Nora ANSELL-SALLES

mardi 22 janvier 2019

Quoi de neuf à la Mgefi ?



mgefi

Mises à jour quotidiennes ⋅ 22 janvier 2019

WEB

MGEFI

Facebook

Pour certains peut-être, les vacances d'hiver se passeront à la montagne en France ou en Europe ⛷, pour d'autres ce sera destination soleil ☀ à...

Signaler comme non pertinent

MGEFI

Facebook

Vos médicaments non utilisés s'entassent dans l'armoire de votre salle de bain ? Une seule solution pour s'en débarrasser : les rapporter à la ...

 Recevoir cette alerte en tant que flux RSS

Envoyer des commentaires

Tombe la neige

Découvrez le Tweet de @pressentinelle2 : https://twitter.com/pressentinelle2/status/1087641336604487682?s=09

lundi 21 janvier 2019

C'est à lire et écouter


Vendredi 18 janvier 2018 - Lettre N°1050

 



 
Le podcast ESE décrypte N° 38 est en ligne   
Pour cette première émission de l’année la rédaction dresse l’état des lieux des chantiers en cours: Débat national, CPTS, Médecine Libérale, Réforme des retraites… 
  
Les sujets ne manquent pas.

Bonne écoute !

Pour accéder à l’émission cliquez sur le lien suivant : ESE décrypte-numéro 38 
 

 

 
Comment sont répartis 1 000 € de dépenses publiques ? Dans le cadre du grand débat national,Bercy vient de publier un récapitulatif de l’affectation des dépenses publiquessur 1 000 €.
Sur ce montant, 575 € sont consacrés à la protection sociale, dont près de la moitié pour les retraites soit 268€. L’Assurance maladie représente 191 euros, les allocations familiales 42 €, le chômage 35 €, l’aide au logement 17€, et les autres dispositif de solidarité (comme la prime d’activité ou le RSA), 22 €.
En dehors de la protection sociale, les dépenses sectorielles (affaires économiques, transport et équipement, culture, …) atteignent 143 €, les services publics régaliens 60 €, l’Education 96€ , la recherche 23 €, les administrations publiques 66 €. Enfin, 37 € sont affectés à la charge de la dette.
 

 

 
CPTS, Assistants médicaux : les lignes rouges de MG-France Au lendemain du lancement de la négociation conventionnelle ACI sur le cadre des CPTS, et à une semaine de celui portant sur les assistants médicaux, MG-France présentait hier ses voeux à la presse.
A cette occasion son président, le Dr. Jacques Battistoni, a tenu à présenter les lignes rouges que le syndicat généraliste fixe pour que les négociations puissent aboutir. Sur le volet CPTS, outre la pérennisation du financement, MG-France souhaite que le futur dispositif ne se limite pas à "un cahier des charges pour les médecins" et qu’une "démarche pédagogique" soit engagée pour encourager les professionnels de santé d’intégrer ces communautés. Concernant les futurs 4 000 postes d’assistants médicaux pris en charge par l’assurance maladie, MG-France souhaite qu’ils soient accessibles à l’ensemble des médecins y compris ceux qui ne s'intègrent pas dans un exercice coordonné. De plus, le syndicat estime inopportun de demander un profil minimum d’aides soignants pour ces futurs assistants insistant sur le fait que des formations peuvent, par exemple, permettre à des secrétaires médicales d’assumer ce type de fonction.
Toutefois, le syndicat reconnait que l’objectif poursuivi dans ces négociations va dans le bon sens et souhaite par ailleurs que cette année soit placée sous le signe d’un renforcement du dialogue social avec les pouvoirs publics. 
 

 

 
Pénuries de médicaments : les inquiétudes de France Assos Santé Le représentant des usagers a publié hier une étude (réalisée par BVA) consacrée à la pénurie de vaccins et de médicaments.
Premier enseignement : 25% des répondants se sont déjà vus refuser la délivrance d’un médicament ou d’un vaccin pour cette raison (31 % pour les personnes en ALD). 45% des personnes confrontées à cette situation ont été contraintes de reporter leur traitement, de le modifier, d’y renoncer ou de l’arrêter complètement. Une situation jugée anxiogène par 21% des personnes interrogées (41% pour les personnes en ALD). Et les conséquences sont potentiellement graves : augmentation des symptômes (14%), erreurs dans la prise de médicaments de substitution (4%) et même hospitalisation nécessaire (4% en population générale, 5% pour les personnes en ALD). Dans 36% des cas, ces pénuries concernent des vaccins.
"Nous demandons aux pouvoirs publics et aux autorités de régulation de faire leur travail, et qu’enfin les politiques publiques soient harmonisées à l’échelle européenne", souligne Alain-Michel Ceretti, président de France Assos Santé.
Une information claire et transparente sur les causes de rupture de l’approvisionnement, les plans de gestions de pénuries  et les sanctions imposées en cas de manquement aux obligations de notification et de mise en œuvre de ces plans est également demandée. 
 

 

 
Place de la Santé : le débat En marge du grand débat national, les mutuelles de la Mutualité Française organisent des rencontres consacrées aux questions de santé sur tout le territoire,"avec un temps fort du 4 au 8 mars".
Deux questions seront posées lors de ces débats : "Comment assurer, dans les territoires, un égal accès à la prévention et aux soins de qualité pour tous, à tous les âges ?" et "Comment lever les obstacles financiers à l’accès aux soins ? ".

 

 



 

6 Français sur 10 trouvent la durée des congés de maternité et de paternité suffisante. Mais 63% des 18-24 ans souhaitent un allongement du congé de paternité, selon la Drees lien.


  
 

 

 

Lettre éditée par Espace Social Europée - prix 3 € - SARL au capital de 120 000 € - RCS PARIS B 480 706 159 (2005B02166) 
Principal associé : Pascal Beau - 22 rue Léon Jouhaux 75010 Paris - tél : 01.53.24.13.00 - fax : 01.53.24.13.06
Rédaction : Pascal Beau, Alexandre Beau et Emilie Guédé 
Service abonnements : abonnements@espace-social.com / tél : 01.53.24.13.18 
Iconographie : Cocktail Santé / tél : 01.53.24.13.02 
Pour tout changement d'adresse mail ou pour nous signaler un problème de réception de notre lettre électrique, n'hésitez pas à nous contacter par mail (lalettre@espace-social.com) ou par téléphone (01.53.24.13.18) 
  
Commission Paritaire : n° 0316 T 87714 
ISSN : N° 0316 T 87714 
  
L'autorisation d'effectuer des reproductions par reprographie doit être obligatoirement obtenue auprès du Centre français d'exploitation du droit de copie (CFC) : 20 rue des Grands Augustins 75006 Paris - tél : 01.44.07.47.70

7ème édition de la course Vertigo



 


Paris, le 21 janvier 2019,

 

Communiqué de Presse.

 

PLAY International organise la7ème édition de Vertigo, 1ère course verticale et solidaire de France (100 % des inscriptions sont reversées à l’ONG d’éducation par le sport PLAY International)

 

Le 16 mai prochain, plus de 2 000 coureurs sont attendus au sommet de la plus haute tour de France (Tour First) au coeur du 1er quartier d'affaires européen.

