Nora ANSELL-SALLES

jeudi 14 novembre 2013

Vient de paraître dans la collection Etudes et Résultats

VIENT DE PARAÎTRE, dans la collection Etudes et Résultats, 858,  novembre 2013

 

Les bénéficiaires de l’aide sociale départementale en 2012,
Françoise BORDERIES et Françoise TRESPEUX

   

Les départements ont versé, fin 2012, 3,6 millions de prestations d’aide sociale au titre de l’aide aux personnes âgées, aux personnes handicapées, à l’enfance, ou au titre de l’insertion. Ce nombre a augmenté de 4 % en un an, notamment du fait de l’accroissement du nombre de titulaires du revenu de solidarité active – RSA (+5 % en 2012) et, dans une moindre mesure, de celui des aides aux personnes handicapées (+3 % )

 

VIENT DE PARAÎTRE, dans la collection Etudes et Résultats, 857,  novembre 2013


 

Quatre bénéficiaires sur cinq perçoivent une pension de droit direct mais ont eu, pour la plupart, une carrière incomplète. Ils partent souvent en retraite pour inaptitude au travail ou invalidité. Avec l’amélioration progressive de la couverture des régimes, la part des bénéficiaires qui ont eu une carrière complète, notamment d’anciens exploitants agricoles, se réduit fortement chez les plus jeunes. A la fin 2008, le montant versé au titre du minimum vieillesse représente 40 % de la pension totale des bénéficiaires. La majorité d’entre eux touche,  entre 600 et 700 euros de retraite, minimum vieillesse inclus. 

Libres propos : Audioprothèse : le problème est le reste à charge pour les patients


L’audioprothèse : un reste à charge plus élevé pour les patients

Si le coût moyen d’une audioprothèse est de 1535€ selon la CNAMTS, celui-ci comprend l’appareil lui-même, la prestation initiale (analyse, adaptation de l’appareil et réglages) et le suivi prothétique étalé sur 4 à 6 ans. L’audioprothésiste est en effet un professionnel de santé prescrit, dont les prestations s'appuient sur le matériel qu'il choisit, adapte et délivre1. Le véritable problème réside davantage dans le reste à charge, bien trop élevé, que dans les prix des audioprothèses, les tarifs deremboursement n’ayant pas évolué depuis les années 1970. Sur les 822 millions que représente le marché de l’audioprothèse, 114 M€ (14%) sont pris en charge par l’Assurance Maladie Obligatoire(AMO), 246 M€ (30%) par l’Assurance Maladie Complémentaire (AMC) et 462 M€ (56%) par les ménages. A titre de comparaison, les remboursements publics dans les pays limitrophes (Allemagne, Suisse, Italie) sont supérieurs à la somme moyenne de l’AMO et l’AMC en France pour les adultes.Enfin, les prix des audioprothèses ont moins évolué que l'inflation pendant les 17 dernières années2.

 

L’UNSAF et le CNA : pour un partenariat pérenne avec les pouvoirs publics

Conscients de l’enjeu en termes de santé publique de l’accès à une audioprothèse de qualité, l’UNSAF et le CNA proposent aux pouvoirs publics de mettre en place des tarifs négociés accessibles au plus grand nombre. Ce projet fait d’ailleurs écho aux recommandations de l’IGAS3. Force de proposition, l’UNSAF et le CNA promeuvent un tarif « social » pour les bénéficiaires de la CMU-C, qui comprendrait une revalorisation à 850€ par appareil (pour les deux oreilles) et une augmentation du délai entre deux prises en charge, de 2 à 4 ans. Partenaire de longue date avec les pouvoirs publics, l’UNSAF propose également que les bénéficiaires de l’ACS puissent prétendre à ces tarifs.

 

Actuellement en cours de négociation, ce tarif CMU, s’il est déterminé avec la profession, pourrait être immédiatement opposable pour les ACS. Il pourrait également devenir le prix plancher pour les contrats responsables.

