Nora ANSELL-SALLES

samedi 17 avril 2021

Dominique JOSEPH auditionnée par les Sénateurs

Morceaux choisis de l'audition de
Dominique JOSEPH
rapporteure du CESE  jeudi 15 avril 2021 au Sénat.
Retrouvez sur le site du Sénat l'intervention senat.fr

Lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes : 30 ans de perdus en 1 an de crise

Auditionnée le 15 avril dernier par la Délégation aux droits des femmes du Sénat, Dominique Joseph a présenté aux sénateurs l’avis du Conseil économique social et environnemental (Cese) sur la crise sanitaire et les inégalités de genre. Selon la rapporteure de cet avis, la pandémie agit comme le révélateur des inégalités femmes hommes et génère dans certains cas un véritable recul des droits des femmes.


"On a constaté 320% d'augmentation des signalements liés à des difficultés liées à l'IVG"

"25% des femmes disposent d'un lieu pour le télétravail alors que 40% des hommes ont un lieu dédié"

"Nous manquons en France de données genrées"

A LIRE PROCHAINEMENT SUR MINE D'INFOS :
Un "portrait de femme" consacré à cette grande militante qu'est Dominique JOSEPH.

A propos de
Dominique JOSEPH
@DomimutJoseph
 est :
👉Secrétaire générale de la FNMF;

👉Présidente du réseau des femmes en mutualité;

👉Vice-Pdte DDFE

Un large écho sur Twitter :

vendredi 16 avril 2021

Cosmetiques zéro déchets


Cosmétiques zéro déchet : APO lance sa crème solide bio 8-en-1
En 2020, limiter les emballages était la résolution n°1 des Français.* Cette résolution se traduit notamment par le boom des magasins spécialisés dans le vrac. En 2019, ce marché était en augmentation de 41 %, et il va se multiplier par trois d’ici 2022.**
C’est dans cet esprit de réduction des déchets pour la préservation de la planète qu’a été fondée en 2019 la marque APO France.
Ce fabricant français est spécialisé en cosmétiques zéro déchet pour le soin quotidien des familles. La marque a développé toute une gamme de produits d’hygiène visage et corps, du capillaire, du dentaire, des soins pour les bébés, ainsi que des accessoires durables.
Aujourd’hui, elle lance sa nouvelle crème solide bio 8-en-1 !
Cette crème se compose de seulement 5 ingrédients pour 8 usages.
Fabriquée à la main dans leur atelier des Hauts-de-France, elle est 100 % naturelle et zéro déchet. Testée sous le contrôle d'un dermatologue, elle convient à tous les types de peau, dès l’âge de 3 ans.
 
Fabricant de cosmétiques zéro déchet & accessoires durables pour le soin quotidien des familles.
 
La naissance d’APO France
Printemps 2018
Antoine Ducos, entrepreneur dans l’univers de l’hygiène depuis plus de 30 ans, rêve d’agir concrètement dans son quotidien professionnel à la préservation de la planète.
Novembre 2018
Antoine Ducos s’associe avec Romuald Tramcourt, ancien formulateur dans l’industrie pharmaceutique. Ensemble, ils créent la société oh Nature avec la mission de rendre accessible la cosmétique bio, naturelle et zéro déchet en devenant fabricants.
Juin 2019
Inauguration de l’atelier à Wattrelos (métropole lilloise) avec un savoir-faire en cosmétiques solides et en saponification à froid.
Octobre 2019
Lancement de la marque APO France avec le travail de Maëlys Peyrard, aujourd’hui responsable marketing de la marque.
Aujourd'hui & Demain
L’histoire continue dans les pas de Romuald avec une petite équipe qui développe avec passion des produits responsables et innovants pour le quotidien des familles.
Les 4 piliers de la marque APO
1. Le soin de la planète ;
2. La santé du corps ;
3. L’efficacité alliée au plaisir (pour ancrer facilement ces nouvelles habitudes de consommation) ;
4. Le prix juste.
Une gamme de produits large
1. Hygiène visage & corps ;
2. Capillaire ;
3. Dentaire ;
4. Bébé ;
5. Accessoires durables.

Ses objectifs
APO continue d’innover et de développer des nouveaux produits pour aider les familles à réduire leurs déchets dans la salle de bain. L’équipe d’APO travaille actuellement avec des designers au développement d’un contenant qui rendra plus pratique l’usage des cosmétiques solides. A cette occasion, elle lancera sa première campagne de crowdfunding.
APO prévoit de lancer de nombreuses nouveautés en 2021. En mai, la marque lancera ses déodorants solides bio, en juin une gamme 100 % vrac et en octobre un baume multi-usages bio en pot carton.
Focus sur la nouvelle crème solide 8-en-1 made in France
 
La mission d'APO :
Accompagner la famille dans ses gestes de soin quotidien avec une gamme complète et accessible de cosmétiques zéro déchet et d’accessoires durables.
L’hydratation et la nutrition de la peau sont incontournables et font partie de la routine des familles. APO France a simplifié et révolutionné cette routine en proposant une crème solide aux 8 usages.
Une formule simple et rassurante avec seulement 5 ingrédients
1. Beurre de cacao bio. Il nourrit et protège la peau.
2. Cire de ricin. Elle apporte le côté « glissant » avec un point de fusion élevé.
3. Huile de coco vierge bio. Elle nourrit et apaise la peau.
4. Parfum de Grasse. Des notes gourmandes de vanille et de cacao. Il est sans allergène et sans huile essentielle.
5. Vitamine E. Elle sert à la conservation. Antioxydante, elle évite le rancissement des huiles.
Multi-usage pour une routine de soins simplifiée
1. Soin du visage et du corps. Il faut appliquer la crème solide bio sur les zones sèches pour les apaiser immédiatement. Elle apporte une sensation d’hydratation, nourrit intensément, et laisse la peau douce.
2. Lèvres gercées. La crème solide bio s’applique comme un baume pour réparer les lèvres gercées et les rendre plus douces et lisses.
3. Mains gercées. La crème solide bio est idéale pour les mains sèches et gercées, pour un effet nourrissant et réparateur immédiat, sans effet gras ni collant.
4. Soin des pointes des cheveux. Il faut prélever une petite quantité de crème sur les doigts et frotter directement sur vos pointes de cheveux abîmées.
5. Après-soleil. Appliquée directement sur la peau suite à une exposition aux rayons du soleil, la crème solide hydrate et apaise l’épiderme.
6. Après-rasage. La crème solide bio apaise et soulage le feu du rasoir. Elle peut aussi s’utiliser comme soin de la barbe.
7. Baume de massage. Une fois réchauffée au contact de votre peau, la crème solide peut s’utiliser en baume de massage, pour un moment de détente assuré.
8. Soin des ongles. La crème solide bio s’applique sur vos ongles et cuticules pour les nourrir et les réparer.
Une crème pour tous les types de peaux
Cette crème convient à tous les types de peau dès l’âge de 3 ans. Elle hydrate, nourrit intensément, apaise, répare et protège la peau. Elle apporte une sensation de confort maximal et de douceur à la peau.
Un soin solide pour une routine zéro déchet toute l’année
Le point de fusion de la crème est suffisamment haut pour ne pas nécessiter de la stocker au frais l’été.
De plus, cette crème solide APO France est 100 % zéro déchet.
Fini les tubes en plastique ! Son format de 50 g remplace environ 2 tubes de 50 ml.
La crème solide est emballée dans son étui en carton certifié PEFC (forêts gérées durablement), imprimé à côté de l’atelier, avec des encres à base d’huiles végétales, et bien sûr 100 % recyclable.





