Nora ANSELL-SALLES

mardi 19 novembre 2013

Adolescence et pathologies

Colloque du 12 octobre 2013
 
Présentation du colloque par le Pr. Sami-Ali
 
Je tiens à situer ma conception de la psychosomatique non pas comme une spécialité de la médecine, mais plutôt comme une interrogation sur le lien ente l’âme et le corps qui, pour moi, ne sont pas deux entités, mais deux concepts destinés à rendre compréhensible une réalité qui nous dépasse. Dans mon dernier ouvrage, je donne  le nom de théorie relationnelle à ce nouveau modèle théorique et y développe la pensée de l’unité.
 
Ce qu’il faut rechercher c’est l’unité psyché-soma qui doit être pensée autrement à l’adolescence. Elle doit y inclure la multiplicité du fonctionnement adolescent dans une pespective nouvelle ouverte au conflit avec ou sans issue, facteur de la pathologie psychosomatique.
 
Professeur Sami-Ali
Directeur scientifique du CIPS
 
Le Centre international de Psychosomatique
Présentation et historique
 
Crée en 1986, il est dirigé par le professeur Sami-Ali, avec la collaboration de Sylvie Cady. C’est un organisme de formation et de recherche ouvert à tous ceux (médecins, psychothérapeutes, psychologues, psychomotriciens, professionnels de la santé, etc.) qui désirent, soit acquérir, pour leur pratique, des outils thérapeutiques leur permettant de mieux situer leur expérience personnelle tant au niveau diagnostic que thérapeutique, soit ouvrir leurs connaissances ou s’inscrire dans une perspective de recherche. Le Centre est membre de la Fédération française de psychothérapie et de psychanalyse.
 
Historique de la Psychosomatique
La psychosomatique est apparue en France en 1947 avec le Professeur Ziwar dans le service du Professeur F. Delay à
l’Hôpital Sainte-Anne. Il était à l’époque Chef de Clinique en Psychiatrie et Membre de la Société Psychanalytique de
Paris. Il avait pour élève les Professeurs Marty et Sami-Ali.
En 1978, il écrit un article intitulé Psychanalyse des principaux syndromes psychosomatiques et publie dans la Revue
Française de Psychanalyse.
Fin 1965, Sami-Ali travaille au CMPP Claude Bernard où il crée un séminaire de psychosomatique.
En 1972, il est appelé à l’Université Paris VII où il crée un enseignement de la psychosomatique. Il y fait évoluer son
séminaire vers un séminaire de recherche.
En 1980, il travaille à la Poterne des Peupliers où il est Directeur de la Recherche.
Puis il y a rupture autour de la sortie du livre Le Banal.
En 1984, il crée à l’Université Paris VII l’Unité de Recherche en psychosomatique.
En 1987, il fonde le Centre d’Étude et de Recherche en psychosomatique qui se transforme rapidement en Centre
International de Psychosomatique.
En 1989, Sami-Ali et Sylvie Cady fondent le Centre International de Psychosomatique.
Sami-Ali est le Directeur Scientifique, Sylvie Cady le directeur.
Dès lors, le séminaire de recherche du Professeur Sami-Ali a lieu au CIPS.
Professeur Sami-Ali
Professeur émérite de l’université Paris-VII et directeur scientifique du Centre
international de Psychosomatique.
Il a publié de nombreux ouvrages sur la psychanalyse et la psychosomatique dont :
- L’Espace imaginaire (Gallimard, 1974),
- Le Banal (Gallimard, 1980),
- Penser le somatique (Dunod, 1987),
- Le Rêve et l’affect (Dunod, 1997),
- Le Corps, l’espace et le temps (Dunod, 1998),
- Corps réel, corps imaginaire (Dunod, 2010),
- Penser l’unité (L’esprit du temps, 2011).
Elle a publié de nombreux ouvrages sur la psychosomatique :
- Latéralité et image du corps chez l’enfant, Bayard, Paris, 1988
- Le corps, le mouvement et la parole, Dunod, Paris, 1992
- Les métamorphoses du corps, Sylvie Cady - Catherine Roseau, L’Harmattan, Paris, 1996
- Psychothérapie de la Relaxation, Dunod, Paris, 1998
- L’enfant allergique, Dunod, Paris, 2000
- La relaxation psychosomatique, Dunod, Paris, 2003
- Psicosomatica, Ed. Eugenio Barrera, Madrid, 2005
- Nouvelles perspectives pour la psychosomatique, Sami-Ali et Sylvie Cady, Universita Eticca, Bologne, 2006
- Soigner l’enfant psychosomatique, EDK, Paris, 2008
- Soigner l’allergie en psychosomatique, EDK, Paris, 2009
- Soigner en psychosomatique les problèmes scolaires. À paraître.
Sylvie Cady
Docteur en psychologie clinique, Psychanalyste, Psychosomaticienne, Directeur du Centre international de psychosomatique, Responsable du DU de psychosomatique à Toulouse, Directrice de la Collection Recherches en psychosomatique aux Editions EDK.
 
