Nora ANSELL-SALLES

jeudi 22 novembre 2018

Journal de Paris 17ème



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21/11/18


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Quelle ambition pour notre système éducatif ?

Madame, Monsieur,

 
Alain ARNAUD, président du CIRIEC France et du CIRIEC International, et Roland BERTHILIER, président de la MGEN, ont le plaisir de vous inviter à un débat sur :
 

« Éducation et intérêt général,

Quelles ambitions pour notre système éducatif ? »

 

Le mercredi 5 décembre 2018 de 18h à 20h30

Au Grand Amphithéâtre de la MGEN, 3 square Max Hymans – Paris 15ème


Vous devez confirmer impérativement votre participation par mail.
 
 

Retrospective mode / luxe

Bonjour,


Le plus puissant moteur de recherche spécialisé dans la mode et soutenu par LVMH, Lyst, publie le Year in Fashion : une rétrospective mode et luxe de l'année écoulée, basée sur son algorithme ultra performant.

Lyst a analysé plus de 100 millions de recherches : Les célébrités les plus influentes, les plus pointues et recherchées de l'année. L'étude Year in Fashion décrypte les personnalités qui ont marqué cette année, leur looks, les ventes qu'elles ont généré ou encore le succès des marques via les réseaux sociaux à travers les people. 
Cette rétrospective inédite  riche en data et en visuels offre un panorama complet de l'année 2018 !

Voici le lien direct vers l'étude : https://www.lyst.fr/year-in-fashion-2018/
Vous trouverez également  ci-joint la rétrospective complète en PDF  et ci dessous le lien pour télécharger les visuels : https://goo.gl/Bk4XrE

N'hésitez pas à revenir vers moi si vous avez besoin d'informations complémentaires.
Si vous souhaitez référencer toute information contenue dans ce rapport, veuillez créditer la plateforme de recherche de mode mondiale Lyst et inclure un lien vers le rapport complet à l'adresse : https://www.lyst.fr/year-in-fashion-2018

Belle journée
Cordialement,
Johanna. 

Si vous ne souhaitez plus recevoir de communications de BABBLER, veuillez cliquer sur ce lien ici.
BABBLER, 34 avenue des Champs Elysées, Paris, France 75008 France

Quand les mutuelles sont taxées c'est le pouvoir d'achat des Français qui se dégrade

Communiqué de presse


21 novembre 2018

Quand les mutuelles sont taxées, le pouvoir d’achat des Français se dégrade



Alors que le Sénat a adopté hier une version remaniée du PLFSS prévoyant une hausse de 40% de la taxe pesant sur les complémentaires santé, la Mutualité Française rappelle que cette mesure aurait un impact lourd sur le pouvoir d’achat de tous les Français, plus particulièrement encore les retraités.





"Aujourd’hui déjà, les Français consacrent, chaque année, un mois et demi de cotisations à leur mutuelle afin de payer les taxes qui pèsent sur elles",rappelle Thierry Beaudet, président de la Mutualité Française. "Les amendements votés par le Sénat auraient pour conséquence d’augmenter mécaniquement le prix de leur mutuelle et de porter à deux mois et demi la part de leurs cotisations consacrée au paiement de cette taxe, au moment même où le pouvoir d’achat des retraités est censé être au cœur de toutes les préoccupations."
L’amendement au PLFSS adopté par les sénateurs préconise une hausse pour l’année 2019 de la taxe de solidarité additionnelle (TSA) de 4,8 points (passant de 13,27% à 18,02%). Cette hausse représenterait un surcoût de 1,5 milliard d’euros. La ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn, a fait part de son opposition à cette hausse, confirmant un impact direct sur le prix des mutuelles d’une telle mesure. Le surcoût pour un retraité pourrait atteindre 70 euros par an, selon ses estimations. Parallèlement, elle s’est opposée à l’autre amendement adopté par le Sénat, qui tendrait à majorer cette taxe pour les contrats responsables qui permettent un remboursement différencié en fonction du choix de l’assuré. Or, "trois quarts des Français qui ont une complémentaire utilisent les réseaux de soins [et bénéficient d’un remboursement différencié]", ils seraient donc fortement pénalisés, alerte la ministre.
"Après l’avis défavorable de la ministre des Solidarités et de la Santé sur ce sujet, devant le Sénat, nous comptons sur la cohérence de la majorité gouvernementale, afin que ces amendements soient retirés du texte du PLFSS à l’Assemblée nationale", précise Thierry Beaudet.

