Bonne chance à l'équipe de France
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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
Du peu au jus...
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Infolettre n° 285
mardi 6 fevrier 2018Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com
Un verre ça va
Les associations de prévention ont l’alcool mauvais, ou plutôt le vin revanchard. Il faut dire que la modération qui s’impose habituellement en matière de consommation du jus de la treille n’est pas vraiment pratiquée par l’Elysée.
Non point qu’on y abuse de la dive bouteille, il paraît qu’il est même plutôt recommandé de marcher droit.
Ce qui fait perdre leurs nerfs aux promoteurs de l’orthorexie sanitaire, c’est l’excès d’enthousiasme manifesté par le Président de la République quant à « la clarification de la politique de santé publique à l’égard du vin » réclamée à grands cris par les représentants de la filière vinicole.
Pour les producteurs en effet, pas question d’être englobés dans l’univers peu enviable des « substances psychoactives » telles que la Stratégie nationale de Santé concoctée par Agnès Buzyn les définit.
Autant les associations de prévention sont colère, autant les producteurs d’AOC sont aux anges : en qualifiant, dans un courrier aux arômes de fruits rouges, le vin « d’âme de la France », Emmanuel Macron a d’emblée donné le ton avant de manifester son intention de ne pas mélanger les canettes et les flacons.
Résultat, les représentants des vignes seront désormais invités à la table des instances officielles dès qu’il s’agira de parler de prévention et leur voix, au même titre que celle des représentants du ministère de la Santé, devra être entendue.
On comprend pourquoi les associations ont aujourd’hui une gueule de bois carabinée car, avec la reconnaissance de la filière du vin dans le champ de la prévention, elles viennent de perdre une bataille décisive dans la lutte contre une boisson qui prend quand même sa part, même modeste, dans 50 000 décès prématurés annuels.
Le discours de modération habilement développé par les producteurs depuis des années a permis au produit de conserver une image culturelle forte quand d’autres, comme la bière, souffraient d’une association systématique au hooliganisme et à l’alcoolisme.
Mais, les militants du zéro alcool ont surtout perdu le combat du lobbying. Il faut dire qu’Audrey Bourolleau, aujourd’hui Conseillère à l’agriculture du Président de la République était, il y a peu encore, Déléguée générale de la très active association « Vin et Société ». Et, reconnaissons-le, ça aide bien...
Jacques DRAUSSIN
Dépendance : l'Ocirp et la Mutualité française à l'offensive
L'Argus de l'Assurance
La perte d'autonomie n'est pas un sujet de prédilection d'Emmanuel Macron. Une situation qui ne satisfait pas la Fédération nationale de la Mutualité française (FNMF) et l'Ocirp, union d'institutions de prévoyance spécialisée dans la protection de la famille. La France compte environ 1,2 million de ...
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Accueil Avenir Santé Numérique : pour donner les moyens de passer du projet à la réalité.
ACTUALITÉS E-SANTÉ FONDATION DE L'AVENIRAVENIR SANTÉ NUMÉRIQUE : POUR DONNER LES MOYENS DE PASSER DU PROJET À LA RÉALITÉ.
02.02.2018
Dix acteurs de l'économie sociale se sont retrouvés autour de la Fondation de l'Avenir pour procéder à l'installation du Fonds Avenir Santé Numérique et ratifier le lancement de la Chaire Avenir Santé Numérique, mardi 30 janvier 2018 au siège de la Mutualité Française (Paris).
Avenir Santé Numérique
Dans son discours d’accueil, Dominique Joseph, secrétaire générale de la Mutualité Française a d’emblée précisé l’intérêt pour la Mutualité : « Avenir Santé Numérique est une solution pour évaluer, pour donner les moyens aux travaux d’e-santé de passer le cap du projet à la réalité. Ce dont nous avons absolument besoin « .
Cette ambition, Avenir Santé Numérique (ASN) la traduit dans son organisation. ASN s’articule autour de trois composantes : un Fonds, une Chaire et un engagement avec Eit Health.
FONDS AVENIR SANTÉ NUMÉRIQUE (FASN)
Créé au sein de la Fondation de l’Avenir, FASN a pour vocation de soutenir des projets innovants, de conduire des études prospectives d’intérêt général, de croiser des collaborations et de contribuer au financement de la Chaire.
Dominique Letourneau, président du directoire, a indiqué « qu’il s’agit de la concrétisation validée par nos instances de décembre 2017, de développer la Fondation vers des partenariats académiques et industriels, de s’ouvrir à l’international, mais sur base de notre positionnement mutualiste. La composition des membres fondateurs de FASN en est la meilleure illustration. »
CHAIRE AVENIR SANTÉ NUMÉRIQUE (CASN)
Voulue par la Fondation de l’Avenir, elle vise à penser la santé numérique dans sa globalité et de manière scientifique, en privilégiant une démarche pluridisciplinaire et pluri-institutionnelle. Elle s’organise à partir de l’Université Paris-Est-Créteil (UPEC), avec des chercheurs associés à l’Inserm et des perspectives d’évolution notamment vers l’Ecole des Mines de Saint Etienne. Le titulaire de la Chaire est le docteur Tu Anh Duong du CHU Henri Mondor (Créteil), docteur en dermatologie et diplômée de l’Ecole centrale de Paris.
Mise en place pour une durée de trois ans, la chaire se donne pour objectifs de permettre le développement d’approches innovantes pour la conception de nouveaux produits, d’évaluer la performance d’une organisation de soins et d’évaluer l’émergence des modèles de soins intégrés avec des patient devenant acteurs-utilisateurs.
Pour le professeur Gérard Lafargues, représentant de l’Université Paris-Est Créteil, « la chaire Avenir Santé Numérique fait sens car au-delà de l’acte de soins : il y a également un enjeu sur la prévention, notamment autour des questions environnementales. »
LE CONSORTIUM EIT-HEALTH
D’initiative européenne, Eit Heath vise à promouvoir l’entrepreneuriat et l’innovation au service des patients et des systèmes de santé, et permettre un accès aux financements européens H2020. Eit Health est présent dans six grandes régions européennes et regroupe 160 membres (industriels, académiques, institutionnels de santé et financeurs notamment). La candidature de la Fondation a été agréée sur la base de son expertise scientifique et des collaborations qu’elle peut permettre avec son environnement mutualiste.
