Nora ANSELL-SALLES

lundi 11 février 2013

Une jonquille pour Curie


Un événement national de mobilisation solidaire contre le cancer

Durant toute une semaine, du 19 au 24 mars 2013, l’Institut Curie met en place un grand événement de mobilisation solidaire contre le cancer.

« Une Jonquille pour Curie » permettra de collecter des fonds pour financer des programmes de recherche innovants en cancérologie.

 

L’Institut Curie invite chacun à se mobiliser autour de la jonquille, symbole d’espoir et emblème de la lutte contre le cancer, et à réaliser un geste solidaire pour soutenir la recherche contre cette maladie.

 

« Une Jonquille pour Curie » a pour vocation de sensibiliser le plus grand nombre à la cause du cancer. « Faire appel à la générosité est vital pour une fondation comme l’Institut Curie. Les six premières éditions ont permis de collecter 720 000 euros, un véritable accélérateur pour des programmes de recherche innovants qui, sans cette mobilisation, n’auraient jamais vu le jour », explique Hélène Bongrain, directrice du développement des ressources à l’Institut Curie.

 

La jonquille, symbole international de la lutte contre le cancer

La représentation de la jonquille en tant que symbole de la lutte contre le cancer date de 1957 où, à Montréal, au Canada, un donateur anonyme offrit 5 000 jonquilles à une bénévole de la Société canadienne du cancer.

 

Les bénévoles sollicitèrent alors les restaurateurs et hôteliers de la ville en leur proposant d’acheter les jonquilles pour les offrir à leurs clients. Cette initiative rapporta près de 1 200 dollars. 3 ans plus tard l’opération rapporta près de 17 500 dollars. L’association créa alors en 1961, la « Journée de la jonquille » qui ne cessa de prendre de l’ampleur.

 

Cette fleur, aux couleurs chatoyantes et aux pétales généreux, est alors devenue à travers le monde un emblème d’espoir pour les personnes touchées de près ou de loin par cette maladie.

 

Faites fleurir l’espoir contre le cancer du 19 au 24 mars 2013 !

Au programme :

 

Coup d’envoi

de l’opération en partenariat avec la Fédération Française de Rugby, le samedi 16 mars au Stade de France lors du match France-Ecosse du Tournoi des Six Nations.

 

 

Du 19 au 23 mars, création d’une œuvre végétale éphémère

 

Un mur végétal, symbole de solidarité et d’espoir, sera exposé place du Palais Royal. Le public sera invité à le compléter en plantant des jonquilles fraîchement coupées et vendues sur place. Le mercredi 20 mars, les enfants sont conviés à différentes animations sur la place et notamment à dessiner des jonquilles. Une caravane de bicyclettes avec des remorques « jonquilles » parcourra également les rues de la capitale pour aller à la rencontre du public. Jonquilles et autres produits solidaires seront mis en vente pour l’occasion.

 

Le dimanche 24 mars dans le parc de Saint-Cloud, événement sportif et solidaire aux couleurs de la jonquille et au profit de la recherche à l’Institut Curie

 

Course, marche, vélo…, en solo, en équipe ou en famille, le public pourra manifester sa solidarité dans une ambiance conviviale.

 

Du 19 au 24 mars en régions

« Une Jonquille pour Curie » se déploie aussi en régions ! Besançon, Deauville, Poitiers… Toutes les manifestations sur : www.unejonquillepourcurie.fr à partir de janvier 2013.

 

Tout au long du mois de mars sur internet dans un jardin virtuel

 

Les internautes pourront faire fleurir l’espoir en plantant des jonquilles (accompagnées ou non d’un don) dans un jardin virtuel, accessible durant le mois de mars depuis : www.unejonquillepourcurie.fr. Des informations sur les avancées de la recherche en cancérologie seront par ailleurs disponibles sur le site.

 

Les parrains de l’institut Curie

 

Amélie Mauresmo, marraine de l’institut Curie

Depuis 2005, l’ancienne championne de tennis, aujourd’hui capitaine de la Fed Cup, est marraine de l’Institut Curie et prête ainsi son image bénévolement pour soutenir les patients atteints d’un cancer.

 

« C’est parce que l’Institut Curie est un acteur de référence dans la lutte contre les cancers, que je souhaite être la porte-parole d’une cause que j’estime juste et importante.

 

J’espère que mon soutien à l’opération « Une Jonquille pour Curie » permettra de collecter des fonds pour le développement de la médecine personnalisée au bénéfice des patients.»

