Nora ANSELL-SALLES

mardi 1 février 2022

QUELLE #MGEFI DEMAIN ?


https://vm.tiktok.com/ZMLNx2Scv


AVANT PROPOS:

Beaucoup de lecteurs du blog & des veilles "Mine d'infos" ont attiré mon attention  en privé  en fin de semaine dernière sur les décisions prisent lors du conseil d'administration de la MGEFI du 27 janvier dernier.

Certains sont revenus vers moi surpris que je ne fasse aucun échos à leur message... sur un sujet qui, pour certains d'entre eux, les inquiète particulièrement à titre personnel ou professionnel... et ce malgré les nombreuses "fuites" & articles sortis dans  la presse ces derniers jours...

L'avenir de la MGEFI ne m'intéresserait-il plus soudainement ??? 

Ma réponse simple est ailleurs: j'ai décidé d'attendre le communiqué  de presse officiel de la MGEFI pour livrer mon regard sur  le sujet sur Mine d'infos

La situation est suffisamment délicate pour ne pas relayer les on-dit. 

AFFAIRE À SUIVRE tout en gardant son calme... en évitant toute surenchère médiatiques.

Bonne lecture

Nora Ansell-Salles 

👉 La présente revue de presse sera actualisée régulièrement sur cette page.

https://vm.tiktok.com/ZMLNxrprJ/

La MGEFI un divorce et un ralliement
La Mgefi, seul opérateur référencé à Bercy jusqu’en mai 2024, couvre près de 82 % des personnels du ministère de l’économie et des Finances, dont les effectifs totaux attei
atteignaient, à fin 2019, 136 884 agents.© Eric Beracassat / Hans Lucas

Pour lire l’intégralité de cet article, connectez-vous ou testez gratuitement l’accès en mode abonné


Paris - 01 février 2022 : Fitch Ratings a placé la note de solidité financière (IFS) de l'assureur de la Mutuelle Générale de l'Economie, des Finances et de l'Industrie (MGEFI) sur "A+" sous surveillance négative (RWN). 
Dans le même temps, Fitch a confirmé les notations IFS « A+ » (Strong) des principales entités opérationnelles du Groupe VYV. Fitch a également confirmé la notation de défaut des émetteurs à long terme (IDR) de l'organe central du groupe, UMG Groupe VYV (VYV), à 'A'. Les perspectives sont stables.

  Dans le même temps, Fitch a confirmé les notations IFS « A+ » (Strong) des principales entités opérationnelles du Groupe VYV. Fitch a également confirmé la notation de défaut des émetteurs à long terme (IDR) de l'organe central du groupe, UMG Groupe VYV (VYV), à 'A'. Les perspectives sont stables.   



Nouveau divorce chez les mutualistes : la MGEFI quitte VYV pour la Matmut | Miroir Social

Les processus de rapprochement, regroupement ou fusion de mutuelles engagés ces dernières années, qui n'ont cessé de s'accélérer sous des formes les plus diverses, ont été régulièrement évoqués ici. Mais, comme on a pu le voir au fil des ans, au-delà des déclarations d'intention, des effets d'annonces et de la communication qui ont pu les entourer, certaines alliances programmées ou mises en œuvre se heurtent parfois aux histoires, aux cultures et aux effets de taille des différents éléments de ces groupes ainsi « recomposés », au sein desquels la vie de famille n'est pas toujours facile et surtout à la hauteur des attentes de chacun, y compris en termes de gouvernance.

 https://www.miroirsocial.com/participatif/nouveau-divorce-chez-les-mutualistes-la-mgefi-quitte-vyv-pour-la-matmut

Coup dur pour le groupe Vyv, dont le réseau de soins Kalixia est issu de la fusion entre Optistya et Kalivia : la Mgefi, mutuelle générale de l'économie, des finances et de l'industrie, a décidé, au terme d’un conseil d’administration jeudi 27 janvier, de quitter le groupe et de rejoindre la Matmut.

La Mgefi avait pourtant participé en 2017 à la création de Vyv en rejoignant l'Union mutualiste de groupe (UMG). Le groupe de protection sociale perd ainsi un partenaire de poids dans le cadre de sa stratégie Vyv 2025. Son ambition : accélérer son développement en matière d'assurance, de soins et d'accompagnement, et de logement. A l'horizon 2025, Vyv espère notamment devenir « un acteur de référence en santé visuelle, auditive et dentaire ».


Les mutuelles de la fonction publique chamboulent leurs alliances

Deux divorces, au sein des groupes Vyv et AG2R La Mondiale, viennent d'être annoncés.

La Mutuelle générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie (Mgefi) a pris ses propres salariés par surprise. Le groupe Vyv, dont la Mgefi fait partie, a confirmé que la mutuelle des agents de Bercy a décidé de quitter le giron du premier acteur mutualiste de la santé et de la protection...