Jean-Marc Bourez, directeur Général d’Eit-Health France souligne que la démarche de ce soir est « un événement marquant pour le numérique en santé« .
Dans sa conclusion, Etienne Caniard, président du Fonds Avenir Santé Numérique a rappelé tout simplement que « Avenir Santé Numérique, c’est une fertilisation croisée pour relever les défis du numérique en santé« .
Membres fondateurs : Matmut, La Mutuelle Générale, MGEN, Harmonie Mutuelle, Eovi-Mcd Mutuelle, Solimut Mutuelle, Carac, Inter Mutuelle Assistance, Fondation Pierre Fabre, Fondation Médéric Alzheimer et Pro BTP Prévoyance.
Partenaire référent : Fédération Nationale de la Mutualité Française
Partenaires académiques : Université Paris Est Créteil, Inserm et Mines Saint Etienne
Partenaires invités : Eit Health France, Fonds Européen d’Investissement et Ofi Asset management
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Les Rencontres de la Plaine
ESS et TRAVAIL
Comment le travail ? Pour quoi le travail ? Modes d’emplois
RETENEZ LA DATE DU 24 MARS 2018
à Saint-Denis (Bourse du Travail)
Sous les effets de l’usage des nouvelles technologies et de la pression libérale, l’emploi, le travail et le salariat connaissent de profondes mutations.
Qu’on le veuille ou non, si le CDI demeure la règle pour ce qui demeure une grande majorité de femmes et d’hommes dans notre pays, ce constat vaut en « stock » et non en « flux ».
Les emplois précaires, les formes diverses de « dé-salarisation », ou le chômage organisé gagnent. Les récentes lois ou ordonnances dites « travail » sont imposées essentiellement pour accompagner ces tendances qui retrouvent le schémalibéral initial, tel qu’on le retrouve dans la Loi Le Chapelier.
Il n’est pas indifférent que Jean-Charles Simon, alter-ego de Denis Kessler, et auteur d’une récente étude faisant l’éloge de cette « loi terrible » pour citer Jean Jaurès, ait crânement posé sa candidature à la présidence du Medef.
Le développement de la société numérique, de la robotique n’est nullement incompatible avec ces évolutions.
Les grands opérateurs cachent les prolétaires de Foxcom, et les graves menaces écologiques que l’hyper consommation énergétique de leurs centres calcul représente.
Parmi les organisations syndicales, certaines au nom de la modernité et d’une cogestion du social, jouent l’adaptation, d’autres s’arqueboutent sur la défense des modèles anciens, qu’ils ont arrachés au patronat, et hésitent à envisager à leurs justes mesures les évolutions actuelles.
Dans cette configuration, l’ESS se trouve en situation double : ses entreprises sont confrontées aux phénomènes généraux constatés dans l’ensemble de l’économie (numérisation des processus, précarisation…)
mais elle est aussi porteuse de réponses collectives et innovantes au évolutions du travail, au développement numérique, aux défis environnementaux et sociaux.
Dans leur engagement pour une ESS de transformation sociale, les Rencontres de la Plaine ont dès leur constitution et leur première session (mars 2017) évoqué ces questions.
Les promoteurs des Rencontres de la Plaine (le GOEES, l’EMI-CFD et Rencontres sociales, soutenus par Plaine Commune) et leurs partenaires vous invitent à réserver :
votre samedi 24 mars, de 9h30 à 17h30
pour une journée de réflexions et d’échanges sur le thème :
« ESS : comment le travail ? pour quoi le travail ? Modes d’emplois »
à la Bourse du Travail de Saint-Denis.
D’ores et déjà, Olivier Landau (Ars Industrialis), Sandrino Graceffa (Smart), Antonella Corsani (université de Paris I), Sébastien Chaillou (CRESS Ile-de-France), Patrick Vassallo (Plaine Commune), Jean-Louis Cabrespines (membre du CESE) et Gustave Massiah ont confirmé leur participation à nos travaux.`
Des syndicalistes et dirigeants d’ESS ont été contactés et doivent confirmer leur présence.
Une proposition d’organisation des travaux sera publiée (et vous sera envoyée) dans la première semaine de février
- Cette session sera l’occasion d’un Atelier du CIDEFE sur les problématiques de l’ESS à destination notamment des élus locaux.
- Un autre atelier portera sur examen du paysage de l’ESS à l’heure de « French Impact »
- Dans un territoire pionnier de l’ESS, ces rencontres doivent aussi renforcer les liens et l’intervention collective des acteurs locaux de Plaine Commune
Nous serons heureux de vous compter parmi nous à cette occasion, et de participer ainsi au nécessaire débat pour renforcer l’ESS dans sa détermination pour une société émancipatrice.
François Longérinas (EMI-CFD), Jean-Philippe Milesy (Rencontres sociales), Jean-Claude Tufferi (GOEES)
Pré-inscriptions et renseignements :
Jean-Philippe Milesy : milesy@rencontres-sociales.org
Un territoire qui soutient les Rencontres de la Plaine :
Convaincus du pouvoir de transformation sociale que l’ESS insuffle, nous avons choisi, à Plaine Commune, de mener une politique ambitieuse de soutien aux acteurs de l’ESS et de promotion de cette philosophie économique. C’est pourquoi, à l’heure où certaines ressources publiques de l’ESS sont remises en cause, il nous paraît particulièrement important de rappeler que le secteur de l’économie sociale et solidaire doit être encouragé et soutenu. C’est aussi l’engagement que nous attendons de la part des candidats aux prochaines élections. Nous accueillons donc avec enthousiasme l’initiative des Rencontres de la Plaine et lui apportonsnotre soutien entier.
Patrick Vassallo, conseiller territorial au développement local de Plaine Commune
Toggle navigationTEL : 01 80 48 90 15
« L’ÉPARGNE EN VUE DE LA RETRAITE »
Le Cercle des Epargnants
30
janvier
Le Conseil d’Orientation des Retraites (COR) s’est réuni le 24 janvier dernier, cette réunion avait pour objet : « L’épargne en vue de la retraite ». Si le Conseil est connu pour ses calculs à moyen et long terme du solde financier du système de retraite, il examine également des sujets ayant un lien direct ou indirect avec la retraite (Travail des séniors, etc…). On pourrait s’étonner d’une telle préoccupation alors que notre système par répartition semble accorder aux français une grande liberté dans le choix de leur épargne. Le COR a pris soin de justifier cette réunion de la manière suivante : « le niveau de vie relatif des retraités et les taux de remplacement seraient susceptibles de diminuer au fil des générations à l’horizon 2070. Dans quelle mesure les comportements d’épargne des ménages pourraient s’adapter à ces évolutions du système de retraite par répartition ? ».