 

La perte de l’audition : une priorité de santé publique

Reconnue comme une priorité de santé publique par la Cour des Comptes4, la perte de l’audition ne peut que s’accentuer avec le vieillissement annoncée de la population. Aujourd’hui, environ 10% de la population française est atteinte d’une déficience auditive et 5 à 6% devrait être équipée (2,5%

 

1 D’après le Code de Santé Publique (Article L 4361-1), l’audioprothésiste procède à l’appareillage des déficients de l’ouïe, ce qui comprend le choix, l’adaptation, la délivrance, le contrôle

d’efficacité immédiat et permanent et également l’éducation prothétique.

2 Le Monde du 16 mai 1996, “Douze mille francs l'unité”

3 IGAS, rapport « Evaluation de la prise en charge des aides techniques pour les personnes âgées dépendantes et les personnes handicapées » établi par Philippe Blanchard, Hélène Strohl

- Maffesoli, Bruno Vincent- Avril 2013 ; recommandation n° 49 (Fixer un tarif de responsabilité pour la prise en charge à 100% des audioprothèses des titulaires de la CMU équivalent au

prix d’entrée de gamme de deux prothèses après négociation avec la profession, et augmenter la périodicité de renouvellement à 5-6 ans sauf dégradation exceptionnelle de l’audition )

4 Rapport sur l’Application des Lois de Financement de la Sécurité Sociale de la Cour des Comptes, Septembre 2013, p 594

 

l’est effectivement). D’après le Professeur Bruno Frachet, Hôpital Rothschild, le maintien des capacités auditives permet pourtant de limiter le déclin cognitif et les risques de dépendance, qui coûtent beaucoup plus cher à la Sécurité sociale que l'appareillage5. Toutefois, malgré le fort reste à charge le taux d’appareillage n’est inférieur que de 20% à celui de l’Allemagne et de 50% à celui du Royaume-Uni (plus de 500 000 appareils délivrés chaque année en France, contre un million par le NHS, avec un reste à charge nul). Les enquêtes internationales montrent d’ailleurs que le taux de satisfaction des malentendants français est bien supérieur qu’en Allemagne ou au Royaume-Uni6, ce que l’IGAS a noté7.

 

Les assistants d’écoute : la législation doit être respectée

Vendu par la société Sonalto sans prescription médicale préalable au prix de 299€ l’unité, l’assistant d’écoute Octave® est présenté comme (sic) « conçu par un médecin ORL », « prêt à l’emploi », préréglé avec deux niveaux d’amplification de 11 et 20 décibels, amplifiant « intelligemment les sons », « pour les gênes auditives légères » et est distribué en pharmacie et par des opticiens.

 

Toutefois, Octave® est un dispositif médical implantable actif et doit à ce titre être délivré exclusivement par un audioprothésiste.

 

Dans son point d’information du 29 Janvier 2013, intitulé « déficit auditif : statut des appareils correctifs »8 l’ANSM rappelle d’ailleurs que « la correction d’une déficience auditive est une finalité médicale. Les appareils ayant ce type de finalité (…) sont donc classés dans la catégorie des dispositifs médicaux et nécessitent par conséquent d’être marqués CE (…). En France, leur délivrance est réglementée ». En février 2013, l’Académie Nationale de Médecine9 rappelle les risques médicaux attachés à l’utilisation des « assistants d’écoute » encore appelés « assistants auditifs pré-réglés ».

 

En 2011, l’Unsaf et le Syndicat National des Entreprises de l'Audition (SYNEA) ont lancé une procédure en justice contre Sonalto afin de contraindre cette société à vendre son produit conformément aux dispositions du Code de la Santé Publique, à savoir une prescription médicale préalable et une délivrance par un audioprothésiste. Les pouvoirs publics doivent faire respecter la législation applicable.

 

 

Le CNA et l’UNSAF : des acteurs au service des malentendants

Le Collège National d’Audioprothèse veille à la qualité technique, scientifique et pédagogique de l'enseignement de la profession d'audioprothésiste et assure la représentation et la défense des intérêts déontologiques et moraux des audioprothésistes. Dans ses formations, le CNA organise un enseignement post-universitaire auquel participent plus de 900 professionnels.