Les mutuelles, des organismes à but non lucratif

Les organismes complémentaires prennent toute leur part dans le financement de notre système de santé et de solidarité nationale. Chaque année, le produit de la TSA finance intégralement le fonds CMU et contribue également à la réduction du déficit de la Sécurité sociale.
Les mutuelles, entreprises à but non lucratif qui ne rémunèrent pas d’actionnaires, sont extrêmement attentives à une bonne gestion et leurs adhérents en sont les garants. Les mutuelles, 1er réseau privé d’établissements et de services de soins, s’engagent pleinement à la transformation du système de santé et agissent au quotidien pour améliorer l’accès aux soins dans les territoires.

À propos de la Mutualité Française

Présidée par Thierry Beaudet, la Mutualité Française fédère la quasi-totalité des mutuelles en France. Elle représente 650 mutuelles dans toute leur diversité : des complémentaires santé qui remboursent les dépenses des patients, mais aussi des établissements hospitaliers, des services dédiés à la petite enfance et des crèches, des centres dentaires, des centres spécialisés en audition et optique, des structures et services tournés vers les personnes en situation de handicap ou les personnes âgées…
Les mutuelles interviennent comme premier financeur des dépenses de santé après la Sécurité sociale. Avec leurs 2 600 services de soins et d’accompagnement, elles jouent un rôle majeur pour l’accès aux soins, dans les territoires, à un tarif maitrisé. Elles sont aussi le 1er acteur privé de prévention santé avec plus de 7.000 actions déployées chaque année dans toutes les régions.
Plus d’un Français sur deux est protégé par une mutuelle, soit 35 millions de personnes.
Les mutuelles sont des sociétés de personnes à but non lucratif : elles ne versent pas de dividendes et l’intégralité de leurs bénéfices est investie en faveur de leurs adhérents. Régies par le Code la Mutualité, elles ne pratiquent pas la sélection des risques.
Présidées par des militants mutualistes élus, les mutuelles représentent également un mouvement social et démocratique, engagé en faveur de l’accès aux soins du plus grand nombre.
Télécharger le communiqué au format pdf
Contacts presse :
Constance BAUDRY
06 85 29 82 22 / constance.baudry@mutualite.fr

Générations futures et pesticides bio...

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Enquête Glyph'Awards» de Générations Futures : et les pesticides bio ?

 

L'amnésie de Générations futures

 
Paris, le 21novembre 2018 -L'association militante anti-pesticides Générations Futures a lancé hier un nouveau « coup médiatique » en « divulguant » sur son site internet un ensemble de cartes portant sur les ventes de pesticides par département. Si les données de base fournies par l'administration française sont justes, Générations Futures se livre à plusieurs manipulations ruinant ainsi la crédibilité de l'étude.
 
 
Des données étrangement manquantes
La base BNVD(Banque nationale des ventes pour les distributeurs) utilisée par Générations Futures compileles donnéesfournies par les entreprises qui vendent des produits phytopharmaceutiquesdépartement par département. La carte élaborée par l'association militante et intitulée « Carte de vente des pesticides par département par ha de SAU en 2017  [1]» intègre ainsi les ventes tous produits confondus y compris ceux homologués en agriculture biologique. La moyenne nationale des ventes des pesticides par ha est de 2.632 kg/ha.

Le document intitulé « Carte des ventes de pesticides non utilisables pour l'agriculture biologique par hectare de SAU[2]» est issu des données de la carte précédente avec exclusion des quantités des produit homologués en bio. Or cettecommunication de l'association ne précise pas de moyenne nationale. Pourquoi ? Pour masquer qu'environ 20 % des produits phytosanitaires vendus en France sont des produits homologués en agriculture biologique. Le Collectif Sauvons les fruits et Légumes de France estime qu'environ plus de 80 % de ce volume est utilisé par les producteurs en agriculture conventionnelle.

