Nora ANSELL-SALLES

jeudi 21 février 2019

Qui sont les nouveaux anarchistes


QUI SONT LES NOUVEAUX ANARCHISTES ?
 


Les zadistes de Notre-Dame-des-Landes et les « cortèges de tête » des dernières grandes manifestations sont l’objet d’une curiosité décuplée. Mais sait-on vraiment qui sont ces militants, comment ils s’organisent et quel sens ils confèrent à leur action ?
 

Francis Dupuis-Déri sera à Paris du 25 février au 2 mars
 


Francis Dupuis-Déri, Les nouveaux anarchistes, De l'altermondialisme au zadisme, Éditions Textuel.

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RÉVEILLE-TOI !
 


Vous vous sentez éreinté, stressé, oppressé ? Suivez le guide ! Ruby Wax, scénariste d'Absolutely Fabulous, qui connaît comme sa poche le pays de l’épuisement perpétuel, vous offre ici, avec son humour dévastateur, le meilleur itinéraire de sortie et les meilleures destinations où se reposer et faire le plein.


Ruby Wax sera à Paris les 20 et 21 mars

Ruby Wax, Réveille-toi ! Petit précis de pleine conscience à l'attention des gens surmenés,Éditions du Cherche midi, en librairie le 21 mars

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GLORIA STEINEM, UNE ICÔNE FÉMINISTE
 


Gloria Steinem, aujourd’hui âgée de 83 ans, est une icône féministe américaine, inscrite au Women’s National Hall of Fame. Journaliste, écrivain, elle a fondé le magazine féministe Ms. et, avec Jane Fonda et Robin Morgan, le Women’s Media Center, une organisation qui se bat pour rendre les femmes plus présentes et plus visibles dans les médias.
 

GLORIA STEINEM SERA À PARIS DU 19 AU 21 MARS
 


Gloria Steinem, Ma vie sur la route, Édition Harper Collins, en librairie le 13 mars. Préface de Christiane Taubira.

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YANNICK JADOT


 

Tête de liste des écologiste à l'élection européenne de mai prochain, Yannick Jadot écrit ici un livre coup de poing pour appeler les citoyens à se réapproprier notre commun destin européen. Car nous ne sommes condamnés ni à l'arnaque libérale, ni au hold-up populiste. L'Europe est et sera ce que l'on fait d'elle…

Yannick Jadot, Aujourd'hui, tout commence ! Pour une Europe enfin démocratique, écologique et solidaire, Les Liens qui Libèrent.DÉCOUVRIR LE LIVRE

SOIGNER N'EST PAS DROGUER
 


Une baisse d'attention, une agitation excessive, un chagrin d'amour : un petit cachet, et le tour est joué ! Le moindre écart émotionnel ou comportemental est aujourd'hui médicalisé. Roland Gori & Hélène Fresnel dénonce cette ère de l'Homo drogus.

Roland Gori & Hélène Fresnel, Homo Drogus, HarperCollins, en librairie le 6 mars.DÉCOUVRIR LE LIVRE

LES ENFERS DE LA FINANCE
 


Ce livre est qualifié par Jean-Claude Trichet d'«inclassable, est un cri d'alarme que je crois fondé. Si rien n'est fait pour infléchir le cours des décisions privées et publiques, nous affronterons inéluctablement une nouvelle crise financière mondiale.»
 

GEORGES UGEUX SERA À PARIS DU 19 AU 21 MARS
ET LES 18 ET 22 MARS EN BELGIQUE
 


Georges Ugeux, préfacé par Jean Claude Trichet, La descente aux enfers de la finance, éditions Odile Jacob, en librairie le 13 mars.

 


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Cancer et reprise du travail


Cancer et reprise du travail, pas si simple !
Par Valérie Sugg
 


La reprise du travail après le cancer est souvent traitée comme toute autre maladie, en vérité la réalité est tout autre.

