Nora ANSELL-SALLES

lundi 16 janvier 2023

En pleine transformation, MGEN affirme sa position de première mutuelle des agents du service public







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Communiqué de presse 
16 janvier 2023 
 
 
 
 
 
 
 
En pleine transformation, MGEN affirme sa 
position de première mutuelle des agents du service public
 
Dans un contexte de transformation du secteur assurantiel, dominé par la réforme de la protection sociale complémentaire (PSC) des fonctionnaires, MGEN a entrepris des transformations profondes de son modèle économique, commercial et managérial. Le 16 janvier 2023, la mutuelle lance une campagne de publicité qui s’inscrit dans le déploiement d’une nouvelle stratégie de marque, premier marqueur de ces transformations. L’objectif : asseoir son image de mutuelle engagée, multi-spécialiste, et innovante au service des agents de toutes les fonctions publiques et réaffirmer sa place de leader.
 
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Accélérer les transformations pour relever le défi de la PSC
La réforme de la PSC, qui interviendra dès 2024 avec les premiers appels d’offres des ministères, prévoit un basculement des organisations publiques du monde des contrats individuels à adhésion facultative vers un modèle collectif obligatoire, à l’image de celui existant pour les salariés du privé. Ainsi, comme les autres mutuelles du service public, MGEN s’apprête à passer de plusieurs millions de contrats individuels à des contrats collectifs conclus avec des ministères.
 
Avec plus de 4,2 millions de personnes protégées, MGEN, est la première mutuelle des agents du service public : elle sera de fait la plus touchée par la réforme. Pour être prête à relever ce défi, elle a entrepris de grandes transformations internes comme l’adaptation de ses systèmes d’informations pour être en mesure de gérer des contrats collectifs à grande échelle, ou encore l’évolution de son réseau commercial et la réorganisation de ses centres de services pour toujours plus de proximité et de qualité de la gestion.
 
Pour Fabrice Heyriès, le directeur général de MGEN : « Servir ceux qui servent l’intérêt général est source de fierté pour nous chez MGEN. A travers cette nouvelle campagne, nous donnons la parole aux publics que nous protégeons : les agents de différentes fonctions publiques. Elle nous permet aussi de mettre en avant, pour la première fois, les solutions et les services qui, au-delà du cœur de nos activités de prestations assurancielles et d’offres de soins, font la différence dans le quotidien des agents du service public ».
 
 
Affirmer sa position de leader en protection santé et prévoyance à l’aune de la réforme
Dans ce contexte, MGEN a lancé en avril 2022 un grand chantier autour de sa stratégie de marque afin d’être reconnue comme la première mutuelle des agents du service public. Une nouvelle identité de marque, un nouveau discours, une nouvelle campagne sont les premiers marqueurs de la transformation de la mutuelle et en soutien à son projet stratégique, lancés le 16 janvier.
 
« Créée il y a 76 ans par des enseignants pour les enseignants, MGEN est aujourd’hui bien plus que la mutuelle des agents de l’Education nationale. Elle a su évoluer mais reste paradoxalement mal connue de ses publics, d’où les enjeux de cette campagne de publicité : valoriser l’accompagnement original, innovant et personnalisé que propose MGEN aux agents de toutes les fonctions publiques ainsi que moderniser son image dans le respect de l’histoire et des valeurs qui la nourrissent depuis toujours. L’objectif pour MGEN est de conforter sa place de mutuelle de référence des agents du service public », explique Matthias Savignac, le président de MGEN.
 
 
Une campagne publicitaire à la hauteur des enjeux
Dans cette campagne, MGEN dévoile sa nouvelle signature de marque : ”On s’engage mutuellement”, qui rappelle son engagement auprès de celles et ceux qui s’engagent eux-mêmes pour l’intérêt général au sein des services publics. Cette communication est aussi le reflet de sa raison d’être ‘Engagés pour le progrès social et la santé de tous’.
Trois films mettent en scène des agents du service public qui bénéficient de solutions originales, innovantes : Diane, professeure d’anglais ; Cyril, infirmier à l’hôpital, et Farah, chercheuse en biomédecine. Tous trouvent une réponse à leur situation de santé grâce à la mutuelle MGEN.
Cette campagne sera diffusée en trois vagues de trois semaines chacune (en janvier, mars et septembre), sur les grandes chaînes de télévision et déclinée en presse, affichage et réseaux sociaux.
 
Fidèle à son engagement en sport-santé de longue date, MGEN a également revisité le contenu du programme court, diffusé sur France Télévisions depuis 2020 chaque week-end en prime time, et rebaptisé « Les Etoiles du sport et de la santé ». A l’aune des JO 2024, les 50 nouveaux épisodes mettent en miroir le quotidien d’un grand champion du sport français comme Alain Bernard, Martin Fourcade, Jo Wilfried Tsonga, Marie-José Pérec... et celui d’un agent du service public (agent de service, agent de bibliothèque, assistant d'éducation, enseignant...).
 
 
 
Contact Presse : 
 
 
À propos de MGEN  
Fondée en 1946, MGEN est aujourd’hui la première mutuelle des agents du service public. Son positionnement unique en France lui permet de gérer l’assurance maladie et la complémentaire santé et prévoyance de plus de 4,2 millions de personnes, bénéficiaires d’un contrat individuel ou collectif. Au-delà d’être un guichet unique pour le remboursement des soins, MGEN accompagne globalement ses adhérents : de la prévention des risques pour leur santé physique et mentale, à leur prise en charge en établissement de santé.  Elle met en effet à la disposition de tous 1 700 structures de soin et d’accompagnement mutualistes qu’elle cogère et cofinance partout en France, dont 62 appartiennent à MGEN. Avec ses 10 000 collaborateurs et 3 500 militants, présents dans tous les départements français, le collectif mutualiste MGEN agit au plus près des adhérents, à chaque moment de leur vie, avec des offres personnalisées et des services innovants. Expert des enjeux spécifiques de santé et de qualité de vie et des conditions de travail (QVCT) des agents, MGEN accompagne également les employeurs pour le bien-être des personnels et contribue ainsi à la performance globale et à l’attractivité du service public. Par son histoire et son modèle non lucratif, MGEN est un acteur de l’économie sociale et solidaire (ESS) reconnu pour son engagement dans les grands enjeux sociétaux, de l’accès à l’IVG hier à celui d’une fin de vie libre et choisie aujourd’hui. Depuis 2017, MGEN est aussi membre fondateur du Groupe VYV, premier acteur mutualiste de santé et de protection sociale en France. www.mgen.fr
 
