Nora ANSELL-SALLES

vendredi 15 février 2013

Journée Internationale du cancer de l’enfant



  La Fondation Sanofi Espoir et l’Union Internationale Contre le Cancer renforcent leur partenariat
My Child Matters pour trois ans

- 38 700 enfants pris en charge et 9 700 professionnels de santé formés depuis 2006 -



Paris, France et Genève, Suisse - le 14 février 2013

- A l’occasion de la Journée Internationale du cancer de l’enfant, l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) et la Fondation Sanofi Espoir annoncent le renouvellement pour trois ans de leur partenariat My Child Matters, visant à lutter contre les cancers de l’enfant dans les pays à ressources limitées.

Le nouveau plan d’action est construit autour de trois priorités : l’accompagnement renforcé et l’évaluation des projets en cours dans 15 pays d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine, l’appui aux réseaux de soins internationaux et le déploiement d’actions de sensibilisation au plus haut niveau pour que les cancers de l’enfant deviennent une priorité de santé publique mondiale.

«

Un programme est un succès quand il a démontré de réels bénéfices pour améliorer l’accès à la santé des plus démunis et qu’il a permis, tout à la fois, de renforcer la filière de soins et d’influencer les politiques de santé », explique Caty Forget, Déléguée Générale de la Fondation Sanofi Espoir. « Aujourd’hui, nous sommes heureux de renforcer notre partenariat My Child Matters qui a démontré sa capacité à faire bouger les lignes. C’est le cas, notamment, au Philippines Children’s Medical Center, où le taux de survie à 2 ans, pour les leucémies, a progressé de 16% à 68% et où les traitements pour les plus démunis sont désormais pris en charge par l’Etat. »

Depuis 2006, plus de 40 projets ont été soutenus dans 26 pays. Au total, 38 700 enfants ont été pris en charge et 9 700 professionnels de santé ont été formés.

«

Le partenariat avec la Fondation Sanofi Espoir, initié en 2005, est l’un des plus forts et des plus emblématiques pour l’UICC, en raison de son impact significatif sur la lutte contre les cancers de l’enfant dans le monde », résume Cary Adams, Chief Executive Office, Union Internationale Contre le Cancer. « Aujourd’hui, le fossé entre les taux de survie dans les pays développés et dans les pays à bas revenus se réduit. Les capacités de diagnostic précoce et de traitement ont été développées dans les pays concernés. Enfin, la cause des cancers de l’enfant est désormais défendue dans les pays et au plus haut niveau international, à l’OMS ou au Comité des Nations Unies sur les maladies non-transmissibles. »

Plus de 175 000
* enfants sont confrontés chaque année au cancer et au moins 90 000* en meurent. Près de 80 % des enfants atteints d’un cancer dans les pays développés guérissent grâce à une prise en charge précoce et efficace. Ce taux tombe malheureusement à 20 % des enfants, voire 10 %, dans les pays à faibles ressources où l’information, le diagnostic précoce, l’accès aux soins et aux traitements sont souvent difficiles.

Le programme
My Child Matters, conçu par l’équipe de la Fondation Sanofi Espoir et déployé avec l’Union Internationale Contre le Cancer (UICC), le St Jude Children’s Research Hospital (Etats-Unis) 2/2

et d’autres organisations partenaires, associe soutien financier, appui d’experts internationaux et mise en réseau pour améliorer tous les aspects de la chaîne de santé : l’information et la sensibilisation du grand public et des autorités, la formation de personnels qualifiés, le diagnostic plus précoce, l’accès aux soins, y compris la lutte contre la douleur et les soins palliatifs encore très peu développés, ainsi que le soutien psychologique aux enfants, aux familles et à leurs soignants.

Chaque année, un bilan est dressé avec chacun des partenaires locaux pour mesurer les impacts du programme sur les bénéficiaires directs, notamment les enfants et leurs familles, ainsi que les professionnels de santé, et pour juger de l’effet de levier sur les politiques de santé des pays.

* Source : UICC / SIOP (Février 2013) http://www.siop-online.org/


A propos de l’UICC


L’Union Internationale Contre le Cancer (UICC) est une organisation non-gouvernementale créée en vue d’aider la communauté mondiale de la santé à intensifier sa lutte pour l’éradication du cancer. Fondée en 1933 et établie à Genève, l’UICC regroupe plus de 770 organisations dans 156 pays, dont les principales associations mondiales de lutte contre le cancer, les ministères de la santé, les instituts de recherche et les groupes de patients. Pour plus d’informations : www.uicc.org.


