Nora ANSELL-SALLES

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mercredi 11 mai 2016

Polnareff, Cannes et l'avenir de la santé

L'éditorial de Vincent Fromentin

Polnareff, Cannes et l'avenir de la santé

Éric Le Boucher n'avait certainement pas tort la semaine dernière quand il confessait vouloir voter pour l'intelligence artificielle lors des prochaines présidentielles. Si Manuel Valls fait la une de Society et bat sa coulpe ("On a fait des erreurs"),on apprend dans le Challenges de cette semaine qu'Emmanuel Macron, quant à lui, pour …
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"Chic planète", le grand looping !

Titanic, Prince, Grand Prix de Paris, Antoine de Saint-Exupéry, Solar Impulse, mais quel lien peuvent-ils bien entretenir avec notre santé ?
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jeudi 17 septembre 2015

Café nile avec Bruno Silberman 23 Septembre 2015

Café nile avec Bruno Silberman
23 Septembre 2015

"Loi de Santé, gestion régionale, convention régionale :
quels rôles pour les URPS ?"

Le 12 octobre prochain se tiendront les élections professionnelles des médecins libéraux, permettant de choisir ceux qui les représenteront au sein des Unions Régionales des Professionnels de Santé des Médecins Libéraux (URPS-ML), pour un mandat de 5 ans. Tout médecin ayant une activité libérale sera donc appelé à voter selon sa spécialité.

Ces élections comportent deux enjeux majeurs : la représentativité des syndicats pour négocier la future convention médicale avec l’Assurance Maladie et la défense de l’exercice professionnel dans chaque région face aux ARS. Reportées à plusieurs reprises, ces élections prendront en compte la nouvelle organisation territoriale, effective dès le 1er janvier 2016, réduisant le nombre de régions de 22 à 13. Dans un contexte de réformes de notre système de santé particulièrement controversé au sein des syndicats médicaux, quelle sera la réponse de la base ?

Bruno Silberman, Médecin radiologue et Président de l’URPS Ile-de-France, nous fera l’honneur et le plaisir de venir débattre avec nous le 23 septembre prochain, de 8h30 à 10h au Sir Winston (5 rue de Presbourg, 75116 Paris) autour du thème :

« Loi de Santé, gestion régionale, Convention régionale : quels rôles pour les URPS ? »
En espérant avoir le plaisir de vous revoir à cette occasion, merci de nous confirmer votre présence en cliquant sur le bouton ci-dessous :
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Le Professeur Jean-Luc Harousseau, Président de la Haute Autorité de Santé (HAS) sera l'invité du Café nile qui se tiendra le 30 septembre prochain, à partir de 8h30 au Sir Winston.
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vendredi 20 mars 2015

Loi de santé : le tiers payant ne peut pas se faire sans les complémentaires


Si vous ne voyez pas ce message cliquez ici
Loi de santé : le tiers payant ne peut pas se faire sans les complémentaires

Pour la Mutualité Française, l’amendement du gouvernement adopté hier par la Commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale, met en péril le tiers payant.




Au lieu de conforter les initiatives prises par les organismes complémentaires pour mettre place un dispositif simple et assurant une garantie de paiement aux médecins, le gouvernement a voulu inscrire dans la loi un dispositif complexe qui nie les réalités économiques et les contraintes techniques de la dispense d’avance de frais.

Ignorer que le tiers payant requiert un engagement des organismes complémentaires pour assumer leur responsabilité économique est une erreur. Transférer l’ensemble de la responsabilité du dispositif à l’assurance maladie est à la fois dangereux et irréaliste et remet en cause le tiers payant existant avec plus de 100 000 professionnels de santé.

L’IGAS, dans un rapport qui fait autorité sur le tiers payant, avait rappelé, l’an dernier, la nécessité de respecter la réalité du co-financement des dépenses de santé.