 

 

L’UNSAF représente la profession auprès des instances nationales en charge de la santé et siège notamment au sein de l’Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et du Haut conseil des professions paramédicales (HCPP). Il est présidé depuis Juin 2012 par Luis Godinho.

 

Contacts : Eric Bizaguet, Président du CNA / College.Nat.Audio@orange.fr
Luis Godinho, Président de l’UNSAF / l.godinho@unsaf.org

 

Psychiatrie et santé mentale

la HAS se fixe des objectifs sur trois ans

 

Saisie sur plusieurs thèmes de santé mentale par le ministère de la Santé, la Haute Autorité de Santé (HAS) a décidé de consacrer des travaux aux champs de la psychiatrie et de la santé mentale. Elle a identifié trois axes prioritaires pour les années à venir : la prise en charge de la dépression, le parcours des personnes en situation de handicap psychique, les droits et la sécurité en psychiatrie. Le suivi de ces travaux est assuré par un comité regroupant à la fois les institutions, les organisations professionnelles et les associations d’usagers. Ce comité  s’est réuni pour la première fois à la fin du mois d’octobre.
 
La Haute Autorité de Santé contribuera aux évolutions de la psychiatrie et de la santé mentale. Elle a adopté une démarche centrée sur l’organisation des parcours de soins des personnes atteintes de troubles mentaux autour de trois axes. Pour chacun d’entre eux des objectifs ciblés ont été fixés, qui répondent à des besoins des professionnels et des patients et correspondent à des leviers d’amélioration de la qualité des prises en charge.
 
La prise en charge de la dépression
Les travaux de la HAS ciblent le repérage des épisodes dépressifs et des troubles bipolaires, l’adéquation des traitements, médicamenteux et non-médicamenteux, ainsi que le renforcement du suivi des patients. Il s’agira en particulier de soutenir la mise en place d’une meilleure articulation entre psychiatres et médecins généralistes, en « première ligne » dans la prise en charge de la dépression.
 
Les parcours des personnes en situation de handicap psychique
Sur ce thème, il s’agit pour la HAS de promouvoir la coopération entre les différents acteurs (champs sanitaire, médico-social, social, éducatif, de la réinsertion professionnelle) afin d’assurer la continuité des prises en charge et d’éviter ainsi des ruptures dans les parcours de vie des personnes ayant une pathologie mentale chronique et en situation de handicap psychique. Un premier travail sur les certificats destinés aux Maisons Départementales des Personnes Handicapées, mené avec la CNSA[1] et l’ANESM[2], offrira des réponses pratiques aux professionnels de santé.
 
 

Les droits et la sécurité en psychiatrie
Les travaux prévus dans le cadre de cet axe doivent contribuer à la mise en place d’organisations et de pratiques assurant la délivrance de soins de qualité dans un cadre respectueux des libertés individuelles et faisant une place au légitime souci de sécurité. Un premier projet sur la prévention et la prise en charge des moments de violence dans l’évolution clinique des patients en hospitalisation psychiatrique sera réalisé. D’autres travaux sont prévus sur les soins sans consentement.
 
 
Une mobilisation de tous les acteurs, réunis pour accompagner les évolutions de la psychiatrie et de la santé mentale
Pour chacun de ces axes, la HAS ambitionne de diffuser et évaluer les bonnes pratiques en s’appuyant sur le travail des équipes pluriprofessionnelles, le décloisonnement des champs d’intervention (sanitaire, médico-sociale, sociale…) ainsi que sur la promotion des droits et de la place des patients et la reconnaissance du rôle et des attentes des aidants.
 

L’atteinte de ces objectifs suppose de travailler étroitement avec l’ensemble des acteurs concernés (professionnels, représentants des usagers, pouvoirs publics…), de promouvoir la complémentarité des travaux et d’envisager dès à présent les moyens qui permettront la mise en œuvre de ces
productions dans la pratique quotidienne. Pour cela, la HAS a mis en place un comité de suivi du programme, présidé par le Docteur Yvan Halimi (CH de La Roche sur Yon) qui s’est réuni pour la première fois le 24 octobre dernier.
 