A propos de la Fondation Sanofi Espoir


La Fondation d’Entreprise Sanofi Espoir a été créée en octobre 2010 par le groupe Sanofi pour capitaliser plus de 15 années d’engagement de solidarité internationale. Sa vocation est de contribuer à réduire les inégalités en santé, en particulier auprès des populations qui en ont le plus besoin, dans une démarche de responsabilité sociale. Son action s’articule autour de trois axes majeurs : la lutte contre les cancers de l’enfant, la lutte contre la mortalité maternelle et infantile et l’accès aux soins pour les populations les plus démunies. Pour plus d’informations : www.fondation-sanofi-espoir.com


Liste des membres du Comité de pilotage de My Child Matters

Le Président, Pr Raul Ribeiro (Directeur de la division leucémies et lymphomes, St Jude Children’s Research Hospital, USA) et les autres membres : Pr Andrea Biondi (Clinica Pediatrica Ospedale S. Gerardo, Italie), Pr Franco Cavalli (Directeur, Istituto Oncologico della Svizzera Italiana), Prof. Mariana Kruger, présidente SIOP Afrique, représentant la Société internationale d’Onco Pédiatrie-SIOP, Pays Bas), Mr Kenneth Dollman (International Confederation Of Childhood Cancer Parent Organisations- ICCCPO), Dr Joe Harford (Directeur des Relations Internationales, National Cancer Institute, USA), Pr Mhamed Harif (Président, Groupe Franco-Africain d’Oncologie Pédiatrique, France), Mme Ruth Hoffman (Directrice, Childhood Cancer Foundation, USA), Pr Tezer Kutluk (Turkish Association for Cancer Research & Control, Turquie), Dr Ian Magrath (Président, International Network for Cancer Treatment and Research, Belgique), Dr Twalib Ngoma (Directeur, Ocean Road Cancer Institute, Tanzanie), Dr Eva Steliarova-Foucher (Direction de la recherche, Centre International de Recherche sur le Cancer, France).

C'est à lire : « Plantes toxiques à usage médicinal du pourtour méditerranéen »


de  V. Hammiche, R. Merad, M. Azzouz – Editions Springer

 

 

 L’intérêt nouveau pour les remèdes naturels engendre un retour en force du végétal, mais on a parfois oublié que la nature, grande pourvoyeuse d’aliments et de remèdes, constitue aussi un réservoir redoutable de poisons. Ainsi, les services hospitaliers de réanimation enregistrent-ils chaque année des centaines de cas d’intoxications, parfois mortelles, suite à l’usage impropre ou inconsidéré de certains végétaux. Et, malgré les progrès réalisés dans les investigations toxicologiques, il arrive, encore, que médecins et SAMU soient déroutés face à certains tableaux toxiques, ne sachant quel traitement mettre en place, par méconnaissance des végétaux pouvant être à l’origine des empoisonnements observés.

 

L’objectif de cet ouvrage est de présenter les données éparses existant aussi bien dans les archives des centres antipoison, des établissements hospitaliers et des laboratoires universitaires que dans la littérature internationale afin de présenter une documentation sur les plantes vénéneuses du Maghreb et, plus largement, du pourtour méditerranéen. Il se veut un outil commode, à destination des praticiens cliniciens et analystes, à travers des fiches de synthèse résumant les principales données botaniques, toxicologiques et analytiques. C’est également une aide au diagnostic de ces intoxications destinée aux urgentistes et aux spécialistes des laboratoires de toxicologie d’urgence notamment, ceux de la rive Nord de la Méditerranée pouvant être confrontés à des cas liés aux plantes importées par la population immigrée.

 

Cette synthèse permet d’informer les professionnels comme les profanes, des dangers pouvant résulter d’un mauvais usage des plantes et des intoxications qu’elles peuvent provoquer. Elle donne les moyens d’identifier les plantes incriminées à travers un descriptif botanique simple accessible au personnel des structures d’urgence. Une aide supplémentaire est apportée par les tableaux récapitulant les noms vernaculaires d’usage courant. Les auteurs, pharmaciens toxicologues et botaniste, réunissent les compétences botaniques, chimiques et médicales donnant à cet ouvrage une véritable caution scientifique.

