|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
Affichage des articles dont le libellé est convention. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est convention. Afficher tous les articles
vendredi 1 mars 2013
Les pages les plus lues cette semaine
Libellés :
ANI,
Audistya,
convention,
Fondation de l' Avenir,
Istya,
JARDINS,
MGEN,
Optistya,
partenariat,
pililier Sivan,
prix,
Réseaux,
SFDO,
tant de chose à vivre ensemble,
thérapeutiques,
vaccination
mardi 20 novembre 2012
La Caisse centrale de la MSA et l'AGHL signent une convention de partenariat
La Caisse Centrale de la MSA représentée par son président
Gérard Pelhâte et l'Association nationale des médecins Généralistes des Hôpitaux
Locaux (AGHL) représenté par le Docteur Pascal Gendry ont signé une convention
de partenariat le 16 novembre 2012 à au siège de la CCMSA à Bagnolet.
Cette convention de partenariat a pour objectif de démultiplier
les possibilités de collaboration qui existent déjà entre les deux organisations.
La CCMSA et l'AGHL travaillent, de fait, ensemble puisque
les caisses de MSA
sont pivots d'une centaine d'ex hôpitaux locaux.
La CCMSA et l'AGHL sont complémentaires dans les actions
qu'elles mènent en matière d'éducation et de promotion de la santé. Par
ailleurs, elles défendent une même vision de l'organisation des soins, avec un exercice de qualité et coordonné des
soins primaires, entre médecine générale en ville et hôpital local. Enfin, elles partagent une même volonté de lutter
contre la désertification médicale en zone rurale.
Les actions de coopération entre la MSA et l'AGHL, comme définis
par la convention, porteront notamment sur:
-la réalisation d'actions communes (éducation à la santé,
ateliers d'éducation thérapeutique...) ;
- la conduite d'actions communes de promotion à destination
des pouvoirs publics
(Agences Régionales de Santé, Ministère de la santé...) ;
-
l'incitation à la création et au développement de structures régionales de type
Comités Techniques Régionaux (COTER) regroupant, sous autorité des Agences Régionales de Santé, d'anciens hôpitaux
locaux et des partenaires (dont la MSA) pour favoriser la mutualisation d'expériences
et de compétences.
mercredi 7 novembre 2012
Ostéopathie en milieu hospitalier
Le SFDO dénonce la
rupture d’une convention avant-gardiste
Le 29 octobre 2012, le journal Sud Ouest* a révélé la dénonciation
d’une convention qui encadrait depuis près de 10 ans l’intervention bénévole d’une
vingtaine d’ostéopathes libéraux dans le cadre de deux services de pédiatrie et
de néonatalogie du CHU de Bordeaux*. Cette décision prise par l’administration
hospitalière, sans consultation des chefs de service concernés, met fin à une
collaboration professionnelle de grande qualité développée au service des
jeunes patients. Le SFDO, 1er syndicat d’ostéopathes exclusifs en
France, dénonce cette action qui fait primer des intérêts politiques (privilégier
l’intervention de professionnels de santé « formés » à l’ostéopathie au sein de
l’hôpital) sur l’intérêt des patients et va à l’encontre de la reconnaissance d’une
ostéopathie de qualité, exercée par des professionnels ayant bénéficié d’une
formation complète et dont la pratique est exclusive.
Une décision motivée par des
enjeux administratifs et politiques
Suite à une première année de collaboration réalisée à
titre expérimental ayant obtenu des résultats intéressants, cette convention
avait été mise en place en 2003 à la demande du Dr Elleau et du Dr Thambo pour
encadrer l’intervention régulière d’une vingtaine d’ostéopathes au sein de
leurs services**. Ce modèle réunissant des professionnels de santé, des médecins
et des ostéopathes a participé pendant près de 10 ans à une prise en charge
qualitative des patients, couronnée de succès, et à l’évaluation de la pratique
ostéopathique en pédiatrie favorisant sa reconnaissance en milieu
hospitalier. Dans ce contexte et alors que les ostéopathes intervenaient bénévolement,
il est nécessaire de s’interroger sur les réelles motivations de la dénonciation
de cette convention qui trouvait satisfaction auprès de toutes les parties
prenantes.
Des éléments convergents tendent à montrer qu’une démarche
de l’Ordre Départemental des Masseurs-Kinésithérapeutes serait à l’origine de
cette éviction soutenue par ailleurs par l’existence d’un cursus de formation
court en ostéopathie de l’Université de Bordeaux qui délivre un titre d’ostéopathe
aux masseurs-kinésithérapeutes. Lorsque le
corporatisme prévaut sur la qualité des soins et expose des nourrissons et des
enfants aux luttes de pouvoir entre acteurs, une certaine idée de l’éthique
médicale est menacée.
