Nora ANSELL-SALLES

mercredi 4 décembre 2013

MINE D'INFOS: Le saviez-vous : 2014 Année du Cheval…

MINE D'INFOS: Le saviez-vous : 2014 Année du Cheval…: Mariage Frères - Thé des Signes - 2014 Année du Cheval   Avec 2014 arrive l’année du Cheval, naturellement élégant, aristocrate et...

Le saviez-vous : 2014 Année du Cheval…


Mariage Frères - Thé des Signes - 2014 Année du Cheval

 

Avec 2014 arrive l’année du Cheval, naturellement élégant, aristocrate et libre, courageux et attachant, pacifique et créatif, vif et insouciant, sujet tout en équilibre d’une collection de thés exclusifs scandée par les 12 signes du zodiaque chinois : un cadeau pour les natifs du signe du cheval et un porte-bonheur original pour absolument tous les autres…

 

Thé des signes - Année du Cheval - Thé noir gourmand de Darjeeling aux baies de goji de l’Himalaya

Dans une boîte d’un beau jaune ensoleillé dont la forme évoque le temple du ciel, Mariage Frères a logé un assemblage de thés de grands jardins de Darjeeling associés aux saveurs gourmandes de citron vert, d’orange blonde et de kumquat sucré, soulignés d’un gingembre doux et parfumé, ainsi que de baies de goji de l’Himalaya – super fruit antioxydant et signature de cette collection.

 

La tasse est fruitée et zestée, fusante, pleine de vie, fraîche et savoureuse : pour entrer joyeusement dans l’année du Cheval !

 

Sur la boîte figure une liste des années du cheval qui ont veillé sur nos aïeux et berceront nos petits-enfants (de 1906 à 2038 !), histoire de changer d’ère avec bonheur.

 

Cheval - Thé des signes - Thé noir gourmand

- boîte laquée et sérigraphiée , ton jaune soleil, fabrication manuelle

- préparation : 3 g dans 20 cl d’eau pure à 95° - infusion 4 mn

- contenance : 100 g

Prix public : 25 €

 

Doseur à thé - Ginkgo

- matière : métal argenté

Prix public : 12 €

 

Liste des points de vente et vente par correspondance au 01 43 47 18 54 et sur www.mariagefreres.com

 

MINE D'INFOS: J -5 avant l'ouverture des portes...

MINE D'INFOS: J -5 avant l'ouverture des portes...: Nouvelles coordonnées pour les adhérents...   Un numéro d’appel unique : 09 69 39 69 29   À compter du 11 décembre 2013, les ad...

J -5 avant l'ouverture des portes...


Nouvelles coordonnées pour les adhérents...

 

Un numéro d’appel unique : 09 69 39 69 29
 
À compter du 11 décembre 2013, les adhérents disposeront du numéro de téléphonique unique pour contacter la MGEFI (métropole). Le service téléphonique sera toujours assuré par les conseillers mutualistes répartis sur le territoire métropolitain.
 
 Pour joindre la Réunion, les Antilles et Mayotte, les numéros actuels seront toujours en vigueur.
 

Une nouvelle adresse postale pour l’ensemble des courriers adhérents

 

MGEFI

6, rue Bouchardon

CS 50070

75481 Paris Cedex 10

 

 

J -5
Nouveau siège de la MGEFI
Le 9 décembre prochain, la Mutuelle s’installe rue Bouchardon à Paris dans le 10e arrondissement.

mardi 3 décembre 2013

MINE D'INFOS: La Mutualité Française et la MIVILUDES signent une...

MINE D'INFOS: La Mutualité Française et la MIVILUDES signent une...: pour informer sur les risques de dérives sectaires dans le domaine de la santé     Thérapies complémentaires : un fort dévelo...

