MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mardi 24 mars 2015
MINE D'INFOS: Serge Brichet invité du Café nile le mercredi 25 ...
MINE D'INFOS: Serge Brichet invité du Café nile le mercredi 25 ...: Serge BRICHET invité du Café nile mercredi 25 mars de 8h30 à 10h au Sir Winston : « Professionnels de santé et assureurs ...
lundi 23 mars 2015
MINE D'INFOS: Serge Brichet invité du Café nile le mercredi 25 ...
MINE D'INFOS: Serge Brichet invité du Café nile le mercredi 25 ...: Serge BRICHET invité du Café nile mercredi 25 mars de 8h30 à 10h au Sir Winston : « Professionnels de santé et assureurs ...
MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...
MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...: Poussés au-delà de nos limites MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola, un an après l’apparition ...
MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...
MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...: Poussés au-delà de nos limites MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola, un an après l’apparition ...
MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...
MINE D'INFOS: MSF publie une analyse critique de la riposte mond...: Poussés au-delà de nos limites MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola, un an après l’apparition ...
MSF publie une analyse critique de la riposte mondiale au virus Ebola, un an après l’apparition de l’épidémie
Genève, le 23 mars 2015 – L’organisation médicale internationale Médecins Sans Frontières (MSF) a sorti aujourd’hui une analyse critique portant sur la gestion de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Un an après que les premiers cas aient été détectés, l’organisation revient sur la faiblesse de la réponse apportée et met en garde sur le fait que, malgré une diminution importante du nombre de cas, l’épidémie n’est pas terminée.
Le rapport
« Poussés au-delà de nos limites »,
repose sur des entretiens réalisés avec des dizaines de membres du personnel
qui ont été impliqués dans la gestion de l’épidémie sur le terrain. Il décrit
les toutes premières mises en garde de l’organisation, il y a juste un an,
quand l’épidémie se répandait dans toute la Guinée ; le déni des gouvernements
des pays touchés alors qu’elle s’étendait progressivement à toute la région ;
et la mise en place par MSF d’un projet médical unique par son ampleur en
raison de l’inaction des autres acteurs. Au cours de cette période, plus de
1.300 membres du personnel international et 4.000 membres du personnel national
ont été déployés en Afrique de l’Ouest, où ils ont pris en charge près de 5.000
personnes atteintes de l’Ebola.
« Aujourd’hui, nous prenons le temps de la
réflexion. Analysant non seulement la manière dont nous avons réagi à la plus
grande épidémie d’Ebola jamais constatée, mais aussi la réponse apportée par
les différents acteurs » rapporte Joanne Liu, Présidente de MSF
international. « Cette épidémie, par son
caractère exceptionnel, a mis en lumière l’inefficacité et la lenteur de la
réponse apportée par les acteurs de l’aide humanitaire et médicale lors d’une
telle situation d’urgence ».
Le rapport
revient sur les conséquences médicales de l’apathie de la « coalition de l’inaction » dénoncée par MSF durant plusieurs mois
début 2014, période pendant laquelle le virus a disposé de temps pour se
propager, nous obligeant à faire appel à la mobilisation de matériel médical,
civil et militaire et à des moyens de réponse spécifiques aux catastrophes
biologiques. Fin août 2014, notre centre de d’Ebola d’Elwa 3 à Monrovia était
totalement submergé de patients. Notre staff était obligé de renvoyer chez
elles des personnes visiblement malades, tout en sachant bien qu’en rentrant
dans leurs communautés, elles seraient de nouveaux vecteurs de la propagation
du virus.
« On a souvent dit que cette épidémie était le
fruit d’une accumulation de mauvaises circonstances. Une épidémie étendue sur
plusieurs pays, dotés d’un système de santé faible et n’ayant jamais dû faire
face au virus Ebola
» dit Christopher Stokes, le Directeur Général de MSF. « Cette explication est bien trop facile. L’ampleur atteinte par cette
épidémie d’Ebola est aussi due à une réaction défaillante de plusieurs
institutions. Leur inaction eut des conséquences tragiques qui auraient pu être
évitées. »
Le rapport
revient également sur le défi que la réponse à l’épidémie a représenté pour MSF
et sur les choix difficiles que nous avons parfois été amenés à faire en
l’absence de moyens suffisants et de traitements efficaces de la maladie. Alors
que notre expérience de l’Ebola était cantonnée à un groupe d’experts
relativement restreint, il nous était difficile de réagir plus adéquatement.
