Nora ANSELL-SALLES

jeudi 5 décembre 2013

France inter et la MGEN célèbrent ensemble leurs anniversaires


Du 6 au 8 décembre 2013, France Inter fête un demi-siècle de présence sur les ondes. La radio publique a choisi la MGEN comme partenaire pour l’accompagner lors des multiples éditions spéciales et festivités qu’elle organise.

 






NDLR : MGEFI et MGEN


Istya en campagne : le film !  
                             
La MGEFI et son environnement                     

J -4 avant l'ouverture des portes...


Nouvelles coordonnées pour les adhérents...

 

Un numéro d’appel unique : 09 69 39 69 29

 

À compter du 11 décembre 2013, les adhérents disposeront du numéro de téléphonique unique pour contacter la MGEFI (métropole). Le service téléphonique sera toujours assuré par les conseillers mutualistes répartis sur le territoire métropolitain.

 

 Pour joindre la Réunion, les Antilles et Mayotte, les numéros actuels seront toujours en vigueur.

 

Une nouvelle adresse postale pour l’ensemble des courriers adhérents

 

MGEFI

6, rue Bouchardon

CS 50070

75481 Paris Cedex 10

 

 

J -4

Nouveau siège de la MGEFI

Le 9 décembre prochain, la Mutuelle s’installe rue Bouchardon à Paris dans le 10e arrondissement.

MINE D'INFOS: Point sur l’utilisation des nouveaux anticoagulant...

MINE D'INFOS: Point sur l’utilisation des nouveaux anticoagulant...: Pradaxa (dabigatran), Xarelto (rivaroxaban) et Eliquis (apixaban) Les anticoagulants oraux sont autorisés dans le traitement et la pr...

Point sur l’utilisation des nouveaux anticoagulants oraux


Pradaxa (dabigatran), Xarelto (rivaroxaban) et Eliquis (apixaban)

Les anticoagulants oraux sont autorisés dans le traitement et la prévention d’accidents thromboemboliques. Ils sont indispensables et sauvent de nombreuses vies, les pathologies qu’ils préviennent mettant souvent en jeu le pronostic vital. Leur prescription doit toutefois respecter le cadre strict de leur AMM du fait principalement du risque hémorragique inhérent à ces produits. De nouveaux anticoagulants oraux (NACO) sont apparus sur le marché depuis 5 ans et font l’objet d’un suivi renforcé de leur sécurité d’emploi en France et en Europe.  L’ANSM, la CNAMTS et la HAS sont mobilisées, en lien avec le Ministère de la santé, pour sécuriser l’utilisation des NACO en assurant un suivi renforcé, en partageant l’information disponible avec les professionnels de santé et les patients et en leur rappelant les bonnes pratiques d’utilisation et les recommandations strictes de sécurité d’emploi de ces produits.

Les médicaments anticoagulants oraux comprennent les antivitamines K () et de nouveaux anticoagulants non-antivitamine K (NACO). Indispensables pour le traitement et la prévention des événements thromboemboliques, ils représentent un enjeu de santé publique majeur du fait des pathologies qu’ils traitent et des conséquences potentielles des événements thromboemboliques sur le plan médical, social et économique. Quatre pour cent de la population française reçoit ainsi chaque année des anticoagulants.

Les NACO) sont arrivés sur le marché en France à partir de 2008 -Pradaxa (dabigatran), Xarelto (rivaroxaban) et Eliquis (apixaban)-. Les indications, limitées en premier lieu à la prévention du risque de maladie thromboembolique veineuse dans les suites d’une chirurgie orthopédique, ont été élargies en 2012 à la prévention d’accidents thromboemboliques, notamment aux accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les patients adultes avec fibrillation auriculaire non valvulaire.

Si les traitements anticoagulants oraux par AVK restent largement majoritaires (plus d’1 million de patients traités[1] contre 265 000 pour les NACO), on constate actuellement un large recours à ces nouveaux médicaments en initiation de traitement. Ainsi, en moins d’un an, près de la moitié des patients débutant un traitement anti-coagulant oral s’est vue prescrire un traitement par NACO. Les changements de traitements AVK vers NACO ont représenté, quant à eux, près de 100 000 patients sur la période observée[2].