MGEFI, Matmut et Vyv : Les raisons d’une rupture suivie de fiançailles

ANALYSE – Pourquoi la MGEFI, membre fondateur du groupe Vyv, a décidé de claquer la porte ? Pour quelle raison la mutuelle de fonctionnaires veut se rapprocher de Matmut ? Quelles seront les conséquences de cette rupture sur les relations entre Vyv et Matmut ?

le groupe Vyv muscle sa stratégie à horizon 2025

Avec l’adoption de son nouveau plan stratégique Vyv 2025, le groupe mutualiste entend faire rapidement la démonstration de la pertinence de son modèle original.

Et si 2022 était l’année zéro pour Vyv ?

Lire la suite de l'article:

Avec l’adoption de son nouveau plan stratégique Vyv 2025, le groupe mutualiste entend faire rapidement la démonstration de la pertinence de son modèle original.Et si 2022 était l’année zéro pour Vyv ?


Dans La Lettre de l’Assurance du… 31 janvier 2022

Cette semaine, politisation d’un directeur mutualiste, fonds croissance contre fonds euros, les assureurs ont choisi, Monceau innove et sert le taux, Mgefi s’en va de Vyv, c’est à lire dans La Lettre de l’Assurance du 31 janvier !

Fonction publique : MGEFI quitte Vyv et demande à rejoindre Matmut

Le conseil d’administration de la MGEFI a décidé de quitter le groupe Vyv pour rejoindre Matmut. C’est la deuxième demande de divorce en une semaine dans le paysage des mutuelles de la fonction publique.

Le groupe Vyv perd une mutuelle de fonctionnaires

Selon nos informations, le groupe Vyv enregistre le départ d’une mutuelle historique. Un coup dur au moment où le premier groupe mutualiste français déploie son nouveau plan stratégique Vyv 2025 avec l’ambition de peser sur la réforme de la protection sociale complémentaire des fonctionnaires.
C’est un mini-séisme qui traverse actuelle
le groupe Vyv avec le départ d’une de ses mutuelles 

Zoom sur la MGEFI :
La mutuelle générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, est une mutuelle de santé et prévoyance d'agents de la fonction publique d'État, dont le siège social est à Paris. Elle assure la protection sociale d'environ 330 000 personnes en 2017 et est dédiée aux agents des ministères économiques et financiers. Wikipédia

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La mutuelle générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, est une mutuelle de santé et prévoyance d'agents de la fonction publique d'État, dont le siège social est à Paris. Elle assure la protection sociale d'environ 330 000 personnes en 2017 et est dédiée aux agents des ministères économiques et financiers. Wikipédia
Création : 13 septembre 2007
Forme juridique : Société mutualiste
Effectif : 220 collaborateurs; 1 219 militants; 329 137 personnes protégées


dimanche 30 janvier 2022

Découvrez les 3 articles les plus lus cette semaine sur Mine d'Infos

Bonne lecture & bonne semaine à tous.


👉 A lire prochainement un article consacré à la #Mgefi.
"Quelle MGEFI demain ?"


Envie de partager une bonne nouvelle avec vous: 
Le blog "Mine d'infos" a franchi début 2022 les 18 millions de consultations. 
Merci à tous
pour votre confiance & fidélité.


1) "AGENDA "L'avenir des complémentaires santé" le  27 janvier (Université Paris Dauphine)".

2) 🚨"ALERTE INFO complémentaire santé : le gouvernement obtient un accord avec les syndicats".

3) "Y a pas qu'une vie dans la vie dans la vie  comme en témoigne Evelyne Delicourt-Massol journaliste santé".

jeudi 27 janvier 2022

Protection sociale dans la Fonction publique de l'Etat: un accord intéressant 🤔

Protection sociale complémentaire dans la fonction publique de l'Etat : un accord fondateur mais des réserves quant aux effets de sa déclinaison | Miroir Social

https://www.miroirsocial.com/participatif/protection-sociale-complementaire-dans-la-fonction-publique-de-letat-un-accord

mardi 25 janvier 2022

Pour être représentative, nous avons besoin de vos retours : Enquête Nationale Technologia

Merci à tous ceux qui ont déjà répondu à cette grande enquête.
Si vous n’avez pas eu encore le temps de le faire merci par avance pour votre participation.

ENQUÊTE NATIONALE - « Le monde du travail
                          et l’environnement »

Afin d’analyser les stratégies à l’œuvre (ou pas) dans le monde du travail en faveur de l’environnement, le cabinet Technologia lance en ce début d’année une enquête nationale appuyée par plusieurs grands médias.

Le cabinet adresse un questionnaire aux représentants du personnel et aux dirigeants issus de tous les secteurs de l’économie… de l’industrie, en passant par les services, jusqu’à la Fonction publique.

L’idée est de donner la parole aux « acteurs du terrain » car tout est écrit ou dit sur ces thématiques sans que ceux-ci ne soient réellement consultés.

