MÉNOPHYTEA, 10 ANNÉES
DÉDIÉES AUX FEMMES
DE 45 ANS ET PLUS.
DE 45 ANS ET PLUS.
Depuis 10 ans, Ménophytea cultive son expertise de la ménopause en apportant
des solutions concrètes, efficaces et pratiques en parfaite adéquation avec les
préoccupations de la femme dès 45 ans. Ménophytea offre aux femmes en
péri-ménopause et ménopause « le choix de se sentir bien » via une palette
variée de produits (compléments alimentaires et cosmétiques) qui leurs sont
exclusivement dédiés.
Aujourd’hui, Ménophythea déploie son double savoir, celui des compléments
alimentaires et du métabolisme féminin à partir de 45 ans, avec :
pour un bronzage raisonné
et un capital solaire bien géré.
QUAND BRONZAGE ET CAPITAL SOLAIRE SE LIVRENT
UN DUEL AU SOLEIL.
Le bronzage n’est autre que le mécanisme sain et naturel de photo-adaptation
que le corps développe pour réguler la dose d’ ultraviolets (UV) absorbée. Notre
corps a même prévu des alertes comme le coup de soleil afin de nous amener à
stopper une exposition trop brutale et/ou trop importante.
Donné pour la vie à la naissance, le « capital solaire » représente la capacité
naturelle de la peau à réparer les dégâts que lui infligent les Déclenché trop
souvent, ce mécanisme de réparation naturelle se fatigue et s’amenuise. Épuisé,
il peine à défendre la peau des attaques du soleil.
Ainsi, à long terme, on peut observer un vieillissement héliodermique de la peau
qui correspond à l’altération survenant progressivement au cours de la vie du
fait de l’exposition aux rayons solaires, particulièrement aux UV. L’héliodermie
se caractérise par des troubles pigmentaires (taches actiniques dites taches de
vieillesse), des kératoses épidermiques et des altérations du derme (élastose
actinique, rides et plis).
Cependant, bien que n’étant pas renouvelable, le capital solaire peut s’entretenir
et se préserver afin de continuer à profiter des bienfaits du soleil.
LES UV ET LEURS EFFETS SUR LA PEAU.
Soleil, ami ou ennemi ?
Du soleil, gigantesque bulle de gaz au centre de notre système planétaire, sont
émises des radiations de différentes longueurs d’ondes. Tandis que les plus
nocives pour la peau (rayons gamma, rayons X et rayons UVC) sont stoppées
par les différentes couches de l’atmosphère, d’autres nous arrivent, notamment
les UVA et UVB, responsables de réactions cutanées.
Le spectre solaire est continu et polychromatique s’étendant des rayonnements
cosmiques aux ondes radio. Au sol, nous recevons du soleil un rayonnement
composé de 5 % d'UV, 39 % de rayonnement visible et 56 % d'infrarouge.
Selon la longueur d’onde, les rayonnements solaires ont différents impacts :
— Les rayons ultraviolets ont des effets sur notre santé
— La lumière visible nous permet de voir
— Les infrarouges nous procurent de la chaleur
UVA (320 – 400 nm) : 95 à 98 % des UVA atteignent le sol. Ce sont les moins
énergétiques mais ils sont les plus pénétrants. Ils sont présents tout au long de la
journée et de l'année. Ils produisent une pigmentation immédiate qui dure peu,
elle apparaît en quelques minutes et disparaît en quelques heures (dépendante
de la pigmentation de l’individu). Leur pénétration profonde des tissus jusqu'au
derme, est à l’origine d’un vieillissement prématuré de la peau (destruction des
fi bres élastiques et du collagène, entraînant alors un relâchement des tissus, une
perte de la fermeté de la peau et l’apparition de rides). Ils peuvent entraîner des
modifi cations génétiques au sein des cellules provoquant l’apparition de cancers
cutanés (carcinomes, mélanomes).