Du rêve à la réalité : une autre vie !
Les traitements sont enfin terminés et, alors que les personnes malades pensaient se réjouir pleinement d'en avoir enfin terminé avec opérations, chimio ou radiothérapie, voilà que s'annonce parfois l'hormonothérapie mais en tout cas, ce qui est sûr, c'est que le programme est moins réjouissant qu'annoncé. Du jour au lendemain, fini l'équipe soignante présente, prête à répondre aux questions, à rassurer, c'est le grand saut, il va falloir apprendre à vivre sans et surtout à reprendre confiance en soi ; La période d'après traitement, est cette phase durant laquelle autant l'équipe soignante que les proches ont tendance à vouloir tourner la page alors que pour le malade, ce n'est pas forcément le cas parce que il ne se sent pas guéri et/ou que l'angoisse d'une récidive est très présente. Mais voilà, outre le fait que tout le monde semble reprendre son train train quotidien, cette personne est souvent coincée entre le besoin de se reposer parce que la fatigue est encore bien présente et l'envie de reprendre son travail, parfois c'est plutôt l'aspect financier qui la pousse à reprendre.

La reprise du travail est souvent attendue car c'est rassurant de retourner dans le monde des « biens portants » de ceux qui ne savent pas à quel point tout est fragile et chacun aimerait retrouver cette inconscience, cette insouciante et se fondre dans son poste comme avant mais c'est peine perdue. Pourquoi ? Parce que rien n'est plus comme avant !  Déjà, l'ancien malade a changé et puis autant certains environnements professionnels savent en tenir compte autant d'autres feraient tout pour le faire comprendre qu'il n'est plus le bienvenue, pas assez rentable. 
 
Retour au travail, rien n'est plus comme avant !
C'est complexe, le plus souvent, de revenir du monde des malades, de la fragilité des choses au stress du boulot qui n'en a cure de votre fatigue, des troubles de la mémoire, des difficultés de concentration, des douleurs parfois, encore, des angoisses et pertes de confiance en soi et j'en passe. Alors que chacun rêvait de retrouver sa place c'est parfois difficile, déstabilisant, culpabilisant de ne plus avoir le même entrain qu'avant, d'avoir besoin de plus de temps pour trouver ses marques. C'est souvent violent parce que très vite cette personne prend conscience que rien ne sera jamais plus comme avant alors que l'employeur, les collègues exigent vite de retrouver son niveau d'efficacité d'avant. De petites remarques, des réactions agacées ou autre vont accroitre ce sentiment de ne pas être à la hauteur alors que soyons clairs, il est impossible, après l'épreuve du cancer et l'impact des traitements de retrouver l'efficience d'avant, en tout cas pas tout de suite et cela dépend aussi des traitements supportés, endurés et des particularités de chaque travail. Cette course effrénée pour retrouver son niveau d'avant risque hélas d'épuiser encore plus chacun et le monde du travail devrait être mieux informé des particularités du retour des personnes ayant été malades afin de permettre un retour progressif, ne pas exiger l'impossible.

Il va falloir apprendre à accepter de ne plus être tout à fait comme avant, accepter ses limites et faire avec et ce n'est pas facile. Pour d'autres le retour au travail va être la confirmation d'un besoin d'envisager l'avenir professionnel autrement et là, rares sont les entreprises qui accompagnent les salariés sur le chemin d'une évolution de poste et pourtant, ces personnes en ont besoin. C'est dommage car le plus souvent les entreprises pénalisent les personnes qui reviennent après une maladie refusant une promotion, un changement de poste, une adaptation de celui-ci avec parfois même des sortes de mise au placard dans l'objectif que la personne concernée finisse par partir démissionner et même parfois, de façon totalement odieuse et insupportable c'est le licenciement. 
Il demeure aussi l'idée qu'une personne qui a eu un cancer fait peur,  que les gens ont des croyances plus que des connaissances, que penser qu'une personne qui revient après un cancer sera à 100 % est une erreur et penser aussi que la personne malade qui revient ne fait pas d'effort, se laisse aller, s'écoute, est aussi une erreur grossière, il faudrait le dire plus souvent.