    
 

 DÉCOUVRIR LA COURSE EN VIDÉO DEMATÉLÉCHARGEZ LE COMMUNIQUÉ DE PRESSEousDE 
 

 

 
 

Antoine Biard 

PLAY International 

06 82 22 27 73

vertigo@pl4y.international

 

Ils participent depuis 2013 : Aareal Bank, AFD, AG Real Estate, Air France, All Fit Company, Agence Treize Cent Treize, Aliuta, Allianz Real Estate, Atarea Cogedim, Atos, Axa REIM, Babel, Beacon Capital Partners, Bouygues Batiment Ile-de-France, Bouygues Immobilier, Bouygues Ouvrages Publics, Brooks, Brand & Celebrities, Builders & Partners, Business Immo, Caisse des dépôts, CBRE, CBRE Global Investors, Cegelec, Cepa Ascenseurs, Clearwater International, Cniel, CNP Assurance, Colliers International, Compass Group France, Covea Immobilier, Croix Rouge Française, Cushman & Wakefield France, Dalkia, Deutsche Pfandbriefbank, DTZ Investment, ECN Live, EDF Commerce Ile-de-France, EDF EDEV, EDF Energies Nouvelles, EDF Ile-de-France, EDF FM Services, EDF SAFIDI, Eiffage Construction, EGIS HB, Elan France, Elior Services, Ellisphere, Enablon, Engie Cofely, Equity, Expanscience, EY, Fédération Française des Ascenseurs, FHB, Fidal, GE Money Bank, Goaleo, Gras Savoye, Groupe SOS, Humble Warrior, Icade, Iraiser, JLL, Jogg.in, Kerneo, Kone, Lanneau, Ligue Nationale de Volley, LIM Climbing, Linklaters, Mahola, LPA CGR Avocats, Malakoff Médéric, Meeschaert, MGEN, Mydral, N3XT, OPMD, Oxymetal, Parisian Real Estate, Paris La Défense, Passeport pour l'emploi, Pepsico, Prime Engineering, Prochima Segala, Publicis Conseil, Radisson Hotel Group, Radisson Blu, Saint Gobain, Samsic, Savills, Shangri-La Hotel Paris, Seenk, Set Environnement, Sidas, Sigdal Nomade, SNCF Eva, Société Générale, Sodexo Energie & Maintenance, Sodexo Entreprise, Spi Batignolles, SPIE ICS, Sporsora, Sport Management System, Strategies & Corp, Swiss Life REIM, Tarkett France, Terrel, Thibierge et associés, Tour First, Transdev, Tri-o Greenwhishes, Union Investment Real Estate, Vinci Facilities Energilec, Vinci GTM Batiment, Weil Gotshal & Manges, Yxime...

  

www.course-vertigo.org

Recherche scientifique


La Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé réaffirme son engagement dans la recherche scientifique issue du sang de cordon ombilical
Voir la version en ligne

Communiqué de Presse
Mercredi 28 novembre 2018

LA FONDATION D’ENTREPRISE RAMSAY GÉNÉRALE DE SANTÉ RÉAFFIRME SON ENGAGEMENT DANS LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ISSUE DU SANG DE CORDON OMBILICAL

La Fondation, qui fête ses 10 ans cette année, poursuit son engagement en faveur de la recherche en permettant à la Banque de Sang de Cordon de l’AP-HP de fournir des unités de sang de cordon à des équipes de recherche pour faciliter l’émergence d’applications thérapeutiques au service des patients.


Depuis 2008, la Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé est engagée dans une mobilisation solidaire en faveur du don anonyme et gratuit du sang de cordon ombilical. 156 patients en France et dans le monde ont bénéficié d’une greffe d’un sang de cordon ombilical issu d’une maternité du Groupe Ramsay Générale de Santé participant à cette collecte. Obstétriciens et sages-femmes de cinq maternités1 du Groupe réalisent ainsi près de 1 000 prélèvements par an. Les prélèvements qui ne peuvent constituer un greffon à usage thérapeutique sont offerts à des chercheurs, dans le cadre d’un partenariat avec l’Unité de Thérapie Cellulaire de l’Hôpital Saint-Louis / Banque de Sang de Cordon de l’AP-HP et son Centre de Ressources Biologiques.

La Fondation, qui fête ses 10 ans cette année, poursuit son engagement en faveur de la recherche en permettant à la Banque de Sang de Cordon de l’AP-HP de fournir des unités de sang de cordon à des équipes de recherche pour faciliter l’émergence d’applications thérapeutiques au service des patients. Zoom sur deux de ces projets qui utilisent les cellules souches issues du sang de cordon pour la production de plaquettes ex vivo et pour la régénération vasculaire.

Faire bénéficier aux équipes scientifiques d’unités de sang de cordon ombilical pour favoriser les avancées thérapeutiques

Le sang de cordon ombilical contient des cellules souches semblables à celles présentes dans la moelle osseuse et capables de reconstituer le système sanguin. Exigeant une moins grande compatibilité entre donneur et receveur que la greffe de moelle osseuse, les greffons offrent une chance réelle de traitement à des patients atteints de maladies du sang.

Lorsque les greffons ne remplissent pas tous les critères pour être transplantés à des patients, ils sont offerts à des chercheurs pour un usage scientifique, grâce à la Fondation Ramsay Générale de Santé. 
Mécène de l’Unité de Thérapie cellulaire et du Centre de Ressources Biologiques de l’Hôpital Saint-Louis AP-HP depuis 2010, la Fondation d'entreprise Ramsay Générale de Santé poursuit son engagement pour les années à venir en permettant aux équipes scientifiques (de l'Inserm, du CEA, du CNRS, de l'AP-HP, de l'Institut Pasteur…) de bénéficier gratuitement d’échantillons biologiques de qualité pour inventer de nouveaux traitements en thérapie cellulaire.

Le don de sang de cordon sauve des vies et c’est le crédo de la Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé, la cause qui a présidé à sa création en 2008. Nous sommes investis dans ce beau projet et permettons au Centre de Ressources Biologiques de l’Hôpital Saint-Louis AP-HP d’offrir aux chercheurs les unités de sang de cordon non éligibles à la greffe. Nous sommes fiers de voir que certains projets de recherche commencent à se dessiner pour ouvrir la voie à des thérapies cellulaires et cellules médicamenteuses. Depuis la mise en place du partenariat avec l’AP-HP, 25 projets de recherche sont en cours et ce n’est que le début.

Pascal Roché, Président de la Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé


La première greffe de sang de cordon ombilical au monde a été réalisée à l’Hôpital Saint-Louis AP-HP. La première banque « pilote » de sang de cordon y été également créée. Poursuivre cette action, et y adosser une activité visant à promouvoir la recherche scientifique dans le domaine des cellules souches, était donc tout naturel pour l’équipe de l’Unité de Thérapie Cellulaire de l’Hôpital Saint-Louis AP-HP. Le partenariat mis en place avec la Fondation Ramsay Générale de Santé s’inscrit dans cette volonté de soutien d’une action commune au service des patients et au service des chercheurs.

