Nora ANSELL-SALLES

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mardi 2 novembre 2021

Une piqûre de rappel des gestes barrières, hélas nécessaire...

Selon les dernières données de Santé publique France, l'épidémie de Covid-19 regagné du terrain en France avec des hospitalisations qui repartent à la hausse.
Continuons de respecter les gestes barrières. 

Il en va de la santé de  chacun.

Devant la remonté des hospitalisations pour Covid-19, l' IMM -Institut Mutualiste Montsouris rappelle sur les réseaux sociaux l'importance du respect des gestes barrières...

La pandémie de Covid n'est pas encore derrière nous !
 

jeudi 22 avril 2021

REGARDS DE SOIGNANTS : celui du Pr François Bricaire


Avant propos 
Le professeur François Bricaire, infectiologue, membre de l’Académie nationale de médecine, et Pr émérite à l'Université Pierre et Marie Curie, nous livre son regard sur la pandémie du covid.

Bonjour, Pr Bricaire, comment avez-vous vécu le fait de ne plus être à la tête du service des maladies infectieuses de la Pitié Salpêtrière pour vivre de l'"intérieur" cette pandémie ?
Dans notre profession et nos fonctions c'est en général difficile de quitter nos responsabilités. 
J'avoue que j'ai eu quelques regrets à quitter ma vie de chef de service, mais je pense plus avoir regretté ma vie de médecin infectiologue , mes relations avec le personnel de mon service plus que celle de premier dans un service. Certains diront que l'ego « en prend un coup »! Ne plus être à l'Hôpital est difficile et la bien faible reconnaissance de l'APHP un peu dure à absorber.
La relation avec son successeur est importante. J'aurais aimé pour moi qu'elle fut plus positive.

Quelles fonctions sont les votres aujourd'hui ?
Je suis Pr émérite à Sorbonne Université, je suis membre de 
l'Académie de Médecine où je préside la division de Santé Publique avec diverses responsabilités au sein de l'Académie qui m'occupent. Je suis bénévole à La Croix Rouge française où je suis membre du bureau national et président des opérations internationales. Je suis dans divers comités à
l'encyclopédie médico chirurgicale, au prix Galien, sur La Défense des vaccins...
Depuis le 4 janvier 
l'APHP m'a sollicité pour vacciner contre le Covid. Je le fais donc chaque matin de la semaine à 
l'Hotel Dieu de Paris.
Je ne m'ennuie pas...

Comment traversez-vous cette pandémie tant à titre personnel que professionnel ?
Les épidémies et pandémies sont un de mes thèmes de travail depuis plusieurs années. Un livre* avait traité de ce sujet avec mon collègue JPh Derenne, à l'occasion de la grippe aviaire, repris récemment par certains trouvant des éléments prédictifs de ce que nous vivons actuellement . C'est donc avec intérêt que je suis cette pandémie, surpris je le reconnais par un virus diabolique qui ne cesse de nous surprendre. Comme beaucoup c'est avec lassitude que j'évolue dans cette pandémie qui n'en finit pas.

Vous êtes beaucoup intervenu dans les médias au début, puis beaucoup moins pourquoi ?
Très sollicité par les médias, je suis effectivement beaucoup intervenu. Je suis toujours très sollicité, quotidiennement. Je réponds parfois, refuse beaucoup car honnêtement je ne sais pas quoi dire ou répondre d'intelligent, de constructif qui puisse apporter quelquechose 
d'original dans mon domaine de compétence.

Quels ont été selon vous les points positifs et les loupés de la communication ?
Il y aurait beaucoup à dire car la communication est fondamentale mais difficile à bien conduire dans ces périodes de grande incertitude ou tout change et évolue. Les erreurs de communication ont été multiples et largement évoqués ( masques, tests...avoir au début de 
l'épidémie fourni chaque soir des chiffres morbides...) mais globalement je ne voudrais pas être en responsabilité ! Les erreurs continuent en matière de vaccination. C'est ennuyeux car au moment où en France l'acceptation de la vaccination s'ameliore on fait à mon avis des erreurs stratégiques dans la gestion des vaccins et la politique de vaccination. Le vaccinateur que je suis quotidiennement le constate.