La Mutualité Française et la MIVILUDES signent une convention cadre


pour informer sur les risques de dérives sectaires dans le domaine de la santé

 
 
Thérapies complémentaires : un fort développement,  une nécessaire vigilance sur le risque de dérives sectaires avéré

 

Il existe de nombreux termes pour qualifier les médecines non conventionnelles, qui peuvent présenter des ambigüités et reflètent des conceptions bien différentes : médecines douces, médecines naturelles, médecines parallèles, médecines alternatives, médecines complémentaires …

 

L’Académie de Médecine préconise celui de « thérapies complémentaires » car « il évite l’appellation tout à fait injustifiée de "médecines" et implique que ces pratiques ne sont que de possibles compléments aux moyens de traitement qu’offre la médecine proprement dite, à laquelle elles ne sauraient se comparer ni se substituer ».

 

Risque de dérives sectaires en santé

La Miviludes indique, dans son guide « Santé et dérives sectaires » publié en 2012, que « les dérives sectaires dans le domaine de la santé représentent près de 25% de l’ensemble des signalements [qu’elle reçoit] ». Ce chiffre est en constante augmentation.

 

Elle identifie notamment ce type de risque pour certaines thérapies complémentaires. Leur nombre très important (plusieurs centaines) ne facilite pas l’évaluation de ces pratiques.

 

Profil des personnes ayant recours aux thérapies complémentaires

Selon un sondage de l’IFOP réalisé en novembre 2007, « Les Français et les médecines naturelles » :

 

Près de 4 des Français sur 10 se tournent vers les médecines non conventionnelles.

Le profil type serait une femme de 30 ans, de catégorie socioprofessionnelle moyenne ou supérieure, résidant dans une commune urbaine.

 

Toutefois, dans sa note d’octobre 2012, le Centre d’Analyse Stratégique estime que le profil des usagers se diversifie et que cela concerne tous les profils, quels que soient l’âge, le genre ou le niveau socioculturel.

 

Le choix du praticien se fait 3 fois sur 4 par bouche à oreille. On peut toutefois noter une certaine complémentarité entre la médecine allopathique et les médecines non conventionnelles : dans un tiers des cas, le nom du praticien est indiqué par le médecin traitant.

 

Recevoir les éléments par mail : nansellsalles@mgefi.fr

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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MINE D'INFOS: 54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PR...: Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé »   Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion de...

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54% DES FRANÇAIS DECLARENT ETRE DE PLUS EN PLUS PREOCCUPES PAR LES QUESTIONS DE SANTE


Une étude Ifop/Capital Image « les Français et l’information santé »

Une étude Ifop/Capital Image*, réalisée à l'occasion des 25 ans de l’agence de Relations Publiques santé et divulguée au 24ème Festival de la Communication Santé, révèle que 54% des Français interrogés déclarent être de plus en plus préoccupés par les questions de santé. Malgré leur caractère souvent anxiogène, les multiples informations santé qu’ils reçoivent et consomment ont pourtant des effets bénéfiques pour 82% d’entre eux : approfondissement des connaissances, modification de certains de leurs comportements, échanges avec leur médecin. Cependant, parmi le flot d’informations diffusées, notamment sur Internet et les réseaux sociaux, il est difficile de s'y retrouver. D'où le rôle essentiel de pédagogie des médias, des émetteurs et transmetteurs d’informations santé, pour un public qui a de plus en plus besoin de repères.



PLUS D’UN FRANÇAIS SUR DEUX EST DE PLUS EN PLUS PRÉOCCUPÉ PAR LES QUESTIONS DE SANTÉ

Selon l’étude Ifop/Capital Image, 54% des Français indiquent considérer les questions de santé comme étant de plus en plus préoccupantes.


"Ce chiffre important répond à la multiplication des messages de santé avec la diffusion d'informations à la fois de plus en plus nombreuses, diversifiées et aussi parfois anxiogènes’’ commente Damien Philippot, Directeur des Études, Département Opinion, Ifop.