Bon pour la peau, bon pour la planète
 
• 100 % d’origine naturelle ;
• certifiée bio (Cosmos Organic par Ecocert) ;
• vegan ;
• testée sous le contrôle d’un dermatologue ;
• non-testée sur les animaux (conformément à la réglementation européenne) ;
• Fabriquée à la main dans les Hauts-de-France.
À propos de Maëlys Peyrard, responsable de la marque
 
Maëlys Peyrard, 29 ans, vit à Roubaix et est actuellement en transition d’un mode de vie zéro déchet. Avec Antoine Ducos, fondateur d’APO, elle est à l’origine de la création de la marque. Elle a construit l’image de marque et développé l’ensemble des produits de la gamme.
Aujourd’hui, elle est responsable Marketing. Elle encadre une joyeuse équipe de 6 personnes qui œuvre au quotidien au développement des nouveaux produits, à la présence digitale et au développement de la notoriété et de la visibilité d’APO.

Pour en savoir plus
https://youtu.be/tyojzBhR43c  
Découvrez en images notre super soin solide... Et les 8 usages qui vont révolutionner votre routine quotidienne
Site web APO : https://www.apofrance.com
Facebook : https://www.facebook.com/apofr/
Instagram : https://www.instagram.com/apofrance/
Linkedin : https://www.linkedin.com/company/apo-france/?originalSubdomain=fr
Contact presse
Maëlys Peyrard
E-mail : m.peyrard@ohnature.fr
Téléphone : 0320288515
*Source : PANEL VIEWS BONNES RÉSOLUTIONS 6-10 janvier 2020 I 1 840 Foyers répondants
**Sources : IRI (origine marques), CAM à P4 2020, tous circuits GMS France (LSA le 24.06.20) Good Bioanalytics, données en CAM déc 2020, réseau spécialisé bio Nielsen Réseau Vrac – « Le vrac, un marché en plein boom ! » 08.09.20

Et si vous fabriquez vos cosmétiques écologiques vous-même...


Les Français ne se sont jamais autant lavé les mains que depuis le début de la pandémie de Covid-19. L'application répétée de gel hydroalcoolique et le nettoyage à l'aide de savons industriels sont efficaces, mais ils ont pour inconvénient de dessécher la peau, et d'être composés d'ingrédients parfois douteux.

La startup Omeide propose l'injonction au plaisir avec des kits qui permettent à chacun de fabriquer son savon en choisissant les ingrédients qui répondent le mieux à ses besoins et à ses envies.

Omeide est la première entreprise à proposer des kits de savons sains, écologiques et personnalisables à faire soi-même. Ces kits ont pour particularité d'être extrêmement simples à utiliser.

Dans les coffrets Omeide, les ingrédients sont déjà dosés, il n'y a plus qu'à les mélanger pour obtenir du savon en cinq minutes à peine. Clément et Romain, les fondateurs d'Omeide, ont choisi cette méthode accessible à tous afin de démocratiser le savon DIY.

Pour financer ce projet, Omeide a lancé le 6 avril une campagne de financement participatif sur le site Ulule. 

Contact :
Romain Jatteau - romain.jatteau@omeide.fr - 06 10 61 84 59.

Pour en savoir plus

Site web : https://www.omeide-france.fr
Campagne Ulule : https://fr.ulule.com/omeide/?utm_campaign=presale_110661&utm_source=media&utm_medium=relations-publiques.pro
Facebook : https://www.facebook.com/omeideoff
Instagram : https://www.instagram.com/omeideoff/
LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/68171575/admin/

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jeudi 15 avril 2021

Lutte contre la tuberculose en Côte d'Ivoire...

Retrouvez le replay du webinaire sur Youtube :                                                               https://www.youtube.com/watch?v=PwblxIETo0c&t=420shttps://www.youtube.com/watch?v=PwblxIETo0c&t=420shttps://www.youtube.com/watch?v=PwblxIETo0c&t=420s

C’est à lire : "Renforcez l'intelligence collective de votre entreprise" de Marielle Bloch Dolande


Le management dialogique est adapté à la complexité du XXIe siècle : il favorise la montée en compétence des équipes, leur prise de recul, leur aptitude au dialogue, et l'innovation.

Le management dialogique est un outil de stimulation des équipes pour les managers, et offre aux collaborateurs un potentiel de motivation et d'épanouissement.

Que d'excellentes raisons pour le tester !

Dans son livre "Renforcez l'intelligence collective de votre entreprise", Marielle Bloch Dolande, la Présidente du Groupe européen BEAUVAIS INTERNATIONAL, s'adresse à tous les managers d'équipe et à tous les chefs d'entreprise.

Peu importe que leur management soit classique ou pas, que leur entreprise soit fortement hiérarchisée ou pas, tous peuvent tenter l'aventure du management dialogique ou plus simplement mettre en pratique les cinq dialogiques présentées.

L'objectif : ouvrir les potentiels des équipes et favoriser l'émergence. D'équipe en équipe, la capacité d'adaptation de l'entreprise s'élargit et permet à tous de surfer sur les vagues de la transformation.


Contact :
Gaël Letranchant - gletranchant@editions-ems.fr - 02 31 35 76 95.

Site web : https://www.editions-ems.fr/
Facebook : https://www.facebook.com/EditionsEMS/

Lire le communiqué de presse sur Internet

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mercredi 14 avril 2021

Projet de loi RE 2020 : quels impacts pour les constructeurs, assureurs, experts et citoyens ?


Reporté plusieurs fois depuis un an et issu des Accords de Paris, le projet de loi sur la Réglementation Environnementale 2020 soumis à consultation publique est paru il y a quelques jours. Après les changements amenés par les RT 2005 et 2012, la RE 2020 vise une mutation d’un autre type, en introduisant avec force une valorisation carbone, la prise en compte du réchauffement en termes de confort estival et des limites de consommations plus fortes.