Intervenants du colloque
Pr Maurice Corcos
Chef du Département de Psychiatrie de l’Adolescent et du Jeune Adulte, Institut Mutualiste Montsouris.
 
Approche psychosomatique des troubles des conduites alimentaires à l’adolescence : le corps absent.
 
Les troubles des conduites alimentaires suscitent un intérêt grandissant qui témoigne d’un accroissement de ces affections, mais aussi de leur fort impact dans l’imaginaire social. Situées au carrefour de la psychologie individuelle, des relations familiales et sociales et du médical, ces pathologies offrent, par leur complexité et leur caractère provocant, un modèle des enjeux qui se développent préférentiellement à l’adolescence et chez les sujets féminins. Cette communication reprendra les principales dimensions psychopathologiques participant à la compréhension des conduites alimentaires en les articulant avec les mécanismes neurobiologiques entretenant la dépendance. Intégrant l’impact de l’environnement socioculturel et les dimensions transgénérationnelles, le proposera une approche psychosomatique de la boulimie et de l’anorexie. Dans une approche pathogénique, et transnosographique, nous évoquerons dans le dysfonctionnement des inter-relations précoces et ses conséquences sur le développement de l’enfant et le processus d’adolescence, une hypothèse centrale dans les conduites addictives alimentaires : la défaillance du maternel chez les mères des patientes ; en particulier dans l’investissement du corps autonome, vivant et érotique de l’enfant. Cette défaillance ne favoriserait pas une bonne intégration du féminin chez le sujet et participerait à l’avènement d’une organisation sadomasochiste qui le fixe à ses objets infantiles.
 
Le plus constant chez les mères des patientes apparaît être la résurgence d’une problématique qui peut se définir en terme de clivage corps-psyché à l’origine de défaut dans l’édification du soi psychique et somatique chez l’enfant, au sens où le moi est séparé de l’origine charnelle des émotions. Nous privilégions ainsi dans ces pathologies du corps le défaut d’investissement du soi somatique, avec son retentissement sur la première organisation de l’image du corps.
 
Nous évoquerons une transmission « corps à corps » (sous forme d’engrammes corporels) d’une psychopathologie maternelle (la distillation corps à corps de l’élément féminin pur par le maternel est barré) avec pour l’enfant un développement et une gestion sans contenant et sans auxiliaire physique et psychique organisateur et liant des éprouvés corporels et le développement d’autoérotismes non nourris physiquement et psychiquement de l’objet.
 
Pr François Marty
Professeur à l’Université Paris Descartes, Président du CILA de 2003 à 2011, Directeur de
l’Institut de Psychologie (Paris Descartes) de 2007 à 2012, Membre du Collège International
de l’adolescence, Responsable Scientifique du CIPS.
Le fonctionnement psychosomatique à l’adolescence comme traitement de l’angoisse.
À partir de l’exemple de l’obésité à l’adolescence, nous voudrions montrer comment le corps prend en charge une problématique
psychique, illustrant ainsi l’hypothèse selon laquelle le fonctionnement psychosomatique est une façon de
traiter l’angoisse, ici de séparation. L’obésité à l’adolescence est le fruit d’une résistance à la génitalisation du corps, un
refus du meurtre symbolique des parents. Les parents sont comme absorbés pour ne pas en être séparés, pour ne pas
les perdre. L’obésité à l’adolescence marque la difficulté à élaborer psychiquement cette perte des objets de l’enfance.
À la place du travail de deuil, il lui est préféré l’incorporation et non l’introjection de ces objets parentaux, comme
moyen de lutter contre la dépression liée à la peur de leur perte.
 
Pr. Jean-Marie Gauthier
Professeur à l’Université de Liège (Belgique), Responsable du Département du CIPS en
Belgique.
L’identité, la maladie et la dynamique du temps à l’adolescence.
Notre identité est intimement liée au développement de nos capacités narratives. Nous étudions depuis quelques
années ce processus grâce à la méthode d’analyse discursive assistée par ordinateur. La puberté met à mal cette
construction identitaire en mettant en question les rapports que le jeune entretient, comme source de pensée et de
sécurité, avec son corps. Nous avons choisi d’étudier les récits de vie d’adolescents sans particularité psychopathologique
et de les comparer à des discours d’adolescents obèses, d’adolescents déprimés hospitalisés et non-hospitalisés
et d’adolescents qui souffrent d’hémophilie. Nous avons pu montrer que ces cinq types de discours présentent des
caractéristiques bien différentes en ce qui concerne le rapport au temps, aux copains et à la famille. Par ailleurs, on
note d’importantes différences dans l’utilisation des pronoms personnels ce qui permet par exemple de préciser que
les discours d’adolescents obèses sont particulièrement dépersonnalisés, ce qui pose tout le problème de leur prise
en charge. Dans tous les cas qui présentent des manifestations psychopathologiques, on note aussi de grosses difficultés
pour ces jeunes à s’inscrire dans une histoire, ce qui pourrait expliquer bien des difficultés que nous rencontrons lorsque nous tentons de leur proposer un travail sychothérapeutique.
 