Un pas en arrière au détriment
des patients et d’une ostéopathie de qualité
Si la pratique au sein de l’hôpital et son intérêt pour les
patients ne sont pas remis en question, il est légitime de considérer que
faire le choix de ne privilégier que des professionnels de santé qui exercent l’ostéopathie
en complément de leur activité première ne permet pas d’assurer la même qualité
de soins et limite la démarche de recherche en ostéopathie qui était également
développée dans ce contexte ; des conditions pourtant essentielles pour
prodiguer aux patients des soins de qualités et développer la pratique de l’ostéopathie
en France.
L’ostéopathie est une profession à part. Elle exige avant
tout un nombre élevé d’heures de formation (4 500 heures de formation
pour les personnes non titulaires d’un diplôme de santé et plus de 1 800 heures
pour les professionnels de santé dans les établissements de formation ayant
fait le choix de maintenir des cursus de qualité), qui est loin d’être respecté
par le cursus de 300 heures proposé par l’Université de Bordeaux aux masseurs-kinésithérapeutes.
La qualité de sa pratique dépend également d’une expérience acquise
dans la durée et dans le cadre d’une activité régulière, ce à quoi ne
peuvent pas nécessairement aboutir les kinésithérapeutes et autres
professionnels de santé qui exercent l’ostéopathie à temps partiel. Cette réalité,
les chefs de services de l’hôpital qui faisaient appel aux ostéopathes
libéraux l’avaient bien comprise et ont obtenu la démonstration du sérieux et
du professionnalisme de ces professionnels au cours des 10 dernières années.
Face à ce paradoxe porté par l’hôpital public, le SFDO tire à nouveau la
sonnette d’alarme. Il est aujourd’hui indispensable de faire reconnaître le
statut d’ostéopathe exclusif, démarche qui passe notamment par une réglementation
plus stricte de la formation, afin de pouvoir apporter aux patients la
garantie de soins de qualité en cabinet et à l’hôpital et de protéger les
professionnels.
Ces sujets seront au centre des discussions prévues entre
le SFDO et le Ministère de la santé à la mi-novembre
* Voir : « Santé : les ostéopathes recalés du CHU de
Bordeaux », Sud Ouest, 29/10/2012 :
** Unité fonctionnelle de néonatalogie de Pellegrin et Unité de
cardiopathies congénitales de l’enfant, à Haut Lévèque
A propos du SFDO :
Le SFDO, a été créé en 1973 et connaît un fort développement depuis 9 ans.
Le Syndicat est aujourd’hui le premier syndicat d’ostéopathes exclusifs en
France, avec plus de 1.500 membres, soit un quart des ostéopathes exerçant à
titre exclusif. Par l'exigence de ses critères d'admission (formation minimale
de cinq ans, obligation de suivre une formation continue...), le SFDO entend défendre
une ostéopathie de qualité au service du grand public. www.osteopathe-syndicat.fr
jeudi 18 octobre 2012
Café nile : « Quelle convention, quelles rémunérations pour les acteurs du dispositif médical ? »
Café nile avec
André Tanti, vice-président du CEPS en charge des dispositifs médicaux le 24
octobre (8h30 - 10h) au Sir Winston
Les dispositifs médicaux souffrent très souvent d’une
assimilation avec le médicament. Cette
confusion des genres, qui voudrait aboutir à faire peser sur cet ensemble vaste
et hétérogène (plus de 2000 entreprises productrices et prestataires et près de
100.000 produits allant de la canne anglaise au cœur artificiel) une réglementation
copiée sur son lointain cousin, entraîne des difficultés considérables pour
mettre sur le marché de véritables innovations technologiques. A l’inverse, on
peut comprendre la prudence des autorités à vouloir assurer une évaluation de
qualité et une sécurité pour les malades. L’un des points cruciaux de différenciation
(hors une demi-vie économique courte entre 1,5 ans et 3 ans) est le rôle majeur
de l’opérateur. Son expertise est essentielle à la pose du dispositif, à son
bon usage, à sa maintenance et à sa surveillance. Tout ceci complique encore l’évaluation
économique du prix du Dispositif Médical et la répartition des rémunérations à
l’intérieur de ce prix.
André
Tanti, vice-président du Comité Economique des Produits de Santé, en charge du
dispositif médical viendra débattre, le 24 octobre prochain, de 8h30 à 10h au
Sir Winston (5 rue de Presbourg 75116 Paris) sur le thème :
« Quelle convention, quelles rémunérations pour les acteurs
du dispositif médical ? »
Inscription : nile@nile-consulting.eu
Découvrez
le blog de nile en suivant le lien http://loeildenile.eu
Consultez le site de nile : www.nile-consulting.eu
Inscription à :
Articles (Atom)