 

Future réglementation environnementale pour la construction des bâtiments neufs, elle affiche 3 objectifs principaux :

  • Donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie ;
  • Diminuer l’impact carbone de la construction des bâtiments ;
  • En garantir le confort en cas de forte chaleur.

 

En fixant notamment 5 exigences de résultats en matière de conception énergétique du bâti, de consommation d’énergie primaire, d’impact sur le changement climatique associé à ces consommations, d’impact des composants du bâtiment sur le changement climatique ou encore sur l’inconfort dans le bâtiment en période estivale.

 

  • Une évolution certes à saluer mais qui contraint l’écosystème des constructeurs à changer en profondeur, et soulève des doutes quant à la faisabilité de la mise en conformité à ces nouveaux modes constructifs d’ici le début 2022.
  • Quels bâtiments sont concernés ?
  • En découle aussi une question fondamentale : comment les contrats d’assurance construction / habitation vont-ils évoluer face à des seuils d’exigences devenus contraignants ?
  • Comment le métier d’expert en assurance spécialisé en construction, va-t-il évoluer pour faire face aux nouveaux sinistres générés par l’utilisation de nouveaux matériaux, de nouvelles méthodes de construction ?... (Exemple des panneaux solaires)
  • Quelles seront les réactions des citoyens dans le temps face à l’obligation de mesurer et contrôler leur consommation d’énergie ?
  • Surchauffe estivale : comment sa conformité sera-t-elle évaluée sur le volet assurantiel ? Le motif d’impropriété à destination pourra-t-il être déclenché ?
  • … ?

 

Autour de ces questions, Sébastien Faure, expert construction au sein du groupe Stelliant, est disponible pour apporter son décryptage aux journalistes.  

Mise en relation :  0626608501

 


                                                                      


Caravane SEA en Côte d'Ivoire

Une belle démarche...
https://www.youtube.com/watch?v=fpDoF3CM3OM

mardi 13 avril 2021

Remboursement des consultations de psychologie : la Mutualité Française s'engage


Remboursement des consultations de psychologie : la Mutualité Française s’engage

Depuis un an, la crise sanitaire liée à la Covid-19 a de fortes répercussions sur le moral des Français. Souvent isolés, livrés à eux-mêmes et plongés dans l’incertitude, ils sont en attente de solutions et de soutien. Pour les aider à traverser cette période délicate, les mutuelles de la Mutualité... Lire la suite


lundi 12 avril 2021

Code mondial antidopage 2021


CODE MONDIAL ANTIDOPAGE 2021

La santé des sportifs est en danger

Le Code 2021 de l’Agence mondiale antidopage (AMA), entré en vigueur le 1er janvier dernier, comprend une nouvelle catégorie spécifique, dite de «  substances d'abus », incluant des drogues « récréatives » comme la cocaïne, l’héroïne, l’ecstasy et le cannabis. Désormais, par ailleurs, en cas de contrôles positifs à ces substances, les sanctions pourront être réduites, passant de quatre ans de suspension à trois mois si le sportif peut prouver que l'utilisation « s'est produite hors compétition et sans intention d'améliorer la performance sportive ». Elles pourront même être réduites à un mois si l'athlète concerné « suit un programme de réhabilitation » ... dont les modalités de contrôle ne sont pas précisées. 


Nouvelles du PASS

La Mutualité perd un monument :
LIRE LA SUITE DANS LA LETTRE D’INFORMATIONS PASS 
d’avril 2021
Voir la version en ligne


IQOS : Philip Morris répond aux questions des lecteurs de "Mine d'infos"...

Comme nous nous étions engagé nous avons relayé auprès de Philip Morris les questions des lecteurs suite à l'article sur "IQOS".


Vous trouverez ci-dessous les réponses de PMI, que nous remercions d'avoir joué le jeu de la transparence.



PHILIP MORRIS RÉPOND AUX QUESTIONS DES LECTEURS 

Pour rappel, PMI a fait le choix d’arrêter la cigarette à horizon de 10 à 15 ans* en fonction des pays, en proposant des alternatives à nocivité réduite (notamment tabac à chauffer) qui constituent de meilleurs choix que celui de continuer de fumer.

 

L’objet poursuivi par PMI est de traiter le sujet de la nocivité de la cigarette en proposant aux fumeurs adultes qui n’arrêtent pas de fumer, des alternatives sans combustion. La dangerosité de la cigarette vient dans une large mesure de la combustion qui produit la plupart des substances chimiques nocives qui, lorsqu’elles sont inhalées, sont la cause principale des maladies liées au tabagisme.

 

A qui s'adresse IQOS en termes de tranche d'âge ?

Afin de contribuer à faire switcher vers des alternatives à nocivité réduite 100% des fumeurs adultes qui ne s’inscrivent pas dans une démarche de sevrage, PMI considère qu’un large portefeuille de produits à risques réduits doit être mis à la disposition des fumeurs.

 

IQOS s’inscrit dans ce portefeuille et s’adresse aux fumeurs adultes qui n’arrêtent pas de fumer et qui, sans solutions alternatives à nocivité réduite, continueraient de fumer.

IQOS ne s’adresse pas aux mineurs. IQOS s’adresse exclusivement aux fumeurs adultes.

 

Le fait de passer par un "conseiller" lors de l'achat peut être considéré comme "dérangeant »

Passer par un conseiller doit être considéré comme un service d’accompagnement à l’attention de l’utilisateur, pour permettre une utilisation optimale du produit, éviter les mésusages et assurer à ce dernier les conditions d’une bonne adhésion au produit dans l’optique d’un abandon totale de la cigarette. Cet accompagnement, s’il est recommandé pour les raisons mentionnées, demeure bien entendu optionnel.

 

Le temps d'utilisation est un peu rapide versus une cigarette combustible.

Non, il est identique : 6 minutes ou 14 bouffées. Cela reste sensiblement identique à une cigarette.


 * Interrogé sur les pays concernés Philip Morris a fait parvenir à la rédaction de "Mine d'Infos" la réponse suivante :

Vous pouvez  prendre connaissance du rapport annuel PMI 2019 qui vous permettra de comprendre les engagements du groupe afin d’atteindre sa vision d’un monde sans fumée :

https://www.pmi.com/resources/docs/default-source/france-market-files/rapport-int%C3%A9gr%C3%A9-pmi-2019.pdf?sfvrsn=d2e2edb4_2

 

Et notamment dans les pages 5 et 6 vous trouverez une explication exhaustive, car il n'est pas possible aujourd’hui de citer des pays spécifiquement.


