MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
samedi 8 avril 2023
FIN DE VIE: Charles Biétry prépare son suicide assisté... Et vous que feriez-vous dans la même situation ❓️
mercredi 5 avril 2023
CP - Qubit Pharmaceuticals sélectionné pour la première promotion du programme French Tech Health20
Anses >> PUBLICATION : "Une perspective de vaccin contre la peste porcine africaine" – 27 mars 2023
La Griffe Santé de Jacques DRAUSSIN
Infolettre n° 511 mardi 4 avril 2023 | |
Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur- | |
Hôpital : mercenaires vs stakhanovistes Combien sont-ils ces praticiens hospitaliers qui font de l’intérim une nouvelle spécialité médicale ? 5 000 ? 6 000 ? 12 000 comme le prétend le Syndicat national des médecins remplaçants des hôpitaux (SNMRH) ? En réalité, personne n’est capable d’en évaluer le nombre exact. Certains d’entre eux sont d’authentiques mercenaires, se vendant au plus offrant avec pour motivation majeure de partager leur temps entre les salles d’op’ et les putting greens. D’autres sont tout juste sortis de l’internat et parviennent alors en quelques gardes à doubler le salaire qui rémunère si mal leurs 10 années d’études. D’autres encore mettent un peu de beurre dans les épinards en faisant par ci par là quelques extras dans des déserts hospitaliers et bénéficient alors d’une « prime de solidarité territoriale » bien méritée. Combien ces missions d’intérim doivent-elles être rétribuées ? Jusqu’à maintenant, c’était la loi de l’offre et de la demande qui prévalait et l’on pouvait voir certains chacals du stéthoscope ou du bistouri vendre des missions de 24 heures jusqu’à 6000 ou 7000 euros sans même que leurs collègues (et moins encore leurs patients) aient aperçu leur visage. Certes, il serait malvenu de confondre la conséquence d’un dysfonctionnement avec sa cause mais ce petit supplément de facture en CDD achevait de grever d’1,5 milliard d’euros supplémentaires le budget annuel d’hôpitaux déjà bien malades... La loi signée par la députée du Loiret (et rhumatologue) Stéphanie Rist aurait déjà dû mettre un terme à ces abus dès 2021 mais, pour cause de Covid, elle avait été logiquement différée. Les 1170 € prévus initialement pour une vacation de 24h dans le secteur public ont pris 20% d’inflation la semaine dernière pour atteindre depuis hier 1 390 €. Seuls les hôpitaux publics auront l’obligation absolue de s’y conformer et le SNMRH a beau jeu d’agiter le spectre d’une hémorragie de talents vers le secteur privé. Un spectre qui pourrait bien s’avérer être un leurre sur un marché où le nombre d’offres en intérim sans limite de rémunération sera de facto réduit de moitié. Les mercenaires vont y perdre là où les stakhanovistes ne gagneront pas beaucoup plus mais l’éthique – si ce n’est l’hôpital - s’en portera mieux. Jacques DRAUSSIN | |
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#Cabouge_Paris17 : les news de l'arrondissement
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Sortir à Paris : Grand rassemblement de Cadillacs le 16 juillet avenue Niel Paris 17ème
LES TERNES EN CADILLAC
lundi 3 avril 2023
ACADEMIE DE PHARMACIE : hypersensibilité médicamenteuses
dimanche 2 avril 2023
Rappel matinée Adom
samedi 1 avril 2023
Chirurgie esthétique sauvage: attention danger ⚠️
jeudi 30 mars 2023
Nouveauté SOLAIRE // La gamme DORIANCE de Naturactive, des compléments aux actifs végétaux pour préparer sa peau au soleil
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mardi 28 mars 2023
❗Pour un fonctionnement plus efficace de la gestion des déchets à Paris
samedi 25 mars 2023
23e Rencontres Mutualistes
Tribune de Gilles Djeyaramane
Après un mois de mars censé célébrer la Francophonie en France et dans le monde, force est de constater que l’événement a été peu couvert par les médias français. Aussi, il est légitime de s’interroger sur la compréhension et l’appropriation du concept par les français. Cette quasi-absence de reprises médiatiques confirme qu’il « manque une pièce au puzzle institutionnel » de la Francophonie dans son berceau. Ne faut-il pas faire preuve d’ambition en créant une délégation interministérielle ou un Haut-Commissariat à la promotion de la Francophonie en France ?
