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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
mercredi 5 avril 2023
Sortir à Paris : Grand rassemblement de Cadillacs le 16 juillet avenue Niel Paris 17ème
LES TERNES EN CADILLAC
Paris est un véritable musée à ciel ouvert et les belles expositions
animent constamment notre belle capitale.
L' Association
de l'avenue des Ternes Présidée par Gossain Bassam et
la Mairie du 17ème Arrondissement vous propose de découvrir
un véritable bijoux de design des années 50.
La Cadillac l'une des marques les plus emblématiques de l'histoire automobile, baptisée ainsi en l'honneur
du fondateur de la ville de Detroit Antoine Laumet dit de Lamothe-Cadillac,
lieutenant français, ancien gouverneur de la Louisiane.
La Cadillac qui existe depuis les premières années
de l'automobile est l'un des concepts les plus fous de son époque et de l'histoire de l'automobile...
Passionnés d'automobiles ou simples promeneurs du dimanche notez dès à présent sur votre agenda la date du 16 juillet prochain, date du rassemblement
exceptionnel et extraordinaire de plus d'une trentaine Cadillacs des
«l'Avenue des Ternes ».
Le parcours
De la Place des Ternes à l'avenue Niel vous aurez l’extrême privilège
de découvrir ces pures merveilles tout au long de la journée du
Dimanche 16 Juillet 2023.
Nota:
Cet évènement sera jumelé avec une brocante vintage organisée par
L'Association de l'Avenue des Ternes.
Venez nombreux en famille
découvrir & admirer cette
exposition insolite Avenue des Ternes dans le 17ème
Contact
Bassam GOSSAIN :
06 52 87 48 74
En savoir plus sur cette voiture de légende :
lundi 3 avril 2023
ACADEMIE DE PHARMACIE : hypersensibilité médicamenteuses
Résumés et lien YouTube sur simple demande
En savoir plus:
Nicole PRIOLLAUD
Chargée de la communication
Académie nationale de Pharmacie
nicole.priollaud@wanadoo.fr
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« Hypersensibilités médicamenteuses »
Séance thématique
Salle des Actes Faculté de Pharmacie de Paris
Mercredi 5 avril 2023 / 14 h - 17 h 15
14 h 00 Ouverture de la séance par Bruno BONNEMAIN, Président
14 h 05 Introduction par Frédéric DE BLAY, Président de la Fédération Française d’Allergologie, membre de l’Académie nationale de Pharmacie
14 h 15 « Aspects physiopathologiques » par Pascal DEMOLY Service de Pneumologie, Allergologie et Oncologie Thoracique, CHU de Montpellier, Institut Desbrest d’Épidémiologie et de Santé Publique, UMR UA11, Univ. Montpellier, INSERM, Membre de l’Académie nationale de Médecine
14 h 45 « Mécanismes cellulaires et moléculaires » par Marc PALLARDY Doyen de la Faculté de Pharmacie, INSERM UMR 996, Faculté de Pharmacie, Université Paris-Saclay, Orsay, France, Membre de l’Académie nationale de Pharmacie
15 h 15 « Prise en charge clinique de l’hypersensibilité aux médicaments » par Pr Frédéric BÉRARD, Professeur d’Immunologie Clinique, Vice-Président de la Société Française d’Allergologie, Université de Lyon
15 h 45 « Données épidémiologiques et pharmacovigilance » par Dr Bénédicte LEBRUN-VIGNES, Service de médecine interne, Hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Paris
16 h 15 TABLE RONDE, animée par Frédéric DE BLAY Avec : Pr Annick BARBAUD (Hôpital Tenon) ; Pr Marie-Christine PÉRAULT-POCHAT (RFCRPG) ; Mme Pascale COURATIER (Directrice Générale AFPRAL), Martial FRAYSSE (Pharmacien d’officine)
Conclusion générale
17h15 Clôture par Bruno BONNEMAIN, Président
dimanche 2 avril 2023
Rappel matinée Adom
Aborder la PSC sous l’angle des outils de la relation adhérent
L’ADOM organisent une matinée sur le thème de la mise en œuvre de la réforme de la PSC (Protection Sociale Complémentaire).