DERNIÈRE MINUTE:

Le journaliste Stephane Hotel vient de publier sur Twitter Article à lire sur Le monde.fr

https://twitter.com/stephanehorel/status/1382236573618556930?s=19


vendredi 9 avril 2021

Disparition de Jean-Philippe Huchet

ADIEU🕊
JEAN-PHILIPPE
Je viens d'apprendre par la lecture de cette article d'Espace social Européen (que je partage avec vous) le décès de Jean-Philippe Huchet...

Instituteur de formation, ce militant mutualiste avait intégré la section de la Haute-Garonne de la MGEN en 1983 avant de devenir administrateur national quatre ans plus tard. Jean-Paul Huchet prendra ensuite la fonction de secrétaire général avant de devenir vice-président de la mutuelle historique de l’Éducation nationale en 2005.
Administrateur de la FNMF depuis 1996, Jean-Philippe Huchet fut également secrétaire général adjoint de la fédération puis à partir de 2009 secrétaire général. Il a occupé un grand nombre de mandats au sein d’instances mutualistes, notamment la présidence du Réseau Éducation et Solidarité (RES), après avoir contribué à sa création, et celle de l’Union Mutualiste Retraite (UMR).
Président de l’Association internationale de la mutualité (AIM) de 2011 à 2014, Jean-Philippe Huchet est ensuite devenu directeur du Programme d’appui au développement des stratégies mutualistes de santé (Pass), visant à contribuer au développement d’une couverture santé de type mutualiste en Afrique

Reportage : happy césarienne à l'IMM

Les accouchements par césariennes qu’ils soient programmés ou en urgence créent bien souvent une frustration chez les mamans.
C’est pour cela que l’équipe de la maternité de l’Institut Mutualiste Montsouris a développé la « happy césarienne ».
Explications en images avec le reportage des maternelles.

https://imm.fr/2021/02/04/la-maternite-de-limm-a-developpe-la-happy-cesarienne/


jeudi 8 avril 2021

Interview de Bruno Huss Président de l'ADOM

La rédaction de "Mine d'infos" a rencontré  Bruno Huss, président de l'ADOM pour présenter aux lecteurs du blog, une structure qui compte dans l'environnement des complémentaires santé.


Bonjour Bruno Huss, comment a germé l'idée de l'ADOM   ?

L’ADOM est née avec l’objectif de créer un réseau de directeurs mutualistes qui leur permettent de se rencontrer, de se retrouver dans un cadre neutre, d’évoquer leurs thématiques métiers, de partager leur expérience et leur retour d’expérience.
Cela dans un cadre convivial et confraternel hors des logiques de concurrence potentielle entre mutuelles. Ce type de réseau existe pour d’autres professions (directeurs financiers, RH, Commerciaux, Informatiques,…) et il avait semblé opportun d’avoir également cela pour les directeurs mutualistes.


Comment le concept de l'association a t-il été accueilli dans l'environnement de la protection sociale ?

L’ADOM a proposé de se positionner sur l’Inter-Livres (Livre I, Livre II, Livre III) et sur l’Inter-Codes (Mutualité, Assurance, Sécurité sociale) qui permet de regrouper l’ensemble des directeurs du secteur de la protection sociale et de l’assurance à but non lucratif. L’ADOM a affirmé son implication au sein de l’Economie Sociale et Solidaire. L’ADOM regroupe aujourd’hui les directeurs des mutuelles 45, des mutuelles d’assurance et des Institutions de Prévoyance à la satisfaction générale.

L’ADOM a également élargit son intervention au niveau de la Francophonie sur la base du partage d’une langue commune qui permet de faciliter les échanges entre directeurs mutualistes francophones, en Europe, Afrique et Amérique.

Les "Matinées de l'ADOM" ont très vite rencontrés leur public... comment en sélectionnez-vous les thèmes ?

Les « évènements ADOM » connaissent, en effet, un beau succès, que ce soit en présentiel avant la crise sanitaire, ou depuis, par webinaire. Ces évènements permettent d’aborder l’ensemble des thématiques métiers que rencontrent un directeur mutualiste et paritaire dans la conduite de son activités. L’ADOM s’appuie pour la réalisation de ces évènements sur un réseau de partenaires qui apportent leurs expertises et leurs solutions potentielle sur les sujets traités.  Les thèmes sont traités en fonction de l’actualité, de l’importance, de l’acuité des sujets, au regard des souhaits des adhérents et des propositions des partenaires.


La crise du coronavirus vous at-elle fait perdre des adhérents... 

avez-vous enregistré de nouvelles adhésions ?

L’ADOM a adapté son activité au regard de cette crise sanitaire, en modifiant les modalités d’organisation de ses évènements afin de respecter les règles de distanciation. Cela a permis d’élargir la participation de directeurs de Province, de l’Outre-mer et de la Francophonie. La crise sanitaire a amené à aborder des sujets liés à ses impacts, dont la mutation digitale induite. La présence de l’ADOM sur les  réseaux sociaux s’est largement développée par une activité régulière et largement relayée. Les contacts se sont multipliés et ont permis d’enregistrer de nouveaux adhérents et de nouveaux partenaires. L’ADOM a souhaité, dans cette période contrainte, de prendre en charge un accompagnement pour ses membres qui le souhaitent.


Quel regard portez-vous sur la gestion de la crise sanitaire par les compléments santé en tant  👉qu'employeurs ? 👉en direction de leurs Adhérents/Clients?

La crise sanitaire est une période compliquée pour les mutuelles et leurs directions qui ont dû adapter leurs organisations et leurs fonctionnements afin de protéger leurs collaborateurs de ce virus tout en continuant à apporter le meilleur service aux adhérents. Les directeurs mutualistes ont fait preuve de beaucoup d’attention envers les salariés pour leur permettre de gérer les impacts de la crise dans les meilleures conditions, dans le cadre des négociations d’accords avec les partenaires sociaux.

La satisfaction des adhérents est restée la priorité des préoccupations des directions des mutuelles afin de garantir un niveau de protection de haut niveau, et en particulier dans le domaine de la santé et de l’accès aux soins.


Quels sont vos projets à court et long terme pour l'ADOM ?

L’ADOM a l’objectif de poursuivre et de renforcer son rôle de réseau privilégié des directeurs mutualistes, inter-livre et inter-codes. Dans ce cadre, elle va multiplier ses évènements, avec la reprise, dès que possible, des Matinées en présentiel mais également le maintien de webinaires qui permettent une participation élargie. Le réseau des partenaires va continuer à être élargi afin de couvrir l’ensemble des thématiques métiers des directeurs mutualistes. L’ADOM a reporté sa prochaine Journée Annuelle au 22 septembre 2021 et espère y retrouver ses membres pour des échanges pertinents et toujours conviviaux.