 

Victoria Hammiche a exercé en tant que pharmacien, professeure en botanique Médicale à l’université d’Alger, chef de service de la Pharmacie au CHU Mustapha – Centre Pierre et Marie Curie (CPMC) d’ Alger. Rachida Merad a été professeure en Toxicologie à l’université d’Alger, chef de service de Toxicologie et du Centre anti-poisons d’Alger au CHU Mustapha, CHU Bab El Oued d’Alger. Mohamed Azzouz est pharmacien, professeur en toxicologie à l’université d’Alger. Il a été chef d’unité de Toxicologie, service de toxicologie au CHU Bab El Oued, et est actuellement chef d’unité de toxicologie, Service de Biologie-Toxicologie à l’EHS Ait Idir à Alger.

En primeur sur Couleurs MGEFI


Questions fréquentes

L’optique comme le dentaire représentent des budgets importants pour les familles et suscitent de nombreuses interrogations sur leur prise en charge par les mutuelles.

 

En 2013, puis-je bénéficier de remboursements pour deux équipements différents car je porte des lunettes mais aussi des lentilles ?

 

Avec la garantie Vita Santé ou la garantie Multi Santé, les deux forfaits sont cumulables pour une même année civile. Vous bénéficiez donc de remboursements à la fois pour les lunettes mais également pour les lentilles.

 

Si mon enfant change de correction visuelle en cours d’année, puis-je bénéficier d’un second remboursement ?

 

Quelle que soit la garantie, le forfait annuel n’est pas applicable aux enfants de moins de 18 ans. Vous pouvez donc  bénéficier pour votre enfant d’un second remboursement sur une même année.

 

 

Pour la pose d’un bridge, mon dentiste me posera des couronnes provisoires. Puis-je bénéficier d’un remboursement couvrant à la fois les dents provisoires et les trois couronnes fixes ?

 

Si vous consultez un dentiste conventionné CNSD (Confédération Nationale des Syndicats Dentaires), le remboursement des couronnes provisoires est inclus dans la prestation versée pour les dents visibles : incisives, canines et prémolaires.

 

Avec la garantie Vita Santé ou la garantie Multi Santé, le montant total du remboursement s’élève à 473,20 € par dent, soit pour un bridge (3 éléments) à 1 419,60 €.

 

Si le praticien n’est pas conventionné, une prise en charge par la MGEFI est également prévue pour les couronnes provisoires sur dents visibles.

 

Dans ce cas, le montant s’élève à 30,49 € par couronne provisoire et à 244,50 € par couronne fixe.

 

 

Depuis la mise en place du

Réseau Optistya, le 1er janvier 2013, la MGEFI vous offre la possibilité de calculer votre remboursement Sécurité sociale  et Mutuelle sur son site internet depuis l’espace adhérent : http://www.mgefi .fr

 

 

E-mail

 

Afin n de faciliter vos démarches, nous vous invitons à nous communiquer une adresse électronique sur laquelle vous souhaiteriez recevoir vos informations mutualistes. Vous pouvez nous la préciser sur : email@mgefi .fr

MINE D'INFOS: Première Journée Internationale du Syndrome d'Ange...

MINE D'INFOS: Première Journée Internationale du Syndrome d'Ange...: Le 15 février sera la première journée internationale du Syndrome d’Angelman. L’Association Française du Syndrome d’Angelman    représen...

Première Journée Internationale du Syndrome d'Angelman : aujourd'hui, 15 février !


Le 15 février sera la première journée internationale du Syndrome d’Angelman. L’Association Française du Syndrome d’Angelman   représente les personnes touchées par cette maladie génétique rare, cause de déficience intellectuelle sévère chez l'enfant et chez l’adulte. L’association travaille avec les professionnels de santé, du médico-social, de la recherche et accompagne plus de 400 familles dans leur quotidien et leur combat contre la maladie. L’AFSA est membre du Collectif DI (Déficience Intellectuelle) représentant les centres de référence des déficiences intellectuelles de causes rares et 13 associations de patients atteints de maladies rares dans la DI.

 

Denise Laporte, Présidente de l’Association, a présenté a nile, en quelques mots la spécificité de la maladie et de sa prise en charge, le regard de la société sur cette forme rare de handicap ainsi que les projets novateurs que l’Association a développé depuis plusieurs années.

Retrouvez cette présentation en cliquant sur la vidéo ci-dessous : http://youtu.be/1CsiU-zLWSs

 

nile soutiendra l’AFSA tout au long de cette année.

jeudi 14 février 2013

MINE D'INFOS: «Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pa...

MINE D'INFOS: «Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pa...:     Ce lundi, une femme de 76 ans, malade d'Alzheimer, a été retrouvée morte à 2 km de l'hôpital où elle résidait dans le Maine-et-Loi...

«Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pas à régler les nombreux problèmes de sécurité au quotidien »

 
 
Ce lundi, une femme de 76 ans, malade d'Alzheimer, a été retrouvée morte à 2 km de l'hôpital où elle résidait dans le Maine-et-Loire (49) après avoir trompé la vigilance du personnel. Un nouveau drame symptomatique des dangereuses errances des malades d'Alzheimer qui préoccupent les pouvoirs publics. Plus d'une dizaine de malades errent chaque jour en France, selon l'association France Alzheimer. Ainsi, Michèle Delaunay, la ministre en charge des personnes âgées vient de lancer une réflexion sur les dispositifs de géolocalisation.


«
Géolocaliser les malades d'Alzheimer ne suffit pas à régler les nombreux problèmes de sécurité au quotidien des personnes dépendantes, comme une chute, un robinet laissé ouvert ou une prise de médicaments oubliée,... », explique Alexandre Chaverot, Président d'Avidsen, spécialiste des objets connectés pour l'habitat.

 

«
Les progrès de la domotique et des objets connectés, enfin accessibles au plus grand nombre, ouvrent des perspectives bien plus innovantes et intéressantes qu'un simple « mouchard » pour prévenir dès aujourd'hui ce genre de drame en particulier, et permettre, en général, à toute personne en perte d'autonomie de continuer à vivre dans son cadre habituel, en toute sécurité. », ajoute-t-il.



Le vieillissement de la population française conduira dans les années à venir à une augmentation du nombre de personnes âgées dépendantes : 1 200 000 personnes seront dépendantes en 2040, contre 800 000 actuellement (source : INSEE). Mais, d'une part, personne ne peut prédire quelle sera l'évolution de la prise en charge de la dépendance à l'avenir par les pouvoirs publics. D'autre part, la solidarité familiale pourrait diminuer du fait de la baisse du nombre d'enfants par famille et de l'éclatement géographique des familles. Or, de nombreuses études, notamment l'enquête HID (Handicaps-Incapacités-Dépendance), montrent bien que le rôle du conjoint, des enfants et même des petits enfants, est primordial dans la réussite du maintien à domicile des personnes âgées dépendantes.





La maison connectée, une vraie solution pour "bien vieillir"




Ainsi, la maison connectée avec ses objets intelligents, capteurs, outils de contrôle et de communication à distance apparaît désormais comme une solution incontournable pour bien vieillir.


« Avec une box domotique et des objets connectés appropriés, c'est l'habitat qui s'adapte à chacun et non plus l'inverse. Vous créez ainsi, très simplement, selon des scénarios de vie sur mesure, les conditions indispensables pour faciliter, dans la maison et à distance, le quotidien des personnes en perte d'autonomie et leur maintien à domicile en toute sécurité. », explique Alexandre Chaverot.


Par exemple, pour les malades d'Alzheimer, une sortie inopinée, une absence prolongée ou l'absence d'ouverture de l'armoire à pharmacie, sont automatiquement détectées et signalées par SMS. Il est possible aussi d'installer des détecteurs de gaz ou de fuite d'eau qui alertent l'occupant, ou son entourage à distance.


Pour les personnes à mobilité réduite, des commandes centralisées pour la fermeture de volets, de portes... peuvent être mises en place afin de limiter les déplacements.

Pour éviter les risques de chutes, des chemins lumineux peuvent s'activer avec un seul et même interrupteur.


Une box domotique permet en effet de commander tous les équipements de la maison (éclairages, motorisations...) via des interfaces simples et intuitives, à partir d'un ordinateur, un smartphone ou une tablette tactile, où que l'on soit géographiquement, via Internet.


Elle permet également de contrôler les accès au domicile (interphones) et de tout visualiser à distance où que l'on soit (caméras de vidéosurveillance) et même d'enregistrer ces séquences vidéo.

La box domotique permet, en outre, grâce à des systèmes d'alarme, des caméras, des détecteurs d'incidents domestiques ou médaillon pour appel d'urgence, d'être informé en temps réel de l'état de la maison (incendie, inondation, fuites...) et de la santé des proches (inactivité, malaise, chute...) qui y résident en recevant une alerte SMS, un appel vocal ou un e-mail. Un système qui permet également de visualiser la personne et de rentrer en communication avec elle.


Les nouvelles technologies de la communication et de la domotique se révèlent ainsi une chance, aujourd'hui, pour soulager les aidants des malades d'Alzheimer et permettre, d'une manière générale, aux seniors en situation de perte d'autonomie, demain, de conserver dignité et qualité de vie en toute sécurité.



