Nora ANSELL-SALLES

jeudi 21 février 2019

Appel aux dons


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Communiqué de presse -21 Février 2019

 

UN NOUVEAU TRAITEMENT POUR SAUVER LE JEUNE ANATOLEATTEINT DU CANCER

 


 
Anatole a 8 ans, il vit avec ses parents et sa sœur en Suède. Comme les enfants de son âge, il aime jouer aux lego et regarder des films de StarWars.
 
En mai 2018, ses parents l'emmènent à une visite médicale soupçonnant une faiblesse musculaire de la main gauche. Le résultat est tout autre :Anatole est atteint d'une tumeur cérébrale au thalamusappelée gliome diffus de la ligne médiane. La tumeur est classée au grade 4 en raison d'une combinaison avec une mutation H3K27M.
 
Durant l'été 2018, Anatole suit 6 semaines de protonthérapie suivie de chimiothérapie, protocoledéfini par l'hôpital Karolinska de Stockholm, avec l'appui de l'institut Gustave Roussy de Paris.
 
La tumeur progresse, faisant perdre de l'autonomie à Anatole, qui ne contrôle plus le côté gauche de son corps. En janvier 2019, il a la moitié du visage « figée » etparle de moins en moins distinctement. Le traitement est alors stoppé, n'apportant aucuneamélioration.
 
Ses parents se tournent alors vers unnouveau traitementtrès prometteur : ONC201. Il s'agit d'un essai clinique uniquement proposé aux USA. Après l'envoi du dossier médical de l'enfant, deux centres ont répondu, celui de Houston et celui de Miami.
 
Les soins aux États-Unis sont cependant très couteux et la simple semaine d'évaluationpréliminaire s'élèvent à58 000 $ US, s'ajoutant à cela les frais d'hébergement et de vols.
 
Afin de saisir cette chance et de sauver Anatole, son père, Fabrice Donguy, a décidé delancer une campagne de crowdfunding sur GoFundMe. En 4 jours, cette dernière a déjà récolté plus de 62 000 €.
 
 

Fabrice, père d'Anatole etorganisateur de la cagnotte, est disponible pour répondre à vos questions sur simple demande.

 

CONTACTPRESSE :

 

Laurine PEPIN -lpepin@revolutionr.com

01 47 10 08 33 - 06 33 46 56 65

 

Journée nationale du sommeil


À l'occasion de la Journée Nationale du Sommeil, le 15 mars prochain, la SMEREP fait le point sur le sommeil des étudiants. 
L'enquête santé annuelle 2018 menée en partenariat avec OpinionWaymontre que plus d'un étudiant sur deux présente des troubles du sommeil dus au stress. Quels sont-ils, quelles en sont les causes et, surtout, quels impacts ont-ils sur leur quotidien et leur bien-être ? La SMEREP, nous livre quelques éléments de réponses…
 
Plus d'un étudiant sur deux concerné
Le constat est clair, les étudiants dorment mal ! 56% déclarent avoir des problèmes de sommeil lié au stress. Parmi eux, 39% caractérisent ces troubles par des difficultés d'endormissement et 18% avouent connaitre des insomnies. À noter que les étudiantes sont les plus concernées : ces problèmes concernent 67% de femmes contre 44% d'hommes.
 
Les périodes d'examens : ennemi numéro un du sommeil 
L'origine de ces maux est à chercher du côté du stress provoqué par les périodes d'examens (61% des répondants), les études (53%) ou simplement par le fait de penser à ce qu'il faudra faire demain ou dans la semaine (45%).
Cette problématique se rencontre également chez les lycéens : 41% d'entre eux déclarent avoir aussi des problèmes de sommeil. 
Il s'agit là encore principalement de difficultés d'endormissement, liées aux périodes d'examens. Mais pas seulement, les difficultés financières semblent être un marqueur des problèmes de sommeil chez les étudiants. On constate que 70% des étudiants qui rencontrent des difficultés financières déclarent dormir mois de 6 heures par nuit en semaine. 
 
