Nora ANSELL-SALLES

jeudi 30 mai 2013

La protection sociale maladie en voie de réorganisation : quel avenir pour le mouvement mutualiste ?


Quatre questions à Serge Brichet, président de la MGEFI à l'occasion de la prochaine assemblée générale de Reims des 18 et 19 juin 2013.


Qu’attendez-vous de l’assemblée générale de Reims ?

Cette assemblée générale se situe en plein cœur d’une actualité sociale et mutualiste particulièrement dense, marquée notamment par l’ANI et les problématiques qu’il soulève, ainsi que le travail engagé par les mutuelles de fonctionnaires concernant la gestion du RO (régime obligatoire). Autant de dossiers à forts enjeux stratégiques pour la MGEFI pour qui ces derniers mois ont été marqués par son adhésion à l’UMG ISTYA.
Nos travaux permettront également d’engager une réflexion sur l’adaptation de notre système contributif.

Comment se concrétise votre adhésion à Istya ?
Nous sommes désormais totalement impliqués dans les instances de l’union et participons à de nombreux travaux techniques et politiques : actuariat, systèmes d’information, solvabilité, gestion des contrats collectifs, ressources humaines, coordination politique, prévention, communication… Au rythme de ces derniers, Istya poursuit sa structuration et se révèle de plus en plus comme un acteur majeur de notre environnement mutualiste.

C’est la première fois, qu’à l’occasion d’une table ronde consacrée aux évolutions de la protection sociale, la MGEFI invite à débattre un économiste de la santé...
Avec d’éminents représentants des familles mutualistes, fonctionnaires et interprofessionnelles… La volonté de la MGEFI est de pouvoir ouvrir et enrichir sa réflexion sur les grands sujets d’actualité. Même si le débat interne est nécessaire, il pourrait se révéler moins pertinent si nos analyses n’étaient jamais confrontées aux visions extérieures. Pour nous, c’est aussi une façon de conforter les connaissances de nos délégués.

 

Quels sont les prochains défis pour la MGEFI ?

Le futur référencement, au premier chef d’entre eux, sans minorer les autres dossiers stratégiques. À quelques « encablures » de la prochaine procédure nous travaillons, avec la Mutualité fonction publique et les fédérations syndicales, pour proposer des adaptations règlementaires au dispositif existant. En interne, nous poursuivons toutes les actions destinées à améliorer la qualité du service à l’adhérent. Cette démarche constante à la MGEFI devrait d’ailleurs tout prochainement être reconnue avec la certification de la mutuelle pour sa relation adhérents.


Retrouvez en accès gratuit, la suite de l’article sur : www.miroirsocial.com



Entreprises : MGEFI,

 
 
 
 


 



MGEFI : AG Reims 2013

18,19 juin 2013 - 10ème assemblée générale MGEFI
Centre des congrès de Reims
12 Boulevard du Général Leclerc, 51100 Reims


La Mutuelle Générale de l’Economie, des Finances et de l’Industrie – MGEFI , mutuelle référencée au sein des ministères du budget et de l’économie, réunit une fois par an ses 300 délégués élus par ses adhérents, à l’occasion de son assemblée générale annuelle.
La MGEFI en quelques mots

La MGEFI organisme de référence en matière de santé comme de prévoyance pour l’ensemble des personnels des finances.

Cette légitimité est en partie liée au fait que la MGEFI est un acteur de poids avec 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées, la MGEFI est la 11ème mutuelle Française. Un atout de taille pour répondre aux exigences et aux contraintes imposées par les évolutions du contexte législatif et réglementaire, pérenniser l’esprit mutualiste, garantir la solidarité et offrir à chacun les prestations dont il a besoin, au meilleur coût et tout au long de sa vie.


1er janvier 2013 : la MGEFI intègre le Groupe Istya


La MGEFI a fait le choix d’intégrer le groupe Istya - avec lequel elle partage un socle de valeurs et une vision politique commune sur les enjeux de la protection sociale et du rôle des mutuelles de fonctionnaires en tant qu'acteur de la gestion des régimes obligatoire et complémentaire.

Tout en conservant son autonomie juridique et politique, elle évolue au sein du premier groupe mutualiste français, interlocuteur majeur des pouvoirs publics. Ce choix apporte à la MGEFI toutes les garanties de développement et lui permet de pérenniser et renforcer la protection de ses adhérents.