Votre participation à cette enquête permettra de mieux comprendre entre autres :

  • Vos constats à l’échelle de votre entreprise / établissement public,
  • Les actions et moyens favorables à la protection de l'environnement qui vous sembleraient nécessaires voire indispensables à mettre en œuvre.

En espérant que cette initiative vous apparaitra pertinente et que vous pourrez y participer.

Merci à tous,
TECHNOLOGIA

Je participe au
                                      questionnaire

Durée : 5 mn environ
Ce questionnaire est libre d’accès, entièrement anonyme,
il n’enregistre aucune donnée personnelle.

En vous remerciant par avance pour votre participation,
L'équipe Technologia.

contact-communication@technologia.fr

🚨ALERTE INFO complémentaire santé : le gouvernement obtient un accord avec les syndicats

dimanche 23 janvier 2022

Y a pas qu'une vie dans la vie dans la vie comme en témoigne Evelyne Delicourt-Massol journaliste santé

Bonjour Evelyne Delicourt-Massol, si le monde de la santé (professionnels de santé, attachés de presse... et vos consœurs journalistes bien sûr) vous connaissent bien, certains de nos lecteurs un peu moins en revanche...  pourriez-vous brosser en quelques lignes votre portrait et  parcours professionnel ?

Blonde, aux yeux bleus, mes amis (es) me disent tonique, créative, artiste, plutôt bienveillante, positive, rassurante, gaie, quelquefois un peu autoritaire, tenace, volontaire, comme les béliers en général. Un BTS en main, j’ai commencé à travailler à 19 ans à l’Hôpital Américain de Neuilly comme secrétaire médicale où j’ai pu croiser de nombreux artistes et personnalités : Mike Brandt, Serge Gainsbourg, le Duc de Windsor et Wally, Jacky Kennedy,.. J’ai collaboré pendant 21 ans à L’Impatient, journal de médecines alternatives, puis pendant plusieurs années à un journal médical, Panorama du Médecin et à des journaux grand public comme Femme Majuscule, Pleine Vie, Top Santé.  Dans ma carrière, J’ai alterné entre médecines allopathiques et médecines douces mais mon cœur a penché du côté doux.

Evelyne Delicourt-Massol en quelques images

 https://vm.tiktok.com/ZMLRW1nSQ/


Quel est votre meilleur souvenir professionnel ?

La cueillette d’arnica montana dans un champ du Markestein en Alsace, un matin ensoleillé de juin. J’ai ramassé des gerbes d’arnica, jolies fleurs jaunes qui servent à faire des granules, de la teinture, des crèmes d’arnica. Un bon moment de partage avec les cueilleurs professionnels de plantes sauvages.

 Vous avez pris votre retraite en 2018. Pouvez-vous nous parler de votre nouvelle vie ?

Une vie dédiée au jardinage, à des cours, à l’écriture, à la peinture, aux balades au bord de la mer, aux rencontres amicales même si la Covid a changé nos modes de vie qui sont actuellement restreints.


Comment est née votre passion pour les chats ? Combien en avez-vous ?
Notre voisine a quitté son mari un beau jour en laissant 3 chattes. Lorsque nous sommes arrivés à la campagne, nous avons trouvé 11 chatons que nous avons adopté. Nous les avons fait stériliser avec l’aide d’une association et je leur ai donné des noms de fleurs : Aster, Mimosa, Narcisse, Gaura, Anémone, Phlox, Cosmos, Muscari, Lilas, Jasmin, Tournesol. Il m’en reste 7 actuellement. Ils vivent dans lune remise et ont des maisons pour s’abriter du froid ou de la pluie. Notre tout dernier Lupin, est un siamois de six mois qui vit avec nous et c’est mon chat qui ne me quitte pas d’une semelle.


- Pouvez-vous nous dire deux mots de votre activité d'autrice  commencée un peu avant votre retraite ?

Dans ma jeunesse, j’étais une fan d’Agatha Christie. J’ai dévoré tous ses romans et je me suis promis d’écrire un roman policier. Une anecdote ; j’ai eu la chance de faire un petit voyage en Orient Express. Dans le wagon restaurant, j’ai choisi une place pour déjeuner. Pendant ce repas, Le directeur des Wagons-Lits nous a raconté l’histoire de ce célèbre train et a désigné ma place car c’était la table d’Agatha Christie. Elle se mettait toujours près des cuisines pour avoir des plats chauds et pour écrire ses romans. Le hasard ou pas ?

Au journal l’Impatient, la vie n’était pas toujours rose et je m’étiolais. Au lieu de faire une dépression, je me suis lancée dans l’écriture avec un premier roman policier à compte d’auteur « Le Jardin d’Héliotrope », enquête avec un bel inspecteur Roberto Pasini, italien et épicurien. Cet ouvrage a été très bien accueilli. Donc un second « Le Clos des Iris » puis un troisième « Rose Pivoine » et le quatrième qui vient de sortir au Lys bleu éditions « LES DELPHINIUMS DE SAINT JEAN une enquête avec Aristide, détective privé, qui a la chance de posséder une villa à Saint-Jean Cap Ferrat. Ma signature, ce sont les titres de fleurs, le suspens, l’humour, l’amour, les fleurs, les jardins, la nature, les voyages. J’écris le cinquième « Les étoiles de Jasmin ».

