Nora ANSELL-SALLES

mercredi 14 janvier 2015

Bernard Jomier annonce des Etats généraux Parisiens de la PMI et de la naissance

 

Bernard Jomier, adjoint à la Maire de Paris, a annoncé mercredi le lancement des états généraux de la PMI et de la naissance lors d’une visite au Centre de Protection maternelle et infantile (PMI) Claude Decaen (12e).

« Nous allons mener une concertation approfondie tout au long de l’année 2015, année durant laquelle nous célèbrerons les 70 ans de la création de la PMI », a annoncé mercredi Bernard Jomier, adjoint à la Maire en charge de la santé, du handicap et des relations avec l’AP-HP, lors d’un dialogue avec les personnels du Centre de Protection maternelle et infantile (PMI) Claude Decaen, dans le 12e arrondissement.

La protection maternelle et infantile est un service de prévention et de promotion de la santé à destination des mères et des jeunes enfants créé en 1945 pour lutter contre la mortalité infantile alors très forte. Aujourd’hui la PMI est un appui reconnu par les familles et un outil de réduction des inégalités sociales de santé.

Les Etats généraux lancés aujourd’hui « visent à conforter les centres parisiens de PMI dans leurs actions de prévention, d’accompagnement de la grossesse et de la naissance et pour l’accès aux soins des enfants et des jeunes dans la capitale. C’est une démarche de démocratie sanitaire qui associe personnels, professionnels des secteurs de la santé, acteurs du champ de la santé, familles usagères des PMI », a détaillé l’adjoint.

Ils seront co-pilotés par un ensemble de professionnels, d’usagers et de représentants d’associations, parmi lesquels Mme Christiane Basset, auteure d’un avis reconnu du Conseil économique, social et environnemental, sur les PMI.

Les objectifs de la démarche sont :

 
  • d’améliorer l’offre de services de la PMI, pour toutes les familles et tout particulièrement à destination des plus en difficulté ;
  • de renforcer l’efficacité des liens avec les professionnels de l’AP-HP, ASE, CAMPS, LEAP, médecins de ville… et améliorer la lisibilité des actions ;
  • de développer l’accessibilité aux soins, cerner l'efficience du service de PMI, sa place et son évolution dans l'offre de santé sur les territoires parisiens ;
  • de construire des parcours de santé pour la mère et l’enfant autour de la naissance, et pour les jeunes autour de la sexualité ;
  • d’enrichir la réflexion des professionnels de PMI pour définir les évolutions nécessaires de leur travail et leurs priorités, et conforter le sens de leurs interventions grâce aux échanges avec les usagers et les partenaires.

5 ateliers réuniront des personnalités qualifiées autour de trois axes :

 
  • le parcours de santé autour de la naissance (conditions d’un suivi de proximité et de qualité des femmes enceintes / Parcours de santé des jeunes enfants) ;
  • le parcours de santé des jeunes ;
  • la PMI dans le territoire (indicateurs et partenariats)

Les travaux des ateliers débuteront dès janvier, avec une première restitution le 31 mars, au cours d’un débat participatif avec tous les partenaires concernés. Ils aboutiront d’ici la fin du mois de juin à des fiches actions et recommandations soumises au débat public. Une grande journée de présentation des recommandations issues des Etats généraux sera organisée début novembre, à l’occasion de l’anniversaire des 70 ans de la PMI.


Pour vous désinscrire de
notre liste de diffusion
cliquez ici
Service de presse de la Ville de Paris
presse@paris.fr - 01.42.76.49.61
5, rue Lobau 75004 Paris

MINE D'INFOS: Traiter l’hypertension pour se prémunir des risque...

MINE D'INFOS: Traiter l’hypertension pour se prémunir des risque...: Une fois n'est pas coutume  voici une info qui date du mois dernier mais qui ne manque pas d'intérêt Automesure, « la règ...

Traiter l’hypertension pour se prémunir des risques de troubles de la mémoire et de la maladie d’Alzheimer

Une fois n'est pas coutume
 voici une info qui date du mois dernier
mais qui ne manque pas d'intérêt


Automesure, « la règle des 3 »



Dans la semaine qui précède une visite médicale pour le suivi de l’HTA, il est conseillé d’effectuer au calme, après un repos de quelques minutes, en position assise :

« Quand l’hypertension fait perdre la tête »

Traiter l’hypertension pour se prémunir des risques de troubles de la mémoire et de la maladie d’Alzheimer

– 3 mesures avant le petit-déjeuner

Journée Nationale de Lutte contre l’Hypertension Artérielle

– 3 mesures le soir avant le coucher

– 3 jours de suite.

