Objet : Retraite à 64 ans, une question mal posée - HCFiPS - Fusion-absorption de la LMDE par Intériale - Lettre Espace Social Européen du 29/06/2021
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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
Objet : Retraite à 64 ans, une question mal posée - HCFiPS - Fusion-absorption de la LMDE par Intériale - Lettre Espace Social Européen du 29/06/2021
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Communiqué
de Presse
Abidjan, le 23 Juin 2021 – Depuis quelques temps, des propos sont attribués au Président Laurent GBAGBO sur des comptes Facebook, twitter et autres.
Nous tenons à rappeler que le Président Laurent GBAGBO ne dispose d’aucun compte sur les réseaux sociaux. Il ne disposait que d’une page internet qui est actuellement en maintenance.
Au moment opportun, nous lui créerons des comptes officiels sur les réseaux sociaux, et nous le ferons savoir.
Pour l’heure, nous saisissons Facebook et Twitter pour faire fermer tous les comptes usant abusivement du nom du Président Laurent GBAGBO.
Maître Habiba TOURE
Les collaborateurs de Pandat Finance et l'ADOM,
ont le plaisir de vous convier à leur matinée
à l'Hôtel de Poulpry, Maison des Polytechniciens le vendredi 9 juillet 2021.
L'occasion de se rencontrer et d'échanger sur les solutions de placements adaptées aux Mutuelles !
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AU PROGRAMME :
9h00-10h00 : Accueil (à partir de 8h30) - petit déjeuner
10h00-10h45 : Présentation macro-économique
10h45-11h30 : Table ronde 1 - Quelles solutions de placements s’offrent aux mutuelles en matière d’optimisation de SCR avec une recherche de consommation de fonds propres minimum et un couple rendement/risque intéressant ?
11h30-11h45 : pause
11h45 - 12h30 : Table ronde 2 - Quelles solutions de placements à vocation ESG/ ISR/ Solidaires ?
12h30-14h30 : Cocktail déjeunatoire
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INFORMATIONS PRATIQUES :
HORAIRES :
de 8h30 à 14h30
ACCÈS :
Hôtel de Poulpry - Maison des Polytechniciens
12 Rue de Poitiers, 75007 PARIS
Métro (ligne 12) : Solférino
Parking Montalembert, 9 rue Montalembert
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Du haut de ses 45 ans, Fatima Tricoire a un parcours de vie des plus atypiques. À la suite d’une maladie rare et invalidante diagnostiquée à 37 ans, la Mahoraise fonde RNS coaching et vient d’inaugurer la Maison du Second Souffle à Paris pour proposer des ateliers aux plus démunis. Entretien.
Flash Infos : Le week-end dernier, vous avez inauguré la Maison du Second Souffle, qui vient en complément de votre société dénommée RNS Coaching. Quel est le concept de votre projet ?
Fatima Tricoire : Cela fait trois ans que j’ai ouvert mon cabinet à Neuilly-sur-Seine, où j’apporte principalement mon expertise à des cadres supérieurs qui traversent des grands défis, qu’ils soient d’ordre personnel, professionnel ou social. À travers ce public, l’objectif est d’attirer des entreprises pour les sensibiliser sur le handicap invisible. Avec la Maison du Second Souffle, un projet accompagné par le président de l’association des directeurs des organismes de mutualité francophone, Bruno Huss, qui en est aussi le parrain, je fonctionne avec des partenaires pour la subventionner et accueillir d’autres intervenants sans que les bénéficiaires n’aient à payer les ateliers. Cela marche comme du mécénat !
C’est un lieu que je loue une fois par mois pendant deux heures. Aujourd’hui, je cible le 93 car c’est là je réside et surtout là où des branches de la population sont oubliés, ce que l’on appelle les classes d’en bas. À titre d’exemple, lorsque je me rends dans les entreprises, de nombreux salariés m’accostent, notamment les femmes de ménage, pour me dire qu’elles n’osent pas parler de leur malaise. Ce sont ces personnes oubliées à qui s’adresse la Maison du Second Souffle. À termes, l’idée serait de réussir à essaimer ce type de maison un peu partout en France.
F. T. : Mon arrêt maladie a durée presque 14 mois ! Pendant la convalescence, je me suis retrouvée seule face à mes problèmes, même si heureusement j’étais entourée de mes proches. Mais je n’avais plus du tout de vie sociale ou professionnelle. Je me suis complètement renfermée dans ma maladie et me suis retrouvée en complet décalage avec le monde extérieur que l’on ne comprend plus. Cela a été une épreuve catastrophique… Au cours de ma cours réinsertion professionnelle, j’avais du mal à retrouver ma place, je ne parlais plus le même langage que mes collègues. Il y avait comme une cassure : les ambitions d’antan ne l’étaient plus. Cela a suscité une frustration incroyable, qui a provoqué des rechutes.
