Adieu François, Bonsoir Léon XIV 🕊🕊🕊


 🖋 "Ce jour nous gardons une pensée émue pour le défunt pape François! 
Nous saluons avec joie, le nouveau pape Léon XIV qui est un grand cardinal et qui œuvrera dans l'intérêt de notre église universelle !

Nous l'assurons de notre totale loyauté dans l'accomplissement de son pontificat qui se base sur la paix !

Je souhaite à  sa sainteté bon pontificat !"


🖋 "Bonne route au nouveau pape Léon XIV !
1er Pape Américain.  

On le dit proche de son prédécesseur François. 

Loin d'être  pro Trump ce qui est rassurant."
Nora Ansell-Salles 




🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊🕊

🔺️ REGARD
de S.E. Pierre-Jean
GIRE : 

Nommé en 2013 ambassadeur de la fondation pontificale et interlocuteur privilégié, S.E. Pierre-Jean
Gire a eu l’occasion de suivre l’intégralité du pontificat de François, jusqu’à son décès survenu le lundi
21 avril 2025. 


Ce fut un pape à l’esprit vaillant, profondément dévoué à la cause des plus démunis, qui n’a cessé de rappeler à tous l’importance du respect de la dignité humaine et d’exhorter à l’humilité.

Lorsque François renonça aux fastes de la pourpre pontificale, délaissant le palais apostolique pour
s’installer à la résidence Sainte-Marthe, il adressa à l’Église un signal fort. 


Il gouverna avec autorité tout en conservant une grande simplicité. 

Pierre-Jean Gire, alors présent à Sainte-Marthe pour le week-end de Pâques, apprit avec une profonde tristesse le décès du pape, auprès de qui il avait travaillé pendant douze années. 

Il témoigne de son affliction de ne plus entendre, chaque matin, le Saint-Père se lever
depuis sa chambre située un étage au-dessus de la sienne. 


Chaque jour, à 6 heures, François célébrait la messe dans la petite chapelle de Sainte-Marthe avant de se consacrer à ses activités de chef d’État.

C’est également en ce lieu que ses proches ont pu lui rendre un ultime hommage, son corps reposant dans un cercueil de bois muni d'une vitre laissant entrevoir son visage serein. 

Il portait ses chaussures
orthopédiques noires symbole de sa simplicité, pour l’ultime voyage. 

Tout le personnel de la maison vint se recueillir, animé par la gratitude envers celui qui les avait toujours traités avec bienveillance.

En effet, lorsqu’il se rendait au réfectoire, il ne manquait jamais de saluer chacun par son prénom et de prendre des nouvelles de leurs familles.

Le mercredi suivant, son corps fut transporté en procession solennelle à la basilique Saint-Pierre,
escorté par les fidèles gardes suisses. 

Des milliers de personnes venues du monde entier affluèrent
pour se recueillir, rappelant que le pape demeure avant tout un chef spirituel indispensable à l'équilibre moral du monde par son rôle éthique et humaniste. 

Si ses positions ont parfois divisé, François a
profondément marqué les esprits par sa dévotion et son incessant rappel du besoin d’humanité. 

Le 26 avril à 10 heures, Pierre-Jean Gire assista à la messe d’obsèques du Souverain Pontife — depuis le balcon del majordiomo du palais épiscopal surplombant la place Saint-Pierre —, puis à la cérémonie
d’inhumation privée à la basilique Sainte-Marie-Majeure. 

Une fois encore, François rompit avec la
tradition en choisissant de ne pas reposer dans la nécropole de Saint-Pierre, affirmant ainsi qu’il ne se considérait pas comme plus important qu’un autre.

Nombreux sont ceux qui nourrissent l’espoir que le prochain pape s’inscrira dans la lignée de François : un pontife engagé dans des réformes profondes de l’Église, poursuivant son œuvre en faveur de
l’éducation, du service aux plus démunis, notamment des migrants, et continuant de replacer l’Église
"au milieu du village". 

Pour autant, selon l’adage, « celui qui entre pape au conclave en ressort cardinal». 

