Nora ANSELL-SALLES

lundi 10 décembre 2012

OPHTA POINT VISION fête ses un an,


ou quand un modèle innovant rencontre le succès

 

Proposer un rendez-vous et un bilan ophtalmologique complet en moins de 48

heures, dans le respect des tarifs de la sécurité sociale, c’est le pari gagné pour

OPHTA POINT VISION qui a ouvert depuis le début de l’année deux centres

modèles à Paris et à Lyon.

Près de six Français sur dix ont déjà renoncé à voir un spécialiste en raison des délais trop

longs pour obtenir un rendez vous. L’ophtalmologie est la spécialité où la pénurie se fait

ressentir le plus durement et dans certains départements, l’attente peut atteindre six mois à

un an. Pour remédier à celà, OPHTA POINT VISION offre aux patients un modèle économique

innovant imaginé par ses fondateurs (1). Leur défi est aujourd’hui relevé grâce à une

rationalisation des pratiques médicales et à un regroupement d’expertises

complémentaires.

Le nouveau modèle organisationnel d’OPHTA POINT VISION permet de prendre en charge

deux fois plus de patients tout en garantissant la qualité des actes médicaux (traitement de

40 000 patients par an et par centre avec une prise de rendez-vous directement sur internet

ou par téléphone). D’après le Professeur Gérard de Pouvourville à la Chaire ESSEC Santé,

Paris, « OPHTA POINT VISION est un exemple parfait de ce que l'initiative entrepreneuriale

libérale peut apporter comme solution innovante en matière d'accès aux soins, dans le

respect du cadre conventionnel et avec une haute qualité de service».

Ainsi, à Paris comme à Lyon et dans les futurs centres, les équipes sont pluridisciplinaires.

Concrètement, lors d’une même consultation qui dure entre 10 et 20 minutes, l’orthoptiste

effectue les premiers contrôles (mesures ophtalmologiques, réfraction, détection des

anomalies de la vision binoculaire) à l’aide d'un plateau technique de pointe. Le patient

est ensuite pris en charge par l’ophtalmologiste qui analyse les résultats de l’examen

liminaire, fait son diagnostic, délivre une ordonnance si nécessaire et rédige un compterendu

de l’examen. Outre l’ophtalmologie dite de « premier recours » et les bilans complets,

les centres proposent également la chirurgie de la cataracte, la contactologie et la chirurgie

réfractive.

OPHTA POINT VISION prévoit de développer une cinquantaine de centres dans les sept

prochaines années sur le territoire français. Les dirigeants souhaitent recruter de jeunes

ophtalmologistes qui démarrent leur activité libérale dans un environnement « clé en main »

ainsi que de jeunes retraités désirant poursuivre une activité salariée à temps partiel.

OPHTA POINT VISION fête aujourd’hui un anniversaire exemplaire pour l’offre de soins en


 

ANNEXE

(1) Les fondateurs d'OPHTA POINT VISION

François PELEN

Président du Conseil d'Administration – OPHTA POINT VISION

Ophtalmologiste, diplômé d'HEC, François PELEN praticien attaché en ophtalmologie de

l'Hôpital Henri Mondor, membre de la Société française d'ophtalmologie et de l'American

Academy of Ophthalmology. Il a commencé sa carrière dans l'industrie pharmaceutique, de

Sanofi à Pfizer où il exerçait jusqu'à une date récente des fonctions de

vice-président, en charge du customer marketing.

Ayant développé un concept original d'organisation des soins en ophtalmologie de premier

recours, il décide de quitter l'industrie pharmaceutique pour créer la société OPHTA POINT

VISION en 2011 et rejoint l'incubateur public Agoranov-Institut de la Vision, en compagnie

de ses associés fondateurs Patrice Pouts et Raphaël Schnitzer.

Patrice POUTS

Président OPHTA POINT VISION

Né en septembre 1972, Patrice POUTS est diplômé d'HEC Executive MBA, de The Anderson

School of Management (Los Angeles) et titulaire d'un mastère spécialisé en achats

internationaux (Ecole de Management-Bordeaux).