Suite à cela, je suis allée voir des psychologues. C’était la descente aux enfers… Jusqu’au jour où j’ai rencontre cette thérapeute qui m’a proposé du coaching et qui m’a rendu mon pouvoir. En d’autres termes, je suis redevenue actrice de ma vie ! J’ai alors décidé de me former et de me certifier dans la santé mentale, physique et sociale. J’ai suivi un parcours à l’institut Curry à Paris qui avait mis en place des ateliers à destination de personnes qui sortaient de la maladie.
Mais le coaching a un prix : il fallait compter 100 euros par semaine pendant trois mois ! Je me suis alors promis que quand je serais plus à l’aise avec RNS Coaching, je souhaitais créer un lieu chaleureux et ludique pour parler de la vulnérabilité et de la résilience. C’est désormais chose faite (rires).
FI : Vous avez quitté Mayotte très jeune, à l’âge de 19 ans pour poursuivre vos études. Or, de nombreux étudiants mahorais subissent une forme de stress et de dépression à ce moment-là et peuvent avoir besoin de coaching en raison de l’éloignement avec leur île natale. Cette Maison du Second Souffle pourrait-elle par exemple en accueillir certains ? Mais aussi s’exporter directement dans le 101ème département ?
F. T. : Complètement ! J’ai souhaité solliciter des partenaires à Mayotte par le passé, mais je ne savais pas à quelles portes toquer. Personne n’a pas pris la mesure de ce que le coaching pouvait apporter aux étudiants… Je suis alors rentrée en contact avec Bruno Huss, qui travaille beaucoup avec la chambre régionale de l’économie sociale et solidaire (Cress) de Mayotte, pour venir en aide aux jeunes, notamment sur Marseille où l’on touche des compatriotes comoriens et mahorais. La Maison est ouverte à tous ! Je peux organiser des ateliers spécifiques, que ce soit pour les Mahorais ou les autres habitants de l’Outre-mer. J’avais eu l’occasion d’être sollicitée par la délégation de Mayotte à Paris pour évoquer RNS Coaching à l’occasion de la journée de la femme, mais une semaine plus tard, on rentrait en plein Covid-19… Cela a mis un petit coup de frein à une éventuelle collaboration.
Mais je me déplacerai volontiers dans le 101ème département. Je suis ouverte à toutes propositions à partir du moment où j’accompagne et aide untel ou untel à aller mieux. Je demande juste que les choses soient bien organisées. Mon frère qui vit toujours sur le territoire m’a dit de rentrer en contact avec différents partenaires sur place, mais je n’ai pas encore eu le temps en raison de l’inauguration. Désormais, j’ai le temps de me consacrer à tous les projets qui pourront m’être proposés. Une femme m’a également appelé pour avoir plus d’informations sur la Maison du Second Souffle qu’elle aimerait mettre en place à Mayotte. Très bien, mais je souhaiterais garder la main, car j’ai tout de même une formation spécifique. Dans tous les cas, j’attends avec impatience de servir mon île !
Vous pouvez contacter Fatima Tricoire par téléphone au 06.09.33.93.11 ou par email contact@rns-coaching.fr ou en vous rendant directement sur son site Internet rns-coaching.fr
CONTACTS:
👉 Mayotte hebdo :
👉 ADOM - Association des Directeurs des Organismes de Mutualité francophone, inter-Livres et inter-Codes
Siège social : 255 rue de Vaugirard - 75015 Paris
Bureau : Maison de la Mutualité - 1 rue François Moisson - CS 30555 - 13236 Marseille cedex 2
Port. : 06 76 10 07 66 - Tél. : 04 91 23 41 63
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Bonjour Bruno Caron, comment allez-vous ?
Très bien et particulièrement occupé dans un contexte environnemental aux évolutions complexes, diversifiées et imprécises dans leurs organisations et impacts : la sortie du Covid et la question de la couverture à 100% par l’assurance maladie, la protection sociale complémentaire pour la Fonction Publique ou encore le développement de la prévention en santé.
MFP ServicesPouvez-vous faire un point d'étape sur MFP Services ? Compte tenu des évolutions de ces dernières années et du contexte actuel, pouvez-vous nous dire où en est MFP Services aujourd'hui ?ses principaux champs d'intervention?
La « mue » de MFP Services est plutôt bien réussie, l’Union est devenue une structure dont l’activité est exclusivement consacrée à la prévention à destination des assurés sociaux des périmètres ministériels couverts par MFP Services. Des accords-cadres sont signés avec la plupart desdits Ministères, ils visent à organiser au sein des services de l’Administration des actions de prévention de proximité ciblées pour les populations concernées avec la mise en œuvre partagée entre les Administrations et notre Union avec la collaboration des mutuelles.