Jérôme Larghero, Chef de Service de Thérapie Cellulaire de l’Hôpital Saint-Louis AP-HP


 

Zoom sur 2 projets de recherche soutenus par la Fondation d’entreprise Ramsay Générale de Santé :

PLATOD : une technologie de rupture pour produire ex vivo des plaquettes grâce au sang de cordon

Les plaquettes, cellules du sang qui servent à la coagulation, sont utilisées pour soigner les patients, notamment suite à des chimiothérapies ou des transplantations de moelle osseuse. Or, à l’heure actuelle, le seul moyen d’en obtenir est le don de plaquettes, et celles-ci ne se conservent que 5 jours, ce qui en rend le stockage extrêmement difficile.
Le Dr Dominique Baruch, docteur en médecine et directrice de recherche Inserm à l’Université Paris Descartes, qui a fondé la start-up PLATOD en 2010, a fait le pari de produire ces plaquettes et d’optimiser la production ex vivo, à partir de cellules souches, de plaquettes fonctionnelles jouant un rôle crucial dans la prévention ou l’arrêt du saignement. Avec ce procédé, PLATOD entend développer une alternative aux plaquettes de donneurs, avec la fabrication rapide, grâce à un circuit miniaturisé fabriqué sur-mesure, de plaquettes standardisées, donnant la possibilité aux patients de recevoir un produit sûr et immunocompatible.  

À l’avenir, on peut imaginer mettre plusieurs de ces circuits en parallèle pour produire des volumes de plaquettes adaptés à la transfusion. Plus qu’une preuve de concept, cette innovation est une première étape clé vers de futurs essais cliniques et vers la production de plaquettes sanguines in vitro et à grande échelle. L’apport de cellules souches par la Fondation, dont la qualité est indiscutable et la traçabilité certifiée, est un réel atout pour avancer sur notre projet de recherche.

Dr Baruch


Des cellules souches pour reconstituer les vaisseaux sanguins des patients   

Les greffons de sang de cordon contribuent également à la recherche de la reconstruction vasculaire. Le Professeur David Smadja, hématologiste à l’Hôpital européen Georges-Pompidou AP-HP, se concentre avec son équipe sur la modulation de la formation vasculaire dans différentes situations pathologiques. En effet, ces cellules souches pourraient être utilisées en médecine régénérative.

Depuis les années 2000, nous avons identifié que ce sont les cellules progénitrices qui forment les vaisseaux sanguins, même chez l’adulte. Dans cette lignée, notre projet, en partenariat avec des équipes de recherche de Louisville aux États-Unis, a pour visée de mettre au point une thérapie cellulaire qui permette, à partir de la propre moelle osseuse du patient, de reconstituer ses vaisseaux sanguins, mais également de manière plus large d’intervenir dans le traitement d’anomalies vasculaires. Le sang de cordon, par sa richesse en cellules souches, nous permet de comprendre comment une cellule très immature peut se transformer en un vaisseau normal ou pathologique.

Pr Smadja


L’objectif à terme du Pr Smadja est de pouvoir prélever et d’isoler les cellules souches très immatures de la moelle osseuse, de les différencier (c’est-à-dire de les spécialiser en un « type » cellulaire) afin de les caractériser en cellules endothéliales (cellules qui tapissent la face interne des vaisseaux et qui sont donc en contact direct avec le sang), de les multiplier et in fine de les réinjecter chez le patient, sans modification génétique.
À plus long terme, le Pr Smadja et son équipe entendent créer un médicament pour les patients dont les vaisseaux sont bouchés, comme les diabétiques, afin d’éviter l’amputation, ou encore de soigner les maladies pulmonaires avec anomalie des vaisseaux sanguins (ex : hypertension artérielle pulmonaire ou fibrose pulmonaire idiopathique).  

1 : Hôpital privé d’Antony, Hôpital privé de Marne-la-Vallée, Hôpital privé de la Seine-Saint-Denis, Hôpital privé Armand Brillard, Hôpital privé Dijon Bourgogne.


Partager sur


Contact Presse
Marine PLAULT
Enderby
06 24 94 75 62
mpl@enderby.eu






© 2018 Ramsay Générale de Santé

Actualité Afrique


On refait la semaine 📰

Somalie : le Puntland s'est choisi un nouveau président 
Cet État semi-autonome de la Somalie a connu mardi un transfert pacifique du pouvoir à la suite d’une élection présidentielle très disputée qui a évincé le président sortant Abdiweli Mohamed Ali Gaas au premier tour du scrutin.
Saïd Abdullahi Deni, qui est pourrait poursuivre l‘étroite coopération du Puntland avec les États-Unis, a battu son plus proche rival, Asad Osman Abdullahi. Il a prêté serment pour un nouveau mandat de cinq ans.

En RDC, la plénière de délibération
La CENI a entamé dans la soirée de ce mardi 8 janvier 2019, la plénière de délibération pour la publication des résultats de l’élection présidentielle.« L’Assemblée plénière de la CENI a entamé, ce mardi 08 janvier 2019 depuis 19h, une série de plénières d’évaluations et de délibérations à l’issue desquelles elle procédera à la publication des résultats provisoires de l’élection présidentielle » a annoncé la CENI sur son compte twitter.

Madagascar: Ravalomanana admet sa défaite face à Rajoelina 
L’ancien président malgache Marc Ravalomanana a admis mercredi sa défaite face à son rival Andry Rajoelina lors de l‘élection présidentielle du mois dernier, appelant à la “réconciliation” au nom du développement du pays.

Présidentielle en RDC : des manifestations pro-Fayulu à Kisangani 
Des partisans de l’opposant Martin Fayulu, arrivé deuxième à la présidentielle en République démocratique du Congo, ont protesté jeudi dernier à Kisangani (nord-est) contre les résultats prononcés par la commission électorale, selon des témoignages recueillis par l’AFP.

Présidentielle 2020 en Côte d'Ivoire : l'ex-président Bédié pourrait se présente 
L’ancien président ivoirien Henri Konan Bédié n‘écarte pas l’idée de se présenter à l‘élection présidentielle de 2020, éventuellement allié avec l’ancien chef rebelle Guillaume Soro ou avec le parti de l’ancien président Laurent Gbagbo, a-t-il déclaré à l’AFP.