Un temps de sommeil trop court …
Le temps de sommeil idéal pour de jeunes adultes se situe entre 7 et 9 heures par nuit, mais la majorité des étudiants (69%) déclare ne dormir que 6 à 8 heures en semaine. Pire, 21% restent dans les bras de Morphée moins de 6 heures !
Une dette de sommeil qui leur fait cumuler de la fatigue. Résultat, le week-end, ils rattrapent ce retard et dorment plus de 8 heures par nuit (64%).
 
… et un sommeil perturbé, notamment à cause des écrans
Autre élément perturbateur à prendre en compte : les smartphones, dont les étudiants ont bien conscience qu'ils perturbent leur sommeil. Ainsi, 50% d'entre eux estiment que la consommation des écrans a bien un impact négatif sur la qualité de ce dernier. 
 
Non seulement le temps passé sur le téléphone empiète sur celui de l'endormissement, mais en plus, la lumière bleue produite par ces appareils freine la sécrétion de mélatonine, une hormone indispensable pour signaler au cerveau que la nuit est tombée et qu'il est temps de fermer les paupières. 
 
Les étudiants qui dorment moins de 6h par nuit en semaine sont significativement moins satisfaits (61%) de leur vie étudiante que leurs camarades qui dorment plus de 6h par nuit (plus de 80% à être satisfait). Ils se déclarent également, et de façon générale, plus stressés et plus angoissés (95%).

Vous trouverez ci-joint le communiqué de presse.
N'hésitez pas à revenir vers moi si besoin.
Merci beaucoup & belle journée,
Océane
0183817681

A propos du Bio


 CPNORMEISO.pdf 

Si le lien ne fonctionne pas,cliquez ici pour recevoir un nouvel e-mail avec le(s) document(s) en pièce(s) attachée(s) 
Si le message ne s'affiche pas correctement, cliquez ici

Bonjour,

Avez-vous entendu parler de lanorme ISO 16128 qui concerne le domaine du bio ? 

En 2017, une délégation de 28 pays a developpé un texte d'harmonisation appelénorme ISO 16128 qui vise à définir à l'échelle mondiale ce que sont les ingrédients bio et naturels. 

Le problème avec cette norme, c'est ce qu'elle ne dit pas. 

Elle n'impose ni controle, ni liste noire d'ingrédients, ni de procédés à bannir dangereux pour la santé et pour l'environnement. 

Dans un souci de transparence et pour alerter le consommateur qui pourrait avoir du mal à s'y retrouver,les Laboratoires E.V Roigont crée une vidéo simple et ludique pour expliquer les problèmes liés à cette norme et ses enjeux. 

Si traiter de ce sujet peut vous intéresser, je peux vous mettre en relation avec M. Papineau,expert dans l'univers du bio et directeur des Laboratoires E.V Roig. 

Savoir ce que l'on consomme est devenu primordial, alors je vous invite à découvrir la vidéo
"Norme ISO 16128 : un danger pour la cosmétique bio ?"
en cliquant sur ce lien et à la partager au plus grand nombre. 

Restant à votre disposition,

Loélia CASAS-FLORES / Agence Boracay
01.45.72.44.00
 

Qui sont les nouveaux anarchistes


QUI SONT LES NOUVEAUX ANARCHISTES ?
 


Les zadistes de Notre-Dame-des-Landes et les « cortèges de tête » des dernières grandes manifestations sont l’objet d’une curiosité décuplée. Mais sait-on vraiment qui sont ces militants, comment ils s’organisent et quel sens ils confèrent à leur action ?
 

Francis Dupuis-Déri sera à Paris du 25 février au 2 mars
 


Francis Dupuis-Déri, Les nouveaux anarchistes, De l'altermondialisme au zadisme, Éditions Textuel.

DÉCOUVRIR LE LIVRE

RÉVEILLE-TOI !
 


Vous vous sentez éreinté, stressé, oppressé ? Suivez le guide ! Ruby Wax, scénariste d'Absolutely Fabulous, qui connaît comme sa poche le pays de l’épuisement perpétuel, vous offre ici, avec son humour dévastateur, le meilleur itinéraire de sortie et les meilleures destinations où se reposer et faire le plein.


