Nora ANSELL-SALLES

lundi 28 janvier 2019

Retenue à la source : attention danger !

Teaser - Run In Mont Saint-Michel 2019

Webinar Harmonie Mutuelle - Protection des petits et grands

La MASF intègre la Mutuelle LMP

Les bons conseils pour affronter l'hiver - Mutuelle LMP

Reste calme boulette (2017)

Bravo

Découvrez le Tweet de @IMMontsouris : https://twitter.com/IMMontsouris/status/1088022855047094272?s=09

Henry Chapier, dernier dandy des temps modernes - Moustique.be

Henry Chapier, dernier dandy des temps modernes - Moustique.be: Henry Chapier s'est endormi pour la dernière fois dans la nuit de samedi à dimanche. Le créateur du 'Divan' s'en est allé à 85 ans.

Michel Legrand - Les moulins de mon coeur (1976)

Lomé abrite la 2e conférence de l'AIM

28 mars 2019 : Ateliers du dialogue social


Ateliers du dialogue social de proximité


Jeudi 28 mars 


de 9 h à 12h30


Au cours de 4 ateliers, représentants des salariés et DRH partagent leurs approches des conditions d'un dialogue social plus proche du terrain.


A la Maison des Associations de Solidarité
10 rue des terres au curé - 75 013 Paris

Participation gratuite - Inscrivez-vous

9h-10h30

Atelier 1 - Expression collective des salariés : quelle place pour les représentants du personnel et les managers de l'entreprise dans le cadre des approches participatives et des référendums ?

Partenaire expert : Alteo
L’approche participative dans l’entreprise, sous toutes ses formes, se développe. Au-delà de la possibilité d’organiser un référendum, comment concrétiser ce souhait de donner plus de place à l’écoute et à l’expression collective des salariés ?

Gregory Lewandowski - Délégué syndical CGT Thales


Adel Rachedi - Délégué syndical CAT à la MAIF


Sébastien Crozier - Président CFE-CGC Orange


Gabriel Artero - Président CFE-CGC Metallurgie


Atelier 2 - Quel accompagnement individuel des salariés en recherche de nouveaux horizons professionnels ou en difficultés ?

Partenaire expert : Oasys Consultants
Face aux difficultés individuelles du personnel qui ressurgissent sur le lieu de travail, comment accompagner des salariés, en recherche d’assistance pour leur quotidien ou pour leur avenir professionnel ?

Claude Monnier, - DRH de Sony Music


Jean-Paul Vouiller - Délégué syndical CFTC HPE


Frédéric Buonafortuna, Secrétaire général adjoint FO, Groupe Saur


Pause café 30 mn


11h-12h30

Atelier 3 - Quels outils et moyens humains pour décliner les accords sur le terrain et suivre leurs effets ?

Partenaire expert : Stimulus

Quand des accords sont signés, comment s’assurer qu’ils seront bien mis en œuvre et par quels moyens ? Comment se partagent les responsabilités de l’employeur, des managers, des représentants syndicaux ?

Bernard Salengro - Expert santé au travail à la CFE-CGC expert


Christine Fourage - Secrétaire générale SNPEFP CGT


Xavier Burot - Secrétaire fédéral CGT des Sociétés d'Etude


Atelier 4 - Quels dispositifs officiels et accords d'entreprise valorisent aujourd'hui les compétences des acteurs d'un dialogue social de proximité : représentant du personnel et manager ?

Partenaire expert : Sextant expertise

Plusieurs voies sont possibles pour permettre à un salarié de se reconvertir, mais comment valoriser les compétences acquises dans le cadre des relations sociales au quotidien dans l’entreprise ? Des moyens et des dispositifs existent, ceux qui en ont bénéficié viennent témoigner.

Catherine Pinchaut, secrétaire nationale CFDT,


Philippe Detrez, conseiller confédéral CGT,


Jean-Christophe Sciberras, DRH de Solvay,


Wilfried Silbert - chargé de mission à la DGEFP, sur la certification des représentants du personnel et des mandataires syndicaux

Formulaire d'inscription

Une matinée organisée et animée par


 

La "chose" mutualiste connue des Français...



http://www.miroirsocial.com/actualite/16765/le-mutualisme-finalement-pas-si-meconnu-des-fran-ais

Alimentation et santé..



VÉGÉTARIEN, VÉGAN OU FLEXITARIEN ?
CE QUI EST BON POUR LA SANTÉ
DU Dr. ÉDOUARD PÉLISSIER

| ÉDITIONS ODILE JACOB | 


Une étude publiée en octobre dans la revue scientifique Nature préconise le régime flexitarien pour lutter contre le réchauffement climatique. 

Lire l'article du Monde : "Quel régime alimentaire devons-nous adopter pour sauver le climat ?"


Le docteur Édouard Pélissier s’attache à comprendre en toute objectivité quel modèle alimentaire serait le plus souhaitable à la fois pour nous, et pour la planète. 
Le docteur Édouard Pelissier prône le régime flexitarien. 