L’ évènement se tiendra le jeudi 20 avril 2023, de 09h00 à 14h00, à l’Hôtel De Poulpry – Maison des Polytechniciens, 12 rue de Poitiers, 75007 Paris.
Cette matinée dédiée aux dirigeants et aux acteurs du secteur mutualiste aura pour objectif d’échanger sur les bonnes pratiques de mise en œuvre de solutions efficientes, les accélérateurs associés et de présenter des retours d’expérience.
Inscrivez vous dès maintenant
Bruno HUSS
Président
Association des Directeurs des Organismes de Mutualité francophone, inter-Livres et inter-Codes
Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris
Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - 13002 Marseille
Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63
www.asso-adom.fr - president@asso-adom.fr
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samedi 1 avril 2023
Chirurgie esthétique sauvage: attention danger ⚠️
Les dangers de la chirurgie esthétique sauvage sont actuellement dénoncés par des émissions télévisées, des reportages, et des articles de plus en plus nombreux. Il s'agit d'un phénomène mondial, les injections de fillers et de botox étant pratiquées parfois par des individus plus avides de gagner de l'argent que de réellement améliorer l'état physique et psychologique de patients crédules, mais aussi de patients qui souhaitent payer le moins cher possible, des prestations qui paraissent sans danger.
Or il existe de réels dangers quand l'injection est mal faite :
1) le premier danger est de piquer dans un vaisseau sanguin ce qui crée un embol qui peut venir boucher le vaisseau et entraîner des nécroses, c'est-à-dire la mort des tissus irrigués par ce vaisseau ; ces nécroses sont irrémédiables.
2) le deuxième danger est de pratiquer dans des conditions septiques ou mal protégées contre les contaminations microbiennes. Le risque alors est le développement d'une infection virulente, avec abcès, suppuration, mauvais résultats et parfois même des séquelles dramatiques comme on l'a observé au cours d'injections multifocales au niveau des fesses.
3) le troisième danger est que ces injections se pratiquent d'une façon désordonnée et non professionnelle, ce qui entraîne non seulement une absence de résultats, mais parfois aussi des anomalies à type de gonflement permanent par l'utilisation d'acide et hyaluronique qui se répartit mal, ou bien de paralysies à la suite d'injection de botox à des mauvais endroits, ou en quantité exagérée.
De ce fait, et bien alerté des risques de ces injections sauvages, le Syndicat national des chirurgiens plasticiens esthétiques et réparateur mène une action juridique continue mais complexe auprès des pouvoirs publics, pour criminaliser cette pratique qui s'effectue au détriment des patients trop crédules.Une pétition récente a été lancée via les organismes de presse par notre syndicat, action avec laquelle je suis totalement en accord.
Mais cette action n'est pas facile, car les intérêts financiers sont énormes : Pour les très nombreux fabricants, soumis à une impitoyable concurrence, il convient d'augmenter le nombre de boîtes vendues plutôt que de protéger les patients d'une façon rigoureuse ; il n'est pas très compliqué de se procurer des flacons de botox ou des seringues d'acide hyaluronique via certaines pharmacies ou par Internet interposé.
Pour les patients, payer moins cher est un argument majeur envers la pratique d'injection souterraine, car elle permet d'espérer un bon résultat pour un coût moindre ; d'ailleurs certaines infirmières ou certains praticiens non formés ont un goût réel pour la médecine esthétique et se retranchent derrière leurs bons résultats, en omettant de mentionner à leur patient les risques encourus, et leurs propres complications qu'ils ne veulent pas reconnaître.
Comment prévenir ces dangers ?
1) la première précaution est de réguler les prescripteurs et utilisateurs des fillers, des botox et de leurs dérivés.