Certains "sachants" annoncent la sortie de la crise sanitaire pour cette année, d'autres parlent de 2022, qu'en pensez-vous ?
Je ne sais plus que penser vraiment. A force de jouer les prolongations on finit par douter. L'arrivée de variants, voire de recombinants est un problème tant que la vaccination raide et en masse ne sera pas réalisée. Encore faut- il aussi prévoir des réinjections peut être et avec des vaccins adaptés aux variants. Et pourtant une pandémie à virus respiratoire normalement s'arrête ! Alors gardons notre optimisme.

On avance beaucoup sur les vaccins, mais qu'en est-il des traitements ?
En virologie les traitements efficaces c'est difficile. En dehors du VIH et de 
l'Hépatite C il faut reconnaître que le reste est soit modeste ou médiocre soit nul. Dans les infections respiratoires les traitements efficaces sont quasi inexistants.
Pour le Covid la recherche travaille. Il y a des pistes, quelques résultats mais encore bien modestes. C'est dommage car cela aiderait bien évidemment à la résolution du problème épidémique.

Pour beaucoup vaccination signifie abandon des gestes barrières, est-ce bien raisonnable ?
C'est bien sûr déraisonnable puisque les vaccins ne protègent pas ou peu du partage viral. On en a la preuve régulièrement.. la protection par ailleurs n'est pas immediate et n'est pas absolue. Donc les gestes barrières restent essentiels.

Quel regard portez-vous sur les modalités de sortie de crise ?
Question difficile car il est fondamental à mon avis de conjuguer la nécessité de combattre le plus efficacement possible le virus et sa transmission mais aussi de considérer tous les inconvénients majeurs que cela provoque en terme social , économique, donc aussi de santé. Si la société va mal à cause des mesures prises c'est très préoccupant en terme de modifications de la vie de la société, en terme de prise en charge des problèmes de santé non Covid, en terme de conséquences psychiatriques et je pourrais continuer et développer cette thématique.

Propos recueillis par Nora Ansell-Salles

Publications📚
*Pandémie: la grande menace
Livre de François Bricaire et Jean-Philippe Derenne

samedi 17 avril 2021

Dominique JOSEPH auditionnée par les Sénateurs

Morceaux choisis de l'audition de
Dominique JOSEPH
rapporteure du CESE  jeudi 15 avril 2021 au Sénat.
Retrouvez sur le site du Sénat l'intervention senat.fr

Lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes : 30 ans de perdus en 1 an de crise

Auditionnée le 15 avril dernier par la Délégation aux droits des femmes du Sénat, Dominique Joseph a présenté aux sénateurs l’avis du Conseil économique social et environnemental (Cese) sur la crise sanitaire et les inégalités de genre. Selon la rapporteure de cet avis, la pandémie agit comme le révélateur des inégalités femmes hommes et génère dans certains cas un véritable recul des droits des femmes.


"On a constaté 320% d'augmentation des signalements liés à des difficultés liées à l'IVG"

"25% des femmes disposent d'un lieu pour le télétravail alors que 40% des hommes ont un lieu dédié"

"Nous manquons en France de données genrées"

A LIRE PROCHAINEMENT SUR MINE D'INFOS :
Un "portrait de femme" consacré à cette grande militante qu'est Dominique JOSEPH.

A propos de
Dominique JOSEPH
@DomimutJoseph
 est :
👉Secrétaire générale de la FNMF;

👉Présidente du réseau des femmes en mutualité;

👉Vice-Pdte DDFE

Un large écho sur Twitter :

vendredi 16 avril 2021

Et si vous fabriquez vos cosmétiques écologiques vous-même...


Les Français ne se sont jamais autant lavé les mains que depuis le début de la pandémie de Covid-19. L'application répétée de gel hydroalcoolique et le nettoyage à l'aide de savons industriels sont efficaces, mais ils ont pour inconvénient de dessécher la peau, et d'être composés d'ingrédients parfois douteux.