Dès lors, toute supposition concernant le successeur demeure incertaine, et il faut se souvenir de la surprise suscitée dans le monde entier lorsque Jorge Bergoglio se présenta pour la première fois au
balcon. 

Toutefois, François a pris soin de réformer la Curie et de renouveler le Collège cardinalice,
nommant près de 80 % des cardinaux électeurs qui auront à faire ce choix décisif, inspirés par l'Esprit Saint à partir du 7 mai. 

Parmi les papabili, le cardinal Luis Antonio Tagle, prélat philippin, pourrait bien avoir bénéficié du soutien de François. 

En effet, soucieux de l’évangélisation, François avait créé en
2022 le Dicastère pour l’évangélisation, dont il assuma personnellement la préfecture, tandis que le
cardinal Tagle en fut nommé pro-préfet — signe manifeste de la confiance qu’il plaçait en lui et de son souhait de le voir jouer un rôle de premier plan dans l’avenir de l’Église, et peut-être de devenir le
premier souverain pontife d’origine asiatique.

En ce lundi 28 avril, exactement une semaine après l’annonce du décès du pape François, Pierre-Jean Gire profite des jardins du Vatican pour rendre un dernier hommage à celui qu’il appelait affectueusement son « patron ». 

Puis, le regard tourné vers l’avenir, il se prépare à servir, avec la même fidélité, le successeur de celui qui l’avait nommé. 

La question du futur de l’Église reste entière : 
assisterons-nous à un retour en arrière sous l'impulsion d'une frange conservatrice, ou poursuivrons-nous l'élan de renouveau insufflé par François ?



Le Pape François est exposé dans la chapelle de la Maison Sainte-Marthe au Vatican. 🙏

✒️ L'heure n'est pas à la spéculation sur le nom du prochain pape .... mais au recueillement
Nora Ansell-Salles 



Un pape Africain est-il possible ❓️

À la mort d'un pape, chacun d'entre nous peut prendre la mesure de l'université de l'église...


🟥 RECUEIL DE TÉMOIGNAGES
Le 21 avril, le monde s'est arrêté un instant  pour pleurer la disparition d'un homme  de Dieu, d'un pasteur, d'un frère en humanité. Le pape François, né Jorge Mario  Bergolio, s'est éteint  à  l'âge de 88 ans, laissant derrière  un héritage spirituel, pastoral  et humain d'une profondeur rare.


✒️ Emmanuel  Macron 
De Buenos Aires à Rome, le Pape François voulait que l’Église apporte la joie et l’espoir aux plus pauvres. Qu’elle unisse les Hommes entre eux et avec la nature. Puisse cette espérance ressusciter sans cesse au-delà de lui.
                              
À tous les Catholiques, au monde éploré, nous adressons, avec mon épouse, nos pensées.


tradition chrétienne, les relations diplomatiques avec le Saint-Siège ne sont pas de simples exercices protocolaires : elles traduisent une rencontre entre les nations et la conscience spirituelle de l'humanité. 

Mon service en tant qu'ambassadeur du Bénin près le Saint-Siège (2010-2016) m'a permis de côtoyer le Pape François dès les premiers jours de son pontificat. 

À travers trois expériences fortes, j'ai découvert non seulement un homme d'Église habité par la tradition vivante de l'Évangile, mais aussi un visionnaire aux gestes prophétiques et profondément humains.

I UNE MÉMOIRE ECCLÉSIALE INCARNÉE : LE PAPE FRANÇOIS ET LE CARDINAL BERNARDIN GANTIN

Lors de sa première audience avec le Corps diplomatique, en mars 2013, le Saint-Père m'a glissé ces paroles, discrètes mais bouleversantes : « Le cardinal Gantin est un saint homme. »

Ce jugement, chargé d'autorité spirituelle, témoigne de la capacité du Pape François à reconnaître la sainteté là où elle s'est déployée dans le service caché et l'humilité. Le cardinal Bernardin Gantin (1922-2008), fils du Bénin, fut l'un des premiers africains à accéder aux plus hautes fonctions de la Curie romaine. Il a servi six pontificats, avec discrétion et sagesse.