 

Propos recueillis par

Nora ANSELL-SALLES auprès de Bruno Huss, président de l'ADOM



Contact ADOM

Bruno HUSS

Président

Association des Directeurs des Organismes de Mutualité francophone, inter-Livres et inter-Codes

Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris

Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - CS 30555 - 13236 Marseille cedex 2

Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63

www.asso-adom.fr - president@asso-adom.fr



Quoi de neuf à l' ADOM ?

A lire prochainement sur "Mine d'infos"...

l'interview que le président de l'ADOM Bruno Huss a accordée à Nora Ansell-Salles

ZOOM 👉SUR LES DERNIÈRES ACTUS DE L' ADOM

Album photos des rencontres mutualistes 2021


https://www.asso-adom.fr/

mercredi 7 avril 2021

7 avril : Journée mondiale de la santé

JOURNEE MONDIALE DE LA SANTÉ

Cette année encore, la Journée Mondiale de la Santé est un peu particulière et il est plus que jamais essentiel de prendre soin de soi, de sa santé mais aussi des autres. Toutes les formes de soutien sont bonnes pour apporter un peu de positif dans le quotidien de chacun ...

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Créée pour marquer la création de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la Journée Mondiale de la Santé est célébrée chaque année le 7 avril. Une occasion de se mobiliser autour d’un sujet concernant le monde entier, d’autant plus particulière en cette période de pandémie.


Tanita contribue de manière positive à un mode de vie sain à travers l'analyse de la composition corporelle de tous - enfants, famille, sportifs, personnes âgées - pour rester en bonne santé. S'informer régulièrement de son état de santé global permet non seulement de savoir quelles habitudes mettre en place au quotidien mais aussi de garder cette motivation de prendre soin de soi.


Cette année, confronté à un défi sans précédent, les communautés, gouvernements et organisations de toutes les industries du monde entier doivent se mobiliser ensemble pour prévenir, détecter et combattre ce virus.


L’élan de solidarité au niveau mondial est tel qu’aujourd’hui, chaque forme de soutien a un impact majeur : porter le masque, respecter les règles de distanciation sociale, se faire tester, privilégier le télétravail, soutenir moralement et financièrement les personnes et institutions étant dans le besoin … Chaque geste compte pour sauver des vies et construire un meilleur futur, ensemble.

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Amélie
 LOCHERT

Chargée de communication RP et Réseaux Sociaux

Agence BernasCOM

Communication RP et e-RP Sport - Forme

amelie.lochert@bernascom.com

Tel : + 33 7 81 29 18 15 

www.bernascom.com


lundi 5 avril 2021

Zoom sur les perturbateurs endocriniens



LES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS, PARLONS-EN !

Dans le cadre de l'Observatoire Maison Verte, mené pour la 3ème fois avec l'IFOP, la marque pionnière de l’écologie en France depuis 30 ans, fait le point : Les Français sont-ils conscients des risques liés à leur santé au sein de leur foyer ?

 

85% des français ont déjà entendu parler des perturbateurs endocriniens, MAIS seuls 18% savent précisément de quoi il s'agit...

Le dernier observatoire mené par Maison Verte en janvier 2021 a permis d'identifier que 64% des Français s'inquiètent de leur potentielle exposition aux perturbateurs endocriniens (PE) mais qu'ils ne savent pas toujours les identifier.

Si le Bisphenol A (66%), les parabènes (64%) et le plomb (61%) sont bien identifiés par les Français comme perturbateurs endocriniens, certaines idées reçues perdurent : 15% d'entre eux pensent encore que l'acide lactique est concerné, et 6% des Français croient que le bicarbonate de soude est un PE. En revanche seuls 48% des Français en sont conscients pour le Teflon et les composants perfluorés.

Pourtant les PE sont susceptibles d'être présents partout : dans l’air, les produits alimentaires, les produits nettoyants, les vêtements, les meubles, les jouets, les cosmétiques. Il parait complexe de les éviter totalement mais il est possible de limiter les risques en adoptant quelques réflexes de prévention au quotidien (voir détails dans le communiqué en pièce jointe).

Maison Verte, marque pionnière de l'écologie en France qui propose depuis 1990 des produits d'entretien écologiques, place la santé des consommateurs au cœur de ses préoccupations et choisit d'agir en amont. La marque s’impose une liste restrictive de composants permettant d'écarter plus de 500 matières autorisées par les réglementations mais nocives pour la santé ainsi que les perturbateurs endocriniens.









jeudi 1 avril 2021

Retour sur les "Rencontres Mutualistes 2021" du 1er avril 2021

Les Rencontres mutualistes 2021, se sont déroulées ce matin au siège de la Scor 5 avenue Kleber.

Interview de Bruno Huss Président de l'ADOM

En attendant la mise en ligne du compte rendu de la Scor, voici quelques photos.

Nota: félicitations aux organisateurs et aux intervenants des tables rondes. 

Les échanges très riches se sont déroulés dans le parfait respect des gestes barrières et du port du masque.

mercredi 31 mars 2021

Rencontres mutualistes 2021

Les Rencontres mutualistes 2021 se dérouleront demain au siège de la Scor, 5  avenue Kleber Paris 16ème.

"Mine d'Infos" publiera le résumé des différentes tables rondes.

Bruno Huss, président de l'ADOM, sera en direct sur le compte Twitter @AdomMutualite à quelques minutes de sa participation à l'une des tables rondes des "Rencontres mutualistes 2021".

Bonne journée à tous

lundi 29 mars 2021

IMM : Paroles de patients et visiteurs (suite)

Avant propos 
Je tiens à remercier : Roger Motte, pour sa confiance;
le Dr Dominique Gossot & Laurence Bourgine pour la rapidité de leurs retours en une période que l'on sait très chargée.

Force et courage aux équipes de l'IMM.


👉 Regard du docteur Dominique Gossot du Département Thoracique de l'Institut du Thorax Curie-Montsouris
IMM.

Le journal de bord de Roger MOTTE,  hospitalisé dans votre service, posté en live sur les réseaux sociaux et son retour d'expérience publié sur Mine d'Infos
vous a-t-il touché ?

Le témoignage de M. Roger Motte touche son chirurgien et je le transmets à notre cadre infirmier, Mme Catherine Ramalho.
Car lorsque l’on a, comme nous tous, le “nez dans le guidon”, on finit par ne plus voir qu’il y a des choses qui fonctionnent bien (de même parfois des choses qui fonctionnent moins bien). 
Je suis reconnaissant aux patients qui prennent la peine et le temps de nous le faire savoir. Cela nous conforte dans notre démarche de qualité ou nous aide à nous améliorer quand c'est nécessaire.