Le Groupe VYV, Entrepreneur du mieux-vivre
Le Groupe VYV est le 1er acteur mutualiste de santé et de protection sociale en France. Autour de ses trois métiers (Assurance, Soins et accompagnement, Logement), le Groupe VYV développe des offres complètes et personnalisées pour accompagner et protéger tous les individus tout au long de la vie.
Le Groupe VYV œuvre au quotidien pour être utile à tous et à chacun : plus de 10 millions de personnes protégées, 73 000 entreprises clientes en santé et en prévoyance, plus de 19 000 collectivités territoriales et 14 ministères et établissements publics à caractère administratif. Acteur engagé, avec près de 45 000 collaborateurs et 10 000 élus, dont près de 2 600 délégués, le Groupe VYV innove et anticipe pour construire une société plus équitable et socialement responsable. Le Groupe VYV porte l’ambition d’être le groupe de référence de la santé et de la protection sociale, en incarnant un projet de performance solidaire pour demain.
En 2021, le chiffre d’affaires sur le périmètre combiné du groupe est de 9,9 milliards d’euros (hors CA du pilier logement). L’activité assurance représente 7,7 milliards d’euros dont 5,7 milliards d’euros de cotisations santé et 1,5 milliard d’euros de cotisations prévoyance. VYV3, l’offre de soins et d’accompagnement, est organisée autour des pôles soins, produits et services et accompagnement, et de ses 1 700 établissements et services dans 81 départements. En 2021, le volume d’activité consolidé généré s’élevait à 2,2 milliards d’euros.

 
 

Baromètre santé des fonctionnaires : l’analyse des réponses des adhérents de la MGEFI

Baromètre santé des fonctionnaires : l’analyse des réponses des adhérents de la MGEFI

Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les risques de santé et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la Mutualité Fonction Publique Services * (MFP Services) a mené en 2011 une étude auprès de 15 700 agents de la fonction publique pour cerner la perception qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.

Cette étude est la première pierre d’un projet plus ambitieux encore : « prévention horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque santé : la prévention comme démarche de santé publique.

Le succès du baromètre auprès des adhérents de la MGEFI


Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI, sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de 45 %. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond à une véritable attente.

Une bonne attitude vis-à-vis de la santé

  • Les répondants MGEFI sont à 87,2 % satisfaits de leur état de santé et neuf sur dix évaluent leur qualité de vie de manière positive, une perception sur ces 2 points meilleure que celle de la population française.

Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : les adhérents ont une bonne attitude générale vis-à-vis de leur santé. Ils se déclarent majoritairement à jour de leurs vaccins et disent accorder une confiance élevée aux professionnels (médecins et pharmaciens). Ils sont deux fois moins nombreux à prendre des médicaments non prescrits.

Des comportements favorables au maintien d’une bonne santé : une grande majorité des répondants jugent leur alimentation équilibrée et ils s’inscriraient dans des comportements à risque de manière moins prononcée vis-à-vis du tabac, du jeu et des drogues. Ainsi, 42,9 % n'ont jamais fumé de leur vie et 11,2 % sont des fumeurs habituels. En France, ce pourcentage est généralement supérieur à 30 %. En revanche, s'agissant de la dépendance à l'alcool, 10 % semblent présenter une addiction (deux fois plus d'hommes que de femmes), soit autant que parmi la population française.

Des disparités importantes

Ce bon bilan d'ensemble ne doit cependant pas occulter d'importantes disparités : ainsi, la perception de la maladie chronique (notamment cardiaque et métabolique) est beaucoup plus marquée chez les adhérents MGEFI que dans la population française.

  • Le baromètre santé laisse aussi apparaître un nombre important de répondants concernés par la perte d'autonomie : 10,3 % sont « aidés » et 12,9 % sont « aidants ».
  • Par ailleurs, plus d'un tiers se sent fréquemment stressé (les femmes se révélant plus sujettes au stress), moins satisfait de son sommeil et de son travail que la moyenne nationale, et estime que son travail a un effet sur sa santé.

Un besoin d'information et de prévention


Tout au long du questionnaire, les adhérents ont pu exprimer des attentes en matière d'informations et d'actions, parfois relatives à leur environnement professionnel. Parmi les personnes ayant déclaré avoir une maladie chronique, 49,8 % souhaitent obtenir des informations précises sur leur problème de santé et leurs médicaments.

  • 63,6 % des actifs MGEFI sont également intéressés par la mise en place d'ateliers de prévention et de promotion de la santé sur leur lieu de travail, ce qui laisse penser que les fonctionnaires gérés par la MGEFI sont bien plus demandeurs que l'ensemble des actifs français.


Ce sont les thématiques du stress, du travail sur écran et des troubles musculo-squelettiques qui sont le plus souvent évoqués. Plus du tiers des personnes interrogées souhaitent, par ailleurs, obtenir des informations sur l'alimentation. Quant à la prévention, 87,8 % souhaitent de l'information sur les dépistages, 61 % sur la maladie d'Alzheimer, et 48,5 % sur les risques cardiaques.