Revoir nos habitudes alimentaires est d’une importance cruciale si nous voulons réduire notre impact sur la planète. Faut-il passer à une alimentation basée uniquement sur le végétal ? Faut-il ne plus manger de viande ? 

On pourrait penser qu’en remplaçant les calories et les protéines de la viande ou du lait par celles des céréales ou du soja, on divisera l’impact écologique par dix, mais est-ce aussi simple que cela ? 

EN LIBRAIRIE


Le docteur Édouard Pélissier est chirurgien en cancérologie, membre de l’Académie des sciences de New York et auteur d’une centaine de publications dans des revues médicales nationales ou internationales. Il est l’auteur chez Odile Jacob, de plusieurs ouvrages :La Brioche tue plus que le cholestérol(2012) et La Vérité sur les sucres et les édulcorants (2013),Les Recettes scientifiques de la longévité heureuse (2015).CONTACT PRESSE : 

Anne Vaudoyer 06 63 04 00 62 | anne@anneetarnaud.com
Laura Invernon 06 58 05 69 62 | laura@anneetarnaud.comDÉCOUVRIR LE LIVREFwww.anneetarnaud.com

dimanche 27 janvier 2019

samedi 26 janvier 2019

RDV sur Instagram

Je suis sur Instagram sous le nom @nansellsalles. Installez l’application pour suivre mes photos et vidéos. https://www.instagram.com/invites/contact/?utm_medium=user_system_sheet&utm_campaign=default.ig_ci_landing_site_0621.control&utm_source=ig_contact_invite&utm_content=1fcqq9k

1er RDV de janvier

Découvrez le Tweet de @MutElles : https://twitter.com/MutElles/status/1084849220753022976?s=09

Prochain RDV MutElles

Découvrez le Tweet de @MutElles : https://twitter.com/MutElles/status/1088430140634353664?s=09
Le besoin d’expression a surpris des maires. Les Parisiens veulent plus de justice fiscale et sociale, la baisse du train de vie de l’État… y compris dans la capitale. https://www.ouest-france.fr/politique/grand-debat-national/des-cahiers-de-doleances-bien-remplis-aussi-paris-6193527

Sur l'agenda de l'ADOM au 25 février 2019


Cher collègue,
 
Nous avons le plaisir de vous convier, avec notre partenaire l’IPSE (Institut de la Protection Sociale Européenne), à la 2ème Matinée ADOM 2019, qui se tiendra le lundi 25 février au 255 rue de Vaugirard (Salle de conférence) -75015 Paris, à partir de 9h30sur le thème de : «Mutuelles et Europe» (cf. programme ci-joint).
 
N’hésitez à vous y inscrire rapidement à : contact@asso-adom.fr . Le nombre de place étant limité.
 
En attendant le plaisir de vous retrouver à l’ADOM, nous vous adressons nos meilleures salutations mutualistes.

Bruno HUSS
Président
Association des Directeurs des Organismes de Mutualitéfrancophone, inter-Livres et inter-Codes
Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris
Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - CS 30555 - 13236 Marseille cedex 2
Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63
www.asso-adom.fr -president@asso-adom.fr
   @AdomMutualite - https://www.linkedin.com/groups/8567164www.viadeo.com/p/002o79d7dzvqcjw -https://www.instagram.com/adom_mutualite/
 
   
 

vendredi 25 janvier 2019

Merci à tous

Le Blog Mine d'infos vient de passer la barre des 900 000 VUES.

Un blog n'est rien sans ses lecteurs. 
Merci à tous!

Pour information l'info la plus lue cette semaine donne la parole à 12 intellectuels signataires d'une lettre ouverte dénonçant un déni de justice.

Rappel: "Mine d'infos" publie les actualités, témoignages, événements de ses lecteurs (attachés de presse, communiquants, ou simples citoyens).

Les contenus n'engagent que les auteurs et sont sous leur seule responsabilité.


Si vous aussi souhaitez faire publier gracieusement un post, contactez la rédaction de Mine d'infos:
Pressentinelle2@gmail.com
Bon week-end à tous


Discours d'Agnès Buzyn prononcé le 24 janvier 2019



 

SEUL LE PRONONCE FAIT FOI

 

 

Discours d’Agnès Buzyn

Jeudi 24 janvier 2019

Congrès de l’Encéphale

 

Mesdames, Messieurs les professionnels de santé,
Mesdames et messieurs,
 
Je tiens avant toute chose à vous adresser mes vœux les plus chaleureux pour cette année 2019.
 
Cette année s’annonce intense à bien des égards et je pense évidemment à ce grand moment démocratique que doit être le débat national et les suites qui en seront données.
 
Vous avez placé ce 17èmecongrès de l’Encéphale sous le prisme de la confrontation de votre discipline, la psychiatrie, à l’épreuve du réel.
 
Nous faisons depuis quelques semaines l’épreuve du réel, mesurant dans des proportions que nous n’avions peut-être pas suffisamment anticipées, le malaise de la société tout entière. Ce malaise est grand et il faut l’entendre.
 
Les psychiatres n’ont pas découvert ce malaise en 2018. Pour tout vous dire, moi non plus, mais peut-être que les remèdes que nous avions commencé à administrer étaient sinon trop lents, à tout le moins trop tardifs.
 
