !


👉Votre mère Jacqueline est française, votre père Laurent Gbagbo est ivoirien, vous avez vécu en France dans votre jeunesse, vous vivez depuis plusieurs années en Côte d’Ivoire...  Vous sentez-vous aujourd'hui plus Ivoirien que Français ?

MICHEL GBAGBO :
Je suis Français et Ivoirien, je me sens autant Ivoirien que Français. Il ne faut pas renier une partie de soi-même ! Et je prône l’égalité entre Occidentaux et Africains noirs ! Cependant, mon ancrage politique est davantage situé ici, en Côte d’Ivoire, qu’en France, où je n’exerce aucune responsabilité politique.
👉Quand avez-vous écrit votre 1er poème, vous souvenez-vous de son thème ?

MICHEL GBAGBO :
Cela se situe dans les années 1982-1983. J’en ai oublié le titre. Il débutait ainsi : « C’était pour lui un paradis… ». Il traitait avec nostalgie de mon départ de la Côte d’Ivoire pour la France afin d’y rejoindre ma mère et mon père parti, lui, en exil, un an plus tôt. Je devais avoir entre 12 et 13 ans.


👉A quand remonte votre 1er acte militant ?

MICHEL GBAGBO :
On pourrait peut-être appeler cela un acte syndical. J’ai participé dans les années 1985-86 (au moment de la cohabitation entre Chirac et Mitterrand) aux manifestations des élèves et étudiants. Un fait qui est resté gravé dans mon esprit à cette occasion fut le décès du jeune Malik Oussékine du fait des violences policières.
J’ai enrichi cette expérience par un engagement politique précoce à la fois dans des organisations politiques françaises de gauche et dans le MIDD (Mouvement Ivoirien pour les Droits Démocratiques), qu’on peut considérer comme l’ancêtre du FPI (le Front Populaire Ivoirien).
Tout cela, c’était avant de rentrer en Côte d’Ivoire dans les années 1987-1988.


👉Et votre 1er combat personnel ?

MICHEL GBAGBO :
Mon premier combat personnel – personnel au sens d’un engagement fort susceptible de modifier le cours de mon existence - remonte, en Côte d’Ivoire, aux ‘’années 1990’’. Cette époque a vu la participation – au péril de leur vie - de nombreux jeunes Ivoiriens à l’avènement de la FESCI (Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire) et au mouvement de démocratisation politique conduit par Laurent Gbagbo et le FPI (Front Populaire Ivoirien). Ma première incarcération pour raison politique remonte à 1992.


👉A quelle carrière vous destiniez-vous à 18 ans ?

MICHEL GBAGBO : 
J’ai eu un bac G2 (Comptabilité). Mais j’étais personnellement davantage attiré par les Sciences humaines et l’enseignement. Alors, entre des études supérieures techniques et de Sciences sociales, notamment en psychologie, c’est finalement cette dernière filière qui m’a ouvert les bras à l’Université. Je peux donc dire que j’ai mené les études que je souhaitais et exercé, au final, le métier de mon choix. 


👉A quelle époque et dans quelle circonstance la politique a-t-elle croisé votre route ?

MICHEL GBAGBO :
Au lycée puis à l’Université, je n’ai pas connu de chemin parallèle à la politique ; celle-ci a été très tôt présente dans mon existence. Il y a là peut-être une forme de déterminisme assumé, mon environnement ayant dû précocement exercer une pression morale sur moi. D’où mes choix, mon engagement. Je fus en effet un adolescent politisé, issu de milieux intellectuels au cœur de la contestation du Parti unique et de la dictature.


👉Par quel chemin détourné, ou pas, devient-on député ?

MICHEL GBAGBO :
Psychologiquement, je pense être devenu député par vocation de service ; car je suis venu à la politique par vocation de service. De manière plus concrète, j’aime à dire que chacun doit ‘’cultiver son jardin’’ ; autrement dit qu’il n’y a pas de parcours politique sans encrage local, sans base.  La mienne, c’est ce que j’appelle la ‘’ville‘’ de Yopougon. Il s’agit en réalité d’un quartier populaire d’Abidjan mais vaste et peuplé comme une véritable ville. C’est là que je milite et là naturellement que mon Parti m’a désigné, avec d’autres, et en alliance avec le PDCI-RDA (Parti Démocratique de Côte d’Ivoire - Rassemblement Démocratique Africain) pour compétir contre la mouvance présidentielle aux législatives en mars 2021. Nous avons remporté cette première élection. Et nous avons maintenant, nous l’opposition, le regard tourné vers les élections municipales de septembre 2023. Le véritable chemin, selon moi, c’est celui de la présence continue sur le terrain.


👉Lorsque vos parents ont divorcé, vous êtes resté avec votre mère en France. Puis vous avez décidé de rejoindre votre père en Côte d’Ivoire où votre père est devenu président... Vous doutiez-vous à cette époque à quel point son accession à l'élection suprême allait changer votre vie ?

