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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
lundi 11 février 2013
MINE D'INFOS: Réorientation après PACES: ESO lance le PASS'OSTEO...
MINE D'INFOS: Réorientation après PACES: ESO lance le PASS'OSTEO...: Une nouvelle passerelle vers l’ostéopathie pour les étudiants ayant commencé des études de santé Paris, février 2013. L’Ecole S...
Réorientation après PACES: ESO lance le PASS'OSTEO
Une nouvelle
passerelle vers l’ostéopathie pour les étudiants ayant commencé des études de
santé
Paris, février 2013. L’Ecole Supérieure d’Ostéopathie (ESO)
de Paris – Marne La Vallée lance PASS’OSTEO,
une passerelle qui permet qui permet aux étudiants en médecine / prépa / PACES
ou licence scientifique qui cherchent à se réorienter, d’accéder à la formation
initiale pour préparer le diplôme d’ostéopathe exclusif, tout en valorisant
leur première année ou semestre d’études de santé.
Les inscriptions sont
actuellement ouvertes, jusqu’à fin février. Après une sélection sur dossier et un entretien, deux
voies s’offrent aux candidats :
- Les bacheliers ayant initié des études
supérieures (PACES, prépa, licence,…) peuvent accéder en 1ère année à l’ESO, avec une
rentrée immédiate, fin février / mars 2013. Ils suivront le programme
complet de l’école (avec des équivalences possibles selon le cursus d’origine).
- Les étudiants « reçus-collés » au concours PACES et les
titulaires d’une licence scientifique (STAPS, Biologie,…) ont un accès direct en 2ème
année propédeutique à l’ESO, avec une rentrée en octobre 2013.
Le programme PASS’OSTEO met l’accent
sur un enseignement par compétences dès le premier cycle (parcours
recherche, stages, travaux pratiques…) et un accompagnement individualisé
(travail en petits groupes, ateliers de synthèse et de soutien avec des
enseignants) pour permettre aux étudiants de suivre l’intégralité du programme
dans un temps adapté.
Avec le PASS’OSTEO, les
candidats ont l’opportunité d’intégrer une grande école au commencement de la
formation initiale à temps plein en ostéopathie, en France. Etablissement d’enseignement
supérieur privé agréé par le Ministère de la Santé, l’ESO délivre un Titre
National d’Ostéopathe enregistré au RNCP niveau 1. Depuis sa création, l’ESO
propose une formation d’ostéopathes sur 6 années, suivant des standards
internationaux et des critères définis par l′Organisation Mondiale de la Santé.
L’Ecole dispose d’une clinique intégrée avec 40 salles de consultation, d’une
unité de recherche et d’une résidence étudiante.
Inscriptions et renseignements
au 01.64.61.66.21, info@eso-suposteo.fr et sur le site de l’école : www.eso-suposteo.fr.
Contact presse
Agence Noir sur Blanc :
Mihaela Fiordean –
Tél. : 01.41.43.72.75, mfiordean@noirsurblanc.com
A propos de l’ESO
L’Ecole Supérieure d’Ostéopathie
(ESO) Paris-Marne la Vallée a été créée en avril 1990. Etablissement d’enseignement
supérieur privé agréé par le Ministère de la Santé, l’ESO accueille de 700 à
800 étudiants par an, tous niveaux d’études confondus. L’enseignement est assuré
par un corps professoral de plus de 190 enseignants: ostéopathes professionnels
français et étrangers, spécialistes du corps médical, scientifiques,
universitaires, chercheurs, assistants de cours. L’ESO dispense un enseignement
supérieur long post-bac de 5000 heures minimum, dont 1000 heures de pratique,
sur 6 ans minimum, répartis en 3 cycles universitaires, conformément aux normes
européennes et aux recommandations de l’OMS. L’Ecole dispose d’une clinique intégrée
avec 40 salles de consultation et d’une unité de recherche. Le troisième cycle
de l’ESO est à la fois international et universitaire avec la possibilité d’obtention
d’un Master universitaire de recherche (Msc) et de conclure par un doctorat
Es-sciences en partenariat universitaire. Les Ostéopathes, diplômés de l’ESO et
des universités partenaires, forment ainsi les cadres français de la recherche
appliquée à l’ostéopathie. Des formations spécifiques et pointues aboutissant à
des Certificats d’Etudes Spéciales (CES) permettent aux diplômés de devenir des
spécialistes dans certains domaines de la santé. Le Titre National d’Ostéopathe
délivré par l’ESO est enregistré au RNCP niveau 1. www.eso-suposteo.fr
MINE D'INFOS: Café nile avec Agnès BUZYN, présidente de l'INCa
MINE D'INFOS: Café nile avec Agnès BUZYN, présidente de l'INCa: « Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? » 20 février 2013 8h30 à 10h Au Sir Winston "Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? "...
