MINE D'INFOS/ Actualités en libre partage. Ce blog vous offre outre des Infos: protection sociale, culture etc. des interviews esclusives [libre de droits sous réserve de sourcer le blog]. La créatrice du blog [ex. Chef de service MGEFI] passionnée d'Afrique & RS est journaliste membre du réseau mutualiste MutElles; SEE; & ADOM. ✍️Pour proposer un sujet à la rédaction merci d'écrire à sa rédactrice en chef Nora ANSELL-SALLES pressentinelle2@gmail.com /
mercredi 14 janvier 2015
MINE D'INFOS: L’effet du délai de carence sur le recours aux arr...
MINE D'INFOS: L’effet du délai de carence sur le recours aux arr...: VIENT DE PARAÎTRE, dans la collection Dossiers Solidarité et Santé, n° 58, janvier 2015 Le 6 janvier 2015 L’effet du délai de carence ...
L’effet du délai de carence sur le recours aux arrêts maladie des salariés du secteur privé
VIENT DE PARAÎTRE,
dans la collection Dossiers Solidarité et Santé, n° 58, janvier 2015 Le 6 janvier 2015
L’effet du délai de carence sur le recours aux arrêts maladie des salariés du secteur privé
Catherine POLLAK
En cas d’arrêt maladie, les salariés du secteur privé perçoivent des indemnités journalières versées par la sécurité sociale au terme d’un délai de carence de 3 jours. Néanmoins, deux tiers d’entre eux sont protégés contre la perte de revenu induite par le délai de carence par le biais de la prévoyance d’entreprise.
Cette étude évalue l’effet incitatif du délai de carence sur le recours aux arrêts maladie des salariés du secteur privé. Elle mobilise les volets employeurs et salariés de l’enquête Protection sociale complémentaire d’entreprise de 2009. Elle exploite les disparités de couverture durant le délai de carence pour estimer l’effet propre du délai de carence sur les comportements de recours aux arrêts maladie des salariés de plus de 5 ans d’ancienneté à état de santé et conditions de travail équivalents.
Les résultats indiquent que les salariés couverts durant le délai de carence n’ont pas de probabilité plus élevée d’avoir un arrêt dans l’année, mais ont des durées totales d’arrêt maladie significativement plus courtes.
Contact PRESSE : drees-infos@sante.gouv.fr
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Mission Publications et Diffusion
Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES)
Ministère des Finances et de Comptes publics
Ministère des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes
Ministère du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social
Pour accéder à l'ensemble de nos publications sur Internet : http://www.drees.sante.gouv.fr.
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Sous la responsabilité du directeur des publications, ce traitement a pour objet la diffusion des publications de la DREES.
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Conformément aux dispositions de la loi du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, les destinataires disposent d'un droit d'accès et de rectification aux données les concernant, ainsi qu'un droit d'opposition à figurer dans ce traitement.
Ils peuvent exercer ces droits en en écrivant à : Ministère des Affaires sociales et de la Santé - DREES - mission publication et diffusion - 14 avenue Duquesne - 75350 Paris 07 SP ou en envoyant un courriel à : drees-infos@sante.gouv.fr.
dans la collection Dossiers Solidarité et Santé, n° 58, janvier 2015 Le 6 janvier 2015
L’effet du délai de carence sur le recours aux arrêts maladie des salariés du secteur privé
Catherine POLLAK
En cas d’arrêt maladie, les salariés du secteur privé perçoivent des indemnités journalières versées par la sécurité sociale au terme d’un délai de carence de 3 jours. Néanmoins, deux tiers d’entre eux sont protégés contre la perte de revenu induite par le délai de carence par le biais de la prévoyance d’entreprise.
Cette étude évalue l’effet incitatif du délai de carence sur le recours aux arrêts maladie des salariés du secteur privé. Elle mobilise les volets employeurs et salariés de l’enquête Protection sociale complémentaire d’entreprise de 2009. Elle exploite les disparités de couverture durant le délai de carence pour estimer l’effet propre du délai de carence sur les comportements de recours aux arrêts maladie des salariés de plus de 5 ans d’ancienneté à état de santé et conditions de travail équivalents.
Les résultats indiquent que les salariés couverts durant le délai de carence n’ont pas de probabilité plus élevée d’avoir un arrêt dans l’année, mais ont des durées totales d’arrêt maladie significativement plus courtes.
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MINE D'INFOS: 43% du grand public pensent que le groupe témoin n...
MINE D'INFOS: 43% du grand public pensent que le groupe témoin n...: Enquête qualitative PACE¹ : des essais cliniques méconnus du grand public et peu accessibles aux patients souffrant de cancer Les pati...
43% du grand public pensent que le groupe témoin ne reçoit pas de traitement
Enquête qualitative PACE¹ : des essais cliniques méconnus du grand public et peu accessibles aux patients souffrant de cancer
Les patients sont-ils bien informés des essais cliniques en cours ? Savent-ils comment ces essais se déroulent ? Sont-ils enclins à y participer ? Pour répondre à ces questions, les laboratoires Lilly ont mené une enquête qualitative PACE (Patient Access and Cancer Care Excellence) auprès de patients atteints de cancer et de leurs proches, dans 6 pays – Allemagne, Italie, Royaume-Uni, Japon, Etats-Unis et France1.
Ce volet qualitatif fait suite à la vaste enquête d’opinion PACE2 menée en 2013 auprès de la population générale, des patients et du personnel soignant pour déterminer leur niveau de connaissances sur les traitements et les soins en cancérologie, sur le système de santé de leur pays et l’implication des malades.