MICHEL GBAGBO :
Toute mon école primaire, je l’ai faite en Côte d’Ivoire, aux côtés de mon père, séparé depuis longtemps de ma mère. Mon départ en France et mon retour en Côte d’Ivoire correspondent, peu ou prou, à sa période d’exil en France (de 1982 aux années 1988-1989).   
Cela dit, son accession à la magistrature suprême n’a pas bouleversé mon existence, sauf à me faire bénéficier assez vite d’un certain confort.  De façon ramassée, je me doutais un peu que les choses ne seraient plus comme avant. Puisque j’allais accéder à un autre statut, celui que les auteurs appellent par dérision celui du ‘’fils de Président’’. Heureusement, l’éducation que j’ai reçue m’a permis de garder la tête froide.  Et j’ai pu continuer ma vie en vue d’atteindre mes objectifs personnels par le travail.
Cette accession a par contre souvent modifié, et je le regrette, le regard de certains vieux amis dont les attentes personnelles ont pu être déçues par mon manque d’engouement pour certaines pratiques ; moralement, il y a des choses que je ne sais pas faire.
Mon père, lui, fidèle à ses valeurs d’abnégation au travail, a, à cette époque, insisté, allant même jusqu’à en parler avec mon épouse, pour que je soutienne ma thèse de doctorat, thèse qu’il percevait comme le résultat de mon propre combat intellectuel. Il voulait – et je l’en remercierai toujours - que je sois ce que je suis. Que je me réalise.


👉A quel moment, et dans quelle circonstance, avez-vous réalisé les conséquences du poids de votre patronyme sur votre vie ?

MICHEL GBAGBO :
A de nombreux moments. Parfois cocasses. Comme sur mon passeport diplomatique où à la rubrique profession il était mentionné : ‘’fils du Président de la République’’. Puis plus tard ‘’Fils de l’ex-Président de la République’’.
Plus généralement, de nombreuses marques d’affection ou de désapprobation à mon endroit peuvent être comprises comme l’expression détournée de sentiments positifs ou négatifs à l’endroit d’un Laurent Gbagbo au nom parfois trop grand.  Il y a de cela quelques jours d’ailleurs, un homme ne me disait-il pas, paraphrasant la Bible : ‘’Qui a vu le fils a vu le Père’’ ? Ce nom, je le porte avec fierté et m’efforce de le garder sans tâche.
Pour répondre avec plus de précision encore, je pourrais vous évoquer deux évènements. 
Le premier est celui de ma première arrestation en 1992 pour ‘’flagrant délit de trouble à l’ordre public et destruction de biens d’autrui’’ alors même que j’étais simplement allé m’enquérir de l’état de santé de mon père détenu dans un camp de gendarmerie.
Le second se situe en 2011 où de la prison, dans le nord-est de la Côte d’Ivoire, j’entends à la radio le premier ministre, alors en conférence de presse, justifier mon incarcération par le fait que je sois le fils du Président Laurent Gbagbo et que l’on m'ait trouvé à ses côtés !


👉Fervent défenseur de la liberté, on vous dépeint comme un homme ayant des valeurs intrinsèques, défendant "bec et ongles" les principes de solidarité, de démocratie, d’alternance…

MICHEL GBAGBO :
Ce n’est pas forcement de moi seul que vous parlez là. En effet, chaque Parti, comme vous le savez, a des principes fondateurs. Les nôtres sont la démocratie, le socialisme, la souveraineté, le panafricanisme ; la solidarité entre camarades et entre citoyens du monde est une valeur presque naturelle chez nous, une attitude qui nous rassemble. Il est vrai que les contours idéologiques de notre nouveau Parti, le PPA-CI, peuvent paraître flous pour certains. Mais reste que la démocratie ou la lutte pour la démocratie est inscrite à son fronton. Le pouvoir doit être celui du peuple et non d’une caste. Il doit s’appuyer, y compris dans son contrôle, sur des Institutions fortes, et non exprimer la seule volonté d’un tyran ou d’un groupe de nervis à sa solde.

👉Vous définissez-vous comme un défenseur de la justice sociale, de l'indépendance économique de la Côte d’Ivoire ?

MICHEL GBAGBO :
Pas seulement de la Côte d’Ivoire. En effet, nous nous adressons à l’ensemble des Africains, y compris du Nord, en leur disant, comme Thomas Sankara, Kouamé N’Nkrumah,  Gamal Abdel Nasser, Nelson Mandela, Patrice Lumumba, que tout est possible, que tout est toujours possible comme en témoignent la vie et les hauts faits de ces personnes. Et qu’en matière de justice sociale, d’indépendance économique, l’Afrique, encore aujourd’hui, dispose de ressources susceptibles de profiter à la communauté pourvu que des dirigeants imprégnés du sens de l’État et de la volonté de servir prennent les mesures appropriées et s’émancipent de leur tendance à la rapine. De façon plus précise, à notre Congrès constitutif, Laurent Gbagbo indiquait une piste de solution pour réaliser cette indépendance : le panafricanisme, autrement dit le rassemblement de nos nombreux micro-états en de vastes ensembles intégrés capables de mesures politiques et économiques courageuses et cohérentes.
👉Et au sujet de la justice sociale ?

