Nora ANSELL-SALLES

vendredi 22 novembre 2013

Un colloque de l'INSTITUT de la Protection Sociale Européenne qui a tenu toutes ses promesses

Généralisation de la complémentaire santé : quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires ?

Crédit photo Yves Perrin
 

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Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU

 

 

 
Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU
 

 Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU
 
Compte-tenu des aléas législatifs et alors que le PLFSS 2014 est en cours d’adoption, les modalités de  la généralisation de la complémentaire santé  continuent de faire débat y compris chez les fonctionnaires. De nombreux défis demeurent. Ils tiennent à la place, au rôle des organismes complémentaires et à l’accès aux soins. Ils portent également sur l’articulation nécessaire avec l’assurance maladie obligatoire et la rénovation des contrats solidaires.

 


Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU

La généralisation représente un progrès puisqu’il va permettre d’augmenter la couverture de millions de salariés. Mais cette avancée pose incontestablement un certain nombre de questions.

 
Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU


En premier lieu, la généralisation de la complémentaire santé ne va-t-elle pas avoir pour effet d’augmenter des inégalités flagrantes et croissantes puisque les jeunes en situation précaire, les chômeurs de longue durée et les retraités, populations qui ont le plus besoin d’une complémentaire, ne sont pas visés par cette généralisation ? La complémentaire santé obligatoire ne va-t-elle pas par ailleurs encourager indirectement au désengagement de la Sécurité Sociale, clé de voûte d’une protection sociale solidaire, dans la prise en charge des soins ambulatoires ? Ne risque-t-on pas en outre de voir s’aligner les garanties de la complémentaire santé vers un minimum fixé par le panier de soins et se développer en sus un « marché » de la sur-complémentaire santé ?


Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU

La généralisation de la complémentaire santé appelle avant tout à couvrir et accompagner les personnes dans leur parcours de santé tout au long de la vie. Cela ne peut se faire qu’avec une coopération étroite entre le régime obligatoire et les régimes complémentaires, mais aussi avec les collectivités territoriales telles que les conseils généraux, les intercommunalités et les régions. La généralisation de la couverture santé ne pourra donc être réussie que si un certains nombres de défis sont relevés, comme la rénovation des contrats solidaires et responsables, une clarification de la participation des complémentaires à la gestion du risque ou encore une meilleure articulation avec l’assurance maladie de base.


 

 

Allocutions de bienvenue

 Gérard Andreck, Président du groupe Macif
 

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Alain Chenot, Président de l’Ipse
 
 
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Animation de la matinée :


Jean-Marie Spaeth, Président du GIP Santé et protection sociale internationale
 

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Mise en perspectives des enjeux de la généralisation de la complémentaire santé et du rôle des acteurs de la protection sociale
 Jean-François Chadelat, Président d’honneur du Fonds CMU
Crédit photo Yves Perrin
 

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Table ronde 1 : Le point de vue des opérateurs


 

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Michel Régereau, Président du conseil de la CnamTS
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• Paul Grasset, Directeur général de ProBTP
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• Joseph Deniaud, Président d’Harmonie Mutuelle
 Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU
 

• Serge Brichet, Président de la MGEFI, Vice président MFP, membre du groupe Istya
 
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Table ronde 2 : Le point de vue des décideurs


Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU


Véronique Descacq, CFDT

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Geneviève Roy, CGPME
Crédit photo Jean-Marie PROUTEAU


 
Philippe Thouron, UPA

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Michel Dieu, FO

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Conclusion
 
 
Valérie Devillechabrolle, Rédactrice en chef, Protection sociale Informations
 
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Contact presse MGEFI
Nora Ansell-Salles
 
 
La MGEFI en faits et chiffres
■ Créée le 13 septembre 2007.
■ En 2009, la MGEFI remporte l'appel public à la concurrence lancé par l'Administration de Bercy.

■ La MGEFI regroupe 280 000 adhérents et 360 000 personnes protégées.

■ 260 collaborateurs au service des adhérents.

■ Un réseau de 800 militants.

■ En 2012, la MGEFI rejoint le groupe Istya
■ Certifiée ISO 9001: 2008 le 17 juillet 2013 AFNOR
 
 

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jeudi 21 novembre 2013

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MINE D'INFOS: Agenda : 26 /11/ 2013 Conférence à l'Académie de M...: LES MARDIS DE L'ACADEMIE DE MEDECINE Mardi 26 novembre 2013, 14h « Qualité de vie après transplantation d’organes » Organisat...