Les principaux résultats de l’enquête qualitative révèlent un manque d’information et une méconnaissance des patients et de leurs aidants sur les essais cliniques. En effet, de nombreux patients pensent que s’ils font partie du groupe dit « témoin », ils ne bénéficieront pas d’un traitement contre le cancer.
Le cancer est à l’origine de 7,6 millions de morts en 2008, soit environ 13% de la mortalité mondiale3. En France, le nombre de décès par cancer est estimé en 2012 à 148 0004. Seulement 15% des patients français ont participé à un essai clinique².
Des patients mal informés sur les essais cliniques
Une grande partie des patients ayant répondu à l’enquête qualitative PACE révèlent ne pas s’être vus proposer de participer aux essais cliniques. La plupart affirme que leur médecin ne leur a pas parlé de cette option lors de leur prise en charge. Ces déclarations confortent les résultats de l’étude quantitative PACE où 73% des patients, en général, affirmaient n’avoir jamais abordé le sujet avec leur médecin². « La qualité de prise en charge des patients inclus dans des essais cliniques est souvent meilleure que celle des patients non inclus. Les médecins doivent prendre le temps d’informer leurs patients sur les essais cliniques et leurs bénéfices pour leur santé pour faciliter la participation des patients aux choix thérapeutiques qui les concernent », affirme le Docteur Hélène Espérou, Directrice du projet Médico-scientifique et de la Qualité UNICANCER5.
Les patients ayant parlé des essais cliniques avec leur médecin ont eu le sentiment de ne pas être toujours écoutés, de ne pas avoir d’échanges avec lui. « En prenant connaissance de mon âge, l’oncologue s’est demandé, à voix haute, si je pouvais intégrer un essai clinique. Il en a ensuite discuté avec son interne et tout s’est décidé en 2 minutes. En lisant les critères d’inclusion, il a vu que les patients devaient avoir moins de 40 ans. J’avais 40 ans, je n’étais donc pas éligible.», regrette un patient français. D’autres ont ressenti que leur médecin les prenaient de haut lorsqu’ils abordaient le sujet ou coupaient court à la discussion, les laissant perplexes voire un peu effrayés¹.
Le médecin est perçu comme le seul à pouvoir proposer un essai clinique à son patient et ce dernier a confiance en son jugement.
Une méconnaissance des essais cliniques pouvant générer des réticences à y participer
Les interviews de patients et de proches réalisées dans le cadre de l’étude qualitative PACE mettent en évidence leur méconnaissance des essais cliniques. En effet,
de nombreux patients pensent que s’ils font partie du groupe dit « témoin », ils ne bénéficieront pas d’un traitement contre le cancer¹. « Je ne veux pas m’amuser avec les médicaments et prendre le risque de recevoir le placebo », explique un patient américain. Or, les patients atteints d’un cancer et qui sont dans le groupe « témoin » reçoivent systématiquement le traitement standard6. En revanche, les patients
lorsqu’ils participent à un essai clinique savent que tous les patients reçoivent un traitement.
La plupart des malades pense que les essais cliniques ne servent qu’à ceux qui souffrent d’un cancer à un stade avancé et dont le traitement standard a échoué. « Je pense que les essais cliniques sont proposés quand tout
74% des personnes interrogées déclarent que si elles étaient atteintes d’un cancer, elles participeraient à une étude clinique dans l’espoir de recevoir un traitement qui prolongerait leur espérance de vie²
72% des interviewés affirment que si elles étaient elles-mêmes malades, elles aimeraient participer à des essais cliniques. Cela, d’autant plus que cette participation permettrait d’aider les futurs patients¹
Depuis plus de cinquante ans, Lilly s’engage à proposer des médicaments qui changent la vie et aident les personnes qui vivent avec un cancer et leurs proches. Lilly est déterminé à poursuivre dans cette voie et continuer à améliorer la vie des personnes souffrant du cancer dans le monde.
En investissant plus de 24% de son chiffre d’affaires global dans la R&D et plus particulièrement en oncologie, Lilly se place aujourd’hui dans le peloton de tête des entreprises françaises qui s’engagent dans la recherche.
La vision de Lilly est d’accompagner les changements de prise en charge du cancer, se donnant comme priorité l’accès rapide à l’innovation.
Lilly france en quelques chiffres
6 domaines thérapeutiques d’expertise : les neurosciences, l’oncologie, l’endocrinologie, la santé de la femme, l’urologie, le cardiovasculaire et les soins intensifs.
Plus de 2 300 collaborateurs en 2014 répartis sur deux sites : le siège social à Neuilly-sur-Seine et le site de production à Fegersheim, en Alsace
1er site de production du groupe à Fegersheim spécialisé dans les traitements injectables
Capital Image
Stéphanie Chevrel
Tél. : 01 45 63 19 00 - Fax : 01 45 63 19 20
Email : info@capitalimage.net
www.capitalimage.net
espoir est perdu et qu’il n’y a pas d’autre alternative. Les patients qui y participent n’ont pas d’autre choix », témoigne un patient français.
Or, les essais cliniques sont proposés à tous les stades de la maladie⁵ Certains patients et proches le savent et voient la participation à un essai clinique comme « l’espoir que mon mari et tous les patients, en général, puissent accéder à une nouvelle molécule qui stopperait le cancer. Et que la recherche avance. L’espoir prend le pas sur les risques éventuels » (aidante allemande).
« En France, il reste un certain nombre de réticences et de peurs de la part des patients à participer à des essais cliniques. Les Français ont la chance de pouvoir accéder à l’innovation thérapeutique de façon plus importante que dans un certain nombre de pays par un certain nombre de dispositif dont les essais cliniques. Les associations de patients, à côté des médecins et des promoteurs d’essais cliniques ont un rôle important pour dédramatiser les essais cliniques auprès des patients. Elles peuvent leur expliquer leur déroulement, leur intérêt, voire leurs contraintes de façon concrète et ainsi mettre un terme à cette idée de patient-cobaye », affirme le Docteur Hélène Espérou⁵.