Ne pas se précipiter, s'informer et préparer son retour… si possible.
Donc prendre son temps, ce n'est pas un luxe. Ensuite, prendre contact avec son entreprise, voir comment le retour peut se faire, peut-être en mi-temps thérapeutique si besoin, pourquoi pas, pour revenir de façon prudente (à condition de ne pas transformer ce mi temps en plein temps…)  Prendre rendez-vous avec la médecine du travail peut aussi permettre de mieux situer le cadre du retour à votre poste, d'en discuter. Rentrer en contact avec des collègues peut aussi préparer votre retour en vous mettant au courant des nouveautés, de l'ambiance, de la charge de travail etc…
Mais soyons clairs, tant que cela est possible, il faut prendre le temps de bien récupérer avant de reprendre le travail et si ce n'est pas possible, d'adapter autant que possible son emploi du temps à son état. Reprendre le travail après une maladie grave demeure compliqué dans notre société qui exige que chacun soit rentable, efficace, qu'il respecte des échéances, rentre dans les cases, atteigne des objectifs parfois totalement délirants, cette société qui hélas manque trop souvent d'empathie envers ceux que la vie a blessés.
 
Valérie Sugg
Psychologue en cancérologie dans un service hospitalier pendant vingt ans. Auteure de plusieurs livres sur la santé : 
-           « Cancer : sans tabou ni trompette »
-           « L'hôpital : sans tabou ni trompette, soignés et soignants en souffrance ».
-           « Cancer : l'accompagnement ».
Tous ses livres sont publiés par les éditions Kawa. Page Facebook :https://www.facebook.com/SuggValerie/
 
Contact Presse
Suzana Taunais-Biseul
GSM: + 33 (0)6 61 95 34 89
e-mail :suzanabiseul@bbox.fr
site : http: //www.suzanarp.fr/
 

PAUVRETÉ


Agnès BUZYN

ministre des Solidarités et de la Santé

 

Jacqueline GOURAULT

ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales

 

 

 

Christelle DUBOS

secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé

 

Adrien TAQUET

Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé

 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Stratégie Pauvreté : lancement de la contractualisation entre l’Etat et les Conseils départementaux

 
Paris, le 21 février 2019
 
Réunis à l’occasion d’un séminaire en présence du Premier ministre, les Présidents des Département de France et le Gouvernement ont officiellement lancé la mise en œuvre de la contractualisation entre l’État et les Conseils départementaux, étape essentielle dans la mise en œuvre de la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté annoncée par le Président de la République le 13 septembre. Dès 2019, 135 millions d’euros seront ainsi attribués aux Départements signataires de ces conventions.
Jeudi 21 février, le séminaire réunissant les Présidents des Départements de France organisé à l’Elysée, en présence du Premier ministre, d’Agnès BUZYN, ministre des Solidarités et de la Santé, deJacqueline GOURAULT, ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, de Christelle DUBOS, secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé, d’Adrien TAQUET, secrétaire d’État auprès de la ministre des Solidarités et de la Santé, et deDominique BUSSEREAU, Président de l’Assemblée des Départements de France a fixé l’objectif d’étendre la contractualisation sur l’ensemble des départements de France d’ici fin juin 2019.
Pour déployer la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté, le gouvernement a en effet lancé une démarche inédite de contractualisation avec les Départements, répondant ainsi aux préoccupations exprimées par ces derniers lors de la concertation ayant précédée la construction de la stratégie pauvreté.
Ces conventions, dont le contenu a été construit avec l’ADF, assurent la mise en œuvre d’objectifs définis conjointement, avec des résultats à atteindre, des référentiels et des indicateurs de suivi, les Départements ayant pleine liberté sur le choix des moyens pour y parvenir. Elles prévoient un engagement de l’État et des Départements sur deux volets :
-          Une partie socle, commune à tous les Départements, définit les objectifs et résultats à atteindre concernant l’accompagnement des sorties de l’aide sociale à l’enfance, la généralisation des démarches de premier accueil social inconditionnel et de référent de parcours l’amélioration de l’insertion et l’accompagnement des allocataires du revenu de solidarité active.
 