 

A propos d'Avidsen :




PME française basée à Chambray-Lès-Tours (37), Avidsen conçoit, développe et commercialise des systèmes électroniques et numériques innovants, simples d'utilisation pour la maison connectée.


Après avoir été pionnière, depuis sa création en 1998, dans le domaine de la motorisation pour portails, Avidsen, présidée par Alexandre Chaverot, est devenue aujourd'hui une valeur de référence dans le secteur de la domotique et des objets connectés en Europe, en fournissant ses propres produits, ainsi que ceux des marques distributeurs de la GSB (Grande Surface de Bricolage). Avidsen détient également la licence de la marque Thomson en Europe pour l'ensemble des gammes sécurité (alarme, vidéosurveillance et interphonie) et domotique proposées sous la marque Thomson.











Enquête Famille et Logements 2011 : L'Ined et l'Insee présentent trois premières études

Enquête Famille et Logements 2011 :
L'Ined et l'Insee présentent trois premières études
 

Les situations familiales sont de plus en plus diverses et en perpétuelle évolution : familles recomposées, couples pacsés, conjoints de même sexe, mode de garde des enfants, lieux de vie au sein d'une même famille, etc.
L'enquête Famille et Logements (EFL), permet de connaître plus précisément les familles d'aujourd'hui et leurs lieux de vie. De premiers résultats sont présentés aujourd'hui au travers de trois études sur les couples et les modes de cohabitation :

- Les pacsés en couple hétérosexuel sont-ils différents des mariés ? (Ined)
- Le couple dans tous ses états (Insee)
- Mariage, union libre ou Pacs : à chaque âge sa forme de couple (Insee Île-de-France)

Réalisée par l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) en collaboration avec l'Institut national d'études démographiques (Ined), cette enquête a bénéficié de l'appui scientifique ou financier de nombreux partenaires1 .


Les pacsés en couple hétérosexuel sont-ils différents des mariés ?

Les couples hétérosexuels souhaitant une reconnaissance civile de leur union ont le choix entre le pacs et le mariage en France depuis 1999. En quoi ceux ayant choisi le pacs se distinguent-ils des mariés ? Les pionniers qui se sont pacsés peu de temps après l'instauration de la loi sont-ils différents des pacsés plus récents ? Analysant l'enquête Famille et logements, Estelle Bailly et Wilfried Rault, de l'Institut national d'études démographiques, montrent que les pacsés sont plus fréquemment sans enfant que les mariés, mais moins souvent que les personnes en union libre. Ils sont plus diplômés que les mariés, plus souvent cadres ou membres de professions intermédiaires, et exercent plus souvent une activité dans le secteur public. Les écarts entre pacsés et mariés se sont amoindris ces dernières années. Ayant connu un grand succès et s'étant diffusé dans des milieux sociaux qui s'en étaient peu emparés à ces débuts, le pacs s'est « démocratisé ».

Ined : Population & Sociétés n° 497  -
service-presse@ined.fr


Le couple dans tous ses états

Début 2011, en France métropolitaine, 32 millions de personnes majeures déclarent être en couple, 72 % d'entre elles sont mariées et partagent la même résidence que leur conjoint, de sexe différent. 7 millions sont en union libre et 1,4 million sont pacsées.
Parmi les adultes qui se déclarent en couple, 4 % indiquent par ailleurs que leur conjoint ne vit pas dans le logement. Plus de la moitié d'entre eux a moins de 30 ans. Entre 30 et 59 ans, une personne en couple sur dix ne réside pas avec son conjoint en l'absence d'enfant commun. La non-cohabitation concerne surtout des personnes en union libre.
200 000 personnes sont en couple avec une personne du même sexe, dont 16 % avec une personne ne vivant pas sous le même toit. Six sur dix sont des hommes. 43 % sont pacsées, cette proportion atteignant 55 % après 35 ans. Environ 10 % déclarent vivre au moins une partie du temps avec un enfant, généralement né avant l'union actuelle ; il s'agit avant tout de femmes.

Insee : Insee Première n° 1435 - Contact : 
bureau-de-presse@insee.fr

______________
1 Agence nationale de la recherche (ANR), Atelier parisien d'urbanisme (Apur), Caisses d'allocations familiales d'Île de France, Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf), Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp), Direction générale de l'administration et de la fonction publique (DGAFP), Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees), Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Île-de-France (IAU-ÎDF) , Mairie de Paris, Observatoire national des zones urbaines sensibles (Onzus), Plan urbanisme construction architecture (Puca).