Ruby Wax sera à Paris les 20 et 21 mars

Ruby Wax, Réveille-toi ! Petit précis de pleine conscience à l'attention des gens surmenés,Éditions du Cherche midi, en librairie le 21 mars

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GLORIA STEINEM, UNE ICÔNE FÉMINISTE
 


Gloria Steinem, aujourd’hui âgée de 83 ans, est une icône féministe américaine, inscrite au Women’s National Hall of Fame. Journaliste, écrivain, elle a fondé le magazine féministe Ms. et, avec Jane Fonda et Robin Morgan, le Women’s Media Center, une organisation qui se bat pour rendre les femmes plus présentes et plus visibles dans les médias.
 

GLORIA STEINEM SERA À PARIS DU 19 AU 21 MARS
 


Gloria Steinem, Ma vie sur la route, Édition Harper Collins, en librairie le 13 mars. Préface de Christiane Taubira.

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YANNICK JADOT


 

Tête de liste des écologiste à l'élection européenne de mai prochain, Yannick Jadot écrit ici un livre coup de poing pour appeler les citoyens à se réapproprier notre commun destin européen. Car nous ne sommes condamnés ni à l'arnaque libérale, ni au hold-up populiste. L'Europe est et sera ce que l'on fait d'elle…

Yannick Jadot, Aujourd'hui, tout commence ! Pour une Europe enfin démocratique, écologique et solidaire, Les Liens qui Libèrent.DÉCOUVRIR LE LIVRE

SOIGNER N'EST PAS DROGUER
 


Une baisse d'attention, une agitation excessive, un chagrin d'amour : un petit cachet, et le tour est joué ! Le moindre écart émotionnel ou comportemental est aujourd'hui médicalisé. Roland Gori & Hélène Fresnel dénonce cette ère de l'Homo drogus.

Roland Gori & Hélène Fresnel, Homo Drogus, HarperCollins, en librairie le 6 mars.DÉCOUVRIR LE LIVRE

LES ENFERS DE LA FINANCE
 


Ce livre est qualifié par Jean-Claude Trichet d'«inclassable, est un cri d'alarme que je crois fondé. Si rien n'est fait pour infléchir le cours des décisions privées et publiques, nous affronterons inéluctablement une nouvelle crise financière mondiale.»
 

GEORGES UGEUX SERA À PARIS DU 19 AU 21 MARS
ET LES 18 ET 22 MARS EN BELGIQUE
 


Georges Ugeux, préfacé par Jean Claude Trichet, La descente aux enfers de la finance, éditions Odile Jacob, en librairie le 13 mars.

 


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Anne Vaudoyer 06 63 04 00 62 | anne@anneetarnaud.com
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Cancer et reprise du travail


Cancer et reprise du travail, pas si simple !
Par Valérie Sugg
 


La reprise du travail après le cancer est souvent traitée comme toute autre maladie, en vérité la réalité est tout autre.

Du rêve à la réalité : une autre vie !
Les traitements sont enfin terminés et, alors que les personnes malades pensaient se réjouir pleinement d'en avoir enfin terminé avec opérations, chimio ou radiothérapie, voilà que s'annonce parfois l'hormonothérapie mais en tout cas, ce qui est sûr, c'est que le programme est moins réjouissant qu'annoncé. Du jour au lendemain, fini l'équipe soignante présente, prête à répondre aux questions, à rassurer, c'est le grand saut, il va falloir apprendre à vivre sans et surtout à reprendre confiance en soi ; La période d'après traitement, est cette phase durant laquelle autant l'équipe soignante que les proches ont tendance à vouloir tourner la page alors que pour le malade, ce n'est pas forcément le cas parce que il ne se sent pas guéri et/ou que l'angoisse d'une récidive est très présente. Mais voilà, outre le fait que tout le monde semble reprendre son train train quotidien, cette personne est souvent coincée entre le besoin de se reposer parce que la fatigue est encore bien présente et l'envie de reprendre son travail, parfois c'est plutôt l'aspect financier qui la pousse à reprendre.

