Économisez sur l’organisation de votre prochain événement
C’est dans l’air du temps, la relation directe entre le producteur et le client final se généralise dans tous les secteurs, y compris dans la communication et l’événementiel.
L’intermédiation des agences représente une grande part du budget global d’un événement. La plupart des agences font appel à des ressources externes free-lance pour mettre en place les congrès, séminaires, lancements produits, conférences, salons, soirée d’entreprise …pour leurs clients.
Ces producteurs de l’ombre : chefs de projets, directeurs de productions, directeurs techniques, scénographes, responsables logistiques, régisseurs, concepteurs, graphistes …sont de plus en plus sollicités en direct par les annonceurs, qui souhaitent optimiser leurs budgets et maitriser leurs projets.
Nous avons réuni ces expertises au sein d'un même bureau de production : Scope Events.
Nous facturons uniquement du temps/jour/homme pour coordonner tous types d’événements, partout dans le monde : de l’étude de faisabilité jusqu’à la fin du démontage, en passant par la recherche de lieux, le sourcing, la négociation, la prépa, la coordination technique et logistique, le suivi de facturation...
Confiez-nous un premier projet et explorez tous les avantages d’une nouvelle forme de collaboration, plus directe donc plus efficace et bien moins onéreuse.
Parce que l’efficacité passe d’abord par la réactivité
Après étude du brief, nous vous proposerons une team sur mesure qui vous assurera une disponibilité totale.
Parce que la confiance passe par la transparence
Tous les devis des sous-traitants vous sont communiqués et vous avez la possibilité de les régler en direct si vous le souhaitez.
Notre engagement
Veiller à faire de chaque événement une réussite, par un objectif zéro faute dans sa réalisation, et en nous assurant qu’il laisse un souvenir chaleureux à tous : participants, clients, mais également les prestataires que nous veillons à traiter avec respect et équité.
A dispo, si vous souhaitez en savoir plus…
Roxane Chafei | Scope Events
Directrice de Production
+33 664914366
roxane@scope.events
www.scope.events
Nutella, Pastis, Chocapic, Evian : pourquoi les prix de centaines de produits vont-ils flamber à partir de vendredi ?
Economie
Pastis Ricard, les céréales Chocapic ou encore l'eau minérale Evian font partie de la liste des produits de grande consommation qui vont voir leurs prix augmenter d'ici le 1er février. La raison ? Selon l'UFC Que-Choisir, c'est la conséquence du vote de loi alimentation du 2 octobre dernier qui entre en vigueur ce vendredi 1er février. Ce texte prévoyait de redéfinir les relations entre les agriculteurs, les industriels et les distributeurs. En moyenne, l'augmentation des prix sera de 6,3% mais pour certaines denrées, la hausse atteint parfois les 10%.
Plus de 8% pour le Nutella
A titre d'exemple, le pot de Nutella de 750 grammes va passer de 4,05 euros à 4,39 euros (+8,4%), la bouteille d'un litre de Pastis Ricard voit son prix augmenter de 9,9 % ce qui fera grimper le prix d'achat à 20,61 euros au lieu de 18,75 euros auparavant. Le paquet de céréales Chocapic de la marque Nestlé reviendra à 2,35 euros contre 2,15 euros avant la hausse.
Pour Mathieu Escot de l'UFC UFC-Que choisir interviewé dans le Parisien, les types de produits concernés par cette augmentation des tarifs sont principalement des denrées alimentaires de grandes marques, appelés également produits d'appel comme les marques de soda, de café ou encore d'eau minérale.
Du côté des enseignes, toutes n'appliqueront pas forcément cette hausse des prix. "Pas dans les petits magasins de centre-ville ou les Monoprix parisiens, en tout cas, car les marges réalisées sur les produits y sont déjà supérieures à 10 %. En revanche, dans les hypermarchés qui se livrent à une guerre des prix – Leclerc, Géant Casino, etc. – comme chez les « hard discounters » (Leader Price, Netto, etc.), les hausses pourront être fortes. Or, ce sont ces magasins que fréquentent les Gilets jaunes. Ce sont donc bien les Français les plus modestes, avec un faible pouvoir d’achat, qui vont payer", argumente le responsable des études pour l'association de consommateurs UFC-Que choisir.
Parmi une liste de 25 000 références, 1 000 feraient l'objet de cette hausse des prix dans un hypermarché.
Comment expliquer ces nouvelles étiquettes de prix ?
C'est en fait le seuil de revente à perte qui a été modifié. Ce prix plancher est en fait le tarif en-dessous duquel un distributeur ne peut revendre un produit sous peine de sanctions. Pour établir ce montant, le coût des transports, les taxes...sont pris en compte. En résumé, si le distributeur paie un produit 100 en tarif seuil, il sera contraint de le vendre 110 aux consommateurs.
Autre nouveauté, ce nouveau texte interdit également les promotions supérieures à 34% sur un produit. Les opérations de type « 1 produit acheté = 1 produit offert », qui sont donc une remise de 50% ne seront donc plus autorisées.