Après une carrière dans les achats dans de grands groupes internationaux (Valeo, General

Electric HealthCare), Patrice Pouts a rejoint le laboratoire Pharmaceutique Pfizer en 2000 en

tant que Directeur des Achats et par la suite Directeur des Opérations Cliniques jusqu'en

2011. Ses différentes responsabilités lui ont permis d'acquérir une approche

organisationnelle et de développer une solide expertise dans la santé.

En 2011, avec ses associés, il créait la société OPHTA POINT VISION avec comme objectif de

mettre en place un réseau national de centres d'ophtalmologie de premier recours pour

prendre en charge la prescription de lunettes et de faire un bilan oculaire complet avec la

promesse d'un rendez-vous assuré dans les 48 heures, sans dépassement d'honoraires.

Raphaël SCHNITZER

Directeur du développement et des Affaires juridiques d'OPHTA POINT VISION, Raphaël

SCHNITZER est juriste de formation, MS HEC. Il a une expérience au sein de cabinets

juridiques internationaux.

samedi 8 décembre 2012

Suggestion gourmande....

Mariage Frères - Bûche de Noël « Rouge Imperial »


Un plaisir de bûche sans égal qui commence sur du velours (oh le drapé de cette couverture rouge impérial en pâte d’amande !) et se poursuit par un voyage entre textures et succulences parfumées. Gourmande, fondante et moelleuse, une génoise roulée à la marmelade de framboises et crème mousseline au thé vert Matcha sous un fin drapé de pâte d’amandes.

Impériale !

A savourer avec un « Fruit Tea » Noël, sans théine.

 

vendredi 7 décembre 2012

Enquête ESSEC


La Chaire ESSEC Santé, mène actuellement une enquête portant sur un instrument de qualité de vie appelé l'EQ-5D.

Cet instrument permet de décrire l'état de santé de personnes malades ou bien portantes à l'aide d'un petit questionnaire.

 
L’enquête permettra de mieux comprendre ce questionnaire et de l'améliorer.

 
En savoir plus:

Alerte MGEN



Le 5 décembre à Lyon, le groupe MGEN a organisé « La santé, version active », première journée de sensibilisation aux bienfaits de l’activité physique et sportive pour la santé. 320 adhérents et une centaine de salariés ont répondu présents. Cette affluence démontre l’adhésion du public aux opérations de promotion de la santé à l’instigation de leur mutuelle.

 

20 décembre 2012 8h à 15h45 " La Prévention, aujourd'hui et demain ? "Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE)


Le Président de la République, François Hollande, a annoncé le 4 décembre 2012 lors de la 4ème  édition des rencontres annuelles de l'Institut National du Cancer (INCa) le lancement d’un troisième Plan Cancer pour la période 2014-2018. Cinq priorités seront fixées avec un axe fort sur la prévention.

Quel projet commun de santé publique en France ? Quelle cohérence entre les Plans nationaux ? Quelle articulation avec la future loi de santé publique ? Toutes ces questions en suspens réclament des réponses car plus que jamais, un vrai changement de culture et de paradigme dans la prévention des comportements de santé doit être impulsé en France.

 

Organisé le jeudi 20 décembre 2012 de 8h à 15h45 au Palais d'Iéna, sous le Haut Patronage du Conseil économique, social et environnemental, le colloque national « La Prévention : aujourd’hui et demain ? » replace la problématique de la prévention au cœur de la réflexion sociétale, médicale et politique en mettant en exergue la nécessité de partager et de décider ensemble des fondamentaux d’une vraie politique de prévention globale et transversale en France.  

 

nile en assure l’organisation et le secrétariat général. Pfizer, acteur contributeur aux réflexions sur l’évolution du système de santé, et pour lequel la prévention représente un domaine d’engagement important, est partenaire institutionnel de ce colloque.

