Nora ANSELL-SALLES

mercredi 19 avril 2023

Rencontre autour des Vérités du roman avec François Dosse


C'EST  A LIRE 📖
"Les Vérités du roman"
de François Dosse

Résumé 
On la croyait moribonde, coupée du monde réel. La littérature française contemporaine atteste la fécondité de la fiction et son lien renoué avec la société dont elle exprime les dysfonctionnements, les malaises, les traumas. Un livre sur la littérature, une radioscopie de notre société.

À l'occasion de la sortie des Vérités du roman, François Dosse sera en dialogue avec Alexandre Gefen, directeur de recherche au CNRS et Dominique Viart, professeur à l'université Paris X-Nanterre pour une rencontre le mercredi 19 avril de 17h30 à 19h00 à la Maison de la recherche de l'université Sorbonne nouvelle (4 rue des Irlandais 75005 Paris, salle du Conseil).

 

La rencontre est ouverte au public, tous les détails sont à retrouver à cette adresse : https://www.fabula.org/actualites/113422/les-verites-du-roman-rencontre-avec-francois-dosse.html

Contact:
Lou Liger
Attachée de presse
Éditions du Cerf
24, rue des Tanneries
75013 Paris
 ☎️ 01 80 05 36 17



mardi 18 avril 2023

CP - Racine², le fonds à impact MGEN, dévoile son quatrième investissement Santé Académie


 
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Communiqué de presse
18 avril 2023
 
 
Racine², le fonds à impact MGEN, dévoile son quatrième investissement :
Santé Académie
 
 
Le fonds à impact Racine², opéré par Serena et makesense, dévoile son quatrième investissement dans la start-up lyonnaise Santé Académie. Une entreprise qui repense les codes de la formation médicale continue en France.
 
Depuis 2020, Santé Académie s’est donnée pour mission de transformer les codes de la formation médicale continue en s’appuyant sur le numérique pour proposer une expérience d’apprentissage collaborative avec les meilleurs experts de leurs sujets en France et en Europe. La start-up souhaite ainsi repositionner la formation au cœur du quotidien des soignants, avec une solution respectueuse de leurs contraintes et usages, et avec à terme, une prise en charge améliorée des patients de l’ensemble des citoyens. Son catalogue de plus de 60 thématiques a d’ores et déjà convaincu plus de 20 000 professionnels de santé.
 
« Depuis notre lancement en 2020, nous avons à cœur de remettre la formation au cœur du quotidien des soignants et de leur offrir enfin la formation qu’ils méritent tout au long de leur carrière. Si nous nous sommes initialement concentrés sur les spécialités les plus représentées dans l’offre de soins de ville, nous franchissons une étape importante de notre développement à travers cette levée de fonds en s’adressant désormais aux structures médicales et paramédicales. Nombreux sont d’ailleurs les soignants exerçant dans des établissements de santé à s’être déjà formés via notre plateforme » explique Stanislas de Zutter, cofondateur et CEO de Santé Académie.
 
« La formation continue des soignants est un véritable enjeu de santé et de satisfaction des professionnels de santé, et permet, en outre, un meilleur accompagnement des patients. La mission de Santé Académie résonne avec celle de Racine². Nous sommes très heureux de les soutenir dans leur volonté de devenir le partenaire formation de tous les soignants de France », indique Fabrice Heyriès, directeur général MGEN.
 
Grâce à la levée de 12 millions d’euros (via Racine², MAIF Avenir, Bpifrance et Sofiouest), Santé Académie entend s’adresser progressivement aux quelques deux millions de soignants français, à travers :
  • Le développement d’une offre de contenus et d’une solution technique adaptées aux établissements de santé, pour former les soignants de plus de 3 000 structures à travers la France.
  • La consolidation de son offre pour les soignants de ville, en doublant le nombre deses formations à destination des spécialités et en ouvrant de nouveaux métiers, à horizon 2024.
 
Les missions des professionnels de santé ainsi que la connaissance médicale évoluent ainsi partout dans le monde, en particulier autour de certaines pathologies telles que l’endométriose, ou de certaines méthodes, telles que l’accompagnement en soins palliatifs.
 