Agenda : 26 /11/ 2013 Conférence à l'Académie de Médecine autour de la Transplantation d'organes -entrée libre-

LES MARDIS DE L'ACADEMIE DE MEDECINE

Mardi 26 novembre 2013, 14h

« Qualité de vie après transplantation d’organes »

Organisateur : Yves CHAPUIS

 

Conférence à l’occasion de la

commémorer le centenaire de la naissance de René Küss par Christian CHATELAIN

 

Entrée libre : 16 rue Bonaparte PARIS 6ème
 

 

Introduction par Yves CHAPUIS (Membre de l’Académie nationale de médecine

 

État actuel de la transplantation d’organes en France, enfant, adulte par Jacques BELGHITI (Hôpital Beaujon)

 

Évaluation de la qualité de vie chez l’enfant transplanté par Philippe DUVERGER (Pédopsychiatrie, CHU d’Angers)

Après une réflexion générale sur le concept de qualité de vie en médecine, et un aperçu des problématiques psychologiques en lien avec la transplantation rénale, nous donnons les principaux résultats d'une étude prospective, multicentrique (8 CHU français), incluant 40 jeunes en attente de transplantation rénale. Les résultats concernant la qualité de vie (avant, puis 6 mois et 18 mois après la greffe) sont détaillés et analysés, à la lumière du processus adolescent.  Si l'étude valide le fait que les jeunes transplantés rénaux ont une bonne qualité de vie, aucun chiffre ni aucun score ne peut en rendre compte véritablement. Et rien ne remplace la rencontre avec le jeune et sa famille. C’est au cœur de cette rencontre que se mesure ce qui se joue. L’expert pour la qualité de vie, c’est le sujet greffé et non le médecin.

 

Qualité de vie après transplantation cardiaque chez l’enfant par Pascal VOUHÉ (Chirurgie cardiaque, Hôpital Necker-Enfants Malades )

Après 25 ans d’existence, les résultats actuels de la transplantation cardiaque pédiatrique sont, en termes de mortalité et de morbidité, globalement satisfaisants et, surtout, en amélioration constante. Le temps est venu d’analyser la qualité de vie des survivants et de proposer des solutions pour l’optimiser. La capacité fonctionnelle est, en général, jugée excellente par les receveurs (90% sont très peu ou pas symptomatiques). En fait, la capacité d’effort est en règle diminuée, essentiellement par inadaptation du rythme cardiaque à l’effort. Un entrainement physique précoce et adapté est indispensable. En moyenne, le développement neuro-psychologique est à la limite inférieure de la normale, 10 à 15 points au-dessous de la norme. Les troubles intéressent les fonctions cognitives globales et l’apprentissage scolaire (en particulier en mathématiques). 20% à 30% des patients présentent en outre des troubles psychologiques ou du comportement. Ces difficultés sont stables dans le temps. Les troubles du développement sont plus sévères chez les receveurs porteurs de cardiopathie congénitale (les troubles sont identiques à ceux observés chez les patients porteurs des mêmes malformations qui subissent des interventions chirurgiales réparatrices). Cette constatation suggère que les anomalies sont liées plus à la pathologie initiale qu’à la transplantation elle-même. Au contraire, les troubles sont moins fréquents lorsque le milieu familial est favorable d’un point de vue intellectuel ou socio-économique.Après transplantation cardiaque pédiatrique, la survie et la qualité de vie sont satisfaisantes. Cependant, la fréquence des troubles fonctionnels ou neuro-psychologiques impose une prise en charge globale, multi-disciplinaire, précoce et prolongée (en particulier durant la transition vers l’âge adulte).

 

Avenir social et professionnel d'enfants bénéficiaires d'une transplantation rénale par Chantal LOIRAT (Néphrologie pédiatrique, Hôpital Robert Debré)

