Nora ANSELL-SALLES

lundi 3 septembre 2012

C'est à lire !

« Mixité sociale et progrès humain - Au centre, la personne   de Serge Dalla Piazza - Harmatheque

Cet ouvrage aborde la question de la vie sociale, qui consiste à attribuer des espaces à des activités et à des populations, en montrant que la variété, la diversité, le mélange, la mixité peuvent devenir des principes organisateurs d'une certaine "urbanité" : être urbain, afficher une certaine courtoisie, une capacité à rendre service, coopérer ; autant d'éléments qui permettent d'établir des relations sociales et un bien-vivre ensemble. Toute société est mixte par définition, les frottements entre les différents groupes apportent toujours d'énormes richesses.

C'est à lire !

« Lire la musique en un clin d’œil » Alain Stoffen éditeur

« Lire la musique en un clin d’œil » est bien plus qu’une simple méthode pour apprendre à lire les notes. C’est une aventure passionnante à la découverte de l’écriture musicale telle que vous ne l’avez jamais connue auparavant
Une méthode qui donne le "la" et sonne le glas du solfège rébarbatif !
Solfège, vous avez dit solfège ? Dans l’esprit de bon nombre d’apprentis musiciens, la poésie de ce doux vocable s’arrête aux rimes de « galère » et de « misère » ! Et pourtant, lire une partition sans trébucher à chaque mesure n’est pas une utopie. Alors, si vous vous y remettiez, cette fois-ci, le cœur léger et en retirant de l’exercice un vrai plaisir. C’est le défi que vous invite à relever Alain Stoffen, auteur d’une méthode inédite et innovante : « Lire la musique en un clin d’œil ». Fort d’une expérience de plus de 25 ans dans le domaine de la pédagogie musicale, ce professeur de piano vient en effet de publier un ouvrage dans lequel il réinvente l’apprentissage du solfège – un concept d’initiation à la lecture des notes qui va littéralement en révolutionner l’approche.
Déchiffrer les notes en découvrant la « pierre de Rosette » du solfège…
Dans une première partie, et ce grâce à une pédagogie vivante, innovante, Alain Stoffen vous embarque à la manière d’un conteur dans un voyage captivant à la recherche de l’origine de l’écriture musicale, afin de percer les secrets bien gardés du solfège. Une fois ces secrets dévoilés, vous serez enfin en possession des bonnes clés qui transformeront, comme par enchantement, l’apprentissage des notes, bien trop souvent vécu comme rébarbatif et fastidieux, en un sujet facilement accessible et source de plaisir.
Dans la deuxième partie du livre, vous allez pouvoir apprivoiser pas à pas et avec grande facilité ce bataillon de notes qui semblait jusque-là indomptable, sans plus jamais vous empêtrer dans les lignes et les interlignes de la portée. Un véritable jeu d’enfant.
Pratiqués en lecture accompagnée pour les plus jeunes (-10/12ans), en autodidacte pour les plus volontaires ou sous la direction d’un professeur de musique, cinq à dix minutes d’exercices quotidiens suffiront alors pour, qu’enfin, les partitions ne soient plus des murs, mais des portes grandes ouvertes sur la musique que vous avez toujours rêvé de jouer.
Conçu initialement dans le cadre de l’apprentissage du piano, cette méthode s’adresse à tous les apprentis musiciens, quel que soit l’instrument pratiqué (instruments notés en clé de sol et clé de fa 4e ligne).

2 évènements presse à noter dans vos agendas

Conférence de presse de rentrée
« La qualité au cœur de la régulation et des parcours de soins
:  la HAS présente un état d'avancement de ses travaux  »
mardi 18 septembre à 8h45
à l'hôtel Intercontinental - 2 rue Scribe 75009 Paris


Petit-déjeuner de presse
« Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées »
mardi 25 septembre à 8h45
à la maison des Centraliens - 8 rue Goujon 75008 PARIS


En savoir plus : www.has-sante.fr

Consommation d’antidépresseurs et risque d’accident de la route :

Une vigilance particulière est requise lors de l’initiation ou de la modification du traitement

Un nouveau volet de l’étude CESIR-A, évaluant l’impact de la consommation de médicaments sur le risque d’accident de la route, vient d’être publié dans Journal of Clinical Psychiatry.1 Des analyses récentes apportent un éclairage sur la question des antidépresseurs et montrent qu’une attention toute particulière doit être portée aux périodes d’initiation ou de modification du traitement. Celles-ci sont en effet associées à une vulnérabilité accrue des patients conducteurs.

Ces travaux, coordonnés par l’équipe INSERM « Prévention et Prise en Charge des Traumatismes », s’inscrivent dans le cadre des activités de surveillance, d’évaluation et d’information sur les risques liés à l’utilisation de produits de santé de l’ANSM. Ils permettent de préciser les messages de prévention tels que ceux présents sur les boîtes de médicaments et signalés par des pictogrammes.