Devant
l’ampleur de la catastrophe et la faiblesse de la réaction internationale, nous
avons souvent dû nous limiter à une pure gestion des dommages. Incapables de
répondre à tous les défis à la fois -le traitement des patients, la
surveillance des nouveaux cas, l’enterrement des morts, entre autres activités-
nous avons dû nous résoudre à des compromis.
« Pendant la période la plus critique, les
équipes de MSF étaient juste incapables d’admettre davantage de patients ou de
donner les meilleurs soins possibles » se rappelle le Dr Liu. « Cette expérience était traumatisante pour
une organisation de médecins volontaires comme la nôtre. De nombreuses
discussions, et parfois même, des tensions ont éclaté au sein même de MSF. »
Une
réflexion est en cours au sein de MSF, afin de tirer des leçons de l’épidémie
actuelle pour une meilleure gestion des épidémies futures. Nous analysons
notamment notre base de données de patients pour définir les multiples facteurs
influant sur le taux de mortalité. Plus important encore, nous soutenons la
recherche et le développement de vaccins, de traitements et d’outils de
diagnostic fiables et faciles à utiliser.
Mais le
plus grand défi reste à venir. Pour que l’épidémie puisse être déclarée « sous
contrôle », chaque personne qui a été en contact avec une personne infectée par
le virus doit être identifiée. Nous n’avons pas droit à l’erreur et nous ne
pouvons pas relâcher notre attention. Le nombre de nouveaux cas détectés chaque
semaine demeure supérieur à celui constaté lors des épidémies d’Ebola
précédentes. En outre, le nombre total de cas ne diminue plus significativement
depuis fin janvier.
En Guinée,
le nombre de patients atteints par Ebola augmente même à nouveau. En Sierra
Leone, de nombreux patients identifiés ne figurent pas sur les listes de
personnes ayant été en contact avec d’autres personnes contaminées. Le Libéria
a entamé le décompte des jours avant l’annonce de la fin de l’épidémie mais
demeurera une zone à risque tant que le virus sera présent dans les pays
voisins.
« L’épidémie d’Ebola a aussi ébranlé la
confiance que la population a envers le système de santé et démoralisé les
travailleurs du secteur. Les gens sont non seulement appauvris et endeuillés.
Mais ils sont aussi devenus suspicieux, » constate le rapport.
Dans les 3
pays les plus touchés par l’épidémie, près de 500 travailleurs de la santé ont
péri au cours de l’année. Ces pertes tragiques affaiblissent davantage des
structures médicales déjà fragiles avant le début de l’épidémie. Rétablir un
accès de base aux soins de santé doit être la première étape de la
reconstruction des systèmes de santé dans les pays touchés par l’épidémie.
« Des milliers de personnes ont payé de leur
vie l’échec de la réponse apportée à l’épidémie. Nous devons analyser toutes
les raisons de cette catastrophe médicale sans précédent, de la faiblesse des
systèmes de santé nationaux, à la lenteur et à la paralysie de l’aide
humanitaire internationale », conclut le rapport.
MINE D'INFOS: Victoire juridique pour la vente de médicaments en...
MINE D'INFOS: Victoire juridique pour la vente de médicaments en...: Victoire juridique pour la vente de médicaments en ligne L'arrêté du 20 juin 2013 relatif aux bonnes pratiques de dispensation d...
Victoire juridique pour la vente de médicaments en ligne
Victoire
juridique pour la vente de médicaments en ligne
L'arrêté
du 20 juin 2013 relatif aux bonnes pratiques de dispensation
des
médicaments sur Internet annulé par le Conseil d'Etat
23 mars 2015
1001Pharmacies.com,
premier
portail français
de
vente en ligne de produits de santé,
accueille avec satisfaction la décision du Conseil d'Etat. Une annulation qui
permet aux pharmaciens français de relancer le débat et d'entrevoir sous de
meilleurs auspices leur évolution vers la vente de médicaments en ligne.