UVB (280 – 320 nm) : 2 à 5 % des UVB atteignent le sol, leur impact augmente
avec l’altitude. Même s’ils sont peu nombreux, ils sont très énergétiques (1000
fois plus que les UVA) et sont particulièrement dangereux entre 12 h et 16 h. Ils
sont arrêtés par la couche cornée de l'épiderme, mais en cas de surexposition,
il y a un risque de brûlure allant jusqu’au 3e degré ; le 1er degré étant le coup
de soleil. L'exposition prolongée aux UVB provoque un amincissement
de l'épiderme et des taches sur les
parties découvertes comme les
mains, bras et visage. Ils peuvent
également entraîner des lésions
oculaires. Ils induisent également
une pigmentation adaptative ou
bronzage de la peau qui apparaît au
troisième jour après exposition et
qui persiste trois à quatre semaines.
Ils sont arrêtés par le verre et les
nuages ; le rayonnement est 100
fois plus intense en juillet qu'en
décembre.
UVB :
Réaction tardive
Risque de coup de soleil
UVA :
Réaction immédiate et transitoire
Lésions définitives des cellules de la peau
Épiderme
Derme
UVB UVA
Les différents types de rayonnement UV
L’HISTOIRE DU BRONZAGE : UN « TAN CODE »
QUI ÉVOLUE !
Miel, abricot, pêche, brugnon... le bronzage se décline de nos jours tout
en subtilité et nuances. Le « tan code » a définitivement changé : fi ni le
bronzage déraisonnable, les femmes veulent un bronzage raisonné pour un
effet bonne mine délicieusement hâlé.
Mais pour connaître cette sagesse, il n’est pas inutile de rappeler les diff érents
extrêmes par lesquels il est passé.
— L’ère du teint de porcelaine
Après les vertus thérapeutiques du soleil prônées par Hippocrate,
le teint de porcelaine a eu le vent en poupe pendant des années,
jusqu’à atteindre son paroxysme aux XVIIe et XVIIIe siècles. À l’époque
du classicisme et du courant « précieux » des salons littéraires, le
teint de porcelaine s’impose chez les nobles et les bourgeois pour
mieux se différencier des travailleurs « du dehors » (paysans, marins,
etc.).
— L’ère du bronzage hawaïen
L’arrivée du Front Populaire en 1936 et l’avènement des congés
payés qui drainent les foules vers les bords de mer et les reliefs
montagneux, puis la révélation, 10 ans plus tard, du bikini qui
deviendra culte dans les années 60 exposent les corps au soleil.
Devenu synonyme de beauté et de séduction, le bronzage connaît
son apogée dans les années 70 et 80, décennies pendant lesquelles il
installe une vraie dictature.
— Les années 2000 : l’ère de raison
Victime d’overdose solaire, la génération du baby-boom paie ses
excès : vieillissement prématuré de la peau et recrudescence des
intolérances cutanées. Dès lors, le rapport au bronzage évolue.
Aujourd’hui, nul ne peut prétendre ignorer les méfaits du soleil
grâce notamment aux campagnes de prévention relayées par les
dermatologues qui insistent sur la nécessité de la gestion du capital
solaire. Crème de protection, chapeau, lunettes, exposition raisonnée,
etc. sont autant de mesures qui rendent amie l’utilisation du soleil.
Sommes-nous tous égaux devant le capital solaire ?
Dès la naissance, chaque individu dispose d’une capacité d’adaptation au soleil :
c’est notre patrimoine solaire. Il est en fonction du phototype classé en 8 catégories
et dépend de l’aptitude au bronzage, de l’apparition du coup de soleil, de la couleur de
la peau et des cheveux. Plus le phototype est bas, moins l’adaptation est facile et plus
rapide sera le coup de soleil. Néanmoins la photoprotection acquise augmente au fur
et à mesure des expositions solaires répétées grâce à l’épaississement épidermique et
à la production de mélanine induits par les UV.
Il est très important de préserver son capital solaire car c’est le système qui permet de
protéger la peau. Une fois qu’il est épuisé les cellules sont endommagées et ne peuvent
plus lutter contre les agressions du soleil.
