Nora ANSELL-SALLES

mercredi 30 janvier 2019

Que faire des djihadistes français ?

Syrie : des djihadistes français pourraient être rapatriés http://www.lefigaro.fr/international/2019/01/29/01003-20190129ARTFIG00265-syrie-des-djihadistes-francais-pourraient-etre-rapatries.php?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3

Une méthode surprenante pour sauver votre orchidée

https://youtu.be/fRfE4VtDSek

Actualité Afrique

Victimes de la crise ivoirienne: Trop c'est trop

Depuis 2002, lorsqu'on parle des victimes de la crise en Côte d'Ivoire on donne l'impression qu'elles sont seulement à Abobo, Anyama ou au nord. Et avec l'annonce de la libération de Gbagbo et de Blé Goudé, cela se confirme parce qu'il y a un petit groupe qui s'agite se présentant comme étant les victimes de la guerre post électorale et refusant la libération de Gbagbo et de Blé Goudé.
Soyons vrais et justes. Pour rappel, de 1999 jusqu'aujourd'hui il y a des millions d'ivoiriens de toutes ethnies qui ont subi les affres de la guerre. Les hommes et des femmes ont été tués dans la region de Duékoué, à Bouaké, à Anonkoua Kouté, à Sikensi, à Bassam, à Adzopé. Des fonctionnaires ont tout perdu, en abandonnant maison et tout à Bouaké. Des Ivoiriens ont AVC aujourd'hui parce qu'ils ont tout perdu. Ce n'est pas par peur qu'on ne parle pas. Mais il y a un moment dans la vie où on fait un pas vers ce qui est plus grand: la paix. Les victimes de la guerre en Côte d'Ivoire n'ont ni couleur, ni ethnie ce sont des hommes. Chaque ivoirien, de manière directe ou indirecte  a été victime de cette barbarie occasionnée par des rebelles soutenus par des pays occidentaux.
Aujourd'hui nous n'allons pas permettre à certains ivoiriens de jouer aux victimes et de faire une propagande contre la paix. Et d’ailleurs, quand le président Ouattara a libéré les prisonniers au nom d'une amnistie, ou étaient ces victimes d'Abobo et d'Anyama?
Pourquoi se plaindre et gesticuler lorsqu'on veut libérer deux ivoiriens à la CPI?
Trop c'est trop. Au nom de la vérité et de la justice nous ne pouvons pas permettre à des plaisantins et illettrés de travestir l'histoire récente de la Côte d'Ivoire.
Le silence des autres n'est pas une faiblesse. C'est par éducation, et du fait de leur foi que les autres se taisent et luttent pour la paix. Sinon, tout le monde voit en Côte d'Ivoire des tueurs se pavaner, et narguer les victimes en allant même dans leurs propres villages. Il y a des cœurs qui saignent lorsqu'on voit à la télévisions des bourreaux d'hier devenir vos chefs à qui vous devez servir. Si chaque ivoirien devait passer pour parler de ce qu'il a subi et perdu dans cette crise, on ne pourra plus jamais vivre ensemble.
Le mouton est pacifique mais il peut aussi être offensif. Nous luttons pour la paix. Nous voulons la paix et la réconciliation pour laisser à nos enfants et petits enfants un héritage qui sera une Côte d'Ivoire dans laquelle il n'y a plus de rattrapage ethnique et d'ivoirité identitaire.  Par conséquent nous invitons les autorités étatiques à œuvrer pour que la masse silencieuse ne soit pas considérée comme des imbéciles. Les ivoiriens ont trop souffert.
Dieu a tant aimé la Côte d'Ivoire qu'il donne toujours aux ivoiriens par des petits gestes l'occasion de fraterniser et de vivre ensemble dans la paix. Et la libération de Laurent Gbagbo et de Blé Goudé est la dernière porte de la réconciliation que Dieu ouvre pour nous. Ne la fermons pas. C'est pourquoi au nom de ma foi en Christ et de par ma mission de prêtre, prophète et roi, je serai parmi ceux qui, par la parole empêcheront les diablotins de fermer cette dernière issue de rassemblement et d'unité que Dieu nous offre.
"Partagez cet article sans peur"

Père Marius Hervé Djadji
Docteur en théologie dogmatique

Les produits qui augmentent au 1er février

Nutella, Pastis, Chocapic, Evian : pourquoi les prix de centaines de produits vont-ils flamber à partir de vendredi ?

Le pot de Nutella fait partie des hausses de prix annoncées Photo DR

Economie

Suite au vote en octobre dernier de la loi alimentation, un grand nombre de produits du quotidien vont voir leurs prix augmenter ce vendredi 1er février. Une augmentation en moyenne de 6,3% mais qui pour certaines denrées atteindra près de 10%. Explications.