 

Michel Desjoyeaux Michel Desjoyeaux est devenu le marin le plus titré de la course au large en solitaire. En 2012, il devient parrain officiel de l’Institut Curie et s’engage de nouveau aux côtés d’Amélie Mauresmo et de l’Institut Curie pour l’édition 2013 de l’événement  « Une Jonquille pour Curie ».

 

« L’Institut Curie, c’est deux hôpitaux et un centre de recherche sur le cancer. Une jonquille pour vous, c’est un coup de main pour l’Institut Curie, contre le cancer.

C’est tout simple, c’est très utile. »

 

Les partenaires entreprises

 

SwissLife

Swiss Life, spécialiste en assurance des personnes, est un des acteurs majeurs sur les marchés de l’assurance patrimoniale en vie et retraite et de l’assurance santé et prévoyance. Fidèle mécène de l’Institut Curie depuis 2004, Swiss Life, à travers sa Fondation, est fier de participer et d’impliquer ses collaborateurs et agents généraux à un événement national pour faire progresser la médecine personnalisée en cancérologie. Avec “Une jonquille pour Curie”, Swiss Life s’inscrit dans la continuité de son soutien au programme, SHIVA, premier essai clinique basé sur le profil moléculaire de la tumeur, et confirme ses engagements en matière de santé, de prévention et d’accompagnement des malades. www.swisslife.fr

 

Truffaut

Truffaut, partenaire historique de l’opération “Une Jonquille pour Curie” est heureux de soutenir à nouveau cette année l’Institut Curie dans son engagement contre le cancer. Dans toute la France, les magasins Truffaut proposeront à la vente des sacs réutilisables aux couleurs de la jonquille. Pour chaque sac jonquille acheté, 1 e sera reversé à l’Institut Curie.

MINE D'INFOS: Mission d’information sur les immigrés âgés

MINE D'INFOS: Mission d’information sur les immigrés âgés: Auditions ouvertes à la presse Jeudi 14 février 2013 La mission d’information sur les immigrés âgés, présidée par M. Denis J...

Mission d’information sur les immigrés âgés


Auditions ouvertes à la presse

Jeudi 14 février 2013


La mission d’information sur les immigrés âgés, présidée par M. Denis Jacquat (UMP, Moselle), et dont le rapporteur est M. Alexis Bachelay (SRC, Hauts-de-Seine), procédera aux auditions suivantes, ouvertes à la presse :


À 14 heures

MM. Pierre Mayeur, directeur de la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV), de David Clair, directeur juridique et règlementation nationale, et de Rémy Gallou, chargé de recherche à l’Unité de recherche sur le vieillissement

À 15 heures

MM. Jean-Michel Bacquer, directeur de l’établissement des retraites et de la solidarité de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), et de Daniel Rau, directeur de la solidarité et des risques professionnels

À 16 heures

M. Omar Samaoli, gérontologue



Jeudi 14 février 2013
À 14 heures


Salle 6351
Palais Bourbon – 1er étage
(Entrée des journalistes munis de leur carte de presse :
33 Quai d’Orsay,
75007 Paris)



Retransmission en direct sur le site de l’Assemblée nationale :


http://www.assemblee-nationale.tv/direct.html

MINE D'INFOS: Réorientation après PACES: ESO lance le PASS'OSTEO...

MINE D'INFOS: Réorientation après PACES: ESO lance le PASS'OSTEO...: Une nouvelle passerelle vers l’ostéopathie pour les étudiants ayant commencé des études de santé   Paris, février 2013. L’Ecole S...

Réorientation après PACES: ESO lance le PASS'OSTEO


Une nouvelle passerelle vers l’ostéopathie pour les étudiants ayant commencé des études de santé

 

Paris, février 2013. L’Ecole Supérieure d’Ostéopathie (ESO) de Paris – Marne La Vallée lance PASS’OSTEO, une passerelle qui permet qui permet aux étudiants en médecine / prépa / PACES ou licence scientifique qui cherchent à se réorienter, d’accéder à la formation initiale pour préparer le diplôme d’ostéopathe exclusif, tout en valorisant leur première année ou semestre d’études de santé.

 

Les inscriptions sont actuellement ouvertes, jusqu’à fin février. Après une sélection sur dossier et un entretien, deux voies s’offrent aux candidats :

-          Les bacheliers ayant initié des études supérieures (PACES, prépa, licence,…) peuvent accéder en 1ère année à l’ESO, avec une rentrée immédiate, fin février / mars 2013. Ils suivront le programme complet de l’école (avec des équivalences possibles selon le cursus d’origine).