De nombreuses idées reçues subsistent sur le sujet. Par exemple : une peau mate a-telle
plus de capital solaire ? Oui, plus une peau est mate, plus elle est capable de se
protéger par le biais de la mélanogénèse ; elle est moins sensible au soleil qu’une peau
claire mais si elle est exposée à midi sur le sable, elle brûlera, mais moins vite qu’une
peau claire.
Les femmes à la ménopause sont plus sensibles au soleil, pour
quelles raisons ?
Lors de la ménopause, les femmes subissent un grand chamboulement hormonal. Ces
bouleversements interfèrent sur différentes activités et substances de la peau tels que
le collagène, l’élastine ou encore les glandes sébacées. Elle a donc tendance à devenir
plus sèche, moins souple et plus fi ne. La peau est également davantage sujette à l’apparition
de taches. De plus, la sensibilité de la peau augmente puisque la quantité de
mélanine qui la protège des coups de soleil diminue.
Il existe une diminution de l’épaisseur globale de la peau :
— au niveau épidermique : diminution de l’épaisseur et de l’activité mitotique
— au niveau dermique : diminution du collagène de type III (le même que dans l’os),
altération des fibres élastiques qui se fragmentent (élastose solaire) et diminution
de la quantité d’eau, d’acide hyaluronique, et de sébum.
Les conséquences cliniques seront plus nettes sur le visage, le dos des mains et le
décolleté (ce sont les zones les plus exposées).
La peau est fi ne, sèche et rugueuse, avec des ridules, voire des rides et des sensations
de prurit. On note un relâchement cutané, la peau est flétrie.
Enfin s’associent :
— des troubles pigmentaires, en plus : lentigos, kératoses actiniques et en moins :
achromie en gouttes sur les membres
— des troubles vasculaires : télangiectasies
— des troubles phanériens : ongles fragilisés, chute de cheveux, pilosité.
Docteur JOËLLE SEBAOUN
Dermatologue (Paris)
PEAU ET SOLEIL À 45 ANS : DES SPÉCIFICITÉS
À PRENDRE EN CONSIDÉRATION
Incontournables en période estivale, la protection solaire et la gestion
du capital solaire sont souvent oubliés le reste de l’année. Or le soleil, qui
imprime son rythme à chacune de nos journées, « brille » 365 jours sur 365 !
Par ailleurs, notre capital solaire appartient à notre capital santé. Donné à la
naissance, il s’épuise s’il n’est pas régulièrement entretenu, été comme hiver,
au printemps comme à l’automne et surtout de jour comme de nuit.
— Une peau à l’ombre de ses souvenirs
Vers 45 ans, l’ensemble des facteurs intrinsèques (hormones, etc.)
et extrinsèques (UV, stress, pollution, etc) responsables du
vieillissement provoque des modifications structurelles,
fonctionnelles et morphologiques qui fragilisent la peau et rendent
ses besoins spécifiques lors des expositions solaires :
— Au niveau de l’épiderme : dérèglement de la mélanogénèse
qui contribue à l’apparition des taches de sénescence (troubles
pigmentaires) et ralentissement de la division cellulaire
(diminution de la capacité de prolifération des kératinocytes
et ralentissement de la progression des cellules vers la surface
de l’épiderme) qui entraîne un amincissement de l’épiderme.
Au niveau de la couche cornée (la couche supérieure de
l’épiderme) : déshydratation superficielle et diminution de la
fonction barrière. La peau devient plus fi ne et plus rêche avec
une impression de sécheresse et des sensations de « peau qui
tire »,
— Au niveau du derme : à la ménopause, ralentissement de la
microcirculation et diminution de la sécrétion hormonale. Le
derme devient moins souple et tout le réseau fibrillaire diminue
entraînant perte de souplesse et de fermeté (altération des
fibres élastiques et modification du collagène) et apparition
des rides.
— Un capital solaire fatigué
Avec l’âge, la capacité d’auto-défense de la peau s’amenuise et le
capital solaire doit être géré avec le plus grand soin, notamment à la
ménopause quand la qualité de la peau est déjà mise à rude épreuve
(plus fi ne, plus sèche, sujette à l’apparition de taches).