Les actions de prévention sont construites avec l’aide d’un comité scientifique propre à MFP Services, pluridisciplinaire et composée de personnalités scientifiques de haut niveau. Nos accès aux données de santé, en tant que délégataire de l’assurance maladie, permettent de déterminer les besoins en accompagnement de nos populations et de créer certaines actions spécifiques.
- Quels en sont les principaux acteurs?
Comme je le précisais, les professionnels de santé du comité scientifique sont les acteurs « pivots » et « sources » de notre activité. Ils permettent de réfléchir et projeter nos actions de prévention en analysant leurs pertinences sur des temps déterminés. Les services médicaux de l’assurance maladie sont des interlocuteurs de premier niveau sans lesquels nous ne mettrions aucune action en œuvre, leurs remarques et accords sont des préalables incontournables à toute nouvelle mise en œuvre d’action de prévention. Et, bien entendu, les Secrétariats Généraux des Ministères sont les structures avec lesquelles nous œuvrons pour atteindre la meilleure couverture possible des agents en activité par un phénomène de proximité, au sein des services. Et, au-delà des personnels de MFP Services ( chefs de projets, analystes, responsables de communication, …), il convient de souligner l’implication des militants de nos mutuelles membres à nos côtés.
L’horizon pour notre Union est l’année 2022 lors de laquelle nous échangerons avec le Directeur Général de l’assurance maladie pour arrêter notre prochaine convention pluriannuelle de gestion (CPG). Ce sera l’occasion de faire un point exhaustif sur le CPG en cours et positionner encore mieux l’acteur prévention de l’assurance maladie que nous sommes comme étant l’interlocuteur des Ministères et des assurés sociaux fonctionnaires pour le compte et au nom de la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM).
MGEFI
La crise sanitaire a t-elle impactée les dernières campagne de mutualisation ?
La crise sanitaire que nous connaissons a de multiples impacts tant sur l’organisation des soins que sur la structure de la consommation. Le gouvernement a décidé la prise en charge à 100% par l’assurance maladie des soins relatifs au Covid. Des prises en charge de certains soins n’ont pu être effectuées et ont été reportées. Aussi, la sous-consommation en régime complémentaire du fait de ces éléments conjugués font que des effets de rattrapage de soins seront inéluctables, posséder une complémentaire santé est donc primordial . Or, des actions de confinement et de télétravail ont altéré les contacts entre collègues et ont eu immanquablement des effets délétères en mutualisation. Les chiffres de la campagne 2020 sont en régression comparativement aux années précédentes, des actions « distancielles » sont opérées pour tenter d’atténuer cet impact négatif.
Comment assurer la pérennité de la MGEFI face à la baisse annoncée des recrutements au sein l'Administration dans les années à venir ?
Comme précisé ci-avant, cela passe par une confirmation de la MGEFI comme étant un acteur de la complémentaire santé reconnu par la Fonction Publique d’Etat, tout particulièrement sur son périmètre historique de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. Au-delà, des nouvelles orientations de développement devront être prises pour combler les absences de recrutement des Fonctionnaires et ainsi équilibrer la population actifs/retraités. C’est le sens du plan stratégique « MAGELLAN » voté par les délégués de la mutuelle lors de l’assemblée générale de mon élection à la Présidence.
👉POINT D'ACTUALITE
Comment va la santé des fonctionnaires ? A quand le prochain baromètre santé des fonctionnaires ?
Avec MFP Services, nous travaillons sur l’étude des consommations des populations que nous gérons pour bien appréhender les besoins en prévention, en cas de spécificités par rapport aux assurés sociaux du régime général. Nous avons, par exemple, constaté que les Fonctionnaires consommaient plus de benzodiazépines que la moyenne nationale. Le recours plus importants aux anxiolytiques et aux somnifères sur des durées parfois longues, voir très longues, est un vrai sujet dont nous nous sommes emparés pour mieux prévenir ce phénomène. Mais, nous ne voulons pas nous arrêter à la simple étude de nos données de consommation médicales, nous faisons, tous les deux ans, un baromètre santé des Fonctionnaires, la notion de « ressenti » vis-à-vis de sa santé est également importante et peut apporter des éclairages sur lesdites consommations médicales. Nous verrons comment la santé est ressentie par les Fonctionnaires au prochain automne lorsque les résultats de notre nouveau baromètre « post Covid » paraîtra.
Dans le contexte de réforme de la PSC des fonctionnaires et les interrogations que celle-ci sucite: Quels sont vos rapports avec l'Administration... et les syndicats ?