J’ai mis en scène la vie de mes chats en créant une collection LES CHATS FLEURIS » dont TOURNESOL est le premier livre. Il raconte ses aventures dans le jardin extraordinaire où il côtoie toute une faune de petits animaux et d’insectes. En plus l’enfant peut illustrer chaque chapitre où une page blanche lui est dédié.

On peut les commander en librairie, au lysbleu.com, sur Amazon, Fnac.com ou chapitre.com

Tournesol 11,70 €  Les Delphiniums de Saint Jean 20,70 €

 

Quand avez-vous commencé à vous intéresser à l'aromathérapie... quelle part occupe t-elle dans votre vie aujourd'hui ?

Ayant eu des problèmes de santé, j’ai testé les traitements d’huiles essentielles qui ont réussi à me redonner du tonus et à soulager mes douleurs. J’ai enrichi mes connaissances avec des interviews de phyto-aromathérapeutes, des visites de laboratoires, des stages sur les huiles essentielles pendant mes collaborations à Top Santé, à Pleine Vie, Femme Majuscule. Aujourd’hui, dès que j’ai un petit bobo, je cherche l’huile essentielle magique qui me guérira et ça marche.

- Vous avez choisi, avec votre époux Philippe Massol ancien rédacteur en chef de Panorama du médecin,
de quitter Paris en 2018 pour vous installer dans le  Languedoc... la capitale ne vous manque t-elle pas trop ?

J’ai quitté Paris un soir de juillet où il faisait très chaud. J’ai claqué la porte de mon appartement dans le septième arrondissement où nous habitions depuis 30 ans et je ne l’ai pas regretté. J’ai beaucoup profité de Paris en marchant et explorant les quartiers, en visitant les monuments. Nous y sommes retournés plusieurs fois depuis mais j’ai eu l’impression d’être une invitée et de ne plus faire partie des Parisiens. Mes amies me manquent mais il y a le téléphone, les mails,Facebook, Messenger.

Vous êtes vous bien intégrée dans le village où vous avez élu domicile ? 

Je fais partie d’une association et je donne des cours d’aromathérapie sur deux ans. J’apprends à bien utiliser les huiles essentielles (HE) à mes élèves pour soulager les douleurs articulaires, les maux de l’hiver, gérer les émotions, bien dormir… Et j’ai du succès car mes cours sont bien appréciés ! Je leur transmets ma passion pour ces senteurs guérisseuses.
Dernièrement, j’ai proposé au comité des fêtes du village de Lacoste d’organiser un premier marché de Noël. Un challenge que je me suis lancé ! J’ai réuni une vingtaine d’artisans dans l’esprit du naturel, du savoir-faire manuel, de la gourmandise et du recyclage d’objets. Cette journée a été une réussite unanime côté vendeurs qui ont réalisé un bon chiffre d’affaires comme côté acheteurs qui ont découverts des produits locaux, originaux et authentiques. Nous avons de nombreux projets pour 2022.


- Vous êtes très active sur les réseaux sociaux où vous postez de très belles photos... une nouvelle passion ou un besoin de communiquer, partager ou garder le contact...

J’ai créé sur Facebook deux groupes, le premier les chats fleuris et le second, fleurs de bonheur. Mon but au début était de partager mes photos de chats, de fleurs, du jardin. Puis les groupes ont grandi avec 2500 amis pour les chats fleuris et 5000 amis pour Fleurs de bonheur ce qui me permet de correspondre avec certains ou certaines vraies amies que j’ai retrouvés. Pendant le confinement, les gens se sont beaucoup raccrochés à Facebook pour communiquer et les jolies photos de fleurs ou de chats leur donnaient un sentiment de ne plus être seuls mais faire partie d’un groupe. J’apprécie les commentaires qui me remercient et m’encouragent à continuer.



- Nombre de vos consoeurs vous surnomment " la dame en rose" référence à votre couleur préférée que vous arborriez souvent. En faite vous êtes une femme "poète" votre jardin doit-être à votre image pouvez-vous nous en dire quelques mots...

Le rose est une de mes couleurs favorites. Je me suis mariée en rose fuschia. Au stand fruits et légumes du marché de Saxe à Paris, on me surnommait « Madame Rose ». Le rose est la couleur de l’optimisme, du bonheur, de la tendresse, de l’harmonie et elle est seyante au teint.  