Contact presse:
Nora Ansell-Salles
nansellsalles@mgefi.fr

mardi 28 mai 2013

MINE D'INFOS: Retour sur la rencontre du Comité Opéra du 23 mai ...

MINE D'INFOS: Retour sur la rencontre du Comité Opéra du 23 mai ...: Il faut passer à un autre chapitre de l’ANI et préparer les mutuelles à la nouvelle donne Publié le: 23-05-2013 «  A vouloir chauss...

Retour sur la rencontre du Comité Opéra du 23 mai dernier


Il faut passer à un autre chapitre de l’ANI et préparer les mutuelles à la nouvelle donne

Publié le: 23-05-2013

« A vouloir chausser tout le monde avec le même pied, il y aura beaucoup de boiteux », ironisait Gérard SABATIE, président de la Mutuelle d’Argenson lors des septièmes rencontres du Comité Opéra, réunies autour du thème : « De Solvabilité II à l’ANI : les mutuelles santé à la croisée des chemins ».

Une petite phrase qui illustre bien une partie des débats, à savoir le regret, voire la critique, de ne pas réussir à faire reconnaitre les spécificités d’une part importante de la mutualité que constituent les mutuelles de proximité.

Pour Michel Hermant, président du Comité Opéra, « la France a, depuis longtemps, une attitude ambigüe vis-à-vis de la mutualité. D’une part, elle célèbre les vertus de l’économie solidaire et de l’économie sociale en y voyant une sorte d’idéal capable de concilier le sens du service collectif et la liberté et la responsabilité des individus ; d’autre part, elle impose aux organismes mutualistes de protection sociale un cadre réglementaire ne tenant pas compte de leurs spécificités ». Ce responsable, qui se définit souvent comme un "mutualiste historique", pose le débat : « face à ces changements qui lui sont imposés, le monde mutualiste doit s’adapter pour conserver et développer, dans un contexte difficile, les qualités et les valeurs qui sont les siennes. Comment y parviendra-t-il ?  »

Gérard BAPT, député de la Haute Garonne et Jean-Pierre DOOR, député du Loiret ont pu retracer les débats intenses qui sont intervenus autour de la récente loi.


 

 

MINE D'INFOS: ASSEMBLEE GENERALE DE LA MGEFI REIMS 2013 : SERGE...

MINE D'INFOS: ASSEMBLEE GENERALE DE LA MGEFI REIMS 2013 : SERGE...: à l’occasion de AG de REIMS – Qu’attendez-vous de l’AG de Reims ? Cette AG se situe en plein cœur d’une actualité sociale et ...

ASSEMBLEE GENERALE DE LA MGEFI REIMS 2013 : SERGE BRICHET FAIT UN POINT D'ETAPE


à l’occasion de AG de REIMS

 
 
– Qu’attendez-vous de l’AG de Reims ?
Cette AG se situe en plein cœur d’une actualité sociale et mutualiste particulièrement dense, marquée notamment par l’ANI, et les problématiques qu’il soulève, ainsi que le travail engagé par les mutuelles de fonctionnaires concernant la gestion du RO.
Autant de dossiers à forts enjeux stratégiques pour la MGEFI pour qui ces derniers mois furent marqués par son adhésion à l’UMG ISTYA.
Nos travaux permettront également d’engager une réflexion sur l’adaptation de notre système contributif.
- Comment se concrétise votre adhésion à Istya ?
Nous sommes désormais totalement impliqués dans les instances de l’Union et participons à de nombreux travaux techniques et politiques : actuariat, systèmes d’information, solvabilité, gestion des contrats collectifs, ressources humaines, coordination politique, prévention, communication,…
Au rythme de ces derniers, Istya poursuit sa structuration et se révèle de plus en plus comme un acteur majeur de notre environnement mutualiste.
– C’est la première fois, qu’à l’occasion d’une table ronde consacrée aux évolutions de la Protection Sociale, la MGEFI invite à débattre un économiste de la santé …
… avec d’éminents représentants des familles mutualistes, fonctionnaire et interprofessionnelle.
La volonté de la MGEFI est de pouvoir ouvrir et enrichir sa réflexion sur les grands sujets d’actualité.
Même si le débat interne est nécessaire, il pourrait se révéler moins pertinent si nos analyses n’étaient jamais confrontées aux visions extérieures.
Pour nous c’est aussi une façon de conforter les connaissances de nos délégués.
– Quels sont les prochains défis pour la MGEFI ?
Le futur référencement, au premier chef d’entre eux, sans minorer les autres dossiers stratégiques !
A quelques « encablures » de la prochaine procédure nous travaillons, avec la Mutualité Fonction Publique et les Fédérations syndicales, pour proposer des adaptations règlementaires au dispositif existant.
En interne, nous poursuivons toutes les actions destinées à améliorer la qualité du service à l’adhérent.
Cette démarche constante à la MGEFI, devrait d’ailleurs tout prochainement être reconnue avec la certification de la Mutuelle pour sa relation adhérents.
 