Dr Maurice Bensoussan
Psychiatre, Psychothérapeute - Université de Toulouse, Président du Collège National pour la Qualité des Soins en Psychiatrie (CNQSP), Vice-président de l’Association Française de Psychiatrie (AFP), Responsable Pédagogique du CIPS.
 
Quelle psychothérapie pour l’adolescent ?
 
Le titre est volontairement au singulier alors que souvent le praticien fait appel à une pluralité de registres pour créer la relation thérapeutique avec l’adolescent. Ce choix d’affirmer le singulier est porté par l’enseignement de Sami Ali, qui, à partir du savoir, explicite l’importance de s’en défaire pour dépasser l’application d’une technicité, d’un mode d’emploi dans le but d’accéder à l’authenticité de la relation. La relation est au préalable définie par ses 4 composantes plus une que sont : le rêve, l’affect, l’espace, le temps et la langue maternelle. Ainsi, cette notion de psychothérapie au singulier apparait, dans un couple logique entre théorie et pratique, comme l’équivalent thérapeutique du concept de l’unité. Une possibilité s’ouvre alors pour créer un espace thérapeutique qui dépasse la séparation du biologique et du psychologique, de l’âme et du corps. La prise en charge en hospitalisation à temps complet d’une adolescente souffrant d’une anorexie mentale sévère, illustre la mise en œuvre institutionnelle d’une pratique de la théorie relationnelle. C’est une psychothérapie qui va inclure différents intervenants et modalités sans exclure d’autres approches thérapeutiques rendues nécessaires par la pathologie elle-même. Penser l’unité de l’âme et du corps a créé une dynamique thérapeutique dans le temps d’une hospitalisation appliquant la psychosomatique relationnelle. Articuler les différentes prises en charges, individuelles avec des temps et des espaces différents, en groupe avec ou sans médiation, somatiques, familiales… structure la thérapeutique et donne une unité à la prise en charge qui porte le processus thérapeutique.
 
Sylvie Cady
Docteur en Psychologie clinique, Psychanalyste, Psychosomaticienne, Directeur du Centre International de Psychosomatique, Responsable Pédagogique du DU de Psychosomatique -Université de Toulouse, Membre de l’EAP (European Association for Psychotherapy).
 
Adolescence et allergie.
 
Pour une partie du fonctionnement allergique qui correspond à ces patients pris dans une relation identitaire à la mère dans le double, le père fonctionne en tant que tiers diffèrenciateur de l’image maternelle. Ceci confronte le sujet à un vide identitaire qui ne peut être représenté. À la place, il y a une réponse directe à travers le biologique : le processus immunologique de l’allergie, une fois possible la constuction identitaire du sujet, le tiers peut jouer son rôle de différenciation. À partir de là, la problèmatique adolescente apparait.
Intervenants du colloque
 
Dr Jean-François Le Goff
Médecin Honoraire des Hôpitaux, Psychiatre, ancien médecin-chef de secteur psychiatrique Attaché de consultation en Thérapie familiale à l’Unité de lutte contre les douleurs de l’enfant (Hôpital Trousseau - Paris).
 
Douleurs à l’adolescence et thérapies avec les familles.
 
La douleur de l’enfant ou de l’adolescent, indépendamment de son étiologie, agit comme une lame de fond qui bouleverse les fonctionnements familiaux, polarise les fonctions parentales, accentue des conflits préexistants et en révèle de nouveau, créant ainsi des situations d’épuisement relationnel.
 
À la différence des thérapies et des thérapeutiques individuelles, les séances de thérapie familiale n’ont pas pour objectif de soulager directement la douleur de l’enfant ou de l’adolescent, mais de prendre en considération les impacts sur la vie quotidienne dans la famille. Ses effets peuvent être importants et bénéfiques à court ou à long terme. Elles permettent de sortir des impasses relationnelles, de diminuer les stress déclencheurs des crises douloureuses, d’aborder les conflits préexistants ou liés à la douleur de l’enfant et, surtout, l’épuisement relationnel dans la famille.
 
Le dialogue thérapeutique a pour but de réactiver la créativité relationnelle de chaque membre, d’apaiser les stress en favorisant la tolérance à l’originalité de chacun, et de cette façon faciliter les évolutions inattendues en retrouvant le chemin d’un imaginaire familial constructif.
 