 

Ouvert à l’ensemble des parties-prenantes, le colloque permettra de mettre sur le devant de la scène la problématique de la prévention dans la perspective de la future Loi de Santé Publique ou de toute autre initiative similaire.

 

Vous êtes déjà plus de 230 acteurs de santé à vous être inscrits à cette manifestation exceptionnelle.

 

Monsieur le Président du Conseil Economique, Social et Environnemental (CESE), Jean-Paul Delevoye, nous fait l’honneur et le plaisir de s’exprimer sur les fondamentaux d’une vraie politique nationale de prévention

Vous pouvez consulter l’interview en cliquant sur le lien suivant : http://loeildenile.eu/2012/12/05/interview-de-jean-paul-delevoye-president-du-cese

 

Vous trouverez en pièce jointe le programme de la manifestation et le courrier d’invitation du laboratoire Pfizer.

 

Le nombre de places restantes étant limité, veuillez nous confirmer votre présence dans les meilleurs délais par retour de mail à arnaud.emeriau@nile-consulting.eu ou par téléphone au 06 27 25 25 79.

 

Il est important de vous préciser que vous devez impérativement vous présenter au Palais d’Iéna muni d’une pièce d’identité.

Ces cadeaux qui ont du sens...

 « Grâce au formidable engagement des équipes SEPHORA en France et en Europe, nous pouvons avec vous donner un avenir à ces jeunes filles. »
 
Tina Kieffer
Présidente-Fondatrice de Toutes à l’Ecole
 
100 petites filles ont pu être scolarisées en 2011 grâce au soutien de SEPHORA France, SEPHORA Italie, SEPHORA Espagne et SEPHORA Portugal.
 
En 2012, le soutien continue avec Psychedelic Zebra
 
Ami fidèle de la Belle et compagnon ultra branché, La peluche Pyschedelic Zebra ne fait pas tache avec ses rayures ! Bien au contraire, c’est un zèbre au grand coeur. Absolument irrésistible…
Aussi malicieux que doux-doux, Aussi mignon qu’attendrissant, On rêve toutes de l’offrir ! Avec des rayures aussi chic et un museau qui  appelle aux câlins la Pyschedelic Zebra mania débarque chez
Sephora.
 
Venez adoptez*, ou offrez l’adorable peluche  Psychedelic Zebra  à l’occasion de fêtes… Elle fera plus d’un heureux !
 Tous les bénéfices des ventes du Pyschedelic Zebra seront reversés à l’association “Toutes à l’Ecole”. Prix : 10€
* chez SEPHORA ou sur www.sephora.fr N° lecteurs : 0 892 70 70 70
 
 
 


 

Le SMS a 20 ans et toutes ses dents


Matière à réflexion : Bernard Petitjean et Corinne da Costa – Seprem Etudes & Conseil

 Le Reuter Institute for Study of Journalism de l’université d’Oxford vient de consacrer une intéressante étude aux Pure Players d’information en France, Allemagne et Italie. La chaleur des hommages rendus à ces start up ne réchauffera pas le moral de leurs responsables financiers …

 

Matière à Réflexion fête son N° 150 trois jours après le très discret 20ème anniversaire de la naissance du SMS. Le succès de ce moyen de communication est paradoxal, tant il est rustique et peu capable de séduction dans un monde où n’importe quel Smartphone est une prouesse de designer bourrée de technologie de pointe. C’est une bonne raison de s’y arrêter.

Dans un article bien documenté du site lemonde.fr, Cécile Ducourtieux nous apprend que le premier Short Message Service (SMS) aurait été envoyé le 3 décembre 1992 par un ingénieur de Sema Group qui voulait souhaiter un « Merry Christmas » à un collègue de Vodafone. Le fait que le premier SMS ait été envoyé à un ingénieur par un autre ingénieur ne doit rien au hasard : lors de l’élaboration de la norme de téléphonie GMS, un canal avait en effet été réservé aux techniciens pour qu’ils puissent s’envoyer facilement des messages écrits.