La situation socioprofessionnelle à l’âge adulte des sujets ayant nécessité une  greffe de rein dans l’enfance est mal connue. Cette enquête nationale française documente le devenir socioprofessionnel d’adultes ayant reçu une greffe de rein avant l’âge de 16 ans entre 1985 et 2002. 890 patients éligibles  ont été identifiés dans le registre CRISTAL de l’Agence de la Biomédecine. 625 d’entr’eux étaient connus comme étant en vie, avec une adresse postale valide et un suivi mis à jour pendant les 12 mois précédant l’enquête. Ces 624 sujets ont reçu un questionnaire par la poste. 374 d’entr’eux (60%) (191 hommes, 183 femmes) y ont répondu. Les comparaisons avec la population générale française (PGF) ont été faites par calcul du taux d’incidence standardisé après ajustement sur la période concernée, l’âge, le sexe et/ou le niveau d’éducation des parents. L’âge médian était de 12.3 ans (0.9 à 16.0) à la première greffe et 27.1 ans (20.6 à 39.2) lors de l’enquête. Un tiers (31.1%) des participants vivaient avec un partenaire (vs 52.2% dans la PGF, p<0.01), 35.7% étaient célibataires et vivaient chez leurs parents (vs 21.0%, p<0.01)  et 27.6% vivaient seuls dans un logement indépendant (vs 20.3%, p<0.01). Après ajustement au niveau d’éducation des parents, seuls le taux de femmes avec le baccalauréat et d’hommes et de femmes avec un diplôme universitaire  de haut niveau (≥ bac+3) était plus faible que celui  de la PGF (p<0.01).  La répartition des catégories d’activité professionnelle n’était pas différente de celle de la PGF, mais le taux de chômage était plus important (18.5% vs 10.4%, p<0.01),  les contrats d’apprentissage ou à durée déterminée plus fréquents (respectivement 7% vs 3.1%, p<0.01 et 21.1% vs 11.8%, p< 0.01). L’analyse par régression logistique a montré que les facteurs prédictifs de difficultés d’insertion socioprofessionnelle  étaient la sévérité de la maladie rénale initiale (début entre la naissance et 18 mois ou néphropathie héréditaire), la présence de comorbidités ou de déficits sensoriels, le faible niveau d’éducation du patient ou de ses parents, le sexe féminin, et le fait d’être en dialyse après échec de greffe.En conclusion, les enfants transplantés, particulièrement les filles et les patients dont les parents ont un faible niveau d’éducation, ont besoin d’un soutien éducatif, psychologique et social renforcé pour atteindre le même niveau d’éducation que leurs pairs. Ce soutien doit être maintenu à l’âge adulte pour les aider à intégrer le monde du travail et  fonder une famille.

 

Transplantation (rein, foie) et grossesse par François-René PRUVOT (Chirurgie digestive et transplantation, Hôpital Claude Huriez, Lille)

La transplantation de rein ou de foie permet de restaurer la fertilité chez les femmes en âge de procréer. Dans la majorité des cas les grossesses sont possibles avec un bon pronostic maternel ou fœtal. Mais le risque de complications comme la pré-éclampsie, la prématurité et un petit poids à la naissance est élevé. Il n’y a en général pas d’impact sur la greffe si la situation avant greffe est stable et dans les limites habituelles du suivi de greffe. Cependant, les femmes greffées ont statistiquement une surmortalité par rapport à la population générale et la morbidité associée à la greffe et son traitement peut empêcher la femme greffée de prendre soin de son enfant dans de bonnes conditions. De telles grossesses, symboles de la qualité de vie retrouvée, doivent être encadrées par une équipe multidisciplinaire.

 

Qualité de vie après transplantation hépatique chez l’adulte par Georges-Philippe PAGEAUX (Hôpital Saint Éloi, Montpellier)

La transplantation hépatique est associée avec une amélioration de la qualité de vie globale. Cette amélioration est plus basse qu'attendue. La qualité de vie s'améliore de façon significative dans la période qui suit la greffe, mais a tendance à diminuer après la première année. L'identification des patients qui présentent une qualité de vie non satisfaisante est cruciale. L'éducation thérapeutique doit faire partie intégrante de la prise en charge des patients transplantés.

 

Conclusion par Yves CHAPUIS

 
 

MINE D'INFOS: PLAN GRAND FROID POUR PARIS

MINE D'INFOS: PLAN GRAND FROID POUR PARIS: Plan grand froid pour les personnes sans abri : la Ville de Paris accroît les moyens engagés et ouvre dès vendredi un premier gymnase. ...

PLAN GRAND FROID POUR PARIS

Plan grand froid pour les personnes sans abri : la Ville de Paris accroît les moyens engagés et ouvre dès vendredi un premier gymnase.

