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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de les sourcer. de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI, passionnée d'Afrique & RS] est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Proposer un sujet à la rédaction : pressentinelle2@gmail.com
jeudi 3 octobre 2013
MINE D'INFOS: Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures s...
MINE D'INFOS: Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures s...: Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur les objets : Pour protéger les tout-petits, prenez vos précautions Se laver r...
Le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur les objets :
Pour protéger les tout-petits, prenez vos précautions
Se laver
régulièrement les mains, ne pas tousser devant un bébé, porter un masque… De
simples gestes de prévention permettent de préserver les tout-petits en
réduisant les risques de bronchiolite. Pourtant, les gestes ne sont pas
toujours bien connus et mis en pratique par les Français. Seulement 6 personnes
sur 10 se lavent systématiquement les mains avant de s’occuper d’un nourrisson1. Très contagieux,
les virus responsables de la bronchiolite affectent les bronches des bébés et
peuvent être responsables de complications nécessitant une hospitalisation. A l’approche
des premiers froids, l’Inpes rappelle les réflexes à avoir pour limiter les
risques de transmission dans un livret d’information en ligne : « La
bronchiolite ».
Faire la chasse aux virus de la bronchiolite en
adoptant les bons réflexes !
Selon les résultats d’une
enquête menée par l’Inpes en 2012, les Français ont plutôt conscience de la
nécessité des gestes de prévention face aux virus de l’hiver : 79% d’entre eux
déclarent adopter au moins une précaution vis à vis des infections
respiratoires de l’hiver. Sachant que le virus de la bronchiolite vit jusqu’à 6 heures sur une surface
inerte2 comme les jouets, tables, poignées de porte…il faut faire
attention de ne pas échanger les effets personnels des différents enfants de la
famille (biberons, couverts, etc.) et de les laver soigneusement. Les mains étant un
moyen de transport idéal des virus, il est important de se les laver
régulièrement et de se couvrir la bouche avec le coude quand on tousse. En période d’épidémie,
quelques autres gestes simples sont à adopter. Si certains d’entre eux sont
devenus pour la plupart des Français un réflexe, certains restent encore peu
adoptés.
Les gestes les plus
adoptés par les Français pour diminuer les risques de transmission :
Ne pas embrasser un bébé sur le visage ou sur les mains en
cas de rhume et de toux. Même si deux tiers (67 %) des parents d’enfants de moins de
5 ans ne les embrassent jamais quand ils sont malades, 8% continuent à le faire
souvent voire systématiquement.
Se laver régulièrement les mains à l'eau et au savon
pendant au moins trente secondes, particulièrement avant de s’occuper d’un
bébé.
Le lavage de mains arrive en
tête des gestes de précaution pour protéger les enfants de moins de 2 ans spontanément
cités : 22% des Français et 34 % des parents d’enfants de moins de 5 ans.
Néanmoins, seulement 59% des Français se lavent systématiquement les mains
avant de s’occuper des nourrissons. Par ailleurs, 37 % de l’ensemble de la
population (29 % des parents) n’utilisent pas systématiquement le savon quand
ils se lavent les mains à l’eau. Concernant les solutions hydro-alcooliques,
elles se sont largement répandues (plus des trois quarts de la population en a
déjà utilisées) ; elles sont plus plutôt utilisées à l’extérieur de la maison
(51% déclarent les utiliser fréquemment à l’extérieur du domicile vs 33 % à l’intérieur).
Des habitudes à
améliorer …
Eternuer et tousser en se couvrant la bouche avec le coude,
le bras/la manche ou un mouchoir jetable. Quasiment tous les Français se
couvrent la bouche en cas d’éternuement ou de toux (98%) principalement avec la
main (48%) et plus rarement avec le coude (11%). Le réflexe de se couvrir la
bouche avec le coude est plus fréquent chez les parents d’enfants de moins de 5
ans. Ils sont 19% à le faire.