C’est une approche soucieuse de l’expérience vécue des professionnels de santé et des patients que j’ai souhaité mettre en œuvre depuis maintenant 18 mois.
 
Dès juin 2018, le Ministère des solidarités et de la santé s’est ainsi engagé dans une feuille de route pour la santé mentale et la psychiatrie, en cohérence avec les objectifs de la stratégie nationale de santé, pour répondre aux défis de l’amélioration de l’accès aux soins et de l’accompagnement des personnes vivant avec un trouble psychique.
 
J’ai dit, dès ma prise de fonction, que la psychiatrie était le parent pauvre de notre système de santé. La lucidité n’étant pas une fin en soi, nous avons agi, avec méthode et détermination.
 
Pour crédibiliser ma feuille de route, je souhaite aujourd’hui prendre formellement quatre engagements, en réponse aux craintes qui ont pu être formulées :
 
-D’abord, les moyens dédiés à la psychiatrie seront pérennisés ;
 
-Ensuite, l’offre de pédopsychiatrie sera confortée dans tous les départements manifestement sous-dotés et le renforcement de l’encadrement hospitalo-universitaire sera poursuivi ;
 
-Troisième engagement, une politique ambitieuse de prévention, de lutte contre la stigmatisation et de développement de parcours de soins coordonnés embarquant les professionnels de la ville et de l’hôpital sera déployée et soutenue;
 
-Et enfin le pilotage de cette politique au sein de mon ministère sera incarné.
Je vais revenir dans le détail sur chacun de ces engagements.
Comme je m’y étais engagée en juin dernier, j’ai réuni une nouvelle fois ce matin le comité stratégique de la santé mentale et de la psychiatrie pour dresser un premier bilan d’étape de la feuille de route santé mentale et psychiatrie, et pour dessiner ses perspectives dans les mois à venir.
 
Force est de constater que depuis ma venue l’an dernier ici-même, nous avons avancé.
 
Aujourd’hui, la quasi-totalité des trente-sept actions de la feuille de route, est engagée ou programmée.
D’abord, celles relatives à l’axe 1, sur la promotion du bien-être mental, la prévention et le repérage de la souffrance psychique, des troubles psychiques et du suicide ; ces actions ont avancé de façon notable et j’en citerai trois sur les sept qui sont programmées.
 
L’expérimentation « Écout'Émoi » est déjà lancée dans 3 régions : en Ile-de-France, dans le Grand Est et dans les Pays de la Loire. Elle organise le repérage et la prise en charge de la souffrance psychique chez les jeunes de 11 à 21 ans et elle autorise un forfait de 12 séances financées chez un psychologue libéral.
 
Ensuite, le projet « premiers secours en santé mentale pour les étudiants » se poursuit, en lien avec le ministère de l’enseignement supérieur, 4 ARS et 4 universités.
 
Il s’adresse aux étudiants dans une logique d’aide par les pairs, via une formation sur le modèle des « gestes qui sauvent ». La première formation test aura lieu à Clermont-Ferrand au premier trimestre 2019.
 
Au nombre des actions de prévention du suicide, le déploiement par les ARS du dispositif VigilanS de recontact des suicidants, se poursuit. 
 
J’ai annoncé sa généralisation au congrès de l’Encéphale, il y a tout juste un an. Il est aujourd’hui déployé dans 5 régions. Il le sera dans 12 régions fin 2019, et généralisé en 2020. 
 
Enfin, pour donner aux questions de santé mentale l’ampleur qu’elles méritent, je souhaite que la France organise en 2020 le « Sommet mondial sur la santé mentale ».
 
Après Londres en 2018 et Amsterdam en 2019, et dans le cadre de l’Alliance des défenseurs de la santé mentale et du bien-être, je plaiderai auprès de l’OMS pour que Paris accueille ce sommet ministériel.
 
S’agissant de l’axe 2intitulé « garantir des parcours de soins coordonnés et soutenus par une offre en psychiatrie accessible, diversifiée et de qualité », axe composé de 26 actions, il fait lui aussi l’objet d’un suivi attentif.
 
Je sais les attentes, je sais aussi les impatiences légitimes que suscitent la place, les missions et les moyens de la psychiatrie.
 
Cette attente et ces impatiences, je les ai entendues et c’est pourquoi des actions de fond, tant sur l’organisation que sur le financement, ont été mises en œuvre en 2018 et vont se poursuivre en 2019 de manière substantielle.
 
Avec son organisation en secteurs, la psychiatrie française a été précurseur de la territorialisation des soins et de la responsabilité populationnelle.
 
Elle doit aujourd’hui mettre en place une politique ambitieuse de prévention, lutter contre la stigmatisation et garantir des parcours de soins coordonnés et soutenus par une offre accessible, diversifiée et de qualité.
 
Je souhaite donc lancer, dès cette année, une mission sur les Centres Médico-Psychologiques pour valoriser et conforter leur place. Les formes de cette mission seront arrêtées très prochainement. Je souhaite également soutenir l’ensemble des démarches qui seront de nature à  consolider le rôle du médecin généraliste, des professionnels de santé de proximité et leur collaboration avec l’hôpital.
 