En raison de la chute des températures prévue en fin de semaine, j’ai décidé d’activer le plan grand froid dès à présent et d’ouvrir un premier gymnase (Invalides, 7ème) pour accueillir les sans-abri dès vendredi 22 novembre (soit huit jours plus tôt que l’hiver dernier).  Ce plan grand froid se décline de la manière suivante :

- Mise à disposition de l’Etat de 6 bâtiments et de logements dans le diffus, soit environ 350 places pour héberger des familles et des personnes isolées.


- Renforcement des effectifs de maraudes de l’unité d’aide aux sans-abri de la Ville, qui facilite la mise à l’abri des plus exclus, dans les bois et les rues de Paris.


- Mobilisation de plus de 1000 places de mise à l’abri durant les périodes de grand froid. Jusqu’à 920 places seront proposées dans 12 gymnases  et 91 places dans les mairies des 1er, 3e, 4e, 11e et 15e arrondissements. Dans les gymnases, l’accueil sera assuré par des agents volontaires du Centre d’Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP) avec l’appui de bénévoles. Les services créés l’hiver dernier - service médical assuré par les médecins retraités de l’association Les Transmetteurs, coordination sociale par les travailleurs sociaux du CASVP facilitant l’orientation et le suivi des demandes d’hébergement- seront renouvelés. Cette année, la Ville mettra également à disposition de l’Etat dans les salles de Mairies d’arrondissement ce service de coordination sociale.

- Ouverture début janvier d’un 7e restaurant solidaire dans le 17e (quartier des Epinettes). Il permettra chaque soir à 150 personnes, en particulier des familles vivant à l’hôtel et des personnes âgées précaires, de bénéficier de repas équilibrés dans un cadre accueillant. Ce sont ainsi plus de 1000 personnes qui recevront un repas chaque soir et toute l’année dans un des 7 restaurants solidaires (5e, 8e, 10e, 11e, 14e, 17e et 20e arrondissements).

- Elargissement des horaires d’ouverture et extension des ouvertures le week-end des Espaces Solidarités Insertion (accueils de jours), afin de garantir la mise à l’abri en journée des SDF


Cette année encore, en concertation avec l’Etat, la Ville de Paris augmente les moyens, humains et financiers, qu’elle consacre à la prise en charge des personnes sans-abri.


MINE D'INFOS: ENQUETE : Transferts de compétence entre professio...

MINE D'INFOS: ENQUETE : Transferts de compétence entre professio...: Participez à la nouvelle enquête de la Fondation de l’Avenir, en partenariat avec la BFM En 2012, la Fondation de l’Avenir se demanda...

ENQUETE : Transferts de compétence entre professionnels de santé



En 2012, la Fondation de l’Avenir se demandait si les Français étaient prêts pour la télémédecine, à travers une enquête qui fait désormais référence. Cette année, dans le cadre de son partenariat avec la BFM, la Fondation propose de participer à la nouvelle enquête portant sur les transferts de compétence entre professionnels de santé. Pour y répondre, cliquez sur le lien ci-dessous ou copier/coller l’adresse dans votre navigateur.


Cinq minutes sont nécessaires pour remplir ce questionnaire, dont les résultats seront rendus publics le 17 décembre au siège de la Fédération Nationale de la Mutualité Française, en présence d’Etienne Caniard, Président de la FNMF, d’Yves Marthos, Président de la BFM et de Dominique Letourneau, Président du directoire de la Fondation de l’Avenir.

Pour plus de renseignement sur cette restitution : infocom@fondationdelavenir.org


NDLR : MGEFI /FONDATION DE L'AVENIR/BFM
 
 
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    MINE D'INFOS: C'est à lire : Un guide très utile à tous....

    MINE D'INFOS: C'est à lire : Un guide très utile à tous....: « Guide de la fin de vie 2014 » Accompagnement, maladies, décès, obsèques... Edition n°3 Novembre 2013       ...

    C'est à lire : Un guide très utile à tous....


    « Guide de la fin de vie 2014 »
    Accompagnement, maladies, décès, obsèques...
    Edition n°3 Novembre 2013
     
     
     
    Disponible sur : www.petitfute.fr
     
    Retrouvez maintenant vos guides Petit Futé sur votre Smartphone et sur votre tablette

     

    Le deuil est une réalité à laquelle personne ne peut échapper. Tous les ans des millions de personnes sont touchées par les 530 000 décès qui surviennent dans notre pays. La fi n de vie aujourd’hui revêt des caractères différents par rapport au passé. Les Français vivent de plus en plus vieux mais ils se retrouvent souvent de plus en plus seuls pour affronter la maladie, le handicap, les problèmes liés à l’âge. Les familles sont éclatées, les enfants pris dans la vie quotidienne, l’éloignement de plus en plus fréquent.