La startup Omeide propose l'injonction au plaisir avec des kits qui permettent à chacun de fabriquer son savon en choisissant les ingrédients qui répondent le mieux à ses besoins et à ses envies.

Omeide est la première entreprise à proposer des kits de savons sains, écologiques et personnalisables à faire soi-même. Ces kits ont pour particularité d'être extrêmement simples à utiliser.

Dans les coffrets Omeide, les ingrédients sont déjà dosés, il n'y a plus qu'à les mélanger pour obtenir du savon en cinq minutes à peine. Clément et Romain, les fondateurs d'Omeide, ont choisi cette méthode accessible à tous afin de démocratiser le savon DIY.

Pour financer ce projet, Omeide a lancé le 6 avril une campagne de financement participatif sur le site Ulule. 

Contact :
Romain Jatteau - romain.jatteau@omeide.fr - 06 10 61 84 59.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.omeide-france.fr
Campagne Ulule : https://fr.ulule.com/omeide/?utm_campaign=presale_110661&utm_source=media&utm_medium=relations-publiques.pro
Facebook : https://www.facebook.com/omeideoff
Instagram : https://www.instagram.com/omeideoff/
LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/68171575/admin/

op20210402022026

mardi 23 mars 2021

L' Afrique face au coronavirus...


A lire prochainement sur "Mine d'infos" l'interview accordée par le Professeur Pierre Kipré à l'occasion de la sortie de l'ouvrage 


« L’AFRIQUE EN PERSPECTIVE – LES ENJEUX DU FUTUR 
APRES LA CRISE DU COVID-19 » 
En Résumé...

La pandémie de coronavirus que vit le monde aujourd’hui a mis à nu, en Afrique, bien des faiblesses de ce continent. La lutte contre ce fléau est l’occasion, pour les Africains, d’emprunter de nouvelles voies, d’imaginer de nouveaux modèles et de les mettre en œuvre si nous voulons rompre avec la situation actuelle du continent ; bref, nous proposons de construire une Afrique nouvelle, maîtresse de son destin d’ici au moins le centenaire de l’Union Africaine en 2 063. Le post-Covid ne doit pas être l’ante-Covid parce que les connaissances qui nous ont portés au cours des derniers siècles et qui ont plongé le monde dans la crise actuelle, ne peuvent pas être les mêmes pour nous en sortir et nous mener vers un meilleur avenir.
C’est dans cet esprit que ce livre a été préparé et publié par une équipe d’experts africains, conduite par José Brito (ingénieur) et Pierre Kipré (Professeur). Il prolonge un précédent ouvrage publié en 2020 et intitulé Oser les ruptures — L’Afrique de l’après-covid 19 sous la direction du Professeur Pierre Kipré.
Les auteurs se sont placés dans une perspective prospective pour
 Identifier et analyser les différents systèmes qu’est le système économique, le système sanitaire, le système socioculturel, le système éducatif et d’innovation, nos écosystèmes et notre environnement naturel, notre position dans la mondialisation ;
 Dégager les potentielles évolutions positives et négatives de chacun de ces systèmes ;
 Proposer des scénarios du futur possible ; ici nous en proposons cinq (Scénario 1 « L’an 2065, horizon si jamais il en fut » ; scénario 2 « Le lion a perdu ses dents » ; scénario 3 « Le méchant sorcier » ; scénario 4 « L’aigle africain » ; scénario 5 « La montagne a accouché d’une souris ») ;
 Mettre en lumière ce qui nous paraît être les principales questions stratégiques dont la résolution constitue le gage du meilleur avenir possible dans la perspective du centenaire de l’Union africaine. Ces questions sont les suivantes : Quel rôle pour les Gouvernements dans une Afrique Post Covid ? Quels mécanismes démocratiques pour atténuer et corriger les disparités qui sont aussi des injustices et qui nuisent au progrès collectif ? Comment promouvoir en toute responsabilité, la conscience sanitaire des populations ? Quelles conditions créer pour réussir le saut technologique ? Comment assurer la promotion collective en privilégiant non plus le profit mais l’humain et les équilibres entre l’homme et la nature ? Comment construire en Afrique une économie socialement et humainement responsable ? Comment privilégier la complémentarité des économies africaines au lieu de la compétition et stimuler sensiblement le commerce intra-africain et l’unité africaine ? Quels sont les engagements que doit prendre l'Union Africaine pour entreprendre les ruptures avec la position de sous-système médiocre de la mondialisation qui est celle du continent et changer ainsi le rôle de l'Afrique dans la Gouvernance mondiale ?
Il importe que ces idées soient le plus largement débattues à travers le continent et dans les diasporas africaines ; qu’elles soient prises en compte par tous ceux à qui importe le meilleur avenir de notre Afrique en organisant au plus vite « une grande transition » dès aujourd’hui. Pour notre part, nous y croyons. Et vous, mon frère, ma sœur ?