-          Une partie laissée à l’initiative des Départementsvise à financer les projets spécifiques, à impact direct pour nos concitoyens et porteurs d’innovation sociale s’inscrivant dans le cadre de des objectifs de la stratégie pauvreté.
Un fonds de contractualisation, d’un montant 135 millions d’euros en 2019 sera porté a minimaà 210 millions d’euros en 2022 pour financer les projets des Départements signataires.
Dès le mois de décembre 2018, une première phase de contractualisation avec onze Départements démonstrateurs de la stratégie pauvreté avait été lancée : Bas-Rhin, Meurthe et Moselle, Nord, Pas-de-Calais, Gard, Indre-et-Loire, La Réunion, Loire-Atlantique, Haute-Garonne, métropole de Lyon et Seine-Saint-Denis ont ainsi accepté de s’engager dans la contractualisation prévue par la stratégie pauvreté au début de l’année 2019.
C’est à partir des territoires que la stratégie nationale de prévention et de lutte contre la pauvreté est pilotée et grâce aux Départements, chefs de file de l’action sociale, elle se met progressivement en œuvre dans les territoires.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

Contacts presse :

Ministère des Solidarités et de la Santé :sec.presse.pauvrete@sante.gouv.fr

Ministère de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales :communication.jg@cohesion-territoires.gouv.fr

 

Les ministères sociaux agissent pour un développement durable.
Préservons l'environnement : n'imprimons que si nécessaire !

vendredi 15 février 2019

Handicap Zéro


Yves Rocher, accompagné de HandiCaPZéro, s’engage à prendre soin d’elles en leur offrant :
- l’édition adaptée du Livre Vert de la Beauté 2019 (braille et audio)
- de nouvelles étiquettes pour identifier les produits (soins visage et corps, maquillage)
- de nouveaux rendez-vous beauté sans miroir pour apprendre à se maquiller un peu partout en France
Pour en savoir +, accédez aucommuniqué de presse (pdf)
Bien à vous
 
 
Stéphanie Cuppini
stephanie.cuppini@handicapzero.org
+33 1 53 40 95 52
+33 6 13 06 67 78

handicapzero.org
                                                   

Une jonquille pour Curie

Donnez un coup de pouce à l'institut Curie, dans sa lutte contre le cancer, en achetant des jonquilles dans le cadre de leur operation.

Découvrez le Tweet de @ZOOM_Actus : https://twitter.com/ZOOM_Actus/status/1096358202361417728?s=09

mardi 12 février 2019

MFP Services le couperet tombe...






Mutuelles : MFP Services abandonne la gestion du régime obligatoire

LAURE VIEL | 17/05/2018 à 16h00

MUTUELLE DE LA FONCTION PUBLIQUE CNAM

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Le siège de MFP Services, dans le 13ème arrondissement parisien

Le conseil d’administration de MFP Services a voté à l'unanimité le transfert définitif de son activité de gestion des frais de santé du Régime obligatoire vers l'opérateur Caisse nationale d'assurance maladie (CNAM).

Depuis plusieurs mois, il était de notoriété publique que MFP Services, opérateur historique de la gestion du régime obligatoire d’assurance maladie des fonctionnaires*, s’interrogeait sur la pertinence de la poursuite de son activité de gestion du régime obligatoire d'assurance maladie. Le couperet est tombé, jeudi 17 mai, avec le vote à l’unanimité, par le conseil d’administration, du transfert définitif de la gestion des frais de santé du régime obligatoire vers la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam). Formellement, ce transfert interviendra à compter du 1er mars 2019. L’ensemble du personnel affecté à cette branche d'activité sera transféré dans les effectifs de la Cnam.
La responsabilité de la Sécu
La décision de MFP Services est liée à la baisse continue des remises de gestion octroyées par la Cnam au titre de la gestion du régime obligatoire. « La signature, en février 2018, de la Convention d'orientation et de gestion (COG) de la Cnam par la ministre de la Santé a lourdement pesé dans notre décision de stopper la gestion des frais de santé du Régime obligatoire en interne. Cette convention augure, en effet, une baisse drastique des remises de gestion. Elle ne permet plus à MFP Services d'assurer cette activité de gestion des frais de santé du Régime obligatoire », explique Bruno Caron, président de MFP Services.