Les SMS ont été proposés au grand public par les opérateurs téléphoniques lorsque ceux-ci ont observé le décollage des ventes de Pagers (souvenez-vous, Tatoo, TamTam et les autres petits boitiers qui n’envoyaient que des messages texte).

Bien leur en a pris, les SMS leur rapportent chaque année des centaines de millions d’euros ! Ils font aussi gagner beaucoup d’argent à tous ceux qui proposent de voter par SMS surtaxé pour des miss quelque chose et autres candidats à des émissions de téléréalité …


 


 

MINE D'INFOS: LE CHIFFRE DU WEEK-END : 36 37

MINE D'INFOS: LE CHIFFRE DU WEEK-END : 36 37: Le 26e Téléthon commence ce soir. Les dernières infos sur les infos sur les 30 h d'émission, les manifestations sur le terrain, les différe...

C' est à lire : Les Dessous de la Robe : chroniques illustrées du maquis judiciaire

Vient de paraître

« Les Dessous de la Robe » de David Forest et Gautier Kaufman, Avocats à la Cour, Jérôme Meyer-Bisch, Illustrations  - Lextenso Editions
 

Paris, décembre 2012 - Deux robes noires, David Forest et Gautier Kaufman, avocats à la Cour, et un illustrateur, Jérôme Meyer-Bisch, croquent avec humour, un siècle et demi après le caricaturiste Daumier, la tribu des avocats à travers des chroniques illustrées sur les petites mythologies et mythomanies du Palais dans un ouvrage de 92 pages qui paraît chez Gazette du Palais.

 
Les trois auteurs nous invitent à une promenade buissonnière sur les sentiers du maquis judiciaire. Les lecteurs croisent en chemin, au détour des salles d’audience et de quelques cabinets d’avocats, une galerie de portraits hauts en couleur : une star du barreau d’affaires qui murmure à l’oreille des patrons, le steeple-chase de jeunes confrères ambitieux, des candidats au Conseil de l’Ordre farfelus et déjantés, un jeune juge égaré fraîchement débarqué dans un tribunal de province, une secrétaire qui se pique de délivrer des consultations juridiques. On y apprend les mille et une façons de plaider avec ou sans les mains, d’écrire avec ou sans les pieds, ou de porter la robe avec ou sans style. En somme, tout ce qu’un justiciable, bientôt client, doit connaître de cet univers qui reste étrange en 2013.

 

En savoir plus :  

Accédez au Communiqué de presse et feuilletez des extraits de l'ouvrage en cliquant sur ce lien

 

3 millions de personnes en France : des maladies « rares » ?


A l'initiative de la SFN, les représentants des organismes en charge des maladies rares (ORPHANET, Fondation Maladies rares, Comité de Pilotage du Plan Maladies rares), et les médecins responsables des centres de référence en Neurologie, implantés dans les CHU,  se sont réunis, le 30 novembre dernier, au Ministère de la santé, pour faire un bilan d'étape à mi-parcours du 2e Plan « maladies rares », les maladies neurologiques en particulier.

 

Les résultats, depuis 2004, sont encourageants car la prise en charge de ces 7 000 maladies a effectivement radicalement changé, en permettant, pour la première fois, de les faire entrer dans la modernité d’une recherche clinique et fondamentale avec des centres de référence qui se sont imposés progressivement comme les interlocuteurs des médecins et des patients, grâce au soutien des Associations de patients, en particulier de l’AFM.  

·         Les maladies sont rares mais les patients nombreux : 3 millions en France

·         Une « double peine » : une maladie rare, souvent grave, méconnue à la fois par les médecins et les proches

·         30 centres de référence en neurologie sur les 132 implantés dans les CHU partout en France

Mais, ces maladies ne bénéficient toujours pas de la même attention que les maladies considérées comme plus « fréquentes », et les objectifs du 2e Plan « maladies rares » risquent de ne pas être atteints, au détriment des patients, en particulier :

·         Il manque des registres nationaux dans la plupart de ces maladies, indispensables pour développer la recherche sur le diagnostic et des protocoles thérapeutiques harmonisés ;

·         Les patients mettent souvent plusieurs mois avant de trouver le bon centre de référence qui pourra mettre un terme à leur errance diagnostique ;

·         L'information existe, notamment sur internet, mais ces sites ne sont-ils par trop réservés aux professionnels et insuffisamment connus du public ?  Ne faudrait-il pas prévoir une information plus institutionnelle, comme c'est le cas dans d'autres domaines prioritaires de santé publique ?