-          Les étudiants  « reçus-collés » au concours PACES et les titulaires d’une licence scientifique (STAPS, Biologie,…) ont un accès direct en 2ème année propédeutique à l’ESO, avec une rentrée en octobre 2013. 

 

Le programme PASS’OSTEO met l’accent sur un enseignement par compétences dès le premier cycle (parcours recherche, stages, travaux pratiques…) et un accompagnement individualisé (travail en petits groupes, ateliers de synthèse et de soutien avec des enseignants) pour permettre aux étudiants de suivre l’intégralité du programme dans un temps adapté.

Avec le PASS’OSTEO, les candidats ont l’opportunité d’intégrer une grande école au commencement de la formation initiale à temps plein en ostéopathie, en France. Etablissement d’enseignement supérieur privé agréé par le Ministère de la Santé, l’ESO délivre un Titre National d’Ostéopathe enregistré au RNCP niveau 1. Depuis sa création, l’ESO propose une formation d’ostéopathes sur 6 années, suivant des standards internationaux et des critères définis par l′Organisation Mondiale de la Santé. L’Ecole dispose d’une clinique intégrée avec 40 salles de consultation, d’une unité de recherche et d’une résidence étudiante.

Inscriptions et renseignements au 01.64.61.66.21, info@eso-suposteo.fr  et sur le site de l’école : www.eso-suposteo.fr.

 

Contact presse Agence Noir sur Blanc :

Mihaela Fiordean – Tél. : 01.41.43.72.75, mfiordean@noirsurblanc.com

A propos de l’ESO

L’Ecole Supérieure d’Ostéopathie (ESO) Paris-Marne la Vallée a été créée en avril 1990. Etablissement d’enseignement supérieur privé agréé par le Ministère de la Santé, l’ESO accueille de 700 à 800 étudiants par an, tous niveaux d’études confondus. L’enseignement est assuré par un corps professoral de plus de 190 enseignants: ostéopathes professionnels français et étrangers, spécialistes du corps médical, scientifiques, universitaires, chercheurs, assistants de cours. L’ESO dispense un enseignement supérieur long post-bac de 5000 heures minimum, dont 1000 heures de pratique, sur 6 ans minimum, répartis en 3 cycles universitaires, conformément aux normes européennes et aux recommandations de l’OMS. L’Ecole dispose d’une clinique intégrée avec 40 salles de consultation et d’une unité de recherche. Le troisième cycle de l’ESO est à la fois international et universitaire avec la possibilité d’obtention d’un Master universitaire de recherche (Msc) et de conclure par un doctorat Es-sciences en partenariat universitaire. Les Ostéopathes, diplômés de l’ESO et des universités partenaires, forment ainsi les cadres français de la recherche appliquée à l’ostéopathie. Des formations spécifiques et pointues aboutissant à des Certificats d’Etudes Spéciales (CES) permettent aux diplômés de devenir des spécialistes dans certains domaines de la santé. Le Titre National d’Ostéopathe délivré par l’ESO est enregistré au RNCP niveau 1. www.eso-suposteo.fr

 

MINE D'INFOS: Café nile avec Agnès BUZYN, présidente de l'INCa

MINE D'INFOS: Café nile avec Agnès BUZYN, présidente de l'INCa: « Quels  enjeux pour le Plan Cancer 3 ? »   20 février 2013 8h30 à 10h Au Sir Winston "Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? "...

Café nile avec Agnès BUZYN, présidente de l'INCa


« Quels  enjeux pour le Plan Cancer 3 ? »

 

20 février 2013

8h30 à 10h

Au Sir Winston "Quels enjeux pour le Plan Cancer 3 ? "

Les progrès réalisés dans la lutte contre le cancer sont indéniables, tant sur le plan du dépistage que sur le plan thérapeutique. On peut considérer positivement les avancées de la lutte contre ce fléau, lutte commencée avec la création de l’Institut National du Cancer et des Plans Cancer 1 et 2. L’annonce par le Président de la République du Plan Cancer 3 doit normalement poursuivre ces efforts et ces réalisations. Assisterons-nous à une continuité des actions ? Verrons-nous au contraire une inflexion dans le combat ?

 

Malgré une baisse annoncée de la mortalité liée au cancer, les chiffres parlent d’eux-mêmes en ce qui concerne l’ampleur de cet enjeu de santé publique : 365 000 nouvelles personnes atteintes par an et plus de 147 000 décès en 2011. De plus, les cancers sont à la fois la source et la conséquence des inégalités sociales.

