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MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mardi 3 mars 2020
Surloyer: témoignage de Gisèle Mahier
mercredi 26 février 2020
Face au risque de contaminations, les Français adoptent-ils les bons gestes de prévention...
Infographie_Ifop_Diogene_2020.02.21.pdf
Rapport_Ifop_Diogene_2020.02.25c.pdf
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"Pépé le putois", du mythe à la réalité... Les Français(es) sont-ils vraiment devenus propres ? Enquête sur l'évolution des comportements d'hygiène corporelle et domestique des Français (1951-2020)
En 1951, le magazine Elle dirigé alors par Françoise Giroud publiait une enquête qui fit scandale en mettant en évidence les conditions déplorables d'hygiène corporelle des Françaises qui souffraient encore, en cette période de reconstruction, d'un manque criant d'accès au confort sanitaire de base (ex : eau chaude, salle de bain ou douche). Soixante-dix ans après cette enquête qui confirmait les clichés sur le manque de propreté du Français - illustré alors à Hollywood par le personnage malodorant de « pépé le putois » oscarisé en 1949 -, l'Ifop publie une nouvelle étude qui permet de faire le point sur la propreté des Français dans un contexte de Coronavirus où le respect des bonnes pratiques en la matière est plus que jamais d'actualité : l'application des règles d'hygiène de base comme le lavage des mains après être allés aux WC ou avoir pris les transports en commun étant désormais un enjeu de santé publique. Réalisée pour le compte de Diogène France, société de nettoyage insalubre spécialisée dans les logements de victimes du syndrome de Diogène, cette enquête montre que, si globalement l'hygiène des Français a radicalement changé depuis les années 1950, une part de la population reste encore éloignée des standards de propreté et des bons usages face aux infections virales saisonnières.
1) Une toilette complète pas toujours quotidienne
2) Une amélioration du confort sanitaire de base qui ne se traduit pas toujours par la prise d'une douche quotidienne
3) Une fréquence de lavage des cheveux qui reste très genrée...
4) Face aux risques de transmission de virus comme le Coronavirus, le comportement des Français en matière de lavage des mains est problématique
5) Des sous-vêtements pas toujours changés à un rythme quotidien
Le point de vue de François Kraus, directeur du pôle Genre, Sexualité et Santé Sexuelle à l'Ifop :
Loin d'être un sujet futile pouvant prêter à sourire, le manque d'hygiène corporelle des Français constitue aujourd'hui un véritable enjeu de santé publique au regard de cette étude qui montre qu'on ne peut plus le réduire à un cliché déconnecté de toute réalité... Car en dépit des larges progrès observés depuis l'après-guerre, des "poches de saleté" persistent dans certaines catégories de la population comme les hommes, les personnes âgées et isolées, ce qui explique sans doute pourquoi l'hexagone reste en retard au regard des standards de propreté : la France étant classée au 50ème rang sur 63 pays en matière d'hygiène des mains d'après une enquête internationale publiée en 2015 (Win Gallup International). Or, dans le contexte à haut risque du Coronavirus, l'application des règles d'hygiène de base comme le lavage des mains n'est plus seulement un devoir envers et pour soi-même mais aussi un devoir envers les autres.
Tel : 0661003776
POUR CITER CETTE ETUDE , IL FAUT UTILISER A MINIMA LA FORMULATION SUIVANTE : « Étude Ifop pour Diogène-France.fr réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 31 janvier au 3 février 2020 auprès d'un échantillon de 2 005 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine. »
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mardi 25 février 2020
Le coup de griffe de Jacques Draussin...
Infolettre n° 370 mardi 25 fevrier 2020 | |
Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com | |
Punaise de lit ou cheval de bataille ? Que le gouvernement se préoccupe de l’invasion des punaises, après tout pourquoi pas ? Mais, contrairement à ce que de méchants esprits pourraient insinuer, l’action de sensibilisation lancée vendredi dernier par le ministre de la Ville et du Logement ne consiste nullement à donner un coup d’arrêt à la recrudescence des nuisibles au sein de la majorité. Il ne faut donc pas prendre au pied de la lettre l’URL de la campagne qui sonne, au choix, comme un slogan, une prière ou un aveu : stop-punaises.gouv.fr. Il serait également malvenu de voir dans cette initiative un encouragement implicite en direction d’Agnès Buzyn à reprendre l’une des propositions phares du programme de Benjamin Griveaux prévoyant, non le déplacement de la gare de l’Est, mais la création d’un « service municipal dédié aux punaises de lit ». Un dispositif de prévention qu’à titre personnel l’ex-candidat aurait sans doute aimé voir être mis en place plus tôt. Face à la pandémie de Covid-19, la mobilisation contre les punaises de lit peut, c’est vrai, sembler un peu dérisoire et pourtant, des bancs de la gauche à ceux de l’extrême droite, la totalité des groupes parlementaires se mobilisent avec une touchante unanimité pour cette cause qui pourrait, si cela continue, être surclassée en priorité de santé publique. Derrière Jean-Luc Mélenchon, les députés de La France Insoumise ont même exigé un plan national d’éradication* avec, pour faire bonne mesure, la mise en place d’un encadrement des prix pratiqués par les professionnels et, histoire d’afficher un positionnement écolo-disruptif, une interdiction des traitements chimiques. Après la réforme du système de retraite, la punaise de lit sera-t-elle le prochain cheval de bataille à l’Assemblée ? Celles z’et ceux que le débat démocratique démange n’y trouveront sans doute rien à redire. Jacques DRAUSSIN *Véridique | |
Si vous habitez Paris 17ème ces informations vous concernent..