Ces traitements doivent être réservés aux médecins qui ont suivi la formation des certificats complémentaires en médecine esthétique, aux dermatologues intéressés par cette pratique, et aux chirurgiens qui ont le goût pour cette action complémentaire du bistouri ; la pratique de la médecine esthétique est hautement valorisante pour parfaire des résultats que le seul bistouri n'obtient pas.
La contravention constatée par des enquêtes policières doit être sanctionnée par des amendes conséquentes pour ceux qui outrepasseront à des lois -mais qui ne sont pas encore votées.
2) la seconde règle est de demander aux laboratoires qui fabriquent les produits d'injection de faire un maximum d'information, en transparence, après avoir fait un maximum de recueil des complications que le corps médical aura fait remonter vers eux, afin d'avoir une idée statistique de la nocivité éventuelle des substances employées, à court moyen et long terme.
3) la troisième règle est d'exiger des laboratoires qu'ils vérifient la destination de ceux qui commandent leurs produits pour s'assurer d'une façon indiscutable qu'il s'agit bien d'un médecin habilité qui réceptionne le produit et s'engage à faire lui-même les injections, sans revendre les seringues ni laisser un auxiliaire (même soi-disant formé) pratiquer des injections dans une insouciance généralisée, et avec un sens des responsabilités élastique.
Que faire en cas de problème local ?
1) les principales complications du Botox injecté dans des zones autorisées par les autorités sanitaires consiste en des asymétries de mouvement, ou des paralysies gênantes fonctionnellement et esthétiquement.
S'il y a par exemple une asymétrie au niveau de la position des sourcils après une injection de Botox dans le front, il est possible techniquement de moduler l'action localement par une petite retouche d'injection de symétrisation.
Si par contre on constate une paralysie, comme cela arrive parfois au niveau des lèvres inférieures après injection dans le muscle 'abaisseur de la lèvre inférieure (au cours d'un traitement destiné à lutter contre le rictus vers le bas de la lèvre inférieure), il ne reste qu'à attendre que l'injection se dilue progressivement et qu'il se produise une récupération spontanée des mouvements ; cela se produit en général en 30 à 45 jours après l'injection
2) les principales complications après injection de fillers consistent en des nécroses, pour lesquelles il est recommandé d'injecter le plus vite possible de la hyaluronidase, ou d'appliquer localement de la topilase qui ont le pouvoir de dissoudre le gel qui a été injecté, parfois en trop grande quantité (lèvres surgonflées dites lèvres à la russe!), ou de lutter contre un spasme ou un embol intravasculaire, ce qui permet dans certains cas de récupérer une vue compromise par injection mal faite au niveau de la paupière, ou une nécrose localisée du nez au cours d'une rhinoplastie médicale.
En conclusion, les dangers de la médecine esthétique sont réels; ils ne sont pas seulement l'apanage des pratiquants sauvages des injections, qui eux doivent être poursuivis et condamnés; mais il existe aussi des complications entre les mains des praticiens les plus chevronnés, ce qui permet de souligner encore la nécessité de lutter contre des injections pratiquées par des non médecins: Au moins les médecins habilités ont-ils souscrit une assurance professionnelle ; ils ont aussi la possibilité de traiter la complication en évitant la panique et de laisser un patient injecté partir avec complication, sans ressources autre que de se précipiter vers un autre médecin qui voudra bien les prendre en charge.
Les dangers de la chirurgie esthétique sauvage
Les dangers de la chirurgie esthétique sauvage sont actuellement dénoncés par des émissions télévisées, des reportages, et des articles de plus en plus nombreux. Il s'agit d'un phénomène mondial, les injections de fillers et de botox étant pratiquées parfois par des individus plus avides de gagner de l'argent que de réellement améliorer l'état physique et psychologique de patients crédules, mais aussi de patients qui souhaitent payer le moins cher possible, des prestations qui paraissent sans danger.
Or il existe de réels dangers quand l'injection est mal faite :
1) le premier danger est de piquer dans un vaisseau sanguin ce qui crée un embol qui peut venir boucher le vaisseau et entraîner des nécroses, c'est-à-dire la mort des tissus irrigués par ce vaisseau ; ces nécroses sont irrémédiables.