Les Français épargnent de manière importante, et ils suivent un schéma de vie où l’achat de la résidence principale, et plus largement l’investissement immobilier, occupe une place prépondérante dans la constitution d’une épargne et d’un patrimoine. Une fois le paiement du domicile réalisé, les ménages peuvent orienter leur épargne vers d’autres objectifs. Selon notre enquête annuelle, la Retraite est la troisième motivation d’épargne des ménages. Or celle-ci devrait prendre une importance croissante à côté des dispositifs publics dans le cadre de la préparation à la retraite, où le souci de préserver son pouvoir d’achat se pose avec de plus en plus d’acuité. Il est possible de se tourner vers un produit d’épargne dédié, ce sont les dispositifs d’épargne retraite supplémentaire1, de manière privée et individuelle tel le plan d’épargne retraite populaire (PERP), ou alors par le biais de son entreprise tel le Plan d’épargne pour la retraite collectif (PERCO). Les dispositifs d’épargne retraite supplémentaire concernent (fin 2015) 12,2 millions de personnes pour 13 milliards d’euros de cotisation, à titre de comparaison cela correspond à 4,3% des cotisations au titre de la retraite obligatoire ou supplémentaire. Sur cette même année ce sont 2,2 millions de personnes qui ont bénéficié de prestations de retraite supplémentaire, nous parlons de 5,7 milliards d’euros de prestations, ce qui correspond à 1,9% de l’ensemble des prestations versées.
Les chiffres mentionnés ci-dessus restent relativement faibles, en comparaison avec le volume total des prestations de retraite, mais aussi en comparaison internationale. La retraite privée ne se limite pas à de l’épargne retraite supplémentaire, dans certains pays elle prend la forme de systèmes de retraite dit par capitalisation. Selon les travaux de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE), les actifs détenus dans les dispositifs de retraite privée et capitalisée de ses pays membres représentent déjà 38 000 milliards de dollars. Sans surprise, ce chiffre est tiré par les États-Unis où les fonds de pension qui pèsent à eux seuls 25 127 milliards de dollars, contre 230 milliards seulement pour la France. En points de PIB, ces actifs représentent 180% du PIB aux Pays-Bas, 135% aux États-Unis, et moins de 10% en France, en Italie, en Belgique et en Allemagne.
Les dispositifs d’épargne retraite supplémentaire apparaissent insuffisants au regard des besoins de financement de notre système de retraite (et de protection sociale) à moyen et long terme. Plus important, ils s’adressent à une partie encore restreinte de la population et ne peuvent, faute d’être démocratisés au plus grand nombre, répondre seuls à la problématique des retraites. Il ne s’agit pas pour autant d’opérer un basculement total de notre système de répartition vers un système par capitalisation. Non seulement les Français sont attachés à leur modèle, mais encore, il assure une répartition et une protection de la retraite pour l’ensemble de la population dont le caractère distributif convient d’être préservé aussi. Il n’empêche, si le tout privé ou le tout public ont bien leur limite, il est peut-être temps de lever les tabous et d’adresser les questions telles que : quelle proportion de capitalisation ces derniers sont-ils susceptibles d’accepter ? Quelle modification faut-il apporter au modèle pour assurer sa pérennité ?
C’est la question que se posent actuellement l’exécutif et le haut-commissaire à la réforme des retraites. Le Président Macron a réaffirmé ce mois-ci l’intention de son gouvernement de finaliser une réforme des retraites « d’ici à l’été 2019 ». Parmi les principes de base énoncés lors de la présidentielle, deux idées priment, l’une est qu’un euro cotisé génère les mêmes droits pour tous les concitoyens, l’autre est l’unification de tous les régimes, ceci devrait selon nous aller jusqu’à inclure désormais clairement le sujet de l’épargne longue des ménages, ses supports et ses risques, sa fiscalité etc. Le débat s’ouvre déjà à travers le texte de loi « plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises2 » (PACTE) que présentera le Ministre de l’Économie et des Finances dans quelques semaines. Puisque parmi les mesures soumises à la récente consultation publique, il y est question de : « Développer et simplifier les produits d’épargne-retraite, pour les faire converger autour de caractéristiques communes ».
1https://www.cercledesepargnants.com/lepargne-retraite-retraite-supplementaire-etat-lieux/
2https://www.cercledesepargnants.com/orienter-lepargne-francais-vers-entreprises-voeu-pieux/
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Aux lecteurs de Mine d'infos
Je termine une thèse sur le bonheur au travail et la performance financière dans une top université européenne et j’ai réalisé avec Christophe Padiou, Directeur Opérationnel de IME Conseil, unwebinaire gratuit sur le sujet. Il estdisponible en replay et j'ai le plaisir de vous proposer de le regarder en suivant le lien :
Peut-on faire l'économie du bonheur au travail ?
Il suffit de créer un compte gratuit sur Webikeo afin d'y avoir accès.
Dans ce webinaire, vous verrez :
Comment le bonheur et le bonheur au travail sont définis au niveau scientifique,Comment améliorer votre degré de bonheur au travail et le degré de bonheur au travaildans votre entreprise,Comment optimiser la performance financière de votre entreprise par le bonheur au travail (un des articles de ma thèse est une méthode qui peut être appliquée dans n’importe quelle moyenne ou grande entreprise).
Je vous remercie d’avoir pris le temps de lire mon message et vous souhaite une belle journée.
A bientôt,
Renaud Gaucher
Chercheur associé au centre de recherche en économie du bonheur de l'Université Erasme de Rotterdam
Auteur de « Bonheur et performance en entreprise : les clés du succès »
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18 - 20 Avril 2018 à Casablanca, (Maroc)
15ème Conférence internationale de l'AISS sur les technologies de l'information et de la communication dans...
12 - 15 Juin 2018 à Montpellier (France)
Congrès de la Mutualité Française......
20 - 22 juin 2018 à Tallinn (Estonie)
XXXVIIIème Assemblée Générale et Conseil d'Administration de l'Association Internationale de la Mutualité a...