Peu de ministre et de personnalités en capacité d’incarner et de donner corps à la Francophonie au niveau national
Attardons-nous quelques minutes sur les profils et les bilans des personnalités qui se sont succédés à la tête du portefeuille de la Francophonie depuis 1986.
Les derniers gouvernements français sous la Présidence d’Emmanuel Macron ne comportaient pas de ministère ou de secrétariat d’État dédié uniquement à la Francophonie. Certes, Jean-Yves Le Drian, Ministre des Affaires étrangères ou Jean-Baptiste Lemoyne Ministre délégué y étaient sensibles, ce dernier aurait même réussi à arracher au Président le privilège d’accoler le terme Francophonie à son titre ministériel.
Auparavant pourtant, une dizaine de personnalités ont occupé la fonction avec des bilans plus ou moins discutables. Des Ministres de la Francophonie qui cumulaient la fonction de ministre de la Coopération sans y accorder une réelle importance. Des intellectuels et des artistes, dont un des plus prestigieux fut Alain Decaux de 1988 à 1999. Mais, depuis Alain Decaux, et loin de toute volonté d’offenser ses successeurs, peu de « poids lourds » médiatiques ont rempli la mission avec autant de « panache ».
Un outil de « soft power » indispensable pour renouer les liens avec les opinions publiques africaines
Ces dernières années, la France a perdu son influence en Afrique francophone et son capital sympathie auprès des populations Africaines. Plusieurs coups d’état ont renversé des dirigeants plus ou moins francophiles : Mali, Burkina Faso ou Guinée. Le nouveau quinquennat représente une occasion de restaurer les liens coupés par une succession de maladresses aussi bien au plus haut niveau du pouvoir que dans la façon dont les citoyens français perçoivent les populations de ces pays. Il s’agirait de remettre à plat la relation entre la France et ses anciennes colonies en construisant un nouveau cadre relationnel entre leurs peuples. La Francophonie par la relation égalitaire et décomplexée qu’elle implique peut en constituer le tuteur. Sa promotion peut être l’occasion de rappeler la densité et la richesse des liens entre tous les Francophones et l’existence d’une communauté de destin. Les secteurs de coopération francophone sont multiples : promotion de la langue française, éducation, transferts de technologie, développement, santé …. Mais le travail d’appropriation culturelle doit commencer sur le territoire français métropolitain avant de trouver un relais international.
Un délégué interministériel indispensable
Dans cette optique, la création d’une délégation interministérielle ou la nomination d’un Haut-Commissaire constituerait une innovation structurelle importante en vue d’une plus grande promotion de la Francophonie. Cette délégation renforcerait l’action des ministres français en charge des Affaires étrangères, de l’économie, de la défense, de la santé en y apportant cohérence, volontarisme et pragmatisme.
Ce responsable exercerait des fonctions proches de celles d'un secrétaire d'État tout en étant rattaché directement au Premier ministre et donc sans dépendre d'un ministre de tutelle.
Le délégué assurerait la coordination et l’harmonisation des programmes d’actions en matière de Francophonie. Il mobiliserait l’ensemble des acteurs français étatiques ou privées potentiellement concernés : élus, services centraux et déconcentrés de l’Etat, établissements publics, associations œuvrant dans les domaines de la Francophonie. Les régions, les départements mais aussi les communes seraient invitées à développer la Francophonie dans leurs politiques publiques.
Par exemple, des échanges de lycéens, la création d'un Erasmus francophone, le développement d’une coopération décentralisée en matière économique au niveau des départements pourrait être soutenus, la création de correspondants municipaux à la Francophonie serait encouragée dans les communes (à l’image des correspondants municipaux à la défense, les CMD), etc…
Les grandes institutions dédiées à la recherche ou à la promotion de la santé par exemple (prévention ou recommandations en santé par exemple) verraient leurs actions et leurs travaux relayés dans l’espace francophone.
Enfin, le délégué participerait aux propositions et à la veille législative en matière de Francophonie. Bien évidemment, les missions de l’actuelle délégation interministérielle à la langue française pour la cohésion sociale trouveraient leur place dans cette entité aux missions élargies mais concrètes car en prise directe avec les réalités du terrain.
Propos recueillis par Nora Ansell-Salles
vendredi 24 mars 2023
DR MEG ARROLL "Surmonter ces petits traumas qui minent notre quotidien" (FIRST)
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