 
Martine Derzelle,
Psychologue, Psychanalyste, Maître de Conférences (HDR) en psychologie - Faculté de Médecine de Reims.
 
L’âge où le corps est un ennemi.
 
Situation particulière que celle de l’adolescent dont un des parents est atteint de cancer. À l’âge ou « le corps est un ennemi », entraînant une distorsion de l’espace et du temps, la mise à distance des objets oedipiens va déboucher le plus souvent sur une inconfortable ambivalence amplifiée et difficile à vivre. Inhibition de l’autonomisation, recul de la confrontation au changement, conséquences sur la sexualité et la spéciation sont les enjeux d’une telle configuration « en miroir ».
 
Leila Al Husseini
Psychologue, Psychosomaticienne, Art-Thérapeute en psychosomatique relationnelle, Responsable du Département de Lausanne (Suisse).
 
Adolescent en quête d’identité : art-thérapie et psychosomatique relationnelle.
 
En revenant sur une thérapie en cours d’une jeune adolescente souffrant d’un traumatisme à l’enfance et en quête identitaire, je vais vous exposer, durant ce colloque, l’essentiel de la démarche en art-thérapie relationnelle qui se sert de plusieurs formes d’expression : peinture, collage écriture. Cependant, il n’est pas aisé de transmettre une technique qui prend sa valeur à travers ses manifestations immédiates dans la relation thérapeutique. J’essayerai de vous présenter quelques moments importants de cette thérapie, où l’émergence du corps coïncide avec le retour des émotions jusqu’alors refoulées et l’imaginaire qui revient en force et permet à cette adolescente de découvrir des perspectives qui étaient assombries par la dépression.
 
Intervenants du colloque
 
 Dr Adele Bucalo Triglia
Médecin Psychiatre, Psychothérapeute en psychosomatique relationnelle, Président du CRPS (Centre di Ricerca PsicoSomatica di Palermo), Responsable Scientifique du Département CIPS en Italie.
 
Adolescence, Identité et Maladie de Crohn.
Le cas clinique montre une situation problématique du patient autour de la question de l’identité. La maladie de Crohn affecte le patient à l’époque de l’adolescence, le patient souffre d’une pathologie d’adaptation, il vit en miroir avec la mère, en se retirant dans un espace paranoïaque. Le patient reste pourtant isolé dans un monde étrange à soi-même et le corps du patient n’est pas suffisamment séparé ni distingué par le corps maternel. Dans la relation thérapeutique, le thérapeute cherche l’occasion de le mettre à l’évidence. La mémoire du fait traumatique au-dedans de la relation thérapeutique lui permet de récupérer l’affect, ambigu et bénévole, vers le père, et de tracer ainsi la premier distance entre le sujet et le corps de la mère. Mais la problématique de l’identité est bien complexe, comme le rêve du miroir le met en évidence.
 
Intervenants du colloque
 
Le Dr Maurice Bensoussan est intervenu 250 personnes ont participé au colloque.
Le Dr Théo Leydenbach, responsable scientifique du CIPS, a été le modérateur du colloque. Le Pr Maurice Corcos est intervenu sur le thème de l’approche psychosomatique des troubles des conduites alimentaires à l’adolescence : le corps absent. Le Pr Sami-Ali a ouvert le colloque. Sylvie Cady est intervenue sur le thème de
l’allergie et l’adolescence.  Sur le thème « Quelle psychothérapie pour un
adolescent ? ».Martine Derzelle est intervenue sur le thème
« L’âge où le corps est un ennemi ». Le Pr François Marty est intervenu sur le thème du fonctionnement psychosomatique à l’adolescence comme traitement de l’angoisse. Le Pr Jean-Marie Gauthier est intervenu sur le thème « L’identité, la maladie et la dynamique du temps
à l adolescence ».
 
Association Loi 1901 n° de déclaration en tant qu’organisme formateur 11.75.15.695.75
N° de SIRET 382 260 063 00038 - Code APE 7220Z
56 avenue Mozart - 75016 Paris
Tél. : 09 75 71 16 42 et 01 45 20 28 75 - Fax : 01 45 20 208 75
http://cips-psychosoma.org - Mail : c.i.psychosoma@wanadoo.fr -
Secrétariat : mardi, mercredi, jeudi : 9h-13h, vendredi : 9h-17h
 
 

 
 

 
 
 
 
 
 
 
 

Zoom sur les positions de l’UNSSF



http://www.unssf.org/uploads/Zoom%20sur%20les%20positions%20de%20UNSSF%20-%20Adhesion.pdf

Journée européenne de sensibilisation au bon usage des antibiotiques

Marisol Touraine et Stéphane Le Foll mobilisés contre la résistance aux antibiotiques

 

A l’occasion de la journée européenne de sensibilisation au bon usage des antibiotiques, Marisol Touraine, ministre des affaires sociales et de la santé, et Stéphane Le Foll, ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, se sont rendus au laboratoire du Pr. François-Xavier Weill de l’Institut Pasteur ce matin.