Entretenu et préservé avec le plus grand soin, le capital solaire sera
moins entamé et donc plus à même de remplir sa fonction.
DÈS 45 ANS,
VIEILLISSEMENT CUTANÉ + CAPITAL SOLAIRE FATIGUÉ
= AU SOLEIL, UNE PEAU AUX BESOINS SPÉCIFIQUES
La réponse Phythea :
Protection Jour & Nuit
Pour un bronzage raisonné et gérer son capital solaire
Conseil d’utilisation : 1 gélule bordeaux le matin et 1 gélule dorée le soir. Pendant 2 mois (avant,
pendant et après l’exposition).
Conditionnement : Boîte de 60 gélules, 30 gélules jour et 30 gélules nuit, pour 30 jours d’utilisation.
VIEILLISSEMENT CUTANÉ + CAPITAL SOLAIRE FATIGUÉ
= AU SOLEIL, UNE PEAU AUX BESOINS SPÉCIFIQUES
La réponse Phythea :
Protection Jour & Nuit
Pour un bronzage raisonné et gérer son capital solaire
Conseil d’utilisation : 1 gélule bordeaux le matin et 1 gélule dorée le soir. Pendant 2 mois (avant,
pendant et après l’exposition).
Conditionnement : Boîte de 60 gélules, 30 gélules jour et 30 gélules nuit, pour 30 jours d’utilisation.
Prix de vente public habituellement constaté : 17,90 €
Code ACL : 483 586.5
Disponible en pharmacie dès mars 2015
Huile de pépins de
fruit de la passion
Huile de pépins
de framboise
Huile d'amandes
d’abricot
Huile
d’argan
Lutéine
Cuivre
Vitamine
C
Vitamine
B6
JOUR
NUIT
MÉNOPHYTEA CAPITAL SOLAIRE : UN CAPITAL
SOLAIRE GÉRÉ 24H SUR 24
« Parce que le bronzage ne s’arrête pas au coucher du soleil, parce que la
nuit est un moment propice à la réparation, parce que le capital solaire est
un bien précieux qui peut – heureusement – se préserver, le soleil et la peau
est un duo qui s’entretient de jour comme de nuit ».
Tel fut le leitmotiv qui accompagna la réflexion du service Recherche &
Développement de Phythea pour développer Ménophytea CAPITAL SOLAIRE,
une solution spécifique pour les femmes dès 45 ans.
L’union de 2 gestes complémentaires (1 gélule jour et 1 gélule nuit) fait la force
de ce nouveau rituel solaire dont les 2 formules innovantes et inédites à base de
4 huiles précieuses, caroténoïdes, vitamines et oligo-élément :
— Formule jour : protège les cellules (vitamine C)
— Formule nuit : pigmente la peau (cuivre)
Ménophytea CAPITAL SOLAIRE s’adresse aux 10 millions de femmes
ménopausées - dont 400 000 nouvelles chaque année - qui veulent prendre
soin de leur peau en gérant leur capital solaire tout au long de l’année, pour un
bronzage raisonné.
Huiles de fruits de la passion1 et d'amandes d’abricot
Délicieusement parfumé, le fruit de la passion, issu de la grenadille,
pousse sur une liane grimpante principalement sous les climats tropicaux
ou subtropicaux. L'abricotier, quant à lui, est plutôt friand du climat
méditerranéen mais peut résister à des températures allant jusqu'à
-20° C. L’amande d’abricot (issue du noyau), tout comme le fruit de la
passion, produit une huile riche en polyphénols, carotènes et acides
gras linoléique et oléique (oméga 6 et 9). Ces deux huiles, fortement
nutritives, apportent leurs vertus anti-radicalaires et préviennent le
photo-vieillissement.
Lutéine
Caroténoïde présent majoritairement dans les légumes verts, la lutéïne
sélectionnée par Phythea est issue de la rose d'inde (Tagetes erecta L.).
De nombreuses études ont montré qu’une supplémentation permettait
d’améliorer la beauté de la peau grâce notamment à son action antiradicalaire
qui préviendrait du photo-vieillissement, améliorerait l’élasticité
et l’hydratation de la peau2.