1 Etude
Inpes / BVA – novembre 2012 – échantillon national représentatif de 1206
personnes dont 306 parents de moins de 5 ans.
2 Kramer A, Schwebke I, Kampf G. How long do nosocomial pathogens persist
on inanimate surfaces? A systematic review. BMC infectious
diseases. 2006;6:130.
Epub 2006/08/18.
2
Porter un masque chirurgical pour s’occuper d’un bébé (en
vente en pharmacie).
Peu de parents de jeunes enfants
ont recours au masque pour éviter de contaminer leur entourage lorsqu’ils sont enrhumés
ou grippés : ils sont 6 % à l’utiliser souvent ou systématiquement.
Mis à part ces conseils d’hygiène,
il est important d’éviter les visites de personnes malades (enrhumées,
notamment) ou d’éviter de leur rendre visite avec un bébé. Il faut aussi éviter
d’emmener un nourrisson dans des lieux publics où il risquerait d’être en
contact avec des personnes malades (centres commerciaux, transports en commun…),
surtout s’il a moins de 6 mois.
S’il est indispensable d’adopter
quelques gestes pour préserver son bébé des virus, il est aussi important de le
laisser dans un environnement approprié : sain, non enfumé, aéré
quotidiennement et maintenu à une température à 19 degrés.
Parents, tout comprendre et tout savoir sur la
bronchiolite
Qu’est-ce que la bronchiolite ?
Comment limiter les risques de transmission du virus ? Que faire si son bébé
est malade ? Les parents se posent fréquemment des questions en période
hivernale.
NDLR : MGEFI et BRONCHIOLITE
MINE D'INFOS: Silver économie : une nouvelle norme fixe des régl...
MINE D'INFOS: Silver économie : une nouvelle norme fixe des régl...: Avec la mise sur orbite de la Silver économie*, la publication de la norme NF X50-520, d’application volontaire, tire vers le...
MINE D'INFOS: Présence de restaurants McDonald’s et obésité font...
MINE D'INFOS: Présence de restaurants McDonald’s et obésité font...: La « mal bouffe » est souvent accusée d’être responsable de l’obésité, mais aucun travail scientifique n’avait jamais réussi à démont...
Présence de restaurants McDonald’s et obésité font bon ménage dans le monde
La « mal bouffe »
est souvent accusée d’être responsable de l’obésité, mais aucun travail
scientifique n’avait jamais réussi à démontrer aucun lien entre les deux. C’est
désormais chose faite avec l’étude réalisée par une équipe de médecins de l’hôpital
Avicenne à Bobigny (93), que vient de publier le Journal of Internal
Medicine dans son numéro d’aout 2013.
Cette étude, qui
porte sur 75% de la population mondiale et 95% des restaurants McDonald’s dans
le monde, montre une corrélation très nette entre l’incidence de l’obésité et
la densité des restaurants McDonald’s. D’après les auteurs, le taux d’obésité
varie de moins de 5% pour une densité « faible » à plus de 10% pour une densité
« moyenne » et dépasse les 20% quand la densité est « très forte » (voir
graphique en PJ).
Certes, ce travail
n’établit pas de lien direct de cause-à-effet entre le surpoids et la chaîne américaine
de restauration rapide, mais il met le doigt sur une forte association entre la
présence de ce type de restaurants et l’obésité. Il montre à quel point leur
implantation est parfaitement associée aux modifications des modes de vie et
aux conséquences en terme de surpoids.
Pr Frédéric Lapostolle
SAMU 93 - UF Recherche-Enseignement-Qualité
Université Paris 13, Sorbonne
Paris Cité, EA 3509
Hôpital Avicenne, 125, rue de Stalingrad,
93009, Bobigny, France
Silver économie : une nouvelle norme fixe des régles du jeu en téléassistance pour améliorer la qualité des services pour les personnes fragilisées, vulnérables, âgées ou handicapées.