Nigéria : Le président de la Cour suprême incriminé d'infraction à la déclaration des avoirs 
Le président de la Cour suprême du Nigeria face à la justice. Walter Onnoghen doit se présenter lundi devant un tribunal spécial. Le plus haut magistrat du pays est accusé d’avoir recelé une partie de ses avoirs bancaires. Il posséderait plusieurs comptes bancaires en dollars et livres sterling. 
Le prix du carburant a doublé au Zimbabwe 
Doubler le prix du carburant, pour tenter de résoudre les problèmes de pénurie des produits de base comme le pétrole, c’est la solution adoptée par le président Emmerson Mnangagwa .Un litre d’essence s‘élève désormais à 3,31 $, contre 1,38 $, alors que le diesel se vend désormais à 3,11 $ le litre, contre 1,32 $ auparavant fixé par l’organisme de réglementation, a déclaré Mnangagwa aux journalistes samedi à la Chambre des représentants.
Présidentielle au Sénégal : cinq candidats retenus, les deux principaux opposants disqualifiés 
Le Conseil constitutionnel sénégalais a publié lundi la liste des cinq candidats à  l‘élection présidentielle du 24 février, dont le chef de l’Etat sortant Macky Sall, mais sans ses deux principaux opposants, l’ex-maire de Dakar Khalifa Sall et l’ancien ministre Karim Wade

Au Ghana, assassinat d’un journaliste qui enquêtait sur la corruption dans le football
Un journaliste d’investigation a été abattu par balles, mercredi 16 janvier au soir, alors qu’il rentrait chez lui à Accra, la capitale du Ghana, a-t-on appris de sources concordantes. Ahmed Husein faisait partie de l’équipe de reporters infiltrés dirigée par le célèbre journaliste Anas Aremeyaw Anas, qui a fait éclater l’an dernier un vaste scandale de corruption et de matchs truqués dans le football africain, conduisant à de lourdes sanctions des instances internationales
CPI : Laurent Gbagbo reste en détention jusqu'à une nouvelle audience en février
L’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, innocenté mardi d’accusations de crimes contre l’humanité, restera en détention jusqu‘à une nouvelle audience le 1er février, a annoncé vendredi la chambre d’appel de la Cour pénale internationale (CPI).

Dans le monde 🌏
Le sultan de Malaisie abdique sans fournir d’explication
La renonciation au pouvoir de Mohammed V, sultan de la dynastie « tournante » de Malaisie, est une première dans l’histoire du pays depuis son accession à l’indépendance en 1957.Jamais aucun des neuf sultans héréditaires de la fédération de Malaisie, qui s’échangent tous les cinq ans le titre de monarque constitutionnel, n’avait abdiqué auparavant. Cette abdication du dimanche 6 janvier, n’est pas véritablement une surprise, au vu des rumeurs qui s’accumulaient ces derniers temps. Les autres sultans de la fédération se sont réunis lundi pour désigner son remplaçant, car il reste en titre le sultan de l’Etat de Kelantan
Madagascar : Andry Rajoelina officiellement élu chef de l’Etat
La Haute Cour constitutionnelle (HCC) malgache a validé, mardi 8 janvier, la victoire de l’ancien chef de l’Etat Andry Rajoelina à l’élection présidentielle du mois dernier, en rejetant toutes les requêtes en annulation pour fraude de son rival Marc Ravalomanana. « Est déclaré élu président de la République Andry Rajoelina », a déclaré le président de la HCC, Jean-Eric Rakotoarisoa, sous les acclamations de centaines de partisans de M. Rajoelina réunis devant le siège de l’institution à Antananarivo.
Washington renonce à un retrait militaire rapide de Syrie
« Nous partirons à un rythme approprié tout en continuant à nous battre contre [les djihadistes] et à faire tout ce qui est prudent et nécessaire ! », a déclaré Donald Trump. Avec Emmanuel Macron, ils ont évoqué que ce serait un retrait « réfléchi et coordonnée » de Syrie. Le président des Etats-Unis, particulièrement opposé depuis longtemps à ce déploiement, avait justifié sa décision en annonçant la défaite de l’EI que ces forces spéciales combattaient en s’appuyant sur une milice majoritairement composée de Kurdes syriens.
Explosion à Paris
A Paris, Une puissante explosion s’est produite, samedi 12  janvier peu avant 9 heures, dans un immeuble du 9e arrondissement, à l’angle de la rue de Trévise et de la rue Sainte-Cécile. Bilan provisoire : au moins deux morts et plus de quarante blessés, dont huit sont dans un état grave, selon la préfecture de police de Paris. La déflagration s’est produite alors que les pompiers étaient déjà en intervention pour une fuite de gaz.
Rédaction AFREEQUE
Dites nous ce que vous en pensez ?Envoyer

Enquête sur l'alimentation des Français


 


 

Communiqué de presse - Enquête

 
 

Que vont changer les Français dans leurs repas en 2019 ?

 

66% des Français veulent moins manger et 65% mieux manger

67% vont modifierl'organisation de leurs repas

 

54% veulent plus cuisiner avec leur conjoint(e) et 44% davantage avec leurs enfants

L'explosion du "Batch cooking" : plus d'un Français sur deux prépare son repas à l'avance

 

 

 
Paris, 21 janvier 2019
Les Français ont-ils pris des bonnes résolutions alimentaires pour cette nouvelle année ?
Quitoque, leader du marché de la livraison à domicile de panier-repas en France, a voulu savoir si les familles françaises allaient changer leurs habitudes dans la cuisine. Un sondage* qui dévoile une véritable volonté de changement par rapport à 2018 dans l'organisation, le partage des tâches et des tendances fortes comme le batchcooking, ou la préparation des repas à l'avance.
Lien officiel : www.quitoque.fr 
 
*Méthodologie : enquête réalisée auprès de 12.852 personnes représentatives de la population nationale française, âgées de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne, sur le panel propriétaire Buzzpress France, selon la méthode des quotas, durant la période du 2 au 15 janvier 2019. Profils : 51% de femmes et 49% d'hommes. Toutes les informations mises en avant par les personnes interrogées sont déclaratives.
 
 
2019 : moins manger pour les hommes et mieux pour les femmes
Pour cette nouvelle année, les Français ont pris de bonnes résolutions concernant leur alimentation. C'est en effet ce que déclarent 87% des femmes et 74% des hommes. Cependant, les priorités ne sont pas les mêmes pour tout le monde. Ainsi, 75%des femmes ont décidé de mieux manger quand les hommes sontseulement 54%dans ce cas. Moins manger est un choix commun avec 71% de représentativité pour les femmes et 61% pour les hommes. Enfin, moins dépenser arrive en troisième choix pour 34% des Français.  
 
Pour cette nouvelle année, avez-vous pris des bonnes résolutions concernant votre alimentation ?
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

81%

87%

74%

Non

19%

13%

26%

Si oui, vous avez décidez :
Réponses

Global

Femmes

Hommes

De moins manger

66%

71%

61%

De mieux manger

65%

75%

54%

De plus manger

4%

2%

5%

De moins dépenser

34%

38%

29%

De plus dépenser

2%

1%

2%

De vous faire plaisir

27%

15%

38%

Autre

3%

1%

5%

 
 
Qui va faire à manger ?  
L'organisation des repas va faire partie des grands changements 2019 au sein des familles françaises. En effet, plus de 65%des hommes et 69% des femmes interrogés déclarent vouloir modifier la gestion des repas. Les hommes sont plus de 75% à avouer devoir faire plus la cuisine qu'en 2018. En revanche, les femmes sont 59%à espérer s'occuper beaucoup moins des repas en 2019.
 
Allez-vous changer l'organisation des repas ?
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

67%

69%

65%

Non

33%

31%

35%

Si oui, vous allez :
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Plus faire la cuisine

58%

41%

75%

Moins faire la cuisine

42%

59%

25%

 
 
Cuisiner en amoureux et avec les enfants
Un fait surprenantconcerne les personnes avec lesquelles les Français veulent partager les tâches culinaires. Ainsi, 54% des Français déclarent vouloir cuisiner avec leur conjoint(e), mais également avec leurs enfants qui arrivent à plus de 44%.  
 