A PROPOS DU PASS
PASS est le programme d'appui aux stratégies mutualistes de santé. Il accompagne les acteurs mutualistes des pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine. L'objectif ? Renforcer le mouvement mutualiste dans la région afin qu'il prenne une place prépondérante dans les développements actuels des socles de protection sociale. Véritable assistance à maîtrise d'ouvrage, PASS permet l'établissement de partenariats techniques, économiques et financiers entre acteursmutualistes africains et français. Il participe également à la mise en place du premier bureau de liaison de l'Union Africaine de la Mutualité. Ce programme est initié, financé et conduit par : Fnmf, mgen, Harmonie, Matmut, Solimut, Casden, MGEFI, Ofi, Egamo, MNT. Il est soutenu au plan international par l'AISS, l'AIM et l'ICMIF, et au plan français par la MSA.
Pour plus d’informations :www.pass-mut.org
Immeuble Les Arcades Avenue Franchet d’Esperey, le Plateau 01 BP 4080 Abidjan 01 - Abidjan – Côte d’Ivoire Fixe : 00 225 20 25 74 96 Mail : info@pass-mut.org
Si ce message ne s´affiche pas correctement, vous pouvez le visualiser en suivant ce lien.DépêcheParis, le 1 février 2018Portrait de Valérie Le MoalValérie est fascinée par les liens, les lignes, les connexions,
tout ce qui s'entrelace et relie les choses entre elles, quelles qu'elles soient.
La terre et le végétal, le corps et le cerveau, les synapses et les neurones, les émotions et les battements du cœur, les rencontres et les liens qu'on tisse, les lignes géographiques, aériennes, les réseaux ferroviaires, les réseaux sociaux, la toile... Toutes ces connexions sont ses sources d'inspiration.
"Les formes que je peins ou dessine sont douces et ovales. Sur la toile ou le papier, les couleurs se superposent comme autant d'atomes qui se regroupent pour former un minéral. Le maillage auquel cette forme est reliée laisse entendre une possible continuité,un assemblage infini, avec toutefois une certaine fragilité. C'est cette fragilité que je mets en évidence en travaillant sur un nouveau support, la tarlatane.
L'irrégularité du tissage de cette toile et sa transparence laissent entrevoir sa légèreté, sa finesse induit sa fragilité."
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COMMUNIQUE DE PRESSE
Saint Denis La Plaine, le 1er février 2018
Dominique Le Guludec a choisi Katia Julienne comme directrice de la HAS
Le Pr Dominique Le Guludec annonce son intention de nommer Katia Julienne à la direction de la Haute Autorité de Santé. Sa nomination deviendra effective après son audition par les commissions des affaires sociales du Sénat et de l'Assemblée nationale, conformément à l'article L. 1451-1 du Code de la santé publique. Elle succède à Dominique Maigne qui a fait valoir ses droits à la retraite.
Nommée présidente du collège de la Haute Autorité de Santé le 4 décembre dernier, le Pr Dominique Le Guludec fait le choix de retenir la candidature de Katia Julienne au poste de directrice de la HAS. Sa nomination sera effective après son audition par les commissions des affaires sociales du Sénat et de l'Assemblée nationale. Cheffe de service et adjointe à la directrice générale de l'offre de soins depuis novembre 2015, elle prend la succession de Dominique Maigne, qui a dirigé l'institution du 1erseptembre 2011 au 31 décembre 2017, date à laquelle il a fait valoir ses droits à la retraite. Jusqu'à l'entrée en fonctions de Katia Julienne, Dominique Maigne assurera la transition.
Ancienne élève de l'Ecole nationale d'administration, promotion Nelson Mandela – 2001, Katia Julienne a travaillé à la direction générale de l'action sociale sur les questions de l'enfance handicapée entre 2001 et 2003 puis a rejoint cette année-là la direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques en tant que chargée de mission auprès de la sous directrice sur les questions d'observation de la solidarité. Son parcours l'a ensuite amenée à la division des affaires communautaires et internationales au sein de la direction de la sécurité sociale de 2007 à 2010 puis à être sous directrice du financement du système de soins au sein de la même direction centrale. Enfin, entre2013 et 2015, elle a rejoint la direction générale de la cohésion sociale en tant que cheffe de service en charge des politiques sociales et médico-sociales et adjointe de la directrice générale de la cohésion sociale.
Pour en savoir plus :
www.has-sante.fr
HAUTE AUTORITE DE SANTE
Responsable du service presse :
Florence GAUDIN
Contact presse :
01 55 93 73 52 / 18
contact.presse@has-sante.fr
Mardi 6 février 2018 à 9h30 en salle Médicis
la commission de l’aménagement du territoire et du développement durabledu Sénat entend
Mme Catherine de KERSAUZON,Présidente de la 2ème Chambre de la Cour des comptes,
sur le rapport de la Cour relatif à la société du Grand Paris
Cette audition est ouverte à la presse et au public ; elle fera l’objet d’un enregistrementvidéo et d’une diffusion en direct sur le site internet du Sénat.
Le public est invité à s’inscrire auprès du secrétariat de la commission (secretariat-affeco-devdur@senat.fr ) au plus tard le lundi 5 février 2018.
Les journalistes sont invités à s’inscrire auprès de la direction de la communication (presse@senat.fr).
Le jour de l’audition, les journalistes sont invités à se présenter au 15 rue de Vaugirard, munis d’une pièce d’identité et de leur carte de presse.
Contact presse : Tina Miquel - presse@senat.fr - 01 42 34 25 38
Un Index des Prix du Cannabis 2018 sera publié Mercredi 31 Janvier prochain. Je souhaitais vous offrir l'opportunité de consulter le communiqué de presse à l'avance afin que vous puissiez estimer si cette étude serait susceptible d'intéresser votre audience ou non.
En collectant des données provenant de plus de 120 villes à travers le monde,incluant des villes où la consommation et vente de cannabis a été légalisé, ces données révèlent le coût de la marijuana au gramme et la consommation annuelle du produit de chacune des villes. De plus, cette étude estime l'éventuel montant que chaque ville pourrait collecter chaque année si le cannabis viendrait à être légalisé en utilisant le taux d'imposition des cigarettes de chaque pays.
Ces données fournissent une base intéressantes qui peut déboucher sur une multitude d'angles différents à propos du cannabis comme une discussion à propos des coûts du produit, de la consommation ou des éventuelles retombées économiques.
N'hésitez pas à me faire savoir si vous êtes intéressé et souhaitez recevoir le communiqué de presse. Je reste aussi à vitre disposition s vous avez la moindre question.