Ces travaux devront aussi permettre, avec les contributions attendues en 2019 sur les parcours des patients, enfants et adultes, de renforcer et de rénover la place de l’ambulatoire dans ces parcours.
 
Ce n’est qu’à ces conditions que nous pourrons aborder la question des délais d’accès aux professionnels des secteurs de la psychiatrie, non pas parce que nous serions condamnés à accepter le poids excessif des indicateurs, mais parce que la qualité d’une organisation peut être éclairée par l’évolution dans le temps de cet indicateur.
 
Telle est je le sais notre ambition partagée. Votre coopération, celle de toutes les sensibilités que vous représentez et la mobilisation active et constructive du comité de pilotage de la psychiatrie et du comité stratégique, sont indispensables.
 
Je mentionnerai maintenant quelques actions,déjà particulièrement avancées.
 
D’abord, les 10 dispositifs de prise en charge du psycho traumatisme et le Centre national de ressources et de résilience demandés par le Président de la République, sont désormais désignés à la suite d’un appel à projet national et se mettent en place.Leur financement est aujourd’hui engagé à hauteur de 400.000 euros par centre retenu.
 
Ensuite, l’instruction sur l’offre de soins de réhabilitation psycho-sociale, dont je souhaite la généralisation à tous les territoires, est aujourd’hui en cours de diffusion. Je sais l’implication du comité de pilotage de la psychiatrie, qui se reflète tout particulièrement dans ces travaux préparatoires.
 
L’objectif est de garantir aux personnes vivant avec des troubles mentaux invalidants, ou qui connaissent des limitations des fonctions et des habiletés sociales en raison de leur pathologie, un accès à ces nouveaux outils thérapeutiques porteurs de sens et d’espoir pour les patients et leurs proches.
 
Pour garantir le parcours global attendu par les patients et les familles, les projets territoriaux de santé mentale sont en cours de déploiement, et un bilan sera dressé à l’horizon du mois de juillet 2020.
 
Je connais votre engagement dans cette démarche, tant au niveau national par les services du ministère que régional et territorial.
 
Je suis vous le savez très attachée à l’amélioration de la prise en charge des enfants et adolescents, de façon précoce et coordonnée.
 
A ce titre, je me félicite de l’adoption, dans la loi de financement de la sécurité sociale 2019, de l’article permettant le déploiement des plateformes d’orientation et de coordination et la création du forfait précoce pour les jeunes enfants présentant des troubles du neuro-développement, prévues par la stratégie autisme.
 
Les actions visant à renforcer la place de la pédopsychiatrie, améliorer le parcours de soins de l’enfant et de l’adolescent et développer la formation et la rechercheseront poursuivies en 2019.
 
Les questions d’attractivité et de démographie des postes médicaux, notamment en pédopsychiatrie et leurs incidences pour tous les professionnels du secteur, sont essentielles.
 
10 postes de chefs de clinique en pédopsychiatrie ont d’ores et déjà été créés en 2018.
 
En 2019, 10 postes supplémentaires seront créés. Au total, 20 postes seront créés avec un pool de postes de chefs de clinique passant de 48 à 68 postes en deux années.
 
Par ailleurs, je nommerai cette année 6 hospitalo-universitaires supplémentaires en pédopsychiatrie. Ces postes créés représentent une  augmentation de plus de 25% du nombre de HU titulaires depuis ma prise de fonction, passant de 36 à 47.
 
Je souhaite également que les capacités d’accueil de pédopsychiatrie soient augmentées : la priorité sera mise sur les départements qui ont une capacité faible ou inexistante.
 
Enfin, dès la rentrée de septembre 2019, les premiers infirmiers en pratiques avancées dans le champ de la psychiatrie commenceront leur formation.
 
Parallèlement, nous avançons sur l’amélioration de la qualité des pratiques.
 
Un groupe de travail du COPIL psychiatrie a permis de définir un plan de réduction du recours aux soins sans consentement et à la contention que je salue. Je connais déjà votre engagement en la matière, qui doit être salué.
 
Il se poursuit aujourd’hui par des missions d’expertise et de soutien, à la demande des acteurs territoriaux, notamment des présidents de CME.
 
Une première vague de séminaires régionaux a ainsi été réalisée en 2018 en régions Nouvelle Aquitaine, Normandie, Grand-Est, Hauts-de-France, Occitanie et PACA.
 
Une seconde vague d’accompagnement est prévue en 2019 en régions Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne et Pays-de-Loire.
 
La prise en charge des personnes détenues fait quant à elle l’objet d’une stratégie partagée avec le ministère de la justice.
 
Les préconisations que la mission conjointe de l’IGAS et de l’Inspection générale de la Justice vient de remettre, permettront de préciser les besoins de la deuxième tranche d’UHSA.
 
Au-delà des pratiques, je souhaite développer la recherche en psychiatrie et en pédopsychiatrie.
 