Jeudi 18 décembre 2014



A l’occasion de la Journée Nationale de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (HTA), le 18 décembre, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) et ses partenaires lancent leur nouvelle campagne « Quand l’hypertension fait perdre la tête », relayée sur le site www.comitehta.org. Elle a vocation à alerter les patients sur l’altération des artères du cerveau provoquée par l’hypertension artérielle, le diabète, l’hypercholestérolémie, le surpoids ou encore le tabagisme et sur l’importance de les protéger. Les deux conséquences vasculaires principales sont l’augmentation des risques de survenue d’accident vasculaire cérébral (AVC) et la perte de mémoire (maladie d’Alzheimer). Chaque année, 130 000 accidents vasculaires cérébraux sont favorisés par l’HTA dans notre pays constituant une des premières causes de handicap1.




1 www.comitehta.org


2 FLAHS 2014 (French League Against Hypertension Survey) : baromètre de l’hypertension en France réalisé par Kantar Health à la demande du CFLHTA – échantillon de 3562 sujets âgées de 35 ans et plus – enquête réalisée en octobre 2014 en France métropolitaine.

3 La pression artérielle est inférieure à 135 mm de mercure pour la pression systolique et inférieure à 85 mm de mercure pour la pression diastolique dans les conditions d’une mesure en automesure.

4 Didier DUHOT, Luc MARTINEZ, Pierre FERRU, Olivier KANDEL, Bernard GAVID, « Prévalence de l’hypertension artérielle en médecine générale », La revue du praticien - médecine générale, tome 16, n° 562, février 2002.



5 ABARTHE G., 2004, « Les consultations et visites des médecins généralistes, un essai de typologie », Études et Résultats, n° 315, juin, Drees.

Par ailleurs, d’après la dernière étude FLAHS 2014 sur l’hypertension en France réalisée par Kantar Health à la demande du Comité Français de la Lutte contre l’HyperTension Artérielle (CFLHTA), 30 % de la population française âgée de 35 ans et plus est traitée par un médicament antihypertenseur soit 11,4 millions de personnes2 ; ce chiffre n’a pas évolué depuis la dernière étude FLAHS en 2012. A noter que seulement 49% des hypertendus traités sont contrôlés2,3, loin derrière l’objectif 2015 de traiter et de contrôler 70% de patients hypertendus fixé par le CFLHTA, la Société Française d’Hypertension Artérielle (SFHTA), la Société Française de Gériatrie et de Gérontologie (SFGG) et la Direction Générale de la Santé (DGS).



Environ 1 personne hypertendue sur 2 est contrôlée par le traitement²

Les résultats de l’étude FLAHS 2014 révèlent que le nombre de personnes traitées pour hypertension artérielle n’a pas évolué depuis 2012. En effet, 30% de la population âgée de 35 ans et plus suit un traitement antihypertenseur². « 70% des hypertendus sont âgés de plus de 60 ans et la proportion des sujets très âgés augmente car la prévention et le traitement des maladies cardiovasculaires s’améliorent encore en France », explique le Professeur Xavier Girerd, cardiologue au CHU de la Pitié-Salpêtrière, trésorier du CFLHTA. L’hypertension artérielle reste la principale maladie chronique en France et demeure le premier motif de consultations en médecine générale4. Près de 41 millions de consultations annuelles sont liées à l’hypertension artérielle5.

Autre point marquant de cette étude FLAHS 2014 : 49% des personnes hypertendues et traitées sont contrôlées par une mesure à domicile, en France, en 2014². « Le contrôle tensionnel est plus que jamais un axe prioritaire pour améliorer l’état sanitaire de la population et atteindre 70% des hypertendus traités et contrôlés en 2015 », affirme le Professeur Jean-Jacques Mourad, hypertensiologue, Hôpital Avicenne-Bobigny, Past-président du CFLHTA.

Entre 35 et 64 ans, la présence d’une hypertension artérielle augmente le risque de développer la maladie d’Alzheimer de 61%7



L’hypertension artérielle, un des facteurs responsables des troubles de la mémoire

Les résultats de l’étude FLAHS 2014 réalisée par Kantar Health à la demande du CFLHTA indiquent que :

 11% de la population âgée de 35 ans et plus présentent un trouble de la mémoire qui justifierait un bilan²,



 le trouble de mémoire est observé chez 21% des sujets de plus de 75 ans²,

 chez les sujets ayant fait un AVC, le trouble de mémoire est noté chez 34% des sujets,

 chez les sujets ayant un bon contrôle de leur pression artérielle à leur domicile, on note 30% de moins de troubles de la mémoire que chez les sujets dont la pression artérielle est élevée.