Pour plus d’informations, cliquer ici


 

DEPENSES PUBLIQUES : Le point de vue de la Fondation Concorde

Deux pistes pour baisser enfin nos dépenses publiques

Le nouveau budget 2014 n'annonce aucune mesure susceptible de sortir de cette zone stationnaire entre 0 et 1 % de croissance qui maintient ou amplifie à la fois le chômage et la dette, tout en provoquant le départ des jeunes diplômés et des porteurs de projets.
Face aux efforts qui seraient nécessaires pour remettre notre pays sur la voie d'une croissance continue, le blocage de nos dirigeants reste le même : plutôt reporter les difficultés sur les générations futures que remettre en cause le poids de notre sphère publique pourtant deux fois plus importante que chez nos concurrents.
Nos principaux élus savent, désormais, que la réduction de la dépense publique est techniquement et politiquement possible.

> Lire l'intégralité de l'article

>Retrouvez notre publication "Un budget 2014 de rupture nécessaire et urgent pour la croissance et l'emploi"

MINE D'INFOS: Vazaha LEO, initiative pour la formation d'infirmi...

MINE D'INFOS: Vazaha LEO, initiative pour la formation d'infirmi...: Un échange de savoirs et de savoir-faire au service des patients malgaches   Cette année, la bourse d’étude Vazaha LEO va perme...

Vazaha LEO, initiative pour la formation d'infirmières malgaches en France - LEO Pharma


Un échange de savoirs et de savoir-faire au service

des patients malgaches

 

Cette année, la bourse d’étude Vazaha LEO va permettre à deux infirmiers malgaches de se former dans les services français d’orthopédie engagés dans le projet, durant les deux dernières semaines de novembre. Au travers de cette formation, ce sont des milliers de patients malgaches qui vont pouvoir bénéficier de soins encore meilleurs dans leur pays.

 

LEO Pharma, une responsabilité sociétale dédiée aux patients

 

Fondé en 1908, LEO Pharma est un laboratoire pharmaceutique international d’origine danoise, spécialisé en Dermatologie mais aussi en thrombose, et dont la particularité est d’être détenue à 100% par une fondation, la Fondation LEO. Cette spécificité lui confère une indépendance et une maitrise de ses choix à long terme, en matière notamment de R&D, d’implantation territoriale, d’investissement, mais aussi en termes de stratégie, comme celle de mettre le patient au cœur de son engagement.

 

Pour LEO Pharma, mettre le patient au centre de ses activités se traduit par une forte implication dans des actions de responsabilité sociétale, que ce soit en France ou à l’étranger.

 

Pour Guillaume Clément, président de LEO Pharma en France, « de nombreuses personnes dépendent de nous et nous témoignent leur confiance, les patients et leurs familles, nos collaborateurs et nos partenaires médicaux. C'est pourquoi nous nous efforçons d'entretenir une culture de responsabilité, de citoyenneté et d'intégrité. » Depuis 2005, LEO Pharma France s'engage auprès des patients malgaches. La mise en place de « Vazaha LEO » programme d’échange et de coopération médicale dans le but de réduire la mortalité et le handicap orthopédique se déroule chaque année (sauf situation géopolitique exceptionnelle) à Madagascar. Vazaha LEO a pour mission de favoriser l'échange de connaissances entre des chirurgiens orthopédistes, des anesthésistes, des équipes de soignants français et malgaches. Ce programme financé par LEO Pharma, prend la forme de réunions de formation continue d'une part, et d’actions concrètes de terrain, d’autre part.

 

Madagascar subit depuis quelques mois une actualité dramatique qui touche tous ceux qui aiment ce merveilleux pays qui continue à vivre et survivre malgré tout et grâce aux initiatives humanitaires, notamment dans le domaine de la santé.

"2005-2013, Vazaha LEO : un échange de savoirs et de savoir-faire au service des patients malgaches"

 

Des opérations chirurgicales à quatre mains

 

Depuis huit ans, des équipes chirurgicales françaises viennent opérer et échanger leurs pratiques techniques et leur savoir scientifique sur place à Madagascar. Des patients malgaches, souvent en situation critique, sont opérés « à quatre mains » par un binôme de médecins français et malgaches. Vazaha LEO est aussi l'occasion d'apporter des équipements médicaux spécialisés difficilement accessible à Madagascar.