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Laurence TANKERE...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Laurence TANKERE...: DONNEZ UN COUP DE POUCE vous aussi à la recherche de Laurence … en faisant naviguer cette « bouteille à la mer » sur votre réseau …. ...

Bouteille à la mer de Laurence TANKERE...


DONNEZ UN COUP DE POUCE vous aussi à la recherche de Laurence… en faisant naviguer cette « bouteille à la mer » sur votre réseau….

 
 

Laurence recherche un poste de senior: en relations presse/publiques ; événementiel ; agence de communication, ou intégré, sur Paris.

 

Laurence a travaillé 6 ans aux "Galeries Lafayette" et + de 10 ans dans différentes agences.

 

Elle possède une vraie expertise: "Art de vivre", "Maison", "Grande consommation", et "Evénementiel".

 

Outre de solides compétences rédactionnelles et relationnelles. Elle est à la fois: dynamique, sérieuse, souple, curieuse d'esprit, et s'adapte avec aisance.

 

Très motivée, elle est prête à se lancer un nouveau challenge!

Détail d'importance elle est disponible à partir du 3 juin 2013.

 

Pour entrer en contact avec Laurence pour recevoir son CV, ou pour tout complément d’information, conseil etc. n'hésitez pas à la joindre en direct : tankere.laurence@neuf.fr


 

Si votre structure recherche un profil similaire au sien. Laurence peut bien sûr adresser son cv au service RH. Elle est à votre écoute pour une mise en relation, lettre de motivation adaptée, rdv téléphonique ou physique...

 

Un grand merci par avance, du coup de pouce donné à Laurence

 

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...:     BOUTEILLE A LA MER   Pour Laurence qui recherche un poste d’ Assistante commerciale ou de chargée d’accueil . ...

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...

MINE D'INFOS: Laurence Grossot : recherche un poste d'Assistante...:     BOUTEILLE A LA MER   Pour Laurence qui recherche un poste d’ Assistante commerciale ou de chargée d’accueil . ...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Christophe DEVOS

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer de Christophe DEVOS: Coup de pouce   Christophe,   chdevos@free.fr   Passionné de communication recherche poste Rédacteur...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer : faites naviguer sur votre rés...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer : faites naviguer sur votre rés...: Sandrine, jeune graphiste,  à la recherche d'un poste de graphiste + option illustration , sur Paris et sa région . Un grand...

MINE D'INFOS: C'est à lire : Le captif de Raguse... 5ème volume ...

MINE D'INFOS: C'est à lire : Le captif de Raguse... 5ème volume ...:   Parution du 5e volume « Le captif de Raguse » dans le cycle Cinquecento (romans historiques) Venise, La Sérénissime, au...

C'est à lire : Le captif de Raguse... 5ème volume du cycle Cinquecento vient de paraître aux Editions de l'Astronome


 
Parution du 5e volume
« Le captif de Raguse »
dans le cycle Cinquecento (romans historiques)



Venise, La Sérénissime, au début du XVIe siècle

Comment comprendre que Laura Bagarotto, jeune femme noble de Padoue, arrivée à Venise en 1509, dépouillée de ses titres et de sa fortune pour trahison envers l'État, soit autorisée à se fiancer au Grand Chancelier de la République en 1514 ?

Un cycle de romans qui évoque les guerres d’Italie, qui fait revivre la Venise de la Renaissance, depuis ses bas-fonds, ses lieux de plaisir, la vie quotidienne de ses rues, jusqu’à l’intérieur de ses palais, de ses fêtes, des assemblées politiques... et qui évoque les peintres et les grandes figures de ce temps.