 

LE CHIFFRE DU WEEK-END : 36 37

Le 26e Téléthon commence ce soir. Les dernières infos sur les infos sur les 30 h d'émission, les manifestations sur le terrain, les différentes façons de vous engager en 2012.

 ·         Osez vaincre : deux mots pour un unique combat
« Osez vaincre », c’est le slogan du Téléthon 2012. C’est aussi le cri d’espoir des familles qui sera lancé aux français les 7 et 8 décembre prochains.

En savoir plus sur les thèmes du Téléthon 2012 ·         Franck Dubosc, un parrain naturellement de cœur
Le parrain du Téléthon 2012 est l’humoriste et comédien Franck Dubosc. Un rôle inédit qui lui va déjà comme un gant.
En savoir plus sur le parrain du Téléthon 2012
 ·         Léa, la petite battante
L’ambassadrice des malades du Téléthon 2012 ne se laisse jamais abattre. De quoi susciter l’admiration de ses proches et, bientôt, celle des téléspectateurs de France Télévisions.

En savoir plus sur Léa, ambassadrice des familles ·         France Télévisions et 4 villes au cœur de la mobilisation
Partenaire historique de l’AFM-Téléthon, France Télévisions retransmettra les 30 heures du Téléthon 2012 en continu. Six chaînes sont concernées.

En savoir plus sur le dispositif télévisuel 2012·         Des nouveaux essais de médicaments en 2013
Des jeunes malades atteints de déficits immunitaires, de maladies rares du sang et du cerveau ont déjà bénéficié des thérapies innovantes nées de la recherche impulsée grâce au Téléthon. 36 essais sont en cours ou en préparation sur près de 30 maladies.

En savoir plus sur les essais prévus en 2013 ·         Téléthon, les coulisses de la mobilisation
Le Téléthon mobilise 5 millions de personnes pour près de 20 000 manifestations. En 2011, les actions menées sur le terrain ont apporté 36 millions d’euros de collecte. Mais comment ça marche ?
 
Trouver les événements près de chez vousEn savoir plus sur l'organisation des manifestations du Téléthon 2012·         Les partenaires du Téléthon 2012
Des entreprises, des associations, des fédérations et des acteurs du web se mobilisent pour collecter des dons au profit du Téléthon. Tour d’horizon des opérations à ne pas manquer les 7 et 8 décembre prochain.

Découvrir les partenaires du Téléthon 2012 et leurs actions·         Sur Internet, le Téléthon prend de l’ampleur
Le Téléthon, c’est une mobilisation exceptionnelle des internautes sur Facebook et Twitter et autour d’applications innovantes comme le Live, le Défithon et le Buss Mob.
Découvrir les applications du Téléthon 2012 et comment agir sur InternetPour afficher ce message sur votre navigateur.

LIBRES PROPOS



L’assemblée générale de MG France du 1er et 2 décembre 2012 :

- a témoigné des très vives inquiétudes des médecins et des organismes de formation de terrain quant à l’avenir de la formation continue des médecins généralistes.

- a renouvelé son soutien aux organismes de formations dans leur demande de clarification rapide sur les modalités de mise en œuvre du DPC pour 2013.
- a réaffirmé qu’aucune politique de structuration des soins de premier recours sur les territoires voulue par la ministre de la Santé ne sera possible sans un réel accompagnement des généralistes.

MG France demande instamment que soient prises pour 2013 les décisions suivantes :


·         la mise en place opérationnelle du DPC, s’appuyant sur le travail des associations de formation, qui a fait preuve de son efficacité auprès des professionnels.