Recentrage sur la prévention
Cette décision marque un tournant dans l’histoire de MFP Services, qui avait déjà, en juin 2016, cessé la gestion du régime complémentaire pour le compte des mutuelles. Dans la continuité d’actions déjà engagées depuis début 2017, MFP Services annonce aujourd’hui son recentrage sur les activités de gestion du risque santé et de la prévention, passant, selon Bruno Caron, « du concept d'assurance maladie à celui d'assurance santé ». A ce titre, MFP Services sera le relais de la Cnam en diffusant tous les programmes et les opérations nationales. Elle mènera aussi des actions spécifiques portant sur les risques et problématiques propres à la fonction publique.
* MFP Services fédère aujourd’hui treize mutuelles partenaires –CDC Mutuelle, Harmonie Fonction Publique,Intériale, LAMIE, MAEE, MCDef, MCF, MGAS, MGEFI, MGP, MMJ, MNH, MNT.

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dimanche 10 février 2019

L'alcool serait plus préjudiciable aux femmes


Alcool, mais pas si cool quand il y a une consommation répétée et une difficulté à se réfréner. Et si on avait sous-estimé les conséquences de la consommation d’alcool chez la femme ?

© Monkey Business




Certains alcools sont de plus en plus sucrés, aromatisés, et arborent un design « tendance » pour plaire à la femme. Que ce soit à la maison ou à l’extérieur, il n’est plus indécent pour une femme de consommer des bières, cocktails ou autres spiritueux pour s’amuser, se détendre, combattre le stress de la vie. Parce que l’alcool apporte une sensation de détente, d’euphorie, voire d’excitation ; il permet une désinhibition, un affranchissement de la timidité, une liberté de la parole et un lâcher-prise. 

Depuis les années 70, la consommation d’alcool a diminué en France. Mais à l’inverse, elle a progressé chez la femme. Aujourd’hui, les femmes boivent autant que les hommes, de plus les statistiques font état d’une émergence de la consommation excessive d’alcool – surtout chez les femmes diplômées.

Que devient l’alcool dans le corps ? 

Malheureusement, les effets de l’éthanol sont plus préjudiciables à l’organisme de la femme (à âge et poids égal) qu’à celui de l’homme. Eh oui ! Encore une fois, la femme et l’homme ne sont pas égaux ! Face à la consommation de ce liquide non plus. Nous les femmes « trinquons » davantage : pour la même quantité d’alcool absorbée, le taux sera supérieur chez les représentantes du sexe féminin. Le cheminement de l’alcool dans l’organisme est précis : il est éliminé par la sueur, les urines et le foie, grâce à la présence d’enzymes spécifiques – qui elles sont moins efficaces chez la femme. Une consommation excessive ponctuelle, par exemple le « binge drinking » (boire de l’alcool ponctuellement, le plus rapidement possible et en grandes quantités) aurait pour conséquence des pics hormonaux. Résultat, chez la femme, l’alcool est moins bien éliminé, sans compter que ces effets néfastes durent plus longtemps et se manifestent plus rapidement.

Les conséquences

Sur le plan de la santé, les maladies qui en découlent sont dramatiques : cirrhose, polynévrites, complications neurologiques, cancers – dont ceux de la bouche, de la gorge, du foie et du sein – et certaines maladies cardiovasculaires. Côté psychologique, la honte, le dégoût au réveil, etc. Selon les statistiques, 92 % des femmes alcooliques boivent en cachette et 46 % refusent d’en parler. Même pendant la grossesse, 32 % des femmes enceintes continuent de boire de façon occasionnelle.

À quel moment doit-on s’inquiéter ?

La dépendance s’installe plus vite chez la femme. On devient alcoolodépendant, quand on est parasité, qu’on en a besoin, qu’on ne peut plus s’abstenir. Les quantités d’alcool absorbées et la fréquence d’absorption sont de plus en plus importantes. On finit par boire pour ne plus être en manque. Apparaissent alors certains symptômes physiques : tremblements, sueurs, crises de tachycardie, hypertension, nausées, vomissements.

Ce qu’on peut faire : avoir une consommation contrôlée. Il n’y existe pas de seuil clair de consommation, selon l’avis d’experts de Santé publique France et de l’Inca, il existe une valeur repère unique pour les deux sexes qui est de 10 verres par semaine et pas plus de 2 verres standards par jour (équivalent à une bière, un verre de whisky, un verre de vin, environ 10 grammes). Idéalement 1 verre par jour pour la femme. Si on est une buveuse excessive, il est recommandé de se faire aider par un psychothérapeute. La dépendance à l’alcool est une maladie, et comme toute maladie, elle se soigne avec une aide appropriée. 