Mardi 25 février 2020 Dans les 14 jours suivant le retour : L’AGENDA CULTURE ET LOISIRS DE VOTRE ARRONDISSEMENT |
Grand âge et santé
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Communiqué de presse – 25 février 2020
Alantra a conseillé Korian dans l’acquisition du groupe 5 Santé
Alantra a conseillé Korian - premier groupe européen du soin et de l’accompagnement au service du Grand Age et des fragilités - dans l’acquisition du groupe 5 Santé, acteur de référence du traitement des maladies chroniques auprès de sa fondatrice Catherine Miffre et du fonds d’investissement Parquest Capital.
Créé il y a plus de 25 ans, 5 Santé est un groupe français d’établissements privés de soins de suite et de réadaptation spécialisé dans le traitement des maladies chroniques (pneumologie, cardiologie, neurologie, addictologie, etc.). Notamment reconnu pour la réhabilitation de patients atteints de maladies respiratoires et en particulier de broncho-pneumopathie chronique obstructive (« BPCO »), 5 Santé propose un parcours de soins différenciant à des patients venant du domicile dans le cadre de séjours programmés. Le groupe est propriétaire de six cliniques situées en région Occitanie et en Auvergne Rhône-Alpes, représentant au total une capacité d’accueil de près de 500 lits et d’une centaine de places en hôpital de jour. Le groupe 5 Santé a réalisé un chiffre d’affaires estimé de 44 millions d’euros en 2019.
Avec cette acquisition, Korian devient un leader français sur le secteur du BPCO, renforce ses expertises (cardiologie, neurologie, addictologie, etc.) tout en densifiant sa présence dans les régions Occitanie et Auvergne Rhône-Alpes.
Korian, a réalisé un chiffre d’affaires de 3,3 milliards d’euros à fin 2018. Il emploie plus de 50.000 personnes et gère près de 850 établissements, en France, Allemagne, Belgique, Italie, Pays-Bay et Espagne.
Cette opération renforce le track record d’Alantra dans le secteur du care services avec plus de 16 transactions réalisées ces 3 derniers années (e.g. Groupe Omega, DOREA, Colisée, etc.).
Alantra : Franck Noat, Florian Touchard, Lahlou Khelifi, Ivana Mastilovic et Nicolas Guillaume
À propos d’Alantra
ALANTRA est un groupe financier international offrant des services de banque d’affaires et de gestion d’actifs, spécialisé dans les produits et services à haute valeur-ajoutée à destination du mid-market. Le groupe est présent en Europe, aux Etats-Unis, en Amérique latine, et en Asie via 35 bureaux dans 22 pays.
L’activité banque d’affaires emploie c. 200 professionnels, qui apportent un conseil indépendant dans des opérations de fusions-acquisitions, de financement et de marché.
L’activité gestion d’actifs comprend une équipe de 80 professionnels avec 4,6 milliards d’euros d’actifs sous gestion dans le private equity, les fonds de gestion active, la dette, l’immobilier et la gestion de fortune.
Contact presse
Ulysse Communication
Jean-Philippe Mocci T: +33 (0)1 81 70 96 33 | M: +33 (0)6 71 91 18 83
jpmocci@ulysse-communication.com
Coronavirus : le ministre de la Santé se rend à Rome
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mardi 18 février 2020
A propos du Coronavirus
Le coup de griffe de Jacques Draussin...
Infolettre n° 369 mardi 18 fevrier 2020 | |
Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur- | |
L’effet zigounette Personne, même le très satisfait de sa personne Benjamin Griveaux, ne mesurait sans doute l’effet papillon que l’exhibition turgescente d’une zigounette apparemment en pleine forme pouvait avoir, à la fois sur la politique de santé hexagonale et l’avenir de la capitale... Pourtant, en 24 heures à peine, un candidat à l’Hôtel de ville de Paris a abandonné ses dernières espérances d’édile en même temps que les Français perdaient leurs – hypothétiques - dernières illusions envers la dignité du débat public. Le système des vases communicants obéit à deux principes bien connus : celui de la mécanique des fluides depuis la Rome antique et celui de la boule puante numérique depuis l’Internet. Tout est effectivement affaire de niveau et celui qu’avait atteint le candidat de la REM était sans doute suffisamment bas, dès avant la divulgation de ses démonstrations priapistes, pour que le siphon électoral se mette en action et appelle à l’inversion de flux. Ce qui échappe en revanche à la mécanique des fluides, voire même selon certains à la logique politique, c’est qu’il faille aller chercher une ministre de la Santé submergée de dossiers brûlants pour s’engager dans une joute électorale à laquelle elle affirmait ne pas vouloir participer 48h auparavant [mais il s’agissait seulement de la deuxième position sur une liste d’arrondissement]. Si le vilain coronavirus veut bien rester tranquille, si Olivier Véran parvient à contenir la colère des personnels soignants, si le débat sur le système de retraite ne tourne pas à la foire d’empoigne parlementaire, si le dossier sur la dépendance n’est pas une nouvelle fois refermé, si le revenu universel d’activité parvient à voir le jour… alors on cessera certainement de reprocher à Agnès Buzyn d’avoir lâché la proie pour l’ombre ou de prétendre qu’elle a été sacrifiée pour la cause. On louera même son adresse stratégique. Mais c’est vrai, avec des si, on mettrait Paris en bouteille. Jacques DRAUSSIN | |
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