Dans Gaudete et Exsultate , le Pape François rappelle que la sainteté n'est pas réservée à quelques privilégiés, mais qu'elle est souvent cachée dans « la classe moyenne de la sainteté » (n° 7) — ces hommes et femmes qui ont servi dans l'ombre, en fidélité. Cette vision rejoint la tradition patristique. Saint Irénée écrivait déjà :

« La gloire de Dieu, c'est l'homme vivant, et la vie de l'homme, c'est la vision de Dieu » ( Contre les hérésies , IV, 20, 7).

La reconnaissance implicite du Pape ouvre une voie : que la mémoire ecclésiale africaine, longtemps périphérique, soit intégrée dans le cœur vivant de la sainteté universelle.

II UN GOUVERNEMENT PASTORAL FONDÉ SUR LE DISCERNEMENT PERSONNEL

L'Église n'est pas une bureaucratie spirituelle. Elle est le peuple de Dieu en chemin, et son gouvernement doit refléter ce mouvement de discernement. Lors de la préparation de la visite officielle du Président de la République du Bénin au Vatican, j'ai découvert un aspect peu connu mais profondément révélateur du style de François : le Pape lui-même examine personnellement les dossiers et décide des dates des audiences , même si une date avait déjà été convenue avec les services diplomatiques.

Cette implication directe a provoqué une tension logistique — jusqu'à m'occasionner une nuit blanche — mais elle témoigne surtout d'une théologie du gouvernement que François a théorisée dès Evangelii Gaudium : « Le vrai pouvoir est le service » (n° 55),
et plus loin : « Un pasteur doit avoir l'odeur de ses brebis » (n° 24), en référence à sa fameuse homélie chrismale du 28 mars 2013.

C'est aussi l'écho d'une ecclésiologie trinitaire que saint Grégoire de Nazianze décrivait comme un équilibre entre l'unité et la personne : « Ce qui n'est pas assumé n'est pas guéri » ( Lettre 101 ).

Ainsi, en assumant personnellement les charges du gouvernement, le Saint-Père guérit la distance entre le sommet et la base, entre le protocole et la pastorale.

III UN CŒUR DE PÈRE : COMPASSION ET LOUANGE POUR LA FAMILLE

À la fin de ma mission diplomatique, accompagné de mes deux enfants Dyane (1981) et Jean-Yves (1983), d'un petit-fils (Roman RYSAVY) et de mon épouse Bernice, j'ai vécu un moment de grâce : le Pape, voyant mes deux enfants, s'enquit de leur situation professionnelle. Apprenant qu'ils travaillent tous deux dans la haute administration financière internationale, il leva les yeux au ciel et rend grâce à Dieu.

Ce geste, que seul un cœur pastoral peut poser dans la spontanéité, incarne la doctrine chrétienne de la famille comme communauté d'alliance et de mission. Dans Amoris Laetitia , François insiste sur la beauté de cette communion :

« Chaque famille est une lumière dans l'obscurité du monde » (n° 66).
Il y rappelle également que « la spiritualité familiale est faite de milliers de gestes réels et concrets » (n° 315).

La gratitude du Pape reflète aussi une théologie trinitaire de la reconnaissance. Saint Jean Chrysostome, parlant de la vie familiale, affirmait :

« Fais de ta maison une petite Église » ( Homélie sur l'épître aux Éphésiens , XX).

En louant Dieu pour la vocation professionnelle de mes enfants, François reconnaissait que la grâce se déploie aussi dans les structures du monde économique — un domaine qu'il invite à évangéliser non par la condamnation, mais par l'intégration et la présence chrétienne ( Fratelli Tutti , n° 123-124).