MICHEL GBAGBO :
Eh bien, selon moi, la première des justices sociales serait que soit fondé un État démocratique dont les décisions reflèteraient la volonté des peuples. Dans cet État à bâtir en Côte d’Ivoire, et dans d’autres pays africains, il faudrait que la propriété privée, les opinions personnelles ainsi que les droits civiques soient inaliénables. L’alternance pacifique au pouvoir m’apparait être une norme fondamentale si l’on veut que le pouvoir qu’exerce l’ÉTAT émane du peuple dans sa diversité et que la violence soit bannie de l’arène politique. Quant à la justice sociale, au sens où on l’entend d’ordinaire, c’est-à-dire fondée sur l’égalité des droits pour tous et de la possibilité égale de bénéficier des fruits de la croissance, elle est inscrite dans notre ADN. Nous sommes innovateurs en la matière puisque par exemple l’école gratuite et laïque, l’assurance maladie universelle, la libéralisation de la filière agricole, la décentralisation, sont de nous. Ces projets phares de Laurent Gbagbo sont malheureusement aujourd’hui noyés dans de l’incertitude.


👉 On dit de vous que vous êtes très intelligent, communiquant hors pair, charismatique sous une apparence trop ou faussement modeste... effacé malgré un caractère volontaire … De même, les vieux amis de votre père se méfient de votre soudaine appétence pour la politique... se plaisent à dire que votre parcours est pâle (à âge égal) comparé au sien... la jeune garde jalouse votre influence auprès de votre père et la confiance qu'il vous accorderait... On vous soupçonne d'avoir pris goût à la politique... et d’avoir désormais des ambitions politiques dépassant le poste de député/maire... Bref, vous faites peur. Vous reconnaissez-vous dans ce portrait ?

MICHEL GBAGBO :
Si on prend en compte certaines réserves, je me reconnais dans certains traits précis. Notamment en ce qui concerne mon ‘’appétence’’, comme vous dites, pour la solidarité, la justice sociale, la démocratie, la souveraineté. Je l’ai d’ailleurs indiqué un peu plus haut. Par contre, et que cela soit en bien ou en mal, je m’efforce de ne pas commenter certaines appréciations sur ma personne. Je laisse courir … Cela se sait, mes ambitions politiques demeurent assez mesurées. J’ai depuis longtemps exprimé mon intention de me mettre au service de la commune de Yopougon. Je dispose d’un programme bien structuré, ambitieux, et d’une équipe motivée et compétente, capable d’apporter un mieux-être aux populations qui y vivent. Je n’ai jamais encore exprimé d’autre ambition. Il y a déjà beaucoup à faire en matière de voirie, de salubrité, d’emploi, de formation professionnelle, d’autonomisation de la femme et de lutte contre la drogue et l’insécurité dans ma chère circonscription.


👉On vous reproche de ne pas parler Béthé...

MICHEL GBAGBO :
La question de la langue vernaculaire est plus large. Je n’ai pas eu l’opportunité de faire l’apprentissage du Béthé à mon jeune âge. D’ailleurs, nombreux sont les enfants de la nouvelle génération dont les parents, habitants de la ville, parlent de moins en moins leur langue maternelle à leurs enfants. Hélas. Que deviendront ces langues dans un siècle ? Il me parait important que leur enseignement soit institué à l’école, et que soit créé un Institut spécial des langues ivoiriennes destiné aux adultes, comme moi désireux de s’imprégner encore plus de leur patrimoine culturel local. Au plan politique, je n’ai heureusement pas à pâtir de cette situation, mon électorat étant urbain et assez diversifié. 


👉Quelles sont vos ambitions et projets pour la Côte d’Ivoire d'ici 5 ans ?

MICHEL GBAGBO :
Comme dans le sport, mon crédo est d’avancer match après match. Une fois élus, mon équipe et moi ne ménagerons pas nos forces afin de répondre au mieux aux préoccupations réelles de nos mandants. Comme il s’agira certainement d’une coalition, nos Partis verront par la suite le format à adopter pour les futures joutes électorales. A la question de savoir si j’envisagerai de me représenter dans cinq ans, quel que soit le score obtenu aux municipales de septembre 2023, je répondrai le moment venu.


👉Vous avez déclaré dans une interview que certains, lorsqu'ils vous voyaient, voyaient un petit bout de Laurent Gbagbo. Qu'en est-il aujourd'hui... Quelle est la part de GBAGBO en vous ?

