Miel Abitbol, Lyynk, reçu à l’Élysée pour parler de la santé mentale des jeunes...
🔷️ Les conseillers du président de la République ont reçus le 15 avril dernier à l’Élysée l’équipe de Lyynk composée de Miel Abitbol, Guirchaume Abitbol et du Dr Claire Morin.
Cette rencontre concrétise l’engagement pris par Emmanuel Macron suite à l’interpellation virale de Miel sur les réseaux sociaux.
Une réunion jugée constructive autour d’un sujet devenu urgent : la santé mentale des jeunes.
leur bien-être.
Un signal fort attendu d’ici mai
Alors que la santé mentale est une grande cause nationale 2025, cette réunion à l’Élysée pourrait marquer un tournant. Lyynk attend désormais des engagements concrets d’ici le mois de mai, avec l’espoir que les premières mesures soient lancées à cette échéance.
Miel Abitbol conclut : “Ce n’est qu’un début. Ce qu’on a vu aujourd’hui, c’est que la porte est ouverte. Maintenant, nous voulons que les jeunes sentent qu’ils ont été entendus, et que leur santé mentale compte vraiment.”
Affaire à suivre...
Un moment d’écoute pour une jeunesse en détresse
Durant la matinée, les conseillers de l’Élysée ont pris le temps d’écouter les propositions portées par Lyynk et les témoignages récoltés auprès de milliers de jeunes avec comme conclusion que oui, la santé mentale est une urgence nationale, et que oui, des mesures concrètes doivent être prises rapidement.
Cet échange marque une étape décisive dans la mobilisation enclenchée par Lyynk depuis plusieurs mois : “Nous avons ressenti un véritable engouement autour du projet. Ce n’était pas une réunion symbolique, mais bien un moment de travail. Maintenant, il faut que les choses bougent.” déclare Miel Abitbol, créatrice de contenu et cofondatrice de Lyynk.
Des propositions claires, des solutions sans délai
Parmi les mesures prioritaires présentées et discutées lors de cette réunion figurent deux propositions largement plébiscitées par la jeunesse :
🟡 Trois demi-journées d’absence pour santé mentale, sans justification supplémentaire
Sur recommandation d’un médecin ou d’un psychologue, un jeune pourrait bénéficier jusqu’à trois demi-journées d’absence par mois pour souffler, consulter, ou se préserver. Une mesure à coût nul pour l’État, soutenue par 75 % des jeunes, selon une enquête Lyynk du 8 avril 2025.
🟡 “Respire” : une semaine sans devoir par trimestre, dès mai 2025
Pour réduire la pression scolaire, Lyynk propose d’instaurer une semaine sans devoirs chaque trimestre, à commencer par mai prochain. Cette pause permettra aux élèves de recharger, de participer à des activités extrascolaires et de se reconnecter à eux-mêmes. 83 % des jeunes y sont favorables.
Les deux mesures d'urgence seront présentées au Ministère de l’Education Nationales rapidement. Ces premières propositions sont simples, efficaces, et applicables immédiatement. Le message est clair : il faut des actes visibles, rapidement pour une jeunesse en détresse.
Des chiffres qui montrent l’urgence
Les chiffres issus de l’enquête menée par Lyynk auprès de 16 090 jeunes, datée du 8 avril 2025, sont sans appel :
37 % se disent mal ou très mal ;
41 % estiment avoir une santé mentale “moyenne” ;
94 % jugent que le personnel éducatif n’est pas suffisamment sensibilisé à ces enjeux.
Au-delà de la souffrance individuelle, c’est un système éducatif à bout de souffle qu’il faut repenser. 51 % des jeunes interrogés estiment qu’une réforme de l’école aurait un impact très important sur leur bien-être.
Un signal fort attendu d’ici mai
Alors que la santé mentale est une grande cause nationale 2025, cette réunion à l’Élysée pourrait marquer un tournant. Lyynk attend désormais des engagements concrets d’ici le mois de mai, avec l’espoir que les premières mesures soient lancées à cette échéance.
Miel Abitbol conclut : “Ce n’est qu’un début. Ce qu’on a vu aujourd’hui, c’est que la porte est ouverte. Maintenant, nous voulons que les jeunes sentent qu’ils ont été entendus, et que leur santé mentale compte vraiment.”
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