CONCLUSION

Le Pape François est un pasteur habité par l'Évangile vécu, un homme d'Église enraciné dans la tradition et pourtant ouvert à la nouveauté de l'Esprit. Mon expérience diplomatique m'a permis de percevoir trois de ses grandes qualités :

  • Sa mémoire spirituelle des saints vivants et cachés
    , telle que manifestée dans son hommage au cardinal Gantin.
  • Son mode de gouvernement personnel et discernant
    , à l'image du Bon Pasteur.
  • Son regard profondément paternel sur la famille
    , enraciné dans une théologie de la louange et de la compassion.

À travers ces signes concrets, j'ai vu s'incarner en lui cette Église « en sortie » qu'il appelait de ses vœux, selon les mots du Concile Vatican II : « L'Église se sait inséparablement liée à l'humanité et à son histoire » ( Gaudium et Spes , n° 1).


Ambassadeur Théodore C. LOKO Enseignant-chercheur Envoyé
Dans la tradition chrétienne, les relations diplomatiques avec le Saint-Siège ne sont pas de simples exercices protocolaires : elles traduisent une rencontre entre les nations et la conscience spirituelle de l'humanité. 

Mon service en tant qu'ambassadeur du Bénin près le Saint-Siège (2010-2016) m'a permis de côtoyer le Pape François dès les premiers jours de son pontificat. 

À travers trois expériences fortes, j'ai découvert non seulement un homme d'Église habité par la tradition vivante de l'Évangile, mais aussi un visionnaire aux gestes prophétiques et profondément humains.

I UNE MÉMOIRE ECCLÉSIALE INCARNÉE : LE PAPE FRANÇOIS ET LE CARDINAL BERNARDIN GANTIN

Lors de sa première audience avec le Corps diplomatique, en mars 2013, le Saint-Père m'a glissé ces paroles, discrètes mais bouleversantes : « Le cardinal Gantin est un saint homme. »

Ce jugement, chargé d'autorité spirituelle, témoigne de la capacité du Pape François à reconnaître la sainteté là où elle s'est déployée dans le service caché et l'humilité. Le cardinal Bernardin Gantin (1922-2008), fils du Bénin, fut l'un des premiers africains à accéder aux plus hautes fonctions de la Curie romaine. Il a servi six pontificats, avec discrétion et sagesse.

Dans Gaudete et Exsultate , le Pape François rappelle que la sainteté n'est pas réservée à quelques privilégiés, mais qu'elle est souvent cachée dans « la classe moyenne de la sainteté » (n° 7) — ces hommes et femmes qui ont servi dans l'ombre, en fidélité. Cette vision rejoint la tradition patristique. Saint Irénée écrivait déjà :

« La gloire de Dieu, c'est l'homme vivant, et la vie de l'homme, c'est la vision de Dieu » ( Contre les hérésies , IV, 20, 7).

La reconnaissance implicite du Pape ouvre une voie : que la mémoire ecclésiale africaine, longtemps périphérique, soit intégrée dans le cœur vivant de la sainteté universelle.

II UN GOUVERNEMENT PASTORAL FONDÉ SUR LE DISCERNEMENT PERSONNEL

L'Église n'est pas une bureaucratie spirituelle. Elle est le peuple de Dieu en chemin, et son gouvernement doit refléter ce mouvement de discernement. Lors de la préparation de la visite officielle du Président de la République du Bénin au Vatican, j'ai découvert un aspect peu connu mais profondément révélateur du style de François : le Pape lui-même examine personnellement les dossiers et décide des dates des audiences , même si une date avait déjà été convenue avec les services diplomatiques.

Cette implication directe a provoqué une tension logistique — jusqu'à m'occasionner une nuit blanche — mais elle témoigne surtout d'une théologie du gouvernement que François a théorisée dès Evangelii Gaudium : « Le vrai pouvoir est le service » (n° 55),
et plus loin : « Un pasteur doit avoir l'odeur de ses brebis » (n° 24), en référence à sa fameuse homélie chrismale du 28 mars 2013.

C'est aussi l'écho d'une ecclésiologie trinitaire que saint Grégoire de Nazianze décrivait comme un équilibre entre l'unité et la personne : « Ce qui n'est pas assumé n'est pas guéri » ( Lettre 101 ).