 Afin d’évaluer l’impact de la consommation de médicaments sur le risque de survenue d’accidents de la circulation, l’étude CESIR-A met en regard les données de remboursement des médicaments de l’Assurance Maladie et les données relatives aux accidents recueillies par les forces de l’Ordre. Cet observatoire épidémiologique de grande envergure est le fruit d’une collaboration entre les principaux acteurs institutionnels concernés : l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM), l’Institut national de la santé et la recherche médicale (INSERM), la Caisse Nationale d’Assurance Maladie des Travailleurs Salariés (CNAMTS) et l’Institut français des sciences et technologies des transports, de l'aménagement et des réseaux (IFSTTAR). Les résultats de cette étude portent déjà sur plus de 70 000 conducteurs, chacun impliqué dans un accident survenu entre 2005 et 2008.

Les premières analyses avaient mis en évidence la pertinence du système d’information des usagers sous forme de trois pictogrammes de couleurs différentes apposés sur le conditionnement des médicaments présentant un risque potentiel. Elles démontraient notamment que la prise de médicaments comportant un pictogramme de niveau 2 ou de niveau 3 augmente le risque d’accident et que celui-ci est accru avec le nombre de médicaments potentiellement dangereux consommés. L’étude avait aussi permis d’estimer à près de 3 % la proportion d’accidents attribuables à une consommation de médicaments.2

Si diverses études expérimentales chez des volontaires sains ont bien établi une altération des capacités de conduite sous certains traitements antidépresseurs, les résultats des études épidémiologiques étaient, jusqu’à présent, peu probants. C’est la raison pour laquelle de nouvelles analyses des données de l’étude CESIR-A ont été menées.

Leurs résultats montrent que :
- la prise d’antidépresseurs entraîne une augmentation significative du risque d’être responsable d’un accident de la route ;
- ce risque est accru à certaines étapes clés du traitement, telles que les périodes d’initiation ou de modification du traitement (changement de posologie, de molécule...).

Les patients doivent donc être informés du risque que présente cette classe de médicaments sur leurs capacités de conduite, notamment lorsque le traitement est initié ou modifié. Le pictogramme orange, présent en France sur la boîte de tous les médicaments antidépresseurs, participe à la mise en garde des usagers et devrait favoriser le dialogue avec les professionnels de santé, que ce soit au moment de la prescription, de l’administration ou de la délivrance.


1 Orriols L, Queinec R, Philip P et al. Risk of Injurious Road Traffic Crash after Prescription of Antidepressants. J Clin Psychiatry 2012; 73(8):1088-1094.
2 Orriols L, Delorme B, Gadegbeku B et al. Prescription Medicines and the Risk of Road Traffic Crashes: A French Registry-Based Study. PLoS Med 2010; 7(11): e1000366. doi:10.1371/journal.pmed.1000366.

Un défi pour les patients, un défi de santé publique :

Mardi 13 novembre 2012 de 9h à 13h, au Sénat

 « BPCO, une épidémie moderne. Un défi pour les patients, un défi de santé publique »,

tel est le nouveau colloque organisée par l’Association BPCO, présidée par le docteur Yves Grillet.

En France, la BPCO touche 3 à 4 millions de personnes, soit 6 à 8 % de la population adulte. C’est la 3e cause de mortalité en France, beaucoup de souffrance et un grand handicap pour les personnes atteintes. La BPCO est devenue ainsi une des pathologies chroniques qui, depuis quelques années,  conduit nos décideurs à repenser le modèle de prise en charge et l’organisation des soins.

Le colloque permettra de faire un bilan 7 ans après le plan national BPCO. Il ouvrira le débat sur les grands sujets d’actualité : l’éducation thérapeutique, le parcours de soins, la pertinence de la prise en charge, le rôle des ARS dans la prise en charge de la maladie, les positionnements de la CNAM et des mutuelles sur ce même sujet.
Il permettra enfin de confronter le parcours de soin à l’épreuve du terrain, grâce à une table ronde réunissant l’ensemble des acteurs terrain, au centre desquels les patients.
Le programme détaillé vous sera envoyé très prochainement.

VACANCIEL: réductions 8-15% + offres 1ères minutes- Hiver 2013

Bonne nouvelle si vous êtes adhérents à la MGEFI Vous trouverez  prochainement sur la page Actu  l’intranet de votre mutuelle le tableau de réductions hiver 2013, de 8 à 15%, dont  vous pouvez peuvent bénéficier tout au long de cette saison.
L’ouverture des ventes hiver au grand public est fixée le 3/9/12.