2) le deuxième danger est de pratiquer dans des conditions septiques ou mal protégées contre les contaminations microbiennes. Le risque alors est le développement d'une infection virulente, avec abcès, suppuration, mauvais résultats et parfois même des séquelles dramatiques comme on l'a observé au cours d'injections multifocales au niveau des fesses.
3) le troisième danger est que ces injections se pratiquent d'une façon désordonnée et non professionnelle, ce qui entraîne non seulement une absence de résultats, mais parfois aussi des anomalies à type de gonflement permanent par l'utilisation d'acide et hyaluronique qui se répartit mal, ou bien de paralysies à la suite d'injection de botox à des mauvais endroits, ou en quantité exagérée.
De ce fait, et bien alerté des risques de ces injections sauvages, le Syndicat national des chirurgiens plasticiens esthétiques et réparateur mène une action juridique continue mais complexe auprès des pouvoirs publics, pour criminaliser cette pratique qui s'effectue au détriment des patients trop crédules.Une pétition récente a été lancée via les organismes de presse par notre syndicat, action avec laquelle je suis totalement en accord.
Mais cette action n'est pas facile, car les intérêts financiers sont énormes : Pour les très nombreux fabricants, soumis à une impitoyable concurrence, il convient d'augmenter le nombre de boîtes vendues plutôt que de protéger les patients d'une façon rigoureuse ; il n'est pas très compliqué de se procurer des flacons de botox ou des seringues d'acide hyaluronique via certaines pharmacies ou par Internet interposé.
Pour les patients, payer moins cher est un argument majeur envers la pratique d'injection souterraine, car elle permet d'espérer un bon résultat pour un coût moindre ; d'ailleurs certaines infirmières ou certains praticiens non formés ont un goût réel pour la médecine esthétique et se retranchent derrière leurs bons résultats, en omettant de mentionner à leur patient les risques encourus, et leurs propres complications qu'ils ne veulent pas reconnaître.
Comment prévenir ces dangers ?
1) la première précaution est de réguler les prescripteurs et utilisateurs des fillers, des botox et de leurs dérivés.
Ces traitements doivent être réservés aux médecins qui ont suivi la formation des certificats complémentaires en médecine esthétique, aux dermatologues intéressés par cette pratique, et aux chirurgiens qui ont le goût pour cette action complémentaire du bistouri ; la pratique de la médecine esthétique est hautement valorisante pour parfaire des résultats que le seul bistouri n'obtient pas.
La contravention constatée par des enquêtes policières doit être sanctionnée par des amendes conséquentes pour ceux qui outrepasseront à des lois -mais qui ne sont pas encore votées.
2) la seconde règle est de demander aux laboratoires qui fabriquent les produits d'injection de faire un maximum d'information, en transparence, après avoir fait un maximum de recueil des complications que le corps médical aura fait remonter vers eux, afin d'avoir une idée statistique de la nocivité éventuelle des substances employées, à court moyen et long terme.
3) la troisième règle est d'exiger des laboratoires qu'ils vérifient la destination de ceux qui commandent leurs produits pour s'assurer d'une façon indiscutable qu'il s'agit bien d'un médecin habilité qui réceptionne le produit et s'engage à faire lui-même les injections, sans revendre les seringues ni laisser un auxiliaire (même soi-disant formé) pratiquer des injections dans une insouciance généralisée, et avec un sens des responsabilités élastique.
Que faire en cas de problème local ?
1) les principales complications du Botox injecté dans des zones autorisées par les autorités sanitaires consiste en des asymétries de mouvement, ou des paralysies gênantes fonctionnellement et esthétiquement.
S'il y a par exemple une asymétrie au niveau de la position des sourcils après une injection de Botox dans le front, il est possible techniquement de moduler l'action localement par une petite retouche d'injection de symétrisation.