Malgré la grande qualité des travaux réalisés, la structuration des acteurs de la recherche doit être renforcée, en lien avec les dispositifs existants.
 
A cette fin, un groupe de travail placé sous l’égide du Ministère de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation et du Ministère des solidarités et de la santé a été initié.
 
Il doit contribuer à faire de la psychiatrie et de la santé mentale un champ privilégié de recherche. 
 
S’agissant de l’axe 3 de la feuille de route intitulé « améliorer les conditions de vie et d’inclusion sociale et la citoyenneté des personnes en situation de handicap psychique » :
 
L’objectif des soins continus et des accompagnements pour les personnes souffrant de troubles psychiques graves et persistants, est de leur garantir une vie de qualité et une participation sociale et citoyenne la plus accomplie possible.
 
Des actions y contribuent et concernent notamment la pair-aidance ; l’emploi ; le logement ; le recours effectif aux soins et aux aides pour tous.
 
La généralisation de l’emploi accompagné à l’ensemble des territoires continuera d’être soutenue.
 
Elle constitue aussi une des mesures de la stratégie nationale pour l’autisme au sein des troubles du neuro-développement.
 
Nous doublerons les crédits dédiés, portant le financement de l’Etat de 5 M€ en 2017 et en 2018, à 7 M€ en 2019.
 
L’offre de logement pour les personnes ayant des troubles psychiques est également en cours de développement, conformément aux engagements que nous avions pris.
 
Ainsi, depuis la première réunion du Comité stratégique de la santé mentale et de la psychiatrie en juin dernier, un cadre juridique clair permettant le développement de l’habitat inclusif pour les personnes handicapées et les personnes âgées a été inscrit dans la loi ELAN du 23 novembre 2018.
 
Il s’agit là d’une troisième voie entre l’hébergement en établissement et le logement autonome.
 
Ce mode d’habitation regroupé est assorti d’un projet de vie sociale et partagée. Il sera financé par un forfait « habitat inclusif » créé par la loi ELAN. Ce forfait, porté à 15 M€ pour 2019, devra permettre de financer environ 250 habitats inclusifs. 
 
Pour les plus précaires, la Stratégie quinquennale pour le logement d’abord et la lutte contre le sans-abrisme, complète cette offre de logement.
 
Notre objectif est de créer 10.000 places de pensions de familles, dont 1/3 de résidences accueil dédiées à des personnes en situation de précarité ayant des troubles psychiques, au lieu des 7500 places initialement prévues par le plan de relance 2017.
 
S’y ajoute l’extension du dispositif « Un chez soi d’abord » de 4 à 22 métropoles, prévu d’ici 2022.
 
Il s’agit là d’un ensemble de mesures, qui toutes participent à un objectif commun : l’accès à un logement personnel et son maintien dans la durée, avec le soutien d’accompagnements adaptés.
 
Je vous avais fait part de mon engagement à préserver le budget de la psychiatrie, à le prioriser dans les plans d’investissement régionaux, à adapter ses ressources et à faire évoluer son modèle de financement.
 
Cet engagement s’est traduit dès cette année de manière très concrète avec le dégel intégral des crédits mis en réserve au début de l’exercice 2018, soit 64M€. Ce dégel intégral est une première, et doit permettre de redonner du souffle aux établissements.
 
Par ailleurs, j’ai décidé d’aller encore plus loin en allouant une enveloppe supplémentaire de 50 millions d'euros à la fin de l’année 2018 pour consolider les moyens des établissements et services de psychiatrie.
 
Cette enveloppe supplémentaire n’a rien d’un coup d’éclat, puisque ce financement est reconductible.
 
Au-delà de ces 50 millions, je souhaite impulser et soutenir plus particulièrement des initiatives locales innovantes, et créer un fonds d'innovation organisationnelle en psychiatrie.
 
Doté de 10 millions d'euros, ce fonds sera mis en place dès cette annéeselon des modalités en cours de définition.
 
Pour se rénover, les établissements psychiatriques pourront émarger aux financements nationaux en faveur de l’investissement prévus dans « Ma santé 2022 » et engagés dans la LFSS 2019.
 
La psychiatrie sera également prioritaire dans les programmes régionaux d’investissements des ARS, dont je salue la mobilisation et la très grande énergie déployée : l’objectif très clair est de combler le retard d’investissements et donner les moyens de rénover les établissements.
 
Enfin, je rappelle que les travaux menés l’an dernier ont contribué à définir des critères de modulation des dotations budgétaires dans l’objectif d’une réduction des inégalités territoriales et d’une meilleure allocation des ressources.
 
Trois régions historiquement sous-dotées ont ainsi pu bénéficier de dotations renforcées en 2018 : le Centre-Val de Loire, la Réunion et les Pays de la Loire. Ces travaux se poursuivront en 2019, en lien avec l’engagement des réflexions et des travaux de la mission de Jean-Marc AUBERT, sur la réforme des modes de financement.
 
Elle sera déployée en liaison étroite avec les professionnels et les règles de financement seront désormais mises au service du développement de la psychiatrie.
 
Des propositions concrètes et attendues seront dévoilées le 29 janvier prochain.
 