Mariage, union libre ou Pacs : à chaque âge sa forme de couple

En 2011, le mariage reste le statut majoritaire des personnes adultes vivant en couple en Ile-de-France (71 %). Avant 25 ans, les personnes en couple vivent essentiellement en union libre, tandis qu'après 35 ans, le mariage prédomine. Le pacs, dans un cas sur deux, est choisi par une personne de 25 à 34 ans. A Paris, les personnes en couple sont davantage en union libre.

Insee IDF : Faits et chiffres n° 302 - Contact : eric.bonnefoi@insee.fr



          
      L'enquête Famille et Logements 2011
      
      L'information démographique en France provient de deux sources principales. Le recensement fournit des données sur l'état de la population à une date donnée, l'état civil renseigne sur les naissances, mariages et décès. Mais ces deux sources ne sont pas suffisantes pour éclairer les histoires et situations familiales des personnes vivant en France (nombre d'enfants, calendrier des naissances, types d'union, etc.).
     
Régulièrement associée aux enquêtes de recensement depuis 1954, l'enquête Famille permet de décrire plus en détail la diversité des situations familiales. Avec un échantillon de 360 000 adultes répondants en 2011, répartis dans 1400 communes, l'enquête Famille et Logements permet en particulier de quantifier des situations très minoritaires, ce qui n'est pas possible dans les enquêtes habituelles de taille plus réduite.
      
      Douze ans après la dernière édition, l'enquête Famille et Logements 2011 intègre de nouveaux thèmes : le pacs, la vie en couple non cohabitant ou avec une personne de même sexe, les familles recomposées, les modes de garde d'enfants. Elle aborde également les thèmes de la multirésidence et du déploiement géographique des familles, et, comme les précédentes enquêtes, permet d'étudier la fécondité ou les familles sur trois générations.
      
      Trois premières études portant sur les couples et les modes de cohabitation sont publiées aujourd'hui. Elles seront complétées par la suite par des publications sur les autres thématiques abordées par l'enquête.
      

mercredi 13 février 2013

MINE D'INFOS: Si l'info sécu vous intéresse...

MINE D'INFOS: Si l'info sécu vous intéresse...: Dossier pharmaceutique : deux millions de consultations par semaine et un nouvel hébergeur 05/02/13 - Lors d'une conférence de presse...

Si l'info sécu vous intéresse...


Dossier pharmaceutique : deux millions de consultations par semaine et un nouvel hébergeur


05/02/13 - Lors d'une conférence de presse le 31 janvier 2013, relayée par une dépêche TIC Santé, la présidente de l'Ordre national des pharmaciens a tiré un bilan positif du dossier pharmaceutique (DP), notant que 97 % des officines y sont maintenant raccordées et ont créé, au 28 janvier, plus de 24 millions de dossiers.

 Mieux, le DP est consulté en moyenne deux millions de fois par semaine. 663 établissements de santé se sont portés volontaires pour mettre en place le système au sein de leur pharmacie à usage intérieur (PUI), sur 2 600 au total en France. 29 conventions ont été signées et quatre établissements sont déjà installés. Le DP va changer d'hébergeur en 2013. Avant l'été, Docapost (filiale de La Poste) remplacera Santeos. Concernant les fonctionnalités, une étude pilote débutera en janvier sur la mise en place d'un système "d'information remontante", pendant de "l'information descendante" déjà en place et qui permet à l'Ordre de communiquer rapidement auprès des pharmaciens toute information sur des alertes sanitaires (dernièrement utilisée pour Diane 35 et de ses génériques). Le DP va se tourner vers l'évaluation avec, à la mi-mars, un appel à candidatures lancé par l'Ordre pour faire des études selon trois axes : les pratiques professionnelles des pharmaciens, ce qui a changé socialement entre professionnels de santé et l'impact médico-économique sur l'organisation des soins. Enfin, la présidente de l'Ordre a souligné l'intérêt des données anonymes relatives au médicament issues du DP dans un contexte de suivi sanitaire. La loi permet à trois acteurs, le ministère de la Santé, l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et l'Institut national de veille sanitaire (InVs) d'y accéder. Elle a indiqué à ce titre que l'Ordre avait transmis des données sur les pilules sans vouloir préciser lesquelles.
> Dépêche TIC Santé

Transparence, transparence, transparence !