La prise en charge et le traitement de l’hypertension artérielle peuvent réduire significativement le risque de survenue des troubles de la mémoire et de la maladie d’Alzheimer. « La baisse de la pression artérielle par un traitement hypertenseur peut réduire de 50% le risque de troubles de la mémoire, d’où l’intérêt de traiter l’hypertension en veillant à ce que la tension artérielle reste dans des valeurs normales6 », affirme le Professeur Olivier Hanon, chef de service de gérontologie à l’hôpital Broca, Paris, Président de la Société Française de Gériatrie et de Gérontologie (SFGG). « De nos jours, soigner son hypertension artérielle représente le premier traitement préventif des troubles de la mémoire et de la maladie d’Alzheimer », insiste le Pr Olivier Hanon.



6 Pression artérielle inférieure à 140/90 millimètres de mercure au cabinet médical

7 Norton S, Matthews FE, Barnes DE, Yaffe K, Brayne C. Potential for primary prevention of Alzheimer's disease: an analysis of population-based data. Lancet Neurol. 2014 Aug;13(8):788-94.



L’étude FLAHS 2014 apporte un éclairage complémentaire sur le lien entre les troubles de la mémoire, l’AVC, les maladies cardiovasculaires et la maladie d’Alzheimer. En effet, un trouble de la mémoire qui justifierait un bilan est présent parmi :

 18% des personnes qui ont un antécédent familial d’Accident Vasculaire Cérébral (AVC)² ; 34% pour ceux ayant été eux-mêmes victimes d’un AVC², soit 3 fois plus fréquent que chez ceux qui n’ont pas fait d’AVC,

 19% ayant eu un antécédent familial de maladie d’Alzheimer²,

 24% des personnes ayant eu une maladie cardiovasculaire².

Pour « préserver sa mémoire et son cerveau », il faut bien contrôler sa pression artérielle et ses facteurs de risque vasculaire.

Hypercholestérolémie, diabète, obésité, inactivité physique et tabagisme directement impliqués dans les troubles de la mémoire et la maladie d’Alzheimer

L’hypertension artérielle n’est pas le seul facteur pouvant altérer les artères et augmenter les risques de survenue d’AVC, de pertes de mémoire et de maladie d’Alzheimer. Par exemple, la présence, entre 35 et 64 ans, d’une hypertension artérielle augmente le risque de développer la maladie d’Alzheimer de 61%7 ; d’un diabète de 46%7 ; d’une obésité de 60%7 ; d’une inactivité physique de 82%7 et d’un tabagisme de 59%7. Pour autant, des études récentes ont montré que la prise en charge et le traitement de ces facteurs de risque vasculaire réduisaient significativement les risques de survenue de troubles de la mémoire et notamment de la maladie d’Alzheimer8.

« Dépister ces facteurs de risque vasculaire et les prendre en charge représentent, par conséquent, une action de prévention de « bonne santé cérébrale » », témoigne le Dr Bernard Vaïsse, cardiologue à l’hôpital de la Timone, Marseille, Président du CFLHTA.



Evaluez le risque de troubles de la mémoire en répondant aux questionnaires sur www.comitehta.org

« Quand l’hypertension fait perdre la tête », la nouvelle campagne destinée aux hypertendus

Les accidents vasculaires cérébraux, les troubles de la mémoire, la démence ou encore la maladie d’Alzheimer sont des pathologies perçues par le grand public comme une perspective angoissante. Pour les patients atteints d’hypertension artérielle, le lien entre leur pathologie, les démences et la maladie d’Alzheimer est peu connu. « Nous avons donc choisi de les sensibiliser à ce lien dans ce livret et de leur montrer le bénéfice du traitement de l’hypertension artérielle sur la prévention des démences », explique le Pr Jean-Jacques Mourad.

Ce livret informe également les patients des répercussions d’autres facteurs à risque vasculaire tels que le diabète, le surpoids, le tabagisme ou encore l’inactivité physique sur le bon fonctionnement de leurs artères et de leur implication dans les troubles de la mémoire ou encore la maladie d’Alzheimer. « En dépistant et en traitant l’hypertension artérielle ainsi que les autres facteurs de risque vasculaire associés, il est possible de réduire significativement les risques de démences et de maladie d’Alzheimer et de ne plus vivre dans cette inquiétude », ponctue le Dr Bernard Vaïsse.