MICHEL GBAGBO :
Tous les jeunes Ivoiriens d’ici et de la diaspora, tous les Africains, qui rencontrent les idées et le combat du Président Laurent Gbagbo pour la souveraineté de l’Afrique, ont du Laurent Gbagbo en eux. Cette question dépasse donc le cadre biologique. Elle relève d’une problématique politique. Le bombardement de sa résidence afin d’y installer son rival, ami de la FrançAfrique, son procès historique à la CPI aux Pays-Bas, dont il est revenu vainqueur, lui ont valu une aura jamais égalée en Afrique, sinon par Nelson Mandela. Des millions d’âmes ont été impactées par son leadership et sa vision précoce pour une Afrique souveraine. Ce sont ces millions d’âmes-là qui sont ses ‘’traces’’. Car la victoire psychologique qu’il a remportée, restera longtemps encore gravée dans l’Histoire. En ce sens, nous sommes nombreux à avoir, selon votre expression, ‘’un bout de Laurent Gbagbo’’ en nous. Car en l’espèce, c’est l’engagement politique qui crée le lien de famille.


👉Certains disent que vous ressemblez plus par votre physique et vos pauses photographiques à Gandhi qu'à votre père.

MICHEL GBAGBO :
Il ne suffit pas de posséder des traits de ressemblances avec certains personnages célèbres pour en être l’incarnation. Combien de Johny Halliday, d’Elvis Presley ou de Michael Jackson n’aurions-nous pas sinon ! J’essaie plutôt d’apprendre à travers l’expérience des autres. De m’enrichir de leur enseignement. De capter ce qui en eux me parait bon. Je pense au plus profond de moi que les actes doivent être motivés par des valeurs, surtout quand l’on se veut au service de la communauté. Comme député aujourd’hui, et peut être comme maire demain, comme enseignant, ou simplement comme homme, j’essaie de nuire le moins possible à mon semblable, de bannir la vénalité, et de mettre la solidarité et la tolérance au-devant de tout. Et c’est heureux que ces valeurs rencontrent celles du Président Laurent Gbagbo. Vous savez, ‘’l’’être humain est la plus précieuse des richesses’’. Penser ainsi, c’est exprimer selon moi une envie de dignité pour les autres, et pour soi-même. 


👉 Il n'y a pas qu'une vie dans la vie... A quoi pensez-vous en vous rasant le matin ?

MICHEL GBAGBO :
En tant qu’enseignant, quand je me rase le matin, je pense au savoir que je vais dispenser. C’est ma contribution quotidienne à l’effort de développement de ce pays. Le faire et bien le faire. Le travail est le meilleur moyen, selon moi, de servir sa foi. Après je pense aux pauvres, aux sans-abris, aux démunis. Et plus globalement, au scandale que constituent nos États, assis sur des richesses inestimables, quand périssent ses populations. La vénalité et la méchanceté des hommes me surprennent encore aujourd’hui, malgré l’âge. Mais je ne désespère pas. Je continue à vouloir contribuer, aussi modestement soit-il, à faire avancer les choses.


👉Vos diverses activités [enseignement/écriture politique] vous laissent – elles du temps pour continuer d'écrire ?

MICHEL GBAGBO :
Je reconnais que j’écris moins souvent qu’avant ; mais j’écris quand même car l’écriture reste pour moi une passion et un exercice intellectuel dont je ne peux me passer. Je dirais que j’écris plus pour moi-même maintenant qu’en vue d’une éventuelle publication. Mais cela viendra. 


👉Et la vie privée dans tout cela ?

MICHEL GBAGBO :
La vie privée est indissoluble de ma vie tout court. Mes enfants, mon épouse, sont en vérité le fondement de mon existence. Malgré toutes mes occupations, je parviens toujours à trouver du temps pour ma famille et certains loisirs partagés.
👉L'homme que vous êtes aujourd'hui a-t-il réalisé ses rêves d'enfant ?

MICHEL GBAGBO :
Quelques-uns, et pas tous évidemment. Je suis sur le chemin et j’apprécie ce qui a été déjà fait et je travaillerai à réaliser ce qui reste à faire. Au-delà cependant de cette ‘’comptabilité’’ des échelons que l’on peut gravir un temps, de ce que l’on peut gagner puis perdre, je me rends compte, aujourd’hui, que ce sont les enseignements qui constituent la véritable richesse et le véritable gain de l’existence. En ce sens, on ne finit jamais de vivre sa vie, on ne peut que l’améliorer. Ou s’en accommoder de mieux en mieux. Si vous me demandiez quel projet j’ai en réserve, je vous répondrai par contre que j’ai une espérance : ma plus grande espérance aujourd’hui serait que mes enfants trouvent le bonheur. Cela me donnerait, je pense, un sentiment de complétude.


👉Si vous aviez la possibilité de faire vous-même les questions/réponses laquelle vous seriez-vous posée et quelle réponse y auriez-vous apportée ?