Avec la mise sur orbite de la Silver économie*, la
publication de la norme NF X50-520, d’application volontaire, tire vers le haut
tout un secteur en fixant des exigences pour garantir la qualité des prestations de téléassistance,
dans le respect de la vie privée et des données personnelles de près de 560 000
personnes fragiles en France.
La publication de cette norme résulte d’un travail
collaboratif des pouvoirs publics, d’associations d’usagers, fabricants de matériels
et prestataires de services à la personne* signalant une volonté d’autoréguler
et de structurer un marché en plein développement. Avec une population mondiale
qui vieillit (900 millions de personnes âgées dans le monde), le champ économique
ouvert par l’avancée en âge constitue un potentiel de croissance unique pour
les entreprises françaises : 53 % de la demande française sera le fait des âgés
en 2015 (Source CREDOC)[1].
La norme NF X50-520 « Qualité de service en téléassistance »
définit la téléassistance comme « un service à la personne qui permet à toute
personne fragilisée, vulnérable, âgée ou handicapée de pouvoir être mise en
contact et en relation dans le cadre de son maintien à domicile avec des
prestataires de téléassistance 24h/24, 7 jours sur 7, et de bénéficier d’un
soutien et d’une assistance en situation de difficulté et/ou de besoin".
La norme précise les spécifications d’une prestation de
service de téléassistance et décrit les étapes de la réalisation du service : accueil et information, traitement de la demande,
installation du matériel et mise en service, réalisation de la prestation,
gestion des appels, entretien / maintenance, suivi, facturation et encaissement
et clôture de la prestation et les compétences associées à chacune. Elle délivre
une terminologie ainsi que des recommandations sur la mesure et l’amélioration
continue de la qualité du service. Des méthodes de mise en œuvre pour le
traitement des réclamations, la gestion des conflits, l’évaluation de la qualité
de service perçue par le client, l’analyse des dysfonctionnements et la mise en
place d’actions correctives et préventives sont proposées dans le document.
La reconnaissance de la téléassistance comme un « service à
la personne » a permis d’opérer une séparation claire entre les activités pouvant
recourir à des techniques similaires mais destinées, d’une part à un public
totalement différent et nécessitant, d’autre part des compétences
professionnelles différentes. La norme précise également les exigences
permettant d’identifier l’adéquation entre le matériel proposé et la situation
du client, ainsi que celle permettant d’assurer la fiabilité des équipements
dans le cadre de la réalisation d’une prestation de téléassistance à domicile.
Les activités exclues du domaine d’application de la norme
: la télésurveillance,
la visioassistance, la vidéosurveillance, les caractéristiques techniques des équipements,
la téléassistance dans les établissements de soins et dans les établissements d’hébergement
à caractère médico-social.
Pour commander la norme NF X50-520 - Qualité de service en
téléassistance http://www.boutique.afnor.org/norme/nf-x50-520/qualite-de-service-en-teleassistance/article/809420/fa180323
* Liste des membres de la commission de normalisation
QSTACN « Qualité de service en téléassistance », ayant élaboré ce projet de
norme :
ADF (Assemblée des Départements de France) ; AFNOR
Certification ; AFOC (Association Force Ouvrière Consommateur) ; Agence Régionale
Santé Ile de France ; AIMV (Association de services à la personne) ; Alexia
Sibony ; ANSP (Agence Nationale Services à la Personne) ; Arnoux Conseil ;
ASIPAG (Association Solutions Innovantes Pour l'Autonomie et Gérontechnologies)
; ASSECO CFDT ; Association ALERTE ; Association Cogitey – coordination gérontologie
; Assystel, ASTIC Conseil, BCL Conseils, CASSIOPEA (Conseil Assistance Services
