Nora ANSELL-SALLES

Affichage des articles dont le libellé est Luis Godinho. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Luis Godinho. Afficher tous les articles

jeudi 16 mars 2017

Agir contre la perte auditive : un investissement judicieux


Journée mondiale de l’audition de l’OMS



l’occasion de la Journée mondiale de l’audition de l’OMS du 3 mars 2017, l’UNSAF constate que son travail de fond pour alerter sur le poids économique et social du déficit auditif a porté. L’Association Européenne des Audioprothésistes (AEA), extrapolant les conclusions de l’étude médico-économique initiée en 2016 en France, a chiffré à 178 milliards d’euros par an le coût sociétal de la mal-audition en Europe. L’OMS estime pour sa part à 750 milliards de dollars par an le coût du déficit auditif non pris en charge dans le monde et constate qu’agir contre la perte auditive est un investissement judicieux.
A l’occasion de cette journée mondiale, la mobilisation pour améliorer la prévention et la prise en charge du déficit auditif est maintenant portée aux niveaux européen et mondial.

La brochure de l'OMS « Agir contre la perte auditive : un investissement judicieux » :
http://www.who.int/entity/pbd/deafness/world-hearing-day/WHD2017BrochureFR.pdf?ua=1

En savoir plus :

Luis Godinho

Président

Syndicat National des Audioprothésistes - UNSAF

19 rue d'Odessa - 75014 PARIS

01.43.22.38.40 / l.godinho@unsaf.org



Le Syndicat national des audioprothésistes (UNSAF), né en avril 2011 de la fusion des trois syndicats historiques de la profession, est l’organisme professionnel représentatif des 3 300 audioprothésistes. Il siège notamment à l'Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et au Haut Conseil des professions paramédicales (HCPP). Il est également le signataire de la convention nationale de tiers-payant conclue avec les Caisses Nationales d'Assurance Maladie.
L’UNSAF est également présent au niveau européen au sein de l’Association européenne des audioprothésistes (AEA).
NDLR : MGEFI et AUDITION

vendredi 20 janvier 2017

Best-of du 20 janvier 2017




CHIFFRE DE LA SEMAINE
741 621 visites


Coup de projecteur

 BRAVO skipper breton Armel le cleac'h : Jamais deux sans trois ! arrivé 2 fois second avant de  triompher hier après 74 jours en mer, et de remporter la 8e édition du Vendée Globe et établi le nouveau record de l'épreuve. Regardez l'interview : https://pressentinelle2.blogspot.fr/2017/01/bravo-notre-skipper-breton.html

 




HIT DES PAGES LES PLUS LUES DE LA SEMAINE :












MICI et travail : le parcours du comba


A propos de la MGEFI - Mutuelle Générale de l'Économie, des Finances et de l'Industrie
Présidée par Serge Brichet*, la MGEFI regroupe la quasi-totalité des agents actifs et retraités relevant des Ministères Économique et Financier. Parce que la Sécurité sociale ne prend en charge qu'une partie des frais médicaux et d'hospitalisation, la MGEFI intervient en complément des remboursements versés par le régime obligatoire. Le statut des agents des Ministères Économique et Financier nécessite une réponse adaptée. C'est pourquoi la MGEFI intègre dans son offre des garanties de prévoyance destinées à protéger ses adhérents face aux événements de la vie les plus graves et aux risques les plus lourds.
* Serge Brichet est par ailleurs Président de la MFP - Mutualité Fonction Publique

La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.

■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.
■ La MGEFI regroupe 276 000 adhérents et 336 000 personnes protégées.
■ 220 collaborateurs au service des adhérents.
■ Un réseau de 800 militants.
■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR 



TRÈS BON WEEK-END

mardi 17 janvier 2017

Agenda: 18/01/17 Santé : l’Autorité de la concurrence à rebours de la volonté des Français ?


INVITATION PRESSE

De Luis Godinho, Président du Syndicat national des audioprothésistes
Santé : l’Autorité de la concurrence à rebours de la volonté des Français ?
Mercredi 18 janvier 2017 à 9h30 au Victoria 1836
12, rue de Presbourg – Paris 16ème
(Métro : Charles de Gaulle / Etoile)



L’Autorité de la concurrence (ADLC) a lancé en février 2016 une enquête sectorielle sur l’audioprothèse. Le 21 juin 2016, son président d’alors, M. Bruno Lasserre, déclarait lors d’une audition à l’Assemblée nationale : « Il s’agira aussi de rechercher les justifications aux marges très importantes réalisées par les audioprothésistes (…). Enfin, nous nous demanderons quel est le rôle des réseaux de soins sélectionnés par les complémentaires santés. »[1].

Quatre semaines plus tard, les services de l’ADLC publiaient un document de consultation aux constats rassurants : « Il semble que le maillage territorial soit relativement satisfaisant » (…) «  la structure du marché devrait favoriser la concurrence ». Le prix « s’élève ainsi en moyenne à 1500 € par oreille » et « est toutefois comparable au prix relevé dans les autres pays de l’Union européenne, et même inférieur pour les produits haut de gamme. »

Le même document posait aussi la question, « Le développement des réseaux de soins doit-il être favorisé ? », en laissant les parties prenantes répondre jusqu’au 20 septembre.
Mais, lors de la parution de l’avis de l’ADLC du 14 décembre 2016, aucune réponse n’était apportée à cette question, ce qui est d’autant plus étonnant que l’ADLC a constamment promu les « réseaux de soins » jusqu’alors.

La démonstration de leur effet néfaste sur le fonctionnement du marché aurait-elle provoqué le mutisme de l’Autorité ? Nous rendrons publiques de nouvelles données à ce propos.

Plus généralement, alors que les excès de « l’animation concurrentielle » en dentaire ont conduit au scandale Dentexia (dont la prise en charge des victimes devrait coûter jusqu’à 10M€ à l’Assurance maladie), alors que de nombreuses voix pointent les effets d’une concurrence non régulée entre complémentaires santé comme cause d’une évolution « à l’américaine » en fragilisant les mécanismes de solidarité, l’ADLC propose, dans un avis partial et donc contestable, de supprimer la « mutualisation » des coûts en audioprothèse.

Pourtant, alors que la santé fait partie des débats des élections présidentielles, plusieurs sondages ont mis en avant l’attachement très fort d’une large majorité de Français au modèle solidaire de notre Sécurité sociale.

·    Est-il acceptable que l’ADLC, aveuglée par une « idéologie de la concurrence », prenne des positions à rebours de la volonté des Français ?

·    Est-il souhaitable que l’ADLC puisse inciter les pouvoirs publics à développer la marchandisation de la santé au détriment de toute autre considération de santé publique ?

·    Quels sont les dessous cachés de l’omerta sur les « réseaux de soins » ?