Au total, si l’on tient compte de ces investissements additionnels, ajoutés aux moyens de la feuille de route, ce sont 100 millions supplémentaires par an pour la psychiatrie et la santé mentale, dès cette année.
 
Le chemin parcouru depuis notre précédente rencontre est donc conséquent. Celui qu’il nous reste à parcourir ne l’est pas moins.
 
Les prochaines étapes sont programmées ; elles seront rythmées par des déplacements et des rendez-vous au cours desquelles nous aurons tous cet esprit constructif qui nous a déjà permis de mettre sur les rails les projets qui redonneront du souffle à la psychiatrie.
 
Enfin, la psychiatrie étant un sujet prioritaire de mon action et de mon ministère, je souhaite que l’action puisse être portée au quotidien, et incarnée sur les territoires.
 
C’est pourquoi j’ai décidé de nommer prochainement un délégué ministériel à la psychiatrie et à la santé mentale, chargé de piloter au plus près des acteurs et au quotidien le déploiement de la feuille de route de la psychiatrie et de la santé mentale, et de la porter sur les territoires.
 
Mesdames, messieurs, 
Je vous renouvelle mes vœux les plus chaleureux. Je forme aussi aujourd’hui le vœu collectif que nous réalisions l’ambition portée par notre feuille de route, c’est-à-dire l’ambition d’un changement de regard sur la santé mentale et la psychiatrie.
 
Mais plus qu’affaire de vœux, je sais que cela est affaire de volonté. Je connais votre engagement ; soyez assurés du mien.  
 
Je vous remercie.
 
 
 
 

Les ministères sociaux agissent pour un développement durable.
Préservons l'environnement : n'imprimons que si nécessaire !

jeudi 24 janvier 2019

Santé visuelle des seniors





Communiqué de séance

 


Paris, le 23 janvier 2019

Santé visuelle des personnes âgées en perte d'autonomie : le Sénat a définitivement adopté une proposition de loi de l’Assemblée nationale


 
 
Mercredi 23 janvier janvier 2019, le Sénat a définitivement adopté la proposition de loi visant à améliorer la santé visuelle des personnes âgées en perte d'autonomie.
 
La proposition de loi initiale ouvrait la possibilité d'intervention de l'opticien-lunetier en établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad). En séance publique, les députés ont introduit d'importantes modifications du dispositif initial, afin de :
·        soumettre cette possibilité à l'autorisation préalable du directeur général de l'agence régionale de santé (ARS), qui ne pourra y recourir que dans un cadre expérimental d'une durée de trois ans ;
·         préciser l'obligation pour l'opticien-lunetier d'informer la personne âgée que l'acte de réfraction ou d'adaptation pratiqué est dépourvu de nature médicale ;
·         prévoir la désignation d'au plus quatre régions dans lesquelles l'expérimentation pourra être menée ;
·         prévoir la transmission, dans les quatre mois précédant l'issue de l'expérimentation, d'un rapport au Parlement.
 
Examiné au Sénat conformément à laprocédure de législation en commission, selon laquelle le droit d’amendement des sénateurs et du Gouvernement s’exerce en commission, le texte n’a été modifié, ni lors de son examen en commission (le 16 janvier 2019), ni lors de la séance publique (le 23 janvier 2019). Il est donc considéré comme définitivement adopté.
 
Le Sénat a en effet suivi l’avis de sa rapporteure,Élisabeth Doineau. Bien que constatant que le texte est de portée limitée et ne « [s'inscrivant] pas dans une vision d'ensemble de réorganisation de la filière visuelle et ne[traitant] pas des problèmes structurels d'accès aux soins visuels des populations les plus vulnérables », Élisabeth Doineau a été « sensible au signal envoyé par ce texte d'un plus grand assouplissement de l'exercice de la profession d'opticien ».
 
 --
 
Pour plus de détails, consulter :
·     l’actualitésur le site du Sénat;
·      ledossier législatif ;
·        lerapportprésenté parÉlisabeth Doineau, au nom de lacommission des affaires sociales ;
·      les comptes rendus (analytiqueet intégral) et la vidéodes débats en séance publique.
 
  

 

Contact presse : Juliette Elie - 01 42 34 25 03 - presse@senat.fr   

La MGEN partenaire du festival de la BD d'Angoulême


 AfficheconcoursBDscolaire.jpg 
 2019PartenariatFestivalBDAngouleme.pdf 

Si le lien ne fonctionne pas,cliquez ici pour recevoir un nouvel e-mail avec le(s) document(s) en pièce(s) attachée(s) 
Si le message ne s'affiche pas correctement, cliquez ici

 
 
Communiqué de presse
 24 janvier 2019
 

 


Le groupe MGEN partenaire du 46eFestival International de la BD d'Angoulême et du concours de la BD Scolaire 

 
Le groupe MGEN est partenaire du 46e Festival International de la BD d'Angoulêmequi a lieu du 24au 27 janvier 2019, et duconcours de la BD scolaire.
 