En conclusion


Ce premier baromètre santé (qui sera renouvelé tous les trois ans) a permis de recueillir des informations riches, diverses et de cerner une partie des attentes des adhérents. En ce sens, la MGEFI, qui initie déjà un certain nombre d'actions de santé publique à destination de l'ensemble de ses adhérents, actifs et retraités, mettra en place courant 2013, un plan d'action enrichi par les conclusions de cette enquête

Le profil des répondants MGEFI

  • 59,2 % de femmes et 40,8 % d'hommes.
  • 51,5 % ont plus de 60 ans.
  • 48,2 % sont des actifs et 51,8 % sont des retraités.
  • 41 % sont titulaires de catégorie B, 33,2 % sont titulaires de catégorie C et 25,8 % sont titulaires de catégorie A et A+.
  • 73,1 % déclarent avoir un accès facile à internet.



* MFP Services est délégataire de la gestion du régime obligatoire d'assurance maladie obligatoire pour 21 mutuelles de la fonction publique, dont la MGEFI.

  • Focus
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    09 / 01 / 2023
Communiqué de presse - SANTE MENTALE, VACCINATION, COVID, ADDICTIONS… LES FONCTIONNAIRES FACE AUX ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE 
Interrogés sur les sujets de fonds de santé  publique (impact de la Covid 19, bien-être  mental,  vaccins,additions,alimentation et activité  physique... les fonctionnaires  lèvent le voile sur les problématiques de santé  rencontrées dans leur vie personnelle.
Perceptions, ressenti, attentes  et besoins des fonctionnaires  en matière de prévention  pour améliorer leur santé et identification des principaux  déterminants sur lesquels  il leur semble important  d'agir en priorité.

Recevoir  le communiqué  de  presse  de l'Urops
Patricia JAFFRÉ
Responsable  communication 
UROPS
09 70 17 31 85
pjaffre@urops-prevention.fr 

Bien-être au travail : 75% des agents de la Fonction Publique territoriale se déclarent satisfaits

Les principaux résultats du baromètre du bien-être au travail 2022

Chaque année depuis 2009, la MNT et La Gazette des communes publient le baromètre du bien-être au travail dans les collectivités locales. Les résultats de la 13e édition viennent de paraître ce lundi 7 novembre.

Publié le 8-11-2022

Santé, fatigue, stress, bien-être, rémunération, reconnaissance, télétravail, protection sociale… Ce baromètre a pour objectifs de mesurer, d’année en année, le ressenti des agents territoriaux sur leur bien-être et sur leurs conditions de travail, et d’apporter ainsi des clés aux collectivités sur les actions prioritaires à mener. Un peu plus de 4 700 agents, toutes catégories confondues (A, B et C), ont répondu, cette année, au questionnaire en ligne, du 29 août au 30 septembre 2022. Voici l’essentiel à retenir.

Service public

75 % des agents qui ont répondu à l’enquête sont satisfaits de travailler dans la fonction publique territoriale, notamment les agents de catégorie A (87 %). Ils étaient 79 %

. Et 85 % sont satisfaits de réaliser une mission de service public (83 % en 2021) : la grande majorité des agents sont donc toujours aussi fiers d’exercer leur métier !

75% des agents sont satisfaits de travailler dans la fonction publique territoriale

Stress

44 % des agents qui ressentent une pression excessive au travail déclarent mal gérer leur stress.

Rémunération

Comme en 2021, 27 % des agents jugent la rémunération comme l’élément le plus important pour leur épanouissement professionnel, devant l’équilibre vie professionnelle / vie personnelle (22 %), les relations avec les membres de leur équipe (14 %) et la reconnaissance (13 %).

Protection sociale

58 % des agents aimeraient pouvoir bénéficier d’une participation financière de la part de leur collectivité dans leur complémentaire santé (56 % en 2021). Et 84 % pensent que la réforme de la protection sociale complémentaire (PSC) des agents publics est prioritaire (87 % en 2021).

58% des agents souhaitent une participation financière à la complémentaire santé de la part de leur collectivité

En résumé

Cette année encore, les résultats de ce baromètre attestent la fierté des agents territoriaux à exercer une mission de service public. Mais ils montrent aussi, côté santé, que leur niveau de stress est toujours élevé, la fatigue physique et nerveuse a augmenté par rapport à l’année dernière. Malgré cela, pourtant, encore trop peu de collectivités mènent des actions de prévention auprès de leurs agents... Autres points à améliorer : la rémunération, la reconnaissance et les perspectives d’évolution professionnelle, toutes jugées trop faibles. Les agents territoriaux aimeraient bénéficier davantage d’engagements et de soutien financier de la part de leur collectivité (maintien de leur salaire, amélioration de la qualité de vie au travail, participation dans leur complémentaire santé, etc.).

Baromètre bien-être au travail 2022 - La Gazette - MNT
"Chiffres-clés du baromètre 2022 du bien-être au travail dans les collectivités locales"
1:25 | Baromètre bien-être au travail 2022 - La Gazette - MNT
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Communiqué de presse - SANTE MENTALE, VACCINATION, COVID, ADDICTIONS… LES FONCTIONNAIRES FACE AUX ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE 
Interrogés sur les sujets de fonds de santé  publique (impact de la Covid 19, bien-être  mental,  vaccins,additions,alimentation et activité  physique... les fonctionnaires  lèvent le voile sur les problématiques de santé  rencontrées dans leur vie personnelle.
Perceptions, ressenti, attentes  et besoins des fonctionnaires  en matière de prévention  pour améliorer leur santé et identification des principaux  déterminants sur lesquels  il leur semble important  d'agir en priorité.

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Patricia JAFFRÉ
Responsable  communication 
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dimanche 15 janvier 2023

C'est à lire 📚 Les enfants de Jaurès de Jean-Pierre Rioux

Résumé

vendredi 13 janvier 2023

The 4th International Hybrid Conference on Sublobar Resections & Evolving Techniques for Lung Cancer will be held in Paris, France on the 12th and 13th of January, 2023.