Selon les données de l’Assurance Maladie, cette dynamique (prescriptions des NACO en 1ère et 2ème intention) s’est cependant infléchie à partir du printemps 2013, ce qui peut témoigner de l’effet conjugué des actions de sensibilisation menées par l’ANSM, la HAS et l’Assurance Maladie auprès des médecins. Selon les dernières données de ventes, 30 % des anticoagulants utilisés en 2013 sont des NACO.

Ces nouveaux anticoagulants, différents par leur nature et par leur mécanisme d’action, présentent des caractéristiques communes : il n’existe pas pour l’instant de moyen de mesurer en pratique courante le degré d’anticoagulation que ces médicaments produisent et l’observance des patients est essentielle. Ces spécialités font donc l’objet d’une préoccupation constante des autorités sanitaires du fait de leur nature, mais aussi des changements de pratiques massifs et du type de surveillance qu’ils impliquent.

Les données de surveillance relatives à ces spécialités montrent des effets rapportés conformes à ceux qui étaient attendus, en particulier sur le plan hémorragique -effet indésirable le plus fréquent et commun à tous les anticoagulants-. La surveillance renforcée relative à ces NACO[3] identifie d’autre part des facteurs de risque de saignement et de thrombose qui incitent à réitérer les recommandations de bon usage de ces spécialités formulées par la HAS, afin de réduire autant que possible ce risque.

Parallèlement, l’Assurance Maladie a réalisé une étude à partir des bases de données du SNIIRAM et du PMSI, analysant les caractéristiques des patients traités par NACO et leur prise en charge médicale. Les données de l’Assurance Maladie sur le dernier trimestre 2012 montrent qu’une part des patients sous NACO prend de façon concomitante des médicaments majorant le risque hémorragique : 15% des patients suivent en parallèle un traitement par antiagrégants plaquettaires, 21% un traitement à l’amiodarone, molécule indiquée dans l’arythmie cardiaque. Dans ces situations, seule la prescription d’AVK permet une mesure précise du degré d’anti-coagulation obtenu et de disposer d’un antidote si nécessaire.L’étude de l’Assurance Maladie montre également la nécessité d’un suivi plus étroit par les médecins de la fonction rénale chronique, recommandé en cas de prescription de NACO et primordial pour les personnes les plus âgées pour lesquelles il existe des risques d’accumulation du produit dans l’organisme. Or, sur le dernier trimestre 2012, près de 10% des patients débutant un traitement par NACO étaient des patients de 80 ans et plus sans surveillance de leur fonction rénale.

Enfin, une part des prescriptions de NACO au dernier trimestre 2012, estimée entre 5 et 10%, correspond à des indications non validées, éventuellement dangereuses : patients avec une insuffisance hépatique ou rénale, patients avec fibrillation auriculaire et atteints de valvulopathies.

Un plan d’actions mobilisant les institutions concernées a été mis en place. Il a pour but de poursuivre la surveillance étroite de ces spécialités et d’apporter une information régulière aux professionnels de santé et aux patients pour optimiser l’usage des anticoagulants et en particulier celui des NACO. Un courrier sera notamment adressé par l’ANSM aux professionnels de santé prochainement. Une sensibilisation des médecins prescripteurs est également réalisée par l’Assurance Maladie, par le biais notamment de visites de délégués et d’entretiens confraternels ciblés. Deux études pharmaco-épidémiologiques nationales menées conjointement par la CNAMTS et l’ANSM sont également en cours pour comparer les effets indésirables observés avec les différentes classes d’anticoagulants. Les premiers résultats sont attendus pour le premier semestre 2014 et seront partagés avec les professionnels de santé et les patients. Ces nouvelles données, conjuguées à celles de la littérature scientifique internationale, mèneront éventuellement vers de nouvelles mesures pour garantir la sécurité de l’utilisation des NACO.