Retrouvez le livret « Quand l’hypertension fait perdre la tête » téléchargeable gratuitement à partir du 18 décembre sur www.comitehta.org
A propos du Comité Français de Lutte contre l’HyperTension Artérielle (CFLHTA)
Créé en 1972, le Comité Français de Lutte contre l’Hypertension Artérielle (CFLHTA) est une association régie par la loi de 1901 dont les missions sont de :

mieux faire connaître les problèmes de l’hypertension artérielle au grand public et, plus particulièrement, au corps médical et au corps pharmaceutique,

entreprendre toutes les actions de formation et d’information pour atteindre cet objectif. Les actions de formation menées par le CFLHTA reposent sur les travaux de la Société Française d’Hypertension Artérielle, filiale de la Société de Cardiologie, ainsi que sur les travaux de la Ligue Mondiale contre l’Hypertension. www.comitehta.org



A propos de la Société Française de Gériatrie et de Gérontologie (SFGG)

La SFGG est une société scientifique née en 1961 dont le but est d’étudier tous les problèmes se rapportant à la gérontologie et à la médecine gériatrique, c’est-à-dire au vieillissement humain et à la sénescence, à l’avancée en âge et à la longévité, de favoriser les recherches et les travaux, de faire régulièrement le point sur les connaissances acquises dans toutes les disciplines concernées et de contribuer à leur diffusion. La SFGG comprend 1300 membres titulaires et plus de 4.200 membres associés. Elle est structurée en 3 collèges : le Collège médical, le Collège des sciences humaines et biologiques, et le Collège des Soignants. www.sfgg.fr

A propos de la Société Française d’HyperTension Artérielle (SFHTA)

La Société Française d’Hypertension Artérielle (SFHTA), née en 1987, est une société savante, filiale de la Société Française de Cardiologie (SFC). Forte de près de 400 membres, et d’un millier de participants à son congrès des JHTA qui se déroule en décembre chaque année, la SFHTA a pour mission celle de toute société savante médicale : le soutien à la recherche, la diffusion des connaissances et l’enseignement. La SFHTA se situe au carrefour de diverses disciplines (cardiologie, endocrinologie, génétique, médecine interne, médecine vasculaire, néphrologie, pharmacologie, physiologie, santé publique, thérapeutique… pour mieux explorer les différents aspects de l’hypertension artérielle, maladie multifactorielle, et diffuser efficacement les résultats des connaissances. www.sfhta.eu

Service de presse

Capital Image / Stéphanie Chevrel – Anne Bellion Agence Conseil en relations publiques et relations médias santé 45, rue de Courcelles – 75008 Paris Tél. : 01 45 63 19 00 - Fax : 01 45 63 19 20 www.capitalimage.net – www.santepress.com - @CapitalImageFr

MINE D'INFOS: L’effet du délai de carence sur le recours aux arr...

MINE D'INFOS: L’effet du délai de carence sur le recours aux arr...: VIENT DE PARAÎTRE, dans la collection  Dossiers Solidarité et Santé, n° 58, janvier 2015 Le 6 janvier 2015    L’effet du délai de carence ...

L’effet du délai de carence sur le recours aux arrêts maladie des salariés du secteur privé

VIENT DE PARAÎTRE,
dans la collection  Dossiers Solidarité et Santé, n° 58, janvier 2015 Le 6 janvier 2015

  

L’effet du délai de carence sur le recours aux arrêts maladie des salariés du secteur privé
Catherine POLLAK

 

 
En cas d’arrêt maladie, les salariés du secteur privé perçoivent des indemnités journalières versées par la sécurité sociale au terme d’un délai de carence de 3 jours. Néanmoins, deux tiers d’entre eux sont protégés contre la perte de revenu induite par le délai de carence par le biais de la prévoyance d’entreprise.
Cette étude évalue l’effet incitatif du délai de carence sur le recours aux arrêts maladie des salariés du secteur privé. Elle mobilise les volets employeurs et salariés de l’enquête Protection sociale complémentaire d’entreprise de 2009. Elle exploite les disparités de couverture durant le délai de carence pour estimer l’effet propre du délai de carence sur les comportements de recours aux arrêts maladie des salariés de plus de 5 ans d’ancienneté à état de santé et conditions de travail équivalents.
Les résultats indiquent que les salariés couverts durant le délai de carence n’ont pas de probabilité plus élevée d’avoir un arrêt dans l’année, mais ont des durées totales d’arrêt maladie significativement plus courtes.
 

Contact PRESSE : 
drees-infos@sante.gouv.fr
Abonnez-vous gratuitement à nos AVIS DE PARUTION en cliquant ici


Mission Publications et Diffusion
Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques  (DREES)
Ministère des Finances et de Comptes publics
Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes
Ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social
Pour accéder à l'ensemble de nos publications sur Internet  :
http://www.drees.sante.gouv.fr.
Si vous ne désirez plus recevoir ces annonces de parution, cliquez ici.
Les destinataires de ce courrier électronique sont informés de l'existence à la DREES d'un traitement de données à caractère personnel les concernant.
Sous la responsabilité du directeur des publications, ce traitement a pour objet la diffusion des publications de la DREES.
Les données utilisées sont l'identité, la profession, l'adresse postale et électronique personnelle ou professionnelle.
Conformément aux dispositions de la loi du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, les destinataires disposent d'un droit d'accès et de rectification aux données les concernant, ainsi qu'un droit d'opposition à figurer dans ce traitement.
Ils peuvent exercer ces droits en en écrivant à : Ministère des Affaires sociales et de la Santé - DREES - mission publication et diffusion - 14 avenue Duquesne - 75350 Paris 07 SP ou en envoyant un courriel à :
drees-infos@sante.gouv.fr.
 