Participer à un essai clinique : une expérience positive
Les patients qui ont la possibilité de participer à un essai clinique, ainsi que leurs proches témoignent, généralement, d’une expérience positive. « Je ne pense pas qu’il y avait des inconvénients ; à part qu’il était difficile pour mon oncle d’aller en consultation ou faire d’autres tests alors qu’il était fatigué ou avait des effets secondaires », témoigne un aidant italien.
La plupart des patients ayant participé aux essais cliniques se sentent privilégiés d’avoir reçu une plus grande attention de la part des médecins et du personnel soignant. « Le patient qui a participé à un essai clinique a été surveillé et pris en charge différemment des autres patients », affirme un aidant allemand.
Cependant, le sentiment de se sentir privilégié disparait chez les patients une fois l’essai clinique terminé. « Vous êtes extrêmement bien informé, mais une fois que vous sortez de l’essai clinique, il n’y a pas une lettre, absolument rien de plus …», regrette un patient français.
« Le cancer n’attend pas, avançons pour les patients »
1 Clinical Trials. ecancer 2014, 8:432 DOI: 10.3332/ecancer.2014.432.
2 Ramers-Verhoeven, C, et al. "New Insights Into Public Perceptions of Cancer." ecancer 2013, 7;349.
3 Globocan 2008, IARC, 2010. http://www.iarc.fr/fr/media-centre/iarcnews/2010/globocan2008.php
4 « La situation du cancer en France en 2013 » Collection état des lieux et des connaissances, ouvrage collectif édité par l’INCa, Boulogne-Billancourt, décembre 2013. http://www.invs.sante.fr/Espace-presse/Communiques-de-presse/2013/Evolution-de-l-incidence-et-de-la-mortalite-par-cancer-en-France-entre-1980-et-2012
5 Témoignages recueillis dans le cadre de la Table Ronde de Lilly Oncology – Décembre 2013
6 Coalition of Cancer Cooperative Groups. "Learn About Cancer Clinical Trials." disponible sur http://www.cancertrialshelp.org/Icare_content/icMainContent.aspx?intAppMode=2. May 13, 2014.
Contacts presse
Lilly France
Véronique Delvolvé-Rosset
Tél : 01 55 49 36 13
Email : delvolve_rosset_veronique@lilly.com
www.lilly.fr
mardi 13 janvier 2015
C'est à lire : quelques ouvrages autour de la santé
Sélection parmi la collection Larousse
VOTRE GROSSESSE JOUR APRÈS JOUR
sous la Direction du Docteur M.Blott
Mise en vente le 6 janvier 2015 – Prix : 27,90 €
Ce livre très complet décrit
jour après jour les 40 semaines de grossesse. La future maman voit l’évolution
du bébé mais aussi ses transformations physiques, ses changements émotionnels,
le suivi médical nécessaire et les maux courants de la grossesse avec les
moyens d’y remédier. Un livre qui est devenu une référence absolue pour les
futures mamans.
POURQUOI TU PLEURES ? par Greg Pembroke, père
au foyer et auteur du Blog à succès : Reasons My son is crying
Mise en vente le 7 janvier 2015 – Prix : 7,90 €
Les 150 raisons pour lesquelles
nos enfants pleurent sans raison… Un papa au foyer désarmé devant les pleurs de
ses enfants les a pris en photo. En créant son blog, il a reproduit ces photos
en ajoutant des commentaires. Les parents du monde entier lui ont envoyé leurs
photos et son Blog est une formidable analyse de ce qui peut déclencher les
pleurs chez nos enfants. Un livre drôle et décalé qui vous fera sourire !
LE PETIT LAROUSSE DES ENFANTS DE 0 À 3 ANS
par le Docteur Véronique Gagey
Mise en vente le 6 janvier 2014 – Prix : 24,90 €
Un livre indispensable pour bien
vivre son rôle de parent et suivre les étapes importantes de son enfant. Les
progrès de bébé, l’alimentation, le sommeil, le suivi médical, le quotidien,
les loisirs… Tout y est y compris des informations pour les parents en matière
d’éducation.
LE PETIT LAROUSSE MÉDICAL
sous la Direction du Professeur Jean-Pierre
Wainsten
Mise en vente le 10 février 2015 – Prix : 29,90
€
200 maladies de l’adulte
commentées. Les symptômes sont évoqués et les traitements donnés. Un ouvrage
complet et réactualisé avec une trentaine de dossiers sur des sujets
d’actualité ou de société : l’insomnie, les addictions, les vaccins, la mémoire…
MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ?
MINE D'INFOS: MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ?: MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ? : ED ITO Tu t'es vu sans Cabu ? Quelle a bien pu être l'actualité santé de la sem...
La 12ème Semaine du Son : les Audioprothésistes se mobilisent
pour les oreilles des Français !
Alors qu’une récente étude Ipsos-La Semaine du Son met en lumière la dégradation inquiétante de l’audition des
jeunes, les audioprothésistes montent au front pour la prévention. A l’occasion de La 12ème Semaine du Son qui
débute le 19 janvier 2015, ils invitent leurs concitoyens à venir poser toutes leurs questions et à découvrir des
solutions simples pour prévenir la baisse d’audition.