L’ANSM rappelle qu’à ce jour, la surveillance des NACO ne remet pas en cause le rapport bénéfice/risque de ces spécialités. Les recommandations émises par la HAS énoncent les précautions à suivre lors de la mise en place d’un traitement par NACO afin de limiter les risques hémorragiques. Celles-ci doivent être strictement respectées, en particulier chez le sujet âgé, chez l’insuffisant rénal ou chez le sujet bénéficiant de certaines co-prescriptions (AINS et antiagrégants plaquettaires). Il est également rappelé que les recommandations de sécurité d’emploi du Résumé des Caractéristiques des Produits (RCP) doivent être suivies. Ces traitements doivent être pris de manière très stricte, dans le respect de la prescription médicale et ne doivent, en aucun cas, être modifiés ou arrêtés par le patient sans avis médical.

 


[1] Effectifs au cours du 3ème trimestre 2013. Au moins un remboursement enregistré. (source SNIIRAM/CNAMTS)

[2] Cf note 1

[3] Comme pour tout nouveau médicament mis sur le marché au niveau européen, ces spécialités font l’objet d’une surveillance renforcée européenne (programme de gestion de risques) et française (suivi de pharmacovigilance).

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MINE D'INFOS: A propos d’éventuels effets indésirables graves de...: Pierre BÉGUÉ, François BRICAIRE Au nom de la commission VII (Maladies infectieuses et médecine tropicale).     A l’occasion...

A propos d’éventuels effets indésirables graves de la vaccination anti-papillomavirus humains en France


Pierre BÉGUÉ, François BRICAIRE

Au nom de la commission VII (Maladies infectieuses et médecine tropicale).

  
A l’occasion de faits récents mettant en cause la responsabilité du vaccin anti-papillomavirus (HPV) Gardasil ® dans la survenue d’un cas de démyélinisation chez un jeune fille de 15 ans, l’Académie nationale de médecine tient à rappeler les points suivants :

Toute vaccination constitue une stimulation antigénique provoquant une réponse immune nécessaire à la protection recherchée.

Vouloir prouver une relation entre un geste aussi fréquent que la vaccination et un fait pathologique rare, tel qu’une maladie démyélinisante, est extrêmement difficile [1]. A ce sujet, il importe de souligner qu’il ne faut pas confondre causalité et simple coïncidence temporelle.

Les vaccins HPV font ainsi l’objet d’une surveillance particulière au regard des Maladies auto-immunes (MAI). En effet, les MAI étant plus fréquentes chez les femmes jeunes, la recommandation d’une telle vaccination généralisée chez les adolescentes et les femmes jeunes a déterminé la mise en place d’études de cohortes concernant cette tranche d’âge, afin de connaître la prévalence des MAI avant la diffusion de ces vaccins et de pouvoir ainsi surveiller leur évolution post-vaccinale.

A ce jour, les études scientifiques de bonne qualité n’ont jamais démontré de relation entre un vaccin et une maladie neurologique démyélinisante ou toute autre MAI. La première cohorte étudiée en 2006 à partir de bases de données en Californie du Nord avant la mise en place de la vaccination HPV a estimé le nombre de cas attendus de plusieurs maladies dans un délai de 6 semaines après une vaccination virtuelle [2]. D’autres cohortes ont été étudiées ensuite, en particulier au Danemark, aux Etats–Unis. Elles ne montrent pas de différence entre les maladies auto-immunes spontanées et celles qui surviennent dans les populations de vaccinées [3, 4, 5].

En France, l’étude de cohorte menée sur les affections de longue durée (ALD) à partir des données du Système d’Information Inter-Régimes de l’Assurance maladie (SNIIRAM), prévue dans le Plan de Gestion de Risques français (PGR), analyse l’incidence de neuf maladies auto-immunes chez 1 083 978 jeunes femmes vaccinées (en comparaison de 4 660 575 jeunes femmes non vaccinées). Il n’y a pas de différence des taux d’incidence des maladies auto-immunes étudiées entre les groupes des vaccinées et des non vaccinées (2,14 pour 10 000 personnes-années chez les vaccinées, 2,06 pour 10 000 personnes-années chez les non vaccinées) [6].