 
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Cette 4e conférence internationale s'est concentrée sur les différents aspects des résections sous-lobaires pour le cancer du poumon, des indications à la planification préopératoire et aux techniques chirurgicales avancées.

Ces journées ont abordé également les alternatives technologiques à la chirurgie des cancers lobaires ou sous-lobaires. La conférence fut une vraie "porte ouverte" sur un avenir plus que prometteur.

INTERVENANTS:

Walid ABID
Sfax, Tunisie

Patrick BAGAN
Argenteuil, France

Guillaume BODDAERT
Paris, France

Alan D. SIHOE
Hong Kong

Karel PFEUTY
Saint-Brieuc, France

Rossella POTENZA
Perugia, Italy

Robert J. CERFOLIO
New York, USA

Arya AMINI
Duarte, CA, USA

Jonathan VILLENA-VARGAS
New-York, USA

Stephen CASSIVI
Rochester, USA

Calvin SZE HANG NG
Hong Kong

Waël C. HANNA
Hamilton, Canada

Gening JIANG
Shanghai, China

Yaodong ZHOU
Shanghai, China

Suresh SENAN
Amsterdam, Netherland

René PETERSEN
Copenhagen, Denmark

Prasad S. ADUSUMILLI
New York, USA

Jean-Marc BASTE
Rouen, France

Nicolas GIRARD
Paris, France

Dominique GOSSOT
Paris, France

Kelvin LAU
London, UK

Shinya TANE
Kobe, Japan

Shun-Ichi WATANABE

👉En savoir + 

CONTACT
MC'Com Medical - Madinina Cox
+33 (0)6 35 31 40 90
+33 (0)4 87 77 18 01
contact@mc-com.fr

250 participants présents  physiquement et 100 à  distance.  Bravo pour cette belle  réussite  de l'institut du Thorax  Curie-Montsouris 


🤔 Les Questions, demandes de précisions ou commentaires  formulées par les lecteurs à la rédaction:  Pressentinelle2@gmail.com  seront redirigées vers les personnes  concernées par la rédaction  de Mine d'Infos. 



🔎ZOOM sur la nouvelle technique pour traiter certaines tumeurs pulmonaires  réalisée avec succès - IMM | Institut Mutualiste Montsouris

Une nouvelle technique pour traiter certaines tumeurs pulmonaires a été réalisée avec succès pour la 1ere fois en France au bloc hybride de l’IMM le 6 décembre dernier.
L’intervention a réuni les équipes de chirurgie thoracique, d’imagerie interventionnelle, de pneumologie et d’oncologie, qui ont conjugué leurs expertises en navigation et en traitement micro-ondes pour proposer ce traitement minimalement invasif à une patiente présentant une lésion métastatique pulmonaire. Tout s’est parfaitement déroulé et la patiente a pu quitter l’hôpital dès le lendemain.

Un grand bravo à toute l’équipe !

« Le principe de la technique de thermo-ablation par micro-ondes est l’administration locale d’une énergie induisant une élévation de température, qui entraine une mort cellulaire irréversible », explique le Dr Agathe Seguin-Givelet, responsable du département de chirurgie thoracique, qui a coordonné la mise en œuvre de cette technique dans le cadre de l’Institut du Thorax Curie Montsouris.

L’objectif est de porter à haute température un volume contenant l’intégralité de la lésion, ainsi qu’une marge de sécurité. Cette intervention peu invasive est réalisée sous anesthésie générale. Elle est utilisée pour la destruction de certaines tumeurs du foie, du rein et du poumon. Son efficacité est reconnue, mais l’approche actuelle, dite « percutanée » (c’est-à-dire à travers la peau), peut entrainer des complications : hémorragies, pneumothorax, fistules broncho-pleurales.

Le développement d’une nouvelle voie d‘accès par l’intérieur des bronches permet de diminuer le risque de survenue de ces complications, offrant ainsi plus de sécurité aux patients. Elle se pratique en amenant la sonde d’ablation par les voies naturelles de l’arbre respiratoire : c’est cette technique qui a été mise en œuvre pour la première fois en France à l’IMM le 6 décembre dernier.

Jusqu’à présent, seuls les services de chirurgie thoracique de l’hôpital St Barts à Londres (Pr K Lau) et le service de chirurgie thoracique de l’hôpital Prince of Wales Hospital, à Hong Kong, avaient réalisé de telles procédures avec le même dispositif et publié des résultats très encourageants.

L’ablation par micro-ondes peut être proposée chez des patients présentant une tumeur du poumon primitive ou métastatique de petite taille, lorsqu’un traitement classique comme la chirurgie ou la radiothérapie ne peut être effectué.



C'est à lire : 321 choses incroyables à connaître sur L'HISTOIRE

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"321 choses incroyables à connaître sur l'histoire":
MATHILDA MASTERS , LOUIZE PERDIEUS , GUILLAUME DENEUFBOURG : CATHERINE TRON-MULDER
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Avec cette encyclopédie très très cool, l'histoire du monde n'aura plus aucun secret pour toi.

Tu tiens entre tes mains l'encyclopédie la plus cool du monde.

L’homme de Néandertal, les dieux grecs, Jeanne d’Arc, la Révolution française, la Première Guerre mondiale… tu connais ça sur le bout des doigts, non ?
Mais sais-tu que le big bang n’a pas vraiment fait « BANG ! » ?
Que la sueur de gladiateur faisait office de produit de beauté pour les Romaines ?
Que Charlemagne possédait un éléphant de compagnie ?
Qu’il a fallu attendre le XXe siècle pour pouvoir voler ?
Et Gandhi pour prouver qu’on pouvait se battre sans violence ?

321 infos essentielles et insolites pour être incollable sur les événements, les découvertes, les inventions et les personnalités qui ont marqué l'histoire du monde.