Des romans documentés, nourris de vérité historique, de vérité psychologique, de sensibilité à l’art et de poésie.

 5 titres parus / 1 titre à paraître


Chaque ouvrage comprend un cahier de 8 pages d’illustrations couleur

MINE D'INFOS: L'ablation des seins d'Angelina Jolie: la vraie-fa...

MINE D'INFOS: L'ablation des seins d'Angelina Jolie: la vraie-fa...:   Tribune de Michèle Rivasi publiée ce matin sur le site du Huffington Post :   http://www.huffingtonpost.fr/michele-rivasi/abblat...

L'ablation des seins d'Angelina Jolie: la vraie-fausse solution?


 
Tribune de Michèle Rivasi publiée ce matin sur le site du Huffington Post :

 
http://www.huffingtonpost.fr/michele-rivasi/abblation-agelina-jolie-fausse-solution_b_3342277.html

lundi 27 mai 2013

MINE D'INFOS: C'EST A LIRE:INFERNO le dernier Dan Brown se dévor...

MINE D'INFOS: C'EST A LIRE:INFERNO le dernier Dan Brown se dévor...: Inferno   de Dan Browon - Editions Jean-Claude Lattès   Dans ses best-sellers internationaux, Da Vinci Code , Anges et Démons et Le ...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer : faites naviguer sur votre rés...

MINE D'INFOS: Bouteille à la mer : faites naviguer sur votre rés...: Sandrine, jeune graphiste,  à la recherche d'un poste de graphiste + option illustration , sur Paris et sa région . Un grand...

MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...

MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...: LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES   En 2008, Sanofi a créé le Labo...

MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...

MINE D'INFOS: Contrefaçons de médicaments...: LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS : UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES     En 2008, Sanofi a créé le Labo...

Contrefaçons de médicaments...



LE LABORATOIRE CENTRAL D’ANALYSE DES CONTREFAÇONS

UNE UNITÉ DE POINTE CONTRE LES FRAUDES
 
En 2008, Sanofi a créé le Laboratoire Central d’Analyse des Contrefaçons (LCAC) à Tours pour recevoir tous les  produits Sanofi nécessitant une vérification du caractère  contrefaisant. Son objectif est de détecter les faux  médicaments grâce à une équipe dédiée d’experts et à  des technologies de pointe. Ce laboratoire fait partie de  la division Développement Industriel et Innovation de  Sanofi et répond ainsi au besoin d’anticiper l’innovation dans un domaine en constante évolution.

» Qui adresse les produits au laboratoire ?

La plus grande part des produits reçus par le laboratoire provient de la surveillance des marchés effectuée par Sanofi : achats tests dans des pays à risque et sur des produits sensibles, aussi bien sur Internet qu’en pharmacie. L’autre partie provient des douanes, de la police, des autorités de santé et des professionnels de santé. Les patients peuvent également signaler un produit suspect aux filiales.


» Quelles sont les missions du laboratoire ?

»Procéder aux examens techniques des emballages et notices ainsi qu’aux analyses chimiques les plus poussées des échantillons suspects des produits les plus fréquemment contrefaits.


» Concevoir des méthodes d’analyse et les diffuser au plan mondial pour permettre à chaque site industriel du groupe, dans n’importe quelle partie du monde, d’examiner et d’analyser avec les mêmes critères tous les produits suspects correspondant à ceux fabriqués par le groupe.


» Centraliser les « cartes d’identité » correspondant aux contrefaçons répertoriées, au sein d’une base de données centrale et unique, seule capable d’effectuer les rapprochements entre les diverses contrefaçons.


Parmi les groupes pharmaceutiques, le LCAC représente une des formes les plus accomplies. Le processus mis en place est poussé très loin, notamment avec la constitution des cartes d’identité. Le LCAC contribue à la formation des douaniers du monde entier grâce au portail IPM (Interface Public Members) de l’OMD en l’alimentant en informations utiles aux douaniers pour détecter les contrefaçons des produits. Cet outil permet aux douaniers de disposer d’éléments concrets sur le terrain et de mieux détecter les contrefaçons des produits.



» Comment détecter un faux en quatre étapes ?