Mutuelle de l'éducation, de la jeunesse et de la culture, le groupe MGEN est un acteur de la société investi auprès de nombreux organismes, en France et dans le monde, pour promouvoir la culture, l'éducation et la citoyenneté. MGEN accompagne chaque année de très nombreux rendez-vous culturels, festivals et autres spectacles vivants.
 
L'engagementdu groupe MGEN aux côtés du Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême (FIBD) est porteur de sens,puisqu'il s'agit d'encourager la création artistique chez les jeunes et de faire de la BD un support éducatif et de promotion du vivre-ensemble. Le groupe MGEN a renouvelé son partenariat avec le FIBD jusqu'en 2022.
 
Concours de la BD scolaire
Depuis 45 ans, le concours de la BD scolaire est le premier concours européen de création de bande dessinée francophone en milieu scolaire, accessible à tous les élèves scolarisés de la maternelle au lycée. Parrainéégalement par le ministère de l'Education nationale, l'objectif de ce concours est d'encourager la créativité chez les jeunes dans le cadre d'une relation pédagogique avec leurs enseignants. Il se déroule sur 5 mois, d'octobre à mars, et il récompense les 40 meilleurs lauréats lors du FIBD d'Angoulême.Chaque année, ce sont entre 5500 et 6000 participants, plus de 600 planches, 420 établissements scolaires candidats. Par ailleurs, 7 récompenses régionales et 40 récompenses nationales sont attribuées, dont 3 pendant le festival. Au niveau local, les acteurs MGENsont largement impliqués dansla promotion du concours auprès des établissements scolaires jusqu'à la remise des prix.
 
Quartier Jeunesse
Toujours dans une optique d'ouverture à la culture, le groupe MGEN parraine deux expositions au Quartier Jeunesse lors du Festival :l'œuvre de Bernadette Després (la dessinatrice, entre autres, des célèbres Tom-Tom et Nana). La deuxième exposition présente les planches des lauréats du concours de la BD scolaire 2018.
 
 
Contact presse :
Marine Chaumier -mchaumier@mgen.fr - 01 40 47 23 92
 
 
Le groupe MGEN, « la référence solidaire »
Avec plus de 4 millions de personnes protégées, près de 10 000 salariés et un chiffre d'affaires supérieur à 2 milliards d'euros, le groupe MGEN est un acteur majeur de la protection sociale. MGEN gère le régime obligatoire d'assurance maladie des professionnels de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, de la Culture, des Sports, et de la Transition écologique et solidaire. MGEN propose également une complémentaire santé individuelle ouverte à tous les publics, ainsi que des contrats collectifs santé et prévoyance pour les entreprises et les associations. Acteur global de santé, MGEN met à la disposition de la population une offre de soins diversifiée et ouverte à tous à travers ses 56 services de soins et d'accompagnement (établissements sanitaires et médico-sociaux, centres médicaux et dentaires), les trois établissements de la région parisienne qu'il co-pilote et les 2600 services de soins et d'accompagnement mutualistes qu'il finance en France. Depuis le 13 septembre 2017, le groupe MGEN fait partie du Groupe VYV.
www.mgen.fr 
www.twitter.com/groupe_mgen
 
Le Groupe VYV, 1eracteur mutualiste de santé et de protection sociale en France
Le Groupe VYV (Chorum, Harmonie fonction publique, Harmonie mutuelle, MGEFI, MGEN, Mutuelle Mare-Gaillard, Mutuelle Nationale Territoriale, SMACL Assurances), créé en 2017, œuvre au quotidien pour être utile à tous et à chacun tout au long de leur vie. L'ensemble des composantes du groupe et leurs 40 000 collaborateurs, protège 10 millions de personnes et propose des solutions adaptées à plus de 72 000 employeurs publics et privés. Il totalise un chiffre d'affaires de 10 milliards d'euros en assurance santé, en prévoyance, en soins et services d'accompagnement, en épargne retraite...
Au sein du groupe, VYV Care porte la stratégie de développement de l'offre de soins et de services.  VYV Care rassemble plus de 1 000 structures, 25 000 collaborateurs, répartis dans 3 pôles d'activités : produits et services, soins, accompagnement.
Acteur engagé, avec 10 000 élus dont près de 2 600 délégués, le Groupe VYV innove et anticipe pour construire une société plus équitable et socialement responsable. Le Groupe VYV s'affirme comme un véritable entrepreneur du mieux-vivre.
www.groupe-vyv.fr