EN SAVOIR  PLUS
Mathilda Masters est exploratrice. Son métier ? Partir à la découverte de nouveaux continents et pays. Une tâche ardue, car la plupart sont déjà connus. Elle est incollable dans presque tous les domaines.

Louize Perdieus est une illustratrice au talent prometteur et au trait plein d’humour. C’est une passionnée de nature, très douée pour dessiner plantes et animaux.

Leurs ouvrages 321 choses incroyables à connaître avant d'avoir 13 ans et 123 choses urgentes à connaître sur le climat sont publiés chez La Martinière jeunesse.

📖 Un livre à conseiller  également aux parents...  Mon conseil lisez l'ouvrage avant de l'offrir pour ne pas vous faire coller par votre enfant...
Nora ANSELL-SALLES 

jeudi 12 janvier 2023

SANTE MENTALE, VACCINATION, COVID, ADDICTIONS… LES FONCTIONNAIRES FACE AUX ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE.

Nous avons le plaisir de vous adresser le communiqué de presse d’Urops (Union du Régime Obligatoire en Prévention Santé) : SANTE MENTALE, VACCINATION, COVID, ADDICTIONS… LES FONCTIONNAIRES FACE AUX ENJEUX DE SANTE PUBLIQUE.

Interrogés sur les sujets de fonds de santé publique – impact de la Covid 19, bien-être mental, vaccins, addictions, alimentation et activité physique … Les fonctionnaires lèvent le voile sur les problématiques de santé rencontrées dans leur vie personnelle et professionnelle. Perceptions, ressenti, attentes et besoins des fonctionnaires en matière de prévention pour améliorer leur santé et identification des principaux déterminants sur lesquels il leur semble important d’agir en priorité.

Patricia JAFFRÉ
Responsable communication

Contact
Patrick JAFFRÉ
Téléphone : 09 70 17 31 85
pjaffre@urops-prevention.fr



 

 

Le regard de Guy VALLANCIEN

REACTIONS


Le regard du professeur Guy  VALLANCIEN 

Système  de santé  à l'agonie
Le docteur Macron a posé  le bon diagnostic  et prescrit le traitement adéquat. 
La ressucitation est en route. Il était temps !
Ça va chauffer fort pour certains  planqués et autres réfractaires  qui ne veulent  pas s'adapter  à  de nouvelles pratiques et organisations.

Pour les autres, avançons  vite, publics et privés  ensemble, pour bâtir  un système de prévention, de soins et de réhabilitation qui épouse enfin son siècle. 

👉A LIRE SUR LE MÊME SUJET 





Voeux d'Emmanuel Macron aux professionnels de la santé : réaction de l'UFML syndicat


Communiqué de presse
Paris, le 7 janvier 2023
Vœux du président, Emmanuel Macron aux professionnels de santé :
destruction programmée de la médecine libérale.
Après plusieurs mois d’alertes lancées par les médecins libéraux autour de l’effondrement de la
médecine libérale en lien avec les politiques sanitaires successives, l’UFMLS attendait du Président de
la République, une écoute et une prise de conscience de l’effondrement en cours du système
sanitaire. Tel n’a pas été le cas. Le Président Macron a dit en préambule de son discours que le
diagnostic posé en 2018, lors de la présentation de « ma santé 2022 »avait été le bon et qu’il fallait
aller « plus vite et plus fort ».
Pendant plus d’une heure, il a présenté des actions déjà existantes ou en cours de mises en place,
comme des faits nouveaux, en une course folle au renforcement de l’échec de sa politique sanitaire.
Présenter le financement de 10 000 assistants médicaux comme une solution aux difficultés d’accès
aux soins des Français liés à la pénurie de médecins libéraux est symbolique de cette absence totale
d’écoute des professionnels de santé, de connaissances de leurs exercices et de leurs difficultés. Pour
l’UFML-S c’est chaque médecin libéral qui doit bénéficier de l’aide d’un ou plusieurs assistants et
c’est leur exercice qui doit leur permettre (comme leurs collègues dentistes) de les salarier. Le
modèle subventionné est le faux nez d’une absence de volonté d’investir et de développer la
médecine libérale.
Alors que la crise est immense, le président, joue petit bras et ne met rien en œuvre pour la
résoudre! Dès lors, parler de « pacte de droits et devoirs » pour la médecine libérale sonne creux…
Les gardes sont pourvues sur 95% du territoire. Et s'il est un devoir urgent, indispensable,
incontournable, c’est celui de l’investissement dans la médecine libérale. Ce devoir, c’est celui du
Président et de son gouvernement. Ils ne le remplissent pas!
S’il est un droit urgent, indispensable, incontournable, c’est celui des Français à bénéficier d’une
médecine libérale en capacité de leur offrir en tout lieu, une médecine humaine, moderne et de
haute technicité. Celle-ci est rendue impossible par les choix présidentiels.