Depuis plusieurs mois, l’ensemble des complémentaires santé a élaboré une solution qui répond aux objectifs affichés par le gouvernement, aux demandes concrètes des médecins et aux attentes des patients. Le gouvernement semble ignorer ces travaux.
S’il paraît prêt à des concessions importantes en espérant un ralliement de dernière minute des médecins, il oublie que le tiers payant ne pourra pas se faire sans les complémentaires.

Pour Etienne Caniard, président de la Mutualité Française, l’effet d’un tel choix est de mettre en échec cette réforme pourtant nécessaire pour l’accès aux soins et plébiscitée par les Français.



À propos de la Mutualité Française
Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit 450 mutuelles. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents. Elle est membre de l’Amice (Association des assureurs mutuels et coopératifs en Europe) et de l’AIM (Association internationale de la Mutualité).
Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des sociétés de personnes à but non lucratif : elles ne versent pas de dividendes. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.
Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc. Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.
La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.


Contacts presse :

  • Constance BAUDRY
 constance.baudry@mutualite.fr
  • Christelle CROS
 christelle.cros@mutualite.fr

mercredi 18 mars 2015

MG France ne participera pas au groupe de travail "tiers-payant" du 19 mars


MG France ne participera pas au groupe de travail "tiers-payant" du 19 mars
mercredi 18 mars 2015
MG France a participé à 6 séances de travail du groupe tiers-payant au ministère.
Après avoir pris connaissance aujourd'hui de l'amendement du gouvernement au projet de loi de santé, relatif au tiers-payant, MG France constate que celui-ci ne répond pas aux demandes des professionnels de santé exprimées en groupe de travail.
En conséquence MG France suspend sa participation au groupe de travail et ne rendra pas à la réunion du 19 mars.



Contacts :
  • Dr Claude LEICHER
  • Dr François WILTHIEN
  • Dr Jacques BATTISTONI

Référence du communiqué de presse :
N° 354 (à rappeler en cas de demande d'information complémentaire)
Président
Claude Leicher 1er vice-président
François Wilthien
Secrétaire Général
Jacques Battistoni Secrétaire gal adjoint
Jean-Louis Bensoussan
Trésorier
Gilles Urbejtel Trésorier adjoint
Bernard Plédran
Membre de droit
Jean-Claude Soulary
MG France Membre du coll�ge de la m�decine          g�n�rale MG France - 13 rue Fernand Léger, 75020 Paris Tél 01 43 13 13 13 - Fax: 01 43 13 13 10
mgfrance@mg-france.fr
Copyright 2013 MG France. Tous droits réservés

Vous pouvez aussi visualiser ce communiqué sur le site MG France :
http://www.mgfrance.org/index.php/presse/communiques
 
 
 
 
 
 
FIL INFO
Claude Leicher était ce matin l'invité du Café nile retrouvez ici le live twitt

Résultats pour #cafenile

Top / Tout 

NDLR : Serge BRICHET Pdt. de la MGEFI et de la MFP sera

 mercredi 25 mars l'invité du  prochain # CaféNile


 
 

jeudi 5 mars 2015

Le vrai du faux sur le tiers payant généralisé


Le vrai du faux sur le tiers payant généralisé

(1/4)

Dans le contexte mouvementé de la loi de santé, Soins Coordonnés revient sur le question du Tiers payant généralisé et met les choses au clair.


Le tiers payant serait inflationniste
  • Aucune étude portant sur le tiers payant généralisé en France ou dans d’autres pays, n’a démontré son caractère inflationniste.