 

Les antibiotiques sont indispensables pour soigner des maladies graves. Mal utilisés, ils favorisent le développement de résistances bactériennes. Concrètement, le risque est de ne plus pouvoir traiter des situations graves, les antibiotiques n’étant alors plus efficaces.



Lors d’une conférence de presse commune, les ministres ont annoncé des mesures pour favoriser le bon usage, préserver certains antibiotiques et informer, notamment :

1) Favoriser le bon usage des antibiotiques :
- Développement de l’utilisation des tests rapides d’orientation diagnostique (TROD) par les professionnels de santé, pour parvenir à une réduction importante des prescriptions inappropriées d’antibiotiques.

- Limitation de la durée de prescription et de délivrance de certains antibiotiques les plus générateurs de résistance, en réponse à des prescriptions parfois trop longues et donc inappropriées.

- Création d’un référent hospitalier sur les antibiotiques dans tous les établissements et de référents vétérinaires pour la prescription des antibiotiques critiques en médecine vétérinaire.


2) Préserver certains antibiotiques dits « critiques » (à garder pour des situations graves où ils sont le dernier recours) :
- Expérimentation de la délivrance à l’unité dans les pharmacies : Marisol Touraine a rappelé cette mesure prévue par le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2014.

- Proposition au niveau européen d’instaurer un statut particulier pour les antibiotiques en s’inspirant du statut des médicaments orphelins, pour maintenir sur notre marché les vieux antibiotiques et inciter au développement de nouveaux.

- Stéphane Le Foll a également rappelé son ambition de réduire fortement l’exposition antibiotique chez l’animal. Un objectif chiffré de réduction de l'utilisation des antibiotiques critiques pour l'homme sera fixé dans le cadre du projet de loi d'avenir de l'agriculture de l'alimentation et de la forêt discuté au Parlement en janvier. Des guides de bonnes pratiques de prescription seront élaborés et validés par les agences sanitaires. Par ailleurs un décret viendra renforcer les conditions préalables à la prescription de ces antibiotiques.


3) Informer les citoyens et mobiliser tous les professionnels :
- Création d’un nouvel indicateur hospitalier de suivi de l’exposition aux antibiotiques (ICATB 2) accessible au public en toute transparence,

- Lancement d'une campagne à destination du grand public et des professionnels par l’assurance maladie sur internet dès aujourd’hui.


Le gouvernement est pleinement engagé dans la lutte contre la résistance des bactéries aux antibiotiques, enjeu majeur de santé publique tant en santé humaine qu'animale. L'action du Gouvernement en la matière s'inscrit pleinement dans l'objectif fixé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) : Une seule santé.


NDLR : MGEFI et ANTIBIOTIQUES
Internet                                
  • Dr MOPS                      
  •  


    Le Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire propose des services innovants pour couvrir la santé des intérimaires



    Paris, le 19 novembre 2013 – Avec plus de 25.000 salariés intérimaires adhérents et 60.000 bénéficiaires en 2013 (incluant conjoints et enfants), le Fastt (Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire) apporte, au travers d’une mutuelle santé spécifique « Fastt - Mut », une aide réelle à de nombreux intérimaires. En plus des garanties qui couvrent les frais de santé, le Fastt a mis en place un programme pédagogique pour aider les intérimaires à y voir clair sur le fonctionnement du système de santé. Il facilite aussi l’accès aux aides (CMU et chèque santé) et propose un service d’étude des devis « optique » et « dentaire » pour éviter de payer plus qu’il ne faut.
     
    Peu d’intérimaires le savent, et pourtant, il existe bien une mutuelle qui leur est réservée. Cette mutuelle « Fastt Mut » est proposée par le Fastt*, le Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire, une association de Loi 1901 à but non lucratif.
    Qu’offre cette mutuelle de plus que les autres ?
     

    Elle se distingue par la souplesse des conditions d’accès et de résiliation. Ainsi les intérimaires peuvent dès la première heure de mission y adhérer. S’ils ne sont plus en intérim, ils peuvent continuer à en bénéficier jusqu’à la fin de l’année et les frais de santé sont couverts y compris entre deux missions. Autre avantage, le conjoint de l’intérimaire et ses enfants peuvent aussi être couverts. Enfin, il est possible de la résilier dans un délai d’un mois seulement notamment pour ceux qui décrocheraient un CDI accompagné d’une mutuelle d’entreprise obligatoire. Autant d’atouts qui la rendent particulièrement adaptée aux contraintes de l’intérim.