La généralisation du SAS, proposée comme solution est déjà en cours et se heurte aux manques de
médecins régulateurs et de médecins effecteurs, au regard de la pression constante de la demande
de soins sur les cabinets libéraux. L’accélération annoncée sur les délégations d’actes est, tant sur la
forme que sur le fond du discours, une insulte aux médecins libéraux et un mépris de la médecine
qu’ils exercent.
« Les Français devront avoir recours à d’autres professionnels pour renouveler leurs ordonnances pour
des maladies chroniques , pour le dépistage »
Mais qui conseille notre Président ? Y a-t-il seulement quelqu’un ? Le renouvellement d’ordonnance,
c’est la médecine libérale vue depuis le comptoir du Balto! C’est une médecine presse-bouton, une
médecine de bon à tirer, qui n’existe que dans les fantasmes de celles ou ceux qui voient les
médecins comme leur petit personnel, là pour leur délivrer sans réfléchir ce qu’ils sont venus
chercher. Cette déclaration laisse à penser que c’est sa vision de la médecine libérale et de la
médecine générale en particulier.
« Beaucoup de généralistes devraient déléguer deux ou trois ordonnances par an à l’infirmier référent
ou au pharmacien référent ».
Au-delà du concept très Macronien du doigt mouillé, cette vision jupitérienne de l’exercice médical
libéral est d’une naïveté confondante. Elle valide son absence totale de connaissance de ce qu’est la
pratique médicale. Il n’y a pas de renouvellement d’ordonnance! Une ordonnance est réévaluée, le
patient réexaminé, son traitement discuté, mesuré, modifié si il y a lieu, en fonction de ses effets, des
événements, de la clinique, du moment…
Nous affirmons que parler de « renouvellement d’ordonnance » est une insulte faite aux médecins.
Parler de deux ou trois ordonnances à « déléguer » à un infirmier ou un pharmacien référent est une
idée déconnectée de la réalité de la pratique, une absurdité !
Pour lui, le dialogue entre médecins et paramédicaux permettra de trouver « la bonne fréquence »
« S’ils sont malins, ils délèguent aux paramédicaux…les actes qui ont le moins de valeurs »
Le président évolue manifestement dans une dimension qui lui est propre… Ce dialogue est constant,
mais jamais cette question ne sera abordée, parce qu’elle n’a pas lieu de l’être, à moins de vouloir
attenter à la qualité de la médecine … Parler d’êtres « malins » et de déléguer à d’autres des actes de
« moins de valeurs » est indigne de la fonction présidentielle. C'est l’expression, la encore, d’un
profond mépris à l’égard de celles et ceux qui portent le soin.
Plus grave encore: le Président déclare « le médecin traitant doit être la porte d’entrée, mais pas le
verrou de notre système. D’ici à la fin de l’année, 600 000 patients en affections de longue durée se
verront proposer un médecin traitant ou plus exactement une équipe de référence »
il pulvérise le concept de médecin traitant, pour une dilution de la responsabilité au sein d’une
équipe. En médecine, la dilution de la responsabilité est dangereuse. Il avoue ici sa vision des
communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS). En effet le maillage complet du
territoire national par les CPTS est prévu fin 2023 dans la lettre de cadrage du ministre de la Santé
François Braun au directeur de l’assurance maladie. Or, une de leurs missions régaliennes est de fournir un médecin traitant à chaque patient! « In vitro », sur le papier, le problème est donc résolu!
Sauf que, le nombre de médecins n’a pas augmenté (ce n’est pas la volonté Macronienne) et que
tous les médecins libéraux, ne sont pas dans les CPTS! Pour répondre à cet engagement impossible, il
change les règles du jeu, et pulvérise le concept de médecin traitant pour un concept fumeux et
brinquebalant : l’équipe traitante!
Quelques points positifs :
La question de l’importance des rendez-vous non honorés qui reçoit l’onction présidentielle.
Cependant quid de la possibilité de leur facturation?
Le management bicéphale, est une demande de l’UFML-S depuis des années, qui ne marchera,
rappelons le ici, que si le représentant des soignants est élu par ses pairs et si chacune des deux
parties à un droit d’opposition lors de toute décision.
Et … rien d’autre… La question de la suppression de la TAA date du discours de Nevers en septembre
2018, l’aménagement des 35 h à l’hôpital ou le paiement des heures supplémentaires sont des sortes
de monstres du loch Ness que beaucoup connaissent, mais dont personne n’a jamais à ce jour pu
vérifier l’existence!
Après avoir entendu ce discours, les médecins libéraux sont sûrs de plusieurs choses:
▪ Le président de la République ne les connaît pas, ne les entend pas, et n’a, à l’évidence, aucune
volonté d’écouter leurs problématiques.
▪ Il veut ubériser la médecine libérale, changer le paiement à l’acte pour plus de forfaits et autres
modes de rémunérations, diluer la responsabilité médicale et faire disparaitre l’existence du médecin
traitant.
▪ Le président de la République ne fait pas le choix du développement de la médecine libérale,
médecine pourtant moins couteuse et plus proche du patient, et n’aborde pas une fois dans son
discours, la moindre volonté de développer les installations en médecine libérale.
▪ Le Président de la République poursuit plus vite et plus fort, des réformes en échec depuis 2018.
▪ Il fait le choix de la confrontation et d’un conflit dur avec les médecins libéraux
L’UFML-S en prend acte, et prend acte du sabotage présidentiel des négociations conventionnelles.
Nous mettrons toute notre énergie à poursuivre le mouvement engagé avec collectifs et syndicats
de médecins libéraux.
Nous présenterons, dans quelques jours, à la presse, les résultats d’un travail engagé depuis
plusieurs semaines à l’opposé des choix présidentiels, en faveur de l’investissement large dans la
médecine libérale, d’une amélioration de la santé publique et d’un gain économique pour le pays.
Relations presse :
Laurent Payet /Sagda Draz/ Langage et Projets Conseils
laurent@lp-conseils.com / sagda@lp-conseils.com/ 01 53 26 42 10 / 06 89 95 48 87
UFML syndicat : le syndicat de l'union française pour une médecine libre


   

mercredi 11 janvier 2023

Retraites : première journée de mobilisation le 19 janvier 2023


Retraites : première journée de mobilisation le 19 janvier 2023
La Première ministre a annoncé ce 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale. Attachées à un meilleur partage des richesses, les organisations syndicales n’ont eu de cesse pendant la concertation avec le gouvernement de proposer d’autres solutions de financement, à commencer par l’amélioration de l’emploi des seniors. Jamais le gouvernement, arc-bouté sur son projet, ne les a étudiées sérieusement.

Suite à l’annonce de la réforme gouvernementale, toutes les organisations syndicales se sont immédiatement réunies pour construire une réponse commune de mobilisation interprofessionnelle. Celle-ci prendra la forme d’une première journée de grèves et de manifestations le 19 janvier 2023.