Lien
officiel : http://www.1001pharmacies.com
Par décision du 16 mars
2015, le Conseil d'Etat a annulé pour excès de pouvoir
l'arrêté du 20 juin
2013, relatif aux
bonnes pratiques de dispensation des médicaments sur Internet.
Rappel des
faits
19
décembre 2012 :
ordonnance autorisant la vente en ligne de médicaments en France.
31
décembre 2012 :
publication du décret comportant un volet sur le e-Commerce.
20
juin 2013 : décret
sur les bonnes pratiques de dispensation et de vente en ligne pour les
pharmacies physiques, autorisant la vente en ligne des 4.000 médicaments disponibles sans ordonnance. Sous les pressions des syndicats de pharmacies et du
CNOP le décret est devenu inapplicable
et trop strict :
interdiction aux pharmaciens français de faire de la publicité pour leur site
web, obligation de collaboration avec des hébergeurs de données de santé très
coûteux, interdiction de regroupement sur internet de plusieurs officines, etc.
Fin
juin
2013 : 3 recours
déposés devant le Conseil d'Etat, dont celui de 1001Pharmacies, afin de demander la suppression
des restrictions et incohérences mettant en péril les activités online des
pharmaciens français. Ces restrictions avaient
pour incidence d'une
part de favoriser
le développement
de sites
étrangers,
plus ou moins légaux, qui
vendent des
médicaments en ligne sur le territoire français, et, d'autre part, de
provoquer la
détérioration de l'équilibre économique des officines françaises.
Une première
victoire pour les Français et la vente en ligne
A l'initiative de 1001Pharmacies
et du cabinet d'avocats CMS Bureau Francis Lefebvre, cette annulation est fondée
sur le double motif que, d'une part, l'arrêté n'a pas été soumis, préalablement
à son adoption, à l'avis de la Commission européenne, rendu obligatoire par la
directive 98/34 ; et
que, d'autre part, le
Conseil d'Etat
a souligné que nombre des dispositions de
l'arrêté échappent à la compétence de la ministre et relèvent du décret en
Conseil d'Etat.
Les
conséquences de cette annulation
- Le ministère doit adopter un
nouvel arrêté fixant les bonnes pratiques, et revoir, d'ici un an, l'ensemble de la législation
relative à la vente du médicament par internet (comme prévu à l'article R
4235-18 du code de la santé publique).
- Cette annulation fragilise les
poursuites engagées par le CNOP à l'encontre de certains pharmaciens offrant un
service de vente en ligne. Dans la plupart des cas, les poursuites étaient
fondées sur l'arrêté qui vient d'être annulé. C'est notamment le cas
des poursuites
engagées à l'encontre de 1001Pharmacies.com.
"Avec plus de
10 ans de retard par rapport à nos voisins européens, nous attendions
avec impatience, en 2012,
cette loi qui
promettait d'encadrer le marché de la vente en ligne de médicaments en France.
Malheureusement, beaucoup trop de restrictions se
sont retrouvées
dans cet arrêté de bonnes pratiques !
Cette loi a
eu pour effet
de dissuader les
officines françaises de
se développer
sur Internet, et a même
entraîné le
développement d'acteurs belges sur le marché
national, au
détriment des
pharmacies françaises. Depuis plus de
3 ans, nous
constatons que les
pharmaciens français ne sont pas tous
capables de
s'affirmer seuls sur la vente en ligne, face à des
gros acteurs européens. Il est donc impératif de permettre le regroupement de
plusieurs officines sur des plateformes Internet mutualisées, pour développer
enfin en France le marché de la pharmacie en ligne."
Cédric O'Neill,
Pharmacien et co-fondateur de 1001Pharmacies.com.