Si par contre on constate une paralysie, comme cela arrive parfois au niveau des lèvres inférieures après injection dans le muscle 'abaisseur de la lèvre inférieure (au cours d'un traitement destiné à lutter contre le rictus vers le bas de la lèvre inférieure), il ne reste qu'à attendre que l'injection se dilue progressivement et qu'il se produise une récupération spontanée des mouvements ; cela se produit en général en 30 à 45 jours après l'injection
2) les principales complications après injection de fillers consistent en des nécroses, pour lesquelles il est recommandé d'injecter le plus vite possible de la hyaluronidase, ou d'appliquer localement de la topilase qui ont le pouvoir de dissoudre le gel qui a été injecté, parfois en trop grande quantité (lèvres surgonflées dites lèvres à la russe!), ou de lutter contre un spasme ou un embol intravasculaire, ce qui permet dans certains cas de récupérer une vue compromise par injection mal faite au niveau de la paupière, ou une nécrose localisée du nez au cours d'une rhinoplastie médicale.
En conclusion, les dangers de la médecine esthétique sont réels; ils ne sont pas seulement l'apanage des pratiquants sauvages des injections, qui eux doivent être poursuivis et condamnés; mais il existe aussi des complications entre les mains des praticiens les plus chevronnés, ce qui permet de souligner encore la nécessité de lutter contre des injections pratiquées par des non médecins: Au moins les médecins habilités ont-ils souscrit une assurance professionnelle ; ils ont aussi la possibilité de traiter la complication en évitant la panique et de laisser un patient injecté partir avec complication, sans ressources autre que de se précipiter vers un autre médecin qui voudra bien les prendre en charge.
Propos recueillis par Nora Ansell-Salles
jeudi 30 mars 2023
Nouveauté SOLAIRE // La gamme DORIANCE de Naturactive, des compléments aux actifs végétaux pour préparer sa peau au soleil
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mardi 28 mars 2023
❗Pour un fonctionnement plus efficace de la gestion des déchets à Paris
Chers amis,
La Maire de Paris, plus préoccupée par son positionnement national contre le Président de la République que par l’état de saleté des rues de Paris refuse toujours de mettre les moyens suffisants pour résorber les déchets qui s’y entassent.
La réquisition des agents municipaux par le préfet de police, que j’appelais de mes voeux, est une mesure nécessaire mais qui s’avère insuffisante si les centres de traitement des déchets sont bloqués, même partiellement.
C’est pourquoi j’ai sollicité d’une part auprès du Préfet de Police leur réquisition, et d’autre part auprès du Président du Syctom, Syndicat métropolitain chargé du traitement des déchets, le déblocage des sites sous sa responsabilité.
Comme la Maire de Paris, ce dernier soutient le mouvement social et n’entend pas forcer son talent pour intervenir lorsque les centres de traitement sont entravés.
Je reste cependant mobilisé pour que le fonctionnement de l’ensemble de la chaîne de gestion des déchets - de la collecte au traitement en passant par l’acheminement - soit efficace et opérationnel.
Cette grève conforte mon souhait que le 17è intègre le marché municipal de privatisation de la collecte.
"Un service public minimum doit-être mis en place", réagit Geoffroy Boulard
Voir plus
Et si on privatisait toute la collecte des déchets à Paris ?
Voir plus
N'oubliez pas d'aller voter !
Ce dimanche 2 avril, à la Mairie du 17ème
pour les habitants du 17ème inscrits
sur les listes électorales au 3 mars 2023
En savoir plus
Geoffroy Boulard - Les Amis de Geoffroy Boulard (LAGB)
Siège - 12 rue Philibert Delorme, 75017 Paris
Vous ne souhaitez plus recevoir de mails : http://x60r0.mjt.lu/unsub2?hl=fr&m=AWgAABOXpBcAAcjn7VgAAK53QjYAAYCrmWUAm6jsABPQeABkIxsbwhQqLfj0RXqXv7QRefCuUAATtvk&b=75f9619e&e=ec56ab63&x=sTIR7pxJTaHDKwna2VU8Lb8-PukRAaxL-uBj5jhKAnk
Vous avez des suggestions, des retours à nous faire : contactez-nous
samedi 25 mars 2023
23e Rencontres Mutualistes
Chers collègues,
Nous vous prions de trouver, ci-joint, le programmes des prochaines Rencontres Mutualistes organisées par SCOR, partenaire de l’ADOM, avec le soutien de la FNMF.