Pastis Ricard, les céréales Chocapic ou encore l'eau minérale Evian font partie de la liste des produits de grande consommation qui vont voir leurs prix augmenter d'ici le 1er février. La raison ? Selon l'UFC Que-Choisir, c'est la conséquence du vote de loi alimentation du 2 octobre dernier qui entre en vigueur ce vendredi 1er février. Ce texte prévoyait de redéfinir les relations entre les agriculteurs, les industriels et les distributeurs. En moyenne, l'augmentation des prix sera de 6,3% mais pour certaines denrées, la hausse atteint parfois les 10%.

Plus de 8% pour le Nutella

A titre d'exemple, le pot de Nutella de 750 grammes va passer de 4,05 euros à 4,39 euros (+8,4%), la bouteille d'un litre de Pastis Ricard voit son prix augmenter de 9,9 % ce qui fera grimper le prix d'achat à 20,61 euros au lieu de 18,75 euros auparavant. Le paquet de céréales Chocapic de la marque Nestlé reviendra à 2,35 euros contre 2,15 euros avant la hausse. 


Pour Mathieu Escot de l'UFC UFC-Que choisir interviewé dans le Parisien, les types de produits concernés par cette augmentation des tarifs sont principalement des denrées alimentaires de grandes marques, appelés également produits d'appel comme les marques de soda, de café ou encore d'eau minérale. 
Du côté des enseignes, toutes n'appliqueront pas forcément cette hausse des prix. "Pas dans les petits magasins de centre-ville ou les Monoprix parisiens, en tout cas, car les marges réalisées sur les produits y sont déjà supérieures à 10 %. En revanche, dans les hypermarchés qui se livrent à une guerre des prix – Leclerc, Géant Casino, etc. – comme chez les « hard discounters » (Leader Price, Netto, etc.), les hausses pourront être fortes. Or, ce sont ces magasins que fréquentent les Gilets jaunes. Ce sont donc bien les Français les plus modestes, avec un faible pouvoir d’achat, qui vont payer", argumente le responsable des études pour l'association de consommateurs UFC-Que choisir.
Parmi une liste de 25 000 références, 1 000 feraient l'objet de cette hausse des prix dans un hypermarché.

Comment expliquer ces nouvelles étiquettes de prix ?

C'est en fait le seuil de revente à perte qui a été modifié. Ce prix plancher est en fait le tarif en-dessous duquel un distributeur ne peut revendre un produit sous peine de sanctions. Pour établir ce montant, le coût des transports, les taxes...sont pris en compte. En résumé, si le distributeur paie un produit 100 en tarif seuil, il sera contraint de le vendre 110 aux consommateurs. 
Autre nouveauté, ce nouveau texte interdit également les promotions supérieures à 34% sur un produit. Les opérations de type « 1 produit acheté = 1 produit offert », qui sont donc une remise  de 50% ne seront donc plus autorisées. 


Coup de projecteur :
Découvrez le Tweet de @le_Parisien : https://twitter.com/le_Parisien/status/1090548085284130817?s=09

Finance et intérêt général

Découvrez le Tweet de @ciriecaa : https://twitter.com/ciriecaa/status/1088548371923640320?s=09

mardi 29 janvier 2019

Urgent avis de recherche

Découvrez le Tweet de @BeyerCaroline : https://twitter.com/BeyerCaroline/status/1090210022804602881?s=09

Histoire d'Afrique

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2352854168275846&id=1729142530647016

Refondation du contrat social avec la Fonction publique


COMMUNIQUE DE PRESSE


 
Alors que le Gouvernement a retardé, pour cause de Grand débat national, la présentation de son projet de loi de « Refondation du contrat social avec les agents publics », l'Association des DRH des grandes collectivités territoriales confirme plus que jamais son attachement à la modernisation et à la simplification de la fonction publique.
 
En tant qu’agents publics, notre action doit être au plus près des besoins et des attentes de nos usagers. Pour ce faire, nous plaidons depuis plusieurs années pour une simplification du statut, pour qu’il soit demain plus lisible, compréhensible par tous et opérationnel au quotidien.
 
Pour nous, DRH de grandes collectivités, la solution ne réside non pas dans sa simple suppression, mais bien dans son adaptation aux nouveaux enjeux de nos organisations. 
 
Si nous rejoignons certains axes du Gouvernement, d’autres nous semblent inopérants car ils tendent à délivrer des réponses simplistes à des problèmes complexes.
 
Aujourd’hui, il est plus que jamais nécessaire derenforcer l'attractivité des carrièrespubliques sous peine de pénurie de compétences, de faciliter les mobilités à l'échelle des bassins de vieen levant les freins juridiques et financiers, mais aussi en dotant les DRH publiques d’outils modernes permettant à la fois de gérer de façon prospective les emplois et les compétences et d’offrir des services RH accessibles et fiables.
 
Soutenir le développement de nouvelles pratiques managérialesdans les trois fonctions publiques est un autre enjeu fondamental que la réforme ne doit pas ignorer.
 
Force est de constater que jusque-là, les propositions du Gouvernement ne répondent que faiblement à ces enjeux et qu’elles ont de surcroît pu donner une image tronquée voire déformée de la réalité de nos besoins : généralisation du recours aux contractuels, rémunération au mérite, plans de départs volontaires, notamment.
 