MICHEL GBAGBO :
Ma question : Que faut-il pour un monde sans conflit ?
Ma réponse : L’ Amour, car seul l’amour entre les hommes permet la tolérance, l’égalité de tous et la paix. Je suis un homme simple vous savez. Mais un homme qui aime la vérité, et qui aime écouter, entendre. Il est vrai que notre monde est plein de conflictualités. Mais si chacun accepte ce que l’autre a à dire, dans la dignité, la tolérance, un mot important, et la justice évidemment, je pense que notre monde serait meilleur. 
Michel Gbagbo
dans le regard de 
Martin  Ziguélé

"Qui a vu le fils a vu le Père" c'est ainsi que je peux parler de ce que m'inspire Michel Gbagbo, le fils de mon aîné politique et idéologique. Il y'a des hommes qui sont comme cette pleine lune qui illumine le ciel en pleine nuit.  Elle permet de voir l'essentiel et d'avancer, et ne se préoccupe guère du superfétatoire. Michel Gbagbo est assurément mur et dense. Il reflète l'image d'un homme certes jeune encore mais qui a été affermi par les blessures et autres accidents de la vie politique en Afrique. Tenir à son idéal politique de manière constante et sur deux générations en Afrique est un parcours singulier. Nous avons connu le père, nous avons plaisir à connaître le fils dont la fermeté des convictions politiques démocratiques sont clairement exprimées.

Le parcours politique qu'il commence également par la base, escalier après escalier, est également la marque de l'apport de cette culture française qu'il assume, et qui veut que tout politique ait un ancrage local.

Le parcours politique qu'il commence également par la base, escalier après escalier, est également la marque de l'apport de cette culture française qu'il assume, et qui veut que tout politique ait un ancrage local".

Martin Ziguele 
Député et ancien Premier ministre de la RCA 
Président du MLPC

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🫠Bien cordialement  Nora  ANSELL-SALLES  Rédacteur  en  chef  du Blog et des Veilles  "Mine  d'Infos "

Propos recueillis  par  Nora  Ansell-Salles auprès  de Michel Gbagbo et  Martin  Ziguélé

vendredi 16 juin 2023

Point Presse Académie de Chirurgie : Les maladies de la vision : les avancées et axes de recherche

Le Président de l'Académie Nationale de Chirurgie vous convie au Point Prese en zoom ou Présentiel 

Mercredi 21 juin de 13h30 à 14h15

Le futur de l'ophalmologie : Les innovations technologiques et fondamentales qui repoussent les limites.

L'Académie Nationale de Chirurgie reçoit un Médecin Chercheur de renommée internationale dont les travaux ont révolutionné le traitement des maladies de la vision. Le Professeur José-Alain SAHEL a consacré, pendant plus de 20 ans, ses travaux à la compréhension et la prévention des mécanismes de perte de la vision centrale (responsable de la lecture, de la reconnaissance des visages etc.) incurables par dégénérescence d'origine génétique, mais également à comprendre et à prévenir l'origine des dégénérescences maculaires liées à l'âge, la DMLA. 

La Pr. José-Alain SAHEL fera le Point sur :

- LES AVANCÉES MAJEURES dans le traitement et la prévention des maladies de la vision par dégénérescence d'origine génétique ou dégénérescences maculaires liées à l'âge : DMLA

- Et LES AXES DE RECHERCHE : cellules souches , Thérapie génique, rétine artificielle

Contact presse: 
Merci de confirmer Présentiel ou Zoom à 

Patricia BENITAH I Chargée des relations médias Académie Nationale de Chirurgie

« Les Cordeliers » 15, rue de l'Ecole de Médecine 75006 Paris

PB COMMUNICATION pbcom@pbcommunication.fr I+33(0)6.29.44.83.09 I
www.academie-chirurgie

ECLAE : le coffret Trio Estival


Communiqué de presse


ECLAE : le coffret Trio Estival


Découvrez le coffret Trio Estival d'ECLAE, composé de 3 essentiels naturels : gel douche, shampooing et baume hydratant. Chaque soin est formulé à partir de l'Algue Rose bio de Camargue, un puissant anti-oxydant.

Ses formats moins de 100 mL, en font la taille idéale pour partir en week-end prolongé sans se surcharger. 

Le coffret Trio Estival d'ECLAE, les bienfaits des salins de Camargue à mettre dans ses valises ! 



ECLAE - Coffret Trio Estival composé d'un shampooing Brillance Exquise 50 ml, d'un gel douche Douche Exquise 50 ml et d'un Baume Généreux 30 ml - 16,90€ 



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Disponible en pharmacie, institut, spa et sur www.eclae.com
À propos d'ECLAE
ECLAE est une marque cosmétique française créée en 2015 et développée au cœur de la Compagnie des Salins du Midi, leader européen du sel. ECLAE propose un rituel beauté complet avec pour ingrédient principal la Dunaliella Salina, une micro-algue que l’on trouve dans le salin d’Aigues-Mortes. Cette algue de couleur rose aux propriétés étonnantes confère aux cosmétiques une action remarquable sur l’hydratation, la protection et l’éclat de la peau. 