Ainsi, en assumant personnellement les charges du gouvernement, le Saint-Père guérit la distance entre le sommet et la base, entre le protocole et la pastorale.

III UN CŒUR DE PÈRE : COMPASSION ET LOUANGE POUR LA FAMILLE

À la fin de ma mission diplomatique, accompagné de mes deux enfants Dyane (1981) et Jean-Yves (1983), d'un petit-fils (Roman RYSAVY) et de mon épouse Bernice, j'ai vécu un moment de grâce : le Pape, voyant mes deux enfants, s'enquit de leur situation professionnelle. Apprenant qu'ils travaillent tous deux dans la haute administration financière internationale, il leva les yeux au ciel et rend grâce à Dieu.

Ce geste, que seul un cœur pastoral peut poser dans la spontanéité, incarne la doctrine chrétienne de la famille comme communauté d'alliance et de mission. Dans Amoris Laetitia , François insiste sur la beauté de cette communion :

« Chaque famille est une lumière dans l'obscurité du monde » (n° 66).
Il y rappelle également que « la spiritualité familiale est faite de milliers de gestes réels et concrets » (n° 315).

La gratitude du Pape reflète aussi une théologie trinitaire de la reconnaissance. Saint Jean Chrysostome, parlant de la vie familiale, affirmait :

« Fais de ta maison une petite Église » ( Homélie sur l'épître aux Éphésiens , XX).

En louant Dieu pour la vocation professionnelle de mes enfants, François reconnaissait que la grâce se déploie aussi dans les structures du monde économique — un domaine qu'il invite à évangéliser non par la condamnation, mais par l'intégration et la présence chrétienne ( Fratelli Tutti , n° 123-124).

CONCLUSION

Le Pape François est un pasteur habité par l'Évangile vécu, un homme d'Église enraciné dans la tradition et pourtant ouvert à la nouveauté de l'Esprit. Mon expérience diplomatique m'a permis de percevoir trois de ses grandes qualités :

  • Sa mémoire spirituelle des saints vivants et cachés
    , telle que manifestée dans son hommage au cardinal Gantin.
  • Son mode de gouvernement personnel et discernant
    , à l'image du Bon Pasteur.
  • Son regard profondément paternel sur la famille
    , enraciné dans une théologie de la louange et de la compassion.

À travers ces signes concrets, j'ai vu s'incarner en lui cette Église « en sortie » qu'il appelait de ses vœux, selon les mots du Concile Vatican II : « L'Église se sait inséparablement liée à l'humanité et à son histoire » ( Gaudium et Spes , n° 1).



Le Pape François était un pasteur libre, proche des faibles, bâtisseur de ponts et artisan de paix. Il nous a appris que le pouvoir est service. Par ses gestes et ses mots, il a rappelé l’essentiel : servir, écouter, aimer. Un homme de foi et d’espérance.



En ce lundi de Pâques, le pape François s’est éteint. 

Chef de l’Église catholique et voix écoutée dans le monde entier, il laisse derrière lui un message de paix et de fraternité universel.

Mes pensées vont aux catholiques endeuillés, en France et dans le monde.


"Le Christ est ressuscité! Cette annonce renferme tout le sens de notre existence, qui n'est pas faite pour la mort mais pour la vie."
🖤 Le dernier message du Pape François résonne ce matin avec d'autant plus de force au jour de sa mort en ce Lundi Saint. 🕊️ 
À tous les catholiques du monde entier que la force de la Foi emplisse nos cœurs. 🫶

Le pape François s’est éteint en ce lundi de Pâques. 

Tout au long de son pontificat, il aura incarné l’écoute, la simplicité et une profonde attention aux plus vulnérables et aux opprimés.
Jusqu'au bout il aura fait montre d'un courage exemplaire face à la maladie. 
En tant que députée des Français établis au Vatican, j’adresse mes sincères condoléances à la communauté catholique.

Propos recueillis  par  Nora  Ansell-Salles 



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