MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
vendredi 24 février 2017
Conférence grand public du Dr WILLEM : Préserver naturellement sa santé face aux différentes pollutions - Jeudi 13 avril 2017 de 19h à 22h
Jeudi 13 avril 2017 de 19h à 22h
Conférence publique du Dr WILLEM : Préserver naturellement
sa santé face aux différentes pollutions
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Inauguration du 3e salon de coiffure BIOCOIFF' boulevard Henri IV, le lundi 27 Février
Ouverture d'un nouveau salon de coiffure BIOCOIFF
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Nouveauté mars - Cordyceps BIMONT, un champignon surdoué pour l'énergie, le bien-être cardiovasculaire, la libido...
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« La fin de vie, et si on en parlait ? »
« La fin de vie, et si on en parlait ? »
Au début de cette semaine, le ministère de la Santé et le CNSPFV (Centre
national soins palliatifs et fin de vie) ont lancé une campagne nationale sur
la fin de vie et les dispositifs légaux s’y référant. Cette campagne de
sensibilisation « La fin de vie, et si on en parlait ? » utilise la télévision,
la presse et Internet. Elle propose aussi une vidéo et des affiches diffusées
jusqu’au 20 mars sur différents médias afin de toucher un maximum de
personnes.Son intention est claire, inciter les....
Mars bleu
Chaque année au mois de mars, l’Institut national du cancer, le
ministère des Affaires sociales et de la Santé, l’Assurance maladie,
l’Institut de veille sanitaire et l’ensemble des acteurs institutionnels
et associatifs se mobilisent contre le cancer colorectal en organisant
une campagne de sensibilisation afin de favoriser le dépistage.
Responsable de 17 700 décès par an, le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus meurtrier en France, derrière celui du poumon. C’est aussi le troisième le plus fréquent, derrière celui de la prostate et du sein. Le cancer colorectal tue 5 fois plus que les accidents de la route.
Pourquoi se faire dépister ?
9 cancers colorectaux sur 10 détectés précocement peuvent être guéris. C’est aujourd’hui un cancer dit « évitable ». Comme 95 % des cas de cancer colorectal surviennent après 50 ans, le dépistage organisé concerne les femmes et les hommes de 50 à 74 ans, ne présentant pas de facteurs de risque particuliers (antécédent familial ou personnel de cancer colorectal ou de polype adénomateux, maladie inflammatoire chronique de l’intestin…). L'objectif du dépistage, qui peut concerner 17 millionsde personnes, est de diminuer de 15 à 20% la mortalité liée à cette maladie.
Comment se faire dépister ?
Depuis 2015, le programme national de dépistage repose sur le test immunologique. C’est un test simple et rapide, à réaliser chez soi et pris en charge à 100% sans avance de frais.
Les personnes âgées de 50 à 74 ans reçoivent un courrier de l’Assurance maladie les invitant à retirer le test auprès de leur médecin généraliste. Ce dépistage doit être effectué tous les deux ans.
Comment pratiquer le test : le mode d’emploi du test en vidéo
S'informer :
- Vos questions sur le dépistage
- Utile! Consultez le calendrier des examens de prévention pour entretenir sa santé tout au long de sa vie
Colon Days - du 7 au 14 mars 2017
Pendant Mars Bleu, le CNP-HGE (Conseil National Professionnel d’Hépato-Gastroentérologie) organisera sa 9e opération de prévention du cancer du côlon. Une semaine pour sensibiliser l’opinion et inciter au dépistage précoce : 1 000 gastro-entérologues vous informent gratuitement.
Rendez-vous sur colon-days.fr pour repérer les hépato-gastroentérologues participants et les actions mises en place.
Responsable de 17 700 décès par an, le cancer colorectal est le deuxième cancer le plus meurtrier en France, derrière celui du poumon. C’est aussi le troisième le plus fréquent, derrière celui de la prostate et du sein. Le cancer colorectal tue 5 fois plus que les accidents de la route.
Pourquoi se faire dépister ?
9 cancers colorectaux sur 10 détectés précocement peuvent être guéris. C’est aujourd’hui un cancer dit « évitable ». Comme 95 % des cas de cancer colorectal surviennent après 50 ans, le dépistage organisé concerne les femmes et les hommes de 50 à 74 ans, ne présentant pas de facteurs de risque particuliers (antécédent familial ou personnel de cancer colorectal ou de polype adénomateux, maladie inflammatoire chronique de l’intestin…). L'objectif du dépistage, qui peut concerner 17 millionsde personnes, est de diminuer de 15 à 20% la mortalité liée à cette maladie.
Comment se faire dépister ?
Depuis 2015, le programme national de dépistage repose sur le test immunologique. C’est un test simple et rapide, à réaliser chez soi et pris en charge à 100% sans avance de frais.
Les personnes âgées de 50 à 74 ans reçoivent un courrier de l’Assurance maladie les invitant à retirer le test auprès de leur médecin généraliste. Ce dépistage doit être effectué tous les deux ans.
Comment pratiquer le test : le mode d’emploi du test en vidéo
S'informer :
- Vos questions sur le dépistage
- Utile! Consultez le calendrier des examens de prévention pour entretenir sa santé tout au long de sa vie
Colon Days - du 7 au 14 mars 2017
Pendant Mars Bleu, le CNP-HGE (Conseil National Professionnel d’Hépato-Gastroentérologie) organisera sa 9e opération de prévention du cancer du côlon. Une semaine pour sensibiliser l’opinion et inciter au dépistage précoce : 1 000 gastro-entérologues vous informent gratuitement.
Rendez-vous sur colon-days.fr pour repérer les hépato-gastroentérologues participants et les actions mises en place.
Jeunes adultes : revaccinez-vous contre la coqueluche !
Cette recommandation est motivée à la fois par le succès et les limites du vaccin anti-coquelucheux. La coqueluche est une maladie extrêmement contagieuse. De plus, elle est particulièrement dangereuse chez les nourrissons et les jeunes enfants (1.000 décès par an avant l’apparition de la vaccination).
Depuis 2005, l’essor de la vaccination contre la coqueluche chez les jeunes enfants a permis de réduire presque totalement la mortalité des nourrissons liée à cette maladie infantile. Mais ce succès a eu une conséquence : les enfants vaccinés ont remplacé l’immunité acquise lors d’une infection par l’immunité acquise avec la vaccination. Or, l’immunité vaccinale a une limite : elle faiblit quand on arrive à l’âge adulte, ce qui expose les adultes vaccinés dans leur enfance à contracter la coqueluche par contamination avec une personne infectée. La maladie est alors bénigne et discrète, mais reste extrêmement contagieuse.
Ainsi aujourd’hui, grâce et à cause du succès de la vaccination, de petites épidémies de coqueluche sont alimentées par les adultes. Le problème est qu’ils peuvent transmettre la coqueluche aux nourrissons les plus jeunes et les plus fragiles, qui n’ont pas encore atteint l’âge d’être vaccinés, comme aux personnes fragilisées par une grossesse ou un déficit immunitaire (greffés, Sida, etc.).
Pour protéger leur entourage, il est donc vivement recommandé aux adultes jeunes de se revacciner contre la coqueluche. N’hésitez pas à en parler avec votre médecin ou votre pharmacien.
Télécharger l'intégralité du Dr MOPS
Sources: Open Rome, Institut Pasteur, Ministère de la Santé.
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