  
Il faut rappeler que les avantages des vaccinations se mesurent en termes de bénéfice pour les populations: éradication mondiale de la variole, élimination de la diphtérie, de la poliomyélite en France ou quasi disparition du tétanos. Une évaluation objective et de qualité ne devrait se faire qu’en terme d’analyse bénéfice-risque. C’est ainsi que, comme tous les vaccins, les vaccins anti-papillomavirus sont dans cette lignée. Ils ont démontré leur intérêt pour la prévention des lésions prédisposant au cancer du col utérin [7]. Leur recommandation pour la prévention de cette maladie demeure donc justifiée et ni le vaccin ni le vaccinateur ne doivent être discrédités.

 

 

Références

 

[1] Begue P, Girard M, Bazin H, Bach JF. Les adjuvants vaccinaux: quelle actualité en 2012 ? Bull.Acad.Natle.Med. 2012 ; 196 : 1177-81 et rapport www .academie-medecine.fr.

 

[2]Siegrist CA, Lewis EM, Eskola J, Evans SJ, Black SB. Human papillomavirus immunization in adolescent and young adults. A cohort study to illustrate what events might be mistaken for averse reactions. Pediatr Infect Dis J. 2007; 26: 979-84.

[3] Chao C, Klein NP, Velicer CM, et al.  Surveillance of autoimmune conditions following routine use of quadrivalent human papillomavirus vaccine. J Intern Med. 2012 ; 271:193-203.

[4] Arnheim-Dahlström L, Pasternak B, Svanström H, Sparén P, Hviid A. Autoimmune, neurological, and venous thromboembolic adverse events after immunisation of adolescent girls with quadrivalent human papillomavirus vaccine in Denmark and Sweden: cohort study. BMJ. 2013 ; 347:5906. doi: 10.1136/bmj.f5906.

[5]Rassmussen T A, Jorgensen M, Bjerrum S et al. User of population based background rates of disease to assess vaccine safety in childhood and mass immunisation in Denmark: nationwide population based cohort study. BMJ. 2012; 345: e 5823.

[6] Commission nationale de pharmacovigilance. Suivi national des effets indésirables

du vaccin papillomavirus humain Gardasil®. 22 novembre 2011.  www.ansm.sante.fr  

 

[7] Bégué P,henrion R, Blanc B, Girard M , Sancho-garnier H. les vaccins des papillomavirus humains .Leur place dans la prévention du cancer du col utérin. Bull.Acad.Natle.Med. 2007 ; 191 :1805-17.

 
 

Les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt avec le contenu de ce communiqué.

 

 

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MINE D'INFOS: 36 37.... TELETHON 2013: AFM- Téléthon 2013 - Le combat continue, avec vous !   telethon .fr/Dons   Soutenez l'AFM, Faites un don   Entr...

36 37.... TELETHON 2013

MINE D'INFOS: Débat sur la sécurité sociale des étudiants : la M...

MINE D'INFOS: Débat sur la sécurité sociale des étudiants : la M...: Ivry-sur-Seine, le 4 décembre 2013   Débat sur la sécurité sociale des étudiants au Sénat : la Ministre de l’enseignement supérieur...

Débat sur la sécurité sociale des étudiants : la Ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche s'engage pour la santé des jeunes


Ivry-sur-Seine, le 4 décembre 2013

 
Débat sur la sécurité sociale des étudiants au Sénat : la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche s’engage pour la santé des jeunes

  
A l’occasion d’un débat sur la sécurité sociale des étudiants au Sénat, la Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fioraso, a annoncé un plan d’action en faveur de la santé étudiante pour 2014. La LMDE salue cette annonce et demande que les mutuelles et organisations représentatives étudiantes soient associées à la construction de ce plan afin qu’il réponde aux attentes des étudiants.

 

Plan santé pour les étudiants : les mesures doivent être ambitieuses !

 

A l’occasion d’un débat parlementaire sur la sécurité sociale des étudiants, la Ministre a annoncé que le plan vie étudiante, prévu pour 2014, comprendra un plan santé à destination de tous les étudiants. La LMDE salue cette annonce et indique que ce plan se doit d’être ambitieux afin de lutter contre les reculs de l’accès aux soins des étudiants induits par la dégradation de leur situation sociale. La dernière enquête de la LMDE montre ainsi que 34% des étudiants renoncent à des soins, et que 19% d’entre eux n’ont pas de complémentaire santé. La Ministre a indiqué que ce dernier chiffre s’élève même à 40% chez les étudiants dont les parents gagnent moins de 1 500€ par mois. Il y a urgence !