08/02/13 - Décidément, la transparence dans le domaine de la santé et de ses technologies semble devenu un concept très en vogue. Rappelons d'abord l'appel à la transparence sur les données de santé au service de la santé publique (voir ma Lettre n° 538), dont le site dédié vient d'être mis à jour avec entre autres une intervention de la ministre Fleur Pellerin.

 N'oublions pas les déclarations du LEEM, qui dans le cadre de la loi Bertrand (le "Sunshine Act" à la française) se déclare désormais favorable à la transparence des pratiques. La fédération LESSIS n'est pas en reste, avec la poursuite de son "opération transparence" sur les pratiques dans le domaine des systèmes d'information hospitaliers. Mais c'est une autre transparence que viennent de pointer plusieurs média, à commencer par le site Actusoins qui a mis en lumière les fuites de dossiers nominatifs des patients de plusieurs hôpitaux français, ouverts à tous les vents et disponibles par une simple requête avec Google. Cet épisode éclaire le fossé croissant qui se creuse entre des mesures de sécurité toujours plus lourdes er contraignantes imposées par les services de l'Etat dans le domaine des données de santé et la pratique des utilisateurs, notamment hospitaliers, qui ridiculisent l'arsenal technique et réglementaire.
> Le site sur la transparence des données de santé
> "2013, An I de la transparence"
> "Les données médicales confidentielles accessibles sur le web" - ActuSoins 8 février 2013
> Blog du Monde Big Browser 5 février 2013

 

Les sites français de vente en ligne de médicaments sans ordonnance fleurissent dans la confusion


06/02/13 - Depuis le 31 décembre dernier, la vente en ligne de médicaments sans ordonnance est possible en France, depuis la publication du décret d'application de l'ordonnance du 19 décembre qui transposait les dispositions européennes.

Les Echos font un point de situation sur le Web. "Un peu plus d'un mois plus tard, un certain désordre règne dans le paysage de la vente en ligne". Ainsi, "la création de nouveaux sites n'est en principe pas autorisée avant le mois d'avril afin de laisser aux ARS et au Conseil de l'Ordre chargés de les homologuer le temps de s'organiser", rappelle le responsable de LaSante.net, l'un des deux sites d'officines qui avaient devancé le décret. Mais voilà, "de nombreux sites ont fleuri depuis le début de l'année, sans la moindre autorisation", ne respectant pas la réglementation. Les infractions constatées "ne sont d'ailleurs pas toujours délibérées car les textes ne brillent pas par leur simplicité", constate le quotidien qui souligne que "la France est le seul pays européen à limiter le commerce en ligne aux seuls médicaments en accès direct (situés devant le comptoir) et non à l'ensemble des produits sans prescription. Avec de surcroît des critères incompréhensibles".
De son côté, Michel-Edouard Leclerc regarde de près la vente en ligne de médicaments. Le distributeur estime que "la vente sur Internet se soldera par une baisse moyenne de 20 à 30 % à terme. Le problème, avec le système actuel, c'est que les pharmacies qui vont se lancer sur le Web n'auront pas les moyens logistiques d'une livraison nationale"...
> L'article des Echos du 5 février 2013

Sources :

Newsletter réalisée par Gérard Bieth - © www.annuaire-secu.com - Le portail indépendant des agents de la Sécurité sociale
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MINE D'INFOS: Le chiffre :

MINE D'INFOS: Le chiffre :: 2,15 jours C’est le délai moyen pris par les affaires juridiques pour répondre aux demandes internes de la MGEFI. Sources : Généra...

Le chiffre :


2,15 jours

C’est le délai moyen pris par les affaires juridiques pour répondre aux demandes internes de la MGEFI.

Sources : Génération MGEFI N° 52 de Février 2013

mardi 12 février 2013

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse

MINE D'INFOS: La MGEFI dans la presse: MUT ECHO (FEVRIER 2013 )   Titre : Comprendre l'impact de l'environnement sur la santé

La MGEFI dans la presse


MUT ECHO (FEVRIER 2013 )

 

Titre : Comprendre l'impact de l'environnement sur la santé

MINE D'INFOS: Communauté MGEFI

MINE D'INFOS: Communauté MGEFI:   Je souhaite créer une   « Communauté MGEFI » sur twitter et Vidéo Pour partager Actus et Infos Et élargir « encor...

Communauté MGEFI




 Je souhaite créer une « Communauté MGEFI » sur twitter et Vidéo

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MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Une jonquille pour Curie

MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Une jonquille pour Curie: MINE D'INFOS: Une jonquille pour Curie : Un événement national de mobilisation solidaire contre le cancer Durant toute une semaine, du 19...