 

En 2013, le bilan de cette collaboration entre praticiens français et malgaches est très positif.

 

Le programme Vazaha LEO a entrainé une motivation très forte des équipes hospitalières

malgaches à améliorer les mesures d’hygiène et la prise en charge dans les services

d’orthopédie, et ce pour le plus grand bénéfice des patients.

 

 

Des bénévoles engagés

 

Les chirurgiens orthopédistes et les anesthésistes français engagés dans le programme Vazaha

LEO ont une expérience de la chirurgie en milieu défavorisé, une fibre humanitaire et acceptent d’être des « tuteurs » de chirurgiens malgaches qu’ils accompagnent localement dans leur pratique de façon entièrement bénévole.

 

Le groupe pilote engagé dans Vazaha LEO sur les différentes missions est composé de :

 

Dr Christian DEVAUX, anesthésiste, Clinique des Maussins, Paris

 

Dr Franck MABESOONE, orthopédiste, chef de service de l’Hôpital de Compiègne-

Noyon

 

Dr Christophe NICH, orthopédiste, Hôpital Européen Georges Pompidou Paris

 

Dr Solotiana RAMBOANIAINA, orthopédiste, Hôpital de Douai

 

Dr César RAZAFINDRATSIVA, orthopédiste, Hôpital St Roch Nice

 

Jean-Luc DUCROCQ, Directeur Projet Affaires Médicales LEO Pharma, coordinateur de ce projet depuis 2005

 

D’autres médecins ont participé à ce projet lors de différentes missions depuis 2005 :

 

Dr Hassan MEFTOUH, orthopédiste Valenciennes

 

Dr Pierre Etienne RIDOUX, orthopédiste Besançon

 

Dr Cédric PELLEGRI, orthopédiste Nice

 

Dr Mohammed HAMID, chirurgien Strasbourg

 

Dr Roberto BECCARI, orthopédiste Rouen

 

Dr Seta RATSIMBAZAFY, orthopédiste Valence

 

Dr François RAZAFIMBAOAKA, orthopédiste Auch

 

Dr Hichem BENSLAMIA, orthopédiste St Quentin

 

Dr Catherine AYMONT, anesthésiste, Strasbourg

 

Les médecins malgaches engagés au travers de leurs établissements hospitaliers et de la

SOMCOT (Société Malgache de Chirurgie Orthopédique) sont :

 

Pr Jean Claude RAZAFIMAHANDRY Directeur du CHU HJRA de Antananarivo, chef de service d’orthopédie, Vice-Président de la Société Malgache de Chirurgie Orthopédique et Traumatologique (SOMCOT)

 

Pr Georges RAKOTOZAFY président de l’Association Malagasy de Chirurgie, Antananarivo

 

Pr Gaetan Duval SOLOFOMALALA, Directeur du CHU de Fianarantsoa, Chef de Service d’orthopédie, Président de la SOMCOT

 

Dr Jules RANDRIANOMENJANAHARY, Chef de service d’orthopédie hôpital CENSOHA

Saovinandriana Antananarivo

 

 

Novembre 2013, deux infirmiers malgaches lauréats de la bourse d’étude Vazaha LEO

 

Cette année, un nouveau volet s’ouvre dans le programme Vazaha LEO avec l’octroi d’une bourse d’étude pour deux infirmiers malgaches.

 

Mis en place par le comité de pilotage franco-malgache, et financée par LEO Pharma, la bourse d’étude Vazaha LEO propose à deux cadres infirmiers malgaches une formation spécifique d’infirmier(e)s de bloc opératoire dans plusieurs centres hospitaliers français.

 

La formation débutera le 17 novembre 2013 et se déroulera sur deux semaines intensives de formation pratique sur site.

