Nora ANSELL-SALLES

lundi 15 décembre 2014

MINE D'INFOS: YUMI, le nouveau réflexe "bien-être" au bureau

MINE D'INFOS: YUMI, le nouveau réflexe "bien-être" au bureau: YUMI , ce sont des jus de légumes crus pressés à froid et jamais pasteurisés livrés à domicile ou au bureau pour une expérience gustativ...

YUMI, le nouveau réflexe "bien-être" au bureau


YUMI, ce sont des jus de légumes crus pressés à froid et jamais pasteurisés livrés à domicile ou au bureau pour une expérience gustative unique. Un concept malin qui permet d'augmenter et de diversifier facilement sa consommation de légumes. C'est le réflexe "bien-être", pour apporter à l'organisme les micronutriments dont il a besoin.


EQUILIBRE
Les légumes sont une source d'équilibre car leurs micronutriments assurent le bon fonctionnement de l'organisme et nous boostent pour être en meilleure santé (vitalité, tonus, peau...)

ANTIOXYDANT
Les très nombreux antioxydants présents dans les légumes aident aussi le corps à combattre le vieillissement cellulaire et à diminuer significativement l'incidence de maladies comme le diabète et certaines formes de cancers.

PROTECTEUR
Selon une étude de UCL menée sur 65000 personnes pendant 10 ans, les légumes, du fait de leur richesse en minéraux et antioxydants et de leur faible apport en sucre, ont un rôle 4 fois plus protecteur que celui des fruits.


YUMI, répond à un mode de vie moderne

Même si l'importance d'intégrer des légumes dans son alimentation quotidienne n'est plus à démontrer, il n'est pas toujours facile de trouver le temps d'acheter, d'éplucher, de couper, de cuisiner et de manger des légumes. YUMI apporte une solution adaptée en proposant un produit qui facilite le quotidien.


YUMI, des recettes avec une personnalité bien trempée !

Les légumes et les fruits YUMI sont issus d'une agriculture résonnée et un approvisionnement local est privilégié. Toutes les recettes sont composées uniquement de produit frais avec au moins 70% de légumes, puis des fruits, plantes aromatiques et racines fraîches. Rien de plus.


 

YUMI, des recettes avec une personnalité bien trempée !

YUMI livre ses jus par pack de 7 bouteilles à domicile ou au bureau.
3 packs sont proposé à ce jour reprennent les gammes de jus plus ou moins intenses. YUMI offre aussi la possibilité de s'abonner pour recevoir les jus à la fréquence souhaitée. Les abonnements permettent une grand flexibilité et il est possible de composer son propre pack avec les jus de son choix.


YUMI c'est 2 technologies pionnières dans leur domaines respectifs qui permettent de mettre en bouteille tous les bienfaits des légumes frais : tout d'abord lors de l'extraction du jus puis une fois en bouteille lors de sa conservation.

·         La presse à froid : Extraction optimale

·         La haute pression : Ne jamais chauffer

 



Agence de Communication Globale
Maureen & Anne-Claire
16 rue des Jeûneurs - 75002 Paris
06 88 19 75 82 ou 06 88 74 05 13
contact@labonneid.com


 

 

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MINE D'INFOS: PRIX DE L'ACADEMIE DE MÉDECINE : bientraitance et ...

MINE D'INFOS: PRIX DE L'ACADEMIE DE MÉDECINE : bientraitance et ...: Michel SCHMITT   Prix   RÉFÉRENCE SANTE   (5 000   € )   Médecin-Chef du Pôle d'imagerie Médicale au Centre Hospitalier ...

PRIX DE L'ACADEMIE DE MÉDECINE : bientraitance et qualité des soins


Michel SCHMITT

 


 

Médecin-Chef du Pôle d'imagerie Médicale au Centre Hospitalier de Colmar, Juge Assesseur près le Tribunal pour Enfants de Mulhouse, Expert Judiciaire Près la Cour d'Appel, Vice-Président Honoraire de la Croix Rouge Française

 

 

"Bientraitance et qualité de vie :

Prévenir les maltraitances pour des soins et une relation d'aide humanistes"

Ouvrage collectif de 352 pages -  Elsevier- Masson  (2013)


L'auteur propose une réflexion qui intéresse le fonctionnement de l'hôpital, mais aussi des établissements médicosociaux, du domicile, des maisons d'enfants, de la prison et même dans le cadre d'une action humanitaire. Son initiative fait suite à son implication comme pilote et rapporteur de la Mission Ministérielle sur la Bientraitance en Etablissements de Santé (Rapport "Promouvoir la bientraitance dans les établissements de santé" - Documentation Française 2011).