La reprise du travail est souvent attendue car c'est rassurant de retourner dans le monde des « biens portants » de ceux qui ne savent pas à quel point tout est fragile et chacun aimerait retrouver cette inconscience, cette insouciante et se fondre dans son poste comme avant mais c'est peine perdue. Pourquoi ? Parce que rien n'est plus comme avant !  Déjà, l'ancien malade a changé et puis autant certains environnements professionnels savent en tenir compte autant d'autres feraient tout pour le faire comprendre qu'il n'est plus le bienvenue, pas assez rentable. 
 
Retour au travail, rien n'est plus comme avant !
C'est complexe, le plus souvent, de revenir du monde des malades, de la fragilité des choses au stress du boulot qui n'en a cure de votre fatigue, des troubles de la mémoire, des difficultés de concentration, des douleurs parfois, encore, des angoisses et pertes de confiance en soi et j'en passe. Alors que chacun rêvait de retrouver sa place c'est parfois difficile, déstabilisant, culpabilisant de ne plus avoir le même entrain qu'avant, d'avoir besoin de plus de temps pour trouver ses marques. C'est souvent violent parce que très vite cette personne prend conscience que rien ne sera jamais plus comme avant alors que l'employeur, les collègues exigent vite de retrouver son niveau d'efficacité d'avant. De petites remarques, des réactions agacées ou autre vont accroitre ce sentiment de ne pas être à la hauteur alors que soyons clairs, il est impossible, après l'épreuve du cancer et l'impact des traitements de retrouver l'efficience d'avant, en tout cas pas tout de suite et cela dépend aussi des traitements supportés, endurés et des particularités de chaque travail. Cette course effrénée pour retrouver son niveau d'avant risque hélas d'épuiser encore plus chacun et le monde du travail devrait être mieux informé des particularités du retour des personnes ayant été malades afin de permettre un retour progressif, ne pas exiger l'impossible.

Il va falloir apprendre à accepter de ne plus être tout à fait comme avant, accepter ses limites et faire avec et ce n'est pas facile. Pour d'autres le retour au travail va être la confirmation d'un besoin d'envisager l'avenir professionnel autrement et là, rares sont les entreprises qui accompagnent les salariés sur le chemin d'une évolution de poste et pourtant, ces personnes en ont besoin. C'est dommage car le plus souvent les entreprises pénalisent les personnes qui reviennent après une maladie refusant une promotion, un changement de poste, une adaptation de celui-ci avec parfois même des sortes de mise au placard dans l'objectif que la personne concernée finisse par partir démissionner et même parfois, de façon totalement odieuse et insupportable c'est le licenciement. 
Il demeure aussi l'idée qu'une personne qui a eu un cancer fait peur,  que les gens ont des croyances plus que des connaissances, que penser qu'une personne qui revient après un cancer sera à 100 % est une erreur et penser aussi que la personne malade qui revient ne fait pas d'effort, se laisse aller, s'écoute, est aussi une erreur grossière, il faudrait le dire plus souvent.

Ne pas se précipiter, s'informer et préparer son retour… si possible.
Donc prendre son temps, ce n'est pas un luxe. Ensuite, prendre contact avec son entreprise, voir comment le retour peut se faire, peut-être en mi-temps thérapeutique si besoin, pourquoi pas, pour revenir de façon prudente (à condition de ne pas transformer ce mi temps en plein temps…)  Prendre rendez-vous avec la médecine du travail peut aussi permettre de mieux situer le cadre du retour à votre poste, d'en discuter. Rentrer en contact avec des collègues peut aussi préparer votre retour en vous mettant au courant des nouveautés, de l'ambiance, de la charge de travail etc…
Mais soyons clairs, tant que cela est possible, il faut prendre le temps de bien récupérer avant de reprendre le travail et si ce n'est pas possible, d'adapter autant que possible son emploi du temps à son état. Reprendre le travail après une maladie grave demeure compliqué dans notre société qui exige que chacun soit rentable, efficace, qu'il respecte des échéances, rentre dans les cases, atteigne des objectifs parfois totalement délirants, cette société qui hélas manque trop souvent d'empathie envers ceux que la vie a blessés.
 