 

Ces deux cadres infirmiers lauréats sont :

Mme RASOANIRINA Hanitriniaina Liliane, CHU de Fianarantsoa qui suivra une formation sur les bonnes pratiques en bloc opératoire o à la Clinique des Maussins à Paris, tutorée par le Dr Christian DEVAUX et Mme DAVID puis à l’Hôpital de Compiègne-Noyon tutorée par le Dr Franck MABESOONE et Mme Marilyne LEFEVRE,

 

Mr RABEARIMANANA Rivomamiarimanitra, CHU HJRA de Antananarivo qui suivra la même formation o à l’HEGP, tutorée par Christophe NICH et Mme Valérie COLAS, o puis à l’Hôpital de DOUAI avec le Dr DOUMBIA et Mme GEISSE.

 

Ce projet a été conçu avec le concours des 600 collaborateurs de LEO Pharma en France, qui durant tout le mois de juin 2013 ont marché, couru, ramé, pédalé pour cumuler les 5 000 km nécessaires à l’allocation de 5 000 euros dédiés à la bourse d’étude Vazaha LEO.

 

Ce projet est possible grâce aux médecins français investis bénévolement dans cette mission depuis des années et qui aujourd’hui encore vont accueillir et former les lauréats dans leur service.

 

Cette action représente l’engagement de tous, professionnels de santé et collaborateurs LEO Pharma, pour aider, ensemble, et de façon pérenne, les patients à Madagascar.

 

 

A propos de LEO Pharma

 

— LEO Pharma aide les patients à avoir une peau saine.

En proposant des solutions thérapeutiques dans plus de 100 pays à travers le monde, LEO Pharma aide les personnes à gérer leurs problèmes de peau.

 

Fondée en 1908, l’entreprise pharmaceutique est détenue intégralement par la Fondation LEO. Depuis des décennies, LEO Pharma dédie sa recherche et son développement aux médicaments et aux solutions destinés aux personnes souffrant de maladies cutanées. La maison mère de LEO Pharma est basée au Danemark et emploie environ 4800 personnes dans le monde.

 

Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.leo-pharma.com et www.leo-pharma.fr

 

 

 

— LEO Pharma et la Thrombose

 

Dans le domaine de la maladie thrombo-embolique veineuse (thrombose et embolie pulmonaire), LEO Pharma mène des actions pour améliorer la prise en charge et la survie des patients au quotidien.

 

LEO Pharma conduit actuellement au niveau mondial, la plus vaste étude jamais réalisée chez les patients atteints de cancer ayant une thrombose. (Etude CATCH).

 

LEO Pharma contrôle l’intégralité du processus de fabrication de son Héparine de Bas Poids Moléculaire depuis le recueil de la matière première, jusqu’à la production de produits finis en milieu aseptique.

 

Le site de production français de LEO Pharma œuvre quotidiennement à produire des seringues injectables au plus haut standard de qualité, pour les patients français mais également, en exportant 70% de sa production en volume, pour les patients du monde entier.

 

Direction de la Communication LEO Pharma France, Frédérique Saas

frederique.saas@leo-pharma.com  

Contact presse, Geneviève Cliquet

gcliquet@presentparis.com

 

MINE D'INFOS: ADF 2013

MINE D'INFOS: ADF 2013: L'Union des jeunes chirurgiens-dentistes - UJCD - sera présente au congrès annuel de l'ADF  du 26 au 30 novembre sur le stand M16...

ADF 2013


L'Union des jeunes chirurgiens-dentistes - UJCD - sera présente au congrès annuel de l'ADF  du 26 au 30 novembre sur le stand M16 au palais des Congrès.

Fabien Guez, fondateur de Bianca Medica, animera une conférence interdisciplinaire :

"Santé parodontale et état général, quand la santé se partage"

 
jeudi 28 novembre 2013 de 15h00 à 17h30
Salle 343 (niveau 3 - zone L)




 
Cette conférence reviendra sur l'importance de la santé buccodentaire, une affection buccale pouvant notamment révéler un pathologie touchant une autre partie du corps. Dans ce contexte, les différents professionnels de santé doivent se coordonner et optimiser le parcours de soin du patient.

PPL Le Roux sur les réseaux mutualistes, négociation de la convention, devis, ...Philippe Denoyelle, Président de l'UJCD, vous propose de faire le point sur les grands faits marquants de l'année 2013.