La traçabilité

Le premier niveau d’évaluation consiste à effectuer une recherche d’informations dans la base de données pour savoir si le produit a bien été fabriqué sur un site de Sanofi. Numéro de lot, date de fabrication, emballage, etc, tous les éléments sont analysés. Si des erreurs apparaissent, une action est enclenchée.


L’examen visuel minutieux

Le produit est détaillé « à la loupe » : polices d’impression,techniques d’impression des emballages, empreintes de gravure, pattes de collage sur les étuis... font l’objet de comparaisons basées sur l’imagerie.


L’analyse chimique générale

L’empreinte chimique est observée grâce à des techniques de spectroscopie qui permettent d’obtenir un premier niveau de lecture de la composition du produit et de le comparer aux caractéristiques des produits de référence, stockées dans les bases de données.


Ces trois étapes permettent, dans la grande majorité des cas, de dire rapidement s’il s’agit d’un médicament contrefait ou non.


L’analyse chimique précise

Si la contrefaçon est confirmée, la dernière étape est déclenchée. Elle consiste à poursuivre le niveau d’analyse chimique afin de savoir si le produit contient du principe actif, des composés toxiques... Cette composition plus fine est recherchée à travers des techniques de chromatographie, gazeuse ou liquide, qui permettent d’identifier des composés inconnus à l’état de trace ou en quantités plus importantes.



» Que faites-vous des informations collectées ?



Nathalie Tallet

Responsable

du LCAC



En l’espace de cinq ans, les effectifs du laboratoire ont plus que doublé, passant de cinq à douze collaborateurs. « Au-delà du volume d’activité, c’est surtout l’évolution du métier et le développement de nouvelles expertises qui sont importants. », estime Nathalie Tallet.


« En 2008, lors du démarrage de l’activité, nous étions plutôt sur des techniques standardisées de contrôle qualité. Depuis, nous avons développé des expertises plus spécifiques ». Celles-ci permettent par exemple d’être plus rapides, de développer des techniques pour les grands volumes... Ce n’est donc pas tant le volume que l’expertise qui nécessite d’avoir des compétences plus variées et des équipes plus structurées.


Environ 3 000 produits ont été analysés en 2012, pour 200 cas confirmés de produits falsifiés. Si le nombre des médicaments analysés ne connaît pas de bouleversement, il n’en est pas de même de la nature des produits analysés. Nathalie Tallet insiste sur la nécessité pour le laboratoire d’être à la pointe des techniques pour être en mesure de répondre aux enjeux de la diversité croissante des produits : « toutes les classes thérapeutiques sont concernées par la falsification. Le portefeuille de produits analysés devient très vaste ».


De nouvelles formes pharmaceutiques sont également touchées par la contrefaçon. Si, en 2008, les formes sèches étaient largement concernées, de plus en plus de produits injectables (traitant les cancers des pathologies lourdes) sont désormais touchés par ce fléau.


Depuis 2008, le Laboratoire a analysé environ 20 000 produits suspects.

MINE D'INFOS: Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans

MINE D'INFOS: Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans: L’Institut Curie propose un accueil adapté, au plus près de leurs attentes et de leurs besoins En avril, l’Institut Curie a ouvert l’u...

Avoir un cancer pour des jeunes de 15 à 25 ans


L’Institut Curie propose un accueil adapté, au plus près de leurs attentes et de leurs besoins

En avril, l’Institut Curie a ouvert l’unité Adolescents Jeunes Adultes (AJA), qui accueille désormais en hospitalisation les patients âgés de 15 à 25 ans. Cette nouvelle structure permet d’adapter la prise en charge du jeune patient à la spécificité de cette période de sa vie, marquée par la construction identitaire, la transformation du corps et l'acquisition de l'autonomie. Elle est l’aboutissement de plusieurs années de travail collaboratif entre les équipes qui traitent les adultes et celles  qui soignent les enfants.

Vous trouverez en cliquant sur le lien ci-dessous un communiqué de presse relatif à la prise en charge des adolescents et jeunes adultes en cancérologie à l’Institut Curie.
http://curie.fr/sites/default/files/cp-cancers-adolescents-24mai2013.pdf




Retrouvez les communiqués et dossiers de presse dans espace presse sur http://www.curie.fr 

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