Paris, le 6 janvier 2015
Etude Ipsos-La Semaine du Son : les 15-45 ans pas assez préoccupés par les conséquences de l’exposition au son fort
Bruits du travail et bruits urbains, musique écoutée très fort, bureaux partagés, machines, transports… Les Français
sont de plus en plus exposés. Les 15-30 ans particulièrement friands d’une musique « mobile », l’écoutent sans
surprise plus fort que leurs aînés. Parmi les autres enseignements de l’étude « Les jeunes et l’environnement
sonore1 », parue le 27 novembre dernier, on apprend que :
· 78% des 15-45 ans ont déjà ressenti des troubles auditifs après une forte exposition sonore ;
· 59% de ceux qui ont déjà ressenti un trouble auditif déclarent n’avoir rien fait pour s’informer à ce propos.
Eric Bizaguet est audioprothésiste et président du Collège National d’Audioprothèse, la société savante et scientifique
de la profession. Il rappelle que l’audition est un sens fragile qui doit être préservé et dont la dégradation peut avoir
des répercussions importantes sur les échanges sociaux, les capacités cognitives et le profil psychologique : « Parmi
les causes de certaines déficiences auditives, les atteintes liées aux traumatismes sonores pourraient être évitées par la
prévention et la protection contre les bruits excessifs, aspect capital puisque les cellules de l’oreille n’ont pas la
capacité de se renouveler ».
C’est dans ce contexte qu’aura lieu à partir du 19 janvier prochain La 12ème Semaine du Son, un événement qui permet
de faire un état des lieux de tous les sujets liés au son, partout en France. Pour cette édition, l’ensemble des 3 000
audioprothésistes français se joignent à la mobilisation pour la première fois avec un objectif : renforcer la
prévention !
Les audioprothésistes s’engagent à l’occasion de La Semaine du Son
« Quels bouchons faut-il porter à un concert de hard rock ? »
« Est-ce que j’abîme mes oreilles avec mon casque audio ? »
« Comment se préserver du bruit de la circulation ? »
Pendant La Semaine du Son, les audioprothésistes encouragent jeunes et moins jeunes à venir discuter avec eux de
tout ce qu’ils ont toujours voulu savoir sur l’audition sans jamais oser le demander. En effet, ces professionnels de
santé bénéficient, en plus de leur formation technique, d’un volet psychologique solide. Une compétence qu’ils
mettront en avant en ouvrant leur porte pour :
· donner des informations préventives sur la protection de l’audition ;
· réaliser des repérages de troubles auditifs.
Luis Godinho, président du Syndicat National des Audioprothésistes – UNSAF, sera en première ligne de cette
mobilisation : « La baisse d’audition, une fois installée, est irréversible ! Les audioprothésistes sont conscients de ces
enjeux et c’est pour cette raison qu’ils sont mobilisés sur tout le territoire !»
Les audioprothésistes présents au colloque DGS-La Semaine du Son du Ministère de la Santé, le 19 janvier 2015
Elaborer la politique de santé, notamment par la prévention des risques, est une des missions de la Direction Générale
de la Santé (DGS). Or les bonnes pratiques existent, et doivent être diffusées ! Pour cette raison, les audioprothésistes,
1 Ipsos Santé, échantillon national représentatif de 501 personnes des 15-45 ans, pour La Semaine du Son avec le soutien de la Direction Générale
de la Santé.
spécialistes de la santé auditive, interviendront lors de deux tables rondes du colloque « Sensibilisation des
professionnels de santé aux risques auditifs et aux moyens de les prévenir » qui ouvrira La Semaine du Son.
Pour retrouver le programme détaillé de La Semaine du Son à Paris et en régions : www.lasemaineduson.org
À propos du CNA
Le Collège National d’Audioprothèse veille à la qualité technique, scientifique et pédagogique de l'enseignement de la profession
d'audioprothésiste et assure la représentation et la défense des intérêts déontologiques et moraux des audioprothésistes.
Dans ses formations, le CNA organise un enseignement post-universitaire auquel participent plus de 1000 professionnels.
Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.college-nat-audio.fr
À propos du SYNAM
Le Syndicat National de l'Audition Mutualiste est le Syndicat de l'enseigne Audition Mutualiste, enseigne gérée par les organismes
relevant du Code de la Mutualité. Elle compte plus de 350 centres d'audition en France métropolitaine et en outre-mer et est
animée par plus de 400 professionnels salariés. Le réseau Audition Mutualiste offre une réponse supplémentaire au mode
d'exercice de la profession d'audioprothésiste avec près de 10% de part de marché national. Conseiller, équiper et accompagner
sont les grandes lignes directrices d'Audition Mutualiste - Votre Audition, Notre Priorité.
Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.auditionmutualiste.fr
À propos du SYNEA
Le Syndicat National des Entreprises de l’Audition (SYNEA) regroupe dix des plus importantes enseignes d’audioprothésistes :
Audika, Amplifon, Conversons, Audio 2000, Audition Santé, Audition Conseil, Grand Audition, Audionova, Vivason, Entendre. Toutes
ces enseignes sont dédiées exclusivement à l’audition. Le SYNEA représente aujourd’hui plus de 2200 centres d’audioprothèses
répartis sur toute la France, soit 50% des centres français, 3000 employés dont plus de 1100 audioprothésistes. Ces chiffres en font
un acteur incontournable du marché français de l’appareillage auditif.
Face au vieillissement de la population française, le rôle du SYNEA est de sensibiliser et d’informer la population et les pouvoirs
publics sur la déficience de l’audition, véritable enjeu de santé public.
Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.synea.net
À propos de l’UNSAF
Le Syndicat national des audioprothésistes – UNSAF est né en avril 2011 de la fusion des trois syndicats historiques de la profession.