 
Une simple vérification accessible à tous à partir des 3 départements désignés à la vindicte publique comme les plus grands utilisateurs de pesticides,montre la part des produits utilisables en bio :

 
Les données des BNVD étantdisponibles depuis l'année 2008, on constate ainsique l'achat de produitshomologués en agriculture biologique esten croissance.
 
Pourquoi Générations futures masque volontairement cette donnée ?
Le cuivre sous ces différentes formes [3] est stratégique pour de nombreux producteurs, bio et conventionnels,pour lutter notamment contre le mildiou dans de nombreuses cultures dont la vigne. Représentantplus de 50% du tonnage des produits homologués en bio, cette substance faitactuellementl'objet d'une réévaluation au niveau européen. Son avenir est incertain : les experts constatent que cette substance est loin d'être anodine pour l'environnement et la santé de l'utilisateur. Tous les secteurs de la production française y compris les organisations du secteur bio s'inquiètent de la future décision de l'Unioneuropéenne. Générations Futures n'ignore pas cette situation mais préfère la passer sous silence car ses principaux financeurs sont issus de la filière bio.
 
Pour le Collectif Sauvons les fruits et Légumes, cette manipulation appuyée par de nombreuxorganes de presse laisse entrevoir une véritable chasse aux utilisateurs de produits de protection des cultures non bio. Enfin, elle créé artificiellement une opposition entre modèles agricoles qui ne correspond en aucun cas à la réalité.
 
 

 
 
 

Le Collectif Sauvons les Fruits et Légumes de France rassemble des producteurs travaillant en agriculture biologique et raisonnée. Membres de toutes les filières et de toutes les associations professionnelles, ils sont confrontés à un même problème majeur : protéger leur récolte de manière efficace et dans le respect de l'environnement. En 2007, ils ont décidé de réunir leurs efforts pour sensibiliser l'opinion et les pouvoirs publics à cette menace qui pèse sur la production hexagonale et aux moyens d'y remédier. Le Collectif Sauvons les Fruits et Légumes de France ne se substitue pas plus qu'il ne concurrence les organisations professionnelles ; il n'a que pour but de les compléter avec le souci, partagé par tous, de l'efficacité.

Contact

contact@sauvonslesfruitsetlegumes.fr

Tél. : 07 66 50 87 39

 

[1]https://www.generations-futures.fr/cartes/carte-de-vente-pesticides-departement-ha-de-sau-2017/ 

[2]https://www.generations-futures.fr/cartes/cartes-ventes-de-pesticides-non-utilisables-lagriculture-biologique-hectare-de-sau-2017/
 
 

[3] Hydroxide de cuivre Cas 20427-50-9-2, Sulfate de cuivre Cas 8011-63-0, Oxyde cuivreux

Rififi au Sénat





Communiqué de séance

 


Paris, le 21 novembre 2018

Le Sénat n’a pas adopté une proposition de loi organique relative à l'élection des sénateurs


 
Mercredi 21 novembre 2018, dans le cadre d’un ordre du jour réservé au groupe LaREM, le Sénat a examiné en première lecture la proposition de loi organique relative à l'élection des sénateurs, présentée par M. André GATTOLIN(LaREM – Hauts-de-Seine) et plusieurs de ses collègues.
 
Cette proposition de loi vise à abaisser l'âge minimal pour être élu sénateur de 24 à 18 ans.
 
Sur le rapport de M. Vincent SEGOUIN (Les Républicains – Orne), la commission des lois a estimé que la question de l'âge d'éligibilité des sénateurs devait être examinée dans le cadre, plus large, de la réforme des institutions engagée par le Président de la République et n’a donc pas adopté la proposition de loi organique.
 
En séance publique, les sénateurs n’ont pas adopté ce texte, par 128 voix pour et 206 voix contre (voir les résultats du scrutin public).
 
 
---
Pour plus de détails, consulter :
·         le suivi détaillé sur l’Espace presse ;
·         les comptes rendus (analytique etintégral) et la vidéodes débats en séance publique ;
·         lerapport de M. Vincent SEGOUIN(Les Républicains – Orne), fait au nom de la commission des lois, et sasynthèse.