Mon jardin méditerranéen se compose de 7 restanques (terrasses) qui sont arborées et fleuries suivant les saisons. En ce moment, le mimosa va éclore ses jolies fleurs mousseuses de soleil. Notre jardin n’est pas à l’anglaise, ni à la française, mais à la Evelyne. Pas de perfection, pas de jardin paysager mais un jardin de fleurs aux mille couleurs, de senteurs, où les plantes s’entremêlent et choisissent leur emplacement.  Des essences du sud : 9 sortes de Jasmins, des rosiers, des agrumes, des lauriers roses, jaunes, blancs… Nous cultivons quelques légumes avec nos propres plants. Nous avons une vingtaine d’oliviers et nous donnons nos olives aux moulins à huile. Que du bonheur !

 

 

Pendant le confinement, j’ai ajouté à l’écriture, la peinture à l’huile pour immortaliser les fleurs de mon jardin. J’ai pris des tutos sur internet et je me suis lancée sans filet. J’ai fait deux expositions dans l’église désacralisée Saint Laurent à Saint-Guilhem-le-Désert, très joli village authentique et j’ai vendu mes œuvres et j’ai eu beaucoup de compliments même deux jolies petites filles ont adoré mes toiles mais n’avaient pas assez d’argent pour les acheter.  


Evelyne Delcourt Massol et Mine d'Infos

Adieu Micheline

Crédit photo Evelyne Delicourt Massol Micheline FOURCADE   Une consoeur vient de nous quitter  pour laquelle nous avions tous bea...

https://pressentinelle2.blogspot.com/2014/10/adieu-micheline.html?m=1

 

 ✒MESSAGE PERSONNEL À NOTRE 

 "LA DAME EN ROSE"

Chère Evelyne, chère consoeur, je tenais à profiter de cette interview pour te dire une grand merci, toi qui m'a accueilli  avec une grande  bienveillance,

à mon arrivée dans le métier, qui m'a intégré dans ton groupe de copines et  amies au fur et à mesure des conférences de presse, toi qui m'a présenté aux attachés de presse "qu'il fallait connaître", toi qui m'a régulièrement téléphoné pour me signaler les conférences de presse où il fallait être, qui m'a transféré les invitations presse à ne pas manquer...

Bref toi qui a guidé mes premiers pas qui m'a mis le pied à l'étrier.

A jamais reconnaissante

Nora Ansell-Salles



 

 


Découvrez les 3 articles les plus lus cette semaine sur Mine d'Infos

BONNE LECTURE


1) Lisez cet article : "Il n'y a pas qu'une vie dans la vie  : Yannick Barbançon lève le voile sur son violon d'Ingres...".

2)
Lisez cet article : "AGENDA "L'avenir des complémentaires santé" le  27 janvier (Université Paris Dauphine)".

3) Lisez cet article : "Le manager commercial de proximité, personnage clé de la transformation des réseaux du secteur Assurance et Protection Sociale".

samedi 22 janvier 2022

AGENDA "L'avenir des complémentaires santé" le 27 janvier (Université Paris Dauphine)

Bien que le colloque a été indéniablement une réussite, et qu'il apporté un certains nombre de réponses, il convient de garder l'oeil ouvert sur :

👉La question du 100% Sécurité Sociale qui reste  importante à clarifier...

👉Tout comme l'impact du 100% santé sur la gestion des mutuelles qu'il convient de suivre de  près...

👉Ainsi que les conséquences de la PSC des fonctionnaires sur les mutuelles...

En un mot il nous  faut être attentif aux évolutions...

En attendant de retrouver sur cette page le compte rendu des travaux de cette journée, en voici le replay:

🖥 REGARDER LE REPLAY 


👉UN COLLOQUE A NE PAS MANQUER :

« L’avenir des complémentaires santé » le  27 janvier prochain entre 9h00 et 13h00 en direct l'université de Paris Dauphine


Organisé par la Chaire Gouvernance et Régulation de l’Université Paris Dauphine-PSL, ce colloque réunira à la fois les auteurs des études récentes menées sur le sujet, des experts et universitaires spécialistes de l’économie de la santé ou des assurances, ainsi que des représentants des différentes parties prenantes concernées par la question (OCAM, autorités de santé, opérateurs du système de soins).


Le financement des dépenses de santé en France repose sur l’articulation de l’assurance maladie obligatoire (AMO), qui couvre l’ensemble de la population, avec les organismes d’assurance complémentaire maladie (OCAM) qui assurent 13,4 % des dépenses de santé au bénéfice de 95% de la population. Ces chiffres moyens masquent de très fortes disparités dans les taux d’intervention des différents vecteurs de financement : l’AMO couvre l’essentiel des dépenses d’hospitalisation, et les complémentaires couvrent, entre autres, 70% des dépenses d’optiques et 40% des soins dentaires.