Parce qu’elles représentent l’ensemble des travailleurs et des travailleuses, demandeurs et demandeuses d’emploi, et retraités, c’est cette date syndicale qui donne le départ d’une puissante mobilisation sur les retraites dans la durée.

Elles décident d’ores et déjà de se réunir le 19 janvier au soir avec les organisations de jeunesse pour prolonger le mouvement de mobilisation et convenir d’autres initiatives.

Les organisations syndicales appellent les salarié.es à se mobiliser fortement dès cette première journée dans l’ensemble du territoire et à participer aux différentes initiatives organisées en intersyndicale.

© Force Ouvrière — 2023

Académie de Pharmacie : séance solennelle de rentrée

Le nouveau Bureau entrera officiellement en fonction après sa présentation lors de la séance solennelle de rentrée , MERCREDI 11 JANVIER 2022


👉Un nouveau secrétaire perpétuel, Frédéric BASSI 

PROFIL

Frédéric BASSI
Secrétaire perpétuel 2023-2026


Pharmacien 

J’ai la lourde tâche de succéder à Liliane Grangeot-Keros dans une fonction qui représente à la fois pour moi, jeune élu dans cette vénérable académie, une mission et un défi : poursuivre l’œuvre de mes prédécesseurs en respectant la tradition académique tout en insufflant à l’institution la dose de modernité indispensable à sa visibilité et à son rayonnement en France, en Europe et à l’international. Je m’engage pour les trois années à venir à mettre mon expérience professionnelle et aussi personnelle au service d’une académie encore plus ouverte, dynamique et en phase avec le quotidien de la population.

63 ans

Titres universitaires
1983 Docteur en Pharmacie (Faculté de pharmacie de Nantes)
1986 Diplôme IIIème cycle Groupe ESC Nantes (Audiencia)

Expérience professionnelle
2008 – 2022 : Pharmacien responsable - co-gérant. Directeur Affaires pharmaceutiques Europe Bristol-Myers Squibb 
2006 – 2008 : Directeur général. Directeur Affaires pharmaceutiques Europe. Alexion Europe (société de Biotechnologie spécialisée dans les maladies orphelines)
2001 – 2006 : Pharmacien responsable - DG. Directeur Affaires pharmaceutiques Bayer Pharma
1995 – 2000 : Responsable Accords et Licences – Affaires économiques Bayer Pharma / Bayer SA
1990 – 1994 : Responsable Service Études de marché Bayer Pharma 
1988 – 1990 : Chargé d’études (service études de marché) Bayer Pharma
1987 - 1988 : Chargé d’études – Visiteur Médical Laboratoire Upjohn 
1981 – 1984 : Animateur-conférencier Planétarium Ville de Nantes 

Parcours institutionnel
Ordre des Pharmaciens
Elu conseiller ordinal, section B, en 2009
Président de la section B (industrie) de juin 2015 à juin 2022 
Depuis 2015 : conférencier Chaire Santé ESSEC (GdePouvourville/ D Delval-JM Peny) « responsabilité pharmaceutique » 

Académie Nationale de Pharmacie 
Élu Membre Correspondant en Sept 2015 puis Membre Titulaire en juin 2022 
 
Secrétaire adjoint  
Jean-Marc GROGNET

Docteur en pharmacologie moléculaire

Directeur délégué aux actions stratégiques en santé, Direction de la recherche fondamentale au CEA après avoir dirigé le Génopole (2017-2020)



                   &

👉Un nouveau président : Bruno BONNEMAIN

PROFIL

Frédéric BASSI
Secrétaire perpétuel 2023-2026


Pharmacien 

J’ai la lourde tâche de succéder à Liliane Grangeot-Keros dans une fonction qui représente à la fois pour moi, jeune élu dans cette vénérable académie, une mission et un défi : poursuivre l’œuvre de mes prédécesseurs en respectant la tradition académique tout en insufflant à l’institution la dose de modernité indispensable à sa visibilité et à son rayonnement en France, en Europe et à l’international. Je m’engage pour les trois années à venir à mettre mon expérience professionnelle et aussi personnelle au service d’une académie encore plus ouverte, dynamique et en phase avec le quotidien de la population.

63 ans

Titres universitaires
1983 Docteur en Pharmacie (Faculté de pharmacie de Nantes)
1986 Diplôme IIIème cycle Groupe ESC Nantes (Audiencia)

Expérience professionnelle
2008 – 2022 : Pharmacien responsable - co-gérant. Directeur Affaires pharmaceutiques Europe Bristol-Myers Squibb 
2006 – 2008 : Directeur général. Directeur Affaires pharmaceutiques Europe. Alexion Europe (société de Biotechnologie spécialisée dans les maladies orphelines)
2001 – 2006 : Pharmacien responsable - DG. Directeur Affaires pharmaceutiques Bayer Pharma
1995 – 2000 : Responsable Accords et Licences – Affaires économiques Bayer Pharma / Bayer SA
1990 – 1994 : Responsable Service Études de marché Bayer Pharma 
1988 – 1990 : Chargé d’études (service études de marché) Bayer Pharma
1987 - 1988 : Chargé d’études – Visiteur Médical Laboratoire Upjohn 
1981 – 1984 : Animateur-conférencier Planétarium Ville de Nantes 

Parcours institutionnel
Ordre des Pharmaciens
Elu conseiller ordinal, section B, en 2009
Président de la section B (industrie) de juin 2015 à juin 2022 
Depuis 2015 : conférencier Chaire Santé ESSEC (GdePouvourville/ D Delval-JM Peny) « responsabilité pharmaceutique » 

Académie Nationale de Pharmacie 
Élu Membre Correspondant en Sept 2015 puis Membre Titulaire en juin 2022 
 