Bon à savoir : Il faut deux jours pour éliminer l’alcool dans son organisme.  
Plus d’infos : www.alcool-info-service.fr


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Comment moins souffrir ? Différentes techniques sont utilisées pour soulager la douleur
https://t.co/jW4Gzp5q0o
(https://twitter.com/MGENetvous/status/1092324376253390848?s=03)

Téléchargez l'application officielle Twitter sur https://twitter.com/download?s=13

samedi 9 février 2019

Santé au travail

Un collectif d’agents bretons de la Carsat s’élève contre la future réformedu système de prévention des risques professionnels. https://www.ouest-france.fr/bretagne/saint-malo-35400/sante-au-travail-les-controleurs-de-la-carsat-mobilises-contre-la-reforme-de-prevention-des-risques-6198144

Derniere minute: Pneumorel


Lu sur Ouest-France.fr : 
Le Pneumorel, médicament contre la toux, retiré du marché français : 
  https://www.ouest-france.fr/sante/medicaments/le-pneumorel-medicament-contre-la-toux-retire-du-marche-du-marche-francais-6216507

SCOPE EVENTS


Économisez sur l’organisation de votre prochain événement

C’est dans l’air du temps, la relation directe entre le producteur et le client final se généralise dans tous les secteurs, y compris dans la communication et l’événementiel.

L’intermédiation des agences représente une grande part du budget global d’un événement. La plupart des agences font appel à des ressources externes free-lance pour mettre en place les congrès, séminaires, lancements produits, conférences, salons, soirée d’entreprise …pour leurs clients.
Ces producteurs de l’ombre : chefs de projets, directeurs de productions, directeurs techniques, scénographes, responsables logistiques, régisseurs, concepteurs, graphistes …sont de plus en plus sollicités en direct par les annonceurs, qui souhaitent optimiser leurs budgets et maitriser leurs projets.

Nous avons réuni ces expertises au sein d'un même bureau de production : Scope Events.
Nous facturons uniquement du temps/jour/homme pour coordonner tous types d’événements, partout dans le monde : de l’étude de faisabilité jusqu’à la fin du démontage, en passant par la recherche de lieux, le sourcing, la négociation, la prépa, la coordination technique et logistique, le suivi de facturation...

Confiez-nous un premier projet et explorez tous les avantages d’une nouvelle forme de collaboration, plus directe donc plus efficace et bien moins onéreuse.

Parce que l’efficacité passe d’abord par la réactivité
Après étude du brief, nous vous proposerons une team sur mesure qui vous assurera une disponibilité totale.

Parce que la confiance passe par la transparence
Tous les devis des sous-traitants vous sont communiqués et vous avez la possibilité de les régler en direct si vous le souhaitez.

Notre engagement
Veiller à faire de chaque événement une réussite, par un objectif zéro faute dans sa réalisation, et en nous assurant qu’il laisse un souvenir chaleureux à tous : participants, clients, mais également les prestataires que nous veillons à traiter avec respect et équité.


A dispo, si vous souhaitez en savoir plus…



Roxane Chafei | Scope Events
Directrice de Production
+33 664914366
roxane@scope.events
www.scope.events


News de la Mutuelle de la Justice

VOYAGE EN EUROPE : QUELLES DÉMARCHES ENTREPRENDRE POUR SA COUVERTURE SANTÉ ?


07 février 2019

BIEN-ÊTRE

   

Vous partez bientôt dans un pays de l’Union européenne, mais avez-vous pensé à vous munir de la carte européenne d’assurance maladie, indispensable pour bénéficier d’une prise en charge de vos soins médicaux sur place ? Et vous êtes-vous procuré une ordonnance en dénomination commune internationale, compréhensible partout dans le monde ? Voici toutes les démarches santé à entreprendre avant de boucler votre valise.