Avec quelle personne aimeriez-vous partager les tâches culinaires ?
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Mon/ma conjoint(e)

54%

55%

52%

Mon/mes enfant(s)

44%

43%

45%

Autre

2%

2%

3%

 
 
Batch cooking
Une des grandes tendances 2019 est la préparation à l'avance des repas pour le reste de la semaine. Les femmes sont ainsi plus de 71%à déclarer cuisiner leurs plats pour les autres jours. Cependant, les hommes semblent moins attirés par cette pratique puisqu'ils ne sont que 38% à anticiper leurs repas... à moins qu'ils ne profitent des petits plats déjà préparés de leur conjointe.
 
Prévoyez-vous de plus cuisiner vos plats à l'avance pour le reste de la semaine ?
Réponses

Global

Femmes

Hommes

Oui

55%

71%

38%

Non

45%

29%

62%

 

 

A propos de Quitoque
Quitoque, lancé en 2014 par Grégoire Roty, Etienne Boix et Céline Nguyen est aujourd'hui le leader du marché de la livraison à domicile de panier-repas en France. Accompagné depuis ses débuts par 360 Capital, ISAI, NCI, Sophie Boscher(investisseur initial), Nicolas d'Audiffret(fondateur de AlittleMarket) et Sébastien Forest (fondateur de Alloresto), Quitoque a su convaincre des milliers de foyers à travers la France entière grâce à une promesse claire : digitaliser les courses alimentaires du quotidien. A la différence des pures plates-formes de livraison, Quitoque a fait le choix d'internaliser la création des recettes, le sourcing des produits et la préparation des paniers-repas. La maîtrise de ces métiers a permis de construire une offre de qualité et sur mesure ainsi que d'assurer une croissance solide. 
Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.quitoque.fr 
 
 

CONTACT PRESSE

Gildas Piquet-Friboulet - BUZZPRESS - gildas@buzzpress.fr - 06 19 93 58 32

 

Si le message ne s'affiche pas correctement, cliquez ici

Retour de l'hiver

Découvrez le Tweet de @MinSoliSante : https://twitter.com/MinSoliSante/status/1087251042159550465?s=09

jeudi 17 janvier 2019

Communiqué de presse de la Mutualité



Retrouvez-nous surCommuniqué de presse17 janvier 2019

Les mutuelles à l’écoute des Français, à l’occasion du Grand débat national
Les mutuelles de la Mutualité Française donnent l’opportunité aux Français de s’exprimer sur les questions de santé, en organisant des débats sur l’ensemble du territoire, avec un temps fort du 4 au 8 mars 2019.

« Ancrées dans les territoires, les mutuelles sont conscientes que les questions de santé sont au centre des préoccupations des Français, explique Thierry Beaudet, président de la Mutualité Française. C’est pourquoi le Conseil d’administration de la Mutualité Française a souhaité que les mutuelles, au contact des Français, recueillent leurs attentes et leurs propositions en matière de santé, à l’occasion du Grand débat national. »
Deux questions seront proposées à l’ouverture de ces rencontres :

Comment assurer, dans les territoires, un égal accès à la prévention et aux soins de qualité pour tous, à tous les âges ?


Comment lever les obstacles financiers à l’accès aux soins ?


Les réunions programmées dans le cadre de « Place de la Santé - Le Grand débat » et l’ensemble des propositions seront publiés sur www.mutualite.fr.
Télécharger le communiqué de presse au format pdf

À propos de la Mutualité Française

Présidée par Thierry Beaudet, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles en France. Elle représente 650 mutuelles dans toute leur diversité : des complémentaires santé qui remboursent les dépenses des patients, mais aussi des établissements hospitaliers, des services dédiés à la petite enfance et des crèches, des centres dentaires, des centres spécialisés en audition et optique, des structures et services tournés vers les personnes en situation de handicap ou les personnes âgées…
Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Avec leurs 2.600 services de soins et d’accompagnement, elles jouent un rôle majeur pour l’accès aux soins, dans les territoires, à un tarif maitrisé. Elles sont aussi le 1er acteur privé de prévention santé avec plus de 7.000 actions déployées chaque année dans toutes les régions.
Plus d’un Français sur deux est protégé par une mutuelle, soit 35 millions de personnes.
Les mutuelles sont des sociétés de personnes à but non lucratif : elles ne versent pas de dividendes et l’intégralité de leurs bénéfices est investie en faveur de leurs adhérents. Régies par le Code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.
Présidées par des militants mutualistes élus, les mutuelles représentent également un mouvement social et démocratique, engagé en faveur de l’accès aux soins du plus grand nombre.

Vous avez la parole


Bonjour,

Sous-emploi, salaires moins importants, chômage de longue durée... les seniors se retrouvent globalement confrontés à une complexe réinsertion sur le marché de l'emploi.

Les difficultés à retrouver un poste restent en effet plus importantes chez les 50-64 ans que pour les autres catégories de travailleurs. Même si les politiques de maintien de l'emploi des seniors ont porté leurs fruits, les dispositifs consacrés au retour à l'emploi sont, eux, plutôt faibles.

Dans ce contexte, le site Seniors à votre Service est la première plateforme dédiée au recrutement des seniors en entreprise ou par des particuliers employeurs.

Sa spécificité : il ne propose que des candidats seniors en recherche d'emploi ou des candidats retraités en recherche de cumul emploi retraite.

Des témoignages d'utilisateurs seraient-ils susceptible de vous intéresser ?

Je vous ai adressé le CP complet en PJ. Version Word et visuels HD disponibles.

Un sujet serait-il susceptible de vous intéresser ? (possibilité d'itw, de reportage)

Pour me joindre : 
Valérie Gruau - valerie@seniorsavotreservice.com - 06 23 80 90 16.

Pour en savoir plus
Site web : https://www.seniorsavotreservice.com
Facebook : https://www.facebook.com/seniorsavotreservice

Vous remerciant pour votre attention et vous souhaitant une agréable journée,

Bien cordialement,

Valérie Gruau

Lire le communiqué de presse sur Internet

Cancer




 
CANCER News Alert
Embargo/Online Publication Date: 00:01 Hours ET, Monday, January 21, 2019 [05.01 Hours UK Time (GMT)/16:01 Hours Australian Eastern Daylight Time (AEDT), January 21]
 
Cancer Survivors Face Significant Hardships Related to Medical Bills
 
New research indicates that cancer survivors carry greater financial burdens related to medical debt payments and bills compared with individuals without a cancer history, with the greatest hardships in younger survivors. Published early online in CANCER, a peer-reviewed journal of the American Cancer Society, the study also found that among privately insured survivors, those who enrolled in high deductible health plans and did not have health savings accounts were particularly vulnerable to medical financial hardship.
 
Medical financial hardship can encompass three domains: material (such as problems paying medical bills); psychological (for example, worrying about paying medical bills); and behavioral (which might include forgoing or delaying care because of cost).
 