Secrétaire adjoint  
Jean-Marc GROGNET

Docteur en pharmacologie moléculaire

Directeur délégué aux actions stratégiques en santé, Direction de la recherche fondamentale au CEA après avoir dirigé le Génopole (2017-2020)



En savoir plus: 
Nicole PRIOLLAUD
Chargée de la communication
Académie nationale de Pharmacie


📚 C'est à lire: "Le Café du Centre" de Eric Bohème

Un homme bouleverse la vie d’une petite ville 
du Cher en posant des questions 
sur la période de l’Occupation.
Lorsque, en cette soirée d’automne finissant, un voyageur pousse 
la porte du Café du Centre, Henri, le patron, est loin de se douter 
que cet homme n’est pas arrivé dans sa bourgade par hasard. 
Les jours passent et celui que l’on surnomme bientôt « l’Inconnu » reste 
très mystérieux sur le motif de son séjour. Mais lorsqu’il commence 
à poser des questions sur les agissements des uns et des autres 
durant l’Occupation, le quotidien des habitants de cette petite 
ville du Berry s’en trouve rapidement bousculé, faisant la lumière 
sur des relations bien plus complexes qu’il n’y paraît.
Au travers des personnalités qui se retrouvent au Café du Centre, 
attachantes par leurs défauts et leurs faiblesses, ce roman décrit 
avec générosité une communauté villageoise des années 1970 tiraillée 
entre la modernité et le souvenir des drames de la Seconde Guerre 
mondiale.
Le Café du Centre, Eric Bohème

🔎ZOOM SUR L' AUTEUR
Eric Bohème
partage son temps entre le Berry, la Côte d’Ivoire 
et… bien d’autres pays, en bon bohémien. 
Son premier roman, Zone 4, a rencontré un franc 
succès auprès du public. Revisitant ses racines 
berrichonnes, ses textes ultérieurs renvoient 
à un univers provincial qu’il décrit avec originalité 
et sensibilité.
15x23 cm 19,50 €
19 janvier 2023

✒️ Avis de la rédaction  de Mine d'Infos 
A venir après lecture de l'ouvrage....

mardi 10 janvier 2023

#ÇaBougeDansle17ème : Journée Portes Ouvertes

         🎬 Clip tiktok

Passionnés par la cuisine, la boulangerie, la pâtisserie, la chocolaterie, le service  ou encore l'hôtellerie ?

L' EMPT* vous ouvre ses portes le samedi  4 février de 9H à 17H.

Venez découvrir les métiers  de l'hôtellerie-restauration.



* Les métiers auxquels prépare l’EPMT sont aussi bien féminins que masculins. L’emploi du masculin pour désigner des personnes, des métiers, des fonctions … n’a d’autre finalité que celle de fluidifier la lecture et n’a donc aucune intention discriminatoire, conformément aux valeurs d’égalité et de mixité portées par l’EPMT. 


dimanche 8 janvier 2023

A regarder absolument : Les rencontres du Papotin

La rédaction du Papotin fait sa rentrée à la sur France 2 pour des interviews bienveillantes & atypiques, à l'image de ses journalistes.

🎬 Les Rencontres du "Papotin" sont tournées à l'Institut du monde arabe.

France 2  diffuse Les rencontres du Papotin depuis  la rentrée. Le journal existe depuis plus de 30 ans et est écrit et édité par personnes autistes.

Huit numéros de 40 minutes

C’est le comédien Gilles Lellouche qui fut le premier invité de l’émission Les rencontres du Papotin. Diffusé durant la saison 2022-2023 sur France 2, ce programme comptera au total huit numéros de 40 minutes. Comme le veut le concept du journal, ce sont des journalistes atteints de troubles autistiques qui mènent les interviews.

GILLES  LELLOUCHE 

JULIEN DORÉ 
CAMILLE COTTIN

Le Papotin est un journal créé en 1990 par Driss El Kesri, éducateur au sein de l'hôpital de jour d'Antony (Hauts-de-Seine). Mais Remontons le temps


Emmanuel Macron face à la rédaction du Papotin

Pour cette quatrième émission, les journalistes du Papotin ont invité le président de la République à répondre à leurs questions sans filtre dans le cadre habituel de l'émission.

Après Gilles Lellouche, Camille Cottin et Julien Doré, Emmanuel Macron s’est prêté au jeu de cette interview atypique, évoquant pèle-mêle sa vie personnelle, son goût pour la poésie mais aussi ses appréhensions en tant que président. Comme lors des précédentes « Rencontres du Papotin », on découvre un portrait sincère et inédit de l’invité. « On peut tout dire au Papotin » même avec un Président de la République !

Depuis la création du journal Le Papotin, il y a plus de 30 ans, la rédaction a interviewé des personnalités de tous horizons : comédiens, chanteurs, artistes, écrivains, réalisateurs, hommes politiques... Après Jacques Chirac en 2002 et Nicolas Sarkozy en 2015, Emmanuel Macron est le troisième président à rencontrer cette rédaction atypique.

Quand les journalistes du Papotin reçoivent 
Emmanuel Macron pour une interview pas comme les autres...
Nota: le Papotin  avait déjà  interviewé à  l'Elysée Jacques Chirac en 2002 et Nicolas  Sarkozy  en 2015.

Créé il y a 30 ans, la rédaction  du Papotin  compte pas moins d'une quarantaine  de journalistes atypiques  âgés de 14 à 50 ans.


✒️Très  bonne  année  2023 à l'ensemble  de la rédaction  du Papotin. 
Bravo  pour la qualité  de vos interwievs.
Au plaisir  de relayer  au fil de l'année  vos actualités. 
Bien confraternellement 
Nora ANSELL-SALLES 
Mine d'Infos 
Pressentinelle2@gmail.com 

FAITES CONNAÎTRE  VOUS AUSSI  LES RENCONTRES DU PAPOTIN  EN LES PARTAGEANT :