Contact Presse : 
Florence BERTHOLON / florence@agenceflag.com 
Agence FLAG : 74 rue de la fédération - 75015 PARIS - 01.58.60.24.24
Facebook : AgenceFlag / Twitter : @AgenceFlag / Instagram : agenceflag

C'est à lire 📚 : " Sous la Montagne de feu" de Sarah Lark au éditions "L' Archipel"


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Le nouveau roman de l'autrice  du pays du nuage blanc 

Nouvelle-Zélande, 1880. Aroha vit heureuse dans l’orphelinat que dirige sa mère Linda à Otaki,...
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lundi 12 juin 2023

"Personne n'est à l'abri" : sur Internet, la délicate lutte contre les escroqueries


A lire et faire lire...
https://www.europe1.fr/societe/personne-nest-a-labri-sur-internet-limpossible-lutte-contre-les-escroqueries-4182228

Covid long : la plateforme Post Covid NeuroPsy dévoile ses premiers résultats


Communiqué de presse

Paris, le 12 juin 2023

 

Troubles neuropsychiatriques liés au Covid long :

La plateforme Post Covid NeuroPsy dévoile ses premiers résultats

 

La Fondation FondaMental et Doctolib s’unissent pour rappeler l’importance du recours aux professionnels de la santé mentale dans les cas de Covid longs avec des symptômes neuropsychiatriques. Plus de 3 ans après le pic de la crise pandémique en France, plus de 60 % des personnes ayant répondu au questionnaire d’autodiagnostic en ligne de la plateforme Post Covid NeuroPsy ont un état de santé mentale jugé préoccupant.

Des troubles neuropsychiatriques persistants chez plus de 60 % des répondants

La plateforme numérique Post Covid Neuropsy a été développée par les experts de la Fondation FondaMental, en partenariat avec l’entreprise de design cognitif Humans Matter, avec le soutien de la Région Île-de-France (dans le cadre d’une Question d’intérêt majeur – QIM – en faveur de la santé mentale des jeunes Franciliens) et grâce au mécénat exclusif de la Fondation Marc Ladreit de Lacharrière. Elle permet le dépistage, l’évaluation et la prise en charges des symptômes neuropsychiatriques liés au Covid long. Face à l’enjeu de santé mentale et de santé publique, Doctolib rejoint l’initiative Post Covid NeuroPsy en permettant aux utilisateurs de la plateforme de prendre directement rendez-vous chez des professionnels de la santé mentale.

Post Covid NeuroPsy propose une auto-évaluation rapide (3 minutes) sur plusieurs symptômes caractéristiques de troubles neuropsychiatriques comme la fatigue, les troubles du sommeil, le manque d’attention ou le stress. Depuis novembre 2022, sur les 2 200 personnes ayant répondu :

Plus de 60 % ont un état de santé mentale jugé préoccupant.
94% déclarent être fatigués et rencontrer des difficultés à dormir ;
Plus de 90% soulignent des problèmes de mémoire et d’attention ;
Environ 80 % se sentent moins capables de dépasser leurs difficultés depuis le Covid ;
Deux répondants sur 3 déclarent avoir au moins un peu perdu confiance en eux depuis le Covid.
La consultation d’un spécialiste de la santé mentale est recommandée pour plus d’un répondant sur 5 (23%).
Selon le Pr. Marion Leboyer, directrice générale de la Fondation FondaMental, des troubles neuropsychiatriques peuvent apparaitre après une infection par la Covid-19, quelle que soit la gravité de celle-ci, et parfois près de 6 mois après l’infection. Elle insiste sur la nécessité d’une prise en charge spécialisée de ces patients par des professionnels de santé mentale pour éviter qu’ils ne développent des troubles neuropsychiatriques chroniques tels que la dépression, l’anxiété ou encore des difficultés cognitives. En effet, ces troubles s’ils ne sont pas pris en charge peuvent avoir un retentissement important sur le fonctionnement des personnes atteintes.

Informer et orienter les malades vers des professionnels de la santé mentale

Afin d’accompagner ses utilisateurs dans leur parcours de soin, la plateforme Post Covid NeuroPsy met à leur disposition :

Des ressources digitales pour faire face aux symptômes du COVID Long et mieux comprendre la maladie.
Un programme d’accompagnement personnalisé conçu par des experts de la santé mentale, avec une batterie de tests permettant une évaluation plus précise des troubles. Ces résultats sont regroupés dans un bilan qui peut être utilisé par le patient dans le cadre de son parcours de soin avec un professionnel de santé.
Un annuaire des professionnels de santé permettant une prise de rendez-vous rapide grâce à Doctolib.
 « Les résultats de la plateforme Post Covid NeuroPsy sur ces six premiers mois révèlent l’importance des conséquences neuropsychiatriques du Covid long dans la population », affirme Marion Leboyer, directrice générale de la Fondation FondaMental. « Ces symptômes persistants et invalidants ont un impact bien réel sur la qualité de vie des personnes malades. Si on éprouve des difficultés, il ne faut pas hésiter à consulter un spécialiste de la santé mentale. »