 
Contacts Presse :
 
À propos de Racine2
Racine² est le nouveau fonds d’investissement de MGEN opéré par makesense et Serena. Doté de 86 millions d’euros, il accompagne les entreprises innovantes et ambitieuses qui génèrent un impact positif sur la société et son environnement. Les investissements, à 80% en France, s’articulent autour de 4 axes : l’activité physique et sportive, les modes de vie durables, l’éducation pour tous et la préservation de l’environnement et de la santé. Pour en savoir plus : https://racine2.vc/
 
À propos de Santé Académie
Créée en 2020 par Stanislas De Zutter, Félix Levious et Jessym Reziga, Santé Académie repense les codes de la formation continue des professionnels de santé en proposant une expérience d’apprentissage collaborative, asynchrone et 100% digitale, adaptée à la pratique et aux contraintes des soignants. Sa solution de formations en vidéo, de qualité cinématographique, est accessible aux médecins, infirmiers, aides-soignants, pharmaciens et préparateurs, qu’ils soient libéraux ou hospitaliers, sur l’ensemble du territoire, directement via le web ou sur application mobile. Santé Académie regroupe plus de 60 formations, réalisées avec les meilleurs experts nationaux de leurs sujets. Aujourd’hui, plus de 20 000 professionnels de santé et des établissements de renom (GHU Paris, Hôpital des Armées …) ont déjà été formés avec Santé Académie, avec un taux de satisfaction utilisateurs de 95%. Pour plus d’informations : www.santeacademie.com
 
À propos de MGEN  
Fondée en 1946, MGEN est aujourd’hui la première mutuelle des agents du service public. Son positionnement unique en France lui permet de gérer l’assurance maladie et la complémentaire santé et prévoyance de plus de 4,2 millions de personnes, bénéficiaires d’un contrat individuel ou collectif. Au-delà d’être un guichet unique pour le remboursement des soins, MGEN accompagne globalement ses adhérents : de la prévention des risques pour leur santé physique et mentale, à leur prise en charge en établissement de santé. Elle met en effet à la disposition de tous 1 700 structures de soin et d’accompagnement mutualistes qu’elle cogère et cofinance partout en France, dont 62 appartiennent à MGEN. Avec ses 10 000 collaborateurs et 3 500 militants, présents dans tous les départements français, le collectif mutualiste MGEN agit au plus près des adhérents, à chaque moment de leur vie, avec des offres personnalisées et des services innovants. Expert des enjeux spécifiques de santé et de qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) des agents, MGEN accompagne également les employeurs pour le bien-être des personnels et contribue ainsi à la performance globale et à l’attractivité du service public. Par son histoire et son modèle non lucratif, MGEN est un acteur de l’économie sociale et solidaire (ESS) reconnu pour son engagement dans les grands enjeux sociétaux, de l’accès à l’IVG hier à celui d’une fin de vie libre et choisie aujourd’hui. Depuis 2017, MGEN est aussi membre fondateur du Groupe VYV, premier acteur mutualiste de santé et de protection sociale en France. www.mgen.fr  
 
 
 
 


Si vous ne souhaitez plus recevoir de communications de MGEN, veuillez cliquer sur ce lien ici.
MGEN, 3 square Max-Hymans, PARIS CEDEX 15, . . France

NEOKIDS, la brosse à dents spéciale cool kids !



NEOKIDS, 
La carie touche plus d’un tiers des enfants de 6 ans et
45% des enfants de 12 ans.

Une bonne hygiène bucco-dentaire s’acquiert dès le plus jeune âge, il est donc très important de bien choisir sa première brosse à dents électrique. Avec sa nouveauté NEOKIDS, NEOPULSE offre le luxe de la technologie NEOSONIC adaptée aux spécificités de la bouche de l’enfant.

 

Une brosse à dents évolutive et non genrée

Afin de donner dès le plus jeune âge le bon geste, NEOPULSE, expert français de la santé bucco-dentaire, a conçu une brosse à dents aussi efficace qu’adaptée à la bouche et aux besoins de l’enfant.

Testée et approuvée par des pédodontistes, NEOKIDS se dote de fonctionnalités idéales pour les petit·e·s de 3 à 12 ans.

Son manche léger, maniable et facile à prendre en main, ses 2 modes – ultradoux (30 000 vibrations/min) et doux (35 000 vibrations/min) - facilement reconnaissables par la lumière bleue ou blanche, ses vibrations par minute, ses 600 brins ultra-souples et son autonomie d’un mois (sans socle) en font un allié de choix pour un apprentissage facile et une élimination efficace de la plaque dentaire.