 

 

Inscription : "Olivier MARIOTTE" <olivier.mariotte@nile-consulting.eu>

 

Blog de nile en suivant le lien http://loeildenile.eu

Site de nile : www.nile-consulting.eu

samedi 9 février 2013

En primeur sur le N° de Février 2013 de "Couleurs" MGEFI l'Edito de Serge Brichet




Progrès et réussites

L’adhésion de la MGEFI au groupe Istya et son entrée dans le réseau Optistya marquent de façon significative ce début d’année 2013.

Ces deux démarches traduisent la volonté des élus et dirigeants de pérenniser notre Mutuelle dans son environnement et, en améliorant sensiblement les garanties et les services proposés, de renforcer l’accès aux soins.

Elles illustrent, également, en partageant nos destinées et nos actions avec d’autres mutuelles de la Fonction publique, notre attachement à vouloir organiser la protection des adhérents dans un cadre adapté à leurs droits statutaires.

Bien loin de défendre un pré carré, nous sommes sur la réaffirmation forte de valeurs fondamentales, au centre desquelles se placent les solidarités professionnelles.

Dans une période où sont souvent soulignés la frilosité des initiatives communes, l’individualisme, nous manifestons clairement l’envie d’avancer sur la voie de nouveaux progrès et l’espoir de réussites collectives.

D’autres dossiers majeurs viendront jalonner, dans les prochains mois, la route de la MGEFI : devenir de la gestion du régime obligatoire par les mutuelles de fonctionnaires, articulation des interventions assurance maladie/complémentaires, préparation du prochain référencement…

Soyez convaincus que la MGEFI s’y investira, directement ou via ses engagements fédéraux, avec détermination en vue de préserver vos intérêts.

À Paris,
le 28/01/2013

vendredi 8 février 2013

MINE D'INFOS: Rapport sénatorial sur les déserts médicaux : un c...

MINE D'INFOS: Rapport sénatorial sur les déserts médicaux : un c...: Dans le cadre de leur commission du développement durable, des infrastructures, de l'équipement et de l'aménagement du territoire, les s...

Rapport sénatorial sur les déserts médicaux : un constat partagé, mais de mauvaises réponses


Dans le cadre de leur commission du développement durable, des infrastructures, de l'équipement et de l'aménagement du territoire, les sénateurs ont rendu public ce jour leur rapport d’information intitulé : « Déserts médicaux : agir vraiment ».

Ce rapport, qui fait suite à de nombreux documents rédigés sur le même sujet, part du constat que la situation actuelle est inacceptable et qu’elle risque d’empirer avec la baisse de la démographie médicale. Il souligne les difficultés des Français dans l’accès aux soins ainsi que les problèmes auxquels auront à faire face les professionnels de santé dans le cadre d’une demande croissante en soins liée au vieillissement de la population.

Le rapport du Sénat constate également la portée limitée des mesures adoptées jusqu’alors dans la lutte contre les déserts médicaux. Il note la faible efficacité des mesures incitatives à l’installation dans les zones sous-dotées et émet au total 16 propositions « pour agir vraiment contre les déserts médicaux ».

A la lecture des ces propositions, MG France reconnaît que certaines mesures avancées par le Sénat sont de nature à répondre aux attentes des jeunes médecins en voie d’installation, voire à encourager les plus anciens à rester plus longtemps en activité, quand d’autres visent explicitement à favoriser une meilleure organisation territoriale de l’offre de soins de premier recours et un meilleur déploiement de cette dernière sur les territoires de santé.

MG France considère cependant que les 3 dernières propositions émises par le rapport sénatorial sous le chapitre
« mieux réguler l’installation des professionnels de santé » sont inacceptables : ni le conventionnement sélectif, ni une quelconque obligation d’exercer dans des hôpitaux où le manque de spécialistes serait reconnu, ni l’obligation d’exercer quelques années en début de carrière en zone sous-dotées, ne constituent des réponses adaptées à la mesure des problèmes que soulève la désertification médicale.

MG France déplore que les élus du Palais du Luxembourg apportent des réponses aussi inadaptées à une question pourtant essentielle
. La vraie réponse aux déserts médicaux est pourtant inscrite dans certaines des propositions du Sénat : elle consiste notamment à favoriser le travail en équipe et la coopération entre professionnels de santé, à encourager des nouvelles formes d’exercice, en un mot à investir massivement sur les structures de soins primaires de proximité.


Référence du communiqué de presse : N°243 (à rappeler en cas de demande d'info complémentaire)

"Fiers d'être généralistes"