‘’Les campagnes de santé publique, les informations concernant la sécurité sanitaire, l’allongement de la durée de vie et le souhait de rester en bonne santé le plus longtemps possible expliquent et justifient l'intérêt croissant des Français pour l'information concernant leur santé" ajoute Stéphanie Chevrel, Co-fondatrice et DG de l'agence Capital Image


Damien Philippot

’Dans la crise, c’est le corps qui souffre. Santé et insécurité sont deux grands thèmes symptomatiques de la souffrance actuelle des Français. Alors que la santé revêt une importance plus forte pour les citoyens - l'étude le confirme - ils observent un recul du collectif et ne croient plus guère dans notre système étatique de protection sociale, pas plus que dans l’égalité des soins. Leur souffrance s’en trouve accrue. Les mots qui les inquiètent le plus ? Stress, précarité, maladie, perte d’autonomie. Leurs principaux espoirs : la recherche médicale, l’innovation’’ explique Denis Muzet**, Sociologue, Président de l’Institut Médiascopie.



* Source : étude Ifop/Capital Image (1/2). Interviews par questionnaire auto-administré en ligne du 17 au 19 juillet 2013 auprès d’un échantillon de 1007 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

** Auteur de « Les mots de la crise », Editions Eyrolles, 2013



 LA TELEVISION RESTE LE CANAL LE PLUS UTILISÉ POUR SUIVRE L’INFORMATION SANTÉ


42% des personnes interrogées (contre 53% en 2003**) déclarent suivre l’information santé à la télévision ; 30% (contre 36% en 2003) la suivent dans la presse écrite et 19% à la radio (contre 26% en 2003).

36% se rendent sur les sites Internet d’information alors que 20% vont sur les blogs et forums.


"La consommation d'informations santé est plus forte chez les plus jeunes, ce qui peut paraître surprenant à un âge où on a moins de chance d'être atteint de maladies graves. On peut supposer que les personnes plus âgées vont préférer se renseigner directement auprès de leur médecin" constate Damien Philippot.



‘’Certains experts ont souvent annoncé la mort de la télévision. Si ce média est touché par la montée en puissance du web, il reste très apprécié des Français, et c’est encore plus vrai pour l’information santé qui fait appel à la raison, à la science et aussi beaucoup à l’émotion. Mais aucun média à lui seul ne suffit à alimenter l’appétit d’information santé ; les médias jouent tous ensemble. Les Français élaborent leur menu, ils apprécient leur grande liberté dans le choix de leur consommation‘’ précise Denis Muzet.



59% DES FRANÇAIS VONT MODIFIER CERTAINS DE LEURS COMPORTEMENTS


Après avoir entendu parler d’un sujet santé dans les médias, 82% des Français déclarent agir tandis que 18% ont le courage d’affirmer qu’ils ne vont rien faire du tout ! Plus précisément, 2/3 (66%) vont chercher à approfondir leurs connaissances et 59% vont modifier certains de leurs comportements.


35% VONT ALLER CONSULTER LEUR MEDECIN

Ils sont 55% à évoquer avec leur médecin les sujets abordés dans les médias lors d'une consultation déjà prévue alors que 35% iront le consulter délibérément après en avoir entendu parler dans les médias. "On peut noter que la relation plus forte des personnes les plus âgées avec leur médecin les conduit à davantage interagir avec celui-ci " ajoute Damien Philippot.


‘’Les Français vont chercher sur Internet un ensemble d’informations qui vont leur permettre de creuser tel ou tel sujet, de décider d’aller chez leur pharmacien ou chez leur médecin. Avec Internet, l’individu se sent libre d’explorer et de se faire en peu de temps un bagage d’information. Certaines informations sont d’intérêt inégal, plus ou moins fiables mais en même temps, les internautes ne sont pas dupes’’ indique Denis Muzet.
Denis Muzet


**Sondage A+A/Capital Image réalisé par téléphone du 12 au 13 décembre 2003 auprès d’un échantillon de 1004 personnes, représentative de la population française âgée de 18 ans et plus



MAIS DEUX FRANÇAIS SUR TROIS TROUVENT L’INFORMATION SANTÉ FLOUE ET CONTRADICTOIRE


Attentifs à l’information santé, les Français se montrent cependant particulièrement critiques sur la qualité perçue de cette information : 69% déclarent qu’elle est souvent floue et contradictoire ; une minorité seulement juge qu’elle est toujours compréhensible (39%) et toujours fiable (25%). D’autre part, 44% estiment que l’information santé est trop importante et ils sont 42% à juger qu’elle est souvent inutile.