La réforme PSC des fonctionnaires est un sujet de très grande importance pour les mutuelles de fonctionnaires. Elle déterminera le cadre des futurs appels d’offre de la Fonction Publique pour proposer aux Fonctionnaires des couvertures santé obligatoires ou optionnelles selon des schémas qui restent à définir, à l’heure à laquelle je réponds à vos questions. Si le premier réflexe communément partagé a été celui d’apprécier l’aide pécuniaire accordée par l’Etat aux Fonctionnaires, il n’en demeure pas moins que de très nombreuses inconnues existent, et pourraient mettre à mal les systèmes solidaires et mutualisés portés aujourd’hui par les mutuelles de fonctionnaires. Pour éviter que cela ne se produise, autant que cela puisse se faire, nous échangeons avec les syndicats de notre Ministère et avec les mutuelles membres de la Mutualité Fonction Publique pour parfaire l’encadrement de ce que serait la PSC en préservant les solidarités intergénérationnelles (entre actifs et retraités) et familiales, tout en assurant une couverture santé et prévoyance minimale d’un niveau suffisamment correct. Les interlocuteurs naturels des pouvoirs publics sont les syndicats, nous travaillons ensemble, nous nourrissons l’espoir que le gouvernement entendra les principes solidaires et de couverture de bons niveaux que nous portons depuis toujours.
Quel regard portez-vous sur la gestion de la crise sanitaire ?
Cette crise sanitaire est exceptionnelle dans sa soudaineté, sa portée et sa durée. Son amplitude est énorme, avec plus de 3,5 millions de morts dans le monde à ce jour et un diagnostic encore difficile à poser sur le nombre et la nature des Covid-longs. Il était difficile d’anticiper une telle pandémie et de déterminer les bons plans médicaux et de sécurisation des populations. Il suffit de regarder les solutions et les divers accompagnements que les pays ont pu mettre plus ou moins en œuvre. Entre ceux qui plaidaient pour l’atteinte naturelle de l’immunité collective et les adeptes du confinement total, les réactions ont été différentes et plus ou moins adaptées aux cultures et autres forces politiques et scientifiques de chaque nation. Il ne s’agit donc pas de qualifier la ou les gestions de tel ou tels pays, mais de participer à l’éradication de ce virus en se vaccinant et en facilitant les actions de vaccination, ce que fait MFP Services avec ses administrations.
Vous avez la double casquette de président de MFP Services et de la MGEFI ... Quelles sont les mesures prises au sein de ces deux structures pour préservez la santé des collaborateurs et des visiteurs ? La Covid-19 a t-elle touchée des élus et collaborateurs ?
Pour chaque structure, et de façon identique, nous avons rapidement mis en place le télétravail, tous nos collaborateurs ont été équipés en conséquence. Les consignes sanitaires de distanciation et de comportements ont été appliquées dans les locaux pour ceux qui devaient se rendre sur leurs lieux de travail. Nous n’avons pas eu à déplorer une atteinte significative de collaborateurs au Covid.
Avez-vous une idée du nombre d'adhérents touchés plus ou moins gravement par le coronavirus ?
Nous n’avons pas fait d’étude spécifique à la Fonction Publique. A ce stade,ces études relèvent plutôt de Santé Publique France.
Quelles répercussions la crise sanitaire a-t-elle sur l'équilibre nécessaire Prestations / Cotisations ?
La prise en charge par l’Etat des dépenses de santé relatives à la Covid, les effets des confinements et des reports de soins font que les complémentaires santé ont versé moins de prestations santé en comparaison avec des années « normales ». Cela étant, l’Etat a décidé de demander aux complémentaires santé de participer à l’effort sanitaire national en versant 1,5 milliard à l’Etat par l’instauration d’une taxe Covid en 2020 et 2021. Celle-ci pourra éventuellement être révisée (à la hausse) en 2021. L’équilibre P/C est donc impacté à la baisse avec toutefois la compensation de la taxe Covid et les effets de rattrapage de consommation médicale envisageable.
Une hausse des cotisations est-elle inévitable ?
Pour les raisons évoquées ci-avant, la Covid ne justifie pas de prévoir une augmentation particulière, sauf peut-être pour certains cas particuliers, notamment pour les contrats collectifs qui connaitraient des difficultés de recouvrement des cotisations dues aux difficultés économiques rencontrées par certaines entreprises. Cela étant, des augmentations de cotisations raisonnables couvrant la dérive naturelle des dépenses de santé par l’accroissement de la consommation médicale peut être envisageable à hauteur estimée de celle-ci
Vos fonctions actuelles vous laissent-elles du temps pour un violon d'Ingres ?
La gestion de l’emploi du temps est un réel exercice difficile, la variable d’ajustement sur le temps « personnel » est naturelle, tout ceci se fait dans un bon état d’esprit et pour servir l’accompagnement social et solidaire de notre société.
Propos recueillis par Nora Ansell-Salles auprès de Bruno Caron