Bien à vous,
Yaniss Illoul
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La Mutualité Française IDF recherche un chargé de projets prévention
Réf. 15955Offre d'emploi. CDD. Paris. Publiée le 24/01/2018.
Employeur
La Mutualité Française Ile de France regroupe 280 mutuelles, représentant 5,5 millions de personnes protégées sur la Région Ile de France. Dans le cadre de nos missions, nous développons des actions de santé publique en lien avec les mutuelles adhérentes, les acteurs régionaux et locaux.
Le service Santé de la Mutualité Française Ile de France met en place de nombreuses actions de prévention et de promotion de la santé sur le territoire Francilien notamment sur les thématiques suivantes : prévention des maladies cardio-vasculaires, cancer, maintien de l’autonomie des personnes âgées, santé environnementale…
Aujourd’hui, nous souhaitons développer à plus grande échelle nos actions à destination des séniors en collaboration avec les centres de santé et les centres sociaux notamment.
Coordonnées
15, cité Malesherbes, Paris 9eme arrondissement
http://www.iledefrance.mutualite.fr/
Description du poste
Au sein de la Mutualité Française Ile de France, la/le chargé(e) de projets déploiera en région des actions prioritairement orientées vers les personnes âgées de plus de 60 ans.
Sous la responsabilité de la responsable du service santé et en lien fonctionnel avec les chefs de projets, la/le chargé (e) de projets aura pour missions :
D’animer des actions de promotion de la santé sur diverses thématiques liées au vieillissement (présence sur des stands d’information, animation d‘une exposition sur la vue et l’audition, échanges avec le public…)De mettre en œuvre les interventions qui lui sont confiées dans le respect des délais et des budgets définis, en s’assurant de la mobilisation des différents acteurs concernés,De rendre compte aux chefs de projets du déroulement des interventions et des difficultés éventuelles,De coordonner et planifier les différents intervenants (orthoptistes, infirmières, diététiciennes…),D’analyser et rédiger les bilans des interventions menées,De gérer les différents canaux de diffusion de l’information en lien avec chaque intervention (mutuelles, villes, …),D’assurer la gestion administrative et logistique liée aux interventions (matériel, livreur, documentation...).Profil recherché : confirmés
De formation Bac+2/3 minimum en éducation pour la santé/actions sociale/ Promotion de la santé/activité physique adaptée et expérience souhaitée en promotion de la santé.
Vous aimez être en contact avec le public (en particulier âgé) et prendre le temps d’échanger sur des problématiques de santé.
Capacités de mobilisation des acteurs autour d’un projet, de coordination, d’animation ; sens des responsabilités et esprit d’initiative,
Qualités relationnelles et esprit d’équipe,
Capacités d’analyse, de synthèse et de rédaction
Le permis de conduire est un plus – Mobilité sur l’ensemble de la région Ile de France
Contrat à durée déterminée (CDD)
CDD de 1 an à pourvoir mi-mars 2018 (renouvellement possible).
Temps plein – 35H
Rémunération sur la base de 28-30K€/an selon le profil + tickets restau + transports
Contact(s)
Céline NOSSEREAU, responsable du service santé
Modalités de candidature
Envoyez votre CV et votre lettre de motivation par mail à prevention@mutualite-idf.fr
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Une psychologue au chevet des soignants
par Valérie Sugg
Notre système de soins a pris un chemin de traverse depuis trente ans. Les dirigeants se sont gargarisés de cette médecine française réputée mondialement, de ses médecins innovants, mais voilà, les soignants ce ne sont pas que les médecins mais des équipes composées de différents corps de métiers qui tentent de faire entendre l'impasse dans laquelle nous entrons, dangereusement.
Un système de soins vieillissant et au management d'un autre temps.
Il était nécessaire, bien entendu, de mettre en place une stratégie pour juguler l'hémorragie financière hospitalière qui n'a pas su prendre le problème à sa base, qui a voulu soigner les causes mais pas la maladie. Car c'est le système de soins lui-même qui est malade. Trop d'administratifs, de chefs, de sous-chefs et pas assez de soignants, plus assez, bon nombre ont été remerciés ou dégoutés. Des investissements financiers mal gérés, un matériel de plus en plus vétuste. Mais aussi un management par la dévalorisation, la culpabilisation, la déshumanisation progressive des soins.
Les soignants refusent de devenir des techniciens du soin centrés sur à la rentabilité et ils en souffrent.
Il s'agit, peut-être, d'un problème de mentalité et il ne concerne pas que le domaine de la santé. Le management hospitalier a choisi de « gérer » le personnel soignant essentiellement par la pression, la culpabilisation, le chantage au patient (« restez encore, le pauvre patient sinon il n'aura pas… » sa soupe, son traitement etc.), la dévalorisation, la répression au travers, par exemple, de la notation annuelle qui devrait servir pour établir un projet commun, stimuler, encourager, valoriser mais qui, le plus souvent, ne fait que permettre ou bloquer l'évolution du salaire. Cette politique de rentabilisation, qui n'a pas voulu tenir compte des particularités du milieu des soins, fait souffrir ceux qui y travaillent face auxpersonnes malades ou résidents.
Les soignants sont maltraités et, du coup, deviennent parfois maltraitants.
Cela parât exagéré mais ce n'est pas le cas, ce sont eux les soignants qui l'expriment le mieux. C'est une forme de maltraitance qu'il subit quand, un chirurgien, est interpellé au bloc opératoire parce qu'il ne va pas assez vite et que le patient suivant est déjà endormi et qu'on lui demande d'accélérer, en pleine opération. C'est une forme de maltraitance quand on demande en Ehpad à une aide-soignante de faire la toilette de douze à quinze personnes le matin ou d'être seule aide-soignante présente la nuit pour cinquante résidents. C'est une forme de maltraitance que d'exiger d'une infirmière qu'elle reste une heure de plus parce que la chimio de madame D. n'est pas terminée et que l'infirmière de soir est déjà débordée. C'est aussi une forme de maltraitance que de remplir les rendez-vous de consultation rendant impossible le fait de prendre les personnes à l'heure ou alors en faisant des consultations « Express » qui ne prennent plus le temps d'écouter les particularités de chacun. Par conséquent, les soignants deviennent maltraitants puisque leur temps auprès du malade, du résident, est quasi chronométré. La recommandation d'une toilette en 6,66 minutes début 2017 est à l'image de ce qui se passe tant en milieu hospitalier, en Ehpad, en maison de retraite et nous sommes tous concernés. Parce que dans ce lit, à espérer une douche que les soignants n'ont parfois le temps de faire qu'une fois par mois; ce repas servi froid car il n'y a qu'une aide-soignante pour cinquante résidents ; ce pipi pour lequel elle est appelée mais qui n'attendra pas son arrivée, toutes ces « petites » choses rendent le quotidien des soignés douloureux. Et ça pourrait être moi, vous, votre père, votre mère, un proche.
