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La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée
d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE;
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L’application des nouvelles mesures relatives aux Investissements Actions de long terme
Avec son partenaire Schroders
Immense succès du déjeuner conférence " Investissements actions de long terme " organisé par Schroders partenaire de l'ADOM dans le cadre prestigieux de l'hôtel Ritz.
" La qualité de nos partenaires permet de mettre à dispositions de nos adhérents une expertise qu’ils n’ont pas dans leur quotidien. Je suis ravi et enchanté du succès de cette conférence." Bruno Huss Président de l'ADOM
Cet évènement a été organisé en collaboration avec la FNMF et l'aimable participation du Ministère de l'Economie et des Finances
À partir de cet après-midi, 16h47 très précisément, et jusqu'à la fin de l'année, les femmes vont travailler... pour rien. Un mouvement féministe lance, pour la quatrième année consécutive, un appel pour l'égalité salariale.
Jusqu'à la fin de l'année, à partir de mardi 5 novembre à 16h47, les femmes travailleront pour rien. Pourquoi aujourd'hui 5 novembre et pourquoi 16h47 ? Parce que, selon les chiffres fournis par Eurostat, qui est un peu à la communauté européenne ce qu'est l'Insee à la France, les salaires des femmes, tous secteurs confondus, sont inférieurs de 15,4% à ceux des hommes. Un chiffre qui regroupe tout, le temps partiel, le temps complet. Et qui n'évolue que très lentement. Le mouvement "Les Glorieuses", mené par l'économiste et militante féministe Rebecca Amsellem, a voulu rendre ce chiffre, un peu abstrait, plus parlant. Tous les ans, il le rapporte au nombre de jours ouvrés dans l'année. Et cette année, cela donne le 5 novembre à 16h47. Au-delà, les femmes travaillent pour des prunes.
La France un peu meilleure élève que les autres
L'idée a été reprise à l'échelle européenne : Bruxelles a fixé la journée européenne de l'égalité salariale un jour plus tôt, le 4 novembre. La France fait un peu mieux que la moyenne des autres pays en la matière. L'écart salarial est de 15% en France, mais il s'élève à 21% en Allemagne. Plus de 25% en Estonie. Mais 5% seulement au Luxembourg. Mais cela pourrait changer, notamment en France, sous l'impulsion de la loi Pacte, votée en avril dernier. Les entreprises de plus de 250 salariés doivent publier un index de l'égalité femmes-hommes. Une mauvaise note qui, à terme, entraine une amende. Et une mauvaise publicité.
Le mouvement à l'origine du 5 novembre 16h47 veut aller plus loin. Il demande la création d'un certificat d'égalité, comme cela se pratique en Islande. Un document officiel qui prouve qu'une entreprise paye bien les femmes autant que les hommes, à poste et responsabilités égales. Un certificat valable trois ans qui permet de ne pas payer d'amende et d'accéder à des incitations fiscales.
La maternité, principale source d'inégalité salariale
L'autre combat de l'association, c'est le congé de paternité. La principale source d'inégalité salariale, c'est la maternité. Les femmes s'arrêtent évidemment plus longtemps que les hommes. Rebecca Amsellem, des Glorieuses, réclame un congé pour les pères plus long que celui qui existe aujourd'hui, de onze jours seulement. En Islande, encore une fois, chacun des parents a droit à un congé de trois mois rémunéré à 80% du salaire, puis à trois mois supplémentaires à se partager. En Norvège, le congé paternité est de dix semaines, pris en charge à 100%. Marlène Schiappa, la secrétaire d'État à l'Égalité entre les femmes et les hommes, a dit vouloir l'améliorer et le prolonger... mais pas le rendre obligatoire. L'Igas, l'inspection des affaires sociales, planche sur la question.
Quelle affaire ! Le petit monde de la prévention s’émeut depuis quelques jours d’une polémique déclenchée par une campagne de prévention en direction des femmes enceintes ou qui souhaitent l’être.
A priori, comme ça, on n’a pas vraiment l’impression que le message soit à ce point scandaleux qu’il faille mobiliser le ban et l’arrière-ban des forces sanitaires pour s’opposer à la diffusion du sulfureux slogan « Un bon vin peut bien attendre neuf mois ».
Mais il se trouve que l’auteur de cette action d’information qui va démarrer début novembre par de l’achat d’espace publicitaire dans les magazines et sur les sites web de la presse féminine et familiale a pour nom Vin & Société.
Qui est Vin & Société ? Une association qui ne se cache pas d’agir au nom des 500.000 acteurs de la filière vini-viticole et étend sa sphère d’influence jusqu’à l’Elysée puisque son ancienne déléguée générale, Audrey Bourolleau est depuis mai 2017 « conseillère agriculture, pêche, forêt et développement rural » auprès du président de la République.
Il serait malvenu de reprocher aux professionnels de santé de s’interroger sur la légitimité d’une structure ayant vocation à faire la promotion d’un produit potentiellement dangereux de se muer en Parangon de prévention. Mais lorsque sa démarche se trouve servir une cause de santé publique reconnue, pourquoi lui trouver tous les défauts de la terre et les desseins les plus sombres ?
Vin & Société, contrairement au lobby du tabac qui a toujours - à son détriment d’ailleurs - cherché l’épreuve de force, a compris depuis longtemps qu’il fallait composer avec la société, ses contradictions et ses évolutions, avec le plaisir et la raison, l’héritage culturel et les réalités sanitaires. Sa campagne est intelligente et fine.
On ne peut malheureusement en dire de même, ni du ministre de l’Agriculture dont la défense du jus de la treille est aussi délicate que celle de la tauromachie, ni des ayatollahs de la prévention qui ne voient que le visage du Grand Satan dans les messagers qui ne sont pas des leurs.
Alors Vin & Société, on a beau ne pas être dupe sur la finalité de votre structure, on aime bien votre campagne. Pire : on la trouve utile !
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