Valérie Sugg
Psychologue en cancérologie dans un service hospitalier pendant vingt ans. Auteure de plusieurs livres sur la santé : 
-           « Cancer : sans tabou ni trompette »
-           « L'hôpital : sans tabou ni trompette, soignés et soignants en souffrance ».
-           « Cancer : l'accompagnement ».
Tous ses livres sont publiés par les éditions Kawa. Page Facebook :https://www.facebook.com/SuggValerie/
 
Contact Presse
Suzana Taunais-Biseul
GSM: + 33 (0)6 61 95 34 89
e-mail :suzanabiseul@bbox.fr
site : http: //www.suzanarp.fr/
 

PAUVRETÉ


Agnès BUZYN

ministre des Solidarités et de la Santé

 

Jacqueline GOURAULT

ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales

 

 

 

Christelle DUBOS

secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé

 

Adrien TAQUET

Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Stratégie Pauvreté : lancement de la contractualisation entre l’Etat et les Conseils départementaux

 
Paris, le 21 février 2019
 
Réunis à l’occasion d’un séminaire en présence du Premier ministre, les Présidents des Département de France et le Gouvernement ont officiellement lancé la mise en œuvre de la contractualisation entre l’État et les Conseils départementaux, étape essentielle dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté annoncée par le Président de la République le 13 septembre. Dès 2019, 135 millions d’euros seront ainsi attribués aux Départements signataires de ces conventions.
Jeudi 21 février, le séminaire réunissant les Présidents des Départements de France organisé à l’Elysée, en présence du Premier ministre, d’Agnès BUZYN, ministre des Solidarités et de la Santé, deJacqueline GOURAULT, ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, de Christelle DUBOS, secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé, d’Adrien TAQUET, secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé, et deDominique BUSSEREAU, Président de l’Assemblée des Départements de France a fixé l’objectif d’étendre la contractualisation sur l’ensemble des départements de France d’ici fin juin 2019.
Pour déployer la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, le gouvernement a en effet lancé une démarche inédite de contractualisation avec les Départements, répondant ainsi aux préoccupations exprimées par ces derniers lors de la concertation ayant précédée la construction de la stratégie pauvreté.
Ces conventions, dont le contenu a été construit avec l’ADF, assurent la mise en œuvre d’objectifs définis conjointement, avec des résultats à atteindre, des référentiels et des indicateurs de suivi, les Départements ayant pleine liberté sur le choix des moyens pour y parvenir. Elles prévoient un engagement de l’État et des Départements sur deux volets :
-          Une partie socle, commune à tous les Départements, définit les objectifs et résultats à atteindre concernant l’accompagnement des sorties de l’aide sociale à l’enfance, la généralisation des démarches de premier accueil social inconditionnel et de référent de parcours l’amélioration de l’insertion et l’accompagnement des allocataires du revenu de solidarité active.
 
-          Une partie laissée à l’initiative des Départementsvise à financer les projets spécifiques, à impact direct pour nos concitoyens et porteurs d’innovation sociale s’inscrivant dans le cadre de des objectifs de la stratégie pauvreté.
Un fonds de contractualisation, d’un montant 135 millions d’euros en 2019 sera porté a minimaà 210 millions d’euros en 2022 pour financer les projets des Départements signataires.
Dès le mois de décembre 2018, une première phase de contractualisation avec onze Départements démonstrateurs de la stratégie pauvreté avait été lancée : Bas-Rhin, Meurthe et Moselle, Nord, Pas-de-Calais, Gard, Indre-et-Loire, La Réunion, Loire-Atlantique, Haute-Garonne, métropole de Lyon et Seine-Saint-Denis ont ainsi accepté de s’engager dans la contractualisation prévue par la stratégie pauvreté au début de l’année 2019.
C’est à partir des territoires que la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté est pilotée et grâce aux Départements, chefs de file de l’action sociale, elle se met progressivement en œuvre dans les territoires.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

Contacts presse :

Ministère des Solidarités et de la Santé :sec.presse.pauvrete@sante.gouv.fr

Ministère de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales :communication.jg@cohesion-territoires.gouv.fr

 

Les ministères sociaux agissent pour un développement durable.
Préservons l'environnement : n'imprimons que si nécessaire !