Les responsables des structures de soins sont parfois incompétents.
Il faut bien oser le dire, certains le sont parce qu'ils dirigent des centres de soins sans jamais avoir mis un pied dans un service ni y avoir travaillé. Ils subissent aussi, sans aucun doute, la pression des économies à faire après tant d'années de gaspillage à tous les étages. A titre d'exemple, quand une infirmière, m'explique que l'hôpital a changé de fournisseur de compresses pour un moins cher mais que du coup il en faut trois à la place d'une pour le même résultat, elle est où l'économie ? Pourquoi certains décideurs qui ne savent pas de quoi ils parlent continuent-ils à mettre à mal la bonne volonté des soignants ? Ou quand un aide-soignant, me raconte qu'il a du changer son résident qui s'était souillé à mains nues car il n'y avait plus de gants en stock, que dire ? Quand Sophie, infirmière en soins palliatifs, pleure dans mon bureau parce que monsieur T. tellement amaigri ces derniers jours, n'a pas pu bénéficier d'une couverture en plus parce qu'il n'y en avait plus, que Mademoiselle C. n'a pu avoir un oreiller parce qu'il n'y en a pas alors qu'elle est si douloureuse et a besoin de se caler avec. Qui est responsable ? Le directeur de l'établissement qui lui n'est pas confronté à ce que cela fait vivre aux équipes et aux soignés de si douloureux, de ce manque d'humanité qui en dit long sur la façon dont chacun est considéré ou pas.
Des soignants qui se mettent en grève, se révoltent parfois se suicident.
Ce mode de gestion des soins engendre chez les soignants de la gêne, du dégoût, de la honte et, trop souvent aussi, de la culpabilité. Aucun soignant ne peut être fier d'une patiente dans la cinquantaine, épuisée par sa chimio et hospitalisée depuis une semaine qui ne peut pas bénéficier d'une douche. Aucun soignant ne peut se satisfaire que seuls douze résidents d'une Ehpad sur quatre-vingt puissent être sortis l'après-midi dans la cour ou accompagnés en salle d'animation. Aucun soignant ne peut être insensible à un jeune patient, vingt-cinq ans qui tremble de froid à l'accueil des urgences sur le brancard en plein courant d'air car la porte est cassée depuis trois mois et n'a pas été réparée. Aucun soignant ne peut se réjouir de cette autre patiente encore qui supplie qu'on la soulage, en fin de vie et que l'interne seul cette nuit, ne sait quoi faire parce qu'il remplace un médecin manquant plus qu'il n'est accompagné dans sa formation. De ce fait, ils sont malheureux, les soignants, parce que s'ils ont choisi de devenir soignants c'est justement parce qu'ils avaient un idéal. Ils ont choisi ce métier pour aider, accompagner, guérir aussi. Heureusement, il reste des services, des lieux de soins où tout se passe bien mais dans la plupart, c'est la bérézina sinon pourquoi tant de grèves, de SOS, de suicides chez les soignants et sur leurs lieux de travail, ça a du sens, non ? Ils ont honte, se sentent « complices » du système puisqu'incapables de s'y opposer. Ils subissent ou s'ils tentent desuggérer, de vouloir s'opposer, ils ne sont que trop rarement entendus, pourtant c'est bien eux qui sont en contact avec les personnes malades, les résidents, qui connaissent les besoins et ont des idées pour améliorer la situation. Mais voilà, plus personne ne prend le temps de les écouter.
Tout soin doit devenir rentable, le premier objectif n'est plus de soigner un être humain malade, accidenté, vieillissant mais d'être une source de profit pour l'hôpital, en Ehpad, en maison de retraite, partout. Même le parking devient payant !
Il existe pourtant des solutions, soyons optimistes.
Il faudrait faire évoluer les mentalités avec un management par la valorisation, l'encouragement. La gestion des centres de soins doit être faite par des gens dont c'est le métier afin d'éviter tous ces gaspillages, ces erreurs d'aiguillage. Donner des moyens aux soignants pour bien faire leur travail, les écouter, entendre ce qu'ils proposent et les considérer. Cette considération ne coûte rien mais réchauffe le cœur, augmente l'estime de soi et rend meilleur. Il y abeaucoup de bonnes volontés mais le système les a écrasés. Elles ne demandent qu'à rénover, améliorer et ce n'est pas qu'une question d'argent.
Et il y a urgence parce que si les soignants souffrent autant de ne pouvoir travailler comme ils le souhaitent c'est aussi parce qu'au-delà de ce que le système de soins actuel leur fait vivre, ils ont le souci des répercussions que tout cela a sur les personnes malades, sur les résidents et leurs proches. Chacun le sait sans vouloir le voir. Tout le monde connaît un proche hospitalisé, en maison de repos, en maison de retraite qui ne reçoit pas les soins que l'on aimerait qu'il reçoive, dont on sent que le personnel court et n'a pas assez de temps pour lui, pour elle. Ce que cela fait vivre aux soignés est aussi complexe. Un mélange de colère, de soumission, d'abandon, de tristesse, d'humiliation, de désespoir, de compassion pour ces soignants et surtout, la déshumanisation progressive des moments de soins de plus en plus écourtés.
Biographie
Valérie Sugg, psychologue dans un service de Cancérologie hospitalier, a été à l'écoute depuis 20 ans des personnes malades, de leurs proches mais, ces dernières années, c'est aussi les soignants auxquels elle a prêté son oreille et son temps. Elle le raconte dans son nouveau livre « L'hôpital : sans tabou ni trompette » aux éditions Kawa. Et c'est édifiant !
Auteure aussi de « Cancer : sans tabou ni trompette - Une psy à l'écoute des malades, de leurs familles et des soignants »
Prix, 23,95 euros
bernard muna
Mises à jour quotidiennes ⋅ 23 janvier 2018
ACTUALITÉS
Maitre Lavoisier Tsapy sur Radio Equinoxe: «Nous souhaitons que Ni John Fru Ndi reste à la tête ...