Lutéine
Le saviez-vous ?
Les apports moyens de lutéine dans les pays industrialisés sont de 2 à 3 mg par jour alors que les études scientifiques suggèrent des effets bénéfiques de la lutéine à partir de 6 mg par jour2.
FORMULE JOUR
Huiles de pépins de framboise6,7 et d’argan8,9,10,11
Consommée dès la plus haute Antiquité pour ses vertus médicinales,
la framboise prit son essor aux XVII et XVIIIe siècles. Aujourd’hui principalement
cultivée en Europe et en Amérique, sa récolte exige toujours
autant de soin et de main d’œuvre pour préserver sa fragilité.
Issue de l'arganier, l'un des plus anciens arbres du monde, espèce endémique
du Maroc, l'huile d'argan est appelée l'Or vert des Berbères.
Extraite selon un procédé traditionnel qui ne compte pas moins de 5
étapes (dépulpage des fruits, concassage de la coque, torréfaction de
l'amande oléagineuse, broyage des amandes et expression manuelle de
la pâte pour l'obtention de l'huile par décantation), cette huile précieuse,
outre son utilisation dans l'alimentation humaine, est utilisée en médecine
traditionnelle. Elle est essentiellement riche en acides gras essentiels
(omega 6 et 9) intervenant dans le système immunitaire cutané
pour assurer une protection contre l’inflammation. Sa fraction insaponifi
able contient des tocophérols et des pigments caroténoïdes dotés de
propriétés anti-radicalaires.
Cuivre
Oligo-élément indispensable au bon fonctionnement de nombreuses
fonctions physiologiques, le cuivre contribue à la pigmentation normale
de la peau et à la protection des cellules contre le stress oxydatif12 et
ainsi aide à retarder le processus de vieillissement.
Vitamine B6
Vitamine dite « essentielle » car l'organisme ne sait ni la fabriquer ni la stocker,
la vitamine B6 contribue à réguler l’activité hormonale et intervient dans la
synthèse des lipides et acides aminés, constituant notamment la peau.
Le saviez-vous ?
La framboise peut être blanche, jaune, orange, rouge, pourpre ou noir. De ses pépins est extraite une huile
dont la concentration en vitamine E, carotènes et acides alpha-linolénique et linoléique (oméga 3 et 6)
apporte des vertus anti-radicalaires et anti-vieillissement, fortement appréciées pour la beauté de la peau.
Cuivre
Vitamine
B6
Vitamine C
Antioxydante, la vitamine C est également capable de réactiver les
substances qui ont perdu leur pouvoir antioxydant après avoir été
neutralisées par des radicaux libres3. Tandis qu'en solo elle a également
un effet préventif sur les méfaits des UVB4, son association avec
l’acide linoléique lui confère un effet anti-âge5. Enfin, elle contribue à la
formation normale de collagène et à la protection des cellules contre le
stress oxydatif (occasionné notamment par une exposition prolongée
au soleil).
Vitamine
C
FORMULE NUIT
*Test de satisfaction réalisé sur 53 femmes âgées de 47 à 66 ans pendant 2 mois en 2014.
(1) Melton et al. 1987 ; Berbis et al. 1990 ; Ziboh et al. 2000; Athar and Nasir 2005 ; Ingale and Hivrale 2010. - (2) Evans et al. 2010; Palombo
et al. 2007. - (3) Principes de santé 06/2011 N°35. - (4) Sugimoto, 2006. - (5) Cosgrove, 2007. - (6) Dukan, P., Dictionnaire de
diététique et de nutrition. Editions france Loisirs ed. 1998. - (7) Oomah, B.D., et al., Characteristics of raspberry (Rubus idaeus L.) seed oil.
Food Chemistry, 2000. 69(2): p. 187-193. - (8) Rahmani, M., Composition chimique de l’huile d’argane « vierge ». Oléagineux, Corps Gras,
Lipides., 2005. 14(5): p. 461-465. - (9) Charrouf, Z., L’huile d’argane, une prodigieuse vitalité née au bord du désert… Espérance Médicale
2002. 9(87). - (10) André, E. L’arganier - De l’empirisme à la pharmacologie, l’argan livre ses secrets. in Les journées scientifi ques du Carla.