Café nile avec Agnès BUZYN, présidente de l'INCa
« Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? »
20 février 2013
8h30 à 10h
Au Sir Winston
"Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? "
Les progrès réalisés dans la lutte contre le cancer sont
indéniables, tant sur le plan du dépistage que sur le plan thérapeutique. On
peut considérer positivement les avancées de la lutte contre ce fléau, lutte
commencée avec la création de l’Institut National du Cancer et des Plans Cancer
1 et 2. L’annonce par le Président de la République du Plan Cancer 3 doit
normalement poursuivre ces efforts et ces réalisations. Assisterons-nous à une
continuité des actions ? Verrons-nous au contraire une inflexion dans le combat
?
Malgré une
baisse annoncée de la mortalité liée au cancer, les chiffres parlent d’eux-mêmes
en ce qui concerne l’ampleur de cet enjeu de santé publique : 365 000 nouvelles
personnes atteintes par an et plus de 147 000 décès en 2011. De plus, les
cancers sont à la fois la source et la conséquence des inégalités sociales.
Inscription :
"Olivier MARIOTTE" <olivier.mariotte@nile-consulting.eu>
Blog de
nile en suivant le lien http://loeildenile.eu
Site de nile : www.nile-consulting.eu
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samedi 9 février 2013
En primeur sur le N° de Février 2013 de "Couleurs" MGEFI l'Edito de Serge Brichet
Progrès et réussites
L’adhésion de la MGEFI au groupe Istya et son
entrée dans le réseau Optistya marquent de façon significative ce début d’année
2013.
Ces deux démarches
traduisent la volonté des élus et dirigeants de pérenniser notre Mutuelle dans
son environnement et, en améliorant sensiblement les garanties et les services
proposés, de renforcer l’accès aux soins.
Elles illustrent,
également, en partageant nos destinées et nos actions avec d’autres mutuelles
de la Fonction publique, notre attachement à vouloir organiser la protection
des adhérents dans un cadre adapté à leurs droits statutaires.
Bien loin de
défendre un pré carré, nous sommes sur la réaffirmation forte de valeurs fondamentales,
au centre desquelles se placent les solidarités professionnelles.
Dans une période
où sont souvent soulignés la frilosité des initiatives communes,
l’individualisme, nous manifestons clairement l’envie d’avancer sur la voie de
nouveaux progrès et l’espoir de réussites collectives.
D’autres dossiers
majeurs viendront jalonner, dans les prochains mois, la route de la
MGEFI : devenir de la gestion du régime obligatoire par les mutuelles de
fonctionnaires, articulation des interventions assurance maladie/complémentaires,
préparation du prochain référencement…
Soyez convaincus
que la MGEFI s’y investira, directement ou via ses engagements fédéraux, avec
détermination en vue de préserver vos intérêts.
À Paris,
le 28/01/2013
le 28/01/2013
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vendredi 8 février 2013
MINE D'INFOS: Rapport sénatorial sur les déserts médicaux : un c...
MINE D'INFOS: Rapport sénatorial sur les déserts médicaux : un c...: Dans le cadre de leur commission du développement durable, des infrastructures, de l'équipement et de l'aménagement du territoire, les s...
Rapport sénatorial sur les déserts médicaux : un constat partagé, mais de mauvaises réponses
Dans le cadre de leur commission
du développement durable, des infrastructures, de l'équipement et de l'aménagement
du territoire, les sénateurs ont rendu public ce jour leur rapport d’information
intitulé : « Déserts médicaux : agir vraiment ».
Ce rapport, qui fait suite à de nombreux documents rédigés sur le même sujet, part du constat que la situation actuelle est inacceptable et qu’elle risque d’empirer avec la baisse de la démographie médicale. Il souligne les difficultés des Français dans l’accès aux soins ainsi que les problèmes auxquels auront à faire face les professionnels de santé dans le cadre d’une demande croissante en soins liée au vieillissement de la population.
Le rapport du Sénat constate également la portée limitée des mesures adoptées jusqu’alors dans la lutte contre les déserts médicaux. Il note la faible efficacité des mesures incitatives à l’installation dans les zones sous-dotées et émet au total 16 propositions « pour agir vraiment contre les déserts médicaux ».
A la lecture des ces propositions, MG France reconnaît que certaines mesures avancées par le Sénat sont de nature à répondre aux attentes des jeunes médecins en voie d’installation, voire à encourager les plus anciens à rester plus longtemps en activité, quand d’autres visent explicitement à favoriser une meilleure organisation territoriale de l’offre de soins de premier recours et un meilleur déploiement de cette dernière sur les territoires de santé.
MG France considère cependant que les 3 dernières propositions émises par le rapport sénatorial sous le chapitre « mieux réguler l’installation des professionnels de santé » sont inacceptables : ni le conventionnement sélectif, ni une quelconque obligation d’exercer dans des hôpitaux où le manque de spécialistes serait reconnu, ni l’obligation d’exercer quelques années en début de carrière en zone sous-dotées, ne constituent des réponses adaptées à la mesure des problèmes que soulève la désertification médicale.
MG France déplore que les élus du Palais du Luxembourg apportent des réponses aussi inadaptées à une question pourtant essentielle. La vraie réponse aux déserts médicaux est pourtant inscrite dans certaines des propositions du Sénat : elle consiste notamment à favoriser le travail en équipe et la coopération entre professionnels de santé, à encourager des nouvelles formes d’exercice, en un mot à investir massivement sur les structures de soins primaires de proximité.