    Une garantie particulièrement adaptée pour les jeunes

     
    La mutuelle des intérimaires propose trois niveaux de garantie. Le premier niveau s’adresse particulièrement aux jeunes salariés intérimaires qui entrent dans la vie active grâce à l’intérim (69% des nouveaux intérimaires ont moins de 25 ans) et qui, en quittant le foyer de leurs parents, se retrouvent sans couverture pour des raisons de compromis budgétaire. Accessible à partir de 6,46 euros par mois seulement, cette garantie rembourse les visites chez le médecin généraliste et couvre les frais d’hospitalisation (hors dépassement d’honoraires).
     
     

    Des aides et des services pour alléger le budget santé des intérimaires

     
    Le Fastt propose deux solutions pour les intérimaires ayant des revenus modestes. La première est adossée sur le Chèque Santé (aussi appelée Aide à la Complémentaire Santé), une aide des caisses d'Assurance Maladie qui permet de s’équiper d’une complémentaire santé. Près de 1 200 intérimaires bénéficient de cette formule grâce aux efforts d’information engagés et aux conseils apportés par le numéro vert de la mutuelle. La seconde solution s’adresse à ceux qui présentent des revenus proches des minima sociaux et qui ne relèvent pas du Chèque Santé. Le Fastt propose un tarif réduit jusqu’à 75% par rapport à la cotisation de base. Ce tarif appelé « Coup de pouce » profite aujourd’hui à quelques 3 000 intérimaires. Outre ces aides à l’acquisition d’une complémentaire santé, la mutuelle des intérimaires a mis en place un service destiné à réduire autant que possible les dépenses en optique et dentaire, deux postes qui pèsent lourd dans le budget. Ce service consiste à étudier les devis préalablement remplis par les praticiens pour déterminer s’ils sont conformes à la moyenne des prix pratiqués sur le marché. Objectif : éviter de payer plus qu’il ne faut. En 2012, 80% des intérimaires qui ont bénéficié de cette prestation et obtenus les éléments qui leur ont permis de négocier avec leur opticien ont réalisé des gains sur leur devis optiques initiaux (en moyenne 50 € d’économie).


    Un magazine vidéo, un site Internet et un guide pratique pour informer les intérimaires sur la santé


    Au-delà des services d’une mutuelle santé, le Fastt apporte de nombreux conseils précieux aux intérimaires pour les sensibiliser aux enjeux de la santé dans un contexte où 7% des salariés Français renoncent à bénéficier d’une complémentaire santé (Insee, 2011). Les raisons sont diverses (compromis budgétaire, manque d’intérêt, manque de temps,..) et sont encore plus marquées pour des salariés intérimaires qui ont des activités et des revenus irréguliers.
     
    En tant qu’intérimaire, suis-je couvert par la Sécurité sociale ? Ai-je besoin d’une mutuelle ? Comment faire le bon choix ? Quelles sont les aides pour accéder aux soins ? Le Fastt apporte les réponses à toutes ces questions, au travers de quatre numéros de Fastt’mag, le premier magazine vidéo entièrement consacré aux intérimaires. Pour aller plus loin, un site Internet dédié aux questions de santé (http://masante.fastt.org) et un guide pratique « Assurer ma santé » informent sur les aides financières mobilisables (CMU, ACS ou « chèque santé »).
     
     

    Les quatre videos du Fastt’mag


    Sécurité sociale et mutuelle, à quoi ça sert ?


    Comment bien choisir votre mutuelle ?


    Les aides pour acquérir une mutuelle


    Que propose la Mutuelle des intérimaires ?

     
     
    * Mutuelle assurée et gérée par SMI.
     
    **
    La nouvelle grille de tarifs Fastt-Mut 2014 est accessible sur le site du Fastt (http://www.fastt.org/Mutuelle-des-interimaires.html)
     

     
     

    A propos du FASTT : Le Fastt (Fonds d’Action Sociale du Travail Temporaire), association loi de 1901 à but non lucratif créée en 1992, propose à l’ensemble des salariés intérimaires une gamme de prestations pour faciliter leur vie quotidienne. Financé, au travers d’un accord de branche, par les entreprises de travail temporaire et géré par les partenaires sociaux (Prism’Emploi, organisation représentant les professionnels de l’intérim, services et métiers de l’emploi, et les organisations syndicales représentatives des salariés intérimaires : CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, CGT-FO), le Fastt contribue à la consolidation du statut professionnel des salariés intérimaires. Les actions du Fastt soutiennent les salariés intérimaires au travers de services et de prestations facilitant l’accès au logement, l’accès au crédit, et l’accès à l’emploi. www.fastt.org


     
     

    MINE D'INFOS: Médicaments en ligne : ce qu'il faut savoir avant ...

    MINE D'INFOS: Médicaments en ligne : ce qu'il faut savoir avant ...:                   Sources: Couleurs MGEFI N° Novembre 2013

    MINE D'INFOS: Médicaments en ligne : ce qu'il faut savoir avant ...