Cameroon-info.net
En 1992, il avait déjà affronté le bâtonnier Bernard Muna, en 1997, il a affronté Noucti Tchokouango et encore Bernard Muna. Ça voudrait dire qu'à chaque fois, il y a eu une compétition dans le SDF pour désigner le candidat à l'élection présidentielle. Il y a de cela une semaine, certains militants au sein ...
PRÉSIDENCE DU SÉNATCommuniqué de presse
Paris, le 23 janvier 2018
Rencontre entre le Président du Sénat, le Président du Conseil exécutif de Corse
et le Président de l’Assemblée de Corse
Le Président du Sénat, Gérard Larcher, a reçu ce jour MM. Gilles Simeoni, Président du Conseil exécutif de Corse, et Jean-Guy Talamoni, Président de l’Assemblée de Corse, afin d’évoquer la situation de la Corse après les élections territoriales de décembre dernier.
Gérard Larcher a réaffirmé la position du Sénat : « Si la spécificité insulaire de la Corse et son identité doivent être prises en considération, la République est une et indivisible. Le Sénat sera à la fois garant de l’unité nationale et initiateur de libertés nouvelles accordées à nos territoires ».
La Corse a connu une évolution majeure de sa gouvernance territoriale, avec la fusion des deux départements et de la collectivité territoriale préexistante pour former une collectivité territoriale unique à statut particulier. Conscient de l’importance de cette évolution, le Sénat suivra avec attention les travaux du Conseil exécutif, de l’Assemblée de Corse ainsi que ceux de la Chambre des Territoires de Bastia.
La loi du 22 janvier 2002 relative à la Corse permettait à la collectivité territoriale de Corse de faire des propositions d’adaptation des lois et règlements : ce mécanisme n’a pas fonctionné. Bien que l'Assemblée de Corse ait usé à de nombreuses reprises de sa faculté de proposition d'évolutions législatives et réglementaires, ses propositions, dans leur majorité, n'ont pas été prises en compte. Cette loi, sa mise en œuvre, doivent faire l’objet d’une évaluation. Lespropositions en matière d’adaptation législative et réglementaire doivent pouvoir obtenir une réponse.
Le Sénat est en faveur des démarches d’expérimentation, d’adaptation et de différenciation qui partent des réalités du terrain.
Aussi examinera-t-il avec attention, pour les collectivités à statut particulier comme la collectivité de Corse, la Ville de Paris ou la métropole de Lyon, les propositions tendant à modifier l’article 72 de la Constitution pour permettre un exercice différencié des compétences qui leur sont dévolues.
Différents sujets ont par ailleurs été abordés au cours de cet entretien et notamment les transferts de compétences et la situation d’éloignement des prisonniers.
Le Président du Sénat a réaffirmé son opposition au statut de résident et à la co-officialité de la langue corse.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Mardi 23 janvier 2018
Michèle RIVASI
(députée européenne écologiste, normalienne et agrégée en biologie, auteure du racket des laboratoires pharmaceutiques et comment en sortir)
SUITE A MA RENCONTRE AVEC LA DIRECTION DE LA SURVEILLANCE DE L'ANSM : renforcer la pharmacovigilance pour éviter de nouveaux scandales sanitaires
J'ai rencontré la semaine dernière le directeur de la surveillance à l'ANSM, la présidente du comité technique de l'ANSM et la présidente de l'association des Centres régionaux de pharmacovigilance.
Cet échange fut fort intéressant. J'ai pu questionner l'agence nationale sur sa coopération avec d'autres agences nationales de surveillance des produits de santé en terme de remontées de signaux.
J'en tire plusieurs recommandations pour améliorer notre système de surveillance des produits de santé :
· Les moyens de la pharmacovigilance doivent être renforcés(l'ANSM ne dispose que de 28 évaluateurs et les centres régionaux de 3 à 6 temps plein) : unemenace pèse aujourd'hui sur les centres régionaux de pharmacovigilance qui pourraient être réduit en nombre alors que ce sont des vigies indispensables à la remontée de signaux émanant du terrain par leur proximité et leur ancrage dans les CHU. Il faudrait mettre en place en plus de la plateforme nationale de signalement, des consultations en région pour les patients victimes d'effets secondaires. La direction de la surveillance devrait être suivie quand elle émet des alertes sérieuses et ce n'est pas toujours le cas. Le blocage vient souvent de l'EMA et du Comité pour l'évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) qui ne retire qu'exceptionnellement un médicament une fois l'AMM donné. On l'a vu il y a 2 ans avec le Mysimba® qui, grâce à une autorisation de mise sur le marché (AMM) européenne est arrivé sur le marché contre l'avis de l'agence française du médicament, alors qu'il présente un rapport bénéfices-risques défavorable. La France ne pouvait pas empêcher sa commercialisation, elle pouvait seulement s'opposer à son remboursement. Du coup, les agences nationales ont tendance à biaiser enjouent sur le taux de remboursement via la HAS et la commission de transparence ou en émettant de la communication publique comme elle l'a fait en décembre en supprimant la publicité pour lesmédicaments anti-rhume à base de pseudoéphédrine : Dolirhume, Fervex… Il faut donc renforcer la coopération entre agences nationales et les coalitions avec celles faisant remonter le plus de signaux (je pense notamment aux agences scandinaves).
· Le manque de moyens pour la pharmacovigilance en France et la baisse des effectifs dans les centres régionaux est inquiétante à l'heure de l'extension de l'obligation vaccinale à 11 vaccins et alors même que la Ministre s'était engagée à renforcer la surveillance et les études concernant les vaccins rendus obligatoires.
· Il faudrait aussi que la France s'inspire de l'Allemagne qui réduit de 20 points le taux de remboursement des médicaments en cas de déficit d'informations relatifs aux essais cliniques réalisés par les laboratoires pharmaceutiques et de la Belgiqueconcernant l'information au patients (cf. crise du Levothyrox) et qui finance sa surveillance des médicaments par une taxe prélevée sur les produits de santé.
· J'alerte les pouvoirs publics sur la carence de surveillance des dispositifs médicaux(au nombre de 2 millions environ) qui ne dispose via Matériaux vigilanced'aucune remontée de terrain via des antennes locales.