Il est l’organisme professionnel représentatif des audioprothésistes auprès notamment des instances nationales en charge de la
santé, comme l'Union nationale des professionnels de santé (UNPS) et le Haut Conseil des professions paramédicales (HCPP) où le
syndicat occupe un siège.
L’UNSAF est également présent au niveau européen au sein de l’Association européenne des audioprothésistes (AEA). Il est présidé
depuis Juin 2012 par Luis Godinho.
Pour toute information complémentaire, visitez le site : www.unsaf.org
Contact Presse
Erika Nardeux
erika.nardeux@orange.fr
MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ?
MINE D'INFOS: Tu t'es vu sans Cabu ?: ED ITO Tu t'es vu sans Cabu ? Quelle a bien pu être l'actualité santé de la semaine dernière ? S'il y en a eu, on ne...
Tu t'es vu sans Cabu ?
MINE D'INFOS: Observance : comment mobiliser les acteurs de sant...
MINE D'INFOS: Observance : comment mobiliser les acteurs de sant...: Café nile avec Denis Delval le 21 janvier 2015 de 8h30 à 10h au Sir Winston « Observance : comment mobiliser les acteurs de santé ? »...
Observance : comment mobiliser les acteurs de santé ?
Café nile avec Denis Delval le 21 janvier 2015 de 8h30 à 10h au Sir Winston « Observance : comment mobiliser les acteurs de santé ? » |
L’observance aux traitements médicamenteux est un enjeu
majeur de santé publique. L’Organisation Mondiale de la Santé estime que près de
50 % des traitements prescrits dans le monde sont peu ou mal suivis par les
patients concernés. Lors de la « Semaine pour la Sécurité des Patients »
organisée par le Ministère des Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des
Femmes fin novembre, l’accent a été mis sur la juste prescription et la
conciliation médicamenteuse. L’objectif de toutes ces actions est le même : tout
faire pour que chaque patient ait le juste médicament que son état
nécessite.
Le Cercle de Réflexion de l’Industrie Pharmaceutique (CRIP)
et IMS Health ont réalisé une vaste étude sur 6 pathologies chroniques. Les
résultats sont édifiants et montrent que seule la prise de conscience et
l’action de tous les acteurs de santé permettra d’apporter des réponses à cet
important problème.
Denis Delval, Président du Cercle de Réflexion de l’Industrie
Pharmaceutique (CRIP) viendra débattre avec les participants du prochain café nile, le 21 janvier prochain, de 8h30 à 10h au Sir Winston (5 rue de Presbourg
75116 Paris) sur le thème :
« Observance : comment mobiliser les
acteurs de santé ? »
MINE D'INFOS: TOUT EST PARDONNE.... Une du prochain #CharlieHebd...
MINE D'INFOS: TOUT EST PARDONNE.... Une du prochain #CharlieHebd...: Le prochain numéro de l'hebdomadaire satirique, le premier depuis l'attaque terroriste qui a décimé la rédaction, est bouclé. ...
TOUT EST PARDONNE.... Une du prochain #CharlieHebdo
Le prochain numéro de l'hebdomadaire satirique, le premier depuis l'attaque terroriste qui a décimé la rédaction, est bouclé.
Charlie Hebdo sera bien dans les kiosques ce mercredi 14 janvier. Comme toutes les semaines. Les journalistes de l’hebdomadaire satirique ont bouclé lundi vers 21h30 leur première édition depuis l’attentat qui a fait 12 morts, mercredi 7 janvier à Paris.
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MINE D'INFOS: LA CARDIOLOGIE SUR MESURE
MINE D'INFOS: LA CARDIOLOGIE SUR MESURE: 25èmes Journées Européennes de la Société Française de Cardiologie 14 au 17 janvier 2015 au Palais des Congrès – Paris ...
LA CARDIOLOGIE SUR MESURE
25èmes Journées Européennes de la Société Française de Cardiologie
14 au 17 janvier 2015 au Palais des Congrès – Paris
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A propos de la médecine personnalisée 5 Pr. Atul Pathak, Toulouse
Insuffisance cardiaque - traitements personnalisés 6
Insuffisance cardiaque : le challenge du traitement 7
Pr. Richard Isnard, Paris
Stimulation cardiaque: plus de 50 ans de ruptures conceptuelles et technologiques 8
Le remplacement valvulaire percutané 10 Pr. Hélène Eltchaninoff, Rouen
Stimulation cardiaque: plus de 50 ans de ruptures conceptuelles et technologiques 8
Le remplacement valvulaire percutané 10 Pr. Hélène Eltchaninoff, Rouen
Adapter les traitements chez l’octogénaire 12
Pr. Olivier Hanon, Paris
La maladie coronaire chez la femme 13
Pr. Martine Gilard, Brest
Prise en charge des cardiopathies durant la grossesse 14
Pr. Bernard Iung, Paris
Antiagrégants plaquettaires - traitements personnalisés 15 Pr. Jean- Sébastien Hulot, Paris
La maladie coronaire chez la femme 13
Pr. Martine Gilard, Brest
Prise en charge des cardiopathies durant la grossesse 14
Pr. Bernard Iung, Paris
Antiagrégants plaquettaires - traitements personnalisés 15 Pr. Jean- Sébastien Hulot, Paris
La nutrition cardio – protectrice 16
Pr. Jean Ferrières, Toulouse
Le cardiaque dans la vie professionnelle 18
Dr. Jean-Pierre Houppe, Thionville
Maladie coronaire en Afrique subsaharienne 19
Dr. Jean-Jacques Monsuez, Sevran
Fiche institutionnelle la Société Française de Cardiologie : une force pour le coeur 20
Communiqué de presse 8 janvier 2015
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Le cardiaque dans la vie professionnelle 18
Dr. Jean-Pierre Houppe, Thionville
Maladie coronaire en Afrique subsaharienne 19
Dr. Jean-Jacques Monsuez, Sevran
Fiche institutionnelle la Société Française de Cardiologie : une force pour le coeur 20
Communiqué de presse 8 janvier 2015
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25èmes Journées Européennes
de la Société Française de Cardiologie
Le rendez-vous incontournable des cardiologues francophones se tiendra du 14 au 17 janvier 2015 au Palais des Congrès de Paris
Les 25èmes Journées Européennes de la Société Française de Cardiologie ouvriront leurs portes du 14 au 17 janvier 2015 au Palais des Congrès de Paris. Cette année, le thème mis en exergue pendant le congrès portera sur « La Cardiologie sur Mesure ». Ce thème transversal sera l’occasion de faire le point sur les dernières innovations en cardiologie et sur leurs applications quotidiennes lors de la pratique de la cardiologie hospitalière et libérale.