« Nous sommes fiers de nous associer au projet Post Covid NeuroPsy pour accompagner les patients vivant avec des troubles neuropsychiatriques dus à une infection par la Covid-19 », souligne Jean-Urbain Hubau, Directeur Général France de Doctolib. « Face au Covid long, nous voulons rappeler ensemble l’importance du recours aux professionnels de la santé mentale comme les psychologues et les psychiatres qui ont un rôle de plus en plus central dans notre système de soin. »

Lien vers la plateforme : Post Covid NeuroPsy - Accueil

A propos de la Fondation FondaMental :

La Fondation FondaMental est une fondation de coopération scientifique dédiée à l’amélioration du diagnostic, de la compréhension et du traitement des maladies mentales. Elle allie soins et recherche de pointe pour promouvoir une prise en charge personnalisée et multidisciplinaire des patients et pour soutenir la recherche et l’innovation dans l’amélioration des stratégies diagnostiques et thérapeutiques des maladies mentales.

Elle peut recevoir des dons et des legs.

www.fondation-fondamental.org

A propos de Doctolib :

Depuis 2013, Doctolib poursuit un seul objectif : œuvrer pour un monde en meilleure santé. Grâce à sa technologie et ses services innovants, Doctolib améliore le quotidien de plus de 340 000 personnels de santé. Doctolib accompagne également plus de 70 millions de patients à travers l’Europe, en créant des parcours de soins plus rapides et fluides, de manière sécurisée. Doctolib est présent dans plus de 30 villes en France, en Allemagne et en Italie. Ses 2 800 collaborateurs sont pleinement engagés pour améliorer le secteur de la santé avec une approche centrée sur l’humain et un esprit entrepreneurial.

www.about.doctolib.fr

Pour en savoir plus sur la Région Île-de-France :

La Région Île-de-France soutient la recherche francilienne en concentrant ses financements sur des enjeux majeurs. Sa stratégie vise à soutenir des Domaines de recherche et d’Innovation Majeurs (DIM) et des Questions d’Intérêt Majeur (QIM) qui sont des programmes de recherche sur des thématiques à forts enjeux scientifiques ayant des impacts sociétaux ou économiques pour l’Île-de-France et ses habitants. La plateforme numérique « Post COVID NeuroPsy », fait partie du projet QIM CASSANDRE retenu par la Région et son Conseil Scientifique Régional (CSR) pour traiter de l’impact du coronavirus-2 sur la santé mentale des jeunes franciliens. Ce projet bénéficie d’un soutien régional de 1,5 M€ sur 3 ans.

https://www.iledefrance.fr/recherche-4-questions-dinteret-majeur-pour-lile-de-france

 
Contact presse : Mathilde Couderc – mathilde.couderc@agence-constance.fr –

dimanche 11 juin 2023

SOLAIRES - Eté 2023

Vive les montures solaires
de marques françaises engagées ! 
L'été est (presque) là ! Les lunettes solaires suivent les rythmes saisonniers et les méandres créatifs de la mode et du design pour inspirer des courants esthétiques au style original... Et si on alliait le style à nos valeurs : on privilégie les créateurs français qui s'engagent pour la planète !  

 

ZOOM SUR UNE SELECTION QUI DETONNE !
 

TRENDS SILMO PARIS 2023*
#SILMO
 

*Salon Mondial de l'Optique - Paris - Du 29 septembre au 2 octobre 2023

 

 

 

OTAAKI  
Le développement durable et l’économie circulaire sont omniprésents chez otaaki™. 
OtaakiTM est une marque de lunettes engagée, proposant des lunettes de lecture, de soleil et pour les écrans, non-genrées, faites pour vous accompagner partout, dans chaque moment de votre journée. Toutes les lunettes, imaginées et dessinées à Paris, sont fabriquées à partir de matériaux durables ou revalorisés. Chez OtaakiTM chaque détail est poussé vers l’excellence pour garantir des lunettes aussi confortables qu’intemporelles.

Pour en savoir plus

Modèle MELATI - OTAAKI

Trends Silmo Paris 2023


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Découvrir tous les coloris
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Wave of Wood
L'écologie à la française (bois et minéraux)
Les 70 étapes de fabrication d'une monture Wave of Wood sont réalisées dans notre atelier situé à Chaumes-en-Retz, près de Nantes. Seule l'équipe Wave of Wood travaille sur une Wave of Wood du dessin de la monture, à sa mise en étui. Ainsi vous savez ce que vous achetez : des lunettes 100% FABRIQUÉES EN FRANCE dans le respect de l'environnement.

En savoir plus

 

Modèle Baobab - Wave of Wood

Trends Silmo Paris 2023


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Découvrir tous, les coloris
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MAIWAX
Le coton comme matière première 
Toutes les montures Maïwax sont fabriquées à partir d’acétate de cellulose.​ L’acétate de cellulose est un plastique naturel obtenu principalement à partir de coton. Grâce à un long processus de fabrication, la fibre végétale se transforme en feuille rigide et brillante. ​​L'acétate de cellulose obtenu se distingue ainsi par ses propriétés biodégradables et hypoallergéniques, un gage de confort de durabilité à la hauteur des créations Maïwax.