· La crise du Levothyrox et celui de la Depakine pour les femmes enceintes soulèvent les failles des autorités de santé en termes de veille, d'identification et de gestion des situationsde crise. L'ANSM a mis trop de temps à réagir et à reconnaître ces dysfonctionnements. Il faut une meilleure exploitation des réseaux sociaux (à l'instar de ce que fait la start-up Kap Codequi via son logiciel Detec't entend relever le niveau de pharmacovigilance dans l'Hexagone grâce aux réseaux sociaux comme nouvelle sourced'information scientifique), une nouvelle méthodologie de traitement des signalements massivement reçus sur leur portailinternet sans confondre pharmacovigilance et épidémiologie et enfin des moyens renforcés et décentralisés pour gérer les situations de crise.
· J'estime aussi que des progrès doivent être accomplis et une recherche menée sur le couple « sexe / médicaments ». En effet, les derniers scandales sanitaires concernent souvent les femmes majoritairement (Essure, Diane 35, Levothyrox…). Il y a souvent un déni des mandarins de la médecine relatif aux effets secondaires dont elles sont victimes. On l'a vu avec la thèse du « nocebo » par rapport aux effets secondaires ressentis par des milliers de victimes de la nouvelle formule du Levothyrox.
Ainsi, comme le dit Catherine Hill (épidémiologiste à l'Hôpital Gustave Roussy), il faut repenser la pharmacovigilance car"aujourd'hui, on voit bien que l'industriel s'abrite derrière l'ANSM, qui s'abrite derrière les prescripteurs, qui s'abritent derrière l'efficacité du médicament et leur respect des règles édictées par l'ANSM et l'industriel, bouclant ainsi la boucle … le fond du problème est simple : en cas de doute, c'est le patient qu'il faut protéger et non l'industriel".
Il convient de recréer une pharmacovigilance basée sur la confiance, notamment grâce à une vraie communication à destination des prescripteurs et des usagers et l'intérêt général et non le profit.
Il faut également que la pharmacovigilance devienne une filière universitaire attractive, qui forme des experts indépendants évaluant les produits de santé sans lien avec l'industrie pharmaceutique.
La pharmacovigilance touche à la question de la démocratie sanitaire et de sortie d'un modèle paternaliste où le malade écoute sans se poser de question son médecin et où les effets secondaires sont mis sous le tapis pour étouffer les scandales
Communiqué de presse
Paris, le 23 janvier 2018
Pour voir cet email, cliquez ici.
Le saviez-vous ? Les spécialistes estiment que plus de 2 millions de personnes âgées de plus de 65 ans subissent une chute tous les ans
D’après une étude menée par MSI, portant sur le marché de la Téléassistance pour le maintien à domicile en France, chez les plus de 80 ans, le risque de chute augmente de 50%. Parmi les accidents de la vie courante, les chutes sont la cause la plus fréquente de décès chez les personnes âgées : entre 4000 et 4500 décès chaque année.
De plus, tous les ans, les cas d’Alzheimer en France augmentent. En 2016, c’est près de 900 000 cas qui ont été identifiés dans l’Hexagone. Ce chiffre ne cesse d’augmenter (20 000 cas supplémentaires détectés tous les ans à l’échelle nationale).
Conscient de ces enjeux à la fois sociétaux et économiques, le spécialiste de la santé connectée Zembro annonce le lancement de Zembro Plus : une montre d’alarme personnelle permettant la détection d’égarement via géolocalisation. En intégrant à sa montre des fonctionnalités innovantes pour ne plus se perdre et alerter les secours, Zembro apporte une solution aux seniors et aux personnes atteintes de pathologies telles qu’Alzheimerou de démence.
Cette montre permet aux soignants et à la famille de rester connectés à chaque instant avec la personne qui la porte et d’intervenir si besoin.
Zembro Plus intègre les fonctionnalités suivantes pour plus de sérénité :
- un système anti-égarement : une alarme est déclenchée sur le smartphone de l’aidant ou sur le plateau de surveillance lorsque l’utilisateur sort de la zone de vie paramétrée en amont. En effet, les patients atteints de troubles cognitifs peuvent facilement se perdre, et l’arrivée de l’hiver peut se révéler être un facteur dangereux pour leur santé ;
- la géolocalisation intra-muros : des balises de sécurité Bluetooth, à répartir dans la zone de vie, permettent une géolocalisation plus précise, plus rapide et moins énergivore du porteur de la montre. Ainsi, si celui-ci déclenche une alerte, la montre notifiera à l’aidant sa situationgéographique exacte lui permettant ainsi d’intervenir rapidement ;
- un fermoir sécurisé : aucun risque de perte ou d’oubli, la montre reste bien accrochée !
- la détection d’absence de mouvement : pour s’assurer du bon port de la montre, 3 capteurs de mouvements déclencheront une alerte après un certain délais si aucun mouvement n’est constaté ;
- le service d’alerte Professionnel 24/7 : la plateforme d’écoute Zembro est disponible 24/7 en cas de besoin.
A propos de Zembro :
Créée en 2015, la startup belge Zembro propose sur le marché de la Santé Connectée la 1ère solution connectée d’alarme personnelle fonctionnant dans toute l’Europe. Liant l’utile à l’agréable, la montre Zembro se distingue par son design, sa praticité et se positionne comme LA montre qui reconnecte les générations entre elles pour faire face à un enjeu sociétal répandu : l’isolement et la perte d’autonomiedes personnes âgées. Etanche, géolocalisation intégrée, batterie de 10 jours…, la montre Zembro permet aux aidants comme aux aidés d’être connectés 24/7.
De nouvelles découvertes sur la maladie d’Alzheimer
Une équipe dirigée par Stéphanie Daumas, chercheuse à l’Institut de biologie Paris-Seine (IBPS : Sorbonne Université/CNRS/Inserm) et Salah El Mestikawy de l’institut universitaire en santé mentale Douglas de Montréal, remet en question le dogme qui associe la maladie d’Alzheimer à d’importantes pertes neuronales et synaptiques. Leur étude internationale menée sur plus de 170 sujets souffrant de la maladie d’Alzheimer à des stades divers est publiée dans Scientific Reports le 17 janvier.
Vous trouverez le communiqué de presse complet en pièce jointe.
Bien cordialement,
Sophie Poirée
Chargée de communication éditoriale
Direction de la communication
Sorbonne Université
01 44 27 24 53