La dualité du système de financement trouve son origine dans la création des mutuelles, d’un côté, des instituts de prévoyance, de l’autre, qui ont permis dès le XIXème siècle de mutualiser des risques sociaux, respectivement entre les membres d’une collectivité territoriale ou professionnelle, ou entre employeurs et salariés. L’État est intervenu plus tard, notamment après 1945, pour étendre la prise en charge à un spectre de plus en plus large de catégories de citoyens, jusqu’à garantir une couverture universelle. Cette couverture s’est également étendue au fil du temps à un nombre croissant de catégories de dépenses de santé. Néanmoins, la persistance d’une couverture partielle des dépenses par l’AMO a pérennisé une demande de couverture par un système privé d’assurance complémentaire.

Trois types d’acteurs, aux statuts, régimes fiscaux et modèles économiques différents interviennent dans ce secteur. Au côté des organismes sans but lucratif que sont les mutuelles et les instituts de prévoyance, on trouve les compagnies d’assurance et les bancassurances, attirées, notamment à partir des années 1980, par ce marché en croissance et relativement peu risqué. Ces acteurs ont fortement modifié les pratiques commerciales en différenciant les services proposés aux divers segments de clientèle. Ils ont introduit un fort degré de concurrence dans une activité qui, historiquement, était fondée sur des prestataires opérant de facto sur des marchés protégés. Cette concurrence a été renforcée par différentes interventions de la puissance publique qui y a vu un biais pour faire baisser les coûts de l’assurance complémentaire, et du coup faciliter l’accès aux soins.

Du point de vue des pouvoirs publics, les OCAM ont en effet constitué l’un des vecteurs ayant permis, au cours des dernières décennies, d’améliorer le taux de couverture des dépenses de santé, et partant l’accès aux soins des français, sans peser sur les prélèvements obligatoires. Cela a conduit la puissance publique à encadrer, via des dispositifs fiscaux, l’offre de service des complémentaires santé en instaurant à la fois des « planchers » de prestation et des « plafonds » de remboursement. Par ailleurs, la solvabilisation de la demande a été organisée en mettant en place des transferts fiscaux entre catégories d’assurés.

La combinaison du renforcement de la concurrence et de l’encadrement des pratiques contractuelles a toutefois eu des effets indésirables. L’empilement des réformes au cours du temps a en effet abouti à un système marqué par des inégalités entre assurés, un certain nombre d’inefficacités (telle l’inflation de certaines dépenses) tout en laissant persister des difficultés d’accès à certains types de soins pour une partie des assurés sociaux ou en générant des « reste à charge » élevés pour certaines catégories de dépenses.

Plusieurs rapports récents ont analysé ces dysfonctionnements et ont fait l’objet de discussions. Le Haut Conseil pour l’Avenir de l’Assurance Maladie (HCAAM), notamment, s’est penché sur l’organisation du système de financement de la santé et ses évolutions. Un débat s’est même engagé par voie de presse sur le développement d’une « Grande Sécu ». L’un des mérites du débat a été de souligner l’articulation de la question de l’organisation du financement des dépenses de santé avec des problématiques connexes comme la prévoyance, la prévention, la gestion des parcours de soins ou le financement de l’innovation. 

Plateforme d’échanges et de réflexions associant monde universitaire, acteurs de la décision publique et opérateurs des secteurs concernés par les régulations publiques, la Chaire Gouvernance et Régulation organise le 27 janvier 2022 une conférence qui réunira les auteurs des études récentes, des experts et universitaires spécialistes de l’économie de la santé ou des assurances, ainsi que des représentants des différentes parties prenantes concernées par la question : OCAM, autorités de santé, opérateurs du système de soins.

Il s’agira d’évoquer ensemble les problèmes soulevés par l’articulation entre assurance maladie obligatoire et complémentaires santé et de discuter des voies d’évolution qu’il est à la fois raisonnable et réaliste d’envisager pour renforcer la cohérence, l’efficacité et la dynamique de notre système de financement de la santé.

Ce colloque aura lieu en présentiel à Dauphine, avec diffusion des débats en ligne. Il donnera lieu à une synthèse écrite et à un montage vidéo, à l’image de l’ensemble des travaux de la Chaire.


 

PROGRAMME

Introduction : Eric Brousseau, Chaire Gouvernance & Régulation, Université Paris Dauphine-PSL

Table ronde 1 : Enjeux de l’articulation public-privé dans le financement de la santé et de l’offre de soin

Modérateur : Eric Brousseau, Directeur scientifique de la Chaire Gouvernance et Régulation

INTERVENANTS :

  • Brigitte Dormont, Professeure d'économie, Université Paris Dauphine-PSL
     
  • Carine Franc, Chercheuse associée en économie, INSERM (Institut National de la santé et de la Recherche Médicale)
     
  • Pierre Maitrot, Directeur des Affaires Publiques, Groupe Elsan, membre de la FHP (Fédération de l'Hospitalisation Privée)
     
  • Carine Milcent, Professeure d'économie, Paris School of Economics
     
  • Nicolas Peju, Directeur général, Centre  Hospitalier National d'Ophtalmologie des Quinze-Vingts

Table ronde 2 : Les complémentaires santé : Quel modèle économique ? Quelle offre de service ? Quelle régulation ? 