Le thème du congrès : la cardiologie sur mesure
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La médecine personnalisée présente plusieurs facettes et peut être considérée comme :
une médecine individualisée, c’est-à-dire qu’elle adapte la prise en charge diagnostique et thérapeutique à l’individu. Les médecins constatent, dans leur pratique quotidienne, que la réponse à de nombreux médicaments cardiovasculaires est variable selon les patients. En effet, si un traitement standard produit l’effet attendu chez la majorité des individus, il peut avoir un effet trop important, voire toxique pour certains patients ou demeurer sans effet pour d’autres. Ces dernières années, de nombreuses approches ont permis :
Les 25èmes Journées Européennes de la Société Française de Cardiologie ouvriront leurs portes du 14 au 17 janvier 2015 au Palais des Congrès de Paris. Cette année, le thème mis en exergue pendant le congrès portera sur « La Cardiologie sur Mesure ». Ce thème transversal sera l’occasion de faire le point sur les dernières innovations en cardiologie et sur leurs applications quotidiennes lors de la pratique de la cardiologie hospitalière et libérale.
Le thème du congrès : la cardiologie sur mesure
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La médecine personnalisée présente plusieurs facettes et peut être considérée comme :
une médecine individualisée, c’est-à-dire qu’elle adapte la prise en charge diagnostique et thérapeutique à l’individu. Les médecins constatent, dans leur pratique quotidienne, que la réponse à de nombreux médicaments cardiovasculaires est variable selon les patients. En effet, si un traitement standard produit l’effet attendu chez la majorité des individus, il peut avoir un effet trop important, voire toxique pour certains patients ou demeurer sans effet pour d’autres. Ces dernières années, de nombreuses approches ont permis :
- de comprendre les sources de la variabilité de réponse à certains médicaments,
- d’identifier l’influence de variants génétiques sur des médicaments antiagrégants plaquettaires (tel le clopidogrel) ou encore sur le risque de récidive d’évènements cardiovasculaires.
une médecine de la personne et de son entourage proche. Ainsi au-delà du phénotype et du génotype, on tiendra compte de la personne dans sa globalité, avec ses croyances et perceptions qu’elles soient rationnelles ou non. Cette approche est associée à une amélioration significative de l’adhésion mais aussi de l’observance ou de la persistance médicamenteuse. Les patients qui en bénéficient ont un meilleur contrôle de leurs facteurs de risque et une survie plus importante.
une médecine configurée, paramétrée qui repose de plus en plus sur le recours aux technologies de l’information. L’évaluation échocardiographique du patient à distance, l’analyse de l’électrocardiogramme d’un patient pour un soignant isolé, le recueil d’informations pour adapter le réglage d’un dispositif comme le défibrillateur sont autant d’exemples concrets en voie de développement qui soutiennent l’émergence d’une médecine digitale.
Des espaces interactifs proposés aux participants
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Pour la troisième année consécutive, les « Training Centers » invitent les participants à se familiariser avec les innovations technologiques comme les dispositifs médicaux implantables (indications, implantation, suivi et impact sur la vie quotidienne), l’échocardiographie (strain, 3D) ou les nouveaux anticoagulants…grâce à l’interaction avec les experts présents sur le site et à la mise en pratique des connaissances.
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Pour la troisième année consécutive, les « Training Centers » invitent les participants à se familiariser avec les innovations technologiques comme les dispositifs médicaux implantables (indications, implantation, suivi et impact sur la vie quotidienne), l’échocardiographie (strain, 3D) ou les nouveaux anticoagulants…grâce à l’interaction avec les experts présents sur le site et à la mise en pratique des connaissances.
Le Village « Cardiologie sur Mesure» : échanges et confrontation des expériences
La SFC propose aux participants :
Un Studio où auront lieu des ateliers de cas cliniques interactifs de 90 minutes :
Un Studio où auront lieu des ateliers de cas cliniques interactifs de 90 minutes :
Hypertension artérielle résistante : traitement standardisé ou sur mesure ?
Syndrome coronaire aigu : traitement antiagrégant plaquettaire sur mesure ?
Echocardiographie pré-TAVI, une garantie pour le succès ?
Troubles du rythme ventriculaire : attentisme ou ablation ?
La télémédecine et l’insuffisance cardiaque
Un espace « Meet the Expert » où auront lieu des rencontres informelles entre le public et un expert. Il y aura 6 séances par jour :
Bilan cardiaque personnalisé dans le diabète,
Cholestérol et génétique,
Hypertension artérielle : quelles innovations ?
Fibrillation atriale : du nouveau ?
Ablation de la fibrillation atriale et du flutter
La cigarette électronique : laquelle, pourquoi ?