 

En juin 2015, Maïmouna Opticienne Lunetière se lance dans le projet Maïwax.

Constatant l’uniformisation chromatique des montures et l’absence de monture colorée en magasin, elle décide de répondre avec originalité à une demande croissante des clients.


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En savoir plus
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Ozed
Métal et bois recyclé 
Collection Eté 2023 - LINEA

Chaque monture est traversée par une ligne qui donne son identité et son caractère au modèle. Pour renforcer son empreinte sur la monture, cette ligne est teintée d’une couleur vive idéale pour l’été, ou conserve sa nature originelle en bois brut avec un jeu d’assemblage entre noyer et bouleau.

Comme pour nos collections précédentes, ces nouvelles montures sont réalisées à la main, en accord avec le savoir-faire de la lunetterie.

Elles sont fabriquées à partir de métal recyclé et de bois, qui sont des matériaux biosourcés et respectueux de l’environnement, toujours selon les valeurs d’OZED.

Découvrir la collection LINEA 

Modèle Adda - Ozed  

Trends Silmo Paris 2023


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 LE SAVIEZ-VOUS ?
 

Old in the new cool  

 

LA SECONDE MAIN : C'EST TENDANCE !
 
 

TRENDS SILMO PARIS 2023*

#SILMO

 

« Old in the new cool » : au niveau mondial, ce marché pèse désormais plus de 120 milliards d’€ (mode et accessoires) avec une croissance exponentielle année après année. 

 

Dans le secteur de la lunetterie, des opticiens et des sites spécialisés proposent déjà des montures reconditionnées, en majorité des solaires, l’enseigne, a la fibre solidaire Écouter Voir, gérée par les organismes adhérents à la Mutualité Française, a décidé de sauter le pas. 

 

Elle s’est associée avec Zac, une start-up lilloise spécialisée dans le reconditionnement des lunettes de seconde main, pour fournir des montures griffées remises en état et vendues au prix unique de 69 €. Écouter Voir tester son engagement dans une dizaine de points de vente, avant de le déployer dans tout son réseau qui compte 1200 points de vente. 


💇🏼‍♀️UNE CRINIÈRE de sirène 🧜🏼‍♀️ pour la RENTRÉE 💜

Communiqué de presse

Rappel des horaires du 3018, numéro national contre les violences numériques

En écho à l’actualité récente trop souvent marquée par des drames, je souhaitais vous rappeler par ce message que le 3018, le numéro national pour les jeunes victimes de violences numériques et leurs parents (gratuit, anonyme et confidentiel) est ouvert tous les jours de l’année, 7 jours sur 7, de 9h00 à 23h00 depuis le 8 février 2023, et non du lundi au samedi de 9h00 à 20h00 comme c'est encore trop souvent indiqué.

Le 3018 est le seul numéro en France qui peut recueillir la parole des enfants et des parents confrontés à des violences numériques, à du harcèlement ou du cyberharcèlement. La plateforme est composée de psychologues, de juristes et de spécialistes d’internet.

Le 3018 est en mesure d’agir et de faire supprimer en quelques heures des comptes ou des contenus préjudiciables.

Le 3018 est signaleur de confiance auprès de 17 réseaux sociaux ou plateformes (Facebook, Instagram, Twitter, Snapchat, TikTok, Youtube, Roblox, Discord, Yubo, Myme, Onlyfans, Mindgeek, …) dans le cadre du dispositif européen Safer Internet.

Les enfants et les familles peuvent joindre directement la plateforme par téléphone, par Tchat en direct via le 3018.fr , sur les messageries des réseaux sociaux et via l'application 3018.

L’application 3018 téléchargeable gratuitement sur tous les smartphones (iOS ou Android) propose :
● Une prise de contact instantanée au travers d’un tchat avec un professionnel du 3018, ainsi que le contact direct au numéro national 3018 ;
Le stockage des preuves du harcèlement vécu (captures d’écran, photos, liens url, etc.) dans un coffre-fort numérique et sécurisé, ainsi que la possibilité de transférer tout ou partie de ces preuves aux équipes du 3018 ;
● Un accès rapide à des fiches pratiques sur le cyberharcèlement pour s’informer sur ses droits et savoir comment réagir ;
● L'auto-évaluation de sa situation à l’aide d’un questionnaire, pour encourager la victime à demander de l’aide.

En 2022, le 3018 a reçu 25 000 appels et fait supprimer 10 000 contenus.

Je vous joins les communiqués sur le lancement de l’appli le 7 février 2022 et sur l’extension des horaires depuis le 8 février 2023.

Le 3018 est opéré par l’Association e-Enfance. Reconnue d’utilité publique, l’Association e-Enfance est la référence pour la protection de l’Enfance sur Internet et l’éducation à la citoyenneté numérique depuis 2005.

Merci par avance, si vous faites référence au 3018, de bien prendre en compte les nouveaux horaires.