Solidarité Information et Orientation sur les Personnes Agées ou handicapées) ;
CNAV (Caisse nationale d’assurance vieillesse) ; Centre National de Référence
Santé ; CNSA (Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie) ; Conseil Général
de la Creuse/ Jeunesse et solidarités; Crédit Mutuel ARKEA ; Custos SAS ;
Datacet ; DGCIS/STCAS (Direction Générale de la Compétitivité, de l’Industrie
et des Services) ; Doro ; Equinoxe Tele Assistance ; Europ Assistance France ;
FNAAFP/CSF (Fédération Nationale des Associations de l'Aide Familiale
Populaire) ; FNG (Fondation Nationale de Gérontologie) ; FREGIF (Fédération des
Réseaux de santé Gérontologiques d'Ile-de-France) ; FESP (Fédération des
Entreprises de Service aux Particuliers) ; Handeo ; Hôpital Charles Foix ; INC
Hebdo ; Intervox Systèmes, IP Assistance, La poste – Dion Courrier ; Le défenseur
des droits ; Mutualité Sociale Agricole/ Caisse Centrale ; On Medio/
Gerontechnologie.net ; Philoe Conseil ; Centre de recherche en Gestion de l’Ecole
Polytechnique ; Présence Verte Association Nationale (à l’origine du projet
de norme) ; Présence Verte SA ; Santé Service UNA Services ; Sciences Po/
IEP Paris ; Securitas France ; SeniorAlerte ; Serena ; Solem ; Synergie/ La
maison de l’autonomie ; Telecom Design ; Ubiquiet ; UNCCAS (Union Nationale des
Centres Communaux et Intercommunaux pour l’Action Sociale) ; Université Paris
Dauphine ; NPDM ; VIVAT.
Qu'est-ce qu'une norme volontaire ?
Une norme volontaire est un document de référence publié
par AFNOR, faite de manière itérative et collaborative avec le concours actif
des professionnels fédérés de manière représentative (industriels, consommateurs,
associations, syndicats, collectivités locales…). Elle fournit des principes et
des exigences pour une activité ou ses résultats. 33 000 normes volontaires
sont aujourd’hui en vigueur. Seules 1% sont rendues obligatoires par la réglementation.
Revues systématiquement et a minima tous les cinq ans pour lutter contre toute
obsolescence, les professionnels décident leur maintien, mise à jour ou
annulation. Sur les 1942 nouveaux documents publiés en 2012, 1224 étaient des révisions.
1543 normes ont été retirées des collections.
A propos d’AFNOR
L'association AFNOR et ses filiales constituent un groupe
international au service de l'intérêt général et du développement économique.
Il conçoit et déploie des solutions fondées sur les normes, sources de progrès
et de confiance. Les missions d'intérêt général sont assurées par l'association
dans le cadre d'un décret qui lui confère l'animation et la coordination du
système français de normalisation, la représentation des intérêts français dans
les instances européennes et internationales de normalisation, l'élaboration et
la diffusion des normes.
Ses filiales - formation, évaluation et certification, réseau
international - quant à elles, exercent des activités de marché dans un
environnement concurrentiel et en respectent strictement les règles. La
direction générale du Groupe est assurée par Olivier Peyrat.
[1] En savoir plus sur l’action
du gouvernement sur la Silver économie http://www.social-sante.gouv.fr/espaces,770/personnes-agees-autonomie,776/dossiers,758/silver-economie,2432/installation-du-comite-de-filiere,2768/la-silver-economie-sur-orbite,16107.html
NDLR : MGEFI et AFNOR
Libellés :
AFNOR,
âgées ou handicapées.,
Améliorer,
fragilisées,
MGEFI,
norme,
nouvelle,
Olivier Peyrat,
personnes,
qualité,
régles du jeu,
services,
Silver économie,
Téléassistance,
vulnérables
MINE D'INFOS: Nomination à la FNMF
MINE D'INFOS: Nomination à la FNMF: NOMINATION François Rauch François Rauch est nommé Directeur de la communication et de l'information de la Mutualité Française. ...
mercredi 2 octobre 2013
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