Focus sur quelques communications orales et présentations de posters
Jeudi 15 janvier
Insuffisance cardiaque chronique : traitements du futur, traitements personnalisés ?
Salle Maillot 9h-10h30
9h : Thérapie cellulaire : faut-il encore y croire ? J. Roncalli (Toulouse)
9h20 : Thérapie génique : quelles cibles choisir ? J.S. Hulot (Paris)
9h40 : Nouveaux médicaments : qu'y a-t-il dans le pipeline ? G. Jondeau (Paris)
10h : Le coeur artificiel total : l'expérience CARMAT. A. Carpentier - C. Latremouille (Paris) - D. Duveau (Nantes)
Risques cardiovasculaires et environnement : des questions qui font débat ?
Amphithéâtre Bordeaux
9h-10h30
9h : Risque cardiovasculaire et activité physique. A. Ducardonnet (Paris)
9h20 : Faut-il rejeter l'e-cigarette ? D. Thomas (Paris)
9h40 : La pollution a-t-elle un rôle ? N. Mills (Edinburgh)
10h : Météo et saisons influencent-elles notre coeur ? P. Gibelin (Nice) Thérapeutiques du futur Amphithéâtre Bleu 11h-12h30
11h : Cholestérol : actualités des inhibiteurs du PCSK9 ? B. Cariou (Nantes)
11h15 : Inhibiteur de l'endopeptidase neutre. S. Laurent (Paris)
11h30 : Stimulation vagale. F. Roche (Saint Etienne)
11h45 : Inhibition de PCSK9 : innovation thérapeutique, pour quels patients ? M. Farnier (Dijon)
12h : Thérapie cellulaire : pour demain ? P. Menasché (Paris)
12h15 : Le coeur CARMAT. A. Carpentier - C. Latremouille (Paris) - D. Duveau (Nantes)
Nouvelle Société Française d'Athérosclérose/SFC : Vers un renouveau du traitement de la ménopause
Salle 253
11h-12h30
11h : Risque cardiovasculaire à la ménopause. C. Mounier-Vehier (Lille)
11h20 : Risque thrombotique arteriel et veineux des estrogènes : divergences et mécanismes. P.E. Morange (Marseille)
11h40 : Risque thrombo-embolique et estrogènes : épidémiologie. P.Y. Scarabin (Villejuif)
12h : L'association des modulateurs sélectifs du récepteur des estrogènes et estrogènes : un renouveau du traitement hormonal ? S.C. Maitre (Paris)
ABSTRACTS
Salle 343 9h45
Public Access Defibrillators location strategy in major urban aeras using geographic optimization, is there an optimal number ? B. Dahan (Paris)
« L’intérêt des défibrillateurs externes mis à disposition du public n’est plus à démontrer pour la prise en charge des arrêts cardiaques extra hospitaliers. Leur emplacement fait, par contre, encore l’objet de débats. L’analyse de la situation à Paris permet de mieux identifier la problématique et de réfléchir à une stratégie pour rationaliser le nombre de défibrillateurs disponibles par rapport à leur emplacement. »
Espace poster /Session Maladie coronaire (Partie I) 9h-18h Evaluation of cannabis abuse and epidemiology in 61 young adults aged less than 35 years old hospitalized for acute coronary. U. Vinsonneau (Brest)
« Les syndromes coronaires aigus sont rares avant 35 ans. Cette étude Brestoise montre qu’à côté des facteurs de risque traditionnels, la consommation de cannabis joue un rôle non négligeable, elle est retrouvée chez 22,9 % des sujets de cette population. »
HOT LINES
Amphithéâtre Bordeaux 16h-17h30
Actualités sur les grands essais cliniques (Partie I)
ARCTIC-INTERRUPTION (J. Silvain), ODDYSEY (M. Farnier), DAPT (G. Steg), ITALIC (M. Gilard),
POPE : « Colchicine for post-operative pericardial effusion » (P. Meurin), IMPROVE IT ( J. Ferrières).
Vendredi 16 janvier
Stress et coeur
Salle 252 AB 9h-10h30
9h : Stress professionnel et infarctus du myocarde. S. Consoli (Paris)
9h20 : Facteurs déclenchants de la cardiomyopathie de Tako Tsubo. N. Mansencal (Boulogne Billancourt)
9h40 : Stress et sport. J.M. Guy (Saint Priest en Jarez)
10h : Conséquences psychologiques post syndrome coronaire aigu. J.P. Houppe (Thionville)
La nutrition cardio-protectrice : des hypothèses aux preuves cliniques Amphithéâtre Bleu
9h30-10h
9h30 : La nutrition cardio-protectrice : des hypothèses aux preuves cliniques. E. Ros (Barcelone) Fédération Française de Cardiologie/SAMU/Croix rouge/SFC - Arrêt cardiaque : où en sommes-nous en France ?