En matière d’information santé comme d’ ‘’information tout court’’, les Français doutent de plus en plus. La responsabilité des communicants santé – et des médias – est grande. Donner la parole à l’ensemble des acteurs et adopter une relation de transparence est une bonne posture. On peut ensuite picorer l’information, écouter le point de vue des uns et des autres, puis se faire une opinion. Ce que les individus n’aiment pas, c’est une parole unique ; ou encore, derrière un semblant de diversité, des points de vue biaisés » réagit Denis Muzet.



« Chez Capital Image, nous communiquons sur des questions de santé depuis 25 ans. Nous sommes très attentifs au choix des sujets que nous médiatisons. Nous nous posons toujours la question de savoir s'il est opportun de communiquer ou pas, comment nous allons communiquer, quels messages nous allons transmettre. Nous nous attachons à ce que les informations transmises soient utiles au plus grand nombre. Nous donnons la parole à tous les acteurs de la santé, aux experts comme aux patients. Notre responsabilité est importante car, relayées par les médias et les réseaux sociaux, nos informations sont accessibles aux malades et à leur entourage. Nous ne pouvons donner de fausses promesses et susciter de faux espoirs » indique Stéphanie Chevrel.


Stéphanie Chevrel


« Les résultats de cette étude sont un message encourageant aux bonnes pratiques pour tous les émetteurs et transmetteurs d’informations santé dont leur rôle est essentiel - effort de pédagogie, utilité, simplicité et clarté de l'information, filtrage et indication des sources - pour un public qui a de plus en plus besoin de transparence mais aussi de repères " conclut Stéphanie Chevrel.



 

Retrouvez les résultats de l’étude, l’infographie, les slides et les itws vidéos sur


www.capitalimage.net - www.acteursdesante.fr

 

 

A propos de Capital Image :

« Marquer les esprits. Faire évoluer les comportements » est le credo de Capital Image, agence de Relations Publics et Relations Médias Santé, créée en 1988 par Stéphanie Chevrel (IFP) et Gaël de Vaumas (CFPJ). Cette agence santé engagée cherche à bousculer les idées reçues et marquer les esprits pour faire évoluer les perceptions et les comportements de santé des Français. A l’origine de nombreuses campagnes d’information, Capital Image est, avec plus de 25 récompenses en 10 ans, l’agence de Relations Publiques Santé la plus primée en France.


NDLR : MGEFI et Baromètre Santé des Fonctionnaires.



· 1er baromètre santé des fonctionnaires - synthèse de l'enquête

 L’analyse des réponses des adhérents de la MGEFI
 
Dans le but de prévenir et de gérer de manière globale les risques de santé, et, à terme, de créer un guichet de santé unique, la Mutualité Fonction Publique Services* (MFP Services) a mené en 2011 une étude auprès de 15 700 (2) agents de la fonction publique pour cerner la perception qu’ils ont de leur santé et d’identifier leurs attentes.
 
Cette étude est la 1ère pierre d’un projet plus ambitieux encore : « Prévention Horizon 2013 » qui va permettre dès 2013, de mettre en œuvre un ensemble de mesures destinées à anticiper et donc gérer le risque santé : la prévention comme démarche de santé publique.

 
Le succès du baromètre auprès des adhérents de la MGEFI

Sur un échantillon de 2 600 adhérents mutualistes MGEFI, sollicités de façon aléatoire, 1 199 personnes ont répondu, soit de plus de 45%. L’examen des questionnaires montre que la démarche de MFP Services répond à une véritable attente.

Une bonne attitude vis-à-vis de la santé

Les répondants MGEFI sont, à 87,2%, satisfaits de leur état de santé et neuf sur dix évaluent leur qualité de vie de manière positive, une perception sur ces 2 points meilleure que celle de la population française.
 
Plusieurs facteurs peuvent l’expliquer : Les adhérents ont une bonne attitude générale vis-à-vis de leur santé. Ils se déclarent  majoritairement à jour de leurs vaccins et disent accorder une confiance élevée aux professionnels (médecins et pharmaciens). Ils sont deux fois moins nombreux à prendre des médicaments non prescrits.