 

 

L'auteur a sollicité des spécialistes dans divers domaines ( obstétrique, fin de vie,  humanitaire, psychiatrie...) pour alimenter des retours d'expérience de terrain en s'aidant de témoignages d'usagers, mais aussi des différents acteurs impliqués, soit dans l'organisation des soins, soit dans la démarche qualité (directeur d'établissement, cadre de santé, psychologue, infirmière, manipulatrice d'électroradiologie médicale, aidant familial...).

Dans les années 1980, la maltraitance à l'égard des mineurs, notamment vis-à-vis des enfants en pouponnière, était une préoccupation majeure, et cette situation a conduit au vote d'une loi (N° 89-487 du 10 juillet 1989) relative à la prévention des mauvais traitements à l'égard des mineurs. Un groupe de travail a réfléchi à une transformation progressive des lieux d'accueil de l'enfant et une prise en compte en parallèle de la souffrance des parents et  des professionnels (routine dans les soins, burn-out...). Cette réflexion a abouti à un colloque, en 1997, intitulé :  "La bientraitance existe-t- elle ?".

Dans les années 2000, la bientraitance institutionnelle des jeunes enfants et de leurs parents dans la séparation, de la naissance à l'âge de raison, est devenue une préoccupation politique. Le concept de "bientraitance" s'est invité dans tous les domaines de l'assistance aux sujets vulnérables et dans les champs aussi variés que la néonatologie, l'imagerie médicale, l'obstétrique, la fin de vie, l'annonce d'un cancer pour devenir une composante de la qualité des soins, de l'accueil et de la prise en charge des patients (Loi Evin du 31 juillet 1991 sur la réforme hospitalière).

Progressivement, elle s'impose dans les normes des pratiques de soins ; l'HAS l'a introduite explicitement dans le manuel V 2010 de certification des établissements de santé ; il paraît maintenant nécessaire d'aller au-delà des exigences en matière de prévention de la maltraitance, en incitant les établissements à mettre en place des démarches permettant de rendre les organisations plus respectueuses des besoins et des attentes des personnes concernant le respect de la dignité et de l'intimité du patient,  le respect du secret médical et de la confidentialité des informations, l'accueil et l'accompagnement de l'entourage.

L'auteur élargit la réflexion hors du cadre hospitalier pour aller à domicile, dans les maisons de retraite, les prisons ou en psychiatrie, en mettant l'homme vulnérable au centre de sa préoccupation de soignant. La qualité de vie au travail fait l'objet d'une réflexion spécifique compte tenu du risque d'usure et de burn-out qui frappe un nombre important de professionnels.

 

 

MINE D'INFOS: Suite à la remise par Alain Claeys et Jean Leonett...

MINE D'INFOS: Suite à la remise par Alain Claeys et Jean Leonett...: COMMUNIQUE DE PRESSE  Paris, le 12 décembre 2014    Le droit à mourir dans la dignité en débat au Parlement : rass...

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Suite à la remise par Alain Claeys et Jean Leonetti de leurs rapport et proposition de loi en faveur des malades et des personnes en fin de vie




COMMUNIQUE DE PRESSE 

Paris, le 12 décembre 2014 

 

Le droit à mourir dans la dignité en débat au Parlement : rassemblons-nous pour faire progresser la société et les droits fondamentaux

 

Suite à la remise par Alain Claeys et Jean Leonetti de leurs rapport et proposition de loi en faveur des malades et des personnes en fin de vie ce matin, le Président de la République a annoncé la tenue dès janvier prochain d'un débat au Parlement sur cette base. 

 

Nous saluons cette décision qui marque le respect d’un engagement de campagne de François Hollande. Elle est aussi le fruit d’une vaste et profonde réflexion lancée dès juillet 2012 par le Président de la République (rapport Sicard, saisine du CCNE, conférence citoyenne).

 

Après ce long processus de maturation la représentation nationale doit maintenant se rassembler autour des propositions équilibrées, réalistes et surtout respectueuses de la volonté du patient formulées par nos collègues. 

 

Très attendu par bon nombre de nos concitoyens, qu'ils soient patients, parents ou médecins, ce texte porte en lui un progrès pour notre société, une société plus humaine dans laquelle mourir dans la dignité c'est vivre pleinement. 

 

 

Razzy Hammadi, député de Seine-Saint-Denis ​

Estelle Grelier, députée de Seine-Maritime

Sébastien Denaja, député de l’Hérault

Erwann Binet, député de l’Isère

Romain Colas, député de l’Essonne

 député de l’Isère

Eduardo Rihan-Cypel, député de Seine-et-Marne

Marie-Anne Chapdelaine, députée d’Ille-et-Vilaine

Christophe Castaner, député des Alpes-de-Haute-Provence

Laurent Grandguillaume, député de la Côte d’Or