MINE D'INFOS: 43% du grand public pensent que le groupe témoin n...

MINE D'INFOS: 43% du grand public pensent que le groupe témoin n...: Enquête qualitative PACE¹ : des essais cliniques méconnus du grand public et peu accessibles aux patients souffrant de cancer Les pati...

43% du grand public pensent que le groupe témoin ne reçoit pas de traitement



Enquête qualitative PACE¹ : des essais cliniques méconnus du grand public et peu accessibles aux patients souffrant de cancer
Les patients sont-ils bien informés des essais cliniques en cours ? Savent-ils comment ces essais se déroulent ? Sont-ils enclins à y participer ? Pour répondre à ces questions, les laboratoires Lilly ont mené une enquête qualitative PACE (Patient Access and Cancer Care Excellence) auprès de patients atteints de cancer et de leurs proches, dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France1.

Ce volet qualitatif fait suite à la vaste enquête d’opinion PACE2 menée en 2013 auprès de la population générale, des patients et du personnel soignant pour déterminer leur niveau de connaissances sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.


Les principaux résultats de l’enquête qualitative révèlent un manque d’information et une méconnaissance des patients et de leurs aidants sur les essais cliniques. En effet, de nombreux patients pensent que s’ils font partie du groupe dit « témoin », ils ne bénéficieront pas d’un traitement contre le cancer.
Le cancer est à l’origine de 7,6 millions de morts en 2008, soit environ 13% de la mortalité mondiale3. En France, le nombre de décès par cancer est estimé en 2012 à 148 0004. Seulement 15% des patients français ont participé à un essai clinique².


Des patients mal informés sur les essais cliniques
Une grande partie des patients ayant répondu à l’enquête qualitative PACE révèlent ne pas s’être vus proposer de participer aux essais cliniques. La plupart affirme que leur médecin ne leur a pas parlé de cette option lors de leur prise en charge. Ces déclarations confortent les résultats de l’étude quantitative PACE où 73% des patients, en général, affirmaient n’avoir jamais abordé le sujet avec leur médecin². « La qualité de prise en charge des patients inclus dans des essais cliniques est souvent meilleure que celle des patients non inclus. Les médecins doivent prendre le temps d’informer leurs patients sur les essais cliniques et leurs bénéfices pour leur santé pour faciliter la participation des patients aux choix thérapeutiques qui les concernent », affirme le Docteur Hélène Espérou, Directrice du projet Médico-scientifique et de la Qualité UNICANCER5.

Les patients ayant parlé des essais cliniques avec leur médecin ont eu le sentiment de ne pas être toujours écoutés, de ne pas avoir d’échanges avec lui. « En prenant connaissance de mon âge, l’oncologue s’est demandé, à voix haute, si je pouvais intégrer un essai clinique. Il en a ensuite discuté avec son interne et tout s’est décidé en 2 minutes. En lisant les critères d’inclusion, il a vu que les patients devaient avoir moins de 40 ans. J’avais 40 ans, je n’étais donc pas éligible.», regrette un patient français. D’autres ont ressenti que leur médecin les prenaient de haut lorsqu’ils abordaient le sujet ou coupaient court à la discussion, les laissant perplexes voire un peu effrayés¹.



Le médecin est perçu comme le seul à pouvoir proposer un essai clinique à son patient et ce dernier a confiance en son jugement.
Une méconnaissance des essais cliniques pouvant générer des réticences à y participer
Les interviews de patients et de proches réalisées dans le cadre de l’étude qualitative PACE mettent en évidence leur méconnaissance des essais cliniques. En effet,
de nombreux patients pensent que s’ils font partie du groupe dit « témoin », ils ne bénéficieront pas d’un traitement contre le cancer¹. « Je ne veux pas m’amuser avec les médicaments et prendre le risque de recevoir le placebo », explique un patient américain. Or, les patients atteints d’un cancer et qui sont dans le groupe « témoin » reçoivent systématiquement le traitement standard6. En revanche, les patients



lorsqu’ils participent à un essai clinique savent que tous les patients reçoivent un traitement.
 La plupart des malades pense que les essais cliniques ne servent qu’à ceux qui souffrent d’un cancer à un stade avancé et dont le traitement standard a échoué. « Je pense que les essais cliniques sont proposés quand tout



 
74% des personnes interrogées déclarent que si elles étaient atteintes d’un cancer, elles participeraient à une étude clinique dans l’espoir de recevoir un traitement qui prolongerait leur espérance de vie²

72% des interviewés affirment que si elles étaient elles-mêmes malades, elles aimeraient participer à des essais cliniques. Cela, d’autant plus que cette participation permettrait d’aider les futurs patients¹



Depuis plus de cinquante ans, Lilly s’engage à proposer des médicaments qui changent la vie et aident les personnes qui vivent avec un cancer et leurs proches. Lilly est déterminé à poursuivre dans cette voie et continuer à améliorer la vie des personnes souffrant du cancer dans le monde.