·         la mise en œuvre du DPC des médecins généralistes majoritairement en journée et sur le temps de travail. Toutes les réunions favorisant la sortie de l'isolement, les échanges et la création d'équipes entre professionnels de santé doivent être valorisées grâce à l’indemnisation des pertes de ressources.

·         des financements du DPC clairement établis et pluriannuels :

- avec des niveaux de forfaits fixés sur la base de l'existant
- avec un nombre de journées annuelles financées et indemnisées suffisamment important pour permettre un réel accompagnement des professionnels qui le souhaitent
- avec une mise en place rapide de formations interprofessionnelles


Pour cela, les médecins généralistes devront pouvoir organiser et gérer de manière autonome leur DPC au sein de toutes les instances (Commission scientifique indépendante, Commissions paritaires au sein de l’Organisme Gestionnaire du DPC).

MG France mettra tout en œuvre pour que le Développement Professionnel Continu devienne un outil au service d'une politique professionnelle favorisant l'accès aux soins des patients sur l'ensemble du territoire.

Dr Claude LEICHER  Président  de MG France

Dr Marie-Hélène CERTAIN

Dr Jean-Louis BENSOUSSAN
 
Et vous qu’en pensez-vous ?

jeudi 6 décembre 2012

DÉPASSEMENTS D’HONORAIRES

La Mutualité Française Nord-Pas de Calais s’engage dans le conventionnement hospitalier mutualiste pour minimiser le reste à charge des familles.
 
Un français sur cinq déclare avoir, au cours des deux dernières années, renoncé ou retardé des soins, principalement pour des raisons financières. En région Nord-Pas de Calais, les dépenses liées aux soins hospitaliers représentent 650 €/an/habitant. L'enjeu est de taille : limiter les dépassements d'honoraires afin de diminuer le reste à charges et donc favoriser l'accès aux soins au plus grand nombre.

·         Conventionnement hospitalier mutualiste : un accès à des soins de qualité tout en dépensant moins !
Représentant aujourd'hui 17,3% des dépenses totales des mutuelles, les dépenses hospitalières arrivent devant les honoraires de médecins de ville et les honoraires dentaires !
Le Conventionnement hospitalier mutualiste est un dispositif visant à aider les patients adhérents d’une mutuelle à choisir un établissement de santé en étant bien informés sur la qualité et le coût maîtrisé des soins proposés. En effet, la Mutualité Française Nord-Pas de Calais sélectionne certains établissements de la région (publics ou privés) selon des critères de qualité (établissements certifiés par la Haute Autorité de Santé et ayant de bons résultats en matière de lutte contre les infections nosocomiales) et s’accordent avec eux sur un tarif de la chambre particulière à respecter.
Pour le patient, c’est une garantie de dispense d’avance de frais et la maîtrise du reste à charge grâce à des tarifs négociés.


·         Premier bilan du Conventionnement hospitalier : 60% des établissements référencés avant le début de la deuxième phase
En région Nord-Pas de calais, 38 conventions ont déjà été signées, soit plus de 60% des établissements référencés.
Le dispositif concerne aujourd'hui les activités de médecine, de chirurgie et d’obstétrique mais la Mutualité Française Nord-Pas de Calais va l’étendre aux soins de suite et de réadaptation (SSR) , ainsi qu’à la médecine ambulatoire  et aux soins externes.

C’est d’ailleurs pour échanger sur l’avancée du conventionnement dans la région, sur les perspectives de lancement de cette deuxième phase ou encore sur la mise en place de procédures simplifiées pour les établissements de santé, qu’une journée de rencontres entre acteurs de santé de la région à été organisée le 13 novembre dernier. Une première nationale !
 
                       Les habitants du Nord-Pas de Calais peuvent consulter la liste des             
          établissements conventionnés sur le site internet de la Mutualité :       
                  et se référer au Label « Etablissement Conventionné » visible dans les hôpitaux concernés.