jeudi 11 mars 2021

Quelles perspectives de recrutement pour 2021?




Rapport d’étude complet "The Future of Work"
par Monster

Malgré l’incertitude prolongée et la fluctuation du marché du travail, les perspectives de recrutement pour 2021 sont bonnes : 82% d’employeurs prévoient d’embaucher cette année et 9 recruteurs sur 10 sont confiants dans le fait de trouver les bons candidats.

Monster a interrogé plus de 3000 recruteurs et 5000 candidats dans le monde, dans le cadre de son étude globale annuelle « The Future of Work ». L’objectif : comprendre leur état d’esprit, leurs enjeux et leurs attentes pour l’année à venir.

Les thèmes abordés sont variés :
  • Les perspectives générales de recrutement pour 2021
  • L’impact de la pandémie sur le monde du travail
  • Le recrutement virtuel
  • Les notions d’adéquation et de transparence
  • L’écart de compétences
  • Les outils et ressources de recrutement plébiscités
  • La diversité et l’inclusion

Monster, en partenariat avec Parlons RH, vous propose de découvrir les résultats de l’étude et ses analyses dans son rapport complet pour nourrir vos stratégies de recrutement et de marque employeur.
Je télécharge le rapport

Thomas Chardin
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mardi 26 janvier 2021

Ravages de la Covid-19 sur la culture


Communiqué de presse de l’UNESCO N°006-2021

Les deux tiers d’une année académique perdus dans le monde à cause des fermetures dues au Covid-19, selon l’UNESCO

Paris, 24 janvier—Un an après le début de la pandémie de COVID-19, plus de 800 millions d’élèves et d'étudiants, soit plus de la moitié des effectifs dans le monde, sont toujours confrontés à des perturbations importantes de leur cursus qui vont de la fermeture totale des établissements dans plus de 31 pays à des horaires réduits ou à temps partiel dans 48 autres, selon les toutes dernières données apparaissant sur la carte de suivi interactive de l'UNESCO.

 

Dans le monde entier, les établissements d’enseignement ont été fermés complètement pendant trois mois et demi, soit 14 semaines en moyenne, depuis le début de la pandémie. Ce chiffre passe à cinq mois et demi (22 semaines), soit l'équivalent des deux tiers d'une année scolaire, si l'on tient compte des fermetures localisées.

 

La durée des fermetures varie fortement selon les régions du monde, allant de cinq mois (20 semaines) de fermetures nationales complètes en moyenne dans les pays d'Amérique latine et des Caraïbes, à deux mois et demi (10 semaines) en Europe, et seulement un mois en Océanie. 

 

Des variations régionales similaires sont observées lorsqu'on tient compte des fermetures localisées : la durée des fermetures complètes et localisées a dépassé sept mois (29 semaines) en moyenne en Amérique latine et dans les Caraïbes, alors que la moyenne mondiale est de cinq mois et demi (22 semaines). 