mardi 22 janvier 2019

LETTRE OUVERTE : 12 intellectuels dénoncent un déni de justice

ACQUITTES MAIS PRISONNIERS,
UN DÉNI DE JUSTICE

L'INDISPENSABLE LIBÉRATION DE LAURENT GBAGBO ET DE CHARLES BLE GOUDE, ACQUITTES MAIS MAINTENUS PRISONNIERS A LA CPI

Depuis la crise électorale de 2010 et l’arrestation du Président Laurent Gbagbo en avril 2011, la Côte d’Ivoire reste profondément divisée et traumatisée. Outre les massacres et l’exil massif d’Ivoiriens, la justice y est dévoyée. Le transfèrement de Laurent Gbagbo (novembre 2011) et Blé Goudé (mars 2014) à la Cour Pénale internationale – CPI - laissait supposer la mise à l’endroit des procédures judiciaires pour que le droit soit dit par la justice internationale. Il n'en est rien; car la CPI nous fait vivre les péripéties d’un droit singulier à La Haye.
Malgré une détention préventive qui s’est exonérée du principe de la présomption d’innocence appliquée à tout prévenu, après une instruction à sens unique, au terme d’une audience de la Chambre de 1ere instance qui a duré trois ans et a permis aux magistrats de se rendre compte de la vacuité du dossier du Procureur, la Cour de première instance a décidé, le 15 janvier dernier, de l’acquittement et de la libération immédiate des deux accusés.
  1. Déjà habitué à violer, sans risque, les droits des deux prévenus, le bureau du Procureur a convaincu la Chambre d’appel de maintenir le Président Gbagbo et Blé Goudé dans les liens de la détention à titre conservatoire. Déjà injuste, quand Laurent Gbagbo et Blé Goudé avaient le statut d’accusés, cette décision est un véritable déni de justice, une violation inacceptable des droits de l’homme depuis leur acquittement le 15 janvier 2019 par la chambre de 1ère instance. Une telle décision signifie aussi que la CPI fait des deux personnalités des hommes sans droit et dont on restreint la liberté alors qu’ils ne sont pas poursuivis. 
Citoyens d'Afrique et du Monde, nous exigeons la libération immédiate des deux acquittés, l’application des dispositions du Statut de Rome en la matière (art.81 du Statut de Rome) et le respect absolu des droits de MM. Gbagbo et Blé Goudé. La CPI n’a pas le droit de se placer au-dessus de la liberté et de la justice si elle veut être l’instrument universel de lutte contre l’injustice.
Fait à Paris le 18 janvier 2019.
- Pierre Kipré, professeur, ancien ministre, ancien ambassadeur
- Michel Galy, politologue
- Philippe Attey, banquier, ancien ministre
- Albert Bourgi, professeur, constitutionnaliste
- Malick Coulibaly, spécialiste du VIH/SIDA, ancien ministre
- Jean-Claude Djéréké, professeur (université de Baltimore)
- Richard Kadio, professeur, ancien ministre
- Lazarre Koffi Koffi, directeur de collection (édition L’harmattan), ancien ministre
- Pascal Kokora, professeur (Georgetown university), ancien ambassadeur
- Raymond Koudou Kessié, professeur, ancien ambassadeur
- Thomas N'Guessan Yao, professeur, ancien ministre
- Felix Tano, professeur, ancien membre du Conseil constitutionnel ivoirien


Sur l'agenda d'Agnès Buzin



Agenda de Madame Agnès BUZYN

Ministre des Solidarités et de la Santé

Semaine du 21 janvier 2019

 
 
Lundi 21 janvier
 
10h00              Entretien avec M. Alfredo MORENO, ministre du développement social du Chili et de la famille, en présence de Mme Marisol TOURAINE, Ministre de la Santé et des affaires sociales
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
                       
 
Mardi 22 janvier
 
09h30              Intervention lors du Colloque sur l’Hospitalisation à domicile et les Etablissements sociaux et médico – sociaux
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
11h00              Cérémonie des Vœux à la presse
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
16h45              Questions d’Actualité au Gouvernement
                        Sénat
 
 
Mercredi 23 janvier
 
10h00              Conseil des Ministres
                        Palais de l’Elysée
 
14h00              Intervention au colloque « Le professionnel de santé au cœur de la sécurité sanitaire »
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
15h00              Questions au Gouvernement
                        Assemblée nationale
 
19h45              Dîner officiel en l’honneur de M. Reuven RIVLIN, Président de l’Etat d’Israël
                        Palais de l’Elysée
 
 
Jeudi 24 janvier
 
07h45              Invitée de la matinale LCI présentée par Christophe JAKUBYSZYN
                        Boulogne Billancourt
 
09h30              Comité article 51
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
11h00              Comité stratégique santé mentale et psychiatrie
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
14h30             Remise du rapport de la Commission « bientraitance/maltraitance » commune au Haut conseil de la famille, de l’enfance et de l’âge (HCFEA) et au Conseil national consultatif des personnes handicapées (CNCPH). Présidé par Denis PIVETEAU, en présence de Sophie CLUZEL, secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre, chargée des Personnes handicapées.
Ministère des Solidarités et de la Santé
 
16h15              Congrès de l’encéphale
                        Palais des congrès de Paris
 
17h30              Entretien avec Valérie FOURNEYRON, Ministre des Sports et de la jeunesse
                        Ministère des Solidarités et de la Santé
 
 
Vendredi 25 janvier
 
09h00              Réunion sur la stratégie de protection de l’enfance présidée par M. Edouard PHILIPPE, Premier ministre
                        Hôtel de Matignon
 
11h00              Déplacement relatif à la prime d’activité
                        Paris
 

Les ministères sociaux agissent pour un développement durable.
Préservons l'environnement : n'imprimons que si nécessaire !