De plus, sa petite tête de brosse (la plus petite du marché, 1.5cm) et son minuteur de brossage avec indicateur de changement de zone toutes les 30 secondes, offrent à l’enfant la possibilité de gagner rapidement en autonomie lors des 2 minutes de brossage, 2 fois par jour minimum.

Enfin, pour qu’elle soit rapidement adoptée, la brosse NEOKIDS est fournie avec un lot de 50 autocollants. De quoi se l’approprier encore plus rapidement et ne jamais se lasser !

NEOKIDS suivra l’enfant de ses 3 ans à ses 12 ans, ce qui l'habitue à la technologie sonique, pour un passage naturel vers la brosse à dents NEOSONIC.

💡 La bonne idée NEOPULSE ? Les têtes de brosses « adultes » sont compatibles avec le manche enfants et réciproquement. Ou comment avoir toujours le bon outil sous la main, même en vacances.



Avec des gestes simples, réguliers et efficaces,

l'hygiène bucco-dentaire devient un jeu d'enfant ! 



La plus petite tête de brosse du marché 
50 autocollants pour décorer sa brosse NEOKIDS 
Chargeur USB sans socle - 1 mois d'autonomie
Télécharger le CP 
Télécharger les visuels
Qui est NEOPULSE ?
Prévoyance et anticipation sont les maîtres mots de la marque créée par Charlotte et Henri en 2020 avec des produits d’hygiène bucco-dentaires à intégrer le plus tôt possible dans son quotidien. La marque mise sur une routine complète de l’hygiène dentaire recommandée par un réseau qui ne cesse de s’agrandir avec plus de 400 dentistes et assistant.e.s dentaires et plus de 1000 points de vente dont 800 pharmacies. En cas de panne, la marque réceptionne le produit NEOPULSE dans son atelier à Versailles dans la région parisienne (78) pour bénéficier d’une réparation gratuite. Finie l’obsolescence programmée, vive les produits durables et la fidélisation client ! Une façon ludique et accessible à tous d’avoir une bouche saine en appliquant facilement et rapidement les bons gestes du quotidien !

 
CONTACT  PRESSE:
🌿 PRESSROOM
🌿 beaute@commeunebavarde.com
🌿 09 88 08 11 52



samedi 15 avril 2023

Lettre ouverte à Julien Courbet



Bonjour Monsieur,

J'ai emménagé dans ma maison en décembre 2018 avec un compteur LINKY et là j'ai commencé à faire des relevés tous les jours heure pleine / heure creuse ainsi que l'index des kwh.

Le 24 novembre 2019 je souscris un contrat chez Direct Énergie.

Le 24 novembre 2020 j'ai consommé 3707 kwh et on me rembourse 210 € mais  le 25 février 2021 mon compteur tombe en panne on me le change.
Le 23 août 2021 et le
24 novembre 2021 la facture est de 1307 € pour 7095 kwh 636 € de plus que l'année d'avant.
Je laisse passer l'année 2022 pour leur prouver qu'il y a une erreur et le
24 novembre 2022 je consomme 4295 kwh.

Je conteste ma facture de 2021 auprès de direct énergie qui fini par me remboursér les 636 € en février 2023 mais ils me retrouve une nouvelle facture de 646 € sans aucun justificatif.

Je demande un RDV avec eux mais c'est pas possible.

Je demande des preuves on ne peut pas m'en donner.

Moi j'ai mon cahier je n'ai pas peur et bien sûr je refuse de payer.
Cordialement

Nota: les coordonnées  de l'autrice de cette "lettre ouverte" sont disponibles  sur simple demande à la rédaction  de "Mine d'Infos" : pressentinelle2@gmail.com 
Si vous aussi avez  dû faire face (comme cette habitante de l' Yonne) à ce type de problème n'hésitez pas  à  faire parvenir  votre témoignage à la rédaction de Mine d'Infos. 

vendredi 14 avril 2023

Soutenez les projets de l'Institut Mutualiste Montsouris


A LIRE 
SUR LE MÊME  THÈME 
Sur Mine  d'Infos 


C'est à lire 📚 : "Les derniers jours de Samuel Paty" de Stéphane Simon aux éditions Plon

#VendrediLecture📖
Les derniers  jours  de  Samuel  Paty 
Le coup de coeur de la semaine de la rédaction de  Mine d'Infos.
Un livre qu'il faut lire et faire lire...
Nora ANSELL-SALLES 
Retour  sur un drame  qui aurait dû être évité.