👉 Laurence Bourgine
Directrice de la communication de l' IMM lève le voile sur les retours en interne.


Est-il habituel que des patients hospitalisés à l'IMM commentent leur séjour en live sur les réseaux sociaux ? 

Habituel non mais ça arrive.

Avez-vous relayé le journal de bord publié par Roger Motte sur  Instagram /Twitter ? 

Je fais toujours suivre aux équipes concernées.

Comment les équipes ont-elles réagi ? 

Elles me remercient car évidemment ça leur fait toujours plaisir et ils transmettent à toute leur équipe ensuite lorsque ça les concerne.

Un commentaire sur les bémols évoqués ?

Pour les points noirs, il faudrait enquêter car on a aussi de bons retours sur ces sujets.


Comment l'IMM, traverse t-il la crise du Coronavirus ?

Pour le Covid, nous avons accueilli au total plus de 220 patients au Printemps (1ere vague), nous en avons aussi accueilli beaucoup lors de la 2e vague et nous en avons actuellement dans deux unité Covid en hospitalisation et en réanimation. Les interventions graves et urgentes sont et ont toujours été assurées, les patients atteints de cancer sont bien sûr toujours soignés, les interventions en ambulatoires sont maintenues, notre maternité poursuit son activité mais le reste est assez perturbé évidemment.

Propos recueillis auprès du Dr Dominique Gossot et de Laurence Bourgine par Nora Ansell-Salles 


* Témoignage de Roger Motte




samedi 27 mars 2021

Sidaction 2021

IMM : paroles de patients

L’Institut mutualiste Montsouris, ce sont les patients et visiteurs qui en parlent le mieux. 
Reportage de Nora Ansell-Salle
Roger Motte / La Marche du Retour / Gaza 2018


Roger Motte, Grand Reporter  France 2, hospitalisé récemment à l’Institut mutualiste Montsouris a accepté de débriefer son séjour à l’IMM avec les lecteurs du blog " Mine d’infos".


Roger Motte, bonjour, pouvez-vous  vous présenter en quelques mots ?

Je suis Grand Reporter. Un pur autodidacte, formé sur le terrain. Je travaille depuis 1984 pour la télévision française 
Je suis un ancien Téléglobetrotter de "La Course Autour du Monde", c'est cette émission qui me met le pied à l'étrier en 1981/1982. Aujourd'hui, je travaille toujours pour les Journaux Télévisés et les Magazines de France 2.

Comment avez-vous connu l'IMM ?

C'est mon médecin pneumologue, la docteure Balavoine de l'hôpital Saint-Louis, qui m'a prévenu que je serai opéré à l'IMM. Je n'avais jamais eu affaire à l'IMM avant. 

Dans quel contexte y avez-vous été hospitalisé ?

Pour une opération  thoracique suite à la découverte par hasard d'un nodule inquiétant dans un de mes poumons.

Comment vous est venue l'idée de publier sur vos comptes (Instagram & Twitter) un journal de bord ?

Je suis journaliste depuis 40 ans, cela à toujours été mon rôle de rendre compte des évènements, de témoigner sur tous les terrains du monde, je ne pouvais que continuer (modestement et brièvement) à le faire sur ce terrain de la maladie et de l'hôpital par ce biais des RS ; cela me semblait naturel. Je voulais aussi montrer que l'on peut - qu'il faut - aborder ces situations de fragilité avec sérénité et confiance. J'espérais avec cette modeste contribution donner l'exemple du patient en confiance et préparé à accepter le diagnostic. Je pense qu'il est primordial quand la maladie vous touche de garder sa liberté et cette liberté ne s'acquiert que dans une acceptation totale et entière de ses soucis. La vérité doit toujours se regarder en face, encore un réflexe de reporter (sourire) ! C'est plus facile à dire qu'à faire, j'en conviens !

Comment ces publications ont-elles été perçues ?

J'ai eu peu de retours car je suis très peu actif sur les RS. C'était essentiellement des messages retour de sympathie et d'amitié. Et de soulagement suite aux résultats médicaux (après l'opération et la première biopsie) très positifs pour moi et même inespérés par rapport aux prévisions de départ. La famille et les amis sont toujours soulagés dans ce cas, ces publications ont aussi permis cela.

Vos commentaires étaient plutôt élogieux pour l'établissement et ses équipes... Si vous aviez eu des critiques à formuler les auriez-vous publiées de la même façon ?

Oui, absolument ! J'ai, par mon expérience personnelle, un respect immense et indéfectible pour tout le personnel soignant français, ce personnel m'a déjà sauvé la vie deux fois. Je connais aussi par mon métier les difficultés du corps médical français depuis de nombreuses années mais également sa qualité et son immense professionnalisme. Si j'avais eu des griefs ou critiques envers le personnel de l'IMM, je l'aurais dit en tentant de comprendre la situation. Par nature et par ma profession, je ne suis méfiant de personne, pour ne pas dire curieux de tout le monde, j'essaie autant que possible de rester objectif et rigoureux dans mes analyses.

Avec le recul quel est le meilleur souvenir de votre séjour ?

L'accueil des équipes, aussi bien au service thoracique du 7ème qu'au bloc opératoire. La qualité de l'anesthésie et de la prise en compte des douleurs. Le suivi pendant 48 heures derrière l'opération. J'avais une chambre avec une vue panoramique magnifique sur Paris, ça aide. (sourire) C'est important de se sentir bien "chez soi" avant une opération aussi délicate. 

Un bémol... un point à améliorer ?

Le WIFI dans les chambres ! Heureusement que j'ai peu publié finalement... (sourire) L'attente pour la visite pré-opératoire... Je verrais au rdv de contrôle s'il en est de même pour la visite post-opératoire. ;-)

Recommanderiez- vous l' IMM ?

Oui, absolument ! L'organisation y est très efficace, la propreté des services impeccable, l'attente aux guichets d'accueil très raisonnable, le personnel très professionnel et d'une grande compétence.
J'ai même aimé les sandwiches du bar (sourire). J'ai aussi apprécié d'avoir un coffre-fort et un frigidaire dans ma chambre. Les chambres individuelles ne sont pas à des tarifs modestes, il faut avoir une bonne mutuelle, j'ai été aussi privilégié de ce côté-là. Le dossier médical de sortie est très complet et explicite, mes médecins référents ont tous été avertis en temps et en heure. C'est un gage de sécurité.

Comment allez-vous aujourd'hui ?

Je vais très bien, merci ! Ma capacité pulmonaire est très bonne. Seules des douleurs récurrentes dans la poitrine me fatiguent encore un peu mais elles s'estompent lentement, on est dans les temps. Reste à connaître le bilan complet de la biopsie. Je suis optimiste.