En investissant plus de 24% de son chiffre d’affaires global dans la R&D et plus particulièrement en oncologie, Lilly se place aujourd’hui dans le peloton de tête des entreprises françaises qui s’engagent dans la recherche.

La vision de Lilly est d’accompagner les changements de prise en charge du cancer, se donnant comme priorité l’accès rapide à l’innovation.
Lilly france en quelques chiffres
6 domaines thérapeutiques d’expertise : les neurosciences, l’oncologie, l’endocrinologie, la santé de la femme, l’urologie, le cardiovasculaire et les soins intensifs.

Plus de 2 300 collaborateurs en 2014 répartis sur deux sites : le siège social à Neuilly-sur-Seine et le site de production à Fegersheim, en Alsace

1er site de production du groupe à Fegersheim spécialisé dans les traitements injectables



Capital Image
Stéphanie Chevrel

Tél. : 01 45 63 19 00 - Fax : 01 45 63 19 20

Email : info@capitalimage.net

www.capitalimage.net
espoir est perdu et qu’il n’y a pas d’autre alternative. Les patients qui y participent n’ont pas d’autre choix », témoigne un patient français.

Or, les essais cliniques sont proposés à tous les stades de la maladie⁵ Certains patients et proches le savent et voient la participation à un essai clinique comme « l’espoir que mon mari et tous les patients, en général, puissent accéder à une nouvelle molécule qui stopperait le cancer. Et que la recherche avance. L’espoir prend le pas sur les risques éventuels » (aidante allemande).

« En France, il reste un certain nombre de réticences et de peurs de la part des patients à participer à des essais cliniques. Les Français ont la chance de pouvoir accéder à l’innovation thérapeutique de façon plus importante que dans un certain nombre de pays par un certain nombre de dispositif dont les essais cliniques. Les associations de patients, à côté des médecins et des promoteurs d’essais cliniques ont un rôle important pour dédramatiser les essais cliniques auprès des patients. Elles peuvent leur expliquer leur déroulement, leur intérêt, voire leurs contraintes de façon concrète et ainsi mettre un terme à cette idée de patient-cobaye », affirme le Docteur Hélène Espérou⁵.



Participer à un essai clinique : une expérience positive
Les patients qui ont la possibilité de participer à un essai clinique, ainsi que leurs proches témoignent, généralement, d’une expérience positive. « Je ne pense pas qu’il y avait des inconvénients ; à part qu’il était difficile pour mon oncle d’aller en consultation ou faire d’autres tests alors qu’il était fatigué ou avait des effets secondaires », témoigne un aidant italien.

La plupart des patients ayant participé aux essais cliniques se sentent privilégiés d’avoir reçu une plus grande attention de la part des médecins et du personnel soignant. « Le patient qui a participé à un essai clinique a été surveillé et pris en charge différemment des autres patients », affirme un aidant allemand.

Cependant, le sentiment de se sentir privilégié disparait chez les patients une fois l’essai clinique terminé. « Vous êtes extrêmement bien informé, mais une fois que vous sortez de l’essai clinique, il n’y a pas une lettre, absolument rien de plus …», regrette un patient français.





« Le cancer n’attend pas, avançons pour les patients »
1 Clinical Trials. ecancer 2014, 8:432 DOI: 10.3332/ecancer.2014.432.

2 Ramers-Verhoeven, C, et al. "New Insights Into Public Perceptions of Cancer." ecancer 2013, 7;349.

3 Globocan 2008, IARC, 2010. http://www.iarc.fr/fr/media-centre/iarcnews/2010/globocan2008.php

4 « La situation du cancer en France en 2013 » Collection état des lieux et des connaissances, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, décembre 2013. http://www.invs.sante.fr/Espace-presse/Communiques-de-presse/2013/Evolution-de-l-incidence-et-de-la-mortalite-par-cancer-en-France-entre-1980-et-2012

5 Témoignages recueillis dans le cadre de la Table Ronde de Lilly Oncology – Décembre 2013

6 Coalition of Cancer Cooperative Groups. "Learn About Cancer Clinical Trials." disponible sur http://www.cancertrialshelp.org/Icare_content/icMainContent.aspx?intAppMode=2. May 13, 2014.