vendredi 15 février 2019

Handicap Zéro


Yves Rocher, accompagné de HandiCaPZéro, s’engage à prendre soin d’elles en leur offrant :
- l’édition adaptée du Livre Vert de la Beauté 2019 (braille et audio)
- de nouvelles étiquettes pour identifier les produits (soins visage et corps, maquillage)
- de nouveaux rendez-vous beauté sans miroir pour apprendre à se maquiller un peu partout en France
Pour en savoir +, accédez aucommuniqué de presse (pdf)
Bien à vous
 
 
Stéphanie Cuppini
stephanie.cuppini@handicapzero.org
+33 1 53 40 95 52
+33 6 13 06 67 78

handicapzero.org
                                                   

Une jonquille pour Curie

Donnez un coup de pouce à l'institut Curie, dans sa lutte contre le cancer, en achetant des jonquilles dans le cadre de leur operation.

Découvrez le Tweet de @ZOOM_Actus : https://twitter.com/ZOOM_Actus/status/1096358202361417728?s=09

mardi 12 février 2019

MFP Services le couperet tombe...






Mutuelles : MFP Services abandonne la gestion du régime obligatoire

LAURE VIEL | 17/05/2018 à 16h00

MUTUELLE DE LA FONCTION PUBLIQUE CNAM

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Le siège de MFP Services, dans le 13ème arrondissement parisien

Le conseil d’administration de MFP Services a voté à l'unanimité le transfert définitif de son activité de gestion des frais de santé du Régime obligatoire vers l'opérateur Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM).

Depuis plusieurs mois, il était de notoriété publique que MFP Services, opérateur historique de la gestion du régime obligatoire d’assurance maladie des fonctionnaires*, s’interrogeait sur la pertinence de la poursuite de son activité de gestion du régime obligatoire d'assurance maladie. Le couperet est tombé, jeudi 17 mai, avec le vote à l’unanimité, par le conseil d’administration, du transfert définitif de la gestion des frais de santé du régime obligatoire vers la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam). Formellement, ce transfert interviendra à compter du 1er mars 2019. L’ensemble du personnel affecté à cette branche d'activité sera transféré dans les effectifs de la Cnam.
La responsabilité de la Sécu
La décision de MFP Services est liée à la baisse continue des remises de gestion octroyées par la Cnam au titre de la gestion du régime obligatoire. « La signature, en février 2018, de la Convention d'orientation et de gestion (COG) de la Cnam par la ministre de la Santé a lourdement pesé dans notre décision de stopper la gestion des frais de santé du Régime obligatoire en interne. Cette convention augure, en effet, une baisse drastique des remises de gestion. Elle ne permet plus à MFP Services d'assurer cette activité de gestion des frais de santé du Régime obligatoire », explique Bruno Caron, président de MFP Services.

Recentrage sur la prévention
Cette décision marque un tournant dans l’histoire de MFP Services, qui avait déjà, en juin 2016, cessé la gestion du régime complémentaire pour le compte des mutuelles. Dans la continuité d’actions déjà engagées depuis début 2017, MFP Services annonce aujourd’hui son recentrage sur les activités de gestion du risque santé et de la prévention, passant, selon Bruno Caron, « du concept d'assurance maladie à celui d'assurance santé ». A ce titre, MFP Services sera le relais de la Cnam en diffusant tous les programmes et les opérations nationales. Elle mènera aussi des actions spécifiques portant sur les risques et problématiques propres à la fonction publique.
* MFP Services fédère aujourd’hui treize mutuelles partenaires –CDC Mutuelle, Harmonie Fonction Publique,Intériale, LAMIE, MAEE, MCDef, MCF, MGAS, MGEFI, MGP, MMJ, MNH, MNT.

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dimanche 10 février 2019

L'alcool serait plus préjudiciable aux femmes


Alcool, mais pas si cool quand il y a une consommation répétée et une difficulté à se réfréner. Et si on avait sous-estimé les conséquences de la consommation d’alcool chez la femme ?