Saviez-vous que lorsque vous partez dans un Etat européen, en cas de maladie, vous pouvez être pris en charge par l’organisme de sécurité sociale local et bénéficier des mêmes droits que les assurés du pays concerné ? Pour profiter de ce dispositif, une seule condition : détenir la carte européenne d’assurance maladie (CEAM). Ce document permet d’attester de vos droits à l’assurance maladie française et de pouvoir être couvert médicalement selon la loi en vigueur sur place. La CEAM est également utilisable en Suisse, au Liechtenstein, en Islande et en Norvège, même si ces pays ne font pas partie de l’Union européenne (UE).

ANTICIPER LA DEMANDE DE CARTE EUROPÉENNE D’ASSURANCE MALADIE

L’obtention de la CEAM se fait auprès de votre caisse primaire d’assurance maladie au moins quinze jours avant le départ, même s’il est préférable d’anticiper au maximum cette demande pour qu’elle puisse être traitée dans les temps. Il est toutefois possible de bénéficier d’un certificat provisoire en remplacement de la carte européenne d’assurance maladie si vous n’avez pas pu effectuer les démarches avant les deux semaines précédant votre séjour. Dernier cas de figure, vous n’avez pas eu le temps d’obtenir la carte ni le certificat provisoire : vous devrez avancer les frais médicaux sur place et demander un remboursement une fois rentré en France. Pensez donc à conserver l’ensemble des justificatifs et des factures.

CHECK-LIST AVANT LE DÉPART : CARNET DE SANTÉ, CARTE VITALE, MISE À JOUR DES VACCINS…

Renseignez-vous avant le départ sur les modalités de la couverture santé du pays dans lequel vous vous rendez, car les frais médicaux peuvent parfois être importants et les remboursements moins élevés qu’en France. En fonction, il peut être conseillé d’adhérer à un contrat d’assurance (pour une meilleure indemnisation) ou d’assistance (pour une aide, un service : rapatriement, prise en charge des frais de transport…) afin de limiter les coûts. N’oubliez pas également de prendre avec vous votre carnet de santé et votre carte vitale et de vérifier que vous êtes à jour des vaccins obligatoires (diphtérie, poliomyélite, tétanos) et des vaccins recommandés (coqueluche, hépatite B, oreillons, rougeole, rubéole…).

L’ORDONNANCE EN DÉNOMINATION COMMUNE INTERNATIONALE

Si vous prenez un traitement médical au moment de votre départ, il est plus prudent de se procurer une ordonnance en dénomination commune internationale (DCI). Sur ce document figure le nom de la substance active de votre médicament, inscrit de manière à être prononçable et déchiffrable dans toutes les langues. Les professionnels de santé du monde entier pourront ainsi la lire et vous délivrer le bon remède en cas de besoin.

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mardi 5 février 2019

La Mutualité publie un manifeste


EUROPE


MUTUELLES


La Mutualité publie un Manifeste sur l’Europe sociale de demain

Articles


04 février 2019


En vue des élections européennes de mai 2019, la Mutualité Française publie le 4 février 2019 un Manifeste qui appelle à construire ensemble l'Europe sociale de demain. Diffusé par plusieurs médias, ce texte est en ligne sur la plateforme europeennes.placedelasante.fr. Il est accompagné d'un questionnaire permettant aux citoyens d'exprimer leurs attentes.

"Construisons ensemble l'Europe sociale de demain !" : c'est le titre du Manifeste diffusé le 4 février 2019 par la Mutualité Française dans le cadre des élections européennes qui se déroulent le 26 mai en France, et du 23 au 26 mai dans d'autres Etats membres. D'ici fin octobre 2019, l'enjeu est de faire adopter une feuille de route sur la stratégie européenne dans ce domaine, en vue de la nouvelle mandature.
"Nous, les mutualistes, acteurs européens de la société civile et du progrès social, croyons dans une mobilisation citoyenne dans les 28 Etats membres, à laquelle nous comptons contribuer ces prochaines semaines. Le modèle mutualiste est capable de fournir des réponses aux crises économiques, sociales et démocratiques que l’Europe traverse", indique ce Manifeste mis en ligne sur la plateforme europeennes.placedelasante.fr.