Ce rapport, qui fait suite à de nombreux documents rédigés sur le même sujet, part du constat que la situation actuelle est inacceptable et qu’elle risque d’empirer avec la baisse de la démographie médicale. Il souligne les difficultés des Français dans l’accès aux soins ainsi que les problèmes auxquels auront à faire face les professionnels de santé dans le cadre d’une demande croissante en soins liée au vieillissement de la population.
Le rapport du Sénat constate également la portée limitée des mesures adoptées jusqu’alors dans la lutte contre les déserts médicaux. Il note la faible efficacité des mesures incitatives à l’installation dans les zones sous-dotées et émet au total 16 propositions « pour agir vraiment contre les déserts médicaux ».
A la lecture des ces propositions, MG France reconnaît que certaines mesures avancées par le Sénat sont de nature à répondre aux attentes des jeunes médecins en voie d’installation, voire à encourager les plus anciens à rester plus longtemps en activité, quand d’autres visent explicitement à favoriser une meilleure organisation territoriale de l’offre de soins de premier recours et un meilleur déploiement de cette dernière sur les territoires de santé.
MG France considère cependant que les 3 dernières propositions émises par le rapport sénatorial sous le chapitre « mieux réguler l’installation des professionnels de santé » sont inacceptables : ni le conventionnement sélectif, ni une quelconque obligation d’exercer dans des hôpitaux où le manque de spécialistes serait reconnu, ni l’obligation d’exercer quelques années en début de carrière en zone sous-dotées, ne constituent des réponses adaptées à la mesure des problèmes que soulève la désertification médicale.
MG France déplore que les élus du Palais du Luxembourg apportent des réponses aussi inadaptées à une question pourtant essentielle. La vraie réponse aux déserts médicaux est pourtant inscrite dans certaines des propositions du Sénat : elle consiste notamment à favoriser le travail en équipe et la coopération entre professionnels de santé, à encourager des nouvelles formes d’exercice, en un mot à investir massivement sur les structures de soins primaires de proximité.
Référence du communiqué de presse : N°243 (à
rappeler en cas de demande d'info complémentaire)
"Fiers d'être généralistes"
MINE D'INFOS: Lancement du prochain sidaction
MINE D'INFOS: Lancement du prochain sidaction: Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le Sidaction 2013 Paris, le 7 février 2013 - La prochaine édition du Sidaction 2013 aura ...
Lancement du prochain sidaction
Rendez-vous le 5, 6 et 7 avril pour le
Sidaction 2013
Paris,
le 7 février 2013 - La prochaine édition du Sidaction 2013 aura lieu les 5,
6 et 7 avril prochains. Trois jours de mobilisation intense en faveur de la
lutte contre le sida afin de sensibiliser la population sur cette épidémie qui
touche encore aujourd’hui 34 millions de personnes dans le monde.
Le
soutien des médias partenaires
Le
Sidaction ne pourrait exister sans vous, les médias. Cette année encore, vingt médias partenaires ont répondu présents
à notre appel et s’engagent à nos côtés pour faire de cet événement une réussite.
Sidaction peut également compter sur le soutien de trois nouvelles chaînes de télévision
comme 6ter, D8 et D17.
L’appel à
don
Le
compteur du Sidaction est remis à zéro et les promesses de dons peuvent être
faites en appelant le 110 du 11 mars au 18 avril 2013 inclus. L’ensemble
des fonds nets collectés est réparti de la façon suivante : 50 % de ces fonds
sont alloués directement au soutien à la recherche et aux soins et 50 % servent
à financer des programmes de prévention et d’aide aux malades, en France et
dans 29 pays en développement. L’édition 2012 avait collecté 4 millions d’euros.
Sidaction espère que les donateurs renouvelleront leur générosité.
Ne
crions pas victoire trop vite
Malgré
les discours optimistes, notamment sur les avancées de la recherche, le sida
tue 1,7 million de personnes par an dans le monde et 8 millions de personnes n’ont
toujours pas accès aux traitements contre le VIH. C’est pourquoi aujourd’hui
plus que jamais le Sidaction compte sur les médias, les bénévoles et les
donateurs pour qu’ensemble et tous
ensemble nous menons ce combat qui est loin d’être fini.
Pour faire un don :
Par téléphone : en appelant le 110 (numéro d’appel gratuit)
Par Internet : www.sidaction.org
Par SMS : en tapant DON au 33 000 (SMS non surtaxé)
Par courrier : Sidaction 228,
rue du Faubourg Saint-Martin 75010 PARIS
NDLR : MGEFI ET SIDA
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30 nov. 2012 – Cadureso - La MGEFI
soutient la journée de lutte contre le sida. A l'initiative du
secrétariat général des Ministères Economique et Financier, ...
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MINE D'INFOS: Institut Montparnasse / protection sociale : publi...: L’Institut Montparnasse a pour objectif de contribuer au débat public sur la Sécurité sociale en soutenant des études universitaires orig...
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