© Monkey Business




Certains alcools sont de plus en plus sucrés, aromatisés, et arborent un design « tendance » pour plaire à la femme. Que ce soit à la maison ou à l’extérieur, il n’est plus indécent pour une femme de consommer des bières, cocktails ou autres spiritueux pour s’amuser, se détendre, combattre le stress de la vie. Parce que l’alcool apporte une sensation de détente, d’euphorie, voire d’excitation ; il permet une désinhibition, un affranchissement de la timidité, une liberté de la parole et un lâcher-prise. 

Depuis les années 70, la consommation d’alcool a diminué en France. Mais à l’inverse, elle a progressé chez la femme. Aujourd’hui, les femmes boivent autant que les hommes, de plus les statistiques font état d’une émergence de la consommation excessive d’alcool – surtout chez les femmes diplômées.

Que devient l’alcool dans le corps ? 

Malheureusement, les effets de l’éthanol sont plus préjudiciables à l’organisme de la femme (à âge et poids égal) qu’à celui de l’homme. Eh oui ! Encore une fois, la femme et l’homme ne sont pas égaux ! Face à la consommation de ce liquide non plus. Nous les femmes « trinquons » davantage : pour la même quantité d’alcool absorbée, le taux sera supérieur chez les représentantes du sexe féminin. Le cheminement de l’alcool dans l’organisme est précis : il est éliminé par la sueur, les urines et le foie, grâce à la présence d’enzymes spécifiques – qui elles sont moins efficaces chez la femme. Une consommation excessive ponctuelle, par exemple le « binge drinking » (boire de l’alcool ponctuellement, le plus rapidement possible et en grandes quantités) aurait pour conséquence des pics hormonaux. Résultat, chez la femme, l’alcool est moins bien éliminé, sans compter que ces effets néfastes durent plus longtemps et se manifestent plus rapidement.

Les conséquences

Sur le plan de la santé, les maladies qui en découlent sont dramatiques : cirrhose, polynévrites, complications neurologiques, cancers – dont ceux de la bouche, de la gorge, du foie et du sein – et certaines maladies cardiovasculaires. Côté psychologique, la honte, le dégoût au réveil, etc. Selon les statistiques, 92 % des femmes alcooliques boivent en cachette et 46 % refusent d’en parler. Même pendant la grossesse, 32 % des femmes enceintes continuent de boire de façon occasionnelle.

À quel moment doit-on s’inquiéter ?

La dépendance s’installe plus vite chez la femme. On devient alcoolodépendant, quand on est parasité, qu’on en a besoin, qu’on ne peut plus s’abstenir. Les quantités d’alcool absorbées et la fréquence d’absorption sont de plus en plus importantes. On finit par boire pour ne plus être en manque. Apparaissent alors certains symptômes physiques : tremblements, sueurs, crises de tachycardie, hypertension, nausées, vomissements.

Ce qu’on peut faire : avoir une consommation contrôlée. Il n’y existe pas de seuil clair de consommation, selon l’avis d’experts de Santé publique France et de l’Inca, il existe une valeur repère unique pour les deux sexes qui est de 10 verres par semaine et pas plus de 2 verres standards par jour (équivalent à une bière, un verre de whisky, un verre de vin, environ 10 grammes). Idéalement 1 verre par jour pour la femme. Si on est une buveuse excessive, il est recommandé de se faire aider par un psychothérapeute. La dépendance à l’alcool est une maladie, et comme toute maladie, elle se soigne avec une aide appropriée. 

Bon à savoir : Il faut deux jours pour éliminer l’alcool dans son organisme.  
Plus d’infos : www.alcool-info-service.fr


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samedi 9 février 2019

Santé au travail

Un collectif d’agents bretons de la Carsat s’élève contre la future réformedu système de prévention des risques professionnels. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400/sante-au-travail-les-controleurs-de-la-carsat-mobilises-contre-la-reforme-de-prevention-des-risques-6198144

Derniere minute: Pneumorel


Lu sur Ouest-France.fr : 
Le Pneumorel, médicament contre la toux, retiré du marché français : 
  https://www.ouest-france.fr/sante/medicaments/le-pneumorel-medicament-contre-la-toux-retire-du-marche-du-marche-francais-6216507