Contacts presse
Lilly France
Véronique Delvolvé-Rosset

Tél : 01 55 49 36 13

Email : delvolve_rosset_veronique@lilly.com

www.lilly.fr

mardi 13 janvier 2015

C'est à lire : quelques ouvrages autour de la santé

Sélection parmi la collection Larousse
 
VOTRE GROSSESSE JOUR APRÈS JOUR
sous la Direction du Docteur M.Blott
Mise en vente le 6 janvier 2015 – Prix : 27,90 €
Ce livre très complet décrit jour après jour les 40 semaines de grossesse. La future maman voit l’évolution du bébé mais aussi ses transformations physiques, ses changements émotionnels, le suivi médical nécessaire et les maux courants de la grossesse avec les moyens d’y remédier. Un livre qui est devenu une référence absolue pour les futures mamans.
 
 
POURQUOI TU PLEURES ? par Greg Pembroke, père au foyer et auteur du Blog à succès : Reasons My son is crying
Mise en vente le 7 janvier 2015 – Prix : 7,90 €
Les 150 raisons pour lesquelles nos enfants pleurent sans raison… Un papa au foyer désarmé devant les pleurs de ses enfants les a pris en photo. En créant son blog, il a reproduit ces photos en ajoutant des commentaires. Les parents du monde entier lui ont envoyé leurs photos et son Blog est une formidable analyse de ce qui peut déclencher les pleurs chez nos enfants. Un livre drôle et décalé qui vous fera sourire !
 
 
LE PETIT LAROUSSE DES ENFANTS DE 0 À 3 ANS
par le Docteur Véronique Gagey
Mise en vente le 6 janvier 2014 – Prix : 24,90 €
Un livre indispensable pour bien vivre son rôle de parent et suivre les étapes importantes de son enfant. Les progrès de bébé, l’alimentation, le sommeil, le suivi médical, le quotidien, les loisirs… Tout y est y compris des informations pour les parents en matière d’éducation.
 
 
LE PETIT LAROUSSE MÉDICAL
sous la Direction du Professeur Jean-Pierre Wainsten
Mise en vente le 10 février 2015 – Prix : 29,90 €
200 maladies de l’adulte commentées. Les symptômes sont évoqués et les traitements donnés. Un ouvrage complet et réactualisé avec une trentaine de dossiers sur des sujets d’actualité ou de société : l’insomnie, les addictions, les vaccins, la mémoire…

MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ?

MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ?: MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ? : ED ITO Tu t'es vu sans Cabu ? Quelle a bien pu être l'actualité santé de la sem...

La 12ème Semaine du Son : les Audioprothésistes se mobilisent

pour les oreilles des Français !

 
 
 
Alors qu’une récente étude Ipsos-La Semaine du Son met en lumière la dégradation inquiétante de l’audition des

jeunes, les audioprothésistes montent au front pour la prévention. A l’occasion de La 12ème Semaine du Son qui



débute le 19 janvier 2015, ils invitent leurs concitoyens à venir poser toutes leurs questions et à découvrir des

solutions simples pour prévenir la baisse d’audition.


Paris, le 6 janvier 2015

Etude Ipsos-La Semaine du Son : les 15-45 ans pas assez préoccupés par les conséquences de l’exposition au son fort



Bruits du travail et bruits urbains, musique écoutée très fort, bureaux partagés, machines, transports… Les Français

sont de plus en plus exposés. Les 15-30 ans particulièrement friands d’une musique « mobile », l’écoutent sans

surprise plus fort que leurs aînés. Parmi les autres enseignements de l’étude « Les jeunes et l’environnement

sonore1 », parue le 27 novembre dernier, on apprend que :

· 78% des 15-45 ans ont déjà ressenti des troubles auditifs après une forte exposition sonore ;

· 59% de ceux qui ont déjà ressenti un trouble auditif déclarent n’avoir rien fait pour s’informer à ce propos.



Eric Bizaguet est audioprothésiste et président du Collège National d’Audioprothèse, la société savante et scientifique

de la profession. Il rappelle que l’audition est un sens fragile qui doit être préservé et dont la dégradation peut avoir

des répercussions importantes sur les échanges sociaux, les capacités cognitives et le profil psychologique : « Parmi




les causes de certaines déficiences auditives, les atteintes liées aux traumatismes sonores pourraient être évitées par la

prévention et la protection contre les bruits excessifs, aspect capital puisque les cellules de l’oreille n’ont pas la


capacité de se renouveler ».

C’est dans ce contexte qu’aura lieu à partir du 19 janvier prochain La 12ème Semaine du Son, un événement qui permet

de faire un état des lieux de tous les sujets liés au son, partout en France. Pour cette édition, l’ensemble des 3 000




audioprothésistes français se joignent à la mobilisation pour la première fois avec un objectif : renforcer la

prévention !