To examine these multiple domains of medical financial hardship in adults with and without a cancer history, Zhiyuan Zheng, PhD, of the American Cancer Society, and his colleagues analyzed information from the 2013 to 2016 National Health Interview Survey. The study included nationally representative samples of 10,354 cancer survivors and 124,436 individuals without a cancer history.
 
Compared with those without a cancer history, cancer survivors were more likely to report any material hardship (ages 18 to 49: 43.4 percent versus 30.1 percent; ages 50 to 64: 32.8 percent versus 27.8 percent; ages 65 and older: 17.3 percent versus 14.7 percent), psychological hardship (ages 18 to 49: 53.5 percent versus 47.1 percent, with similar rates for older groups), and behavioral hardship (ages 18 to 49: 30.6 percent versus 21.8 percent; ages 50 to 64: 27.2 percent versus 23.4 percent, with similar rates for ages 65 and older).
 
Among privately insured survivors, having a high deductible health plan without a health savings account was associated with greater hardship compared with low deductible insurance. This finding may have important policy implications.
 
“Identifying patients with medical financial hardship will be important for primary care and oncology care providers,” said Dr. Zheng. “Developing and evaluating interventions to minimize medical financial hardship will be important for the research community. It may also require attention from health policy makers.”
 
Dr. Zheng noted that younger cancer survivorsthose aged 18 to 49 years—experienced greater financial hardship than their older counterparts. “It may be that they do not have the opportunity to accumulate financial assets to pay for medical expenses. In addition, a cancer diagnosis might interrupt employment, and consequently limit access to employer-sponsored health insurance coverage,” he explained. “Although we could not identify the underlying reasons for greater hardship intensity in the younger group in this study, we believe it will be an important area for additional research.”
 

Additional information

 

NOTE: The information contained in this release is protected by copyright. Please include journal attribution in all coverage. A free abstract of this article will be available via the Cancer News Room upon online publication. For more information or to obtain a PDF of any study, please contact:

Penny Smith +44 (0) 1243 770448 (UK)

Josh Glickman +1 201-748-6572 (US)
newsroom@wiley.com
Follow us on Twitter @WileyNews

 

Full Citation:

“Medical financial hardship among cancer survivors in the United States.” Zhiyuan Zheng, Ahmedin Jemal, Xuesong Han, Gery P. Guy Jr., Chunyu Li, Amy J. Davidoff, Matthew P. Banegas, Donatus U. Ekwueme, and K. Robin Yabroff. CANCER; Published Online: January 21, 2019 (DOI: 10.1002/cncr.31913).

URL Upon Publication: http://doi.wiley.com/10.1002/cncr.31913

 

Author Contact: Kathi Di Nicola of the American Cancer Society, atKathi.dinicola@cancer.org.

 

About the Journal
CANCER is a peer-reviewed publication of the American Cancer Society integrating scientific information from worldwide sources for all oncologic specialties. The objective of CANCER is to provide an interdisciplinary forum for the exchange of information among oncologic disciplines concerned with the etiology, course, and treatment of human cancer. CANCER is published on behalf of the American Cancer Society by Wiley and can be accessed online athttp://wileyonlinelibrary.com/journal/cancer.

Follow us on Twitter @JournalCancer

 

About Wiley

Wiley is a global leader in research and education. Our online scientific, technical, medical, and scholarly journals, and our digital learning, assessment, certification and student-lifecycle services and solutions help universities, academic societies, businesses, governments and individuals to achieve their academic and professional goals. For more than 200 years, we have delivered consistent performance to our stakeholders. The Company's website can be accessed at www.wiley.com.

 

If you would rather not receive future communications from John Wiley & Sons, Inc., let us know by clicking here.
John Wiley & Sons, Inc., 9600 Garsington Road, Oxford, UK OX4 2DQ United Kingdom

mardi 15 janvier 2019

C'est à lire : le coup de griffe de Jacques Draussin



Infolettre n° 321
mardi 15 janvier 2019Contact : Jacques DRAUSSIN jacques.draussin@biensur-sante.com

Souriez, vous êtes filmé
Vous n’arrivez pas à prendre un rendez-vous avec votre médecin avant le printemps? Pas de problème: restez à côté de votre smartphone ou de votre tablette et ça va s’arranger.
Le champion de la prise de rendez-vous en ligne, Doctolib, vient en effet d’annoncer qu’il se lançait dans la téléconsultation et, le moins qu’on puisse dire est qu’il ne le fait pas avec de modestes ambitions. Il faut dire que le poids lourd du secteur revendique - après avoir pris cette année le contrôle de son principal concurrent MonDocteur– un portefeuille clients de plus de 70 000 professionnels de santé auxquels il va être facile de proposer une offre de service plutôt intéressante.
Pas intéressante, alléchante : pour 79 euros par mois, à peu près l’équivalent de 3 consultations « classiques », les médecins pourront, via la télémédecine, disposer d’un outil vidéo sécurisé pour dialoguer avec leurs patients, obtenir un télépaiement et expédier une ordonnance par mail.
A priori, la solution idéale pour résoudre le problème des déserts médicaux [la consultation peut se faire à des centaines de kilomètres du patient] et régler celui de la bonne régulation de la durée de la visite [pas de temps consacré à parler d’autre chose que de la pathologie, même pas à attendre que le patient se rhabille].
Quelques réserves de détail restent évidemment à lever de la part de médecins rétrogrades qui pensent que l’examen clinique demeure un élément-clé du diagnostic [a priori quand même plus des 2/3 des praticiens], voire même de la part de patients ingrats qui se plaignent déjà d’une médecine déshumanisée.
Mieux vaut pourtant ne pas se faire trop d’illusions sur une pratique de la télémédecine demeurant limitée à certaines circonstances. Depuis le 15 septembre et son ouverture au remboursement par la Sécu, on a vu les grands acteurs du secteur de la santé se mettre en ordre de bataille pour conquérir la meilleure part possible du marché.
Si Doctolib s’est incontestablement construit une position de leader, la concurrence ne manque pas et n’est pas disposée à se faire tondre la patientèle sur le dos. Ainsi, de véritables centres de santé en ligne se déclarent fin prêts à faire valoir leurs talents. C’est notamment le cas deMesDocteurs, lié au géant mutualiste VYV [regroupantMGEN Istya et Harmonie], Qare [soutenu par l’assureur Axa], Livi[filiale du suédois Kry] ouDocavenue [filiale de Cegedim]…
Bref, de quoi qualifier de timorées les prévisions budgétaires qui tablent sur seulement 500 000 actes de téléconsultation en 2019 et 1 million en 2020.
Jacques DRAUSSIN

lundi 14 janvier 2019

Santé visuelle des seniors





Santé visuelle des personnes âgées : 
examen de la proposition de loi  au Sénat (16/01 –8h30)

 

 
Mercredi 16 janvier 2019, à 8 h 30, lacommission des affaires sociales du Sénat examine  laproposition de loi visant à améliorer la santé visuelle des personnes âgées en perte d'autonomie conformément à laprocédure de législation en commissionselon laquelle le droit d’amendement des sénateurs et du Gouvernement s’exerce en commission.
 