 

Les gouvernements se sont efforcés de réduire au minimum les fermetures à l'échelle nationale - de 190 pays au plus fort de la première vague en avril 2020 à 30 pays aujourd'hui - en faveur de fermetures partielles et/ou locales. Les écoles sont désormais totalement ouvertes dans 101 pays.

 

« Les fermetures prolongées et répétées des établissements d'enseignement font payer un tribut psychosocial croissant aux élèves, augmentant les pertes d'apprentissage et le risque d'abandon, et touchent de manière disproportionnée les plus vulnérables », a déclaré la Directrice générale de l'UNESCO, Audrey Azoulay. « Les fermetures complètes d'écoles doivent donc être un dernier recours et leur réouverture en toute sécurité une priorité ». 

 

Les données publiées aujourd'hui par le document politique de synthèse du Rapport mondial de suivi sur l'éducation de l'UNESCO montrent que, même avant la pandémie, un pays sur cinq seulement faisait preuve d'un engagement fort en faveur de l'égalité dans l'éducation par ses mécanismes de financement. Et, actuellement, il n'y a guère de preuves d'un fort souci d'équité dans les réponses au COVID-19. « Nous avons besoin d'un plan de relance suffisamment financé pour rouvrir les écoles en toute sécurité, en ciblant les plus démunis et en remettant l'éducation sur les rails pour la génération COVID-19 », a encore souligné la Directrice générale de l'UNESCO. « Aujourd'hui, en cette Journée internationale de l'éducation, j'appelle les pays et les partenaires à donner la priorité à l'éducation, un bien commun mondial, dans le cadre du redressement ».

 

La célébration par l'UNESCO de la Journée internationale de l'éducation appelle à un financement accru et meilleur de l'éducation, et met l’accent sur la faible priorité accordée à l'instruction dans les efforts de redressement. Les données de l’UNESCO montrent que le secteur ne reçoit qu'environ 0,78% des programmes d'aide dans le monde. En outre, l'aide à l'éducation semble devoir diminuer de 12% à cause de la pandémie. Celle-ci risque également d’accroître d'un tiers le déficit de financement de l'éducation, qui pourrait atteindre 200 milliards de dollars par an dans les pays à faible et moyen revenu, soit près de 40% du coût total. L'investissement initial dans des programmes de rattrapage permettrait de réaliser des économies en aval, en réduisant des trois quarts le coût nécessaire pour remédier aux dommages causés par le COVID-19. 

 

Lors de la réunion mondiale sur l'éducation organisée par l'UNESCO en octobre 2020, les gouvernements et leurs partenaires se sont engagés à sanctuariser les budgets de l'éducation. Ils ont aussi pris l’engagement d’axer la reprise sur la réouverture des écoles dans des conditions de sécurité et d'intégration, ainsi que sur le soutien aux enseignants, le développement des compétences et la connectivité pour tous. 

 

Pour permettre un retour en classe en toute sécurité, l'UNESCO a demandé que les 100 millions d'enseignants et d'éducateurs dans le monde soient prioritaires dans les campagnes de vaccination.

 

Pour marquer la Journée internationale de l'éducation, l'UNESCO et le Partenariat mondial pour l'éducation, en collaboration avec les Nations unies, organisent un colloque virtuel visant à souligner la nécessité de protéger et de mobiliser un financement équitable pour l'éducation, visant aussi à donner la parole aux « héros de la collectivité » qui ont agi pour ne délaisser aucun apprenant lors des fermetures d'écoles. Il s’agira aussi de présenter des innovations ouvrant la voie à des systèmes éducatifs plus résilients et plus inclusifs.

 

***

À l’intention des rédactions :

● La carte mondiale de suivi de l’UNESCO des fermetures et réouvertures des établissements d’enseignement.

● Les profils nationaux de plus de 80 pays ont été mis en fiches afin de détailler leurs politiques et programmes de financement. Ces données seront rendues publiques lors de la Journée internationale de l’éducation, le 24 janvier sur le site PEER du Rapport mondial de suivi sur l'éducation de l'UNESCO.