Salle 253 11h-12h30
11h : Les premiers résultats disponibles sur l'arrêt cardiaque en France selon le registre RéAC. J. Beaune (Bron)
11h20 : La formation du grand public, la diffusion des défibrillateurs entièrement automatiques et leur localisation. P. Cassan (Paris)
11h40 : La stratégie du réseau nord alpin des urgences. D. Savary (Annecy - Pringy)
12h : La ventilation est-elle utile ? P.Y. Gueugniaud (Lyon)
Société Française de Médecine du Travail/SFC - Le cardiaque dans la vie professionnelle Salle 341 14h-15h30
14h : Les critères pour la reprise du travail. F. Locher (Suresnes)
14h20 : Epuisement professionnel et cardiopathie ischémique. J.P. Houppe (Thionville)
14h40 : Le cardiaque en situation extrême. A. Chamoux (Clermont-Ferrand)
15h : Le travailleur et le vieillissement cardiaque. F. Carré (Rennes)
Faut-il maintenir le certificat médical de non contre-indication au sport ? Salle 241 14h45-15h30
14h45 : Pour - L. Uzan (Paris)
15h : Contre - H. Douard (Pessac)
15h15 : Droit de réponse et synthèse - L. Uzan (Paris)
15h15 : Droit de réponse et synthèse - H. Douard (Pessac) Conférence exceptionnelle : Le coeur battant de la recherche - C. Villani (Paris) Amphithéâtre bleu 17h30-18h
ABSTRACTS Espace posters
Session Rythmologie et stimulation (partie I)
9h : Telemonitoring for arrhythmias on rural outpatients: feasibility and results on 167 patients. P. Dary (Saint Yrieix La Perche)
« Le diagnostic des troubles du rythme paroxystiques reste est un défi permanent pouvant être lourd de conséquences. La télécardiologie offre des possibilités particulièrement intéressantes notamment en milieu rural où l’accès aux structures médicales spécialisées reste parfois difficile »
Session Réadaptation et sport
9h : Effects of holistic cardiac rehabilitation on anxiety and depression: Gender difference. P. Blanc (Sainte Clotilde - Réunion)
« Après un accident cardiovasculaire, la réadaptation joue un rôle majeur pour la récupération des capacités physiques. Une approche globale associant à l’approche fonctionnelle une prise en charge psychologique paraît particulièrement bénéfique avec un intérêt tout particulier chez les femmes. »
Session Chirurgie
9h : Results of the cardiac surgery programmed among patients having a morbid obesity (IMC > 40). L. Guesnier (Le Chesnay)
« L’obésité morbide (IMC > 40) est souvent considérée comme un facteur de risque pour la chirurgie notamment pour la chirurgie cardiaque. Cette étude montre que, pour des gestes programmés, cette obésité n’influence pas les résultats du geste opératoire ni le pronostic. Elle ne constitue donc pas une contre-indication. »
Session Urgences et soins cardiaques intensifs
9h : Prognosis of Patients Admitted with Chest Pain in Emergency Department and Discharged With Low Risk of Acute Coronary Syndrome. G. Haziza (Limoges)
« En l’absence de signes objectifs cliniques, électriques ou biologiques, le diagnostic étiologique face à un patient, vu aux urgences pour des douleurs thoraciques, est souvent délicat. Cette étude présentant le suivi à 1 an de ces patients, montre la complexité de cette situation. »
Espace posters commentés
11h50 : Heart failure octogenarians are poorly managed and treated: a cohort study in the french national healthcare insurance database. C. Vorilhon (Clermont Ferrand)
"La prévalence de l’insuffisance cardiaque augmente avec l’âge et pourtant il semble que les personnes âgées de plus de 80 ans soient moins bien prises en charge à cet égard qu’il ne le faudrait. Malgré les recommandations de bonne pratique, le traitement est trop souvent insuffisant. Selon cette étude, réalisée d’après la cohorte de l’assurance maladie, seuls 5 % des patients reçoivent à leur sortie de l’hôpital un traitement optimal."
HOT LINES
Amphithéâtre bleu 16h-17h30
Actualités sur les grands essais cliniques (Partie II)
X-VERT : « Cardioversion sous anticoagulant oral direct : l’étude » (J. Y. Le Heuzey), Septal CRT (C. Leclercq), BIOPACE (J.J. Blanc), ANSWER- Abstracts N°184 (S. Boveda), PARADIgM (J. Mac Murray, M. Packer, M. Komajda), PVM France (N. Bouatia-Naji).
Samedi 17 janvier
Ma vie de tous les jours avec une cardiopathie congénitale Salle 242 B 9h-10h30
9h : Docteur, est-ce que je peux passer le permis de conduire ? M. Ladouceur (Paris)
9h20 : Docteur, est-ce que je peux être enceinte ? L. Le Gloan (Saint Herblain)
9h40 : Docteur est-ce que je peux faire du sport ? P. Amedro (Montpellier)
10h : Docteur, est-ce que je peux être docteur ? M. Gouton (Le Plessis Robinson)
Insuffisance cardiaque chronique : bien vivre au quotidien
Amphithéâtre Havane 11h-12h30
11h : Assurer une éducation thérapeutique efficace. P. Assyag (Paris)
11h20 : Reprendre l'activité sexuelle. G. Bosser (Vandoeuvre les Nancy)
11h40 Refaire du sport : qui et quand ? R. Isnard (Paris)
12h Télésurveillance à domicile : oui ou non ? J. Cassagnes (Clermont Ferrand)
Fédération Française de Cardiologie/Société Française de Tabacologie/SFC - Prise en charge du tabagisme : vade mecum pour le cardiologue Salle 341
11h-12h30
11h : La cigarette électronique : où en est-on ? B. Dautzenberg (Paris)
11h20 : Le sevrage tabagique en urgence : en pratique. A.L. Le Faou (Paris)
11h40 : L'entretien motivationnel : en pratique. J.P. Huisman (Callian)
12h : Tout sur le monoxyde de carbone expiré pour le cardiologue. M. Underner (Poitiers)
Les points forts du congrès
Amphithéâtre Bleu
11h-12h30
11h : HTA et vasculaire. P. Delsart (Lille)
11h15 : Imagerie et valvulopathies. T. Le Tourneau (Nantes)
11h30 : Insuffisance cardiaque. T. Damy (Créteil)
11h45 : Maladie coronaire. J. Silvain (Paris)
12h : Rythmologie et stimulation. P. Milliez (Caen)
12h15 : Facteurs de risque. A. Pathak (Toulouse)
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