     

    Depuis quelques années cette période ultime avant le décès commence à être prise en compte : des médecins, des psychologues, des sociologues, des hommes et femmes de loi, des associations, des sociétés de service travaillent au quotidien, soit dans des structures adaptées soit à domicile, pour l’améliorer. Ainsi, le premier Salon de la Mort s’est tenu à Paris en avril dernier, etc. L’idée :

     

    Faire tomber les tabous autour de la mort, en parler pour mieux vivre.

     

    Un Observatoire national de la fi n de vie vient également de voir le jour. Son rôle : dresser un état des lieux des situations et des besoins à l’approche de la mort.

     

    Mais la mort ne frappe pas que les personnes âgées : des enfants, des adolescents, des jeunes adultes sont confrontés pour eux-mêmes ou pour leur entourage à ce qui est parfois inéluctable. Comment y faire face ? Comment accepter, accompagner, comprendre la fi n de vie et la mort ?

     

    L’angoisse, la souffrance morale, la douleur physique sont le plus souvent difficiles à surmonter.

     

    Ce guide, respectueux de la déontologie, est conçu de façon pratique pour aider celles et ceux qui un jour ou l1autre devront gérer ce « temps du départ » pour eux-mêmes ou pour des proches. Il tente d’aborder et de répondre aux questions juridique, sociale, financière ou psychologique que l’on se pose avant le décès, au moment des obsèques et après le décès. Il informe sur l’évolution des funérailles et du funéraire sans oublier l’arrivée d’internet qui a révolutionné les habitudes de communication y compris sur le deuil. L’étape de la fi n de vie est une étape à vivre en toute conscience et en toute humilité. Pour Saint-Exupéry, «ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort ».

     

     

    PLAN DU GUIDE :

     

    Avant le décès :

     

    rester à domicile ou en établissement spécialisé. L’accompagnement de la fi n de vie (la dépendance, les maladies du grand âge, les soins palliatifs, législation...). Les aides financières et la protection juridique. Transmission du patrimoine (testaments, legs, dons, assurances vie, etc.). Prévoir ses obsèques. Immortaliser. S’informer.

     

    Le décès :

     Les formalités, avant les obsèques, organisation des funérailles, choix du funéraire, les obsèques.

     

    Après les obsèques :

    succession, l’étape du deuil, informations pratiques et complémentaires...



    NDLR: MGEFI et DECES
     
    Offre facultative : Plurio Obsèques                     
  • Offre facultative : Plurio Education                     
  • Offre facultative : Prémuo capital avantages                      
  • Offre statutaire renforcée - Prémuo M022                     
  • Offre statutaire de référence - Prémuo M022                     
  • SMODOM, une solution au problème de l'éloignement en cas de décès    
  • Plurio obsèques                     
  • Plurio éducation                     
  • Plurio conjoint – rente décès                     
  • Plurio capital décès                     
  • AGENDA: 22/11/13 de 8h30 à 13h l'Institut de la Protection Sociale Européenne planche sur la généralisation de la complémentaire santé... et la Sécu dans tout cela...

     

    11ème Colloque professionnel Ipse

    22/11/13
    Généralisation de la complémentaire santé :
    quelle nouvelle définition des rôles pour la sécurité sociale et les complémentaires ?
    Vendredi 22 novembre 2013
    de 8h30 à 13h00
    accueilli par le groupe Macif: 17-21, place Etienne Pernet , Paris 15e
     
    Compte-tenu des aléas législatifs et alors que le PLFSS 2014 est en cours d’adoption, les modalités de  la généralisation de la complémentaire santé  continuent de faire débat y compris chez les fonctionnaires. De nombreux défis demeurent. Ils tiennent à la place, au rôle des organismes complémentaires et à l’accès aux soins. Ils portent également sur l’articulation nécessaire avec l’assurance maladie obligatoire et la rénovation des contrats solidaires.
     
    Lire la suite :
     
     
     
    NDLR : MGEFI et IPSE
     
    Serge Brichet, Pdt de la MGEFI
    Interviendra lors de la table ronde N°1
    contact presse mgefi : Nora Ansell-Salles
    nansellsalle@mgefi.fr / 06 70 74 1 5 42



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    mercredi 20 novembre 2013

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