 Des comportements favorables au maintien d’une bonne santé : une grande majorité des répondants jugent leur alimentation équilibrée et ils s’inscriraient dans des comportements à risque de manière moins prononcée vis-à-vis du tabac, du jeu et des drogues. Ainsi, 42,9% n'ont jamais fumé de leur vie et 11,2% sont des fumeurs habituels. En France, ce pourcentage est généralement supérieur à 30%. En revanche, s'agissant de la dépendance à l'alcool, 10% semblent présenter une addiction (deux fois plus d'hommes que de femmes), soit autant que parmi la population française.

Des disparités importantes

Ce bon bilan d'ensemble, ne doit cependant pas occulter d'importantes disparités ainsi la perception de la maladie chronique (notamment cardiaque et métabolique) est beaucoup plus marquée chez les adhérents MGEFI que dans la population française. Le Baromètre Santé laisse aussi apparaître un nombre important de répondants concernés par la perte d'autonomie : 10,3% sont « aidés » et 12,9% sont « aidants ».

Par ailleurs, plus d'un tiers se sent fréquemment stressé (les femmes se révélant plus sujettes au stress), moins satisfait de son sommeil et de son travail que la moyenne nationale, et estime  que son travail a un impact sur sa santé.

Un besoin d'information et de prévention

Tout au long du questionnaire, les adhérents ont pu exprimer des attentes en matière d'informations et d'actions, parfois relatives à leur environnement professionnel. Parmi les personnes ayant déclaré avoir une maladie chronique, 49,8% souhaitent obtenir des informations précises sur leur problème de santé et leur médicament.

63,6% des actifs MGEFI sont également intéressés par la mise en place d'ateliers de prévention et de promotion de la santé sur leur lieu de travail, ce qui laisse penser que les fonctionnaires gérés par la MGEFI sont bien plus demandeurs que l'ensemble des actifs français.

Ce sont les thématiques du stress, du travail sur écran et des troubles musculo-squelettiques qui sont le plus souvent évoqués. Plus du tiers des personnes interrogées souhaitent, par ailleurs, obtenir des informations sur l'alimentation. Quant à la prévention, 87,8% souhaitent de l'information sur les dépistages, 61% sur la maladie d'Alzheimer, et 48,5% sur les risques cardiaques.


En conclusion

Ce premier Baromètre Santé – qui sera renouvelé tous les trois ans - a permis de recueillir des informations riches, diverses et de cerner une partie des attentes des adhérents.

En ce sens, la MGEFI, qui initie déjà un certain nombre d'actions de santé publique à destination de l'ensemble de ses adhérents, actifs et retraités, a mis en place courant 2013, des actions locales enrichies par les conclusions de cette enquête.

                                                                       

* MFP Services est délégataire de la gestion du régime obligatoire d'assurance maladie obligatoire pour 21 mutuelles de la Fonction publique, dont la MGEFI.

 2)    5 populations distinctes : MFP Services comprenant les agents des différents ministères (hors Education Nationale), les adhérents de la MGEFI, de la MMJ de la MCDEF et de la MGAS.

  
LA RETRAITE

Près de 8 actifs sur 10 pensent à leur retraite, principalement préoccupés par ses aspects financiers (80%) et l'organisation de nouvelles activités, culturelles ou associatives (69,4%). Un quart des retraités ont préparé leur retraite. Mais plus de 45% d'entre eux n'ont pas d'activité extérieure.

LE PROFIL DES RÉPONDANTS MGEFI

59,2% de femmes et 40,8% d'hommes. 

51,5% ont plus de 60 ans.

48,2% sont des actifs et 51,8% sont des retraités.

41% sont titulaires de catégorie B, 33,2% sont titulaires de catégorie C et 25,8% sont titulaires de catégorie A et A+.

73,1% déclarent avoir un accès facile à Internet.