ZOOM

SUR LE JOURNAL DE BORD de Roger MOTTE :




MICRO TROTTOIR🎙

👉 témoignage d'un chauffeur de taxi G7 qui charge régulièrement devant l' Institut mutualiste Montsouris.

Vous stationnez souvent devant l'Institut mutualiste Montsouris ?

Oui très régulièrement. 

Les clients  que vous prenez devant l’IMM parlent-ils de l'hôpital au cours du trajet ?

J'ai pour habitude de demander aux personnes  que je prends en charge devant un hôpital s'ils sont venus en consultation ou  pour visiter un proche, histoire de rompre la glace... Vous savez c'est pas toujours facile de traverser les épreuves de la vie surtout en ce moment avec le coronavirus...

Que vous disent-ils sur l'IMM ?

Je n'entends que des éloges sur cet établissement. Les clients louent particulièrement le fait que l'établissement ne prend pas de dépassements d'honoraires, qu'il est calme, que les équipes sont à l'écoute et que les locaux ne sentent pas l'hôpital. C’est important de se sentir bien.

Recommanderiez-vous cet établissement ?

Sans problème, et j'y consulterais moi- même en cas de besoin, " je touche du bois" jusqu’ici tout va bien (sourire). Cet hôpital et les retours que j’en ai par mes clients m’ inspire confiance. Savoir que l'on y a accès à de bons médecins sans payer des dépassements d'honoraires faramineux c'est réconfortant.

Des hôpitaux comme çà, me font dire qu'en France on est pas soigné en fonction de ses moyens.



EN SAVOIR PLUS SUR  👉 l' IMM

IMM | Institut Mutualiste Montsouris Hôpital ouvert à tous
"IMM | Institut Mutualiste Montsouris Hôpital ouvert à tous" https://imm.fr

A lire prochainement sur "Mine d'infos" : la réaction à chaud de l'IMM sur ce très beau témoignage de Roger MOTTE qui a fait chaud au coeur des équipes.

Le continent africain en passe de devenir un dangereux réservoir de pandémies...

Entretien avec le professeur Pierre Kipré à l'occasion de la sortie de l'ouvrage 

Afrique en perspective -

Les enjeux du futur après la crise du Covid-19" 



Bonjour Professeur Kipré, comment allez-vous ?

Très bien merci

Vous vivez depuis plusieurs mois en France, avez-vous été touché par la Covid-19 ?

Non ; Dieu merci.

Vous-êtes vous  fait testé ?

Oui ; plusieurs fois

Vous êtes vacciné ?

Non pas encore ; cela ne saurait tarder. Mon médecin et ma fille m’y encourage, surtout maintenant que les autorités nous assurent que les vaccins sont fiables.

Quel regard portez-vous sur la gestion du coronavirus  dans les pays du Nord... et plus précisément la France

Je constate une mobilisation constante des autorités dans ces pays et un effort d’information permanente du public; malheureusement, certains, notamment en France, semblent se tromper de cible pour des raisons que je ne comprends pas bien : ce ne sont pas les autorités qui sont responsables de la pandémie ; la revendication d’exercice des libertés publiques honore vos peuples ; mais, que valent les libertés si vous êtes mort ? Une minorité ne semble pas aussi engagée que la majorité dans une lutte qui doit être collective ; et ce n’est pas seulement l’affaire des dirigeants politiques.


👉 Pour en revenir à l' ouvrage  "Afrique en perspective Les enjeux du futur après la crise du Covid-19" 



Comment et dans quelle tête a germé l'idée de traiter le sujet ?

C’est le président Laurent Gbagbo qui, en mars 2020, a eu l’idée de faire réfléchir des intellectuels africains sur les risques et les conséquences de la pandémie qui s’annonçait. Nous en avons discuté et il m’a demandé de réunir des experts pour en débattre et, au besoin, publier un ouvrage qui donne le point de vue africain. 

Comment ont été choisi les auteurs du livre ?

J’ai lancé un appel à contribution en faisant jouer aussi mon réseau d’universitaires en Afrique et dans la diaspora africaine. L’effet a été immédiat et, sur la soixantaine de candidatures, j’ai retenu une liste en fonction des spécialités (épidémiologistes et sciences médicales ou pharmaceutiques, sciences de la société, philosophes, etc.), dans une approche pluridisciplinaire, et en tenant compte de la géographie du continent (des compétences dans diverses régions de l’Afrique, d’Alger au Cap)

Quelles retombées en attendez-vous ?

D’abord, exprimer l’analyse et les propositions d’Africains, du continent comme de la diaspora ; ensuite sensibiliser nos leaders d’opinion et responsables politiques à la dangerosité de ce fléau mais, au-delà, à la réalité de nos graves insuffisances que révèle la pandémie. Enfin, ouvrir un débat africain sur cette récurrence des pandémies et des malheurs de toute sorte dans notre continent. Il faut s’arrêter un jour pour faire autre chose ; d’où le titre du premier ouvrage (Oser les ruptures) publié sous ma direction en 2020, après des jours et des semaines de débats entre nous. Le livre qui vient de sortir (L’Afrique en perspective) est, sous ma direction et celle d’un collègue Cap-verdien, José Brito, la conclusion de ce travail en terme de scénarios du futur et de plan stratégique pour l’Afrique à l’horizon 2063 (les 100 de l’Union africaine). Nous espérons être entendus ou au moins ouvrir partout un débat citoyen ; car c’est l’affaire de tous les Africains.

Le secret espoir de ses auteurs n'est-il pas de faire bouger les lignes et les mentalités des populations concernées bien sûr, mais aussi et surtout des décideurs et responsables politiques africains ?

Oui ; et ce n’est pas un secret ; nous le disons clairement dans les deux ouvrages.

Avez-vous déjà reçu des réactions de leur part ?

Pas directement ; mais ce qui nous importe c’est que chacun en tire profit et que cela commence à apparaître dans les politiques publiques. Sous cet angle, il est trop tôt pour se prononcer.

Pour faire un zoom sur la population africaine il semble qu'il y ait un "hic"! Certains observateurs  soulignent que la population des pays africains est jeune, que les symptômes du Coronavirus se traduisent chez elle  par uniquement 2 à 3 jours de fièvre (souvent confondus avec une crise de palu) qui favorise la propagation de la maladie, d'autant que bien souvent le port du masque et le respect des gestes barrières ( régulièrement rappeler par sms) soient peu respectés...

Oui, vous avez raison ; surtout que certains gouvernements n’ont pas des statistiques fiables. La 2è vague que nous vivons en ce moment montre une forte augmentation des contaminations et des décès, même si l’Afrique continue d’avoir moins de morts que les autres continents.