1001Pharmacies
en chiffres :
Nombre de clients :
500.000
Nombre de visiteurs uniques :
1.000.000
Nombre de vendeurs et pharmacies partenaires :
600
Volume de ventes : 7M€ en
2014
Volume de ventes : 22M€
prévisionnels en 2015
35 salariés
|
1001pharmacies.com
1001pharmacies.com est développée
par la société eNova Santé SAS, basée à Montpellier
(34). Lancée en octobre 2012 après 2 ans d'étude et de développement par Cédric O'Neill,
Pharmacien et Spécialiste Web, et Sabine Safi, Spécialiste en Marketing sur
internet, 1001pharmacies.com est la première plateforme web permettant aux
pharmacies de vendre leurs produits et de délivrer leurs conseils sur internet.
Aujourd'hui le site référence également d'autres vendeurs spécialisés dans la
santé pour proposer 15.000 références en matériel médical, vétérinaire, santé
connectée, et bien sûr parapharmacie. 1001pharmacies a obtenu dès son lancement
le soutien de la Région Languedoc-Roussillon ainsi que de l'Union Européenne et
de BPI France, et a réalisé début 2014 une levée de fonds de 2 millions
d'euros.
MINE D'INFOS: C'est à lire : Newsletter réalisée par Gérard Biet...
MINE D'INFOS: C'est à lire : Newsletter réalisée par Gérard Biet...: Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos comment...
C'est à lire : Newsletter réalisée par Gérard Bieth
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- Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale Vos commentaires ou suggestions sont les bienvenus, contactez-le (gerard AT annuaire-secu.com) |
L'actualité des sites Internet et réseaux
sociaux
16/03/15 - A retrouver sur le site du magazine trimestriel un lundi sur deux la nouvelle rubrique " Dans l'actu " qui propose un résumé sur les éléments saillants de la quinzaine écoulée en matière de santé au travail.
Cette nouvelle
rubrique pourra donner lieu, suivant l'actualité, à des traitements complémentaires
sous forme d'articles ou d'enquêtes plus fouillées réalisées par ses
journalistes.
> L'actualité du 16 mars 2015
> L'actualité du 16 mars 2015
Sondages - enquêtes
Prescription en DCI obligatoire depuis 1er janvier
2015. Quel effet ?
Les comportements des médecins ont bien changé en la
matière selon une enquête
menée par Vidal en février 2015 auprès de 1 600 médecins et 400
pharmaciens.
En effet, 43 % des généralistes et
32 % des spécialistes reconnaissent avoir modifié leurs pratiques de
prescription depuis le 1er janvier dernier. Et 15 à 18 % ont l'intention de le
faire prochainement. En général, ils optent pour une prescription en " DCI
+ nom de marque ". Toutefois, les réticences restent fortes : 42 % des
généralistes et 50 % des spécialistes ne souhaitent pas changer leurs
pratiques. Par ailleurs, les logiciels d'aide à la prescription des
généralistes ont également évolué : 36 % éditent systématiquement aujourd'hui
une ordonnance en DCI + nom de marque, contre seulement 12 % lors de la
précédente enquête en juin 2014. De leur côté, les pharmaciens confirment cette
évolution avec une diminution de 13 % du nombre d'ordonnances rédigées seulement
en " nom de marque " entre juin 2014 et février 2015 (52 % du total
contre 65,3 %).
Le hit des liens les plus cliqués de la lettre 642 du 15 mars 2015
- 1 - Libre service d'images, d'affiches et banderoles contre le RSI - La communauté Facebook contre le RSI
- 2 - Eldorado, l'application de gestion des risques dédiée au contrôle interne des acteurs publics signée Opta-S
- 3 - La lettre d'information Ucanss 0535 du 9 mars 2015 sur la Licence Professionnelle Management Opérationnel dans la Protection Sociale - Promotion 2015 - 2016.
- 4 - Proposition de loi pour lutter contre les déserts médicaux. Le post de Fluorette "PROJET DE LOI" qui tente d'expliquer pourquoi c'est tout simplement stupide
- 5 - Un couple de retraité soupçonné d'avoir escroqué Pôle emploi à hauteur de plusieurs millions d'euros - 20 minutes - 7 mars 2015
- 6 - La Sécu pourrait prélever son dû sur votre compte bancaire - Le Figaro 13 mars 2015
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