 
 


Cette réunion est à suivre en directsur le site du Sénat 
puis envidéo à la demande

 


Elle est également ouverte à la presse et au public, dans la limite des places disponibles. 
Les journalistes sont invités à s’inscrire auprès de la direction de la communication (presse@senat.fr).  
Le public est invité à s’inscrire auprès du secrétariat de la commission (secretaires.affaires-sociales@senat.fr) au plus tard la veille de la réunion.

 


 
 
En savoir plus sur la proposition de loi :http://www.senat.fr/les_actus_en_detail/article/sante-visuelle-des-personnes-agees-en-perte-dautonomie.html
 

https://youtu.be/Z5O_eFAAboQ
https://youtu.be/xs3tp8uVPwk

C'est à lire : la Lettre aux Français


Lettre aux Français

Chères Françaises, chers Françaismes chers compatriotes,

Dans une période d’interrogations et d’incertitudes comme celle que nous traversons, nous devons nous rappeler qui nous sommes.
La France n’est pas un pays comme les autres.
Le sens des injustices y est plus vif qu’ailleurs. L’exigence d’entraide et de solidarité plus forte.
Chez nous, ceux qui travaillent financent les pensions des retraités. Chez nous, un grand nombre de citoyens paie un impôt sur le revenu, parfois lourd, qui réduit les inégalités. Chez nous, l’éducation, la santé, la sécurité, la justice sont accessibles à tous indépendamment de la situation et de la fortune. Les difficultés de la vie, comme le chômage, peuvent être surmontées, grâce à l’effort partagé par tous.
C’est pourquoi la France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires.
C’est aussi une des plus libres, puisque chacun est protégé dans ses droits et dans sa liberté d’opinion, de conscience, de croyance ou de philosophie.
Et chaque citoyen a le droit de choisir celles et ceux qui porteront sa voix dans la conduite du pays, dans l’élaboration des lois, dans les grandes décisions à prendre.
Chacun partage le destin des autres et chacun est appelé à décider du destin de tous : c’est tout cela, la Nation française.
Comment ne pas éprouver la fierté d’être Français ?
Je sais, bien sûr, que certains d’entre nous sont aujourd’hui insatisfaits ou en colère. Parce que les impôts sont pour eux trop élevés, les services publics trop éloignés, parce que les salaires sont trop faibles pour que certains puissent vivre dignement du fruit de leur travail, parce que notre pays n’offre pas les mêmes chances de réussir selon le lieu ou la famille d’où l’on vient. Tous voudraient un pays plus prospère et une société plus juste.
Cette ambition, je la partage. La société que nous voulons est une société dans laquelle pour réussir on ne devrait pas avoir besoin de relations ou de fortune, mais d’effort et de travail.
En France, mais aussi en Europe et dans le monde, non seulement une grande inquiétude, mais aussi un grand trouble ont gagné les esprits. Il nous faut y répondre par des idées claires.
Mais il y a pour cela une condition : n’accepter aucune forme de violence. Je n’accepte pas la pression et l’insulte, par exemple sur les élus du peuple, je n’accepte pas la mise en accusation générale, par exemple des médias, des journalistes, des institutions et des fonctionnaires. Si tout le monde agresse tout le monde, la société se défait !
Afin que les espérances dominent les peurs, il est nécessaire et légitime que nous nous reposions ensemble les grandes questions de notre avenir.

C’est pourquoi j’ai proposé et je lance aujourd’hui un grand débat national qui se déroulera jusqu’au 15 mars prochain.

Depuis quelques semaines, des maires ont ouvert leurs mairies pour que vous puissiez y exprimer vos attentes. J’ai eu de premiers retours que j’ai pu prendre en compte. Nous allons désormais entrer dans une phase plus ample et vous pourrez participer à des débats près de chez vous ou vous exprimer sur internet pour faire valoir vos propositions et vos idées. Dans l’Hexagone, outre-mer et auprès des Français résidant à l’étranger. Dans les villages, les bourgs, les quartiers, à l’initiative des maires, des élus, des responsables associatifs, ou de simples citoyens… Dans les assemblées parlementaires comme régionales ou départementales.
Les maires auront un rôle essentiel car ils sont vos élus et donc l’intermédiaire légitime de l’expression des citoyens.
Pour moi, il n’y a pas de questions interdites. Nous ne serons pas d’accord sur tout, c’est normal, c’est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n’a pas peur de parler, d’échanger, de débattre.
Et peut-être découvrirons-nous que nous pouvons tomber d’accord, majoritairement, au-delà de nos préférences, plus souvent qu’on ne le croit.
Je n’ai pas oublié que j’ai été élu sur un projet, sur de grandes orientations auxquelles je demeure fidèle. Je pense toujours qu’il faut rendre à la France sa prospérité pour qu’elle puisse être généreuse, car l’un va avec l’autre. Je pense toujours que la lutte contre le chômage doit être notre grande priorité, et que l’emploi se crée avant tout dans les entreprises, qu’il faut donc leur donner les moyens de se développer. Je pense toujours que nous devons rebâtir une souveraineté industrielle, numérique et agricole et pour cela investir dans les savoirs et la recherche. Je pense toujours qu’il faut rebâtir une école de la confiance, un système social rénové pour mieux protéger les Français et réduire les inégalités à la racine. Je pense toujours que l’épuisement des ressources naturelles et le dérèglement climatique nous obligent à repenser notre modèle de développement. Nous devons inventer un projet productif, social, éducatif, environnemental et européen nouveau, plus juste et plus efficace. Sur ces grandes orientations, ma détermination n’a pas changé.
Mais je pense aussi que de ce débat peut sortir une clarification de notre projet national et européen, de nouvelles manières d’envisager l’avenir, de nouvelles idées.
À ce débat, je souhaite que le plus grand nombre de Français, le plus grand nombre d’entre nous, puisse participer.
Ce débat devra répondre à des questions essentielles qui ont émergé ces dernières semaines. C’est pourquoi, avec le Gouvernement, nous avons retenu quatre grands thèmes qui couvrent beaucoup des grands enjeux de la Nation : la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’État et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté. Sur chacun de ces thèmes, des propositions, des questions sont d’ores et déjà exprimées. Je souhaite en formuler quelques-unes qui n’épuisent pas le débat mais me semblent au cœur de nos interrogations.
 

Le premier sujet porte sur nos impôts, nos dépenses et l’action publique.