L' Afrique qui ne dispose pas suffisamment de doses de vaccins, ne risque-t-elle pas de constituer un dangereux réservoir ?

Le fond du problème est plus important que cela, au-delà de la nécessité d’avoir des vaccins déjà réalisés ailleurs, Le problème est celui de voir les pays africains se doter de structures de recherches autonomes par mutualisation de leurs moyens pour affronter certaines maladies graves qu’on ne voit parfois que chez nous. Or nous restons des consommateurs et l’Afrique importe plus de 90% des médicaments pour se soigner. Cette médecine coûte chère et donc les populations démunies se tournent vers des médecines traditionnelles pas toujours efficaces. Il faut se donner les moyens d’aller loin avec les moyens modernes ; surtout que beaucoup d’experts africains ont été formés à ces méthodes modernes dans nos universités. IL faut que l’Afrique réalise un saut scientifique et technologique réel au lieu de toujours copier les autres ou attendre tout des autres.  Sinon, notre continent risque d’être un dangereux réservoir de toutes les pandémies. Merci, madame, de m’avoir reçu.

Une interview de

Nora Ansell-Salles


« L’AFRIQUE EN PERSPECTIVE – LES ENJEUX DU FUTUR 
APRES LA CRISE DU COVID-19 » 
En Résumé...


La pandémie de coronavirus que vit le monde aujourd’hui a mis à nu, en Afrique, bien des faiblesses de ce continent. La lutte contre ce fléau est l’occasion, pour les Africains, d’emprunter de nouvelles voies, d’imaginer de nouveaux modèles et de les mettre en œuvre si nous voulons rompre avec la situation actuelle du continent ; bref, nous proposons de construire une Afrique nouvelle, maîtresse de son destin d’ici au moins le centenaire de l’Union Africaine en 2 063. Le post-Covid ne doit pas être l’ante-Covid parce que les connaissances qui nous ont portés au cours des derniers siècles et qui ont plongé le monde dans la crise actuelle, ne peuvent pas être les mêmes pour nous en sortir et nous mener vers un meilleur avenir.
C’est dans cet esprit que ce livre a été préparé et publié par une équipe d’experts africains, conduite par José Brito (ingénieur) et Pierre Kipré (Professeur). Il prolonge un précédent ouvrage publié en 2020 et intitulé Oser les ruptures — L’Afrique de l’après-covid 19 sous la direction du Professeur Pierre Kipré.
Les auteurs se sont placés dans une perspective prospective pour
 Identifier et analyser les différents systèmes qu’est le système économique, le système sanitaire, le système socioculturel, le système éducatif et d’innovation, nos écosystèmes et notre environnement naturel, notre position dans la mondialisation ;
 Dégager les potentielles évolutions positives et négatives de chacun de ces systèmes ;
 Proposer des scénarios du futur possible ; ici nous en proposons cinq (Scénario 1 « L’an 2065, horizon si jamais il en fut » ; scénario 2 « Le lion a perdu ses dents » ; scénario 3 « Le méchant sorcier » ; scénario 4 « L’aigle africain » ; scénario 5 « La montagne a accouché d’une souris ») ;
 Mettre en lumière ce qui nous paraît être les principales questions stratégiques dont la résolution constitue le gage du meilleur avenir possible dans la perspective du centenaire de l’Union africaine. Ces questions sont les suivantes : Quel rôle pour les Gouvernements dans une Afrique Post Covid ? Quels mécanismes démocratiques pour atténuer et corriger les disparités qui sont aussi des injustices et qui nuisent au progrès collectif ? Comment promouvoir en toute responsabilité, la conscience sanitaire des populations ? Quelles conditions créer pour réussir le saut technologique ? Comment assurer la promotion collective en privilégiant non plus le profit mais l’humain et les équilibres entre l’homme et la nature ? Comment construire en Afrique une économie socialement et humainement responsable ? Comment privilégier la complémentarité des économies africaines au lieu de la compétition et stimuler sensiblement le commerce intra-africain et l’unité africaine ? Quels sont les engagements que doit prendre l'Union Africaine pour entreprendre les ruptures avec la position de sous-système médiocre de la mondialisation qui est celle du continent et changer ainsi le rôle de l'Afrique dans la Gouvernance mondiale ?
Il importe que ces idées soient le plus largement débattues à travers le continent et dans les diasporas africaines ; qu’elles soient prises en compte par tous ceux à qui importe le meilleur avenir de notre Afrique en organisant au plus
vite « une grande transition » dès aujourd’hui. Pour notre part, nous y croyons. Et vous, mon frère, ma sœur ?

jeudi 25 mars 2021

C’est à lire : analyse particulièrement intéressante de Terra nova sur la pandémie de covid-19

La lutte contre la pandémie de Covid-19 a largement rouvert le débat sur les dépenses de santé. Au-delà même des urgences actuelles qui justifient des dépenses nouvelles mais sans doute temporaires, c’est la manière même de conduire le débat public sur le niveau d’engagement collectif en faveur de la santé qui doit se transformer.
Depuis 1996, le montant des dépenses de santé est régulé au travers de l’Objectif national de dépense d’assurance maladie (ONDAM). Proposé par le gouvernement, celui-ci fait l’objet d’un débat au Parlement dans le cadre de la loi de financement de la sécurité sociale.
Au cours de la décennie 2010, l’hôpital public, dans le cadre de ce mode de régulation, s’est vu allouer des ressources plus en fonction des exigences de la politique des finances publiques qu’en considérant les moyens nécessaires pour délivrer des soins de qualité. Les tensions liées à cette politique restrictive sont apparues avant la première vague COVID. Mais après cette crise, le rapport de forces politique ayant profondément changé, les besoins du système de soins, du moins ceux des établissements de santé, ont dû être réappréciés. En rupture, avec la décennie précédente, le gouvernement a augmenté fortement les moyens consacrés aux établissements de santé à l’occasion du « Ségur de la santé ». 
Ainsi, il a fallu une crise sanitaire pour que soient révélés les limites du mode actuel de régulation des dépenses de santé. Effectivement, la manière dont est actuellement structuré le débat autour des dépenses de santé est profondément inadapté tant d’ailleurs pour les établissements de santé que pour les soins ambulatoires. Centré sur la valorisation des efforts de maitrise des dépenses, il est organisé autour de sujet annexes mais ne prend pas en compte les réalités concrètes qui comptent vraiment : la demande de soins et son évolution, les effectifs mobilisés pour délivrer les soins, leurs conditions de travail et leur niveau de rémunération, le niveau des investissements dans le système de santé. A partir de ce constat, la note esquisse des propositions pour rénover le cadre du débat sur les ressources à allouer à notre système de soins. Télécharger le  (PDF, 

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