Un texte disponible en 22 langues

"Notre ambition est de ranimer les idées qui ont sous-tendu la création de l'Union, en plaçant l'avenir de la protection sociale en Europe au cœur des débats politiques nationaux. A notre échelle, nous voulons porter une vision de l'Europe, juste, redistributive, respectueuse de l'humain et de l'environnement", poursuit le texte.
Disponible en 22 langues, le Manifeste est cosigné par dix partenaires européens, représentant six Etats membres : la Mutualité Française ; l'Association internationale de la Mutualité (AIM) ; VDEK, SVLFG et Knappschaft (Allemagne) ; SVB (Autriche) ; Solidaris et LCM-ANMC (Belgique) ; Fimiv (Italie) ; Montepio (Portugal).
Il est relayé par l'ensemble des membres de l’AIM, parmi lesquels les mutuelles adhérentes. C'est également le cas au sein des 39 conseils nationaux de l'association Mouvement Européen, dont le Mouvement Européen-France fait partie, qui envoie une newsletter auprès de 100.000 contacts à l’international.
Par ailleurs, le Manifeste est diffusé par Le Journal du dimanche (JDD) et plusieurs médias européens, comme Euractiv et touteleurope.eu. Un relai est assuré par Cafébabel, un magazine participatif pour les jeunes, et auprès des membres de Social economy Europe, l'organisme de représentation de l'économie sociale au niveau européen.

Une Europe qui protège

Accessible sur la plateforme europeennes.placedelasante.fr jusqu'à la mi-mars 2019, le Manifeste est accompagné d'un questionnaire à destination du grand public. L'objectif est d'avoir une idée plus précise des perceptions des citoyens sur l'Europe sociale. Les personnes pourront, par exemple, exprimer ce que signifie pour elles le terme "Europe sociale", citer des actions à mettre en œuvre pour une meilleure protection sociale en Europe, ou encore dire ce qu'elles attendent en matière de santé, de solidarité et de lutte contre les inégalités.
Conformément à ses valeurs, la Mutualité Française défend l'idée d'une Europe protectrice. Pour le mouvement mutualiste, si la protection sociale européenne avance, c'est toute l'Europe qui progresse. "La proclamation du socle européen des droits sociaux a ouvert la porte à un nouveau visage de l’Europe : une Europe sociale qui protège ses citoyens, et qui a la capacité de satisfaire leurs besoins concrets de santé et de protection sociale", rappelle ainsi le Manifeste.
Et de poursuivre : "Les mutuelles, en tant qu’acteurs de l’économie sociale, sont un acteur incontournable dans la mise en œuvre de ce socle européen des droits sociaux. Les mutuelles contribuent à la croissance économique et à la création d’emplois tout en mettant en première ligne les valeurs de solidarité, d’inclusion sociale, la primauté de la personne, et de l’objet social sur le capital et la gouvernance démocratique."

Un événement de restitution le 11 avril

La Mutualité Française organisera un événement de restitution le 11 avril 2019, à Paris, au studio 104 de la Maison de la Radio, avec les têtes de liste des élections européennes. A cette occasion, elle partagera sa propre vision de l'Europe sociale et réaffirmera son positionnement en tant que mouvement social, comme elle l'avait fait lors de son congrès de juin 2018 ou lors de l'événement Place de la santé du 21 février 2017, en amont de l'élection présidentielle.
De leur côté, certains partenaires européens prévoient aussi de mettre en œuvre une telle rencontre, comme par exemple l'Italie, le 4 mai à Milan, ou le Portugal, le 10 mai à Lisbonne.

Des ateliers et débats mutualistes en région

En prévision de l'événement Place de la santé qui se déroulera le 11 avril 2019, à Paris, avec les têtes de liste des élections européennes, les unions régionales mutualistes organisent un tour de France de l'Europe sociale. Une dizaine d'ateliers et de débats publics auront lieu d'ici fin mars en région. Les propositions issues de ces discussions seront soumises à un vote. A noter que ce vote sera ouvert à tous. Voici les dates connues à ce jour : - 19 février : Ile-de-France - 20 février : Pays de la Loire - 4 mars Normandie et Provence-Alpes Côte d'Azur - 5 mars : Bourgogne-Franche-Comté - 6 mars Bretagne - 12 mars Occitanie - 13 mars Grand Est - 15 mars Auvergne-Rhône-Alpes - 18 mars Nouvelle-Aquitaine

PAULA FERREIRA
© Agence fédérale d’information mutualiste (Afim)

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