Bien sûr, les besoins d'assouplissements sont réels. Pour autant, cela ne saurait en aucun cas justifier une remise en cause des principes fondamentaux tels que l’égalité et l’équité, que garantissent l'accès par le concours ou encore la rémunération avec une grille indiciaire.
 
Comme toute autre sphère économique et sociale, la fonction publique a surtout besoin d’air, de prendre une nouvelle respiration : en simplifiant et en abandonnant des procédures inutiles, en veillant à être à l’image de la diversité de la société française et à garantir l’égalité des chances, en étant plus proche des besoins des citoyens ...
 
Les évolutions sociétales profondes et rapides nous imposent davantage de réactivité et de performance, de renforcer l’approche centrée usagers, tout en maintenant l’engagement individuel et collectif qui est au cœur du travail des agents publics.
 
Cette alchimie ne pourra se créer par à-coups, sans vision globale.
 
Elle nécessite d’innover, de sortir des a priori, en partant des expertises d’usages, plutôt que d’imposer des modèles théoriques voire hors sol qui se révéleront inefficaces et créeront de l’incompréhension et de la démotivation chez les agents.
 
Ainsi, nous regrettons queplusieurs chantiers importants sont, à ce stade, absents de la réforme en cours :
*l’introduction d’une dimension collective dans les régimes indemnitairesmodulables, pouvant aller jusqu’à la création d'un intéressement ;
*la simplification des procédures disciplinaires et du licenciement pour insuffisance professionnelle ;
*la rénovation des concourspar une révision des modalités d'organisation ;
*la mise en place de cessations progressives d'activité pour les métiers pénibles ;
*l'instauration d'un bilan de compétences à mi-carrière ;
*l’engagement d’un plan ambitieux et durable de lutte contre la précarité.
 
La loi sera porteuse d’un choix de société, tant sur le fond des évolutions qu’elle portera que sur la méthode employée pour y parvenir. C'est pourquoi, il ne peut y avoir de réforme réussie sans accompagnement au changement, lequel impose une confiance mutuelle et une écoute sincère des acteurs de terrain.
 
Contact presse :j.theuret@rennesmetropole.fr
 
 

C'est à lire : le coup de griffe de Jacques Draussin



Infolettre n° 323
mardi 29 janvier 2019Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Bonne grippe, mauvaise grippe *


Ce n’est certainement pas grâce à la puissance de son slogan - « Ne laissons pas la grippe nous gâcher l’hiver » - que la campagne de vaccination qui prend fin jeudi aura cette année connu un vrai succès.
Alors que l’épidémie, toujours aussi taquine, va atteindre son pic cette semaine, on attend avec impatiente les chiffres croisés de la couverture et ceux du nombre de cas de grippe recensés.
De son côté, la présidente du Conseil de l’Ordre des pharmaciens exulte déjà. Dans les officines des 4 régions tests où l’on pouvait piquer contre le méchant virus, 712.000 personnes classées comme « à risque » ont été vaccinées, dont 161.000 pour la première fois. Joli score qui devrait inciter Agnès Buzyn à tenter de généraliser la mesure dès l’automne prochain.
Si les planètes pasteuriennes veulent bien s’aligner, on pourrait assister grâce à la grippe à une inflexion des tendances face à la vaccination en général. Tout dépendra de l’ampleur de l’épidémie qui, à en croire les statistiques sur le long terme, peut toucher chez nous entre 2 et 6 millions d’individus en vitesse de croisière... et tuerdans le monde jusqu’à 20 millions de personnes comme en 1918 [plus de victimes que n’en a fait la 1ère guerre mondiale]. Avec ses 13 000 décès cent ans plus tard, la petite vague de grippe de l’an dernier aura quand même dépassé le bilan de la canicule de 2003. Ah oui, quand même...
L’alignement des planètes passe peut-être aussi par une vaccination systématique des personnels soignants qui ont encore le triste privilège de cumuler la plus faible couverture vaccinale [36 % vs 45,6 % pour l’ensemble des populations à risque ] et la capacité à distiller le doute sur l’intérêt de sa protection.
Il faut reconnaître que l’efficacité très limitée du vaccin sur les personnes âgées [25 à 35% au-delà de 85 ans] ne plaide pas pour sa popularité. Mais dans les EHPAD, où le taux de vaccination des personnels n’atteint pas 22 % et où on ignore celui des visiteurs, le virus se balade comme chez lui et a largement le temps d’aller saluer chaque résident. L’actualité récente vient de nous le rappeler et il y a fort à parier que ce sera encore le cas pendant deux bons mois, durée prévue de l’épidémie.
Jacques DRAUSSIN
*« Je me suis souvent demandé ce qui peut bien différencier une bonne grippe d’une mauvaise ». Pierre Dac

Grand âge et autonomie : les propositions de la Mutualité Française