    MINE D'INFOS: Médicaments en ligne : ce qu'il faut savoir avant ...:       Sources : Couleurs MGEFI N° Novembre 2013

    MINE D'INFOS: Décalages et déception

    MINE D'INFOS: Décalages et déception

    MINE D'INFOS: couleurs Mgefi de Novembre

    MINE D'INFOS: couleurs Mgefi de Novembre

    MINE D'INFOS: Au sommaire du magazine COULEURS

    MINE D'INFOS: Au sommaire du magazine COULEURS

    Médicaments en ligne : ce qu'il faut savoir avant d'acheter 2/2

     
     
     
     
     
     
     
     

     


    Sources: Couleurs MGEFI N° Novembre 2013

    Médicaments en ligne : ce qu'il faut savoir avant d'acheter 1/2

     
     
     
    Sources : Couleurs MGEFI N° Novembre 2013

    Décalages et déception


    couleurs Mgefi de Novembre


    Au sommaire du magazine COULEURS


    MINE D'INFOS: MGEFI ET PRESSE

    MINE D'INFOS: MGEFI ET PRESSE: Titre : Antoine Catinchi, Carnet www.lesechos.fr   du 13 novembre 2013   Titre : Antoine Catinchi, directeur général adjoint ...

    MGEFI ET PRESSE


    Titre : Antoine Catinchi, Carnet

    www.lesechos.fr  du 13 novembre 2013

     

    Titre : Antoine Catinchi, directeur général adjoint

    LA LETTRE DU SECTEUR PUBLIC du  01/07 novembre 2013





    NDLR : MGEFI et Antoine CATINCHI
    Antoine Catinchi est l’ancien directeur général de la MGEFI.
    Son successeur, déjà nommé, a été présenté par Serge Brichet  -Pdt de la MGEFI lors de l’Assemblée générale parisienne aux délégués de la Mutuelle. Il prendra ses fonctions début décembre prochain.
     
     

    Noël approche ...


    Sapin AMBIANCE ROSE


    Idées deco….
    Signées Maisons du monde 


     



























    lundi 18 novembre 2013

    MINE D'INFOS: Agenda :15 janvier 2013 Présentation du rapport et...

    MINE D'INFOS: Agenda :15 janvier 2013 Présentation du rapport et...: M ALADIES CHRONIQUES & SANTÉ PUBLIQUE Développer l'éducation thérapeutique du patient (ETP) pour faire évoluer la médecine ...

    Agenda :15 janvier 2013 Présentation du rapport et des recommandations d'un groupe de travail pluridisciplinaire sur un modèle d’ETP dans le cardiométabolisme.


    MALADIES CHRONIQUES & SANTÉ PUBLIQUE

    Développer l'éducation thérapeutique du patient (ETP) pour faire évoluer la médecine

     

    Présentation du rapport et des recommandations d'un groupe de travail pluridisciplinaire sur un modèle d’ETP dans le cardiométabolisme. Pour la première fois, sous l'égide de l'Académie nationale de médecine, les acteurs concernés à tous les niveaux du parcours de soins des patients se sont fédérés pour réfléchir à des solutions opérationnelles dans le cadre de la nouvelle STRATÉGIE NATIONALE SANTÉ

     

    Avec le patronage de

    Madame la Ministre des Personnes âgées et de l’Autonomie et Madame la Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

     

    En partenariat avec l'Association Française pour la prévention du risque cardiométabolique

    15 janvier 2014

    14h - 17h30

    Académie nationale de médecine

    16 rue Bonaparte - Paris 6e


     
    Pour la première fois, sous l'égide de l'Académie nationale de médecine, les acteurs concernés à tous les niveaux du parcours de soins des patients se sont fédérés  pour réfléchir à des solutions opérationnelles en matière d'Education thérapeutique du Patient (ETP).

     

    L’évolution grandissante des maladies chroniques a mis en évidence l'impossibilité de concevoir désormais et de mettre en œuvre une réelle politique de santé publique sans Education thérapeutique des patients (ETP). Ceci est particulièrement vrai pour les maladies cardiométaboliques (diabète et maladies cardiovasculaires). L'ETP apparaît ainsi comme un élément-clé de la refondation en profondeur de notre système de soins.

     

    Toutefois, force est de constater l'ETP est encore aujourd'hui réservée à un trop petit nombre de patients et que les moyens n'existent pas suffisamment en pratique, à tous les niveaux, pour faciliter son développement dans notre pays. C'est particulièrement vrai au niveau de la formation des professionnels de santé ; c'est pourquoi le groupe de travail constitué sous l'égide de l'Académie nationale de médecine s'est attaché, à partir de l'identification des freins et des blocages, à faire des recommandations concrètes et à proposer un modèle d'ETP à mettre en œuvre pour l'ensemble des maladies chroniques

     

    Le 15 janvier prochain, de 14h  à 17h30, à l'Académie de médecine, sous le haut patronage de la Ministre des personnes âgées et de la dépendance, et de la Ministre de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, un colloque permettra de présenter officiellement aux institutions et personnalités concernées, en présence de la presse, l'originalité de ce travail, et de le situer dans la perspective de la nouvelle STRATÉGIE NATIONALE SANTÉ.