 

La LMDE se félicite par ailleurs de la mise en place de l’accès automatique à la CMU complémentaire pour les étudiants boursiers en situation de rupture familiale, ainsi que de l’annonce d’un travail en commun avec le ministère des affaires sociales et de la santé afin de favoriser l’accès à l’ACS des boursiers du CROUS. Alors que le gouvernement souhaite mettre en œuvre une généralisation de la complémentaire santé, la LMDE demande que le statut d’étudiant boursier ouvre automatiquement droit à l’ACS. Par ailleurs, la transformation des services de médecine préventive universitaire en « Campus Santé » doit s’accompagner de moyens afin d’en faire de vrais centres de santé universitaires, regroupant de nombreuses spécialités médicales en secteur 1 et pratiquant le tiers payant afin d’endiguer le renoncement aux soins. Enfin, la lutte contre le bizutage et l’ensemble des abus et pratiques dégradantes pratiquées sur les campus doit être une priorité. La LMDE soutient la volonté de la Ministre de s’y attaquer.

 

 

Le régime étudiant de sécurité sociale, un outil nécessaire qu’il faut renforcer

 

Geneviève Fioraso a également souligné l’importance du régime étudiant de sécurité sociale dans l’acquisition de l’autonomie des étudiants et pour apporter des réponses adaptées aux enjeux de santé des étudiants, notamment en matière de prévention. A l’heure où différentes études scientifiques montrent les limites des campagnes de prévention institutionnelles à destination des jeunes, la LMDE se félicite de cette reconnaissance par le gouvernement et demande à ce que les acteurs de prévention à destination des jeunes bénéficient de moyens supplémentaires pour assurer leurs missions.

 

La LMDE demande enfin de longue date à ce que le régime étudiant de sécurité sociale soit rendu plus lisible pour les étudiants. Elle se félicite donc d’avoir été entendue par la Ministre sur de nombreux points. Ainsi, la date d’affiliation des étudiants sera avancée du 1er octobre au 1er septembre, afin d’accompagner la date de la rentrée universitaire, dès la rentrée 2014. Afin que cela soit rendu possible, la LMDE demande à ce que toutes les barrières techniques soient levées.

 

D’autres mesures allant dans le sens d’un renforcement et d’une meilleure lisibilité du régime étudiant de sécurité sociale doivent être mises en œuvre. La LMDE demande donc au gouvernement :

·         Une affiliation pluri annuelle, pour éviter aux étudiants de réitérer leurs démarches chaque année

·         Le retour à un opérateur unique pour la gestion du régime étudiant

·         L’extension du régime étudiant à l’ensemble des étudiants, y compris l’ensemble des étudiants salariés, des doctorants ou des apprentis.

 

La LMDE rappelle enfin que toute évolution du régime étudiant de sécurité sociale doit être pensée pour les étudiants et avec les étudiants.

 



 
Qu’est ce que la LMDE ?
Seule mutuelle étudiante nationale, la LMDE est dirigée par et pour les étudiants. En plus de gérer la Sécurité sociale de plus de 920 000 étudiants et la mutuelle complémentaire de 320 000 d’entre eux, elle intervient régulièrement dans le débat public pour défendre ses valeurs de solidarité, d’égalité et de démocratie. Parce que chaque étudiant doit pouvoir suivre ses études dans les meilleures conditions, la LMDE milite au quotidien pour l’amélioration des conditions de vie sanitaires et sociales des étudiants.
La Mutuelle des Etudiants-LMDE, Mutuelle N° 431 791 672 soumise aux dispositions du livre 2 du Code de la Mutualité.


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MINE D'INFOS: C'est à lire : Comment garantir la qualité du médi...:   Comment garantir la qualité du médicament quand son circuit se mondialise ? « Cahiers de l’Ordre national des pharmaciens » - Or...

C'est à lire : Comment garantir la qualité du médicament quand son circuit se mondialise ?


 

Comment garantir la qualité du médicament quand son circuit se mondialise ?