Les audioprothésistes s’engagent à l’occasion de La Semaine du Son



« Quels bouchons faut-il porter à un concert de hard rock ? »

« Est-ce que j’abîme mes oreilles avec mon casque audio ? »

« Comment se préserver du bruit de la circulation ? »


Pendant La Semaine du Son, les audioprothésistes encouragent jeunes et moins jeunes à venir discuter avec eux de

tout ce qu’ils ont toujours voulu savoir sur l’audition sans jamais oser le demander. En effet, ces professionnels de

santé bénéficient, en plus de leur formation technique, d’un volet psychologique solide. Une compétence qu’ils

mettront en avant en ouvrant leur porte pour :

· donner des informations préventives sur la protection de l’audition ;

· réaliser des repérages de troubles auditifs.



Luis Godinho, président du Syndicat National des Audioprothésistes – UNSAF, sera en première ligne de cette

mobilisation : « La baisse d’audition, une fois installée, est irréversible ! Les audioprothésistes sont conscients de ces

enjeux et c’est pour cette raison qu’ils sont mobilisés sur tout le territoire !»





Les audioprothésistes présents au colloque DGS-La Semaine du Son du Ministère de la Santé, le 19 janvier 2015



Elaborer la politique de santé, notamment par la prévention des risques, est une des missions de la Direction Générale

de la Santé (DGS). Or les bonnes pratiques existent, et doivent être diffusées ! Pour cette raison, les audioprothésistes,

1 Ipsos Santé, échantillon national représentatif de 501 personnes des 15-45 ans, pour La Semaine du Son avec le soutien de la Direction Générale



de la Santé.

spécialistes de la santé auditive, interviendront lors de deux tables rondes du colloque « Sensibilisation des

professionnels de santé aux risques auditifs et aux moyens de les prévenir » qui ouvrira La Semaine du Son.

Pour retrouver le programme détaillé de La Semaine du Son à Paris et en régions : www.lasemaineduson.org





À propos du CNA



Le Collège National d’Audioprothèse veille à la qualité technique, scientifique et pédagogique de l'enseignement de la profession

d'audioprothésiste et assure la représentation et la défense des intérêts déontologiques et moraux des audioprothésistes.

Dans ses formations, le CNA organise un enseignement post-universitaire auquel participent plus de 1000 professionnels.

Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.college-nat-audio.fr





À propos du SYNAM



Le Syndicat National de l'Audition Mutualiste est le Syndicat de l'enseigne Audition Mutualiste, enseigne gérée par les organismes

relevant du Code de la Mutualité. Elle compte plus de 350 centres d'audition en France métropolitaine et en outre-mer et est

animée par plus de 400 professionnels salariés. Le réseau Audition Mutualiste offre une réponse supplémentaire au mode

d'exercice de la profession d'audioprothésiste avec près de 10% de part de marché national. Conseiller, équiper et accompagner

sont les grandes lignes directrices d'Audition Mutualiste - Votre Audition, Notre Priorité.

Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.auditionmutualiste.fr





À propos du SYNEA



Le Syndicat National des Entreprises de l’Audition (SYNEA) regroupe dix des plus importantes enseignes d’audioprothésistes :

Audika, Amplifon, Conversons, Audio 2000, Audition Santé, Audition Conseil, Grand Audition, Audionova, Vivason, Entendre. Toutes

ces enseignes sont dédiées exclusivement à l’audition. Le SYNEA représente aujourd’hui plus de 2200 centres d’audioprothèses

répartis sur toute la France, soit 50% des centres français, 3000 employés dont plus de 1100 audioprothésistes. Ces chiffres en font

un acteur incontournable du marché français de l’appareillage auditif.

Face au vieillissement de la population française, le rôle du SYNEA est de sensibiliser et d’informer la population et les pouvoirs

publics sur la déficience de l’audition, véritable enjeu de santé public.

Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.synea.net





À propos de l’UNSAF



Le Syndicat national des audioprothésistes – UNSAF est né en avril 2011 de la fusion des trois syndicats historiques de la profession.

Il est l’organisme professionnel représentatif des audioprothésistes auprès notamment des instances nationales en charge de la

santé, comme l'Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et le Haut Conseil des professions paramédicales (HCPP) où le

syndicat occupe un siège.

L’UNSAF est également présent au niveau européen au sein de l’Association européenne des audioprothésistes (AEA). Il est présidé

depuis Juin 2012 par Luis Godinho.

Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.unsaf.org





Contact Presse
Erika Nardeux
erika.nardeux@orange.fr




 



 


 

 

 


MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ?

MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ?: ED ITO Tu t'es vu sans Cabu ? Quelle a bien pu être l'actualité santé de la semaine dernière ? S'il y en a eu, on ne...