Dans son dernier livre “Les derniers jours de Samuel Paty - Enquête sur une tragédie qui aurait dû être évitée”, publié aux éditions Plon, Stéphane Simon fait la reconstitution de ce qu'il s'est passé entre le cours du 5 octobre 2020 et l'assassinat, 11 jours après.


mercredi 12 avril 2023

Il était une fois l'Institut Mutualiste Monsouris

REVIVEZ  EN IMAGES, la sortie de terre de l'IMM, l'un des plus beau fleuron des établissements de  santé  mutualiste. 


🎥voir le clip

✒️Mine d'Infos remercie  l'Institut  mutualiste  Montsouris pour son autorisation  de publication 

Le « Stand-up » : nouveau fer de lance de la culture Francophone ?

Gilles DJEYARAMANE 
Photo mise en avant dans l’exposition « Les visages de la Francophonie » à la mairie du 20e


Alors que le mois de mars dit « mois de la Francophonie » s’est achevé, sans effervescence particulière en France, notre pays accuse une baisse de sa production cinématographique depuis plusieurs mois. À contre-pied, le secteur du spectacle humoristique en langue française semble « tirer son épingle du jeu ». Au stade d’en devenir une locomotive ?

Selon une étude du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), 287 films ont été mis en production en 2022 en France, soit une quinzaine de moins qu’en 2019. De plus, depuis la crise du Covid-19 la domination des réalisations Coréennes, Espagnoles et Américaines sur les plateformes, telles que Netflix, est sans partage.
Dans ce contexte, seul le secteur de l’humour- et du « stand up » en particulier- semble surnager. Il est vrai que cet art traverse tout la Francophonie et dispose d’un marché potentiel de plus de 300 millions de personnes. Car si la Francophonie s’exprime sous de multiples aspects, l’humour est certainement une de ses expressions les plus populaires et partagées.
 
Les festivals : révélateurs de talents  
Trois festivals de langue française sont devenus incontournables. Si chacun présente ses spécificités, ils contribuent à un partage qui transcende les cultures, les religions et les coutumes. Ces rendez-vous de l’humour Francophone sont devenus un passage incontournable pour les artistes désireux de se frayer un chemin dans l’univers « de plus en plus concurrentiel du stand-up ».
En tête, le Marrakech du rire, festival international annuel d'humour qui se tient au Maroc. Créé par l'humoriste Jamel Debbouze, il est traditionnellement diffusé chaque année sur la chaîne de télévision française M6. Evénement d’envergure, son coût d’organisation est estimé à 3 millions d’euros dont 200 000 euros seraient directement pris en charge par son créateur chaque année.
Deuxièmement, le Parlement du rire, très prisé des diasporas sub-sahariennes en Europe, est une émission diffusée sur Canal+ Afrique. Il constitue une des fiertés de la capitale économique Ivoirienne, Abidjan. Le Nigérien Mamane, y tient le rôle du président du parlement, accompagné de trois vice-présidents : Digbeu Cravate, Charlotte Ntamack et Michel Gohou. Les parlementaires sont joués par différents humoristes Francophones, les plus talentueux du continent africain. Un discours marqué par une véritable liberté en matière de contenu éditorial et une irrévérence certaine.
Enfin, un grand quotidien français du soir rappelle que « chaque année, début décembre, une bonne partie de la scène humoristique française a un rituel : migrer en Suisse. » pour se rendre au festival Montreux Comedy.

Les pépites Francophones
C’est de ce véritable bouillon de culture de l’humour Francophone qu’émergent, depuis deux décennies environ, des dizaines d’artistes dans le champ du « stand up » notamment. Ils sont issus de