« Cahiers de l’Ordre national des pharmaciens » - Ordre des pharmaciens

 

A l’heure de la mondialisation, les « process » de fabrication, de contrôle, de distribution et de dispensation des médicaments évoluent. Qu’en est-il ? Comment se réorganisent les circuits de production et d’approvisionnement à travers le monde ? D’où viennent les matières premières, quel est leur acheminement ? Comment éviter les ruptures d’approvisionnement ? Comment se prémunir de la contrefaçon ? Une collaboration entre les autorités compétentes sur les plans national, européen et international est-elle possible ? …

 

On ne le sait pas toujours mais les pharmaciens sont impliqués à tous les niveaux de la chaîne du médicament pour garantir la qualité et la sécurité des produits de santé dispensés (médicaments d’origine ou leurs génériques).

 

Le dernier numéro des « cahiers de l’Ordre national des pharmaciens » remis à près de 75 000 pharmaciens et mis en ligne sur http://www.ordre.pharmacien.fr, est consacré à la qualité de la chaîne du médicament à l’heure de la mondialisation.

Il a pour objet d’actualiser les connaissances et de répondre aux nombreuses interrogations des pharmaciens et du public.


 

L’Ordre national des pharmaciens regroupe les pharmaciens exerçant leur art en France, c’est-à-dire les diplômés qui exercent effectivement la pharmacie en métropole ou dans les départements et collectivités d’outre-mer. Il a été créé par une ordonnance du 5 mai 1945.

 

Ses principales missions, fixées par l’article L. 4231-1 du code de la santé publique, sont :

 

> d’assurer le respect des devoirs professionnels ;

 

> d’assurer la défense de l’honneur et de l’indépendance de la profession ;

 

> de veiller à la compétence des pharmaciens ;

 

> de contribuer à promouvoir la santé publique et la qualité des soins, notamment la sécurité des actes professionnels.

 

NDLR : Un livret passionnant et édifiant

Téléthon 2013



Optic 2ooo mobilise son réseau et ses salariés pour soutenir l'AFM téléthon

Les 6 et 7 décembre 2013,

Optic 2ooo mobilise son réseau et ses salariés pour soutenir l’AFM téléthon

 

Lors des journées Téléthon des 6 et 7 décembre prochain, les magasins Optic 2ooo soutenus par les

collaborateurs volontaires du siège à Clamart se mobiliseront via des initiatives solidaires pour

collecter encore plus d’euros pour le Téléthon. L’objectif est d’apporter un soutien financier

important pour soutenir la recherche et le développement des thérapies innovantes pour les

maladies rares, notamment la génique oculaire, un des domaines de l’AFM-Téléthon.

Chez Optic 2ooo, le Téléthon c’est tout au long de l’année grâce à la 2ème paire solidaire à 1€ et

avec les montures de la collection MODE in France.

Pour la seule année 2012, Optic 2ooo et ses partenaires ont offert un soutien de 1,120 million

d’euros à l’AFM-Téléthon, pour soutenir notamment la thérapie génique oculaire, faisant de

l’enseigne un partenaire majeur du Téléthon.

 

NDLR : et OPTIC 2000/Optistya



La MGEFI, une nouvelle vision de l’optique avec Optistya                               
  • Trouvez un opticien Optistya                     
  • Les opticiens du réseau Optistya                     
  • Fiches pratiques santé                     
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  • Prémi                     
  • mercredi 4 décembre 2013

    MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

    MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: Titre: MGEFI : nouveau siège Mutweb   du 2/12/20123 http://www.mutweb.fr/fr/mgefi-nouveau-siege   Titre : Les acte...

    MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...

    MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...: Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé »   Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion de...

    MINE D'INFOS: J -5 avant l'ouverture des portes...

    MINE D'INFOS: J -5 avant l'ouverture des portes...: Nouvelles coordonnées pour les adhérents...   Un numéro d’appel unique : 09 69 39 69 29   À compter du 11 décembre 2013, les ad...

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    MINE D'INFOS: Le saviez-vous : 2014 Année du Cheval…

    MINE D'INFOS: Le saviez-vous : 2014 Année du Cheval…: Mariage Frères - Thé des Signes - 2014 Année du Cheval   Avec 2014 arrive l’année du Cheval, naturellement élégant, aristocrate et ...

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