Adoption de la loi sur l'expérimentation des maisons de naissance

L’UNSSF salue l’adoption de l’expérimentation des maisons de naissance
L’UNSSF prend acte du vote de mesdames et messieurs les députés du 28 novembre 2013 autorisant l’expérimentation des maisons de naissance pour une durée de 5 ans.
L’UNSSF, premier syndicat des sages-femmes, porte ce projet des maisons de naissance de longue date, considérant qu’il offre aux femmes ayant des grossesses physiologiques une prise en charge adaptée et aux professionnels de la filière maïeutique une marge de manœuvre signifiante.
Les maisons de naissance s’inscrivent dans le projet plus vaste de l’UNSSF de la prise en charge de la grossesse et de l’accouchement physiologiques en France. C’est un premier pas significatif que l’UNSSF salue.
L’UNSSF poursuit son travail de longue haleine pour que soient reconnues les compétences des sages-femmes, professionnels de santé de premier recours dans la prise en charge de la santé des femmes permettant de préserver accès aux soins de qualité et prévention en périnatalité.
 

MINE D'INFOS: « Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est ...

MINE D'INFOS: « Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est ...: la Mutualité Française en campagne sur le rôle indispensable des mutuelles   La Mutualité Française du 1 er au 22 décembre 2013 re...

« Une mutuelle, c’est utile – Une mutuelle, c’est concret »,

la Mutualité Française en campagne sur le rôle indispensable des mutuelles

 
La Mutualité Française du 1er au 22 décembre 2013 reprend la parole dans les médias. Elle lance une campagne de communication dans la presse quotidienne nationale et régionale(1). A travers deux accroches qui utilisent un ton décalé, cette campagne interpelle le grand public sur les besoins en santé auxquels les mutuelles répondent concrètement.

 

 
 
 
 


Les deux accroches, « On peut vivre sans les mutuelles. Il suffit de n’être jamais malade » et « Vivre sans les mutuelles, ne serait-ce pas une solution à courte vue ? » soulignent le fait qu’aujourd’hui les mutuelles sont indispensables pour prendre en charge parfois jusqu’à 46% des soins courants remboursables, quand ce n’est pas la quasi-totalité pour certains secteurs comme l’optique.

 

Un renvoi sur le site www.mutualite.fr

 

Cette campagne renvoie au site de la Mutualité Française : www.mutualite.fr, pour expliquer en quoi une mutuelle est indispensable et quelles sont aujourd’hui les inégalités d’accès aux soins auxquelles les mutuelles souhaitent répondre. Les internautes peuvent y retrouver les propositions de la Mutualité Française.

 

(1) Cette campagne paraît dans la presse quotidienne nationale, « Le Journal du Dimanche », « Les Echos », « Le Parisien Aujourd’hui en France » et dans la presse quotidienne régionale. Elle est également présente sur internet sur les principaux sites d’information générale et de relais d’opinion : les sites de la PQR, lemonde.fr, liberation.fr, lefigaro.fr…

 

A propos de la Mutualité Française

 

Présidée par Etienne Caniard, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles santé en France, soit près de 500. Six Français sur dix sont protégés par une mutuelle de la Mutualité Française, soit près de 38 millions de personnes et quelque 18 millions d’adhérents.

 

Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Ce sont des organismes à but non lucratif, des sociétés de personnes : elles ne versent pas de dividende. Régies par le code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.

 

Les mutuelles disposent également d’un réel savoir-faire médical et exercent une action de régulation des dépenses de santé et d’innovation sociale à travers près de 2 500 services de soins et d’accompagnement mutualistes : établissements hospitaliers, centres de santé médicaux, centres dentaires et d’optique, établissements pour la petite enfance, services aux personnes âgées et aux personnes en situation de handicap, etc.

 

Pour accompagner leurs adhérents tout au long de leur vie pour tous leurs problèmes de santé, elles mettent à leur disposition Priorité Santé Mutualiste, le service d’information, d’aide à l’orientation et de soutien sur des questions de santé.

 

La Mutualité Française contribue aussi à la prévention et à la promotion de la santé à travers son réseau d’unions régionales et ses services de soins et d’accompagnement.


 



 
NDLR : MGEFI et Mutualité Française
 
La MGEFI soutient et s’associe pleinement à cette campagne





 

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