2004: Castres, France. - (11) Rammal, H., et al., Notes ethnobotanique et phytopharmacologique d’Argania spinosa L. Phythothérapie
2009. 7: p. 157-160. - (12) Commission européenne, règlement (UE) N° 432/2012 de la commission du 16 mai 2012 établissant une liste
des allégations de santé autorisées portant sur les denrées alimentaires, autres que celles faisant référence à la réduction du risque de
maladie ainsi qu’au développement et à la santé infantiles in Journal Offi ciel de l’Union européenne (JOUE). 2012. p. 1-40.
TESTÉ et APPROUVÉ par les femmes*
TESTÉ ET APPROUVÉ
PAR LES FEMMES*
83 %
de satisfaction
85 %*
85 %*
79 %*
79 %*
70 %*
« Je trouve que ma peau
est plus hâlée » »»»»»»
»»
»»»»
« dJeu s seonles iql upelu jse fpaecuilxem preonfit t»er
« Je sens que ma peau est
souple et confortable »
« Je sens que ma peau
supporte mieux le soleil »»»
« Je sens que mon
bronzage est durable »»»
Formule jugée INNOVANTE 76
%*
et EFFICACE 83
%*
TEST DE SATISFACTION MÉNOPHYTEA CAPITAL SOLAIRE
ET VOUS, OÙ EN ÊTES-VOUS ?
TESTEZ VOTRE CAPITAL SOLAIRE !
1) Ma peau :
A. Est plutôt mate.
B. A des taches de rousseur et des grains de beauté.
C. Rougie au froid ou à la première émotion.
D. Est très pâle.
2) Face au soleil c’est :
A. Parasol, t-shirt, indice 50 et bob.
B. Une noisette de crème solaire toutes les 2 heures et une exposition
régulée la première semaine.
C. Ni crème ni contraintes.
D. Monoï dès les premiers jours.
3) Question alimentation, en vacances c’est :
A. Tous les légumes rouges et orange, et en favori : la carotte.
B. Jus de fruits, sorbets et autres fraîcheurs.
C. Pour le plaisir : beignets, chichis et autres pâtisseries.
D. Punch et autres cocktails tropicaux pour se mettre dans l’ambiance.
4) Les coups de soleil, c’est :
A. Jamais.
B. Rarement.
C. Souvent.
D. A chaque farniente.
5) Rester bronzée toute l’année :
A. Quel intérêt ? C’est dangereux pour la santé.
B. Avec les gélules solaires quotidiennes.
C. Grâce à la magie de l’autobronzant 2 fois par semaine.
D. Avec une séance d’UV tous les 15 jours.
Résultats :
Maximum de A
Votre capital solaire est presque intact.Vous avez de
bonnes habitudes qui vous ont permis de conserver
votre capital solaire. Continuez ainsi !
Maximum de B
Votre capital solaire a été entamé.Vous avez fait des
efforts et il faut les maintenir pour limiter l’apparition
de rides et de taches.
Maximum de C
Votre capital solaire est bien entamé.Attention : vos
pratiques face au soleil sont à risque. Veillez à modifi
er vos habitudes pour protéger au mieux votre peau.
Maximum de D
Votre capital solaire est en danger. N’hésitez pas à
consulter un dermatologue pour faire le point. Il pourra
ainsi surveiller vos grains de beauté et vous conseiller.
Les conseils Ménophytea
pour un bronzage raisonné :
— Utilisez une crème solaire adaptée à votre peau
dont vous renouvellerez les applications régulièrement,
et après chaque baignade,
— Évitez de vous exposer au soleil aux heures les plus chaudes,
— Hydratez vous régulièrement,
— Protégez-vous du soleil avec des lunettes et un chapeau.
Plus
d’informations sur le site internet :
www.menophytea.com
N° INDIGO : 0 820 320 328
www.menophytea.com
N° INDIGO : 0 820 320 328