Bertrand Delanoë accueillera François Hollande, Abdou Diouf et Michel Sidibé

 
 

33ème Congrès de l’Association internationale des maires francophones

 

vendredi 15 novembre

140 maires membres de l’Association Internationale des Maires Francophones, présidée par Bertrand Delanoë, se réuniront du 14 au 16 novembre à Paris pour échanger autour du thème "Les élus locaux francophones : leurs actions en faveur de l'économie sociale et solidaire".

 

La cérémonie d'ouverture se tiendra à 9h vendredi 15 novembre à l’Hôtel de Ville avec des interventions de François Hollande, Président de la République, Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie, Michel Sidibé, Secrétaire général adjoint des Nations Unies, Directeur exécutif de l'ONUSIDA, et Bertrand Delanoë, Président de l’AIMF, en présence de Yamina Benguigui, Ministre déléguée auprès du ministre des Affaires étrangères, chargée de la Francophonie, des élus de Paris, des ambassadeurs des pays de l’AIMF et des associations de lutte contre le Sida et de l’économie sociale et solidaire.

 

Merci d’adresser toute demande d’accréditation pour la cérémonie à service.presse@paris.fr avant le 14 novembre midi.

 

L'AIMF est le réseau des collectivités locales francophones et de leurs associations, qui se retrouvent autour de valeurs communes : la volonté de justice et de développement dans la solidarité et la paix. Elle concourt à une meilleure gestion des collectivités, favorise les échanges d'expériences, mobilise l'expertise territoriale francophone et finance des projets de développement. Créée en 1979 autour d’une vingtaine de villes, l’AIMF, opérateur reconnu par les Chefs d’Etats francophones pour la coopération décentralisée, regroupe aujourd’hui 221 villes et 29 associations nationales de villes issues de 50 pays. Pour plus d’information sur le Congrès et les activités de l’AIMF:

 


 

Les temps forts à l’Hôtel de Ville

 

Jeudi 14 novembre

18h le 76ème Bureau exécutif de l’AIMF se réunira afin de voter l’attribution d’1,1 M€ de subventions destinés à des projets d’équipements publics et de renforcement des capacités d’intervention des maires qui bénéficiera à 1,6 million de personnes dans 10 pays africains et asiatiques.

 

Vendredi 15 novembre

9h – Cérémonie d’ouverture du 33ème Congrès de l’Association internationale des maires francophones

 

11h15 – Assemblée générale de l’AIMF lors de laquelle seront accueillies les nouvelles villes membres, dont Montevideo, capitale d’Uruguay. Parallèlement, réunion d’échange sur le Sida présidée par Michel Sidibé, Directeur exécutif de l'ONUSIDA en présence de Pierre Schapira, adjoint chargé des relations internationales, des affaires européennes et de la francophonie et des associations de lutte contre le Sida

 

14h30 – Colloque sur « Les élus locaux francophones : leur action en faveur de l'économie sociale et solidaire » décliné en 3 ateliers :

 

* Atelier 1 - Promouvoir l’ESS : le rôle de l’engagement politique des élus locaux, présidé par Pauline Véron, adjointe chargée de l’économie sociale et solidaire


* Atelier 2 - Appui à la création d’entreprises : services, formation, finance solidaire, présidé par Jacqueline Moustache-Belle, Maire de Victoria


 

* Atelier 3 - Favoriser les espaces de coordination et les cadres de coopérations durables, présidé par Khalifa Sall, Maire de Dakar

 

Parallèlement, Présentation du projet Paris-Bamako-Ougadougou visant à renforcer les capacités d’action des communes dans le domaine de la santé publique par Pierre Schapira, Marin Casimir Ilboudo, maire de Ouagadougou, et Adama Sangaré, maire de Bamako

 

17h00 : Réunion de l’Alliance internationale des villes pour le devoir de mémoire et le développement, présidée par Nicéphore Soglo, maire de Cotonou

 

Samedi 16 novembre

10h30 - Suite du Colloque « Les élus locaux francophones : leurs actions en faveur de l’économie sociale et solidaire ». Conclusion par Anne Hidalgo, première adjointe.

 

11h45 - Clôture du Congrès par Bertrand Delanoë