Ÿ Comme l’an dernier, vous  pouvez profiter de offres premières minutes pour la saison hiver 2013, soit jusqu’à 250€ de réduction sur leurs vacances à la neige : voir détails de l’offre sur la page Actu  du site intranet  MGEFI.

Du chocolat comme anticariogène ? Un résumé des études

La carie dentaire est une des maladies infectieuses chroniques parmi les plus répandue dans le monde. Sa prévention et son traitement sont importants pour éviter des dégâts locaux et des complications systémiques. En effet, comme dans d’autres états inflammatoires de bas grade, il existe une relation entre l’incidence des caries et la survenue de maladies cardiovasculaires.

L’une des pistes est d’éradiquer l’agent infectieux principal appartenant au groupe des streptocoques par des antiseptiques. L’autre consiste à privilégier une alimentation non cariogène susceptible de modifier la flore bactérienne… Quelle place du chocolat ?

Le forfait « Vitalia » hors la loi !

Il y a quelque mois (communiqué du 27 mars 2012) le Ciss dénoncait l’« impôt privé » levé par le groupe Vitalia dans les cliniques du groupe sous la forme d’un forfait dit « d’assistance aux démarches administratives » d’un montant variant de 9 à 14 euros (depuis sa création au 1er février 2002). Il était destiné selon Vitalia à couvrir des prestations simples proposées aux patients telles que la mise à jour de la carte Vitale, le lien avec l’assureur complémentaire, la mise en place du tiers-payant, les facilités de paiement, la réservation de taxi ou d’ambulance à la sortie de la clinique… alors même qu’il existe déjà, prévus par la loi, un forfait hospitalier (article L. 174-4 du code de la sécurité sociale), le supplément pour chambre individuelle (article R. 162-32-2 du même code) et les dépassements d’honoraires (prévus par la convention médicale) !

Saisie par le CISS, dès le 29 mars 2012, sur le bien-fondé de cette pratique, la Caisse nationale d’assurance maladie des travailleurs salariés (CNAMTS), qui ne s’en était guère émue, vient de communiquer au CISS les termes du rappel à la loi qu’elle vient d’adresser au groupe Vitalia : « (…) le forfait d’assistance aux démarches administratives ne pourrait être facturé que s’il est destiné à financer une exigence particulière de chaque patient. Cette exigence doit faire l’objet d’une demande écrite et ne doit pas déjà être couverte par le tarif du GHS (…) Le  caractère systématique de la facturation dudit forfait fait douter de la licéité de la pratique. Dans ces conditions, vous n’êtes pas en droit d’exiger des assurés une telle participation.»

Dans son courrier, le directeur de la CNAMTS fait connaître au CISS qu’il demande au groupe Vitalia de mettre un terme à « cette pratique illicite ».


Après ce rappel, le CISS, qui se félicite de ce que la CNAMTS joue le rôle de régulateur que lui a confié le législateur, reste vigilant quant au respect de cette injonction sur le terrain.

En savoir plus

Le courrier adressé par la CNAMTS au CISS en réponse à notre saisine est téléchargeable en cliquant ici

Mutuelle Conseil lance un comparateur d'assurances habitation

Leader de la comparaison de mutuelles sur Internet en France, Mutuelle Conseil diversifie son offre en lançant un comparateur d'assurances habitation en ligne.

Bien que spécialiste dans le domaine de l'assurance santé, Mutuelle Conseil propose désormais aux internautes d'accéder à une offre assurancielle en ligne plus large et de comparer directement sur son site les offres de diverses assurances habitation. Un outil idéal pour trouver l'assurance habitation qui convient le mieux aux besoins de l'assuré.

En seulement quelques clics, les internautes peuvent demander gratuitement un devis et découvrir immédiatement quelles économies ils vont réaliser sur leur budget assurance habitation.
En élargissant son offre, Mutuelle Conseil s'adapte ainsi aux attentes des internautes qui cherchent sur ce comparateur de qualité des comparatifs d'assurances supplémentaires, autres que ceux destinés à la santé.

La MAE tire un signal d'alarme

Comme tous les ans, il sera également question d'assurance scolaire.
En tant que numéro 1 de l'assurance scolaire, la MAE tire aujourd'hui un signal d'alarme : beaucoup de parents pensent que l'assurance habitation remplace l'assurance scolaire pour protéger leurs enfants. C'est faux !
C'est parce que certaines publicités sont trompeuses qu'il est urgent d'alerter sur ce sujet.
Avec seulement la responsabilité civile (incluse dans l'assurance habitation) les parents sont couverts financièrement si leurs enfants causent un dommage mais les enfants ne sont absolument pas protégés s'ils sont victimes d'un accident.
Lorsque l'on sait que la MAE traite environ 200 000 sinistres par an parmi lesquels 5 000 dossiers sont déclarés au titre d'une invalidité, on comprend à quel point la question de l'assurance scolaire est essentielle.