     

    En s'appuyant sur les résultats de sondages menés au préalable auprès des médecins généralistes, des pharmaciens et des patients, chacun des acteurs concernés par l'ETP témoignera des obstacles rencontrés dans sa mise en œuvre sur le terrain à tous les niveaux, avant une présentation de la synthèse du rapport commun et la lecture des recommandations ci-jointes. Une table ronde permettra, en fin de séance,  d'engager une discussion avec les représentants des institutions responsables  à tous les niveaux de la prise en charge des patients chroniques en France.

     

    En s'appuyant sur les résultats de sondages menés au préalable auprès des médecins généralistes, des pharmaciens et des patients, chacun des acteurs concernés par l'ETP témoignera des obstacles rencontrés dans sa mise en œuvre sur le terrain à tous les niveaux, avant une présentation de la synthèse du rapport commun et la lecture des recommandations ci-jointes. Une table ronde permettra, en fin de séance,  d'engager une discussion avec les représentants des institutions responsables  à tous les niveaux de la prise en charge des patients chroniques en France.

     

    En s'appuyant sur les résultats de sondages menés au préalable auprès des médecins généralistes, des pharmaciens et des patients, chacun des acteurs concernés par l'ETP témoignera des obstacles rencontrés dans sa mise en œuvre sur le terrain à tous les niveaux, avant une présentation de la synthèse du rapport commun et la lecture des recommandations ci-jointes. Une table ronde permettra, en fin de séance,  d'engager une discussion avec les représentants des institutions responsables  à tous les niveaux de la prise en charge des patients chroniques en France.

     

    Vous trouverez ci-joint le pré-programme de ce colloque auquel nous espérons vous accueillir dans la limite des places disponibles.

     

    Inscription : avant le 3 janvier 2014 (nicole.priollaud@wanadoo.fr)

     

     



     

    14h : ACCUEIL

    Yves LOGEAIS, président de l'Académie nationale de médecine

    14h05 – 14h20 : INTRODUCTION

    Médecine et politique de santé publique au défi des maladies chroniques

    Claude JAFFIOL (Académie nationale de médecine)

     

    14h20 – 15h45 : L'ETP EN QUESTIONS LL'

    Sondages : que pensent les médecins et les patients ?

    Claude VINCENT, président de l'APRC

    Témoignages : que constatent les acteurs ?

    Faciliter l'accès des patients aux soins et à l'ETP

    Claude SOKOLOWSKY (Association Française des Diabétiques)

    Repenser la formation médicale : l'exemple de la pharmacie

    Françoise BRION (Paris-Descartes ; Académie nationale de Pharmacie)

    ETP et personnes âgées

    Bruno VELLAS (Président de la Société mondiale de gériatrie et gérontologie ; Académie nationale de médecine))

    Revoir la consultation médicale à la lumière de l'ETP

    Claude ATTALI (Collège National des Généralistes Enseignants - CNGE)

    Intégrer le modèle bio-psycho-social dans un système de soins interprofessionnel

    Jacques BRINGER (Doyen de la Faculté de médecine de Montpellier ; Académie nationale de médecine)

    Un « modèle » américain et/ou européen ?

    Elias ZEHROUNI (ancien directeur des National Institutes of Health– NIH) ; Académie nationale de médecine)

    Alain GOLAY (Société Européenne d'Education Thérapeutique - SETE)

    L'innovation numérique au service de l'ETP

    Bernard D'ORIANO (Président de LESISS / Fédération française des industries du numérique santé)

     

     

    15h45 – 16h15 : DES SOLUTIONS CONCRÈTES ET INNOVANTES

    Deux axes de réflexion

    Formation

    Eric BERTIN (Président du Collège des Enseignants de Nutrition des Facultés de Médecine)

    Organisation

    Gérard REACH (Chef du service de diabétologie – Hôpital Avicenne/Bobigny)

    Recommandations

    Arnaud BASDEVANT (Directeur du Centre de recherche et de médecine de l'obésité / Pitié-Salpêtrière, Paris ;

    Académie nationale de médecine)

     

     

    16h15 – 17h15 : DISCUSSION

    TABLE RONDE, animée par Martine Perez, avec la participation sollicitée de : Françoise PROFIT (Ministère de l’Enseignement

    supérieur et de la Recherche) – Benoît VALLET (Direction générale de la Santé ) - Solange MENIVAL (Régions santé

    France et Europe) - Michel LAFORCADE (ARS Aquitaine) - Jean-Luc HAROUSSEAU (HAS) – Frédéric VAN ROEKEGHEM