Ces 23e Rencontres se dérouleront les 23 et 24 mars à Rouen sur le thème du vieillissement de la population et de ses conséquences pour les métiers des mutuelles, elles sont destinées en priorité aux dirigeants et élus des mutuelles.
Pour tout renseignement ou pour s’inscrire, il suffit d’envoyer un mail à rencontresmutualistes@scor.com .
Bien cordialement.
Bruno HUSS
Président
Association des Directeurs des Organismes de Mutualité francophone, inter-Livres et inter-Codes
Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris
Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - 13002 Marseille
Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63
www.asso-adom.fr - president@asso-adom.fr
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Tribune de Gilles Djeyaramane
Après un mois de mars censé célébrer la Francophonie en France et dans le monde, force est de constater que l’événement a été peu couvert par les médias français. Aussi, il est légitime de s’interroger sur la compréhension et l’appropriation du concept par les français. Cette quasi-absence de reprises médiatiques confirme qu’il « manque une pièce au puzzle institutionnel » de la Francophonie dans son berceau. Ne faut-il pas faire preuve d’ambition en créant une délégation interministérielle ou un Haut-Commissariat à la promotion de la Francophonie en France ?
Peu de ministre et de personnalités en capacité d’incarner et de donner corps à la Francophonie au niveau national
Attardons-nous quelques minutes sur les profils et les bilans des personnalités qui se sont succédés à la tête du portefeuille de la Francophonie depuis 1986.
Les derniers gouvernements français sous la Présidence d’Emmanuel Macron ne comportaient pas de ministère ou de secrétariat d’État dédié uniquement à la Francophonie. Certes, Jean-Yves Le Drian, Ministre des Affaires étrangères ou Jean-Baptiste Lemoyne Ministre délégué y étaient sensibles, ce dernier aurait même réussi à arracher au Président le privilège d’accoler le terme Francophonie à son titre ministériel.
Auparavant pourtant, une dizaine de personnalités ont occupé la fonction avec des bilans plus ou moins discutables. Des Ministres de la Francophonie qui cumulaient la fonction de ministre de la Coopération sans y accorder une réelle importance. Des intellectuels et des artistes, dont un des plus prestigieux fut Alain Decaux de 1988 à 1999. Mais, depuis Alain Decaux, et loin de toute volonté d’offenser ses successeurs, peu de « poids lourds » médiatiques ont rempli la mission avec autant de « panache ».
Un outil de « soft power » indispensable pour renouer les liens avec les opinions publiques africaines
Ces dernières années, la France a perdu son influence en Afrique francophone et son capital sympathie auprès des populations Africaines. Plusieurs coups d’état ont renversé des dirigeants plus ou moins francophiles : Mali, Burkina Faso ou Guinée. Le nouveau quinquennat représente une occasion de restaurer les liens coupés par une succession de maladresses aussi bien au plus haut niveau du pouvoir que dans la façon dont les citoyens français perçoivent les populations de ces pays. Il s’agirait de remettre à plat la relation entre la France et ses anciennes colonies en construisant un nouveau cadre relationnel entre leurs peuples. La Francophonie par la relation égalitaire et décomplexée qu’elle implique peut en constituer le tuteur. Sa promotion peut être l’occasion de rappeler la densité et la richesse des liens entre tous les Francophones et l’existence d’une communauté de destin. Les secteurs de coopération francophone sont multiples : promotion de la langue française, éducation, transferts de technologie, développement, santé …. Mais le travail d’appropriation culturelle doit commencer sur le territoire français métropolitain avant de trouver un relais international.