  • Affirmer que le tiers payant est inflationniste est une opinion : elle repose sur l’absence de régulation à l’entrée dans le système de soins en France. Cette absence de régulation sert d’argument aux adversaires du tiers payant qui affirment sans preuve que la population, si le tiers payant était généralisé, consulterait sous n’importe quel prétexte. Aujourd’hui, faire régler la consultation voire demander un dépassement de tarif est le mode de régulation choisi par certains médecins. Il s’agit ni plus ni moins d’une sélection par l’argent. Le tiers payant généralisé permet de pallier ce type de pratiques et de garantir l’accès aux soins.
  • Selon l’IRDES, ¼ des français déclare avoir renoncé à des soins au cours de l’année. Ce phénomène est d’autant plus dommageable qu’il aboutit à un « rattrapage » qui coûte finalement plus cher au système de santé. En effet, plus tôt les maladies sont prises en charge, moins elles sont graves et le coût de leur prise en charge peut être réduit. La qualité de vie du patient est préservée. Le tiers payant permettrait d’éviter les situations de renoncements aux soins pour difficultés financières.

  • ​Paradoxe : Les médecins libéraux craignent de voir leur patientèle augmenter. Ne devraient–ils pas être satisfaits d’avoir un agenda bien rempli ?
    En savoir plus: www.soinscoordonnes.fr

  • Le vrai du faux sur le tiers payant généralisé

    (2/4)


    « Le tiers payant est une mise sous tutelle » FAUX

    On a entendu de nombreux professionnels détracteurs du tiers payant assimiler le fait d’être réglés par la Sécurité sociale à son assujettissement. Selon eux, être directement payé par la Sécurité sociale plutôt que par le patient serait se mettre sous la coupe de la Sécurité Sociale.

    C’est non seulement insensé mais franchement inexact.

    Les médecins spécialistes libéraux pratiquent en très grande majorité le tiers payant. C’est vrai en particulier des spécialistes dont les actes sont les plus coûteux. De même, l’activité des hôpitaux est en grande partie prise en charge directement par la Sécurité Sociale.

    Aussi loin qu’on se souvienne, aucun ne s’est plaint d’être mis sous tutelle. Et même, certains en redemandent.




    Le vrai du faux sur le tiers payant généralisé

    (3/4)





    « Tiers payant vaut paiement des professionnels » FAUX



    Aujourd’hui, le tiers payant doit être généralisé et doit s’accompagner d’une garantie de paiement des actes considérés.

    En effet, les chiffres prouvent que, lorsque le patient ne peut régler sa consultation, dans 85% des cas, la complémentaire ne s’acquitte pas du paiement de sa part au médecin.

    Le tiers payant généralisé bien organisé solvabilise les activités de soins et contribue à la pérennité des structures de notre système de santé.

    Comme en attestent les difficultés de multiples territoires à trouver des médecins généralistes libéraux en capacité de prendre en charge la population, l’exercice médical est aujourd’hui aride et peu attractif. Y ajouter des difficultés de paiement c’est scier la branche sur laquelle notre système de santé est assis.





    Le vrai du faux sur le tiers payant généralisé
    (4/4)

    « Le  tiers payant favorise l'accès aux soins  » VRAI


    17% de nos concitoyens déclarent que l’avance des frais les a déjà amenés à renoncer à consulter un médecin généraliste. Ces chiffres atteignent même 24% chez les moins de 35 ans ou chez les personnes dont le revenu mensuel est inférieur à 1 500 euros. Plus largement, 25% des français déclarent avoir renoncé à des soins chaque année.


    Dans un contexte économique difficile, la gradation des soins et le recours au médecin généraliste en premier recours plutôt que le fait de se tourner vers l’hôpital pour un état de santé qui ne le nécessite pas, est un choix de bon sens, voire une clause de survie pour notre système de santé.


    De ce point de vue, la généralisation du tiers payant, en fléchant la prise en charge vers les médecins généralistes de ville plutôt que vers l’hôpital, permet une meilleure régulation du système et un moindre coût de prise en soins.


    Le tiers payant permet à toute personne quelle que soit sa situation financière, de consulter un professionnel de santé en cas de maladie et d’enrayer le phénomène des renoncements aux soins.
    Bref, on a tout à y gagner.



    COUP DE PROJECTEUR SUR LE POINT DE VUE DE LA MUTUALITÉ






    Ndlr : MGEFI et Tiers payant