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toutes les couches de la population française, aussi bien des quartiers aisés que populaires mais aussi de tout l’espace Francophone. Des humoristes aux styles différents qui font preuve d’une réelle créativité dynamisant le secteur.
En France et en Europe, on citera pêle-mêle Fabrice Eboué, Thomas Ngijol, Radouane Bougheraba, Malik Benthala, Issa Doumbia, Fary, Paul Mirabel, Claudia Tagbo, Haroun, Kody, Rodman et Nénette ou encore Nawell Madani… L’Afrique Francophone n’est pas en reste avec Amine, Patson, Michel Gohou ou Agalawal…
Par ailleurs, on notera que chacune des apparitions des artistes sur scène notamment dans ces festivals incontournables fait l’objet de retransmissions et de reprises sur les réseaux sociaux (Facebook, YouTube, etc.) décuplant leur visibilité à l’échelle internationale. Ainsi « Paul Mirabel aurait cumulé, en 2020, quelques dix-huit millions de vues avec son sketch « Je me suis fait racketter » ». Une notoriété qui lui a ouvert les portes des nombreuses salles de spectacle et de la radio France Inter où il officie désormais régulièrement.
Nul ne pourra contester face à cette ébullition artistique, que l’humour par les valeurs qu’il peut colporter et les joies qu’il procure contribue à la diffusion d’un état d’esprit fraternel dans nos territoires en partage avec tous les peuples Francophones même lointains. Par là même, il participe à préserver une lueur d’espoir à un renouveau d’une certaine production culturelle  française. 
Gilles DJEYARAMANE 
En savoir plus sur l'auteur
Gilles DJEYARAMANE s'interesse à la Francophonie et l'humour. Il a décidé  de décliner le sujet sous différents angles. Un premier texte est paru dans France Guyane. Le texte ci-dessus est le second.  Il pense en écrire un 3e...

  


TÉMOIGNAGES sur la fin de vie


👉Jacques CROMBET
Une chanson de mon album L'espérance "Ma mort pourrais-je en disposer" pour illustrer l'appel à témoin dans le cadre de l'article à paraître courant avril 2023 prochain sur le thème de la "fin de vie"
 
👉Charles Biétry ancien journaliste  atteint de la maladie  de Charcot qui  se sait condamné a annoncé qu'il comptait préparer son suicide assisté, dans une longue interview donnée au journal l'Equipe le 8 avril 2023.

👉Axel Kahn, témoigne d'une  fin de vie “apaisée" et saisie "à bras le corps".

👉Françoise  Hardy,
demande l'euthanasie 

👉Line Renaud, très claire sur ses dispositions.

👉Nicolas Menet atteint d'un cancer du cerveau, un glioblastome à 44 ans qui  a dû faire le deuil de sa vie (aucun traitement ne pouvant le guérir) a choisi de parler directement de son projet avec ses médecins : il était crucial pour lui de disposer de toutes les informations sur la fin de vie, afin de prendre ses dispositions en toute confiance. Il l'assure : ce type de consultation sur la fin de vie devrait être obligatoire pour tous les concernés. Pour le 20H de TF1, lui et son médecin généraliste ont accepté de partager leur échange.

"Au moment où cela deviendra insupportable, cette fois, je pense que j'aurai besoin d'être hospitalisé avec vous docteur", demande-t-il directement à son praticien. "Nous, on a déjà prévenu l'hôpital de Saint-Félicien pour notamment faire une pré-rentrée", lui répond le docteur Guillaume Claude. "Si vous voyez, sur une nuit ou un week-end que c'est la catastrophe, moi je viendrai vous accueillir à l'hôpital".  L'homme de 44 ans a choisi d'être plongé dans un coma irréversible, une sédation profonde prévue par la loi. Lors de cet échange, Nicolas Menet ne cessera pas de remercier son médecin. Cet accompagnement est une vraie chance selon lui. 

Interrogé sur l'euthanasie, déjà autorisé sous certaines conditions en Belgique, Nicolas Menet ne se prononce pas. Pour son médecin, "on arrive à fournir des accompagnements qui sont les mieux que l'on puisse faire à l'heure actuelle (...). Effectivement parfois, une aide un peu plus active pourrait être bénéfique. Que ce soit pour les patients ou pour leurs proches".

Lire aussi

Le dernier objectif de Nicolas Menet était d'apporter son vécu pour enrichir les débats parlementaire sur la fin de vie. Il a écrit un livre, ainsi qu'une lettre destinée aux législateurs. L'Ardéchois y a même développé différents amendements, en prévision d'une éventuelle modification de la loi actuelle. Pour lui l'important est que chaque citoyen puisse s'approprier sa fin de vie. "J'espère vraiment qu'ils vont lire [ce dossier] et l'entendre. Ce n'est pas très long, cela fait 20 pages", sourit-il. "Je pense qu'ils vont y arriver, et en tout cas, je leur ai donné plein d'idées, plein de sources d'inspirations pour les aider à faire cette loi"

Trois semaines après le reportage*, Nicolas Menet s'est éteint dans son village d'Ardèche, le 4 février dernier. Son livre "Faire son deuil de soi", aux éditions Le Cherche Midi, laissera la trace de son parcours hors norme. Selon ses propres mots, il voulait, et a pu, partir en homme libre. 