Modérateur : François-Xavier Albouy, Directeur de Recherche de la Chaire "Transitions démographiques, Transitions économiques"

Intervenants :


  • Eric Chenut, Président, Mutualité Française

  • Josette Guéniau, Associée fondatrice du cabinet de conseil JGSC, Directrice de l'Obervatoire Santé et Innovation, Institut Sapiens 

  • Florence Lustman, Présidente, France Assureurs (ex FFA)

  • Guillaume Moukala Same, Chargé d'études économiques, Cabinet Asterès et FONDAPOL (Fondation pour l'innovation politique)

  • Erwan Samyn, Rapporteur extérieur, Cour des Comptes

  • Denis Raynaud, Directeur, IRDES (Institut de Recherche et de Documentation en Économie de la Santé)

  • Joëlle Toledano, Professeur Émérite, associée à la Chaire Gouvernance et Régulation, membre du Conseil National du Numérique (CNNUM)

Conclusion : Éric Brousseau

Nous vous attendons nombreux(ses) à cet événement sur place à Dauphine ; il est alternativement proposé en ligne sur la plateforme Livestorm; lien d'inscription en présentiel et lien d'inscription à la plateforme Livestorm ci-dessous:

Inscription à la conférence sur place à Dauphine

=> Salle Raymond Aron  (2ème étage - Université Paris-Dauphine)

Le pass sanitaire sera contrôlé à l'entrée de l'événement.

Pour vous inscrire,  cliquez sur les liens suivants :

Contact:

 Cécile Crétien

Consultante relations presse senior

Mob. | +33 (0) 6 72 72 03 16

47 bis, rue des Vinaigriers | 75010 Paris


jeudi 20 janvier 2022

Il n'y a pas qu'une vie dans la vie : Yannick Barbançon lève le voile sur son violon d'Ingres...



 "Solus sine alter"
toile réalisée en 2011 sur commande de la MAI (Serge Brichet et Bernard Le Gallo) pour un débat à l'AG de St Malo.

 
🎙Interview
Yannick Barbançon lève le voile pour les lecteurs de "Mine d'Infos" sur son violon d'ingres:  la peinture !


Bonjour Yannick Barbançon, les militants mutualistes de la MAI & de la MGEFI, et plus largement le monde de la Mutualité Française vous connaissent , mais pour les autres lecteurs, pourriez-vous nous brosser en quelques lignes votre portrait et votre parcours professionnel ?
Après ma nomination comme Inspecteur des Impôts à St Brieuc j'ai commencé à m'intéresser à la vie de ma Mutuelle professionnelle en...1978. Et les évènements se sont rapidement enchainés : entrée au CA de la MGI en 1980, au Bureau National en 1981, administrateur de la FNMF (Mutualité Française) en 1985, président de la Mutualité Française Côtes d'Armor en 1986. En fait je me suis passionné pour la prévention et la santé publique à partir de 1982 et suis devenu président de ce département à la FNMF (présidée par René Teulade) de 1990 jusqu'en 1997. Je me suis à cette date recentré sur ma Bretagne natale pour entrer au bureau de la Conférence régionale de Santé Bretagne,  produire en 1998 un rapport sur la politique de santé en Bretagne dans le cadre du CESR, être chargé par la DRASS de diriger la recherche multidisciplinaire sur la sursuicidité en Bretagne de 1999 à novembre 2002, date de la publication de mes travaux qui ont servi de base à l'élaboration du programme régional de santé Bretagne 2004-2009. Cela m'a valu d'être appelé à donner quelques cours (DU, M1 et M2) à la Faculté de médecine de Brest et dans diverses unités universitaires de sciences humaines à Lorient et Rennes de 2003 à fin 2010, date de mon départ en retraite. Toutes expériences enrichissantes s'il en fut ! Tout comme le fut la présidence du CNCRESS (Conseil national des CRESS) de 2006 à 2010 au cours de laquelle j'ai pu enfin rassembler au sein du Conseil toutes les Chambres régionales de l'Économie Sociale puis mettre en place les Observatoires régionaux et National de l'ESS puis créer le "Mois de l'ESS" en 2007 qui depuis, chaque année en novembre, donne à voir les réalisations de l'ESS.
Et en juillet 2010, ayant comme disait Jacques Brel, "des rêves plein la tête et la furieuse envie d'en réaliser quelques uns", j'ai profité de l'opportunité de la conjonction du renouvellement de tous mes mandats et de l'âge de la retraite pour tout arrêter, me mettre véritablement à peindre et parcourir le monde...