 

 

Contact presse :

Mathilde Dubourg

01 42 34 25 11 –presse@senat.fr

Une conférence de presse à ne pas manquer



Bruno de Moura Fernandes, économiste France, etJulien Marcilly, économiste en chef, 
ont le plaisir de vous convier au POINT PRESSE
Le recul du nombre de défaillances depuis 2014, a-t-il été réalisé au détriment des performances à l'export? Comment la France se positionne vs la zone euro? Y a-t-il des secteurs ont préféré réduire leurs marges pour gagner les parts de marché à l'international?
Comment sera l'année 2019?

/           Mardi 27 novembre    Accueil petit-déjeuner à 8h45 - Début à 9h
OpenMind Kfé
110, rue de la Boétie, Paris 08
Métro : Franklin Roosevelt, lignes 1 et 9 / Saint-Philippe-du-Roule, ligne 9
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Confirmation AVANTle jeudi 22 novembre à 18h

Maria KRELLENSTEIN -  T. +33 (0)1 49 02 16 29 maria.krellenstein@coface.com
 

Si vous ne souhaitez plus recevoir de communications de COFACE, veuillez cliquer sur ce lien ici.
COFACE, 1, place Costes et Bellonte, BOIS-COLOMBES, France FRANCE France

Coût de l'absentéisme



Le coût de l'absentéisme au travail dépasse 100 milliards par an

 
 
 
LES 3 INFOS DU MATIN

  

Le coût de l'absentéisme au travail dépasse 100 milliards par an Les auteurs d'une étude de l'Institut Sapiens déplorent un manque à gagner pour les entreprises en France et estiment que le mauvais management explique en partie l'absentéisme. Lire ici

  

Nissan organise déjà l'après Ghosn Le conseil d'administration du constructeur se réunit aujourd'hui à Yokohama pour retirer au patron français son titre de président. La presse nippone affirme que le procureur s'interroge sur la légitimité d'un salaire versé par Nissan à une proche de Carlos Ghosn. Lire ici

  

La dette d'entreprise connaît l'une de ses pires années La montée des risques a rendu les investisseurs plus exigeants. Face à la hausse des levées de dette, la réduction du soutien des banques centrales et la baisse de la qualité de crédit, les avertissements se multiplient. Lire ici

TOUT LE MONDE EN PARLE

 

 L'industrie des médias commence tout juste sa révolution « Les Echos » et Franceinfo organisent aujourd'hui l'événement « Médias en Seine, le futur des médias ». A l'heure de la globalisation, les groupes de médias doivent transformer leur modèle en urgence pour s'assurer une place dans le nouveau monde.

A SUIVRE EN BOURSE

 En directNikkei +0.65 %21646.55

 À la clôture Dow Jones : 24464.69 -0 % CAC 40 : 4975.5+1.03 %

Au menu : dinde au Cointreau !
En cette journée de Thanksgiving, Wall Street gardera ses portes fermées. En Europe, les opérateurs n’auront pas grand-chose à se mettre sous la dent.
CETTE NUIT EN ASIE

 

 Dolce & Gabbana rhabillée pour l'hiver en Chine La marque italienne est au coeur d'une polémique monstre sur les réseaux sociaux après la diffusion d'images et propos jugés racistes. Elle a annulé son défilé à Shanghai.

ÇA SE PASSE EN EUROPE 

 

 La Tour de Pise se redresse  La célèbre tour penchée s'est redressée d'elle-même de 4 centimètres au cours des 17 dernières années, viennent de confirmer des experts. 

LE BUZZ DES ETATS-UNIS

 

 La mise au point de la Cour suprême face à Trump Le président John Roberts, pourtant plutôt conservateur, a remis à sa place le président américain.

L'INVITÉ DES ECHOS 

 

 Gilles Pélisson  Le PDG du Groupe TF1 est notre invité ce matin. 

LE PODCAST

 

 Drame à l'italienne Rome dérape, Bruxelles coince, les marchés vont paniquer et la BCE finira par intervenir : la pièce qui se joue aujourd'hui devant nos yeux est médiocre et dangereuse. Il est encore temps d'en écrire une autre.

IL FAIT L'ACTUALITÉ 

 

 Jacob Rees-Mogg, l'emmerdeur  Le chouchou de la branche dure des Tories n'es pas conservateur, il est ultra-conservateur. Son accent « posh » ne l'empêche pas de dire des bêtises. 

 

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