*Laetitia ASGARALI DUMONT | Reportage : Caroline Bayle, Jean-François Drouillet

👉Témoignages  Convention Citoyenne sur la fin de vie

PROCHAINEMENT A LA TV 📺
Parmi les créations originales à venir : Lambert contre Lambert, au nom de Vincent, une série documentaire en quatre épisodes sur l’acharnement thérapeutique dont il a été victime.

 🤔 Et vous, placé dans une  situation similaire, que feriez-vous ?



☕ café nile : prochaines éditions !


café nile

Agence de l’innovation en santé : comment aligner les planètes entre recherche, industrie et régulation ?

Lise Alter
Directrice générale de l’Agence de l’innovation en santé
Avril 2023
18

de 8h30 à 10h00

📍 sur Microsoft Teams
S'inscrire


Créée fin 2022, l’Agence de l’innovation en santé (AIS) a pour objectif d’accélérer l’accès aux innovations en santé. Très attendue de l’ensemble des acteurs, des chercheurs aux industriels, l’AIS doit permettre de fédérer ces acteurs et d’assurer le pilotage de l’innovation, en lien avec l’ensemble des ministères concernés. Ses missions vont de la mise en œuvre de la stratégie d’innovation en santé à la simplification des processus permettant d’accélérer l’innovation et à l’accompagnement des porteurs d’innovation.

De nombreuses questions subsistent cependant. Comment l’AIS articulera-t-elle l’innovation thérapeutique et l’innovation technologique ou numérique avec l’innovation organisationnelle ? Comment l’AIS accompagnera-t-elle la diffusion de l’innovation dans tous les territoires ? Contribuera-t-elle à la simplification et à l’amélioration des dispositifs d’accès précoce (notamment le forfait innovation ou le RIHN) ? Et surtout, comment l’AIS permettra-t-elle « l’alignement des planètes » entre recherche, industrie et régulation ?

Nous aurons l’honneur et le plaisir de recevoir au café nile Lise Alter, directrice générale de l’Agence de l’innovation en santé, mardi 18 avril de 8h30 à 10h.

En espérant avoir le plaisir de vous retrouver, merci de confirmer votre présence en vous inscrivant. Le lien vous permettant de participer vous sera communiqué à l'issue de l'inscription.

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café nile

Hospitalisation privée : quelle solidarité entre acteurs de l’offre de soins ?

Le secteur de l’offre de soins connaît encore aujourd’hui les répliques du séisme qu’a été la crise du covid et qui a mis au grand jour les difficultés qui couvaient : pénurie de soignants et attractivité des métiers, crise des urgences et des soins non programmés, coordination insuffisante entre ville et hôpital et entre structures de soins publiques et privées, financement et gouvernance… Les différentes initiatives prises par les acteurs pour faire face - au premier rang desquels les décideurs publics - doivent permettre de reconfigurer l’offre de soins et l’organisation de soins pour enfin répondre à la demande des patients et des usagers.

Les hôpitaux et cliniques privées, tant dans l’offre que dans la continuité des soins, jouent un rôle fondamental aux côtés des autres acteurs. C’est en effet dans la coopération et la contribution, quel que soit le statut des établissements, que des réponses pourront être apportées. Pour la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP), la solidarité doit être le maître-mot des organisations pour assurer l’accès aux soins des citoyens. Dès lors, quelle forme cette solidarité doit-elle prendre ? Comment peut-elle se traduire en termes de coordination, de soignants, de financement ?

Après avoir reçu la Fédération hospitalière de France (FHF) et Unicancer, nous aurons l’honneur et le plaisir de recevoir au café nile Lamine Gharbi, président de la Fédération de l’hospitalisation privée (FHP), mercredi 19 avril de 8h30 à 10h.

En espérant avoir le plaisir de vous retrouver, merci de confirmer votre présence en vous inscrivant. Le lien vous permettant de participer vous sera communiqué à l'issue de l'inscription.