- Comment est née cette passion  de la peinture ? 
La passion de la peinture date de ma jeunesse : de 12 à 18 ans, pendant mes études secondaires, j'ai fréquenté l'école municipale des Beaux Arts de St Brieuc avant d'être prié par mes parents de faire de "vraies études"... Ce n'est qu'en 1995 que je renouerai avec la peinture en cherchant une activité qui puisse me permettre de "décompresser" pendant le peu de temps libre que me laissaient mes activités mutualistes et de santé publique. Quelques années aux cours adultes des Beaux Arts et des travaux avec quelques artistes professionnels m'ont permis de me remettre à niveau. Ainsi depuis ma retraite en 2011, la peinture est l'une de mes principales activités.

Quelle place tient-elle dans votre vie ?
Une place importante qui me permet de m'exprimer, encore plus que ne me le permet la photo que je pratique aussi depuis mon plus jeune âge.

Quels artistes vous ont inspirés ?
Ils sont à la fois nombreux et divers : Turner, les impressionnistes, principalement Claude Monet, et surtout les peintres XXè siècle, Kandinsky, Matisse, Miro, Mathieu, Debré, Soulages,  Malevitch, Klein, Nicolas de Staël, Zao Wu Ki pour n'en citer que quelques uns. Ce n'est pas un hasard si ma dernière toile, "2021-12-26", actuellement exposée à la Biennale régionale "Peintres et sculpteurs de Bretagne" porte comme sous titre "la substantifique moelle" !

Quelles sont vos principales sources d'inspiration ?
Ma peinture ressortit du courant de l'abstraction lyrique. L'inspiration, à partir d'une émotion, peut y être très diverse : un paysage, un évènement, une situation de la vie, un sentiment etc. J'ai beaucoup été inspiré par la mer, les paysages notamment désertiques.

Est-vous un collectionneur ?
Non. Mais au cours de ma vie j'ai bien évidemment cédé à plusieurs coups de coeur pour quelques toiles et sculptures

- Que deviennent vos oeuvres une fois achevées ?
Soit je les garde pour moi, soit je les offre, soit je les vends dans les expositions auxquelles je participe. Sur la centaine de toiles que j'ai produites j'en ai vendu 24 et offert 42, la dernière en cadeau de départ en retraite d'un ancien collaborateur devenu un ami.

Quel tableau de vous préférez-vous ? Et d'un autre peintre ?
J'ai envie de dire le prochain.. Plus sérieusement il y en a plusieurs, disons "2019-11-3" pour ce qui concerne mes toiles. 
Et comme autre peintre, Miro et son triptyque "Bleu" notamment "Bleu II" qui est un chef d'oeuvre absolu pour moi, exposé en permanence au Centre Pompidou à Paris.

Qu'est-ce que la peinture a changé dans votre vie ?
Peu de chose en fait car elle a trouvé naturellement sa place en me permettant de continuer à créer, à innover même après ma cessation d'activité professionnelle. Elle a permis une continuité de ma créativité qui a toujours été l'une de mes "marques de fabrique".

Pouvez-vous nous dire deux mots de vos projets ?
Avant 2020, j'aurais répondu continuer de parcourir le monde pour y découvrir les merveilles qui m'inspirent. Aujourd'hui du fait de la pandémie, c'est plutôt trouver en soi les sources d'inspiration de nouvelles toiles pour maintenir un lien indispensable au cours des expositions tant avec les collègues artistes qu'avec le public rencontré.

- La peinture est-elle votre seule passion ?
J'ai quelques autres passions, à commencer par la cuisine que je fais pour la venue d'amis, mais aussi tous les jours. Et aussi la montagne, été comme hiver. Cependant, l'âge avançant oblige, cela ne sera bientôt plus qu'un souvenir car il n'est physiquement plus question que je retourne comme en 2015 au Tibet vers le camp de base de l'Everest à 5200 m d'altitude..!


🖌Liste des toiles de l'artiste : NB : toutes mes toiles sont des huiles sur toile de lin

- 2011-6 Solus sine alter

- 2012 Gwin zegal (port naturel breton près de Plouha)

- 2014 Impact

- 2016 de l'ombre à la lumière


- 2018-10-31 N&B
- 2019-11-3
- 2021-12-26 la substantifique moelle









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Nora Ansell-Salles
Pressentinelle2@gmail.com
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Le manager commercial de proximité, personnage clé de la transformation des réseaux du secteur Assurance et Protection Sociale

Cher collègue,

 

Nous vous rappelons notre invitation à notre prochain webinaire du 3 février à 9h00 avec notre partenaire PRA sur :

 

« Le manager commercial de proximité, personnage clé de la transformation des réseaux du secteur Assurance et Protection Sociale »

Au plaisir de s’y retrouver, en vous inscrivant par le lien : Inscription (gotowebinar.com)

Bien cordialement.

Bruno HUSS

Président

Association des Directeurs des Organismes de Mutualité francophone, inter-Livres et inter-Codes

Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris

Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - CS 30555 - 13236 Marseille cedex 2

Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63

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