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MINE D'INFOS: Pathologie bucco-dentaire / un nouveau diplôme ?: L’Académie nationale de médecine a pris acte de la création du Diplôme d'Études Spécialisées en Chirurgie Orale pour pallier l’insuffisa...

MINE D'INFOS: LIBRES PROPOS signés Jacques DRAUSSIN

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Fédération pour la recherche sur le cerveau FRCneurodon


La décennie à venir doit être celle du cerveau !  Alerte de la FRCneurodon*

 

Plus d’1 personne sur 10 souffre d’une maladie du cerveau. Le nombre de malades devrait doubler entre 2020 et 2040. Les cas de démence devraient tripler d’ici 2050…

 

« Touchant directement ou indirectement un tiers de la population française, les maladies du cerveau doivent être "cause d’intérêt national". Il relève plus que jamais de la vocation de la FRCneurodon de sensibiliser les acteurs publics à cet enjeu ». Arnaud Brunel, Président de la FRCneurodon

 

Parce que les maladies du cerveau sont encore trop sous-estimées et représentent un réel problème de santé publique : handicap (moteurs, intellectuels et psychiques) du patient, impact sur les familles, coût de prise en charge, augmentation préoccupante du nombre de patients atteints en regard du vieillissement de la population…,

 

 

 Parce que les laboratoires pharmaceutiques se désengagent de leur activité de recherche sur les neurosciences faute de rentabilité à court terme…,

 

La Fédération pour la recherche sur le cerveau (FRCneurodon), ciment de toutes les forces et de tous les talents dans ce domaine, rassemblant 12 associations* dédiées aux maladies du cerveau** lance une alerte à l’occasion de la Semaine du Cerveau du lundi 11 au dimanche 17 mars 2013 avec le thème « La décennie à venir doit être celle du cerveau ».

 

La conférence de presse est organisée le mercredi 20 février 2013 à 9h00

à LCL -  19, boulevard des Italiens 75002 Paris

 

La FRCneurodon présentera lors de la conférence de presse ses objectifs et ses missions 2013-2015 et les fondements de son alerte.

 

Déroulé de la conférence : 

 

Introduction par le Président de la FRCneurodon, Monsieur Arnaud Brunel

Présentation de la FRCneurodon, lecture du alerte

 

Etat des lieux sur les maladies du cerveau et leur recherche en 2013 : Incidence, conséquences sociales et économiques, fonds alloués…, par André Nieoullon, Président du Conseil Scientifique de la FRCneurodon, Professeur à l’Institut de Biologie du Développement de Marseille-Luminy, CNRS-Université de la Méditerranée.

 

Comprendre les maladies du cerveau : les défis de la recherche par Catherine Lubetzki, vice-Présidente du Conseil scientifique de la FRCneurodon, Professeur en Neurologie, praticien hospitalier à l’hôpital de la Pitié Salpêtrière

 

Information et sensibilisation du public : collecte, exercices en ligne, exposition… par Elisabeth Ilinski, Directeur délégué de la FRCneurodon

 

Conclusion par Arnaud Brunel

 

*La FRCneurodon rassemble les six associations membres (Association pour la Recherche sur la Sclérose Latérale Amyotrophique / France Alzheimer / France Parkinson / Fondation pour l’Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques / Fondation Française pour la Recherche sur l’Epilepsie / Union nationale des Familles et Amis de Malades psychiques (UNAFAM) et les six associations partenaires qui représentent l’ensemble des maladies du cerveau (Amadys (dystonies) / Aramise (atrophie multisystématisée) / ARTC (tumeurs cérébrales) / France AVC / Huntington France / La Fondation Motrice).

 

**Les maladies du cerveau comprennent les maladies neurologiques (Alzheimer, Parkinson, démences et autres maladies neuro-dégénératives, épilepsie, sclérose en plaques, accidents vasculaires cérébraux), les maladies psychiques (anxiété, dépression, addiction, schizophrénie, autisme, troubles obsessionnels compulsifs) et les déficits des organes des sens (déficiences visuelles ou auditives).Parmi les affections neurologiques, les maladies neuro-dégénératives occupent une place prépondérante en raison de leur gravité et de leur fréquence croissante liée au vieillissement de la population.

 

 

Inscription presse :


 

 

La MGEFI dans la presse

Deux articles  à lire dans le N° JAN/FEV 2013 DE  Valeurs Mutualistes de
 
Titre : 2358 centres d'audioprothèses pour le meilleur choix auditif
 
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