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mardi 11 avril 2023

La Griffe Santé de Jacques DRAUSSIN


Infolettre n° 512
mardi 11 avril 2023

« L’alcool non, l’eau ferrugineuse... non plus »*

La question se pose avec gravité dans les media et les bistrots à l’heure du pastis : l’eau potable est-elle potable ? Depuis que l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a révélé la semaine dernière que près d’un tiers de l’aqua simplex municipale est contaminée par les métabolites du chlorothalonil, on regarde son verre de travers.

Nous ne vous ferons pas l’injure de vous expliquer ce que sont les métabolites du chlorothalonil, sans doute parce que les subtilités chimiques du produit de dégradation de ce pesticide [interdit depuis 2019] nous échappent quelque peu. Ce qui est clair en revanche, c’est qu’aucune filière de traitement n’est en mesure de s’en débarrasser et que coule au robinet d’une bonne partie des foyers français une eau non conforme aux critères réglementaires de qualité, loin s’en faut.

Les esprits simples s’interrogent alors : pourquoi diable ne s’est-on donc pas aperçu plus tôt de la présence de ce R 471811 sournois dans les eaux de surface et souterraines de notre beau pays menacé par ailleurs d’aridité? Tout simplement parce que si on ne le détectait pas, c’est qu’on ne le recherchait pas, répondent avec à-propos et logique les autorités sanitaires.

Les mêmes esprits simples [décidément !] renchérissent : qu’attend-on, maintenant que l’on sait de quoi il retourne, pour dépolluer l’eau dont on se désaltérait jusqu’ici en pleine confiance ? Réponse tout aussi spontanée des régies délégataires du service public : le coût de l’opération pourrait se chiffrer en milliards d’euros et la probabilité que l’usager soit in fine mis à contribution serait alors très forte. Pas vraiment le moment de mettre en place un nouveau bouclier tarifaire, version aquatique...

Le président de la République avait-il été mis au courant de la situation lorsqu’il a dévoilé son « Plan eau » le 30 mars ? Que les esprits simples cessent donc de poser les questions qui fâchent ! Elles sont d’autant plus mal venues que, le jour de l’annonce du plan présidentiel, le ministre de l’agriculture annonçait le maintien en usage du S-métolachlore dont les métabolites, c’est ballot, sont également responsables d’une pollution à grande échelle des nappes phréatiques...

Contact 
Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

* www.facebook.com/watch/?v=1650848824961530





dimanche 9 avril 2023

Actu MGEN /MGP

Benoît Briatte, président de la MGP, la mutuelle des forces de sécurité, et Matthias Savignac, président de MGEN, première mutuelle du service public, se sont exprimé le 29 mars dernier sur leur projet de  partenariat...

La MGEN s’ouvre à l’extérieur sur le périmètre de l’Intérieur avec la MGP (*) par Jacky  Lesueur 
🖋Article reproduit  avec  l'aimable  autorisation  de son auteur.

Dans le cadre des évolutions du paysage mutualiste que j’ai eu l’occasion d’évoquer la semaine dernière, une information d’importance vient d’être révélée par L’Argus de l’Assurance : la signature fin mars d’une lettre d’intention de partenariat entre la MGEN et la MGP…avec en toile de fond le fait que le Ministère de l’Intérieur soit vraisemblablement le premier ministère à ouvrir le nouveau processus d’appels d’offres découlant de la réforme du financement de la PSC (Protection Sociale Complémentaire) pour les agents de l’Etat.
Cette initiative ne peut manquer de surprendre au regard des liens que la MGP avait tissé jusqu’alors avec la GMF/COVEA depuis une vingtaine d’années.. et plus récemment avec la Mutuelle santé des militaires UNEO (pour mémoire : née de la fusion des trois mutuelles de militaires) et UNEOPOLE ( pôle mutualiste dédié à la communauté Sécurité/défense créé en 2016 précisément avec GMF/COVEA).
Les conseils d’administration des deux mutuelles ayant validé la démarche , les semaines à venir sur la finalisation de cette nouvelle « coopération » et les modalités de sa mise en œuvre mériteront d’être suivies avec attention !

Apparemment donc…nous ne sommes pas au bout de nos surprises au sein de la Mutualité Fonction Publique !! et la vie de famille au sein de la MFP risque de devenir compliquée… !!


(* ) La MGP, Mutuelle Générale de la Police devenue « Mutuelle des forces de sécurité » s’adressent aux personnels du ministère de l’Intérieur, de la Justice, aux douaniers, aux policiers nationaux et municipaux ,ainsi qu’aux salariés de sociétés de sécurité privée.

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