L’impôt est au cœur de notre solidarité nationale. C’est lui qui finance nos services publics. Il vient rémunérer les professeurs, pompiers, policiers, militaires, magistrats, infirmières et tous les fonctionnaires qui œuvrent à votre service. Il permet de verser aux plus fragiles des prestations sociales mais aussi de financer certains grands projets d’avenir, notre recherche, notre culture, ou d’entretenir nos infrastructures. C’est aussi l’impôt qui permet de régler les intérêts de la dette très importante que notre pays a contractée au fil du temps.
Mais l’impôt, lorsqu’il est trop élevé, prive notre économie des ressources qui pourraient utilement s’investir dans les entreprises, créant ainsi de l’emploi et de la croissance. Et il prive les travailleurs du fruit de leurs efforts. Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d’encourager l’investissement et faire que le travail paie davantage. Elles viennent d’être votées et commencent à peine à livrer leurs effets. Le Parlement les évaluera de manière transparente et avec le recul indispensable. Nous devons en revanche nous interroger pour aller plus loin.
Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ? Quels impôts faut-il à vos yeux baisser en priorité ?
Nous ne pouvons, quoi qu’il en soit, poursuivre les baisses d’impôt sans baisser le niveau global de notre dépense publique.
Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ?
Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? À l’inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?
Notre modèle social est aussi mis en cause. Certains le jugent insuffisant, d’autres trop cher en raison des cotisations qu’ils paient. L’efficacité de la formation comme des services de l’emploi est souvent critiquée. Le Gouvernement a commencé à y répondre, après de larges concertations, à travers une stratégie pour améliorer notre santé, pour lutter contre la pauvreté et contre le chômage.
Comment mieux organiser notre pacte social ? Quels objectifs définir en priorité ?
 

Le deuxième sujet sur lequel nous devons prendre des décisions, c’est l’organisation de l’État et des collectivités publiques. 

Les services publics ont un coût, mais ils sont vitaux : école, police, armée, hôpitaux, tribunaux sont indispensables à notre cohésion sociale.
Y a-t-il trop d’échelons administratifs ou de niveaux de collectivités locales ? Faut-il renforcer la décentralisation et donner plus de pouvoir de décision et d’action au plus près des citoyens ? À quels niveaux et pour quels services ?
Comment voudriez-vous que l’État soit organisé et comment peut-il améliorer son action ? Faut-il revoir le fonctionnement de l’administration et comment ?
Comment l’État et les collectivités locales peuvent-ils s’améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté et que proposez-vous ?
 

La transition écologique est le troisième thème, essentiel à notre avenir. 

Je me suis engagé sur des objectifs de préservation de la biodiversité et de lutte contre le réchauffement climatique et la pollution de l’air. Aujourd’hui personne ne conteste l’impérieuse nécessité d’agir vite. Plus nous tardons à nous remettre en cause, plus ces transformations seront douloureuses.
Faire la transition écologique permet de réduire les dépenses en carburant, en chauffage, en gestion des déchets et en transports. Mais pour réussir cette transition, il faut investir massivement et accompagner nos concitoyens les plus modestes.
Une solidarité nationale est nécessaire pour que tous les Français puissent y parvenir.
Comment finance-t-on la transition écologique : par l’impôt, par les taxes et qui doit être concerné en priorité ?
Comment rend-on les solutions concrètes accessibles à tous, par exemple pour remplacer sa vieille chaudière ou sa vieille voiture ? Quelles sont les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier ?
Quelles sont les solutions pour se déplacer, se loger, se chauffer, se nourrir qui doivent être conçues plutôt au niveau local que national ? Quelles propositions concrètes feriez-vous pour accélérer notre transition environnementale ?
La question de la biodiversité se pose aussi à nous tous.
Comment devons-nous garantir scientifiquement les choix que nous devons faire à cet égard ? Comment faire partager ces choix à l’échelon européen et international pour que nos agriculteurs et nos industriels ne soient pas pénalisés par rapport à leurs concurrents étrangers ?
 

Enfin, il est évident que la période que notre pays traverse montre qu’il nous faut redonner plus de force à la démocratie et la citoyenneté. 

Être citoyen, c’est contribuer à décider de l’avenir du pays par l’élection de représentants à l’échelon local, national ou européen. Ce système de représentation est le socle de notre République, mais il doit être amélioré car beaucoup ne se sentent pas représentés à l’issue des élections.
Faut-il reconnaître le vote blanc ? Faut-il rendre le vote obligatoire ?
Quelle est la bonne dose de proportionnelle aux élections législatives pour une représentation plus juste de tous les projets politiques ?
Faut-il, et dans quelles proportions, limiter le nombre de parlementaires ou autres catégories d’élus ?
Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil Économique, Social et Environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ? Faut-il les transformer et comment ?
En outre, une grande démocratie comme la France doit être en mesure d’écouter plus souvent la voix de ses citoyens.
Quelles évolutions souhaitez-vous pour rendre la participation citoyenne plus active, la démocratie plus participative ?
Faut-il associer davantage et directement des citoyens non élus, par exemple tirés au sort, à la décision publique ?
Faut-il accroître le recours aux référendums et qui doit en avoir l’initiative ?
La citoyenneté, c’est aussi le fait de vivre ensemble.
Notre pays a toujours su accueillir ceux qui ont fui les guerres, les persécutions et ont cherché refuge sur notre sol : c’est le droit d’asile, qui ne saurait être remis en cause. Notre communauté nationale s’est aussi toujours ouverte à ceux qui, nés ailleurs, ont fait le choix de la France, à la recherche d’un avenir meilleur : c’est comme cela qu’elle s’est aussi construite. Or, cette tradition est aujourd’hui bousculée par des tensions et des doutes liés à l’immigration et aux défaillances de notre système d’intégration.
Que proposez-vous pour améliorer l’intégration dans notre Nation ? En matière d’immigration, une fois nos obligations d’asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ? Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?
La question de la laïcité est toujours en France sujet d’importants débats. La laïcité est la valeur primordiale pour que puissent vivre ensemble, en bonne intelligence et harmonie, des convictions différentes, religieuses ou philosophiques. Elle est synonyme de liberté parce qu’elle permet à chacun de vivre selon ses choix.
Comment renforcer les principes de la laïcité française, dans le rapport entre l’État et les religions de notre pays ? Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?
Dans les semaines qui viennent, je vous invite à débattre pour répondre à ces questions déterminantes pour l’avenir de notre Nation. Je souhaite aussi que vous puissiez, au-delà de ces sujets que je vous propose, évoquer n’importe quel sujet concret dont vous auriez l’impression qu’il pourrait améliorer votre existence au quotidien.
Ce débat est une initiative inédite dont j’ai la ferme volonté de tirer toutes les conclusions. Ce n’est ni une élection, ni un référendum. C’est votre expression personnelle, correspondant à votre histoire, à vos opinions, à vos priorités, qui est ici attendue, sans distinction d’âge ni de condition sociale. C’est, je crois, un grand pas en avant pour notre République que de consulter ainsi ses citoyens. Pour garantir votre liberté de parole, je veux que cette consultation soit organisée en toute indépendance, et soit encadrée par toutes les garanties de loyauté et de transparence.
C’est ainsi que j’entends transformer avec vous les colères en solutions.
Vos propositions permettront donc de bâtir un nouveau contrat pour la Nation, de structurer l’action du Gouvernement et du Parlement, mais aussi les positions de la France au niveau européen et international. Je vous en rendrai compte directement dans le mois qui suivra la fin du débat.
Chères Françaises, chers Français, mes chers compatriotes, je souhaite que le plus grand nombre d’entre vous puisse participer à ce grand débat afin de faire œuvre utile pour l’avenir de notre pays.
En confiance,
Emmanuel MACRON

Téléchargez la lettre du Président

Partager cet article


Partager cet article sur LinkedIn


Partager cet article sur Twitter