Un délégué interministériel indispensable
Dans cette optique, la création d’une délégation interministérielle ou la nomination d’un Haut-Commissaire constituerait une innovation structurelle importante en vue d’une plus grande promotion de la Francophonie. Cette délégation renforcerait l’action des ministres français en charge des Affaires étrangères, de l’économie, de la défense, de la santé en y apportant cohérence, volontarisme et pragmatisme.
Ce responsable exercerait des fonctions proches de celles d'un secrétaire d'État tout en étant rattaché directement au Premier ministre et donc sans dépendre d'un ministre de tutelle.
Le délégué assurerait la coordination et l’harmonisation des programmes d’actions en matière de Francophonie. Il mobiliserait l’ensemble des acteurs français étatiques ou privées potentiellement concernés : élus, services centraux et déconcentrés de l’Etat, établissements publics, associations œuvrant dans les domaines de la Francophonie. Les régions, les départements mais aussi les communes seraient invitées à développer la Francophonie dans leurs politiques publiques.
Par exemple, des échanges de lycéens, la création d'un Erasmus francophone, le développement d’une coopération décentralisée en matière économique au niveau des départements pourrait être soutenus, la création de correspondants municipaux à la Francophonie serait encouragée dans les communes (à l’image des correspondants municipaux à la défense, les CMD), etc…
Les grandes institutions dédiées à la recherche ou à la promotion de la santé par exemple (prévention ou recommandations en santé par exemple) verraient leurs actions et leurs travaux relayés dans l’espace francophone.
Enfin, le délégué participerait aux propositions et à la veille législative en matière de Francophonie. Bien évidemment, les missions de l’actuelle délégation interministérielle à la langue française pour la cohésion sociale trouveraient leur place dans cette entité aux missions élargies mais concrètes car en prise directe avec les réalités du terrain.
Propos recueillis par Nora Ansell-Salles
EN SAVOIR PLUS
Gilles Djeyaramane est actuellement élu à la citoyenneté, à la Francophonie et aux relations avec les cultes à Poissy (Yvelines) dans l'équipe dirigée par Karl Olive, maire de Poissy. De 2014 à 2020, il a été élu au cadre de vie, à l'environnement et aux affaires générales. Il a été conseiller communautaire (Communauté d'agglomération Poissy/Achères/Conflans). Il a été vice-président de l'association Ecologie bleue pour une écologie réaliste, humaniste et républicaine. Au niveau professionnel, il a servi comme volontaire en qualité d'officier Communication Information puis a été consultant au sein de plusieurs agences de communication Parisiennes, il a rejoint une Autorité Administrative Indépendante la Haute Autorité de Santé de 2006 à janvier 2021 en qualité d'attaché de presse.Après une formation en biochimie (Master), il a complété son parcours par une formation administrative (Master recherche en sciences politiques à Panthéon-Assas-Paris 2, DESS en communication, 3e cycle en relations internationales, Licence d'administration publique, certificat RH). Il est également Ancien Auditeur de l'Institut des Hautes Etudes en Protection Sociale (IHEPS). Originaire de Pondichéry (ex- Indes Françaises), né en Guyane Française et ayant grandi en Côte d'Ivoire, il est passionné par les relations internationales et la Francophonie. Il commente l'actualité sur plusieurs médias en ligne.
vendredi 24 mars 2023
DR MEG ARROLL "Surmonter ces petits traumas qui minent notre quotidien" (FIRST)
majeurs de notre vie.
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transmet sa méthode AAA ( Avoir conscience, Accepter, Agir) qui repose sur 20 années de pratique et d'étude.
Originalité de l'ouvrage : des conseils,exercices et routines accessibles à adopter en fonction de ses besoins et de ses traumas.
Un livre pragmatique avec toute l'expertise du Dr Meg Arroll et une méthode thérapeutique efficace, pour vivre mieux et reprendre son bien-être en main !
Le livre est bientôt traduit en 28 LANGUES
Sortie du livre courant Mai 2023
Contact presse
Charlotte BOUKECHCHACHE
Attachée de presse
06 65 66 94 89
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